Anne-Abigail

Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:12

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 4 – La visite de Julie

Stamp MD

Toutes étaient prêtes à reprendre leurs ébats du matin lorsque le téléphone sonna. En grommelant, Nicole se dirigea vers l’appareil et décrocha:

– Allo ?
– …
– Ah, c’est toi ? Comment vas-tu ?
– …
– Oui, oui, très bien, merci. Que me vaut le plaisir de ton appel ?
– …
– Euh oui… Pourquoi pas. Mais il faut que j’en parle à Janine.

Elle masqua le micro du combiné et appela Janine.

– Qui est-ce ? Demanda cette dernière.
– C’est ma sœur, Julie. Elle demande si elle pourrait faire étape ici un jour ou deux avant de descendre sur la côte.

Janine hésita quelques instants puis demanda :

– Elle est comment ta sœur ?
– Tu veux dire physiquement ?
– Oui, c’est ça.
– Elle a deux ans de moins que moi et la dernière fois que je l’ai vu, c’était il y a trois ans, elle était est plutôt jolie.
– Vous ne vous fréquentez pas ?
– On vit à 600 km l’une de l’autre, pas toujours facile, mais on se téléphone régulièrement.
– Et tu crois que…

Janine ne finit pas sa phrase mais glissa sa main entre les cuisses de son amie. Nicole sourit en pensant aux attouchements osés qu’elle avait eus avec sa sœur lorsqu’elles étaient adolescentes puis répondit:

– Elle est très délurée et n’a pas beaucoup de tabou.
– Alors, c’est d’accord !

Nicole reprit le combiné:

– C’est d’accord, ma chérie. Quand arrives-tu ?
– …
– Très bien. Nous t’attendrons. Je t’embrasse. A demain.

Nicole résuma sa conversation aux trois autres. Les deux jeunes filles n’étaient guère enthousiastes à l’idée d’accueillir quelqu’un qui leur ferait abandonner leurs habitudes vestimentaires. Mais Nicole les rassura.

– Il a bien longtemps que nous n’avons rien fait ensemble, mais elle n’est pas coincée du tout, et c’est l’occasion qui fera le larron.

Cette déclaration dissipa un peu les craintes de Martine.

– En attendant, dit-elle, il vaut mieux profiter de notre liberté.
– Tout à fait d’accord avec toi, ma petite gouine chérie, fit Nicole.

Elle prit sa fille par la main et l’entraîna sur la pelouse où elles ne tardèrent pas à s’engager dans un soixante-neuf effréné. Le restant de la journée fut naturellement consacré à compenser les jours à venir qui risquaient d’être moins chauds, et la nuit venue, elles regagnèrent leurs lits avec plaisir pour s’endormir aussitôt.

Le lendemain matin, les ébats recommencèrent. Julie devait arriver en début d’après-midi. Il n’y avait pas de temps à perdre. Vers 14 heures, elles s’habillèrent de mauvaise grâce et attendirent. Bien que leurs tenues fussent réduites au strict minimum décent, elles éprouvaient une certaine gêne sous le tissu. Une demi-heure plus tard, l’interphone du portail retentit. Nicole décrocha. C’était Julie. Le verrou électrique fut déclenché et bientôt on entendit le gravier de l’allée crisser sous les pneus d’une voiture.

Nicole sortit pour accueillir sa sœur. Celle-ci ouvrit la portière de son auto et vint l’embrasser. Elle prit ensuite une petite valise dans le coffre et suivit Nicole à l’intérieur où les présentations furent faîtes. Nicole n’avait pas menti. Julie était plutôt jolie. Elle était assez petite, peut-être un peu boulotte, mais sa silhouette était bien proportionnée. Un courant de sympathie s’installa rapidement entre toutes. Julie fut surprise de trouver sa nièce aussi grandie. Nicole la conduisit dans la chambre des adultes pour déposer sa valise.

– Il n’y a malheureusement que deux chambres, dit-elle. Je dormirai avec Janine et toi tu prendras l’autre lit.

Julie protesta et proposa de dormir sur la moquette, mais Nicole resta inflexible.

– Ça ne nous dérange pas du tout, dit-elle. Nous en avons déjà parlé. En attendant, si tu veux prendre une douche, la salle de bains se trouve ici. A moins que tu ne préfères piquer une tête dans la piscine tout de suite.
– Excellente idée. Le temps de passer mon maillot de bain et j’arrive.

Nicole resta pensive.

– Qu’y a-t-il ? Demanda sa sœur. Quelque chose ne va pas ?
– C’est-à-dire que, vu l’isolement de la villa, nous avons pris l’habitude de nous baigner à poil. Nicole nous avait dit que nous serions tranquilles et nous sommes toutes tombées d’accord sur l’inutilité de maillots de bain. Du reste, nous n’en avons pas pris avec nous.

Julie éclata de rire.

– Ce n’est que ça ? Pas de problème. A Rome, fait comme les romains. Je ne vois aucun inconvénient à faire comme tout le monde. Et puis, après tout, nous sommes entre femmes.

Elle confirma ses propos en commençant à dégrafer son corsage.

– Mais tu risques d’être surprise, dit-elle.
– Ah bon. Pourquoi ?
– Tu vas voir.

Elle retira son corsage, puis son soutien-gorge qui dévoila une paire de seins lourds comme les aimait Nicole. Sa chatte commença à la démanger. La jupe rejoignit rapidement les autres vêtements, puis vint le tour de la culotte.

– Qu’en dis-tu ? Demanda Julie en la baissant.

Sa chatte était vierge de poil.

– Très joli, fit-elle en rougissant. Les hommes doivent adorer.
– Sans doute.

Un silence curieux s’installa dans la chambre. Julie semblait gênée, non pas d’être nue, mais de la remarque de sa sœur.

– Que t’arrive-t-il ? Demanda Nicole. J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas dire ?
– Ce, ce n’est pas ça. C’est…
– Allons, dis-moi tout. Quel est le problème ?
– Eh bien voilà. Je n’en ai jamais parlé à personne auparavant. Si je me suis épilé la chatte, ce n’était pas pour un homme.
– Pour ton plaisir personnel ?
– Non. Tu n’y es pas. C’était pour, pour une femme.

Elle baissa les yeux après cet aveu pour les relever aussitôt, étonnée d’entendre sa sœur rire aux éclats.

– Ça c’est trop fort ! Dit Nicole en reprenant son souffle.
– Que, que veux-tu dire ?

Nicole pris sa sœur dans ses bras et répondit:

– Ma chérie, si tu savais.
– Si je savais quoi ?
– Tu comprendras tout à l’heure. Pour l’instant, dis-toi que tu n’es pas la seule dans ton cas. Mais avant tout, laisse-moi me déshabiller. C’est totalement indécent de porter une robe alors que nous allons nous mettre nues.

Julie était abasourdie. Avait-elle bien compris ? Sa sœur venait-elle bien de lui dire qu’elle aussi avait ou avait eu des relations homosexuelles. Lorsque Nicole fut nue, elle ne put s’empêcher de l’admirer:

– Tu es toujours aussi ravissante. J’ai toujours aimé ta poitrine, si ferme, si arrogante.
– Et moi, j’ai toujours envié la tienne, si pleine, si ronde.

Elle éclata de nouveau de rire et la prit par la main pour rejoindre les autres. Celles-ci restèrent bouche bée devant l’apparition des deux femmes nues.

– Julie a décidé de se plier aux usages des Amandiers, dit Nicole.
– Hourra ! S’écrièrent les deux filles en enlevant prestement leurs robes, aussitôt imitées par Janine.
– Et maintenant, une autre surprise, poursuivit Nicole.

Elle s’approcha de Janine, l’enlaça tendrement et l’embrassa à pleine bouche.

– Tu comprends pourquoi j’ai ri lorsque tu m’as parlé tout à l’heure ? Dit-elle à sa sœur en retirant ses lèvres de celles de Janine.
– Tu, tu veux dire que Janine et toi, vous, vous…, bredouilla Julie.
– Exactement ! Et tu n’es pas au bout de tes surprises. Nous avons depuis peu des rapports disons très intimes avec nos filles,
– Oh !
– Choquée !
– Non, j’ai les idées larges, mais disons que c’est inattendu.
– Regarde ma fille comme elle mouille, je ne peux pas la laisser comme ça !

Elle s’agenouilla devant sa fille et lui lécha la chatte tout en lui malaxant les fesses. Julie était estomaquée. Que sa sœur ait une liaison avec une femme, passe encore, mais qu’elle mêle sa fille à ses ébats lui était absolument inimaginable. Martine jouit en criant de plaisir et sa mère se releva.

– Eh bien, moi qui croyait avoir tout vu ! Vous avez réussi à m’exciter, espèces de salopes !
– Tu devrais essayer de la lécher. Tu ne peux pas savoir comme la liqueur de ta nièce est délicieuse.
– Pourquoi pas ? Mais c’est si inattendu. Faire l’amour avec sa propre fille.
– Quel mal y a-t-il ? Intervint Martine. Que ce soit maman ou une autre, c’est pareil.
– Et je suppose, reprit Julie, que Janine et Marie… ?
– Évidemment ! Répondit Marie en caressant lentement la chatte de sa mère. Tu ne crois pas que nous restons les bras croisés pendant que Nicole et Martine s’envoient en l’air.
– Evidemment.
– Alors ? Insista Nicole. Quelle est la sentence pour deux mères qui débauchent leurs filles ?

Julie regarda tour à tour les quatre femmes et ne put empêcher une bouffée de désir envahir son corps. Après tout, pourquoi pas ? Quel mal y avait-il là ? Qui était-elle pour juger ces relations incestueuses ? Elle avait bien elle-même des relations sexuelles avec d’autres femmes. Quelle différence que ce soit une étrangère ou bien sa nièce ? Sa nièce dont les seins pointaient si fort en ce moment même. Sa nièce dont la chatte dégoulinait de jus sous l’excitation. Ou bien encore avec sa sœur. Sa sœur dont elle avait toujours envié la poitrine. Sa sœur qui se passait lentement la main sur la chatte en attendant sa réponse. Sa sœur qui lui avait fait entièrement confiance. Toutes ces idées passèrent dans sa tête en quelques secondes. Finalement, le désir emporta la partie. Foin des atermoiements ou des principes imposés par la morale bourgeoise. Elle se précipita vers sa sœur et l’étreignit avec fougue. Ses mains caressèrent les cheveux de Nicole puis descendirent jusqu’aux fesses. Elle l’embrassa tandis que son ventre se frottait au sien.

– Ma chérie, murmura Nicole. Ma petite gouine chérie de sœur, laisse-moi te faire l’amour.
– Oui, oui ! Tout de suite ! Viens !

Elle s’allongea sur la pelouse ivre de désir. Nicole s’agenouilla à ses côtés et commença par lui caresser les seins. Ses seins qu’elle avait eu envie de caresser depuis toujours. Martine ne voulut pas être en reste. Elle prit position de l’autre côté et posa sa bouche sur les lèvres de sa tante. Celle-ci entrouvrit la bouche pour permettre à sa nièce de sucer sa langue. Puis Nicole se mit à téter les seins de sa sœur.

– Il y a si longtemps que j’en rêve, dit-elle en relâchant un sein avant de s’occuper de ! l’autre.

Janine et Marie regardèrent quelques instants cette réunion familiale puis se mirent en besogne à leur tour. Elles se branlèrent tout d’abord mutuellement avant de se sucer. Nicole finit par abandonner la poitrine de Julie pour descendre vers cette chatte épilée qui la fascinait. Cependant, avant d’y poser la langue, elle l’examina avec attention. C’était encore plus beau qu’elle ne l’avait imaginé. Elle en écarta les grandes lèvres, puis, de l’index, trouva le bouton, centre de la jouissance, et le frotta lentement. Elle fut récompensée par les soupirs de sa sœur et une production abondante de sécrétion vaginale.

Ainsi encouragée, elle s’appliqua à amener sa sœur à l’orgasme. Mais elle voulait la faire jouir comme jamais elle n’avait joui. Depuis le début des vacances, elle avait acquis suffisamment d’expérience pour cela. Chaque fois que Julie approchait du climax, elle cessait ses caresses pour reprendre quelques secondes plus tard. Finalement, Julie la supplia de la faire jouir. Elle était au bord de l’explosion. Nicole accéda à sa demande et poursuivit cette fois-ci la masturbation jusqu’au bout. Un hurlement aigu ponctua l’orgasme de sa sœur ainsi qu’un jet de liqueur qui atterrit sur son visage. Elle y passa la langue avec délice. Cette liqueur ressemblait fortement à la sienne. Logique, pensa-t-elle. C’est ma sœur.

Elle leva la tête pour constater que sa fille tétait les seins de sa sœur comme un nourrisson affamé. Sourire aux lèvres, elle plongea la tête entre les cuisses de sa sœur et se mit à laper la fente humide. Les soupirs de Julie reprirent de plus belle. Elle aspira ensuite le clito et enfonça son majeur dans le con. Le corps de Julie fut agité de spasmes. Son bassin se soulevait au rythme du doigt de Nicole. Comme précédemment, elle retarda l’instant fatidique au maximum. Et comme précédemment, Julie la supplia d’en finir. Ce qu’elle fit. Elle reçut cette fois-ci le jet de liqueur directement dans la bouche et l’avala goulûment. Julie tremblait comme une feuille. Elle s’allongea à ses côtés et la prit dans ses bras. Lorsque Julie recouvra ses esprits, ce fut pour remercier sa sœur:

– Mon amour, mon amour. C’était bon, si bon !

Elle se tourna ensuite vers sa nièce pour la remercier aussi:

– Ma chérie, si tu suces les chattes aussi bien que les nichons, j’ai hâte que tu me montres.
– A ta disposition, ma tantine chérie. J’ai une envie folle de sucer ta chatte sans poil. Je suis sûre que c’est super.
– Tu peux en être certaine, confirma sa mère. Et en plus, Julie gicle quand elle jouit. C’est excellent !
– Mes chères petites gouines, dit Julie. Vous êtes merveilleuses ! A votre tour à présent de jouir. Je vais branler ta mère pendant que je te sucerai, dit-elle à Martine. D’accord ? Ensuite, je ferai le contraire.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Julie se délecta de la liqueur de sa nièce tout en masturbant sa sœur. Les deux gouines jouirent rapidement, tant elles étaient excitées. Comme elle l’avait annoncé, Julie inversa ses caresses et les fit de nouveau jouir. Elle était insatiable. Alors que Nicole et Martine récupéraient, elle se lança dans un soixante-neuf passionné avec Marie.

