Anne-Abigail

Vendredi 5 novembre 2021 5 05 /11 /Nov /2021 15:41

La mouche - 3 – Telle mère, telle fille.par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Stamp MD

 

Carole rencontre une femme intrigante dans une salle de sport, Carole la surnomme « la mouche » mais elle se fait appeler « Madame Isabelle ». Celle-ci l’emmène chez elle, et lui montre ses talents de dominatrice en punissant sévèrement la bonne. Carole ayant confié à la « mouche » les rapports particuliers qu’elle entretenait avec sa fille, se fait inviter chez elle, le but étant de s’arranger pour l’emmener dans son donjon…

 

Carole avait accepté avec l’impression de se lancer à l’eau, elle ignorait comment sa fille de 19 ans allait réagir et cela l’angoissait, mais elle se disait aussi que Madame Isabelle savait ce qu’elle faisait.

 

Carole n’avait pas invité « la mouche » à diner. Comment aurait-elle pu rivaliser avec la table succulente qu’elle lui avait servie chez elle ? La différence de classe était énorme. Ce serait donc juste un apéritif, tous les gens ne deviennent-ils pas égaux devant un Martini avec des glaçons et une rondelle de citron ?

 

Actuellement Elodie faute de mieux travaille à mi-temps dans un magasin de fringues à bon marché. A 18 heures elle rentre à la maison et embrasse sa mère.

 

– J’ai mal aux fesses ! Lui dit Carole

– Voilà ce que c’est d’abuser de la salle de sports !

– Non ce n’est pas ça, j’ai rencontré une nana qui m’a donnée une fessée !

– Pardon ?

– Une jolie femme, dans la salle de sport justement, elle m’a dragué, je me suis laissé faire.

– Et elle t’as donnée une fessée ?

– Oui, c’était très… comment dire ? Très érotique, très sensuel !

– Elle fesse mieux que moi ?

– C’est différent, toi tu aimes mieux recevoir que donner.

– Bon, qu’est-ce qu’on mange ?

– Il reste du poulet, mais j’ai invité la fille pour l’apéro.

– Ah ? Répondit Elodie sans enthousiasme.

 

Carole téléphona discrètement à « la mouche » pour lui confirmer le rendez-vous et lui décrire comment elle avait annoncé sa venue à sa fille.

 

Madame Isabelle est là à l’heure, offrant à ses hôtes une bouteille de whisky pur malt. Elle s’est habillée de façon quasi provocante, pantalon et blouson en vinyle. On se présente ! Elodie n’a fait aucun effort de toilettes et après avoir pris une douche s’est revêtue d’un jogging gris trop ample,

 

On s’installe autour de la table basse, on remplit les verres, « la mouche prend un Martini » Carole le whisky, non pas par préférences mais par politesse. Elodie se contente d’un jus d’orange.

 

La conversation a du mal à s’installer, alors on parle de la météo épouvantable et de la circulation difficile.

 

Elodie a envie de sonder cette inconnue qui la fascine :

 

– Alors comme ça vous fréquentez la salle de sport ?

– En fait je viens juste de m’y mettre…

– Et si j’ai bien compris vous avez fessé ma mère ?

– C’était un jeu !

– Je n’en doute pas Et vous aimez faire ça !

– J’adore ! Et quand une personne a de jolies fesses, comme votre maman, c’est encore mieux.

– Et ça vous intéresserait de me donner une fessée, à moi ?

 

Madame Isabelle n’en revient pas que les choses aillent si vite, mais cela n’est pas pour lui déplaire.

 

– Pourquoi voudrais-tu une fessée, tu as fait des bêtises ?

– Vous avez besoin d’un prétexte pour me fesser ?

– Non mais ce serait mieux !

– Alors j’ai piqué le gode de ma mère, j’avais trop envie de me le foutre dans le cul ! Ça ira comme prétexte ?

– Oh la vilaine fille ! S’écrie Madame Isabelle, entrant dans le trip, retire-moi ce pantalon trop moche et viens t’allonger sur mes genoux.

– Maman, tu vas la laisser faire ? Demande Elodie, joueuse.

– Bien sûr ! Ça t’apprendra à me piquer mon gode.

 

Elodie se débarrasse de son pantalon sous lequel ne logeait aucune culotte.

 

– Oh ! Le joli cul ! S’exclame Madame Isabelle. Il est aussi beau que celui de ta mère… Bien que pour comparer, il faudrait que tu te mettes aussi les fesses à l’air, Carole !

 

Carole à son tour enlève le bas, la mère et la fille sont maintenant côte à côte, Madame Isabelle leur pelote le cul sans vergogne à la façon d’un maquignon à la foire aux bestiaux.

 

– Humm, difficile de départager, mais ce sont de vrais culs de putes. Ça ne te gêne pas Elodie d’avoir un cul de pute ?

– On ne me l’avait jamais dit, mais ça ne me gêne pas du tout !

– Petite effrontée ! Allez viens te coucher sur mes cuisses, tu vas l’avoir ta raclée

 

Elodie obtempère et offre ses fesses aux instincts sadiques de la « mouche », en ponctuant ses coups d’insultes diverses et variés.

 

– Tiens ! Jeune dévergondée ! Tu es aussi salope que ta mère !

– Aïe !

– Tiens putain !

– Ouille !

 

En fait Madame Isabelle est peu habituée à prodiguer des fessées à mains nues, et ne tarde pas à ressentir de la douleur dans les mains, tandis que le cul de la belle Elodie se met à virer au cramoisie.

 

– Bon j’arrête, tu as eu ce que tu méritais, mais je vais te dire un secret !

– Un secret ?

– Oui, tu m’as fait mouiller

– J’en suis fort aise, chère madame.

– Tu dis ça mais je suis sûre que tu ne me crois pas !

– Si, si !

– Je vais te montrer quand même !

 

La « mouche » ôte son pantalon, elle ne mentait pas, la mouille lui dégoulinant sur les cuisses.

 

– Je ne peux pas rester ainsi ! Dit-elle.

– Et que voudriez-vous que je fisse ?

– Que tu me lèches !

– Et pourquoi moi et non pas Maman ?

– Justement j’y pensais ! Mais tu ne vas pas te défiler ! Vous allez me lécher le minou toutes les deux !

– On le fait Maman ? Demande Elodie.

– Je crois bien que nous allons le faire !

– Mettons nous toutes à poil propose madame Isabelle, ce sera plus fun..

 

Et tout en disant cela, elle dézippe la fermeture éclair de son blouson de vinyle… elle n’avait rien en dessous.

 

– Alors ma salope, ils te plaisent mes nichons ?

– Je peux les embrasser ? Demande Elodie.

– Oui, tu pourras, mais pas maintenant, pour l’instant ça va être du broute-minou.

 

Elle s’installe sur le canapé, les jambes écartées, Elodie et sa mère viennent lui butiner la chatte, pas facile de faire ça en même temps mais en pratiquant de façon alternative, ça le fait très bien.

 

– Stop ! Dit « la mouche » au bout d’un moment, vous avez de la mouille plein la bouche, j’aimerais vous voir vous embrasser.

 

La suggestion amuse Elodie qui ouvre les lèvres et approche sa bouche de celle de sa mère, l’instant d’après elles se roulaient un patin.

 

– C’est bien ce que je pensais, vous êtes des vraies salopes, continuez à me lécher ! Oui comme ça, l’une après l’autre…

 

Madame Isabelle eut la jouissance aussi fulgurante qu’humide. Carole très excitée aurait bien joui, Elodie aussi, mais elles n’étaient plus maîtresses du jeu.

 

– Vous m’avez l’air bien excitées toutes les deux, si vous voulez on va arranger ça, mais c’est moi qui vais vous dire comment cela va se passer. D’accord ?

– Pourquoi pas ? Répondit Elodie.

– Vous allez vous mettre toutes les deux en soixante-neuf, j’ai assisté à pas mal de turpitudes mais je n’ai pas encore vu une mère et une fille se gouiner devant moi ! Alors vous allez m’offrir ce spectacle ! Objections ?

 

Les deux femmes ne répondent même pas, se positionnent comme il se doit et se gamahuchent jusqu’à l’extase.

 

Elles se relèvent, épuisées. Carole ressert des apéritifs et la « mouche » s’adresse à Elodie :

 

– Tu es très soumise, n’est-ce pas ?

– Par jeu, uniquement par jeu !

– Et tu serais capable d’aller plus loin que des fessées ?

– Oui !

– Alors si tu veux, je vous emmène toutes les deux chez moi, j’ai un sous-sol aménagé dans lequel je peux faire plein de misères à mes esclaves du moment. Ça te dit ?

– Je ne me laisse pas faire n’importe quoi ?

– Ce ne sera pas n’importe quoi, un peu de flagellation, de bondage, de pinces et aussi quelques humiliations à ma manière !

– Je ne veux pas de trucs dangereux…

– Il n’y en aura pas et on emploiera un mot de sécurité !

– C’est quoi ça ?

– Par exemple si tu dis une fois « roudoudou », j’arrête ce que je fais et je passe à autre chose. Si tu dis deux fois « roudoudou », on arrête tout. Mais ça c’est la théorie, j’ai acquis une certaine habitude et je suis capable de deviner ce que vont supporter ou non mes soumises.

– Mwais… et on ferait ça quand ?

– Mais tout de suite, si tu veux, on se rhabille et on monte dans la bagnole !

 

***

 

C’est Annie, la soubrette délurée qui ouvre aux trois femmes.

 

– Nous allons descendre à la cave ! Lui dit « la mouche ». Prépare-nous un repas pour trois personnes que tu serviras dans une heure et demie.

– Bien Madame !

– Tu vois j’ai ramené l’autre salope avec sa fille ! Ce sont vraiment des trainées, elle se sont gouinées devant moi !

– La mère et la fille ?

– C’est comme je te le dis !

– Mais c’est très mal, ça, ça mérite une bonne punition !

– Justement c’est prévu ! Tu aurais aimé voir ça, je suppose ?

– Oui bien sûr !

– Mais ça, ce n’est pas dans mes intentions, file en cuisine et réserve nous un bon pinard.

 

Elodie exprime alors le souhait de satisfaire un petit besoin naturel avant de passer à autre chose.

 

– Pas question, tu te retiens, on gérera ça en bas.

 

Une fois dans le donjon, Madame Isabelle ordonne à ses « invitées » de se déshabiller, ce qu’elles font sans rechigner. Elle demande ensuite à Carole de se coucher sur le sol.

 

– Elodie tu as envie de pisser, si je ne m’amuse ?

– Ben oui !

– Et bien tu vas pisser sur ta mère !

– Quoi ?

 

Elodie croise le regard de sa mère, y cherchant un quelconque signe de désapprobation, mais c’est le contraire qui se produit, Carole opine du chef en signe d’assentiment.

 

Résignée, Elodie enjambe sa mère et se positionne au niveau de son ventre, mais elle bloque.

 

– Ben alors, mademoiselle ne peut pas pisser ? Se moque madame Isabelle.

– C’est que je n’y arrive pas !

– Voilà qui est fâcheux ! Ne bouge pas, reste comme tu es !

 

Madame Isabelle se saisit d’une cravache !

 

– Ton cul est déjà rouge, mais bon, un peu plus, un peu moins…

– Aïe !

 

Cinq coups de cravache viennent zébrer les fesses de la pauvre Elodie.

 

– Alors tu pisses ?

– J’essaie.

 

Elodie se concentre, essaie de faire le vide dans son esprit mais sa vessie refuse de se vider.

 

– En te cravachant le ventre et les nichons, ça va peut-être venir.

– Non !

– Ta gueule !