Après avoir joui intensément, Julie exprima le désir de se soulager d’un petit besoin naturel.

– Pisse-moi dessus ! Proposa Marie.
– Mais tu es une vraie cochonne !
– C’est un truc que je ne connaissais pas, j’ai essayé, j’ai bien aimé. Mais si ça te choque, on n’en parle plus !
– Il n’y a pas grand-chose qui me choque, et j’adore ces petits jeux-là. Approche-toi ma petite Marie, je vais t’asperger.

Marie s’assit par terre tandis que Julie dirigeait son jet dorée vers sa poitrine.

– Vise ma bouche ,je veux gouter ton pipi !
– Vicieuse ! Répondit Julie en accédant au désir de Marie. Et mon caca, tu aimerais y gouter ?
– Je ne l’ai jamais fait, mais j’aimerais bien essayer.
– Là, je n’ai pas envie, mais tu peux m’embrasser le trou du cul en attendant.

Marie n’hésita pas une seconde et se mit à butiner l’anus de Julie, y découvrant une goût acre mais point désagréable.

– Enfonce moi un doigt, maintenant, mouille-le bien avant !

La jeune fille pilonna l’anus de Julie pendant plusieurs minutes, quand elle ressorti son doigt, celui-ci présentait des traces brunâtres non équivoques. Elle se demanda que faire.
– Lèche ! Lèche ton doigt ma petite Marie.
– Mais il est sale !
– Ce sont juste quelques traces de caca, tu voulais gouter, non ?
– Allez intervint Martine, fais-le, si tu le fais, je le ferais aussi.

Marie ferma les yeux et entreprit de nettoyer son doigt avec sa bouche et sa langue.

– Hum; c’et pas mauvais, spécial, mais pas mauvais, allez Martine à toi.

Celle-ci se mit à son tour à doigter l’anus de sa tante avant de procéder à son tout au nettoyage de son doigt.

– C’est pas possible ! Commenta Janine à l’attention de Nicole, elles sont encore plus cochonnes que nous !

Julie s’allongea sur le sol.

– Maintenant, Martine et Maie, rendez-moi la politesse, pissez-moi dessus !

VEF4


Tout le monde fit l’amour avec tout le monde avant de s’endormir, épuisé, bouche contre bouche ou contre sexe. Julie se réveilla la première et, après avoir pris une douche rapide, prépara le souper. Les autres qui n’avaient pas chômé le matin, furent ravies de voir la table dressée à leur réveil. Elles allèrent une par une se doucher puis revinrent s’installer autour du repas.

On s’amusa beaucoup ce soir-là. On se raconta ses propres expériences: Julie, les différentes aventures qu’elle avait eues; Janine, Nicole, Marie et Martine leurs ébats avec Suzanne et Sophie ainsi que les séances de baise et d’enculage ! Martine et Marie débarrassèrent la table rapidement à peine le café avalé. Julie avait, en effet, exprimé le désir de se faire baiser par un des godemiché à sangle. Martine s’était aussitôt proposée. Sa tante avait accepté avec enthousiasme. Janine baiserait Nicole tandis que Martine baiserait sa tante qui sucerait Marie. Une fois que Janine et Martine furent harnachées, Marie se coucha sur la table, cuisses grandes ouvertes. Julie y plongea la tête, le cul bien relevé pour permettre à sa nièce de la baiser. Nicole, dans la même position que sa sœur, se mit à téter Marie. Les membres s’enfoncèrent alors que Marie poussait déjà des gémissements de plaisir. Les deux sœurs furent baisées comme des reines. De temps en temps, elles abandonnaient quelques instants Marie pour se regarder. Leur plaisir s’en trouvait renforcé. Voir le plaisir sexuel dans les yeux de sa propre sœur semblait être le comble de la jouissance. Elles finirent par jouir presque simultanément dans un grand renfort de cris et de hurlements. Janine et Martine se retirèrent puis présentèrent leur membre entre les fesses des deux sœurs. Nicole, qui s’y attendait, ne dit rien alors que Julie s’étonna:

– Mais que fais-tu, Martine ?
– Ne t’inquiète pas tantine chérie. Tu verras, c’est super !
– Mais, mais que vas-tu faire ?
– T’enculer pardi !
– En voilà une excellente idée

Martine appliqua la fausse queue contre son anus en écartant bien les fesses de sa tante des deux mains.

– Détends-toi, dit-elle.

Le membre pénétra lentement dans le cul de Julie qui serrait les dents.

– Ça va ? Demanda Martine.
– Ça, ça va. C’est un peu douloureux, mais ça va. C’est bon !

Centimètre par centimètre Martine enfonça la fausse bite. La sensation était extraordinaire. Julie n’éprouvait plus aucune douleur, seulement du plaisir. Le plaisir de se faire enculer par sa nièce. Martine avait terminé la pénétration. Elle relâcha les fesses de sa tante et glissa sa main droite en direction de la chatte épilée. Imitant Janine qui ramonait lentement le cul de sa mère, elle fit aller et venir sa bite dans le cul de sa tante tout en la branlant de la main. Elle enfonça un doigt, puis deux dans le con de Julie qui hurla de plaisir. Etre à la fois remplie par devant et par derrière la rendait folle de bonheur. Elle se laissa emporter par les multiples orgasmes qui la submergeaient. Elle n’était plus que jouissance. Seuls son cul et sa chatte lui fournissaient des sensations. Le monde extérieur n’existait plus. La résistance humaine a cependant des limites qu’elle atteignit finalement. Ses jambes se dérobèrent et elle glissa au sol comme une marionnette dont on aurait coupé les fils. Martine la retint suffisamment pour lui éviter toute blessure. Puis, après s’être rapidement débarrassée de son harnais et aidée par Janine qui avait abandonné le cul de Nicole quelques instants auparavant, la transporta sur la terrasse où elles l’allongèrent. Martine se blottit contre sa tante épuisée qui respirait violemment. Elle la quitta quelques secondes pour aller mouiller une serviette dans la piscine. L’eau fraîche finit de calmer Julie qui ouvrit les yeux et sourit. Elle allait parler, mais sa nièce mit son index sur ses lèvres.

– Chut ! Tout à l’heure. Pour l’instant, repose-toi.
– Mais je ne suis pas malade ! Protesta Julie en se redressant. Je viens simplement de me faire baiser par ma petite gouine de nièce de la plus extraordinaire des façons. J’ai joui comme jamais je n’aurais pensé pouvoir jouir. Quel pied ! Tu sais que tu es une vraie salope, ma chérie ?
– Je sais, mais pas plus que maman.
– Ça, je m’en suis aperçue. Et que dirais-tu si c’est moi qui te baisais, maintenant ?
– Je n’attends que ça, chère tantine. Te baiser comme ça m’a mise dans un état !
– Alors, allons-y !

Martine alla récupérer le harnais. Elle en nettoya le membre puis le fixa sur le ventre de sa tante. Elles retournèrent ensuite dans la cuisine où Marie baisait sa mère tandis que Nicole pelotait tantôt l’une tantôt l’autre. Martine s’appuya à la table et attendit les jambes écartées. Julie la pénétra aussitôt. Cela suffit pour la faire jouir. L’excitation avait été trop forte auparavant. Julie lui fit l’amour tendrement en s’appliquant à lui procurer un maximum de plaisir. Après plusieurs orgasmes, elle se retira et demanda:

– Tu veux que je t’encule, maintenant ?
– Oh oui ! Enfonce ta grosse queue dans mon petit cul et branle ma chatte en même temps.

Julie obéit. Enculer sa nièce était si excitant qu’elle jouit elle-même sans avoir été touchée. Elle entama son ramonage et sa masturbation avec frénésie. Ce fut alors qu’elle sentit une main s’insinuer entre ses fesses. Un coup d’œil en arrière lui apprit que sa sœur essayait de forcer son intimité.

– Salope ! Dit-elle. Vas-y, encule ta sœur pendant que j’encule ta fille.

Elle écarta les jambes et sentit aussitôt un objet forcer son anus. Nicole était aller chercher son vibromasseur et l’enfonçait à présent dans le cul de sa sœur. Une décharge électrique traversa le corps de Julie lorsque Nicole enclencha l’instrument. Elle redoubla d’ardeur à l’encontre de sa nièce. Dieu que c’était bon ! Elle essaya de retarder l’instant fatidique afin de jouir en même temps que sa nièce. Puis, elle explosa en hurlant de bonheur. Martine l’accompagna dans ses débordements. Le vibromasseur fut déclenché et Julie s’écroula sur le dos de sa nièce. Les cinq femmes finirent la soirée, exténuées, au bord de la piscine, serrées les unes contre les autres. Plus tard, elles montèrent dans leurs chambres et s’endormirent jusqu’au matin très tard.

Hélas ! Toutes les bonnes choses ont une fin. Julie devait poursuivre son voyage et quitter ses partenaires. Encore éprouvée par les innombrables orgasmes de la veille, elle déclina poliment l’invitation de sa sœur à faire l’amour une dernière fois. Toutefois, elle lui proposa de l’épiler. Nicole ne fut pas la seule à accepter. Et, lorsque Julie monta dans sa voiture, il y avait quatre femmes au pubis vierge de tout poil qui la regardaient depuis le perron. La vie allait reprendre sa routine habituelle aux Amandiers. Les parties à quatre ne tardèrent pas à reprendre, mais on délaissa pour un temps les harnais pour s’appliquer à tripoter et lécher les belles chattes fraîchement épilées..

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:10

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 3 – Nouvelles expériences
Stamp MD

Le soleil était levé depuis longtemps lorsque nos quatre lesbiennes ouvrirent un œil. Martine aurait bien voulu commencer par quelques gâteries, mais Marie préférait garder ses forces pour plus tard. La journée s’annonçait chaude sous tous rapports et il aurait été dommage de se rendre à l’invitation de Suzanne en étant déjà épuisée. Nicole et Janine avaient eu la même réaction. Après une douche rapide et un petit-déjeuner consistant, il fut l’heure de se mettre en route. Un peu à contrecœur, les jeunes filles s’habillèrent. Elles avaient appris à apprécier la nudité et porter des vêtements leur semblait désormais une sorte de contrainte. Elles n’enfilèrent que le strict minimum, minijupe et tee-shirt, sachant bien que très rapidement elles n’en auraient plus besoin. Leurs mères avaient opté pour le même style d’habillement; minirobe légère largement décolletée. La voiture s’arrêta près de la porte de la villa de Suzanne peu avant onze heures. Nicole alla sonner. La porte s’ouvrit aussitôt qu’elle se fut présentée. La voiture parcourut l’allée et vint stopper devant le perron. Suzanne les attendait en bas des marches.

– Entrez vite. Vous seriez arrivées dix minutes plutôt, vous auriez aperçu le livreur, Il avait une très jolie bite, nous l’avons sucé toutes les deux moi et Sophie. Elle est impatiente de vous rencontrer.

Les quatre femmes la suivirent à travers la maison. Sur la terrasse, une jeune femme apparut. Elle était en maillot de bain deux pièces et son soutien-gorge avait de la peine à contenir sa poitrine imposante. Elle n’était pas grosse mais sa silhouette toute en rondeur attirait les regards lubriques des nouvelles venues. Suzanne la présenta à ses amies:

– Voici Sophie, ma nièce. Sophie, je te présente Nicole et Janine dont je t’ai déjà parlé.
– Enchantée, firent Nicole puis Janine. Voici Martine et Marie nos filles.
– À présent que les mondanités ont été respectées, nous pouvons passer aux choses sérieuses, reprit Suzanne.

Elle se mit aussitôt à déboutonner sa robe.

– Si tu permets, intervint Janine, j’aimerais bien m’en charger.
– Avec plaisir ! Répondit Suzanne.

Martine s’approcha de Sophie et avança ses mains vers sa poitrine. ! Le visage de la jeune fille s’illumina. Elle dégrafa rapidement son soutien-gorge pour dévoiler ses magnifiques seins. Martine s’y précipita. Sa bouche happa le téton fièrement dressé et se mit à le sucer. Pendant ce temps, Marie et Nicole s’étaient déshabillées mutuellement et avaient roulé sur le gazon en une étreinte passionnée. Suzanne et Janine avait depuis longtemps abandonné tout vêtement. Aussitôt que Janine eut retiré la robe de Suzanne, cette dernière avait prestement déshabillé Janine puis l’avait entraînée sur l’herbe. Les trois couples gémissaient et criaient, soupiraient et se tordaient. Les orgasmes se succédaient, les partenaires changeaient. Chacune put ainsi faire l’amour avec chacune.

VEF3
Une fois leur appétit sexuel apaisé pour un temps, les six lesbiennes abandonnèrent leurs caresses pour passer à table. Les plus jeunes ne purent cependant pas s’empêcher de laisser leurs mains s’égarer sur les courbes excitantes de leurs aînées tout en dévorant le repas à belles dents. Ces dernières ne s’en plaignaient pas. Comment ne pas apprécier être l’objet de convoitise et d’attention charnelle de la part de jeunes filles aussi attirantes. Tout était prétexte à peloter ou à caresser. Ainsi, une carotte visita-t-elle tout à tour l’intimité de Suzanne, Nicole, puis Janine pour être chaque fois léchée avec délectation par les trois adolescentes. A l’issue du repas, Suzanne proposa à ses invitées de quitter la terrasse pour aller s’étendre au bord de la piscine. Sophie s’éclipsa discrètement, puis rejoignit les autres quelques instants plus tard, portant une petite mallette. Les six femmes s’installèrent dans des chaises longues pour profiter du soleil et récupérer un peu avant de reprendre leurs activités. Janine se leva quelques minutes plus tard et demanda à Suzanne où se trouvaient les toilettes.

– Tu veux faire pipi ? Demanda Suzanne.
– Oui, répondit Janine.
– Eh bien, intervint Sophie pourquoi aller aux toilettes ?
– Tu veux que je pisse ici, devant vous ?
– Bien sûr, reprit Suzanne. Tu ne peux pas savoir comme c’est excitant de voir une femme pisser.

Janine demeura interloquée. L’idée fit cependant son chemin dans son esprit.

– Et vous ? Demanda-t-elle à ses amies. Qu’en pensez-vous ?
– C’est vrai que l’idée est plutôt excitante ! Répondit Nicole.
– Oh oui ! S’exclama Marie. Vas-y !
– Bonne idée ! Dit Martine.
– Bon, d’accord. Mais j’espère ne pas être la seule.
– Pas de problème, dit Suzanne. Je crois que nous avons toutes envie de nous soulager aussi.