 

La cravache cingle son ventre, Elodie crie de douleur, la « mouche » arme de nouveau son instrument.

 

– Non, je crois que ça vient, juste une seconde !

 

Effectivement, le jet doré commence à jaillir se sa source.

 

– Et maintenant, tu avances en pissant vers son visage !

 

Carole comprend ce qui va se passer et ouvre la bouche, geste qui stoppe Elodie dans son élan. Mais la mère lui fait de la main signe de continuer d’avancer.

 

Et c’est le cœur battant et le rouge aux joues qu’Elodie finit de faire son pipi dans le gosier de sa propre mère qui s’astreint à avaler ce qu’elle peut.

 

Sa miction terminée, Elodie se déplace sur le côté, elle est chancelante, mais n’a pas employé le mot de sécurité. Quant à Cadole elle est aux anges.

 

– Quelle humiliation ! Se faire pisser dessus par sa propre fille ! J’en suis tout émoustillée ! Mon dieu, je mouille comme une éponge !

– C’est vrai, maman, C’est dingue ce qu’elle nous a fait faire !

 

Carole se relève, elle embrasse sa fille… sur la bouche évidement…. Et profondément.

 

– C’est très bien, mes chéries, Nous allons passer à autre chose.

 

A l’aide de menottes fourrées, Madame Isabelle attache les mains des deux femmes derrière leur dos puis s’emparant d’épingles à linges, elle leur fixe sur les tétons, enfin avec l’aide d’une chainette elle relie le téton droit de Carole au téton gauche de sa fille et inversement…

 

Mouche3La « mouche » se saisit à nouveau de la cravache et s’en va fouetter les cuisses, le dos et les fesses des deux femmes qui gigotent en tous sens, faisant s’étirer les chainettes et leur provoquant des cris de douleur. Elle agit avec beaucoup de sérieux, prenant garde à ce que les chainettes ne se tendent pas de trop, mais c’est surtout pour faire durer le plaisir parce que le final est terrible. Elle abat sa cravache sur les chainettes faisant voler les pinces et crier les deux soumises qui s’étreignent en pleurant tandis que « la mouche » les libère des menottes.

 

Madame Isabelle s’en va dans un coin et utilise son téléphone portable, puis elle s’assoit et attend. Les deux femmes restent plantées au milieu de la place, se demandant quels diaboliques sévices va encore leur tomber dessus.

 

Et voilà qu’arrive un bonhomme, la quarantaine, grosse moustache, il tient en laisse un gros labrador noir qu’il fait se coucher à l’entrée.

 

– Voici Roger, mon régisseur et jardinier, vous savez il y a toujours quelque chose à faire dans ces grandes baraques… Le chien c’est Zoltan, mais on va faire les choses dans l’ordre, vous n’aimez pas les hommes me semble-t-il ?

– Pas trop, non ! Répond Elodie

– Ça tombe bien, sinon ce n’aurait pas été une punition. A poil Roger !

 

Les deux femmes se regardent, résignées tandis que Roger exhibe maisnteant une vraie bite de complétion qu’il branle énergiquement pour la rendre très raide.

 

– Allez les putes, allez sucer Roger, l’une devant l’autre derrière, faites comme vous voulez, de toute façon on invertira les rôles au bout d’un moment.

 

C’est Carole qui spontanément se place derrière, ne voulant pas laisser la pose la plus « humiliante » à sa fille, et elle qui n’a pas eu de rapport avec un homme depuis bien longtemps se met à lécher le trou du cul du bonhomme, un trou du cul qui est loin de sentir la rose. Et pendant ce temps-là, Elodie lui suce la bite, elle a d’ailleurs conscience de le faire très mal. Hé, c’est qu’elle n’en pas sucé beaucoup dans sa jeune vie ! Une ou deux, l’histoire ne le dira pas.

 

– Ça se passe bien ! Demande la « mouche »

– J’ai l’impression qu’elle ne sait pas sucer, on sent ses dents ! Répond le moustachu.

– D’accord, j’ai du pain sur la planche si je veux en faire une bonne pute. Allez les filles on alterne.

 

Elodie est rouge de honte, la tentation de laisser tomber tout ça l’effleure, mais comme sa mère semble à l’aise, elle n’en fait rien. L’anus de Roger est maintenant tellement imprégné de salive que le gout en est devenu neutre. Carole suce la bite avec application, elle n’a rien contre les bites, ce qu’elle ne supporte plus ce sont leurs propriétaires, mais présentement ce genre de relation n’ayant rien d’affectif, elle peut se lâcher et même y trouver un certain plaisir.

 

Mais Carole fait signe d’arrêter et demande aux deux femmes de se mettre en levrette.

 

– Mieux que ça, le cul cambré, les jambes écartées, Roger va vous enculer l’une après l’autre.

 

Elles n’hésitent même pas ! A quoi bon d’ailleurs ? Elles se contentent de prier les dieux de la baise que l’homme ne fasse pas usage de brutalité.

 

Il commence par la mère, l’introduction se fait sans aucune douceur. Eh oui une bite ce n’est pas comme un gode où l’on reste constamment maîtresse du jeu. Et les premiers instants sont pénibles, ensuite ça va mieux et ça commence même à être plutôt agréable, mais Roger décule, change de capote et s’en va enculer la fille qu’il gardait pour le dessert.

 

– Doucement, doucement !

– Je vais doucement !

– Ah bon !

 

Mais excité comme il est Roger ne tient pas la distance et jouit dans le fondement d’Elodie en meuglant comme un veau qu’on égorge.

 

– Merci Roger, maintenant amène le chien au milieu et vas t’assoir sur une chaise. Lui dit la « mouche »

– Je ne fais rien avec le chien ! Proteste Elodie !

– Essaie au moins !

– Non !

– Et on peut savoir pourquoi ?

– Ça ne me branche pas, c’est tout !

– Et toi Carole ?

– Qu’est que tu voudrais que je fasse ? Que je suce le chien ?

– Pas forcément ! Pour l’instant ne bouge pas je vais vous montrer quelque chose.

 

La « mouche » sort d’un petit placard une boite de conserve de pâté pour chien et l’ouvre, elle enlève ensuite son pantalon et s’enduit le pubis et la chatte d’un peu de pâté.

 

– Viens Zoltan, viens mon chien .

 

Le chien hésite mais elle l’attire avec son doigt qu’elle rapproche insensiblement de son bas ventre. Le chien cette fois comprend, sort une large langue et viens lécher tout ça !

 

– A quelle langue, mes chéries quelle langue ! Tu m’as bien léché tu es un bon chien.

 

Il est content Zoltan, il remue la queue en tous sens, mais il n’y a plus de pâté.

 

– A toi, Carole !

– C’est pas dangereux ?

– T’en a d’autres des questions idiotes, allez lance-toi.

 

Carole se tartine à son tour et se laisse lécher par le chien.

 

– Je suis vraiment une salope ! Commente-t-elle

– Je ne te le fais pas dire. A toi Elodie.

– J’ai dit que je ne voulais pas !

– Jusqu’à présent ça n’a tué personne ! Carole empêche-la de bouger je vais lui tartiner la chatte.

 

Carole hésite, voilà une façon de procéder qui n’a plus rien à voir avec le consentement, mais elle se dit aussi que si vraiment sa fille veut quitter le jeu, il y a le mot de sécurité, alors elle l’immobilise, mais Elodie ne se débat pas et se laisse faire. Et quand le chien vient lui laper la chatte elle se met à rigoler de bon cœur !

 

– C’est pas possible une langue pareille !

 

Madame Isabelle fait ensuite coucher le chien sur le côté et lui tripote la bite, celle-ci ne tarde pas à émerger de son fourreau et de présenter une belle raideur, sans hésiter elle porte l’organe en bouche.

 

– C’est quand vous voulez les filles ! Leur dit-elle en leur faisant signe de la rejoindre.

 

Elodie n’est pas du tout décidée, mais Carole hésite.

 

– Bon alors ? Vous vouliez être humiliées, c’est pas une bonne humiliation, ça de sucer la bite d’un chien ?

 

L’argument est sans aucun doute idiot mais il fonctionne et Carole se lance, timidement mais elle le fait .

 

– Mais c’est épouvantable de faire ça ! S’écrie Elodie qui à la surprise générale se lance à son tour et goute brièvement la bite du chien.

– C’est bien Elodie, je t’avais promis que je te laisserais me lécher les seins, tu peux y aller maintenant.

 

La bouche d’Elodie s’approche du téton droit de Madame Isabelle, il est tout érigée d’excitation, tout dur. Inutile de préciser qu’Elodie se régale

 

– Pour vous les tortures sont terminées, nous allons monter déguster ce que nous préparé Annie mais avant je vais vous offrir un petit spectacle. Ah ! Vous auriez aimé jouir, mes chéries, et bien faites-le en me regardant…

 

Le « mouche » extrait du placard une paire de grosses chaussettes qu’elle enfile sur les pattes avant du chien, elle se met en levrette et attire le quadrupède qui la monte et qui la bourre.

 

Carole et Elodie n’ont regardé que le début, elle se sont rapidement enlacées, caressées, pelotées, embrassées, léchées et c’est en position de soixante-neuf quelles firent éclater leur plaisir.

 

Ce qui clôt la partie sexe de cette folle soirée qui se termina dans une bonne ambiance autour d’un délicieux canard à l’orange et d’un Pommard millésimé.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 5 novembre 2021 5 05 /11 /Nov /2021 15:37

La mouche – 2 – La punition de la soubrette par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

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Carole s’est fait draguer par Madame Isabelle (ou la « mouche »), celle-ci se révèle être une dominatrice. Chez elle après avoir commencé à humilier sa soubrette Annie, elle s’en prend à Carole.

 

Carole regarda du côté d’Annie comme pour supputer ses chances d’obtenir du secours d’elle, mais elle s’aperçut qu’elle n’avait nullement bougé depuis qu’elle s’était dévêtue. Elle gardait toujours la même pose et on voyait sa mouille couler lentement sur l’intérieur de ses cuisses, commençant même à s’accumuler en une petite mare sous sa chatte. Comprenant qu’elle avait intérêt à filer doux, Carole entreprit de retirer ses vêtements, commençant par son haut.

 

– Garde la jupe de cuir, ordonna la « mouche », c’est plus érotique ! Enlève tout le reste !

 

Versant toujours son lot de larmes en silence, Carole poursuivit son humiliation en retirant son collant, sa culotte, puis son soutien-gorge. Madame Isabelle la prit par le bras, l’aida à se relever, puis elle la poussa vers une chaise de style bistro qui trônait au fond de la rotonde. Sans ménagement, elle la fit asseoir et écarter les jambes. Elle alla quérir un assortiment de cordes dont elle se servit pour ficeler la jeune femme à la chaise. Carole se retrouva immobilisée les mains attachées par derrière au dossier et les chevilles aux pieds avant de la chaise.

 

Rassurée de ce côté, Madame Isabelle reporta son attention vers la soubrette qui n’avait toujours pas bougé. Elle lui releva le menton, l’obligeant à la regarder en désignant son invitée et elle dit :

 

– Maintenant, salope ! Tu vas ramper jusqu’à ses pieds, dépêches-toi !

 

Annie s’allongea sur le plancher glacé et elle entreprit une lente reptation en s’efforçant pour bien plaire à sa maîtresse de maintenir autant que possible le contact de la pierre avec ses avant-bras, sa poitrine et ses cuisses. Trouvant néanmoins que ses mouvements manquaient de vigueur, la « mouche » alla prendre une cravache dont elle utilisa le bourrelet pour houspiller le fessier de la soubrette, lui arrachant des petits cris apeurés.

 

Lorsqu’elle fut parvenue à moins d’un mètre de son but, Madame Isabelle jeta devant elle la jupe plissée de Carole qu’elle reçut sur la tête.

 

– Allons, fit la maîtresse, nettoies !

 

Annie voulut se redresser, mais un bon coup de cravache sur les fesses l’obligea à demeurer à plat ventre. Carole se demanda comment elle allait bien pouvoir s’acquitter de sa tâche de nettoyage car il ne semblait y avoir rien qu’elle pourrait utiliser à cette fin. C’est donc avec une surprise doublée d’une légère excitation qu’elle vit Annie étendre sa jupe sur le sol pour entreprendre le nettoyage à l’aide du seul moyen dont elle disposait : sa bouche. Ayant circonscrit la tache, Annie mouilla celle-ci de salive, puis lécha longuement le vêtement poissé de potage. Voir ainsi cette jeune femme nue procéder de manière si érotique au nettoyage de sa jupe fit naître une sensation étrange dans l’entrejambe de Carole, mais elle s’efforça de n’en rien laisser paraître devant les deux autres femmes. La « mouche » devait cependant s’être aperçue de quelque chose car elle s’approcha de sa prisonnière et elle entreprit de lui caresser les seins, par derrière, à la fois pour jouir du spectacle d’Annie et sans rien en cacher à son invitée impuissante. Elle lui écrasait les globes comme si elle voulait lui en extirper tout le lait qu’ils pouvaient contenir.

 

Carole se mit à tressauter de plaisir et se laissa aller à haleter en murmurant :

 

– Oh ! oui… faites-moi mal, ça m’excite !

 

N’attendant que cela, Madame Isabelle redoubla de force et profita de l’impuissance de sa prisonnière pour lui étirer le bout des seins comme si elle voulait les faire allonger de force. Insouciante de ce qui se passait devant elle, Annie continuait de lécher le vêtement souillé comme si son salut en dépendait. De leur côté, les deux autres femmes ne perdaient rien de sa prestation.

 

Lorsque la docilité de la jeune soubrette commença à décliner légèrement, la « mouche » abandonna son pétrissage mammaire pour se diriger vers elle et lui relever le menton sans ménagement. Elle la força à ouvrir la bouche et tirer la langue qu’elle trouva épaisse et desséchée.

 

– Ma pauvre petite, tu dois avoir soif ! Ouvre bien ta gueule de pute que je te pisse dedans.

 

Sans rechigner Annie ouvrit une large bouche et reçu le champagne dorée de sa maîtresse en pleine bouche, elle avait l’air d’apprécier.

 

– Qu’est-ce que tu as à nous regarder comme ça ! S’écria Madame Isabelle à l’adresse de Carole. Serais-tu jalouse ? En voudrais-tu un peu ?

– Je, je… balbutia Carole, incapable de trouver ses mots.

– Eh bien ça tombe bien, j’ai pensé que ça te ferais plaisir, je n’ai pas pissé à fond.

 

« La « mouche » ouvrit une petite armoirette et en sortit un verre à pied en cristal. Elle écarta les jambes afin d’uriner à l’intérieur sans risquer de se mouiller les cuisses. Le verre rempli, elle le mira à la lumière comme elle l’aurait fait d’un grand cru et vint le porter aux lèvres de Carole.

 

– Non ! protesta cette dernière.

 

Madame Isabelle lui pinça un téton par surprise, Carole ouvrit la bouche laissant ainsi le passage à l’urine.

 

– Bois et avale ! Trainée !

– Gloup !

– Alors c’est bon ?

– C’est spécial !

– C’est peut-être spécial mais c’est un cadeau de ta maîtresse, tu dois l’apprécier à sa juste valeur. Et ne te plains pas, parfois j’offre des cadeaux bien plus consistants.

 

A cette évocation, le visage de Carole blanchit.

 

– Accepter la défécation c’est accepter l’humiliation suprême, mais c’est aussi un magnifique acte de soumission envers sa maîtresse. Réfléchis-y !

 

La « mouche » fit parcourir à la soubrette à genoux le mètre qui la séparait de la chaise-bistrot, releva la jupe de cuir de Carole et lui enfonça la tête entre les deux jambes en disant :

 

– Maintenant, tu vas lécher sa brûlure, petite salope !

 

Annie ne se le fit pas demander deux fois. Elle fit jaillir sa langue d’entre les lèvres et elle entreprit de laper la cuisse encore rougie de Carole. Aussitôt, celle-ci se mit à gémir de plaisir et à tenter de se trémousser. Madame Isabelle reprit ses manipulations à la poitrine, mais avec plus de douceur, cette fois.

 

– Je vois que ça te plaît, maintenant !

 

Carole ne put qu’opiner de la tête, sans voix, s’abandonnant aux caresses saphiques de la jeune soubrette qui déjà délaissait la blessure pour pousser sa tête plus haut, vers la fente humide. Elle l’atteignit bientôt et poursuivit ses dévotions buccales avec une endurance étonnante. Très vite, Carole ne put plus contenir son émotion, ses lèvres s’écartant à l’encontre de sa volonté pour accueillir la douce caresse. Du bout de la langue, Annie entreprit de titiller le clitoris qui quitta son enveloppe et durcit. C’était plus qu’il n’en fallait et le vagin de Carole se mit à dégorger une mouille épaisse; elle jouissait sans retenue.

 

Quand elle eut récupéré, Carole sentit que ses liens se desserraient; la « mouche » allait-elle la libérer ? La réponse ne se fit guère attendre car elle dit :

 

– J’espère que cela te servira de leçon ! Ou tu es avec moi ou tu es contre moi, il te faut choisir dès maintenant…

 

Carole considéra la situation sans répondre. A ses pieds, Annie était toujours agenouillée, soumise; à ses côtés, Madame Isabelle se tenait avec toute la grandeur que chacun connaissait maintenant. Les plaisirs inconnus qui l’avaient submergé n’étaient-ils que la pointe de l’iceberg ?

 

– Que devrais-je faire ? demanda-t-elle.

– Tout ce que je t’ordonnerai, tu seras, selon ma volonté et mon humeur, ou dominatrice ou soumise.

– Pourquoi pas, si c’est un jeu ! Fit-elle sans trop savoir dans quel tourbillon de turpitudes elle allait s’engager.

 

Madame Isabelle termina de défaire ses liens, puis l’aida à se lever de la chaise où elle fit asseoir la soubrette dans la même position que la première infortunée. Tendant les cordes à Carole, elle lui fit signe de l’entraver :

 

– Voyons comment tu te débrouilles…

 

Malgré des gestes mal assurés, Carole attacha les chevilles d’Annie aux pieds de la chaise, puis lui lia les mains derrière le dossier, mais contrairement à la « mouche », sans utiliser les circonvolutions du bois pour l’immobiliser complètement. Cependant, la soubrette ne semblait nullement désireuse de tenter de se libérer, n’ignorant sans doute pas que toute velléité de rébellion se retournerait contre elle. Son ligotage complété, Carole s’aperçut qu’il lui restait un bon mètre de corde dont elle ne voyait guère l’utilité.

 

– Pas trop mal pour une débutante, déclara Madame Isabelle.

 

Ignorant quoi faire d’autre, Carole étreignait toujours le bout de corde inutile.

 

– Attaches-lui les seins avec ce qui reste ! Ordonna la maîtresse.

– Lui attacher les seins ? Fit Carole sans comprendre.

 

La « mouche » soupira, puis laissa échapper un petit rire avant d’ajouter :

 

– Tu as beaucoup de choses à apprendre. Je vois que tu n’as pas dû passer beaucoup de temps à parcourir les sites spécialisés sur Internet…

 

Carole fit non de la tête, se rappelant vaguement son étonnement lorsqu’elle avait plus ou moins par hasard abouti sur un site pornographique agrémenté de corps de femmes dénudés et ficelées.

 

S’emparant du bout de corde, Madame Isabelle se posta derrière la chaise pour lui faire une démonstration. Tout d’abord, elle serra les liens au maximum ce qui lui permit d’ajouter quelques centimètres à ce qu’elle avait sous la main. Annie poussa une légère plainte en percevant son immobilisation plus complète.

 

Utilisant les deux mains, la « mouche » fit glisser le cordage autour des épaules de la jeune femme, puis le laissa couler vers le buste. Des deux mains, elle étira le lien qu’elle fit passer, de part et d’autre, sous les seins, puis les ramena vers le haut entre les deux globes, puis de nouveau, autour de ceux-ci et ainsi de suite. Elle fit plusieurs tours avant de compléter son ouvrage en nouant les deux extrémités du cordage pour en assurer la stabilité.

 

Avec stupéfaction, Carole avait vu les seins de la jeune femme se gonfler sous l’afflux de sang et prendre une teinte de plus en plus rosée.

 

– C’est joli, n’est-ce pas ? Interrogea la « mouche ».

 

Annie2Son invitée ne savait que dire. Elle n’arrivait pas à détacher son regard des seins d’Annie qui, de plus en plus, prenaient l’apparence de ballons bien gonflés. L’air crispé de la soubrette la renseignait assez sur la douleur qu’elle devait éprouver, mais qu’il lui fallait supporter en silence.

 

Madame Isabelle passa devant et effleura des doigts la poitrine ligotée, ce qui arracha à sa propriétaire un sursaut.

 

– Viens toucher ! ordonna-t-elle à son invitée.

 

A petits pas, Carole s’approcha et tendit la main droite, retardant le plus possible le moment où ses doigts viendraient en contact avec les globes de chair. Finalement, elle s’enhardit et toucha le sein gauche. La soubrette sursauta encore une fois. Sa peau était moite, chaude et très dure à cause de la constriction. Carole n’avait jamais rien ressenti d’aussi étrange.

 

Coupant court, la maîtresse alla chercher sa cravache et quelques autres objets. Quand elle fut de retour, elle montra à son invitée ainsi qu’à la suppliciée deux épingles à linge en bois. Annie devait bien connaître la destination de ces accessoires car elle se tortilla dans ses liens en montrant tous les signes de la peur. Ignorant ces soubresauts, la « mouche » se tourna vers son invitée et lui tendit les épingles à linge en ordonnant :

 

– Tu vas lui mettre ces épingles sur les mamelons !

 

Carole fut saisi d’un tremblement en s’approchant de la soubrette; elle ne savait trop comment s’y prendre.

 

– Il vaut mieux lui stimuler les mamelons avant pour qu’ils soient bien érigés, expliqua la maîtresse. Suce-les-lui ! Et dépêches-toi car si tu tardes trop, le gonflement des seins sera tel qu’il ne permettra pas aux mamelons de darder…

 

Faisant diligence, Carole se pencha sur les globes qui devenaient de plus en plus monstrueux et elle entreprit une succion rapide du mamelon gauche qui finit par se dresser d’excitation. Sans attendre, elle ouvrit l’épingle à linge entre le pouce et l’index et la mit en place, laissant les mâchoires de bois se refermer sur l’éminence toute rouge. Rapidement, elle s’attaqua au droit qui lui donna du fil à retordre car, ainsi que lui en avait fait mention Madame Isabelle, la congestion commençait à durcir dangereusement le sein. Elle compléta cependant sa tâche dans le double du temps et Annie se retrouva avec les deux épingles à linge aux mamelons et les globes toujours bien ficelés et de plus en plus rouges.

 

– Maintenant, décréta Madame Isabelle, nous allons nous amuser un peu pour la punir de sa maladresse… Tire sur les épingles !