Les autres femmes acquiescèrent. Janine s’accroupit donc face aux spectatrices.

– Pas comme ça ! S’exclama Suzanne. Reste debout. Ce sera encore plus excitant.
– Mais je n’ai jamais pissé debout, dit Janine. Je vais m’en mettre partout.
– Mais non. Attends. Je vais te montrer, dit Suzanne.

Elle se leva et, face aux cinq autres, les jambes légèrement écartées, ouvrit les lèvres de son vagin à deux mains.

– Regardez bien, dit-elle.

Aussitôt, un jet d’urine gicla de sa fente pour venir éclabousser l’herbe à quelques dizaines de centimètres des chaises longues. La vision était des plus érotique. Lorsqu’elle eut terminé, elle fit semblant de chercher de quoi s’essuyer…

– Si quelqu’un veut me rincer la foufoune avec sa langue,… Sophie trouve mon urine délicieuse., n’est-ce pas Sophie ?
– Un vrai régal ! Confirma cette dernière.
– Alors quelqu’un ?

Janine et Nicole se regardent circonspectes.

– J’ai bien envie d’essayer ! Confie Marie à Martine.
– Vas-y tu ne diras…

Marie s’approche de Suzanne, et commence à lui lécher les quelques gouttes qui ont coulé sur ses cuisses

– Hum, c’est pas mauvais ! Un peu spécial mais pas mauvais, viens Martine on va faire ça ensemble.

Et devant les yeux subjuguées de leurs mères, les deux coquines lapèrent tout le pipi qui imprégnait la chatte de Suzanne.

A toi, maintenant, proposa cette dernière à Janine.

Cette dernière prit la place de Suzanne et imita ses gestes. Les autres ne perdaient rien du spectacle.

– Me permet-tu de gouter à ton urine demanda Suzanne.
– Vas-y, fait toi plaisir.
– Hum ! Intervient Marie, j’aimerais bien gouter à l’urine de ma mère.
– Marie tu es une cochonne !
– Ou maman, mais je crois qu’on est toutes cochonnes ici en ce moment.

Suzanne laissa diplomatiquement la place à Marie.

– Tu te rends compte de ce qu’on vient de faire? Fit remarque Janine quand sa fille eut terminé ce petit nettoyage incestueux.
– Tu peux faire mieux que ça ! Répondit Suzanne, s’il te reste un goutte, pisse-lui directement dans la bouche !
– Quoi ?
– C’est ce que font les amateurs d’uro !
– Je n’ai plus envie !
– Alors on peut faire le contraire, Janine, accepte-tu que ta fille te pisses dessus ?
– Oui, mais pas dans la bouche !
– Juste un peu !
– D’accord juste un peu pour gouter.

Et c’est ainsi que Janine avala une bonne rasade de la pisse de sa propre fille, elle trouva l’acte pervers et le goût particulier.

Seule Nicole était restée en retrait pendant ces petites distractions.

– Ben alors on fait bande à part ? Se moqua Sophie.
– Pas du tout, j’attends mon tour ! Répondit-elle avec défi !

Personne ne savait que Nicole avait déjà gouté à ce genre de jeu, mais quand Sophie commença à lui pisser dessus et que son jet rencontra la bouche ouverte, l’assistance comprit qu’elle n’en était pas à son coup d’essai.

Peu de choses suffisaient, à présent, pour relancer la partouze. Sophie proposa alors aux trois adultes de se faire baiser par les jeunes filles.

– Comment ça ? Demanda Nicole.

Sophie se contenta d’ouvrir la mallette qu’elle avait apportée pour en dévoiler le contenu. Elle en sorti un godemiché à sangles.

– Avec ça ! Déclara-t-elle. J’en ai trois. Un pour Martine, un pour Marie et un pour moi.
– Super ! S’exclama Nicole. Encore mieux que mon vibromasseur !

Janine et Suzanne étaient aussi enthousiastes que leur amie. Sophie harnacha donc Marie puis Martine avant de fixer son instrument sur son ventre. Elle plaça ensuite les trois adultes derrière les chaises longues.

– Penchez-vous, dit-elle et appuyez-vous au montant. Et relevez bien votre cul.

Les jeunes filles se placèrent alors derrière, leur fausse bite fièrement dressée. Martine baiserait Janine, Marie, Suzanne et Sophie, Nicole.

– Prêtes ? Demanda Sophie.

Tout le monde acquiesça. Aussitôt, les baiseuses avancèrent d’un pas. Les fausses bites pénétrèrent lentement dans leur orifice respectif et la fornication commença. Martine agrippait Janine par les hanches, Marie malaxait les seins de Suzanne tout en la pénétrant et Sophie caressait le clito de Nicole en faisant aller son instrument d’avant en arrière. Les trois matures gémissaient de plaisir sous les coups de queue. Nicole fut la première à jouir, bientôt suivie par Janine puis Suzanne. Ce n’était cependant pas fini. La fornication continua. Après le deuxième orgasme, Sophie dit:

– Je crois qu’elles sont prêtes à se faire enculer maintenant. Qu’en pensez-vous les filles ?
– Oui, oui ! Répondirent Marie et Martine en chœur. On les encule ! On les encule !
– Allez-y quand même doucement, dit Suzanne. Nicole et Janine n’ont certainement pas l’habitude. Mais toi, ma petite Marie, tu peux y aller franchement. J’adore me faire enculer.

Les trois fausses queues se retirèrent des cons et furent placés entre les fesses. Marie n’hésita pas une seconde. Son membre s’enfonça rapidement dans le cul de Suzanne qui hurla de joie. Martine et Sophie furent plus prudentes mais le résultat final fut identique. Et le mouvement de va-et-vient reprit. Cette fois-ci, les jeunes filles profitaient de la disponibilité des fentes de leurs victimes consentantes pour leur branler le con simultanément. Ces dernières, même les deux moins inexpérimentées, appréciaient énormément ce genre de baise. Elles gémissaient et encourageaient les jeunes filles à les empaler le plus profondément possible. Soudain, Janine poussa un cri encore plus aigu que les précédents et elle s’effondra sur l’herbe en tremblant comme une feuille. Nicole ne tarda pas à jouir à son tour, tout aussi violemment. Suzanne essaya bien de retarder l’instant fatidique mais le plaisir que lui procurait Marie l’entraîna à son tour au nirvana. Les jeunes filles contemplèrent quelques instants les trois adultes épuisées allongées sur l’herbe.

Elles retirèrent leur harnais, nettoyèrent consciencieusement les bites, Martine et Marie à l’aide de mouchoirs en papier, mais elles furent surprises de voir Sophie accomplir ce petit nettoyage avec sa langue.

– Tu ne serais pas un peu scato ? Lui demanda Martine
– Un petit peu ! Pourquoi ça t’intéresse ?
– Non, non se défendit Martine. Enfin je veux dire, je suis curieuse de tout, mais la scato me semble un pas difficile à franchir.
– Et tu fais quoi exactement ? Demanda Marie.
– Des petits trucs, ce matin j’ai regardé ma tante chier, elle a fait un joli boudin, elle ne s’est pas essuyée, c’est moi qui lui ai léché le cul. C’était très excitant. Oh là là !

Martine et Marie semblaient fasciné par ce récit inattendue.

– Si ça vous tente, je suis à votre disposition. ! Ajouta Sophie.
– Je ne sais pas, je ne suis pas vraiment prête pour ça ! Répondit Martine.
– Moi non plus ! Ajouta Martine. Faut qu’on se fasse à l’idée…
– Dans ce cas dépêchez-vous, je vais bientôt repartir.
– Mais moi je serais toujours là ! Intervint Suzanne en faisant un clin d’œil très significatif a l’intention des deux jeunes filles.

Les trois jeunes filles se précipitèrent dans la piscine. Elles auraient bien aimé être payée en retour, mais force leur était de constater que leurs aînées n’étaient pas en état. Elles tentèrent donc d’oublier le désir qui les démangeait entre les cuisses en s’aspergeant et en nageant. Quelques minutes plus tard, Nicole se leva encore un peu tremblante et vint les rejoindre. L’eau fraîche lui fit du bien et bien vite, elle riait avec elles. Janine et Suzanne l’imitèrent un peu plus tard. Finalement, Martine sortit de l’eau et s’essuya.

– Maintenant que vous semblez être reposées, dit-elle. Vous pourriez peut-être nous renvoyer l’ascenseur.
– Avec le plus grand plaisir, ma chérie, répondit sa mère. J’ai très envie de baiser cette petite salope de Sophie et la sentir jouir sous mes coups de queue. Qu’en dis-tu ? Demanda-t-elle à l’intéressée.
– J’en meurs d’envie, dit cette dernière en prenant pied sur le bord de la piscine.

Les autres les rejoignirent à leur tour. Bientôt, Nicole, Janine et Suzanne eurent attaché les harnais autour de leur taille et conduit les trois jeunes filles derrière les chaises longues. Et la baise reprit, mais cette fois dans l’autre sens. Les nouvelles « victimes » prenaient leur pied comme jamais. Et quand, après avoir joui plusieurs fois, Nicole proposa de les enculer, elles hurlèrent de joie. La pénétration fut lente et prudente. Ces petits culs, à part celui de Sophie sans doute, n’avaient pas été ramoné si souvent. Martine et Marie serrèrent les dents sous la douleur. Mais le jeu en valait la chandelle. Le plaisir vint rapidement effacer la douleur première et leurs chattes ruisselèrent bientôt de jus, tant l’excitation était grande. Jamais, elles n’avaient ressenti un tel plaisir. Les trois matures ramonaient les trois petits culs tout en pelotant ou en branlant les jeunes gouines qui se mirent à jouir en hurlant de plaisir.

Après quelques instants de récupération, Sophie se releva et se mit à dodeliner du cul devant Janine.

– Tu l’aimes mon cul, on dirait !
– Il est charmant ! Consentit Janine
– Donne moi la fessée !
– En voilà une idée !
– Je suis très vilaine, alors je mérite une fessée. Insista le jeune fille.
– Tu ne vas pas lui refuser ça ! Intervient Suzanne.

Mise au pied du mur, Janine s’assit sur un fauteuil de jardin et proposa à Sophie de se cocher sr ses cuisses, puis elle commença à lui fesser le cul en cadence. Elle se surprit à mouiller tout en accomplissant cet acte.

Les quatre autre femmes formaient un cercle autour d’elles et y allaient de leurs commentaires salaces.

– Vas-y fesse-moi cette petite putain qui suce des bites et des chattes y compris celle de sa tante. L’invectivait cette dernière !
– J’arrête, j’ai attrapé mal au main ! Dit Janine.
– Elle ne t’as pas raté, t’as le cul tout rouge ! Remarqua Nicole.
– Bof, c’est rien du tout, la semaine dernière, ma tante ma donné 50 coups de cravaches, partout sur les fesses, le dos, les cuisses et même les seins, j’ai adoré. Je suis un peu maso.
– Si vous inversiez le rôles ! Propose alors Suzanne.
– Hé, mais je ne suis pas maso, moi ! Proteste Janine.
– Essaie, si ça ne te plais pas elle arrêtera. Précise Suzanne
– Tu ne vas pas te dégonfler, maman lui dit Marie.

Mise au défi, Janine s’avança vers Sophie qui avait pris sa place sur la chaise de jardin

Les sarcasmes reprirent !

– C’est bien fait pour toi, espèce de gouine perverse qui baise avec sa fille ! Lui lança Suzanne.
– Et l’autre gouine, là-bas, il faudrait la fesser aussi ! Fit remarquer Sophie en montrant Nicole du doigt.
– Bonne idée ! Répondit Suzanne, viens Nicole que je te rougisse les fesses.

Quelques minutes plus tard les deux matures se retrouvèrent le cul cramoisies et s’échangèrent un long baiser langoureux, avant de s’assoupir sur le gazon.

Ce fut un violent coup de tonnerre qui les fit sortir de leur torpeur. Les nuages s’étaient accumulés durant leur somnolence et l’orage éclatait. Quelques gouttes de pluie se mirent à tomber. L’atmosphère n’en était pas plus fraîche pour autant. Aussi, restèrent-elles sous la pluie quelques minutes, profitant de cette douche naturelle pour se rincer naturellement. Elles rentrèrent ensuite à l’abri et se séchèrent. Il était près de dix-huit heures et Nicole incita ses amies à retourner aux Amandiers. Nul ne protesta. La journée avait été bien remplie et toutes ne désiraient qu’une chose : se reposer. Elles se rhabillèrent donc et prirent congé de leurs hôtesses en promettant bien de recommencer semblable partie.

– Quel pied ! S’exclama Janine lorsqu’elles se retrouvèrent sur la route du retour. Jamais je n’aurais pensé jouir aussi fort.
– Moi non plus, renchérit Nicole. J’ai le con et le cul douloureux mais ça valait la peine. Et vous les filles ? Pas trop pénible ?
– Ça va maman, répondit Martine. J’ai mal au cul mais je ne regrette rien.
– Moi non plus, dit Marie. Quelle baise !

Arrivées aux Amandiers, elles ne traînèrent pas. Une douche rapide suivie d’un ou deux sandwiches, puis elles retrouvèrent leurs lits avec délectation. Le lendemain fut très calme. Les excès de la veille se faisaient encore ressentir et Marie et Martine avait encore le cul endolori. Nicole et Janine furent plus rapides à s’en remettre et n’eut-ce été le commencement des règles de Nicole, elles auraient repris volontiers certains exercices. D’autant que Suzanne leur avait fait cadeau de deux harnais qui les avaient tant fait jouir. Les jours suivants ne virent guère plus d’activité sexuelle aux Amandiers. Martine se retrouva à son tour indisponible et Janine et sa fille, par esprit de solidarité réfrénèrent leurs envies. Quelques jours plus tard, elles furent toutes de nouveau prêtes à assouvir leurs désirs. Après cette période d’abstinence forcée, Martine et Marie ne tenaient plus en place. Lorsqu’elles descendirent ce matin-là pour prendre le petit-déjeuner, elles trouvèrent leurs mères occupées devant la cuisinière. Après les embrassades matinales, Nicole demanda, en présentant son cul à sa fille:

– Eh bien, Martine que dirais-tu de baiser ta chère maman ?

Janine fit la même proposition à sa fille. Les deux jeunes femmes n’attendaient que ça. Elles remontèrent précipitamment dans leur chambre pour enfiler les harnais et revinrent, non moins rapidement, pour enfoncer leurs instruments entre les cuisses de leurs mères.