 

Obéissante, Carole s’empara de l’extrémité des épingles à linge et, en alternance, les tira vers elle. Annie tentait de se tendre pour réduire la tension, mais elle n’y parvenait guère et ce, au prix d’efforts exténuants. Durant plusieurs minutes, le petit jeu se poursuivit, Carole prenant de l’assurance et optant pour des gestes moins prévisibles et moins répétitifs, tirant vers le haut, puis vers le bas, réussissant à exaspérer la jeune femme.

 

Soudain, la maîtresse intervint, jugeant que cela avait suffisamment duré :

 

– Ça suffit, comme ça !

 

Trop heureuse d’arrêter cet exercice sadique, Carole cessa et s’éloigna, laissant la place à l’autre femme qui s’approcha, toujours armée de sa cravache.

 

– Alors, petite salope, fit-elle en s’adressant à sa soubrette, tu aimes ça ?

 

Trop endolorie pour répondre, Annie roula des yeux effarés. Pour l’obliger à parler, elle prit l’épingle à linge qui ornait le mamelon droit et lui fit faire un mouvement de rotation qui lui arracha un cri.

 

– Je t’ai posé une question, salope. Allons, réponds !

– Oui… oui… Maîtresse ! J’aime ça, je suis votre esclave !

 

Satisfaite, Madame Isabelle entreprit de chatouiller chaque sein du bout de sa cravache, initiant une sensation trouble dans le corps de la suppliciée.

 

– Maintenant, il faut te débarrasser de ces breloques !

 

Pour ce faire, la « mouche » allait utiliser la manière forte. D’une main experte, elle leva la cravache et frappa à plusieurs reprises les globes de chair jusqu’à ce que les épingles, touchées, volent dans la rotonde. Les seins d’Annie, marqués de nombreuses lignes sombres, prenaient une couleur encore plus sombre, tournant au violacé.

 

Jugeant la punition suffisante, Madame Isabelle se hâta de défaire les liens de la jeune femme tout en gardant le bondage des seins pour la fin de la libération. Les globes tuméfiés pendaient lamentablement, marqués par les coups de cravache et les anneaux de cordes. On la fit mettre à genoux et marcher à quatre pattes pour demander pardon à l’invitée qui acquiesça sur un signe de la « mouche ».

 

Annie fut renvoyée à ses tâches ménagères et les deux autres femmes demeurèrent seules dans la rotonde du sous-sol.

 

Carole se sentait étrangement excitée par le spectacle que l’on venait de lui présenter. En un sens, elle commençait à se demander si elle n’aurait pas préféré jouer le rôle de la suppliciée plutôt que de la tortionnaire. Peut-être qu’un autre jour, elle aurait la chance d’explorer cette autre facette de cette sexualité débridée à laquelle elle se voyait confrontée.

 

Madame Isabelle s’affala de tout son long sur une banquette recouverte de velours rouge. Elle écarta les jambes et intima à Carole l’ordre de venir la lécher.

 

– Viens ma pute, viens me faire jouir.

 

Sans hésiter une seconde, Carole vint loger son visage entre les cuisses accueillantes de la « mouche », de sa langue agile elle lapa les sucs qui s’échappaient de sa chatte trempée. Lorsque Madame Isabelle commença à gémir, Carole vint titiller le clitoris effrontément érigé. La jouissance fut fulgurante, à l’instar d’un diablotin surgissant de sa boite, elle se jeta dans les bras de celle qui venait de lui donner du plaisir et les deux femmes s’échangèrent un baiser brûlant.

 

Carole pensait qu’à ce moment, la « mouche » lui rendrait la pareille, mais cela ne devait pas être dans ses intentions immédiates.

 

– On voit que tu as l’habitude ! Lui dit Madame Isabelle.

– J’ai eu quelques copines…

– Lesbienne exclusive ?

– Presque.

– J’avais deviné ! Tu sais j’ai fait des études de psychologie, souvent je sais percer la personnalité des gens même s’il veulent la cacher. Il ne m’a pas été bien difficile de deviner tes penchants pour les femmes, pour ton côté maso, c’était davantage caché… mais pas assez.

– Tu es très forte ! Se gaussa Carole.

– Et dis-moi, ta fille elle est comme toi ?

– Et qu’est ce que ça peut te foutre ?

– Mais dis donc, comment tu me parles ? C’est une punition que tu veux ?

– Pourquoi pas ? Mais laisse ma fille tranquille.

– D’accord, écarte tes jambes, c’est à mon tour de te donner du plaisir.

 

« La mouche » était une redoutable lécheuse, et tandis que sa langue entrait en action, son index venait forcer le trou intime en lui imprimant une bonne cadence. Après trois minutes de cunnilingus combiné au doigtage anal, Carole partit dans un orgasme bruyant.

 

Une nouvelle fois les deux femmes s’étreignent, s’embrassent et s’échangent de douces caresses.

 

– Dis-moi pour ta fille, j’ai envie de savoir !

– Merde !

 

Carole ne vit pas venir la gifle.

 

– Fous-moi le camp ! Lui dit « la mouche »

– T’a raison, j’ai assez perdu de temps ici !

– Tu ne disais pas ça tout à l’heure !

 

Carole ne répliqua pas et se rhabilla, Etait-ce un tour de son subconscient, toujours est-il qu’au lieu de se vêtir de la robe bizarrement nettoyée par Annie, elle enfila la jupe de cuir prêtée par la « mouche ».

 

– Je peux récupérer mon manteau ?

– Là-haut !

 

Elle remontèrent en silence, Madame Isabelle disparut quelques secondes et revint avec le manteau qu’elle balança par terre d’un geste rageur.

 

– C’est dommage quand même on aurait pu établir une relation intéressante… Je te laisse ma carte au cas où…

– Tu peux te la foutre au cul ! Sale bourgeoise !

 

Le lendemain

 

L’épisode neigeux n’avait pas cessé. Carole s’en voulait d’avoir quitté la « mouche  » sur un coup de tête. Elle n’avait pas pris sa carte, mais saurait la retrouver à son adresse.

 

« Si elle veut encore de moi ! » Se dit-elle.

 

Elle eut l’idée d’aller se déstresser dans la salle de sport encore quasi déserte aujourd’hui. Après quelques exercices d’échauffement avec les appareils, elle se retourna. La « mouche » était là ! Leur regard se croisèrent, la « mouche » toisa Carole de toute sa hauteur avec un sourire narquois.

 

Carole s’approcha tremblante.

 

– Suis-moi ! Lui dit la « mouche ».

 

Madame Isabelle entra dans une cabine de toilette, invita Carole à la suivre, puis verrouilla la porte.

 

– Alors ? Demanda simplement le « mouche ». Qu’as-tu à me dire ?

– Tu m’avais posé une question, alors je e réponds : ma fille est comme moi attiré par les femmes !

– Et est-elle aussi maso que toi ?

– Sans doute même davantage !

– Et comment tu le sais…

– Peu importe…

– Tu t’es amusé à des petits jeux maso avec elle, c’est ça ?

– Ben…

– Et comme ça vous a bien excité toutes les deux, vous avec même été un peu plus loin, j’ai bon ?

– T’es une sorcière !

– Invite-moi chez toi, j’aimerais la connaître, on improvisera, on ne fera peut-être rien, mais si ça la branche on la conduira chez moi et on s’amusera toutes les trois.

– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?

– Bien sûr que je me rends compte ! Tu me donnes ton adresse et tu me dis à quelle heure je peux passer.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 5 novembre 2021 5 05 /11 /Nov /2021 15:32

La mouche – 1 – Madame Isabelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Domina

Carole est une belle femme brune d’une quarantaine d’années. Divorcée, assez mince, son 1,70 m ne laissait apparaître aucun embonpoint, mais il faut dire qu’elle entretenait son corps régulièrement par l’exercice physique.

 

Mère d’une jolie fille prénommée Elodie et qui avait maintenant 19 ans. elle s’astreignait à fréquenter le gymnase municipal de sa banlieue dès l’aube car il n’y avait que très peu de participants à cette heure-là. Ainsi, elle espérait maintenir sa ligne et sa forme. Détentrice d’une maîtrise en sciences appliquées, avait trouvé un boulot comme chargée de cours à l’université qu’elle avait jadis fréquentée et où elle avait conservé de bons contacts.

 

Comme tous les mardi matin depuis plusieurs mois, Carole gara sa petite voiture dans le stationnement du centre sportif et elle s’empressa de gagner la chaleur du grand bâtiment car il ne faisait guère plus de 5° C en ce jour de mars.

 

Mais avant d’aller plus avant il nous faut parler d’Elodie. Un jour celle-ci revint à la maison avec la mine déconfite. Evidemment Carole fit ce qu’aurait fait toute mère attentive et s’enquit de savoir ce qui se passait. Mais la jeune fille restait désespérément muette et monta dans sa chambre où elle s’alita sans prendre la peine de se vêtir d’un vêtement de nuit. Carole se dit alors qu’il fallait laisser passer l’orage et vaqua à ses occupations, se fit à diner puis monta se coucher et se déshabilla.

 

C’est alors qu’elle entendit les sanglots de sa fille. Et c’est complètement nue qu’elle pénétra dans sa chambre.

 

– Tu ne peux rester dans cet état ! Dis-moi ce qu’il t’arrive, ça te fera du bien de te confier.

 

Et cette fois Elodie eut envie de parler, en fait il s’agissait d’un banal chagrin d’amour. Banal mais néanmoins douloureux.

 

Carole se fit câline pour tenter de la consoler sans se rendre vraiment compte que ses câlins devenaient de plus en plus sensuels et qu’Elodie loin de les repousser en redemandait.

 

– C’est bon ce que tu me fais Maman, j’ai envie d’avoir mal, pince-moi les seins, donne-moi la fessée.

– Mais ma fille, tu es folle !

– Non, ça va me faire du bien. Je préfère avoir mal de cette façon que de penser à l’autre salaud…

 

Elle avoua un peu plus tard que le salaud en question était en fait « une salope’.

 

– Tu vas avec les filles alors ?

– Oui, et sans vouloir te vexer, tu es assez mal placée pour me le reprocher

– Pardon !

– Tu caches bien ton jeu, maman, mais pas assez.

– Dis donc petite peste, tu parles à qui en ce moment ?

– Oh pardon maman, punis-moi, je le mérite !

 

Carole se mit à fesser le jeune cul, puis se prit au jeu à ce point que les deux femmes, terriblement excitées par le promesse de cet acte incestueux se retrouvèrent en position de soixante-neuf en train se lécher le sexe.

 

– J’ai honte, je ne sais pas ce qui m’a pris ! Dit Carole après avoir joui comme une forcenée.

– Tu n’as pas à avoir honte, et j’espère bien que nous recommencerons.

 

Effectivement, elles recommencèrent, à chaque fois Elodie exigeait que sa mère lui fasse des « petites misères ». C’était devenu leur secret à toutes les deux…

 

Revenons à notre récit

 

Le gardien du centre sportif lui ouvrit la porte, la gratifiant d’un sourire qu’elle lui rendit sans même y penser réellement. Elle se hâta vers le pavillon abritant le gymnase, fit une brève pause au vestiaire pour passer son léotard noir, puis elle se dirigea vers la salle d’exercices encombrée de plusieurs appareils de musculature.

 

Sans surprise, elle ne vit qu’une poignée de lève-tôt à son image, deux autres femmes qu’elle reconnaissait de vue et le double d’hommes qui soufflaient en soulevant des poids. Comme elle n’était pas là pour lier conversation, Carole se dirigea vers l’aire réservée aux exercices d’assouplissement et qui n’était pas occupé. Elle procéda à quelques étirements statiques pour se mettre en forme. Elle s’allongea ensuite sur un matelas de caoutchouc et elle effectua quelques exercices pour ses abdominaux. Bien réchauffée au terme d’une dizaine de minutes, Carole marcha vers le mur recouvert d’espaliers où elle poursuivit sa mise en forme.

 

Carole sursauta lorsqu’elle entendit une voix de femme à côté d’elle. A son habitude, Carole avait choisi un coin désert pour mieux se concentrer et elle n’avait pas entendu l’autre femme s’approcher. Sans trop avoir compris la phrase qui lui était adressée, elle tourna la tête vers la gauche tout en poursuivant ses exercices d’étirements. Elle découvrit une jeune femme, vingt-cinq ans environ à vue d’œil, les cheveux bruns comme elle, mais beaucoup moins grande et aux formes rebondies.

 

– Pardon ? s’excusa Carole.

– Je vous demandais si c’était votre première visite ici ? Lui répondit l’autre femme.

– Oh ! non, je viens tous les mardi avant d’aller travailler…

– Ah bon ! Moi, c’est ma première journée, je croyais qu’il y aurait beaucoup plus de monde.

– Pas à cette heure-ci, mais si vous restez un bon moment, vous verrez beaucoup de gens, surtout avant l’heure du dîner. L’exercice met les gens en appétit, vous savez…

 

Comme le temps passait, Carole laissa les espaliers de côté et elle se dirigea vers le cheval-sautoir où elle procéda à trois ou quatre sauts avant de passer aux appareils musculatoires. Sans y attacher quelque importance, elle remarqua que l’inconnue l’avait suivie d’une zone à l’autre. Elle se dit qu’elle devait être un peu perdue et qu’elle souhaitait lier conversation. Mais Carole tenait à poursuivre sa routine et ne fit aucun effort pour encourager sa compagne. Elle se contenta de répondre à ses interrogations, mais sans trop en ajouter.

 

L’inconnue procédait d’une manière qui lui parut un peu étrange. Lorsque le double d’un appareil était disponible, elle l’utilisait à condition qu’elle puisse voir Carole de sa position. Chaque fois que Carole utilisait un appareil quelconque qui n’avait pas de double, elle se postait à côté d’elle et elle attendait qu’elle ait terminé pour prendre sa place. Carole fut tentée de lui proposer d’utiliser un quelconque appareil un peu plus loin, mais craignant de paraître désagréable, elle n’en fit rien.

 

Le tout se poursuivit durant une bonne heure, sans que l’inconnue ne se lasse de son manège. Plutôt que de déclencher une scène pour si peu, Carole décida de mettre un terme à sa séance d’exercice et elle marcha d’un pas décidé vers le vestiaire.

 

« Il y en a qui ne connaisse pas les bonnes manières, » se dit-elle en retirant son léotard avant de se diriger vers les douches.

 

Décidant de chasser de sa mémoire le souvenir de l’inconnue, Carole pénétra dans la seconde cabine de douche où elle actionna le robinet pour déclencher le jet d’eau chaude. Tout en se savonnant, elle crut sentir une présence derrière elle, mais crut que son imagination lui jouait des tours.

 

Elle avait réussi à concentrer ses pensées sur les tâches qui l’attendaient à l’université lorsqu’elle pivota dans l’enceinte de douche pour se rincer. Avec une surprise doublée d’un soupçon de colère, elle découvrit l’inconnue occupant la cabine opposée, se douchant avec application.

 

« Une vraie mouche ! » pensa Carole en quittant précipitamment la salle des douches.

 

Carole se hâta d’enfiler ses vêtements après s’être rapidement séchée de peur que l’inconnue ne la rejoigne. Elle fit si bien qu’elle put quitter les lieux sans plus être embêtée ce jour-là. Chassant de sa mémoire la situation un peu loufoque qu’elle venait de vivre, elle gagna l’université pour se mettre au travail. Elle oublia tout jusqu’à l’heure du lunch où son groupe de filles discutaient à tort et à travers des gens qui ne savent pas se conduire en société. Elle leur raconta son aventure en riant et baptisant l’inconnue pour la seconde fois de « mouche ».

 

– Mouche à merde ! rajouta l’une de ses compagnes qui n’avait pas l’habitude de mettre des gants blancs pour poser des épithètes sur les gens.

 

Si Carole avait pu se concentrer avec succès durant la matinée, il en alla tout autrement ensuite. L’image de l’inconnue la poursuivit durant le reste de la journée et elle y pensait encore lorsqu’elle regagna son domicile. Pour tenter de chasser cette pensée de son subconscient, elle appela Elodie sous un prétexte futile et lui parla durant une dizaine de minutes. Elle préféra passer sous silence sa rencontre fortuite du matin, mais elle ne réussit pas à oublier l’importune.

 

Elle rentra, Elodie avait préparé le diner qu’elles partagèrent. Carole s’approcha langoureusement de sa fille et lui offrit sa bouche. Elodie ne la refusa pas mais lui fit comprendre qu’elle avait besoin de sommeil. Elle n’insista pas, alla s’affaler devant la télévision, zappant frénétiquement. Finalement, exténuée, elle gagna son lit.

 

***

 

Vers deux heures du matin, Carole s’éveilla trempée malgré la température hivernale. Elle se remémora le rêve qu’elle venait de faire qui tenait bien davantage du cauchemar. Avec colère, Carole serra les poings, se souvenant soudain des événements du matin précédant. Dans son rêve, l’inconnue la poursuivait avec encore plus d’insistance que dans la réalité. A de nombreuses reprises, la Carole onirique n’avait pu échapper à l’étreinte de la « mouche » qu’au prix de continuels déplacements rendus difficiles par l’état vaporeux qui l’entourait.

 

Carole résolut de ne pas retourner à sa séance d’exercices la semaine suivante de peur d’y retrouver l’inconnue. Toutefois, le jour venu, elle avait oublié sa résolution et se retrouva à l’heure habituelle à l’entrée du centre sportif. Celui-ci était encore plus désert qu’à l’habitude car il neigeait plutôt fort ce matin-là; en fait, Carole se retrouva seule au milieu des appareils.

 

Comme à son habitude, Carole se changea, puis elle débuta sa période de réchauffement. Elle sursauta légèrement lorsqu’une voix bien connue se fit entendre à ses côtés :

 

– Quelle tempête, ce matin ! Un peu plus et je serais arrivée en retard…

 

Carole chercha à ne pas laisser paraître son trouble, mais elle ne répondit rien. Puis tout se déroula comme une exacte répétition de la semaine précédente, l’inconnue accompagnant Carole d’appareil en appareil, copiant ses exercices avec un mimétisme bizarre.

 

Carole décida de ne pas laisser libre cours à son imagination et elle entreprit de scruter le visage de la « mouche » alors qu’elle s’affairait sur un appareil renforçant les abdominaux. Sans chercher à dissimuler ses regards, Carole voulait s’imposer face à sa compagne. L’inconnue la regardait aussi en s’ingéniant sur son appareil. Il lui semblait qu’elle lui décochait des regards étranges et chargés de mystère.

 

Encore une fois, Carole préféra abréger la séance et elle abandonna sa compagne pour se diriger vers les douches. Certaine d’être suivie, elle ne se retourna à aucun moment et elle pénétra dans la même cabine de douche qu’elle avait utilisée la semaine dernière. Cette fois cependant, elle attendit impassible que retentisse le bruit du jet d’eau dans la cabine opposée pour actionner la manette. Elle s’aperçut qu’elle tremblait et elle laissa échapper sa savonnette qui roula sur la plancher de la salle. Carole posa un pied hors de l’enceinte et elle s’inclina pour atteindre la barre de savon visqueux, mais une autre main que la sienne la lui tendait déjà. Carole leva les yeux vers la « mouche » et la remercia machinalement :

 

– Merci.

 

L’inconnue dut se sentir en confiance car elle s’approcha doucement et elle pénétra dans le cubicule où le jet d’eau chaude continuait de couler sur le corps enduit de savon de Carole. Celle-ci, trop surprise d’une telle désinvolture, recula d’un pas, mais se retrouva dos au mur de céramique. L’autre ne se laissa pas distraire de son but et se colla amoureusement contre elle, plaquant ses lèvres sur celle de Carole qui la repoussa faiblement en soufflant :

 

– Non, c’est mal !… Je vous en prie, laissez-moi !

– Je ne sais pas si c’est mal, mais vous en mourrez d’envie ! Répondit « la mouche » en portant sa main sur le sexe de Carole.

– Vous me laissez ou je fais un scandale !

 

Un peu surprise du succès de sa parade, Carole vit l’inconnue la laisser à sa douche et aller reprendre place dans le cubicule opposé où elle continua de la dévisager avec un amusement discret. Carole aurait voulu hâter sa tâche, mais il lui semblait que ses bras étaient devenus de plomb. Elle se força cependant à terminer sa toilette, puis elle se dirigea d’un pas mal assuré vers le vestiaire.

 

La « mouche » la rejoignit avant qu’elle n’ait terminé de passer ses habits de ville. Carole en était à passer sa jupe plissée lorsque l’inconnue passa devant elle pour parvenir au casier qu’elle occupait. Elle en profita pour effleurer sa taille de l’envers de la main droite; Carole frissonna, mais ne dit rien. La mouche gagna sa place et ouvrit le casier métallique d’où elle extirpa, à la surprise de Carole, un très joli tailleur gris digne d’une femme fortunée; sans savoir pourquoi, elle s’était imaginé que l’importune ne pouvait avoir qu’une tenue négligée. Carole détourna son regard, compléta son habillement et elle quitta les lieux non sans avoir noté que la « mouche » achevait également de revêtir ses habits civils. Elle allait devoir faire vite si elle ne voulait pas la croiser en sortant. Malheureusement pour elle, Carole s’aperçut en mettant le pied hors du centre sportif que la forte neige du matin s’était rapidement transformée en véritable blizzard. Il lui fallut écarquiller les yeux pour reconnaître sa petite voiture sous l’amoncellement blanc.

 

Elle téléphona à l’université, on lui confirma qu’il n’y aurait aucun cours aujourd’hui.

 

– Eh bien ! fit une voix à côté d’elle, ce serait une excellente occasion pour faire connaissance !

 

Evidemment, Carole tourna la tête du côté d’où provenait la voix pour y retrouver la « mouche ». Chaudement coincé dans un manteau de fourrure, l’inconnue la fixait avec son sourire énigmatique.

 

– Je vous demande pardon ? fit Carole, un peu éberluée par tant de sans-gêne.

– Si nous allions nous réchauffer devant un café, nous pourrions nous présenter et discuter un peu… Et c’est moi qui vous invite, je vous dois bien ça !

 

Carole ne sut jamais quel était le petit lutin facétieux qui lui fit accepter cette invitation. Délaissant sa voiture qui aurait nécessité davantage de temps de déglaçage, elle monta avec la « mouche » dans sa petite voiture 4 X 4 haut perchée qu’elle avait eu le bonheur d’abriter hors des vents dominants. Quelques minutes plus tard, elles roulaient sur les grands boulevards pratiquement déserts. Carole avait cru qu’elles se seraient arrêtées dans un quelconque fast-food, mais la « mouche » opta pour un grand restaurant huppé doté de larges banquettes confortables et où elle semblait connue de la maison. Elles furent conduites dans une salle à l’écart où on leur apporta des gâteaux et du café. Par politesse, Carole prit une brioche, mais elle ne la toucha qu’après un long moment, buvant plutôt son café fort tout en scrutant le visage de l’inconnue.

 

Le maître d’hôtel vint les saluer, s’attardant davantage auprès de la « mouche » auquel il s’adressa en l’appelant Madame Isabelle.

 

Une fois l’homme parti, Madame Isabelle se dépouilla de son manteau de fourrure et elle se tourna vers Carole pour entamer la discussion.