– Oh oui, ma chérie, encourageait Nicole, baise-moi. Enfonce ta grosse queue dans mon con ! Oui, oui…

Janine n’était pas en reste. Elle prodiguait le même genre d’encouragements à sa fille:

– Vas-y petite salope ! Baise ta maman ! Baise ta chienne de maman, petite gouine vicieuse. Et tripote mes nichons. Pince-les ! Oui, comme ça. Encore, plus profond !

Les deux jeunes femmes n’avaient guère besoin de ces paroles ordurières pour satisfaire leurs mères, mais la vulgarité du langage les excitait encore plus. Lorsque Nicole et Janine eurent joui, elles demandèrent une autre sorte de pénétration:

– Encule-moi, salope ! ordonna Nicole à sa fille.
– C’est toi la salope ! Répliqua Martine. N’est-ce-pas maman que tu es une salope ? Une salope qui demande à sa fille de l’enculer ?
– Oui, ma chérie. Je suis une salope, une sale gouine en chaleur ! Et toi tu es aussi salope que moi. Toi qui viens de baiser ta maman. Alors encule-moi ! Encule ta chère maman, ma petite gouine vicieuse !

Janine et Marie ne s’exprimèrent pas moins vulgairement:

– Tu veux que je t’encule, ma chère maman ? Tu veux que ta gouine de fille t’enfonce cette grosse queue dans ton petit cul ?
– Oui, ma petite gouine. Encule ta salope de maman ! Ta gouine de maman que tu viens de baiser si bien.

Les godemichés changèrent d’orifice pour le plus grand plaisir des deux femmes et le ramonage reprit de plus belle, ponctué par les gémissements et les paroles vulgaires:

– Alors, maman, chère salope, tu aimes ça hein ?
– Oh oui, chérie. C’est bon ! J’aime quand tu m’encules.
– Vas-y ma petite gouine, enfonce ta grosse bite dans le cul de ta putain de maman !
– Tiens, espèce de pute, prend ça ! Tu la sens ma grosse bite ! Tu aimes ça, te faire ramoner le cul ?
– Ouiiii… Encore ! Plus profond ! Défonce-moi mon cul de salope ! Ouiiii….

Les deux mamans jouirent de nouveau en chœur. Martine et Marie se retirèrent tandis que Nicole et Janine se redressaient, un peu hagardes. Elles prirent leurs filles dans leurs bras et les embrassèrent.

– Allez vite nettoyer vos belles queues, dit Nicole. Après le petit-déjeuner, nous vous renverrons l’ascenseur.
– Pourquoi pas tout de suite ? Demanda Marie. Ma chatte est une vraie fontaine.
– Désolée, mes chéries, mais nous devons reprendre nos esprits. Vous nous avez si bien baisées et enculées que nous tenons à peine debout.

A regret, les jeunes filles obéirent. Nos quatre charmantes gouines dévorèrent les tartines avec appétit et, lorsque la table fut débarrassée, Martine et Marie s’y appuyèrent, les jambes écartées. Les répliques vulgaires reprirent.

– Viens vite, maman chérie, dit Martine. Viens ramoner le con de ta salope de fille.
– J’arrive, petite vicieuse. Je vais enfoncer ma grosse queue dans ton petit con.
– Dépêche-toi, maman. Baise ta petite gouine adorée.
– Ne t’inquiète pas, petite salope. Ta maman va baiser sa gouine chérie.

Les bites artificielles s’enfoncèrent aussitôt dans les sexes juvéniles dégoulinants de jus. Les mères baisaient les jeunes filles avec un enthousiasme forcené et celles-ci criaient de plaisir sous les assauts tant attendus.

– Voilà pour toi, sale gouine, dit Janine en ramonant le con de sa fille. Tu aimes que ta maman te baise, n’est-ce-pas ?
– Oh oui ! Maman, c’est bon, c’est boooooon ! Ouiiiiii…
– Et si je pelote tes nichons en te baisant, ça te plaît, hein ! Dit Nicole. C’est bon de se faire baiser par sa maman ?
– Oh ! oui ! Tu es une vraie salope, ma chère maman. Continue ! Je vais jouir ! Ouiiiiiii…

Les deux jeunes femmes atteignirent l’orgasme en criant de plus belle.

– Tu veux que ta maman t’encule ? Demanda Janine.
– Oh oui, maman. Encule-moi. Encule ta salope de fille.
– Alors ma chérie. Toi aussi tu veux te faire enculer par ta maman ?
– Oh oui, s’il te plaît maman. Encule ta gouine de fille.

Et comme auparavant, les bites changèrent d’orifice. Les orgasmes n’en furent pas moins violents ni les dialogues moins vulgaires. Et lorsque Martine et Marie demandèrent grâce, les quatre femelles assouvies eurent tout juste la force de se traîner à l’extérieur pour s’allonger au bord de la piscine. Quelques minutes plus tard, elles allèrent prendre une douche avant de plonger dans la piscine pour se rafraîchir. Elles paressèrent ainsi jusqu’à l’heure du repas de midi qu’elles avalèrent avec délice.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:06

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 2 – Début de vacances
Stamp MD

Lorsque la voiture conduite par Janine stoppa près du portail, il était à peine 14 heures. Nicole sortit de la voiture et ouvrit. Une fois l’entrée franchie, elle referma le portail puis le verrouilla et remonta dans la voiture. Après avoir suivi l’allée bordée d’arbustes, elles arrivèrent finalement devant la villa. Les cigales chantaient et l’air embaumait le thym et la lavande. Tout le monde était ravi. Ravi mais excité. La culotte de Janine était détrempée. Elle sortit rapidement de la voiture et retira son sous-vêtement sous le regard amusé de ses amies.

– Vous pouvez bien rigoler toutes les trois. Ça fait plus de six heures que je conduis en supportant vos gémissements. Je n’ai pas eu l’occasion de me soulager comme vous.
– Pauvre chérie, la consola Nicole. Es-tu capable de tenir encore quelques minutes ? Le temps que nous déchargions les bagages ?
– Il faudra bien, répondit Janine en souriant. Mais après, je compte bien que chacune d’entre vous s’occupe de moi.
– Avec plaisir, répondirent les trois autres en chœur.

Elles déchargèrent les valises puis ne purent résister à l’envie de faire un rapide tour du propriétaire. Il y avait deux grandes chambres à l’étage, une salle de bain et, au rez-de-chaussée, la cuisine et le salon dont les portes s’ouvraient sur la piscine.

– C’est magnifique, dit Nicole à son amie, un vrai paradis ! .
– Oui, répondit Janine, je crois que nous allons passer des vacances formidables. Mais en attendant, je suis toujours aussi excitée.
– Tu as raison, ma chérie. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Tout le monde à poil !

Et joignant le geste à la parole, elle se déshabilla prestement. Lorsque les quatre femmes furent nues, elle reprit:

– Janine, si tu veux bien t’allonger sur l’herbe, nous allons te faire oublier ces six heures de conduite astreignantes de la meilleure façon qui soit.

La jeune femme ne se fit pas prier pour s’exécuter. Aussitôt, Nicole prit place entre ses cuisses et se mit à laper consciencieusement sa chatte tandis que Martine et Marie s’occupaient de sa poitrine. Un premier orgasme récompensa rapidement la ferveur des trois femmes qui n’en restèrent cependant pas là. Elles échangèrent leur place; Marie prit la place de Nicole entre les jambes de sa mère alors que Nicole suçait les seins de son amie et que Martine l’embrassait à pleine bouche. La rotation eut lieu une nouvelle fois. Finalement, Janine demanda grâce. Mises en train par ces ébats, Nicole, Martine et Marie s’engagèrent dans un soixante-neuf à trois des plus animé. La partouze lesbienne se poursuivit ainsi pendant près d’une heure. Janine avait repris ses esprits et rejoint ses amies avant que toutes les quatre ne s’endorment finalement épuisées. Elles ne se réveillèrent que beaucoup plus tard et plongèrent aussitôt dans la piscine. Après quelques minutes passées à s’éclabousser et s’amuser comme des gamines, elles sortirent de l’eau et se firent sécher au soleil.

– Il faudrait quand même défaire les bagages avant la nuit, dit Janine en se levant.

Un peu à contrecœur, les autres acquiescèrent. Les valises furent montées dans les chambres respectives puis déballées. Martine et Marie allaient occuper la chambre donnant sur la piscine tandis que Nicole et Janine prendraient celle donnant sur l’entrée. Il y avait deux lits dans chaque chambre mais leurs dimensions étaient bien suffisantes pour accueillir deux personnes à la fois. Il était évident que Martine et Marie d’un côté et Nicole et Janine de l’autre allaient dormir dans le même lit. Lorsque les vêtements furent rangés dans les armoires, elles se retrouvèrent toutes les quatre au bord de la piscine.

– Il va falloir penser à faire quelques courses si nous voulons manger ce soir et les jours suivants, dit Janine.
– Ce qui veut dire que nous allons devoir nous rhabiller ? Demanda Marie.
– Vous n’êtes pas obligées de venir avec nous, répondit Nicole. Janine et moi sommes assez grandes pour faire les courses toutes seules.

Les deux jeunes filles poussèrent un soupir de satisfaction.

– N’en faîtes pas trop quand même, dit Janine en posant sa main sur les fesses de sa fille. Nous avons toutes les vacances pour organiser de nombreuses parties carrées.
– Je sais, répliqua Marie. Mais nous avons pas mal de temps à rattraper.
– Et puis, ajouta Martine, le climat d’ici à un effet particulièrement aphrodisiaque. Tu ne trouves pas ? Demanda-t-elle à sa mère en se caressant la chatte.
– Tout à fait d’accord, répondit Nicole. Mais il faut bien que quelqu’un se dévoue si nous ne voulons pas mourir de faim.
– Et puis, j’ai promis à la propriétaire de lui rendre visite à notre arrivée, dit Janine.
– Eh bien, aurevoir, reprit Marie.
– A tout à l’heure, les filles, dit Nicole en rentrant dans la maison, suivie de Janine.

La propriétaire

Janine et Nicole regagnèrent leur chambre et s’habillèrent rapidement puis descendirent vers la voiture.

– C’est vrai que le climat a un effet très vivifiant, dit Janine en ouvrant la portière. Il y a longtemps que je ne m’étais sentie aussi bien.
– A mon avis, il n’y a pas que le climat, dit Nicole en s’installant. Nos petites parties y sont certainement pour quelque chose aussi.
– Sans aucun doute. Et le pire, c’est que plus nous faisons l’amour, plus j’ai envie de jouir. Jamais je n’aurais imaginé faire ce que j’ai fait ces deux derniers jours.
– Moi non plus. Je n’avais jamais fait ça avec une autre femme, mais rien au monde ne me ferait y renoncer. Je devais sans doute avoir des prédispositions pour les amours lesbiennes.
– Et tu n’es pas la seule. Sans parler de moi, ta fille et la mienne ne sont pas en reste. Tu imagines, toi et moi avons fait l’amour avec nos propres filles.
– Tu regrettes ?
– Pas du tout ! Le plaisir efface tout, même les tabous les plus solidement ancrés dans mon esprit. Et je n’ai qu’une hâte, recommencer.
– Et moi donc ! J’espère que les courses en ville ne nous prendront pas trop de temps.
– Tu oublies la propriétaire.
– Sommes-nous vraiment obligées de lui rendre visite ?
– Hélas oui, soupira Janine. Je lui ai promis. Si nous n’y allions pas, elle s’inquiéterait et risquerait fort de venir nous trouver à la villa. Et alors là, pense un peu à la tête qu’elle ferait si elle nous surprenait en pleine action.
– Je vois, répondit Nicole en éclatant de rire. J’imagine très bien la vieille dame prendre une attaque en nous découvrant nues toutes les quatre, enlacées près de la piscine.
– Tu n’y es pas du tout. Madame Lecoeur n’est pas vieille. Elle doit avoir à peine cinquante ans.
– Tu l’as déjà rencontrée ?
– Oui, une fois. C’est une amie qui me l’avait présentée. Et c’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai appris qu’elle possédait cette villa.

La conversation se poursuivit tout le long du chemin qui les conduisit à la ville. Il s’agissait, en fait d’un village assez important et qui possédait plusieurs magasins ainsi qu’un supermarché. C’est là que les deux jeunes femmes s’arrêtèrent pour faire leurs provisions. Elles ne perdirent pas de temps. Une demi-heure plus tard, la voiture était chargée et elles repartaient en direction, cette fois-ci, de la demeure de la propriétaire. Au bout de quelques minutes, elles arrivèrent devant une porte imposante.

– Si j’en juge par la porte, dit Nicole, elle doit habiter un vrai château.
– Aucune idée, dit Janine. On verra bien.

Elle descendit de la voiture et alla appuyer sur le bouton d’un interphone. Une voix se fit entendre au bout de quelques instants:

– Oui ? Qui est là ?
– C’est madame Germain et son amie. Nous avons loué votre villa « les Amandiers ».
– Oh oui. Bien sûr. Vous pouvez entrer.

Un déclic se produisit dans la porte puis celle-ci s’ouvrit silencieusement. Janine retourna à la voiture et embraya. Le chemin, contrairement à ce qu’elles avaient pensé, n’était pas très long. La maison apparut au bout d’une dizaine de mètres après qu’elles eurent contourné un massif d’arbres. Il s’agissait d’une villa assez modeste, plus petite que « les Amandiers ». Sur le perron, une femme en robe d’été largement décolletée les attendait en souriant. Elle était accompagnée d’un gros chien beige, genre labrador, lequel après avoir constaté que les visiteurs n’avaient rien d’hostile s’en alla retourner à sa vie de chien

– Bonjour mesdames, dit-elle en leur tendant la main.
– Bonjour madame, fit Janine. Je vous présente mon amie, Nicole Duchemin.
– Ravie de vous voir, reprit, madame Lecoeur.

Nicole s’était effectivement complètement trompée. Madame Lecoeur n’avait rien d’une vieille femme et on lui aurait facilement donné quarante ans, son physique n’accusant nullement les années. Elle les conduisit à travers la maison jusqu’à une terrasse qui donnait, tout comme « les Amandiers », sur une superbe piscine. Elle les invita à s’installer autour d’une table basse, puis les quitta quelques instants pour aller chercher des boissons. Les trois femmes sirotèrent leur limonade tout en bavardant de tout et de rien. Madame Lecoeur s’avéra une personne charmante, mais ce qui attirait particulièrement les regards de Nicole et de Janine c’était sa poitrine qui, lorsqu’elle se penchait, était parfaitement visible à travers l’échancrure de sa robe. Elle finit par s’en rendre compte mais n’en fut pas le moins du monde gênée:

– J’espère que ma tenue ne vous choque pas ? Demanda-t-elle. Vous savez, en été, ici, j’aime être à l’aise. Du reste, si vous n’étiez pas là, je ne porterais rien du tout.
– Ne vous inquiétez pas pour nous, répondit Nicole. Nous aimons aussi être à l’aise. Et pour tout vous dire, nous avons l’intention de vivre aux Amandiers dans le plus simple appareil aussi souvent que possible.
– Voilà une excellente décision. Il n’y a rien de tel que de vivre nu pour retrouver les vraies valeurs. Dans ces conditions, je vais retirer cette robe qui ne cache pas grand-chose, en fait. A moins que cela ne vous dérange.
– Pas du tout, répondit Janine qui commençait à ressentir une démangeaison familière entre les cuisses.
– À condition, madame, que nous puissions en faire autant, ajouta Nicole.
– Naturellement. ! Et puis ne m’appelez pas madame. Si nous devons nous trouver nues toutes les trois, autant nous tutoyer. Appelle-moi Suzanne.
– Très bien Suzanne, moi c’est Nicole.
– Et moi, Janine.

Les trois femmes se dévêtirent rapidement puis se rassirent.

– N’est-on pas mieux ainsi ? Demanda Suzanne.

Janine et Nicole acquiescèrent.

– Et puis, dans cette tenue, ajouta-t-elle, vous pouvez admirer ma poitrine plus facilement. Ne rougissez pas. J’ai bien remarqué vos regards insistants tout à l’heure. Ne croyez pas que cela me gêne, bien au contraire. J’en suis flattée. D’autant plus flattée que vous n’avez rien à m’envier ni l’une ni l’autre. Mais ce qui me flatte le plus c’est l’effet que j’ai produit sur Janine. Inutile de croiser les jambes, ma chérie. Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer à quel point ta chatte était humide. Et quand je dis humide, je suis modeste.

Janine rougit de plus belle mais décroisa ses jambes.

– Voilà qui est mieux, reprit Suzanne. Il eut été dommage de cacher un tel trésor. C’est tellement beau un sexe de femme. Vous ne trouvez pas ?
– Si, si. Je suis bien d’accord, répondit Nicole. Surtout lorsqu’il dégouline de jus comme celui de Janine ou comme le tien à présent.
– Le tien n’est pas en reste, constata Janine.
– C’est ma foi vrai, dit Suzanne. J’ai l’impression que nous sommes toutes les trois dans le même état d’excitation. Et pour y remédier je connais un excellent moyen.

Et, joignant le geste à la parole, Suzanne passa lentement ses doigts sur sa fente.

– Rien de tel qu’une bonne branlette pour se sentir mieux ! Reprit Suzanne en soupirant.

Nicole et Janine restèrent quelques instants sans réaction, puis Nicole se leva et vint s’agenouiller entre les jambes de Suzanne:

– Et que dirais-tu si ma langue remplaçait tes doigts ? Demanda-t-elle.
– Je n’osais te le demander, répliqua Suzanne ravie.

AAVF2Janine se leva à son tour et vint téter les seins de Suzanne tout en se branlant. Cette dernière poussa aussitôt des cris de bonheur. Son bassin se soulevait en rythme tandis que ses mains pressaient la tête de Nicole contre son ventre. Elle encourageait nos deux amies de la voix:

– Oui Nicole, suce-moi, suce mon clito, aspire mon jus. Oh ! Comme c’est bon… Oh oui ! Janine suce mes seins. Oui… Encore, mords mes tétons. Ouiiiiiii….

Son corps se cabra en un spasme plus violent que les précédents et elle poussa un véritable hurlement de plaisir. Janine et Nicole se relevèrent. Suzanne reprit rapidement ses esprits:

– Magnifique ! Dit-elle. Vous avez été magnifiques – toutes les deux.

Elle quitta son siège et les embrassa l’une après l’autre à pleine bouche.

– A mon tour de vous faire jouir, reprit-elle.
– Nous ne demanderions pas mieux, dit Janine. Mais nos filles nous attendent et la voiture est pleine de provisions.
– Quel dommage ! Vous êtes certaines de ne pas pouvoir rester encore un peu ?
– Hélas oui, dit Janine. Et pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque.

Nicole et Janine se rhabillèrent rapidement puis prirent congé de leur hôtesse.

– J’espère vous revoir bientôt, dit celle-ci. Ne manquez pas de venir me rendre visite le plus tôt possible. Je suppose que vous pouvez laisser vos filles seules à la villa. ! Nos petits jeux ne sont pas vraiment pour elles.
– Détrompe-toi, répondit Janine. Elles sont majeures er si je te racontais ce que nous avons fait ce matin toutes les quatre, tu changerais d’opinion.
– Toutes les quatre ? S’étonna Suzanne.
– Oui en fin c’est une façon de parler, nos deux filles se sont gouinées devant nous, puis nous avons interverti les rôles. Reprit Janine se rendant compte qu’elle avait parlé un peu vite.
– Et tu n’as rien fait avec la fille de Nicole ?
– Si, si, justement…
– Je ne voudrais pas être indiscrète, mais être excitée par les ébats de ta propre fille, c’est presque de l’inceste.

Janine ne trouva pas de réponse et se mit à rougir comme une tomate.

– Bon on va peut-être s’en aller ! Finit-elle par bredouiller.
– Mais je ne porte pas de jugement, tout cela se passe entre personne majeures et ne fait de mal à personne, je trouve même ça plutôt excitant. Alors dites-moi toutes le deux, vous vous gouinez avec vos filles.?
– Oui, puisque tu veux tut savoir ! Intervint Nicole.
– Alors bien venu au club des pratiques tabous, vous savez je n’ai rien à vous envie, je suce bien la bite de mon chien !
– Oh ! C’est vrai ?
– Bien sûr c’est vrai, vous voulez voir ?

Janine et Nicole s’échangent un regard

– Pourquoi pas !
– D’accord ! Viens Japy, viens voir ta maîtresse

Tandis que le chien arrive en trottinant, Suzanne s’humecte la main avec sa propre mouille, la fait sentir au chien avant de l’approcher de sa chatte. Et le chien se met à la lui lécher à grand coup de langue.

– Oh ! Quelle langue ! S’exclame Suzanne, vous le feriez-vous ?
– Je ne sais pas, je ne dis pas oui, je ne dis pas non ! Répondit Nicole. Et toi Janine ?
– Pareil que toi.

Suzanne se relève, caresse son chien tendrement, puis se positionne derrière lui et passe sa main sou son flanc pour l’exciter. Sa bite sort de son fourreau, elle la fait passer entre ses cuisses, approche sa bouche et la léché avec un sourire provocateur.

Nicole ne peut s’empêcher de porter la main à sa chatte et de se caresser, Janine ne tarde pas à l’imiter, se frottant le clito avec énergie tout en se pinçant un téton

– Ça vous excite, hein mes salopes ? Leur lance Suzanne. Si vous voulez me rejoindre, n’hésitez surtout pas.

Mais les deux femmes ne répondent pas, continuant à se donner du plaisir tandis que la bite du chien se met à juter d’abondance rendant le visage de Suzanne tout gluant.

Au bout d’un petit moment , elle s’arrête, le chien ayant donné tout ce qu’il pouvait, Une nouvelle fois elle le caresse tendrement, puis l’envoie se coucher.

– La prochaine fois, si ça vous intéresse, je vous montrerais comment il me baise ! Alors vous en pensez quoi ?
– C’était très excitant, mais moi je ne le ferais pas… enfin disons que je ne suis pas prête ! Répond Nicole.
– Moi, un jour peut-être ! Ajoute Janine
– Bien ! Je vous propose de venir toutes les quatre passer la journée demain ? On sera donc cinq, et on laissera le chien tranquille.

Janine et Nicole se regardèrent, puis opinèrent.

– D’accord, répondit Nicole.
– Excellent ! S’exclama Suzanne. Je demanderai à ma nièce de venir. On sera donc six. Elle apprécie aussi beaucoup ce genre de parties. Elle n’a que 19 ans mais c’est une sacré brouteuse de chatte. Alors demain onze heures. Ça vous va ?
– Entendu.

Elles s’embrassèrent une dernière fois, puis Nicole et Janine montèrent dans la voiture. Durant le trajet de retour, elles rirent comme des gamines. Les vacances s’annonçaient sous des auspices on ne peut plus favorables. A peine arrivées à la villa, Nicole appela Martine et Marie. Ces dernières se reposaient au bord de la piscine. Elles semblaient épuisées. Elles avaient visiblement passé l’après-midi à faire l’amour.

– Debout, paresseuses ! Dit Nicole en se déshabillant. Venez décharger la voiture.
Janine vint les rejoindre, déjà nue.
– Et vous ? Demanda Marie. Vous comptez nous laisser faire le travail toutes seules ?
– Parfaitement ! Nous avons un certain retard à rattraper. Regarde un peu comme je mouille ainsi que ta mère.
– Et peut-on savoir ce qui vous a mis dans cet état ?
– Plus tard, répondit Janine. Pour l’instant, je dois absolument jouir.

Elle prit Nicole par la main et l’entraîna au sol. Les deux jeunes filles se regardèrent en souriant puis se rendirent vers la voiture. Lorsque les provisions furent rangées, elles retournèrent vers leurs mères. Celles-ci poursuivaient avec ardeur leurs activités sexuelles. Trop fatiguées pour se joindre à la fête, Martine et Marie s’allongèrent quelques mètres plus loin et ne tardèrent pas à s’endormir. Plus tard, lorsque chacune eut suffisamment récupéré, Nicole et Janine relatèrent leurs aventures de l’après-midi. Les jeunes filles n’en revenaient pas.

– Je comprends pourquoi vous étiez si excitées en rentrant, commenta Marie.
– Et le mieux, dit Nicole, c’est que nous sommes invitées toutes les quatre à passer la journée de demain chez elle.
– Toutes les quatre ?
– Oui. Nous lui avons dit que vous étiez toutes prêtes à participer à nos ébats.
– Et qu’est-ce qu’elle a dit ?
– Elle a été un peu surprise sur le moment, puis elle e a été enchantée. Elle nous a même dit que sa nièce serait aussi là.
– Super ! S’exclama Martine.

La perspective d’avoir de nouvelles partenaires enchantait les jeunes filles. La soirée s’écoula paisiblement. Nicole et Janine préparèrent un repas copieux afin de remettre tout le monde en forme, puis, peu avant dix heures, les quatre femmes gagnèrent leurs chambres pour un repos bien mérité.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:03

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Essayages

Stamp MD

Cet été-là, Nicole et Janine avaient décidé de passer leurs vacances ensemble dans le midi avec leurs filles respectives Martine et Marie. Les deux femmes s’étaient rencontrées par hasard quelques années plus tôt alors qu’elles venaient toutes deux de divorcer. Elles s’étaient trouvées de nombreux points communs, outre leur divorce et leur fille de 18 ans. Les deux jeunes filles, quant à elles, avaient vite fait connaissance et étaient devenues les meilleures amies du monde. Toutes deux sortaient d’une grosse déception amoureuse et elles avaient trouvé consolation en se caressant mutuellement d’abord de façon très soft, pour terminer têtebêche en se léchant la chatte. Depuis elles se gouinaient régulièrement et s’étaient jurées de ne plus toucher aucune bite

Janine avait loué une villa en Provence, à l’écart de la foule, avec, pour la plus grande joie des filles, une piscine. La veille du départ, il fut décidé de se réunir chez Janine, qui possédait un magasin de vêtements, afin de pouvoir partir tôt le lendemain.

– Ce sera plus facile comme ça, avait dit Janine. De plus, j’ai tout un stock de vêtements d’été qui n’a pas été vendu. Vous pourrez choisir ce qui vous plaît pour les vacances.

Elle ajouta à l’adresse de Nicole:

– Il y a aussi de superbes maillots de bains très sexy. Je suis sûre qu’ils vont te plaire.

Ainsi fut fait. Le vendredi soir, Nicole et sa fille débarquèrent chez Janine avec leurs bagages. Elles se sentaient déjà en vacances, débarrassées des soucis quotidiens et ravies à la pensée de cette séance d’essayage. Janine et Marie les accueillirent avec joie, les débarrassèrent de leurs valises et s’empressèrent de les conduire au salon. Là, Janine avait déballé un nombre impressionnant de robes, jupes et autres maillots de bain.

– Que chacune fouille dans le tas, dit Janine. Les vêtements d’abord. Nous essayerons les maillots ensuite.

Elles ne se firent pas prier. Bientôt les quatre femmes avaient jeté leur dévolu, qui sur une petite robe imprimée, qui sur une minijupe en coton, qui sur un ensemble de plage, etc…

– Je ne pense pas que le passage en cabine d’essayage soit nécessaire, reprit Janine. Nous sommes entre femmes après tout.

Personne ne la contredit. Nicole, qui avait choisi l’ensemble de plage, fut la plus prompte à se mettre en culotte et soutien-gorge. Sa fille, Martine s’empressa d’en faire autant pour essayer la minijupe et le corsage qui l’avait séduite. Marie ne fut pas en retard pour pouvoir essayer la robe imprimée tandis que sa mère, suivant le mouvement, fut vite prête à enfiler une autre robe. Une fois les quatre femmes rhabillées, les exclamations fusèrent. Chacune s’admirait, prenant des poses plus ou moins lascives et éclatait de rire pour un rien. Le petit jeu se répéta ainsi plusieurs fois avant que tout le monde n’ait choisi ce qui lui convenait.

– Parfait, dit Janine. Il est temps d’essayer les maillots, à présent.

Les trois autres applaudirent comme des gamines.

– J’ai déjà choisi un maillot pour chacune. Bien sûr, si ça ne vous plaît pas, vous pourrez toujours changer.

Elle tendit à chacune une tenue de bain. Nicole déplia la sienne et s’exclama en le montrant:

– Tu crois que je peux porter ça ? J’ai l’impression que ça ne va pas cacher grand-chose.
– Mais si, mais si, répondit Janine. Je suis certaine que tu seras parfaite là-dedans.
– Si tu le dis.