 

– Comme vous venez de l’apprendre, on m’appelle Madame Isabelle. J’aimerais bien connaître votre nom, chère amie…

– Carole, répondit la jeune femme sans faire de mystère.

– Prof ?

– Non, je suis auxiliaire de recherches à l’université. Et vous ?

– J’ai la chance de vice de mes rentes, j’ai bénéficié d’un bel héritage. Je suis célibataire et un peu gouine, vous voyez, j’annonce la couleur. Non ne dites rien, je n’ai pas l’intention de vous sauter dessus. Parlez-moi de vous.

– Divorcée, une fille de 19 ans.

– Et vous vous entendez bien avec votre fille ?

– Oh oui, aucun problème !

 

Carole se demanda si son enthousiasme à faire cette réponse pouvait laisser deviner quelle genre d’entente elle pratiquait et voulu détourner la conversation, mais « la mouche » la relança.

 

– Vous avez une photo de votre fille !

– Non ! Mentit Carole !

– Allons vous en avez forcément une dans votre téléphone, mais rien ne vous oblige à me la montrer.

 

Carole, déstabilisée, lui montra une photo.

 

– Hum, 19 ans, belle fille, elle doit être coquine ?

– Je préférerais que l’on parle d’autre chose ! Répondit Carole en rougissant comme une pivoine.

– Mais bien volontiers !

 

Au terme d’une bonne heure de conversation amicale, Carole déclara vouloir rentrer.

 

– Puisque j’ai ma journée de libre, je vais en profiter pour me reposer un peu…

 

Madame Isabelle allait ramener Carole au centre sportif où elle avait abandonné son véhicule, lorsqu’elle se tourna vers elle pour lui proposer :

 

– Puisque vous avez quartier libre jusqu’à demain, pourquoi ne viendriez-vous pas chez moi ? Nous pourrions poursuivre cette agréable conversation et je vous avoue que je n’ai guère le loisir de parler à beaucoup de monde.

– Je crois deviner vos intentions.

– N’ayez crainte, je ne vous violerais pas !

– Alors pourquoi pas ! répliqua Carole.

 

Trop heureuse d’être parvenue à ses fins, Madame Isabelle donna un coup de volant pour changer de direction et le véhicule se dirigea vers les hauteurs de la ville, là où se retrouvent les quartiers les plus huppés. Tout le long du trajet, elle se montra empressée à renseigner sa compagne sur les bâtiments qu’ils croisaient ou les secteurs qu’ils traversaient comme si elle voulait à tout prix l’empêcher de réfléchir et de regretter sa décision.

 

Malgré le blizzard, il ne leur fallut guère plus d’une vingtaine de minutes pour atteindre leur destination. Carole fut fort secouée de constater que la jeune femme d’à peine trente ans était la propriétaire d’un véritable domaine de plusieurs hectares ceinturé d’un boisé touffu au centre duquel se dressait un véritable manoir. Haut de deux étages, avec un toit en croupe bordé de cheminées symétriques, la résidence avait fière allure.

 

Madame Isabelle laissa le 4 X 4 au pied de l’escalier monumental et invita sa compagne à la suivre. Sans qu’elle n’ait eu besoin d’utiliser sa clef, la porte d’entrée s’ouvrit pour les laisser entrer. Une jeune femme blonde, un peu boulotte et frisée comme un mouton, guère plus âgée que la propriétaire, vêtue d’une tenue de soubrette noire avec un petit napperon blanc les accueillit et les débarrassa de leurs manteaux.

 

– Voici ma domestique préférée, expliqua la « mouche ». Elle se prénomme Annie et elle fera tout en son pouvoir pour que votre séjour soit le plus agréable.

 

En entendant cela, Annie baissa les yeux, mais elle ne dit rien et elle se dirigea vers la cuisine pour préparer le dîner.

 

– Le problème de ces grandes maisons, c’est l’entretien, on est obligé de gérer du personnel, ce n’est pas toujours évident, voyez-vous ?

 

Carole ne répliqua pas trouvant parfaitement incongrue cette remarque déplacée de la part d’une personne socialement favorisée.

 

Madame Isabelle entraîna Carole à sa suite sans prendre la peine de se débarrasser de la veste de son tailleur. Elle lui fit visiter le rez-de-chaussée, puis l’étage des chambres. Carole s’émerveillait de tant de richesses. Elles allaient descendre pour visiter les caves lorsque la clochette annonçant le repas retentit. Remettant la suite de la visite à plus tard, les deux femmes se dirigèrent vers la salle à manger où deux couverts avaient été dressés face à face.

 

Poussant un chariot dont une soupière fumante était le seul passager, Annie apparut, venant de la cuisine et se dirigea vers la maîtresse de maison qui en souleva le couvercle pour dire :

 

– Bisque de homard, j’espère que vous aimez…

 

Carole opina en souriant car elle n’avait guère le loisir (et aussi les moyens) de savourer des plats aussi distingués et de plus, elle avait l’estomac dans les talons, après une matinée d’exercices.

 

Annie se dirigea vers elle avec le chariot. Elle prit son bol et l’approcha de la soupière fumante pour le remplir à l’aide d’une louche. Carole s’aperçut que la jeune domestique tremblait, sans doute en raison de la chaleur des ustensiles. Ce qui devait arriver arriva : au moment où Annie allait redéposer le bol fumant de bisque, elle fit un faux mouvement et une partie du contenu coula sur la cuisse gauche de Carole qui ne dut qu’à l’épaisseur du tissu de sa jupe de ne pas être ébouillantée. Elle ne put cependant réprimer un cri de douleur lorsque le liquide brûlant eut passé au travers.

 

– Aie ! cria-t-elle, saisie d’un tremblement fulgurant.

– Maladroite ! hurla Madame Isabelle.

– Je… je suis désolée, Madame… J’ai fait un faux mouvement et …

– Inutile, idiote, reprit la « mouche » en la toisant d’un regard d’une dureté implacable. Tu seras punie pour ça !

 

Le visage d’Annie se marqua d’une couleur rouge brique, mais elle ne répliqua rien. Revenue de sa douleur, Carole se leva et elle épongea le potage de sa jupe plissée à l’aide de sa serviette. Madame Isabelle contourna la table et vint vérifier les dégâts. Elle souleva la jupe maculée et passa un doigt sur le collant recouvrant la cuisse rougie par la brûlure.

 

– Inutile d’en faire tout un plat, dit Carole. Je me brûle souvent sur l’abattant du fourneau de la cuisinière, chez moi, dans quelques jours il n’y paraîtra plus…

– Sur votre cuisse, peut-être, déclara Madame Isabelle, mais je doute qu’il en soit de même pour les fesses d’Annie.

– Qu’allez-vous lui faire ? C’est inutile, voyons ! C’était un incident fortuit…

– Croyez-vous ?

 

Carole ne sut que répondre. Elle regarda vers Annie qui avait déjà tourné les talons en direction de la cuisine. Se pouvait-il que la jeune femme l’ait fait exprès ? Dans quel but ?

 

Le repas se poursuivit sans autre incident. La « mouche » ne fit aucun autre commentaire et se comporta en hôtesse exemplaire, proposant même de faire laver la jupe par Annie comme partie de sa punition. N’y voyant là rien de bien compromettant, Carole accepta. Madame Isabelle la conduisit à sa chambre où elle lui prêta un vêtement de rechange. Il s’agissait d’une jupe de cuir très moulante qui ne lui venait qu’à mi-cuisse; heureusement qu’elle n’allait pas devoir repartir dans cette tenue car elle serait certainement morte de froid. Elle quitta sa jupe plissée et passa le vêtement de cuir dont l’odeur lui étreignit les narines. Madame Isabelle assista à son changement de vêtements et la regarda tout comme au vestiaire, avec un sourire amusé.

 

– Si nous en profitions pour poursuivre la visite, proposa-t-elle en l’entraînant dans les escaliers.

 

Lui emboîtant le pas, Carole se tint coite.

 

Etrangement, les deux femmes retrouvèrent Annie qui se tenait à côté de la lourde porte donnant accès au sous-sol. Madame Isabelle lui tendit le vêtement souillé en disant :

 

– Tiens, petite sotte. Tu vas laver la jupe de notre invitée.

– Oui, Madame, répondit-elle d’une petite voix tremblante.

 

Carole regretta d’avoir accepté l’offre de nettoyage, tant cela semblait causer quelques craintes à la jeune fille. Madame Isabelle souleva la lourde clenche de la porte qui tourna silencieusement, ses gonds bien huilés. Carole sursauta en découvrant un escalier et des murs de pierre taillée; cela jurait avec le reste de la demeure qui se révélait moderne. Les trois jeunes femmes descendirent lentement la quinzaine de marches, Madame Isabelle devant, Carole au milieu et Annie en arrière-garde, étreignant toujours la jupe plissée.

 

Avec incrédulité, Carole découvrit un lieu incroyable au bas de l’escalier. Une rotonde occupait tout le centre du sous-sol avec des portes donnant sur des locaux sombres qui semblaient tenir de vulgaires cachots avec leur petite ouverture grillagée. Carole se sentit immédiatement apeurée.

 

Mouche a– N’ayez crainte, chère amie, lui dit la « mouche ». Vous ne risquez rien… C’est Annie qui a le plus à craindre.

 

Carole allait ouvrir la bouche pour parler, mais Madame Isabelle l’en empêcha d’un mouvement de la main et tendis le doigt en direction d’Annie. Carole pivota pour se rendre compte que la soubrette s’était agenouillée sur les pavés de pierre lisse.

 

La « mouche » s’approcha d’elle doucement, lui retira la jupe des mains et lui dit :

 

– Qui es-tu, petite fille ?

 

Sans la regarder, Annie se prosterna, mains jointes, tête baissée comme en un geste d’adoration pour répondre :

 

– Maîtresse, je suis votre esclave !

 

***

 

Avec une surprise évidente, Carole découvrait une partie des liens particuliers qu’entretenaient Mme Isabelle et Annie. Une petite voix lui disait qu’elle aurait mieux fait de quitter les lieux sans délais, mais étrangement, elle ressentait une curiosité malsaine. Une étrange moiteur se mit à sourdre de sa fente. De plus, elle ne voyait guère comment elle pourrait repartir avec cette mini-jupe empruntée et sans manteau car elle ignorait la localisation du vestiaire. Préférant attendre la suite des événements, elle se contenta de reculer de quelques pas pour embraser toute la scène du regard.

 

La « mouche » n’avait pas accordé la moindre attention à son invitée, du moins en apparence. Elle n’avait d’yeux que pour Annie qui à ses pieds attendait les ordres.

 

– Déshabilles-toi, imbécile ! Lui lança Madame Isabelle

 

Sans un mot, Annie entreprit d’abaisser la fermeture-éclair de sa petite robe noire qui lui tomba des épaules, mais fut stoppée par la poitrine et le tablier de soubrette qu’elle portait toujours. Pour la première fois, Carole remarqua la beauté des seins de la jeune femme qu’elle avait fermes et globuleux, avec des aréoles bien rosées et surmontées de mamelons érigés, sans doute à cause de l’impudeur que l’on exigeait d’elle.

 

Madame Isabelle s’approcha d’elle et sans ménagement, elle dénoua le cordon du tablier qu’elle retira en disant :

 

– Tu n’auras pas besoin de ça pour le moment.

 

Puis, toujours aussi brutalement, elle abaissa des deux mains les pans de la robe jusqu’à mi-cuisse. Elle en profita pour montrer à son invitée que la jeune soubrette ne portait comme sous-vêtement qu’un porte-jarretelles et des bas. Pas de culotte ! Malgré l’hiver, il lui fallait travailler cul nu pour satisfaire aux exigences de sa maîtresse.