Les deux filles avaient regardé le maillot en souriant. C’est vrai qu’il y avait bien peu de tissu. Elles attendaient avec impatience de voir l’effet produit sur Nicole une fois enfilé. Celle-ci reprit:

– Il semblerait que je sois le centre d’intérêt du moment. Eh bien, puisqu’il faut une première, allons-y. Mais je vous interdis de rire.

– Pourquoi se moquerait-on de toi ? dit sa fille. Tu es plutôt bien foutue. Ce maillot va t’aller comme un gant.
– Espérons-le, dit Nicole en retirant sa robe.

Elle jeta un regard circulaire, puis dégrafa son soutien-gorge. Ses seins jaillirent. Ils étaient imposants, comparés à ceux de son amie, mais se tenaient fièrement sans montrer le moindre signe d’affaissement. Sa fille siffla doucement pour montrer son admiration.

– De quoi te plains-tu ? Dit-elle. Moi j’aimerais bien avoir les mêmes à ton âge.
– Merci ma chérie. J’espère que le reste ne te décevra pas.

Elle tourna le dos et, lentement, comme une strip-teaseuse, fit glisser sa culotte le long de ses jambes. Elle se pencha pour la dégager de ses pieds, et offrit ses fesses aux regards des autres.

– Alors, fit-elle sans bouger. On n’applaudit pas l’artiste ?
– Jamais avant le final, dit Janine en riant.
– Petites vicieuses, reprit Nicole. Dans ce cas, le spectacle continue.

Prise au jeu, elle se pencha encore plus en avant et se caressa ses fesses.

– Encore ! Encore ! firent les autres.

Devant l’enthousiasme général, Nicole poursuivit. Des deux mains, elle écarta ses fesses donnant aux autres la vision parfaite de son cul. Des sifflets fusèrent, bientôt suivis d’applaudissements.

– Gardez vos applaudissements pour la fin, dit-elle. Le meilleur est encore à venir.

Elle relâcha ses fesses et se redressa. Puis ramenant une main sur son ventre, elle se retourna lentement. Son autre main jouait avec sa poitrine, pelotant les seins lascivement. Elle passait sa langue sur ses lèvres et lançait des œillades provocatrices.

– La chatte ! La chatte ! se mit à crier Janine. On veut voir la chatte !

Rapidement, Nicole échangea la place de ses mains. Le mouvement avait été si brusque que personne n’avait eu le temps d’apercevoir son sexe. Elle reprit ses caresses sur sa poitrine, puis écarta les doigts de son autre main. Rien n’était encore visible. Sa paume cachait toujours son sexe aux autres qui n’en perdaient pas une miette. Finalement, elle retira sa main et étendit les bras en un geste de triomphe. Les autres se déchaînèrent, applaudissant à tout rompre.

– Vous en voulez encore ? demanda Nicole.
– Oui, oui, répondirent trois voix unanimes.

Nicole n’attendait que ça. Elle s’assit sur l’accoudoir d’un fauteuil, écarta les jambes et rejeta sa tête en arrière. Son sexe largement ouvert attirait tous les regards. Elle semblait comme grisée et se sentait prête à toutes les indécences. Ni la présence de son amie, ni même celle de sa propre fille ne pouvait la retenir. Elle savoura son triomphe, puis, mue par une force irrésistible, redressa la tête et, ramenant les mains vers son ventre, écarta les lèvres de son clito qui montrait tous les signes d’une formidable excitation.

– Magnifique ! s’exclama Janine. On dirait que tu as fait ça toute ta vie.

Nicole revint lentement à la réalité. Elle se sentait vidée mais aussi un peu honteuse de s’être ainsi donnée en spectacle devant trois autres femmes.

– Je… je ne sais pas ce qui m’a pris, bredouilla-t-elle en ramenant ses mains devant son ventre.
– Tu as été géniale, maman, dit sa fille. Vraiment géniale !
– Tu… tu trouves ?
– Bien sûr, pas vrai Marie ?
– Oh oui. J’ai adoré.
– Nous avons toutes adoré, reprit Janine.

Devant une telle unanimité, Nicole se rasséréna. Après tout, si tout le monde avait adoré, pourquoi serait-elle honteuse. Elle aussi avait pris plaisir à s’exhiber sans pudeur. Elle se rappela soudain le maillot de bain et allait le saisir lorsqu’elle repensa aux paroles de Janine:

« C’est une villa superbe, avait dit cette dernière. Petite mais charmante avec tout le confort et surtout une piscine. En outre, elle est complètement isolée du monde et entourée d’un mur de trois mètres de haut. Aucun risque d’être dérangé. On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit »

Cette dernière phrase résonna dans son esprit. « On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit ». Elle regarda Janine et dit:

– Tout compte fait, je ne crois pas que je vais essayer le maillot.
– Ah bon, pourquoi ? demanda Janine étonnée.
– Parce que je n’en aurais pas besoin. N’as-tu pas dit, je cite: « On pourra même se balader à poil sans gêner qui que ce soit » ?
– C’est vrai !
– Alors pourquoi s’embarrasser de maillots de bains ?
– Ma foi, tu as raison. Vive la liberté ! Tout le monde à poil sans contrainte !
– C’est dommage, intervint Martine.
– Pourquoi est-ce dommage, ma chérie, demanda sa mère ?
– Parce que, pas de maillot de bain, pas d’essayage.
– Oh, mais est-ce-que ma petite fille ne serait pas une peu vicieuse, par hasard ?
– Pas plus que toi, ma chère maman.
– Touchée, dit Nicole.
– Peut-être pourrions-nous contenter tout le monde, dit Janine. Il n’est pas juste que ta mère soit la seule à s’être déshabillée en public. Que penseriez-vous d’un concours de strip-tease ? Puisque de toutes façons nous nous côtoierons tous les jours dans le plus simple appareil, pourquoi ne pas commencer tout de suite ?
– Tout à fait d’accord, dit Nicole qui ne voulait pas être la seule à s’être donnée en spectacle.
– Accepté, répondirent les filles en chœur.
– Qui commence ? demanda Janine.
– Martine, pardi, dit sa mère. C’est elle qui vient de se plaindre.
– Et pourquoi pas un duo ? dit Marie. Martine et moi.
– Excellente idée, fit sa mère.
– D’accord, fit Martine. Mais je vous préviens, je n’ai ni la poitrine ni le savoir-faire de ma mère.
– Aucune importance, ma chérie, dit sa mère. Tu verras, ça vient tout seul. Mais tout d’abord, il faut créer l’ambiance. Lumières tamisées et musique.
– Je m’en charge, dit Janine.

Lorsque tout fut prêt, les deux filles vinrent se placer au centre de la pièce et retirèrent rapidement leurs vêtements. Janine maniait le rayon lumineux d’un spot comme une vraie professionnelle. Martine, contre toute attente, dégrafa le soutien-gorge de son amie en suivant le rythme langoureux de la musique et en ondulant lascivement. Marie fit de même en essayant de suivre les mouvements de son amie. Leurs jolies poitrines, éclairées par le spot, suscitèrent des commentaires admiratifs. Les deux filles, tout en dansant nonchalamment, se rapprochèrent l’une de l’autre et firent mine de se caresser les seins. Puis, leurs mains descendirent et se posèrent sur les culottes. Leurs ventres se soudèrent et se frottèrent en rythme sous le regard subjugué de leurs mères. Finalement, Marie recula d’un pas et s’agenouillant, déculotta lentement son amie. Elle se releva et ce fut au tour de Martine de lui ôter sa culotte.

L’opération terminée, les deux filles s’enlacèrent de nouveau pour effectuer quelques pas de danse, sexe contre sexe. Les deux mères étaient au comble de l’excitation. Janine avait passé sa main droite sous sa jupe et se caressait lentement à travers le tissu de son slip. Nicole, voyant cela, n’avait pas réfréné longtemps ses pulsions. Sa main s’était bien vite posée sur son sexe et allait en venait en cadence. Les deux filles se séparèrent de nouveau et tournèrent le dos à leurs mères. Dans un ensemble presque parfait, elles se penchèrent en avant et écartèrent leurs fesses. Abandonnant sa branlette, Janine fit effectuer un balayage des deux culs par le faisceau lumineux. Jugeant que le moment était venu, les jeunes filles se retournèrent, exposant leurs chattes à la lumière du spot. Elles luisaient d’humidité et les lèvres de leurs clitos étaient en pleine érection. Chacune d’elles les écarta des deux mains en balançant le bassin d’avant en arrière en faisant des moues très suggestives avec la bouche. Soudain, Marie relâcha son clito et fit lentement glisser son index sur le sexe de Martine. La lumière du spot se fixa sur la scène.

Marie retira son doigt et fit mine de le porter à sa bouche. Sa langue dardée entre ses lèvres, esquissa un mouvement de léchage des plus érotique. Elle reprit alors sa position précédente, donnant ainsi l’occasion à son amie d’imiter son geste. Mais contrairement à elle, Martine ne fit pas semblant. Emportée par l’atmosphère de luxure qui régnait dans la pièce, elle enfourna son index dans sa bouche et le suça avec délectation. La musique se tut, la laissant figée dans cette attitude. Janine ralluma le plafonnier et applaudit spontanément accompagnée de Nicole qui poussait des exclamations de joie. Les jeunes filles s’inclinèrent plusieurs fois avant de venir s’asseoir dans le canapé.

– Ça vous a plu ? demanda Marie.
– Fabuleux ! s’exclama sa mère.
– Magnifique ! Renchérit Nicole. On se serait cru dans un vrai cabaret. Quel talent ! J’espère que vous recommencerez lorsque nous serons en vacances.
– Pourquoi pas ? dit Martine en faisant un clin d’œil à son amie.
– Ce sera difficile de faire mieux, reprit Janine.
– Qui sait ? dit Nicole. Avec un peu d’entraînement, je suis sûre qu’elles pourraient nous exciter encore davantage.
– Ça m’étonnerait, reprit Janine. Je n’ai jamais été aussi excitée. Ma culotte est trempée.
– Eh bien c’est le moment de nous faire voir ce que tu sais faire, dit sa fille.
– Tu as raison, dit Janine. A mon tour de vous faire mouiller.

Elle éteignit le plafonnier, laissant le soin à sa fille de s’occuper du spot. Une fois la musique remise, elle se lança dans une danse lascive. Elle ôta sa robe en un tournemain puis se caressa la poitrine et le ventre à travers ses sous-vêtements. Marie pointa le spot sur sa culotte qui s’auréolait à présent d’une tache humide très éloquente. Janine fit signe à Nicole d’approcher pour pimenter le spectacle. Celle-ci passa derrière elle et, après lui avoir dégrafé le soutien-gorge, se mit à lui peloter les seins en suivant le tempo. Janine se cabra et prit des poses sans équivoque sous les mains expertes de son amie. Elle pencha même la tête en arrière pour l’embrasser à pleine bouche. Nicole ne lui refusa pas ses lèvres. L’auréole de sa culotte s’élargissait de seconde en seconde. N’y tenant plus, Nicole s’agenouilla devant elle et la lui retira. Puis, au lieu de poser le sous-vêtement sur la pile d’habits, elle le porta à son visage et huma lentement le parfum musqué qui s’en dégageait. Elle s’en servit ensuite pour frotter son sexe en poussant des gémissements de plaisir. Finalement, elle rejeta la culotte au loin et, faisant pivoter Janine face à elle, lui fit baisser la tête. Ses mains s’emparèrent alors des fesses de son amie et les écartèrent. Marie et Martine poussèrent des cris de joie.

– Encore ! Encore !

Nicole fit relever puis pivoter Janine face aux jeunes filles. Le spot reprit position sur le sexe de Janine qui ruisselait. Toujours debout derrière elle, Nicole écarta les lèvres du clito de son amie, dévoilant le plus secret de son intimité. C’est sur cette scène torride que la musique s’arrêta. Il fallut plusieurs secondes aux quatre femmes pour reprendre pied avec la réalité. Finalement, Marie ralluma le plafonnier en soupirant puis se jeta dans les bras de sa mère en la félicitant. Martine avait pris la sienne par la main et l’avait fait asseoir à côté d’elle. Les deux filles ne tarissaient pas d’éloges sur la prestation de leurs mères.

– On aurait dû filmer, dit Marie. Ça aurait fait une vidéo géniale !
– Oh oui, ajouta Martine. C’est bête qu’on n’y ait pas pensé. J’avais ma caméra dans mon sac.

L’atmosphère était toujours chargée mais la tension engendrée par la démonstration des deux femmes était légèrement retombée. Cependant, il était clair qu’aucune ne voulait en rester là. Les pulsions sexuelles avaient trop été exacerbées pour ne pas aller plus loin. Il s’agissait, à présent, de trouver un prétexte pour les assouvir. Malgré tout ce qui venait de se passer, personne n’osait faire le geste qui aurait tout déclencher. Ce fut Janine qui rompit le silence:

– C’est dans des moments comme celui-ci que je regrette l’absence d’un homme.
– Il y a d’autres moyens de se satisfaire, dit Nicole et posant sa main droite sur la cuisse de son amie.
– Bien sûr, qu’il y a d’autres moyens. Mais une branlette ne m’a jamais procuré autant de plaisir qu’une bonne queue dans le con.
– J’ai peut-être une solution, reprit Nicole.
– Tu ne vas tout de même pas inviter un homme ici ?
– Tu rigoles ? Tu imagines un mâle ici, au milieu de quatre femelles en chaleur, deux jeunes et deux vieilles.
– Alors, c’est quoi ta solution ?
– Moi, je sais, intervint Martine avant que sa mère n’ait ouvert la bouche.
– Ah, parce qu’en plus tu as fouillé dans mes affaires.
– Ben oui. Je cherchais quelque chose et… et je l’ai trouvé.
– Mais enfin, s’exclama Janine, je pourrais savoir de quoi vous parlez ?
– Attendez-moi quelques instants, reprit Nicole. Je reviens tout de suite.

Elle se leva et quitta la pièce. Janine tenta d’obtenir de plus amples informations auprès de Martine mais celle-ci refusa d’en dire plus. Lorsque Nicole revint au salon, elle portait une petite trousse à fermeture éclair. Elle reprit sa place sur le canapé et, avec des airs de conspiratrice, l’ouvrit. Elle en sortit triomphalement un vibromasseur de bonne taille.

– Voilà l’objet, dit-elle. Et je peux vous assurer que ça vaut toutes les bites du monde. Infatigable et toujours raide.
– Tu… tu utilises ce machin ? Demanda Janine. Et depuis quand ?
– Oh, je l’ai acheté tout de suite après le départ de Marcel. J’en avais trop besoin. Depuis, je l’ai toujours avec moi. Tu veux essayer ?

Janine ne répondit pas. Se donner en spectacle devant les autres, emportée par l’ambiance, c’était une chose, mais se ramoner le con en était une autre. Elle en avait une envie folle mais ne pouvait se résoudre à franchir le pas. Finalement, elle bredouilla:

– C’est que, que je ne sais pas comment… comment faire.
– Tu pourrais nous faire une démonstration, dit Martine à sa mère.
– Oh oui, ajouta Marie. Faîtes nous voir comment on fait.

Devant tant d’insistance, Nicole ne pouvait que s’exécuter.

– Très bien, dit-elle. Mais après ce sera à toi Janine.
– D’accord, fit cette dernière, un peu réticente malgré tout.
– Bien sûr, ce serait encore mieux si quelqu’un s’en occupait, mais…
– Moi je veux bien, dit sa fille. Si tu es d’accord, naturellement.
– Mais enfin, chérie, tu es ma fille.
– Et alors ? Où est le problème ?
– C’est vrai, dit Marie. Quelle importance ? Après tout ce que nous avons fait jusqu’à maintenant.
– Personnellement, je n’y vois aucun inconvénient, ajouta Janine.
– Bien, dit Nicole. Puisque tout le monde se ligue contre moi, allons-y. Tu sais comment ça fonctionne, demanda-t-elle à sa fille ?
– Naturellement.
– Suis-je sotte, reprit Nicole. Tu n’as pas pu t’empêcher de l’utiliser, évidemment.
– Évidemment ! .
– Alors, à toi de jouer.

AAVF1Elle lui tendit l’objet et s’enfonça dans le canapé, les jambes grandes ouvertes. Janine et Marie se levèrent pour venir s’accroupir de part et d’autre alors que Martine prenait place entre les jambes de sa mère. La jeune fille se mit tout d’abord à caresser la chatte de sa mère avec l’extrémité du vibromasseur. Puis, elle écarta les lèvres du clito d’une main mettant le con bien évidence. Elle enfonça alors l’engin avec une lenteur mesurée. Lubrifié par le jus abondant, il glissa sans rencontrer la moindre résistance. Nicole se mit à gémir en remuant le bassin. Martine enclencha l’appareil qui émit aussitôt un bourdonnement significatif. La chatte fut agitée de vibrations régulières qui se prolongeaient dans tout le corps de Nicole. Excitée comme elle l’était, elle jouit presque tout de suite en libérant un ruisselet de jus. Martine n’arrêta pas l’appareil pour autant. Au contraire, elle lui appliqua un mouvement de va-et-vient qui venait compléter ses propres vibrations. Nicole s’agita de plus en plus et se mit à crier sans retenue. Martine s’appliqua à prolonger son plaisir en arrêtant l’appareil par intermittence. Chaque fois que sa mère parvenait au bord de l’orgasme, sa fille stoppait tout mouvement. Finalement, suppliée par sa mère, Martine alla jusqu’au bout. Un cri strident la récompensa de ses efforts. Sa mère avait enfin atteint l’orgasme. Martine arrêta le vibromasseur et le retira du con ruisselant de jus.

– Convaincues ? demanda-t-elle à Janine et Marie en se relevant.
– Extraordinaire ! dit Janine. Jamais je n’ai vu quelqu’un jouir avec autant de force.
– Ouaah ! fut la seule réaction de Marie.

Nicole reprenait lentement conscience. Elle sourit à sa fille et la tira en avant pour la serrer dans ces bras.

– Martine, dit-elle, tu es la meilleure baiseuse que je connaisse. Il y a bien longtemps que je n’avais joui aussi fort.
– Merci maman, dit sa fille en l’embrassant tendrement.

Elle se dégagea à regret des bras de sa mère et s’adressa aux autres en brandissant le vibromasseur:

– A qui le tour ?
– Il faudrait peut-être le nettoyer avant, intervint sa mère.
– Comme ça ? Fit Martine et passant sa langue sur l’objet. Mmm, qu’est-ce-que c’est bon. Tu veux goûter ? dit-elle en le tendant à Marie.
– Pourquoi pas, répondit celle-ci.

Elle le prit des mains de son amie et le lécha derechef.

– Mmm, mmmmm. Tu as raison, dit-elle. C’est délicieux. Tu en veux, maman ?

Emportée par l’enthousiasme collectif, Janine hocha la tête. Elle enfourna l’objet dans sa bouche avec ravissement. Les bruits de déglutition qu’elle faisait ne laissaient aucun doute sur son opinion. Elle le retira de sa bouche et commenta:

– Vraiment très bon. Dommage que vous en ayez laissé si peu.
– Qu’à cela ne tienne, dit Marie en posant son regard sur le ventre de Nicole. Il y en a encore suffisamment à la source.

Janine perdit alors toute retenue. Elle poussa les jeunes filles et s’installa à quatre pattes entre les jambes de Nicole. Aussitôt, elle plongea la tête en avant et se mit à donner de grands coups de langue sur le sexe trempé. Nicole sursauta sous l’assaut imprévu mais apprécia. Tantôt suçant, tantôt lapant, Janine ne tarda pas à faire jouir son amie de nouveau. Un tel spectacle ne pouvait laisser Martine et Marie de marbre. Elles se jetèrent dans les bras l’une de l’autre et se mirent à se peloter avec frénésie. Bien vite, elles se retrouvèrent allongées sur la moquette, tête-bêche, occupées à se sucer la chatte mutuellement. La pièce résonna bientôt de gémissements et de cris de jouissance sexuelle. Emportées par leur désir, les quatre femelles oublièrent complètement tout tabou. Janine, après avoir comblé Nicole, s’occupa de sa fille tandis que Martine et sa mère faisaient l’amour sans arrière-pensée. On changea plusieurs fois de partenaire au cours de cette soirée de débauche. Et finalement, toutes les quatre titubèrent de fatigue jusque dans les chambres où elles s’écroulèrent délicieusement repues.

Le lendemain-matin très tôt, elles se levèrent encore un peu étourdies par leur folle nuit sans ressentir toutefois l’ombre d’un remords. Aussitôt après le petit-déjeuner, elles chargèrent la voiture et quittèrent l’appartement. Le long trajet jusqu’à leur destination fut évidemment prétexte à de nouveaux attouchements, surtout entre les deux jeunes filles qui avaient pris place à l’arrière. Janine avait bien de la peine à se concentrer sur la conduite en entendant les soupirs et les gloussements qui lui parvenaient. Nicole, quant à elle, avait la chance de pouvoir se libérer de son excitation en se branlant lentement tout en jetant un œil vers l’arrière. Ce n’était cependant pas suffisant pour assouvir complètement son désir et elle brûlait d’envie de rééditer ses exploits de la veille.

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 12 novembre 2021 5 12 /11 /Nov /2021 16:27

Le château maléfique par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Batgirl

La route défile comme un long ruban monotone…. Juliette d’un geste machinal caresse ses longs cheveux de jais encadrant l’ovale d’un visage très pâle…

 

Il fait froid, mais d’un froid sans comparaison aucune avec l’hiver qui s’annonce. Un froid laissé par l’angoisse et dont Juliette se dit qu’il ressemble à ses feuilles délaissées par l’automne qu’un vent maladroit jette à la figure des étoiles… qui s’en foutent. La voiture dans laquelle, presque contre son gré elle s’était tout à l’heure assise, pensant à défaut de s’y plaire au moins de s’y trouver à l’aise, se dirige maintenant à vive allure vers une destination que seul l’ordonnancier de leur vie semble connaître. Ne sachant conduire elle a pris place comme à l’accoutumée à l’arrière et partage son temps entre le paysage qui défile et le cuir mou du siège. Elle demeure blottie, prisonnière d’elle-même, comme confinée dans un tourment assassin, pour ne pas dire autiste.

 

Juste devant elle, il y a Sylvie, cheveux châtain et gros nichons, qu’elle considérait comme une amie et à ses côtés, assise au volant, Isabelle qui parfois détourne son regard de la route pour se moquer de son air contrit. Isabelle, c’est cette femme blonde dont le profil évoque tout à la fois le requin ou le rapace, ce qui ne l’empêche nullement d’être très belle.

 

Sylvie la lui a présentée un soir de débauche.

 

– Regarde ma copine comme elle se fait bien enculer par cette bonne bite !

 

Effectivement un grand gaillard coiffé à la Bob Marley, lui faisait gouter les joies de la sodomie en commentant ses assauts d’un langage abscons.

 

– Mets-toi devant elle, elle va te sucer la moule…

 

Les trois filles devinrent inséparables… pendant une semaine.

 

C’est alors que les ennuis ont commencé. Il leur fallait de l’argent à ces deux connes, un petit braquage sans histoire avaient-elles dit. Le bruit des balles siffle encore autour de Juliette qui semble de loin la plus perturbée, et puis ce policier mort pour quoi ? Une question qui n’a trouvé de réponse que dans la fuite. Juliette voudrait dire à Sylvie qu’elle arrête de fumer ces putains de cigarillos qui puent, mais elle pense qu’en fait c’est son esprit tout entier qui pue. Elle ne dit rien et Sylvie semble la toiser du haut de son indifférence, laissant à sa froide beauté le soin de couper toute envie de conversation. On a connu des statues plus expressives.

 

De son futur elle ne ressent plus que la crainte et la faillite. La route devient difficile. Sylvie prétend qu’elle est déjà venue dans la région à une époque où le tourisme y était prospère et qu’elle se souvient vaguement d’un raccourci, une route peuplée de légendes macabres dont elle a oublié de se rappeler. Elles en rient tandis que Juliette ne les écoute pas ou peu. Il paraît que personne n’en est jamais revenu et que l’on ignore où elle mène et surtout si elle mène quelque part. Sylvie trouve que c’est justement l’endroit idéal pour une retraite, pour s’y faire oublier. Juliette, elle, elle sait où elle va, elle va à ce néant qui est aujourd’hui sa vie : elle n’aura plus jamais chaud.

 

La voiture s’avance, emprunte le raccourci, le destin parfois aussi emprunte d’étonnants raccourcis. Le décor souffre d’un manque de rigueur, les ravins succèdent aux précipices, les montagnes s’alignent en cohorte montante et le soleil quant à lui s’il ne s’appuie pas encore nettement sur l’une d’elle est néanmoins déjà mourant.

 

« Le jour décline la nuit augmente, Le gouffre a toujours soif »

 

Juliette se récite Baudelaire à voix lente. Puis elle le regarde, ce soleil, le premier qui lui échappe d’un jour maudit, elle le regarde délaisser un peu de son sang sur les bords frangés des collines. Tout lui rappelle son malheur : la route caillouteuse, la profondeur des précipices, la pénombre étouffante, et le soleil qui pose son agonie… Soudain Isabelle s’agite et la tire de son soliloque.

 

– Vous voyez ce que je vois ! s’écrie-t-elle excitée comme à son habitude, quand elle n’est pas de mauvaise humeur.

– On dirait un château, répond Sylvie tandis qu’elle passe une main dans ses longs cheveux châtains.

 

En effet une grande bâtisse à l’allure baroque s’élève maintenant devant les trois femmes. Les fenêtres sont à ce point imposantes qu’on dirait des yeux et la porte d’entrée à tout d’une bouche béante aux commissures sournoises. Ce château est un visage à lui tout seul. Il porte cependant en lui quelque chose de démesuré qui fait peur à Juliette qui croit y reconnaître les traits d’un homme jadis connu rapporté de loin par dieu seul sait quel souvenir antique. Une tour secouée par le vent et habitée par son murmure semble battre la mesure du temps, un doux vol d’hirondelles lui octroie un peu de vie et néanmoins s’échappe très vite de ses coteaux avant de se jeter à l’arrière du château dans le précipice qui le jouxte de très près.

 

– Alors tu viens Juliette ou il faut que l’on vienne chercher ! crie alors Isabelle qui déjà s’approche de la porte. J’ai attendu d’avoir 29 ans pour voir ça s’écrie-t-elle, à nouveau excitée.

– Moi j’ai cinq ans de moins et je m’en serais bien passée, s’exclame Sylvie désappointée.

 

Juliette n’a pas d’autre choix que de les suivre… Isabelle en tête, les trois femmes s’approchent de l’imposante porte d’entrée. Le heurtoir de bronze les fixe d’un regard mauvais, Juliette frémit tout en essayant de se convaincre que ce n’est que son imagination qui lui joue des tours. Isabelle hésite à frapper : si le château est abandonné, cela n’aura pas d’importance. Mais s’il ne l’est pas, que diront les propriétaires ? Ils risqueraient de les reconnaître et d’appeler la police, leur signalement doit avoir été diffusé partout ! Comme si elle avait lu dans son esprit, Sylvie suggère :

 

– On n’a qu’à entrer en douce et traquer les habitants s’il y en a. On avisera une fois qu’ils seront hors d’état de nuire…

 

Juliette a un hoquet involontaire

 

– Vous voulez les tuer ?!

– Qui parle de les tuer, idiote ! On peut se contenter de les assommer un peu…

 

Et le regard complice qu’elle échange avec Isabelle clôt le débat.

 

Juliette n’aura pas son mot à dire cette fois-ci non plus. Sylvie et son amie entrouvrent alors la porte en évitant autant qu’elles peuvent de la faire grincer. La porte est lourde et le long cri que poussent les gonds rouillés trahit l’inutilité de leur effort. Elles tirent alors le battant, se moquant désormais du bruit qu’elles feront avec cette porte, tant pis pour la discrétion.

 

Isabelle sort son arme et chuchote :

 

– Sylvie, prend cette idiote avec toi et va explorer l’aile droite. Je pars vers la gauche. Rendez-vous ici dans une heure.

 

Sylvie acquiesce, s’arme de son couteau et attrape Juliette par le bras.

 

– Tu n’as pas intérêt à faire un seul bruit, toi !

 

Juliette se dégage et jette un regard noir à cette fille qu’elle ne reconnaît plus comme son amie. Puis son regard s’étend vers l’immense hall dans lequel elles se trouvent. La décoration est grandiose, riche et pleine de goût, mais tout semble poussiéreux, comme si le château avait été abandonné depuis des années. L’antiquité des lustres et la patine du bois des escaliers ajoutent à l’atmosphère fantastique qui emplit ces lieux. Cependant, une torche enflammée accrochée au mur trahit une présence… Quelqu’un est passé ici il y a peu de temps.