 

– Allons, houspilla-t-elle Annie, nous n’avons pas toute la journée ! A poil !

 

Maladroitement, la soubrette se débarrassa de sa robe sans quitter sa position agenouillée ce qui lui aurait probablement valu une punition additionnelle. Ensuite, elle dégrafa les jarretières, retira un à un les bas en soulevant la jambe, puis ultimement, enleva le porte-jarretelles. Enfin nue, Annie ferma les yeux, écarta les cuisses le plus possible et elle leva les bras au-dessus de la tête.

 

La « mouche » tendit la main droite entre les cuisses et palpa l’entrejambe de la jeune femme. Lorsqu’elle la retira, Carole put constater que les doigts étaient poissés d’un liquide un peu visqueux. Madame Isabelle les lui montra en indiquant, bien inutilement :

 

– Elle est tout excitée, vous voyez ? Elle adore qu’on l’oblige à s’avilir ainsi… évidemment, cette fois, il y aura beaucoup plus qu’une simple humiliation.

– Qu’allez-vous lui faire ? s’inquiéta Carole, ses yeux allant rapidement d’une femme à l’autre.

– Votre question est mal posée, chère amie. Il ne s’agit pas de ce que je vais lui faire, mais bien plus de ce que « nous » allons lui faire subir…

– Nous, mais je… je ne vois pas ce que… ce que nous…

 

La « mouche » lui décocha un regard chargé d’un intérêt mitigé. Elle reprit :

 

– Allons, chère amie, si je ne m’abuse, c’est à vous que cette jeune personne a manqué de respect. C’est donc justice que vous participiez à sa punition.

– Mais je vous ai dit qu’elle ne l’avait pas fait exprès, répliqua Carole. à quoi bon lui imposer des sévices ?

 

La « mouche » se dirigea vers Carole à pas comptés en prenant un air courroucé. Ses yeux avaient pris une teinte sombre et lorsqu’elle parla, ces mots martelèrent l’atmosphère :

 

– J’en ai assez de ces balivernes ! Annie est ici pour être punie et elle le sera, que cela vous plaise ou non !

– Mais je ne veux pas lui faire de mal, se plaignit encore Carole.

– Ecoute-moi, toi ! fit la « mouche » en délaissant volontairement son vouvoiement poli, ou bien tu coopères, ou alors tu subiras un châtiment, toi aussi !

– Moi, mais… protesta Carole, abasourdi par une telle menace.

 

Sans lui laisser le temps de réagir, Madame Isabelle lui décocha une gifle sonore sur la joue gauche. Eberluée, l’autre ne savait que faire et se passait la main gauche sur la joue devenue rouge autant sous le choc que par la honte.

 

A ce moment Carole aurait pu s’enfuir, il lui suffisait de prendre son manteau… (mais où était-il ?)

 

– Maintenant ou tu pars ou tu te laisses faire !

 

« La mouche » était certaine de son coup, elle avait deviné le côté profondément masochiste de Carole.

 

– Alors ?

-Je vais rester !

– Tu es sûre ! Bien sûre ?

– Oui !

– Alors tiens !

 

Madame Isabelle lui renouvela ses gifles à deux reprises. Carole se mit à pleurer doucement en croulant au sol.

 

– Relève-toi et ouvre la bouche !

 

Le crachat de salive fut humiliant, mais Carole l’accepta.

 

– Décidément, décréta la « mouche » en persifflant, je crois que je me suis trompée sur ton compte, tu n’es pas de ma trempe, tu n’es qu’une lavette !

 

Avec mépris, elle jeta :

 

– Allez, déshabilles-toi, trainée !

 

A suivre

 

PS : Cette histoire a été publié anonymement sur le site "https://www.xstory-fr.com/". Je l'ai corrigé, débarrassé de ses fantaisies typographiques et de quelques digressions sans intérêt, puis je l'ai complété en m'efforçant de rester dans l'esprit du récit

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Mercredi 3 novembre 2021 3 03 /11 /Nov /2021 17:05

A Genoux par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

 

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Le parvis écrasé de soleil, puis je me glisse dans l’ombre fraîche.

 

Silence.

 

Il n’y a personne, mes premiers pas, encore précipités, résonnent.

Je reprends mon souffle, j’écoute plus attentivement, mon cœur bat.

 

Personne.

 

A droite, dans l’ombre plus profonde, le confessionnal, petite lampe rouge éteinte.

Je m’avance, de plus en plus lentement, je m’aperçois que mes mains étreignent mon petit sac à hauteur de ma poitrine, quelle posture empruntée !

Je m’arrête devant le lourd rideau de velours aux trois quarts écarté.

J’ai repoussé mon sac à main sur mon dos, je laisse retomber mes bras le long de mes hanches.

Je suis nue sous ma jupe.

Je sens cette fraîcheur inhabituelle sur mes cuisses, le tissu sur la peau de mes reins.

Immobile, je me sens nue, je suis nue sous ma jupe, mais qui pourrait le savoir ?

 

Silence.

 

Je suis seule, je peux ne pas être convenable, par exemple pousser ma poitrine en avant, comme pour montrer mes seins dont je suis fière, accentuant la pression de mon chemisier sur ma peau, nue là aussi, on les voit bien comme cela.

Je peux creuser les reins, pour sentir mes fesses s’arrondir, je suis belle, je sens un frémissement dans le bas de mon ventre.

J’ai envie d’être plus nue que cela, mes doigts cherchent l’ourlet de ma jupe, je n’ose pas, je reste songeuse.

Il devrait arriver bientôt, il faut que je prenne place.

Je fais un pas, baissant la tête, il fait presque noir, parfum de cire, je touche les boiseries.

Je m’agenouille sur le petit coussin de velours.

Je ne peux pas refermer le rideau, on croirait que la confession a commencé alors qu’il n’est pas encore là, la petite lampe est éteinte.

Voilà, ici je suis en sécurité, au creux du secret, où je puis tout confier.

Où je suis acceptée, comprise, où tout me sera pardonné.

Où je suis aimée peut-être ?

Où mes pensées les plus intimes, mes désirs les plus spontanés ne vont pas provoquer une réprobation immédiate.

J’aime l’idée de me confesser.

J’aime ce mot : « me confesser ».

Mes fesses sont nues sous ma jupe.

J’ai envie de me les toucher, ce serait « me confesser » à ma façon.

Ici, je peux peut-être le faire sans que personne ne le voie ?

J’ajuste ma position, écartant légèrement les genoux pour tenir en équilibre sans l’aide de mes mains.

Mes mains sont libres, je les croise dans mon dos.

Ce n’est pas indécent, on pourrait croire que j’attends simplement, dans une position à la fois digne et humble, assez appropriée après tout.

J’attends, j’écoute.

J’ai envie de le faire, personne ne me verra : il n’y a personne.

Si quelqu’un arrive, je l’entendrai et j’aurai le temps de réajuster ma posture.

J’écoute, mes oreilles en bourdonnent presque, je laisse descendre mes mains jusqu’à l’ourlet, je le saisis.

Je respire plus fort, je sens mon cœur battre, je ferme les yeux.

Je remonte lentement ma jupe, je sens la fraîcheur sur le haut de mes cuisses.

Sur le bas de mes fesses maintenant.

S’il y avait quelqu’un ! Quelle honte !

Je ramène mes mains croisées sur mes reins, dans la même position humble et digne, mais mes fesses sont complètement nues maintenant.

 

Silence.

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Je vous montre mes fesses.

Il n’y a personne.

Je creuse le dos pour les arrondir.

Je les tends même en arrière, je suis indécente.

J’expose mes belles fesses blanches mais personne n’est là pour les voir.

Je peux être aussi « effrontée » que je veux.

J’ai envie de l’être, je suis ici pour me confesser.

Regardez mes fesses.

Mes mains redescendent pour les empaumer.

Je me sens défaillante, je respire de plus en plus fort.

Je commence à bouger les mains, je me touche les fesses.

Je me tâte doucement, je me pétris du bout des doigts.

J’ai envie de m’écarter les fesses pour être encore plus exposée.

Mes doigts se glissent entre elles.

Je les écarte un peu, je les presse de nouveau, puis je les écarte encore.

Cela m’excite, j’ai envie, j’ai envie de cela, de m’exposer.

Je me creuse le dos un peu plus, mes doigts s’arriment plus profond, se rencontrent.

Je m’écarte les fesses.

Je m’écarte les fesses complètement, la fraîcheur vient me caresser la raie.

Je suis complètement exposée.

Regardez mon cul.

J’ai envie… J’ai envie …

Mais de quoi ? Comment aller plus loin ?

Je me ressaisis, remets prestement ma jupe en place en ouvrant les yeux.

Il fait bien sombre, mon cœur bat la chamade.

Quand même, il faudra que je fasse attention, je ne suis pas sûre d’avoir bien écouté à tout moment…

 

Silence.

 

Je reprends mon souffle, glisse un regard circulaire au dehors.

Qu’est-ce qui a changé dans la qualité de la pénombre ?

Mon sang se glace : la petite lumière rouge est allumée.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:59

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – La punition

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Les deux jeunes filles sont poussées sans ménagement dans la grande salle et forcée de s’agenouiller.

 

L’homme à la perruque s’approcha d’elles et les gifla.

 

– Sœur Jeanne nous a rapporté que vous devriez être punies…

– Nous n’avons rien fait, balbutia Abigaelle, nous avons juste surpris Sœur Jeanne faisant commerce charnel avec un baudet.

– Que la peste bubonique emporte ces sales menteuses ! S’écria Sœur Jeanne à qui on n’avait rien demandé.

– Nous pourrions les torturer et elles nous raconteraient n’importe quoi; j’ai mieux à vous proposer. Venez mesdames que je vous fasse part de mes intentions.

 

Les deux belles dames s’approchèrent du nobliau, s’en suivit grands chuchotements, ricanements et hilarité car tout en parlant le perruqué ne pouvait empêcher ses mains de tâter les joufflues des nobles dames.

 

On fit détacher la jeune femme qui avait durement gouté de la cravache et dont le corps était zébré d’écarlate. Elle alla s’assoir dans un coin. Quant à Sœur Jeanne, après tant d’émotions ce sont les bras de Morphée qui vinrent l’achever et elle se mit à ronfler de façon disgracieuse.

 

– Quoique vous ayez fait, stupides catins ! Déclara le nobliau, vous serez punies, mais ensuite il nous faudra vous empêcher de nuire de nouveau.

– Mais nous n’avons nui à personne ! Proteste Mina.

 

Une nouvelle gifle la fit taire.

 

– Donc après la punition que nous vous infligerons ici même, il vous faudra choisir votre destin. Soit vous serez cloitrées à jamais dans vos cellules…

 

Il laissa volontairement la suite de sa phrase en suspens, se réjouissant des mines terrorisées des deux jeunes filles.

 

– Soit, vous serez vendues comme putain dans un bordel…

– On préfère ! Intervint Mina.

– Moi aussi, je veux être putain ! Ajouta Abigaelle.

– Mais pour cela, il va falloir nous montrer comme vous êtes vicieuses…

– Oui, oui, nous sommes très vicieuses ! S’empressa de confirmer Mina.

– Nous allons bien voir de quelle façon vous allez supporter votre punition…

 

Les deux jeunes femmes se regardent peu rassurées.

 

Abigaelle2C

 

– Ouvrez la bouche, morues ! Vous allez me servir de pissotière !.

 

Les filles obtempèrent, elles connaissent le goût de l’urine, souvent quand elles se gamahuchent, leur vulve en restait imbibée.

 

Le nobliau pince cruellement le téton d’Abigaelle et se soulage dans son gosier avant de venir remplir celui de la brune Mina.

 

L’homme se retourne ensuite et crie à la cantonade que si d’autres veulent se soulager, ils peuvent volontiers le faire.

 

Louise, l’une des deux belles dames s’approche et demande aux deux prisonnières de s’allonger sur le sol. Puis elle enjambe Mina au niveau de sa bouche et déclenche un torrent de pisse.

 

Suzanne, l’autre belle dame ne veut pas être en reste et vient chevaucher puis asperger Abigaelle. Mais sa miction terminée, elle ne se retire pas.

 

– N’auriez-vous point terminé ? Demande le perruqué.

– Je crois que j’ai envie de chier ! Répond la noble dame.

– Eh bien, chiez, qu’attendez-vous, je veux voir votre noble étron choir sur le visage de cette catin.

 

Suzanne pousse et ouvre son anus, mais l’étron rechigne à sortir de son terrier.

 

– C’est terrible, je ne vais pas supporter une telle chose… chuchote Abigaelle à sa camarade d’infortune.

– Il le faut pourtant si tu veux devenir putain.

– Mais je ne peux point.

– Ce n’est pas si terrible… essaie de supporter…

 

Mais ce doux dialogue est interrompu par la chute d’une longue saucisse merdeuse qui vient s’affaler sur le visage de la blonde Abigaelle.

 

Suzanne qui n’a rien pris pour s’essuyer le joufflu, se sert de sa main et s’y étale le reste de ses excréments.

 

– Comment est votre merde, aujourd’hui ? Demande Louise.

– Eh bien goutez-y, ma chère !

– Mais bien sûr !

 

Et Louise ramène un bout de matière avec son index et le porte en bouche.

 

– Humm, elle est exquise ! Venez donc chercher cette impertinente petite crotte dans ma bouche de trainée

 

Les deux nobles dames s’embrassent à pleine bouche, faisant se balader l’étron d’une bouche à l’autre.

 

– Quand je pense qu’il y en a qui n’aime pas ça ! Se désole Louise.

– Quelle faute de goût !

– Qu’attendez-vous pour faire gouter votre merde à ces deux grues ? Intervient le perruqué.

– Je pensais justement me faire rincer le trou du cul par ces deux ribaudes. Intervient Suzanne.

 

On fait s’agenouiller Mina, et Suzanne lui présente son joufflu merdeux.

 

Timidement, la jolie brunette approche sa petite langue et vient tester ce gout très particulier. Elle ferme les yeux et nettoie la première trace. Elle s’habitue et continue, plutôt fière de s’être tirée de cette épreuve avec brio.

 

– Je suis vraiment une salope, j’ai léché toute la merde sur le cul de cette belle dame ! Dit-elle à son amie.

– Je ne pourrais pas… proteste Abigaelle.

– Mais si !

– C’est toi qui va lui faire goûter ! Lui dit Louise.

– Volontiers.

 

Abigaelle se débarrasse de l’étron qu’elle a sur le visage, tente de se relever et vocifère !

 

– Salope… tu ne vas pas me faire ça !

– Mais si, et même que ça va m’exciter !

– Gifle-la, ça va la calmer ! Intervient le perruqué

 

Mina, se prend au jeu et gifle son amie de toujours, qui surprise ne réagit pas. La brune réitère et lui crache au visage, cette fois la blonde, excédée se jette sur sa camarade, et c’est parti pour le corps à corps.

 

Les deux femmes se battent telles des chiffonnières après la foire, n’étant guère expertes dans l’art de la lutte, elles griffent, elles mordent, elles se tirent les cheveux, elle roulent au sol maculant leur corps de la merde que personne n’a ramassé.

 

Voilà une situation qui amuse fortement l’assistance qui joue les badauds, les hommes vits en pogne ne perdent rien du spectacle. tandis que les femmes rient et gloussent.

 

Ce jeu brutal excite terriblement Mina qui sent la mouille envahir son entrejambe. Elle veut jouir, mais admettez que la situation ne s’y prête guère.

 

Mais comme l’a très bien expliqué Denis Papin, les situations c’est comme la vapeur, ça peut toujours se renverser.

 

Alors Mina se débrouille pour immobiliser son amie en position de soixante-neuf. Elle a donc accès à sa chatte et y plonge sa langue sans attendre, mais en espérant une réciprocité.

 

Celle-ci tarde à venir, mais Mina est pugnace, et sa langue à force de ténacité parvient à faire gémir sa partenaire. Laquelle par politesse, par réflexe ou par obédience, allez donc savoir, se met à son tour à butiner la chatte qui est devant sa bouche gourmande.

 

Les deux femmes se gouinent maintenant à qui mieux mieux, ne se rendant pas même compte que quasiment tous les participants sont toujours agglutinés autour d’elles. Et ils ne restent pas inactifs Le mignon accroupi se régale du vit du mousquetaire et lui flatte les couilles, la fille des cuisines se fait lécher le trou du cul par sa propre fille, celle-là même qui avait été sévèrement fouettée auparavant.

 

Quant aux deux belles dames elles suçaient alternativement le perruqué tout en s’efforçant de ne rien perdre du charmant spectacle qui se déroulait sous leurs yeux.

 

Mina sent sa partenaire se raidir, elle concentre ses attaques linguales sur le clitoris de la blonde qui finit par crier sa jouissance, Abigaelle respire un grand coup et reprend son léchage faisant venir à son tour sa complice au paradis des amours saphiques.

 

Les deux femmes changent de position et s’embrassent. Mina a trempé son doigt dans le caca de Suzanne et l’approche des lèvres de Abigaelle.

 

– Je vais essayer ! Dit cette dernière.

– Ben voilà !

 

Et tout ce petit monde se met à applaudir.

 

Les deux femmes se relèvent, toutes souillées, et saluent le public comme on le ferait sur la scène d’un théâtre.

 

Du coup Sœur Jeanne se réveille !

 

– Mais que se passe-t-il ici, pourquoi applaudissez-vous ces deux trainées ?

– Ma sœur, vous êtes énervante, rejoignez votre cellule, foutez vous donc un crucifix dans le cul pour vous calmer et laissez nous nous amuser. Lui dit Louise en ponctuant ses paroles d’une belle paire gifle.

– Oh !

 

Suzanne est donc restée seule avec le perruqué, et après l’avoir bien sucé lui tend son joufflu afin qu’il l’enculasse comme une chienne.

 

Le drôle ne tarda pas à jouir dans l’anus de la belle et ressorti une bite gluante de sperme et de merde, Suzanne se fit un devoir de nettoyer ce chibre.

 

– Faut-il vraiment continuer ? demanda le nobliau. Ces catins me semblent parfaites pour le bordel ! Et je crois que vu leur beauté…

– Elles ne sont pas si belles que ça ! Intervint Louise. Et puis cela m’amuserait de les prendre à mon service personnel quelques semaines avant de les envoyer au bordel.

– Vous savez bien, chère Louise que je ne peux rien vous refuser.

– J’aurais bien aimer les fouetter un peu !

– Vous aurez l’occasion de le faire quand elles seront à votre service. Si vous voulez fouetter quelqu’un maintenant choisissez dans l’assistance, vous n’avez que l’embarras du choix.

– Pourquoi pas ? Toi la fille des cuisines, viens me voir, comment tu t’appelles ?

– Rosalie, Madame !

– Rosalie nous t’avons vu tout à l’heure te faire lécher le trou du cul par ta propre fille, sais-tu que cela est interdit par la religion ?

– Ce n’est point si grave, j’irais me confesser !

– Et tu crois que le curé va t’absoudre.

– Il m’absous toujours quand je lui lèche le derrière.

– Mais dans quel monde vivons-nous ! Se gausse Louise. Et dis-moi, que fais-tu d’autres avec ta fille !

– On se lèche l’abricot ! On se donne maints plaisirs et c’est bon !

 

Louise passa un collier autour du cou de Rosalie et la fit marcher à quatre pattes en lui assenant de bons coups de badine qui lui strièrent son gros cul de jolies marques.

 

Mais voici qu’Azor l’un des deux gros chiens attiré par l’odeur du cul de Rosalie se redressa et vint humer, puis lécher l’endroit.

 

Du coup Daran, l’autre chien s’empressa d’imiter son congénère.

 

– Couché les chiens ! S’énerve Louise, Rosalie ne vous mérite pas, si vous voulez lécher un cul léchez plutôt le mien !

 

Suzanne prend la laisse de Rosalie et l’installe dans un coin, puis elle revient et constate qu’Azor a déjà changé de partenaire balayant de sa large langue le joufflu de Louise.

 

Elle appelle Daran et le couche sur le côté, sa main enserrant son sexe,

 

– Soyez partageuses, mes jolies, invitez nos catins à vous rejoindre, on va voir comment elles se débrouillent.

 

Mina rejoint Suzanne, la bite du chien est déjà sortie de son fourreau et la noble dame le lèche à qui mieux-mieux se mouillant le menton de bave dégoulinante.

 

– Eh bien qu’attends-tu ?

– Rien, je vais le faire, mais. ce sera la première fois…

– Suce au lieu de me raconter ta vie !

 

Mina fascinée par ce cylindre de chair écarlate respire un bon coup, puis darde sa langue sur l’organe, en appréciant la texture particulière, sa langue balaye la tige et remonte vers l’extrémité, Dame Suzanne lui laisse sa place de façon à ce qu’elle puisse prendre le bout en bouche, la bite du chien secréte un liquide préspermatique qui envahit les bouches des deux dévergondées qui vont encore plus loin dans le stupre en s’embrassant à pleine bouche.

 

Abigaelle ne perd pas une miette du spectacle, partagée entre fascination et répulsion, et tandis que son amie se partage le vit de Daran, Louise à complètement retourné Azor et lui prodigue une fellation en règle, Elle fait signe à Abigaelle mais celle-ci, tétanisée ne bouge pas d’un poil.

 

Le perruqué vient derrière elle et lui administre une grande claque sur les fesses.

 

– Il serait singulier que ton amie rejoigne un bordel et que toi, tu restes enfermée à jamais dans une cellule de ce couvent.

– Je dois donc sucer ce chien ?

– Oui, mais ça ne suffira pas, il faut te guérir de tes atermoiements, je veux que tu te fasses prendre par le chien.

– Humm.

 

Quand Suzanne demanda à Mina de se mettre en chienne pour se faire couvrir par le chien, elle savait cet acte inéluctable et y consentit de bonne grâce. Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la scène sur sa droite, Abigaelle en train de faire sauter par Azor en poussant des jappement de plaisir.

 

Après ces émotions, tous ces débauchés se firent apporter quelques pâtés, tourtes et vin de Bourgogne, on mangeât et on but en chantant des refrains obscènes.

 

Assise l’une à côté de l’autre Abigaelle et Mina s’échangeaient de tendres baisers.

 

Le lendemain, Abigaelle entrait au service de Dame Suzanne et Mina à celui de Dame Louise

 

Au bout d’un mois, le perruqué les accompagna à Versailles et elle furent confiées aux bon soins de Madame Ducru, maquerelle de son état.

 

Les deux filles firent bonne impression et eurent comme clients quelques célèbres musiciens, jardiniers, et cuisiniers de la cour royale.

 

Elles accueillirent la Révolution avec enthousiasme, mais déchantèrent quand vint la Terreur, grâce à leurs relations elles purent s’enfuir à l’étranger. On perdit ensuite leur trace mais il se chuchota que les deux femmes firent ce qui est convenu d’appeler des « mariages avantageux ».

 

On sait aussi, qu’après être sortie du couvent, Abigaelle continua à remplir ses carnets de ses chauds souvenirs, on ne sait ce qu’ils sont devenus… Mais on cherche !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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