 

– On se croirait dans un film… Mieux, dans un conte ! Pense la jeune fille qui involontairement repense à la Belle et la Bête de Cocteau. Tout à fait cette atmosphère obscure et poussiéreuse…

– Et bien alors ? Il n’y a pas l’électricité ici ? S’exclame Sylvie, visiblement mal à l’aise. Cet endroit me donne le frisson !

 

Mais Juliette ne l’écoute pas. Elle est subjuguée par la grandeur de l’endroit, par le velouté des tentures, le rouge et l’or des tapis et des cadres, par cette lumière dansante et tamisée que projettent les chandelles des lustres et les torches aux murs. Elle se sent curieusement bien, pour la première fois depuis longtemps… Comme si elle connaissait cet endroit, comme si elle était ici chez elle.

 

– Sans doute parce que j’ai toujours aimé la littérature fantastique… Je dois sûrement associer ce château à l’une ou l’autre de ces aventures imaginaires. Pensa-t-elle à la recherche d’une explication.

 

Sans qu’elle s’en rende compte, elle a pris les devants et explore, pleine d’enthousiasme, les nombreuses pièces du château, Sylvie anxieuse sur ses talons.

 

L’heure écoulée, les trois femmes se retrouvent devant la grande porte.

 

– Je n’ai trouvé personne, commença Isabelle. C’est étrange, car le château ne peut pas être abandonné, il y a des torches partout et j’ai entendu le mouvement d’une horloge.

– Et pas d’électricité ! Ajouta Sylvie.

– Quoi qu’il en soit, j’ai trouvé des chambres, à l’étage. On va pouvoir dormir ici. Rien d’intéressant chez vous ?

– Non. Une salle à manger, une salle commune, des toilettes à la turque,….

 

Les yeux d’Isabelle s’illuminent :

 

– Une cuisine aussi ?

– Oui, mais vide.

– Dommage. On ne mangera pas ce soir.

 

Juliette se risque à placer un mot.

 

– Vous ne trouvez pas ça bizarre vous ? De la poussière comme si le château était abandonné, des lumières comme s’il était habité, mais une cuisine vide et pas d’électricité ni d’eau courante ! On se croirait revenu en arrière dans le temps ou quelque chose dans le genre.

 

Les deux complices se taisent un instant, mais Sylvie brise le silence :

 

– Arrête avec tes conneries, tu me donnes la chair de poule !

 

Puis après un autre instant de silence :

 

– Je propose qu’on monte à l’étage se trouver des lits. Plus vite la nuit sera passée, mieux je me sentirais !

 

Acquiesçant sans mot dire, Isabelle monte à l’étage, suivie de près par Sylvie. Juliette en arrière de quelques marches à un sourire émerveillé. Celui-ci cependant se fige quand elle voit au milieu des nombreux portraits qui semblent saluer leur ascension se dessiner le visage plaisant d’un jeune homme vêtu du plus bel habillage. Contrairement aux autres aucune date ne stipule sa naissance et moins encore sa mort. Le cadre est légèrement de travers, l’empêchant de mieux en apprécier les détails, mais elle parvient néanmoins à déceler quelque chose d’attendrissant qui s’enfuit du regard, lequel ne paraît avoir d’éclat que pour elle et semble habité de cette lueur surannée des gens pour qui l’avenir n’est qu’un passé recomposé. Un nom émerge un temps de la poussière : Desmond.

 

– Tu te dépêches, geins soudain Sylvie tirant Juliette de sa torpeur, Isabelle nous a trouvé une chambre !

 

Juliette ne peut contenir un regard à nouveau haineux à l’encontre de Sylvie ! Et la considérant des pieds à la tête elle se demande une fois de plus où elle a bien pu apprendre à s’habiller ! Son débardeur à bretelles fait office de soutien-gorge et surplombe un jeans qui semble avoir trop pris le moule de ses fesses.

 

« Elle va bien avec l’autre ! », pense-t-elle,

 

L’autre c’est à dire cette Isabelle qu’elle voudrait n’avoir jamais connue et qui est toujours à se mettre des mini-jupes en cuir pour appuyer l’aimable richesse de son postérieur. Juliette s’enquière alors d’une autre chambre, ne désirant pas partager plus longtemps son espace avec les deux pétasses qui ont maintenant au moins mérité son antipathie. Au vu du nombre de pièces qu’abrite le château le choix se pose en embarras et pourtant elle arrête très vite ce dernier sur la chambre voisine, non sans en avoir visité quelques autres au préalable qui lui ont laissé de la poussière aux lèvres. Celle-ci l’intrigue. D’abord à cause de la porte surmontée par une sorte de pentacle et aussi en ce qu’elle lui parait la plus courtoise en comparaison de l’austérité du reste. Ses dimensions sont immenses et elle semble avoir été pensée en fonction du grand lit à baldaquins qui à lui seul remplit tout un côté de la pièce. L’atmosphère y est chaude et l’air moins humide que partout ailleurs dans le château. Une énorme commode fait face au lit tandis qu’au centre se trouve un boudoir lui-même surmonté de trois bougies séparées sur une égale distance et entourant un livre mis de biais et portant le titre énigmatique de « Ma Mémoire Morte ».

 

Juliette qui a oublié d’être indifférente, s’empresse de le feuilleter, l’écriture est vive et nerveuse, rendant la lecture délicate, et les ratures sont nombreuses qui portent sur des mots comme amour, aimée, douleur, cercueil, joie. Cela ressemble à un livre de bord sans pour autant en être un. Des dates ponctuent les pages et donnent le rythme des siècles : 1590, 1614, 1780, 1850, 1910. A chacune d’elles semble correspondre un événement enfanté dans le supplice et succédant à un grand vide de mots. Un nom revient sur à peu près chaque page, un nom de femme : Luciana. Il est bien impossible à Juliette de tirer un récit de ses brides, elle n’en demeure pas moins interloquée et merveilleusement captivée. Une page semble avoir été déchirée et Juliette s’amuse à imaginer le chemin qui l’a conduite à émigrer en toute fin de volume. Celle-ci est demeurée lisible malgré quelques taches et pose une généalogie bizarre faisant état de plusieurs noms s’embrassant au sein d’une histoire quelque peu morbide, calquée semble-t-il sur la mort elle-même.

 

On y parle essentiellement de la comtesse Elisabeth Bathory, épouse du compte Ferenz Nasdady le héros noir de la Hongrie connu surtout pour ses hauts faits de guerre. De sang royal, elle se devait d’avoir sa place dans l’Histoire non pour la noblesse de son cœur mais pour l’étendue de ses crimes perpétrés en son château de Csejthe. Un croquis rapidement esquissé montre un bâtiment fort semblable à celui qui les héberge aujourd’hui. Mélangeant rituels ésotériques et scènes de tortures la comtesse Bathory se lavait du sang de ses victimes pour protéger sa jeunesse. Elle eut quatre enfants dont un fils qui, écœuré, la dénonça et dont elle devait se venger de la plus terrible des façons en faisant de Luciana, sa fiancée, sa dernière victime. Il s’appelait Desmond, Juliette pensa tout de suite au portrait dont elle regrettait qu’il n’ait eu de voix pour parler, mais certains silences sont plus évocateurs qu’aucun mot.

 

Tout en continuant la lecture, qui maintenant la captive autant qu’elle l’effraye, elle apprend ainsi que la comtesse a été emmurée dans cette chambre même où elle se trouve aujourd’hui, avant d’y mourir quatre années plus tard à l’âge de cinquante-quatre ans, en 1614. Le compte rendu s’arrête ainsi net sur la mort de la comtesse, ne disant rien sur le devenir de ce pauvre Desmond. Juliette frissonne et pense que cette page plutôt que déchirée a dû être rajoutée bien des années plus tard par elle ne quel trublion qui avait rêvé de joindre la parole au mythe. Il lui reste maintenant à visiter la commode qui semble désespérément déserte, cependant en ouvrant le dernier tiroir, elle découvre une robe magnifique, entre turquoise et bleu mât. En fait de robe il s’agit plutôt d’une chemise de nuit parfaitement conservée à ce point qu’on la croirait pour neuve. Juliette se déshabille jusqu’à être nue, puis passe le délicieux vêtement qui étonnamment lui tombe comme un gant. Le grand miroir qui garni la commode lui renvoie à ce moment l’image d’une femme resplendissante, cintrée de bleu comme s’il s’agissait d’un songe, sertie de son rêve comme portant un bijou.

 

Elle ne peut résister à la tentation d’aller se montrer à Isabelle et à Sylvie, histoire d’attiser leur jalousie. Alors qu’elle s’approche de leur chambre dont la porte est demeurée entr’ouverte, elle risque, utile préliminaire, un regard en éclaireur par l’entrebâillement de cette dernière. Quelle n’est pas sa surprise de découvrir Isabelle, la jupe relevée, le slip à terre et se faisant photographier le postérieur par Sylvie. Sylvie adore les fesses d’Isabelle et Isabelle aime à les lui montrer. L’instant est propice à la luxure, les chairs appellent la pellicule et le cul d’Isabelle frissonne de toute sa peau à se savoir sur le chemin de la postérité. Bravant la fraîcheur, les deux femmes se déshabillent très vite.

 

Sylvie s’est saisie d’une cravache…

 

« Ou a-telle trouvé ça ? »

 

Elle frappe durement le derrière d’Isabelle qui donne l’air de se satisfaire pleinement de ce traitement sadique. De temps à autres Sylvie stoppe sa flagellation pour prendre une photographie du postérieur rougissant. Et le manège reprend : cravache, photo, cravache photo et ce jusqu’à ce que le postérieur de la victime consentante soit devenu cramoisi.

 

Sylvie lâche la cravache puis fait part à sa complice de son envie d’uriner. Spontanément Isabelle s’allonge de tout son long sur les tommettes froides de la chambre, la bouche ouvert et la respiration saccadée, L’urine tiède de Sylvie s’coule en un jet impertinent qui vine terminer sa course dans le palais d’Isabelle qui le reçoit telle le plus précieux des grands crus

 Chateau

Ce spectacle a mis les sens de Juliette sans-dessus-dessous, ses cuisses se mouillent et ce n’est pas de l’urine. Elle décide de quitter les lieux

 

– Mieux vaut ne pas insister !

 

Elle suspend néanmoins son pas le temps de prêter oreille à la conversation qui s’ouvre entre les deux femmes et dont elle semble la cible, Isabelle a du venin dans la voix :

 

– Dis, ta copine Juliette c’est un vrai boulet cette fille ! « , ricane-t-elle un doigt posé sur la bouche.

– Elle n’a jamais été ma copine, tu sais, répond Sylvie,…enfin pas vraiment… J’aime à le lui laisser croire. Elle sort avec mon ancien petit ami et je suis certaine qu’elle est encore jalouse de notre relation. Où elle n’a pas tort c’est que je ne me gênerais pas pour foutre le bordel dans sa vie si tel est mon plaisir.

 

Sylvie appuie cette dernière phrase d’un rictus qui déplait plus encore à Juliette que le propos lui-même.

 

– A te voir si belle on en oublierait que tu es une garce ! S’amuse Isabelle

 

Sylvie se déchausse alors de ses escarpins et commence à masser les petit seins pointus d’Isabelle avec ses pieds nus avant de porter un orteil masturbatoire vers son clitoris. Isabelle reprend, la voix rauque de plaisir et toute tremblante.

 

– Moi je crois qu’elle va nous attirer des ennuis, elle est trop fragile ta copine ! Il faut nous en débarrasser au plus tôt !

 

Elle s’agite tout en lui demandant de continuer d’une de plus en plus voix chevrotante

 

– Tu veux dire la tuer… S’étonne Sylvie, très peu surprise en fait tandis qu’elle continue à triturer le clitoris d’Isabelle dont les seins se durcissent à l’envie.

– Quoi d’autre, l’endroit est idéal. En plus, réfléchis, c’est une part en plus du butin qui trouve à s’installer dans notre poche.

– Je suis d’accord à la seule condition que tu me laisses m’en occuper.

– Que comptes-tu faire ? s’interloque soudain Isabelle dont le visage se marque maintenant de légers spasmes qui sont autant de stigmates signalant l’approche du plaisir.

– J’ai mon idée : imaginons que demain sous le couvert d’une visite du château un événement malheureux survienne…

– Toi, je sais ce que tu vas me dire…

– Il y a une tour qui donne tout entière sur un précipice : une chute est si vite arrivée…

 

Juliette enrage d’entendre ça. Elle d’habitude si gentille et dont on a toujours eu à vanter la courtoisie et la richesse du cœur se voit maintenant assaillie d’idées de meurtre corrélatives à sa colère. Les images lui viennent, burlesques pour la plupart. Ainsi, imagine-t-elle Isabelle et Sylvie liées à leur lit et proposant leur postérieur à diverses tortures et plus encore à sa vengeance…

 

Dehors le jour vacille, la pénombre déborde. Des pans entiers de nuit s’épandent sur le petit cimetière bordant le château. L’air semble immobile. Le froid culmine au portique des bois, un froid si proche du sépulcre qu’on le dirait de pierre. Bientôt, un bruit de carriole se mêle au vent mais Juliette ni Sylvie et encore moins Isabelle qui n’en peut plus de jouir ne peuvent l’entendre. Un vertige s’empare de la nuit qu’éclairent juste quelques bougies et le silence est un invité bavard que l’on entend que trop.

 

Quand Juliette regagne sa chambre, son regard est éteint et son esprit empli des brumes hivernales de la dépression. Elle s’affale sur le grand lit prise de fatigue et laisse aux heures le soin de rythmer ses rêves. Le noir, bientôt, envahit tout, du salon à l’étage en passant bien évidemment par la cage d’escalier où se tient le portrait de Desmond. Une horloge ponctue la nuit d’un martèlement obscène. Juliette, de temps à autre, s’éveille parcourue d’un frisson. Soudainement alors qu’elle se retourne pour interroger le cadran des heures une surprise et non des moindres l’attend : les bougies se sont allumées sans y avoir été invitée et derrière elles se dessine la forme oblongue d’un visage qui ressemble à s’y méprendre à Desmond Nasdady. Il est blafard certes mais gracieux et ses fins sourcils s’ajoutent à ses traits pour donner à son visage raffinement et noblesse.

 

Bien vite une bourrasque fait claquer la fenêtre, soufflant les bougies ainsi que chacun des traits de ce visage qu’elles avaient sorti pour un temps de l’ombre. En même temps des jappements de jouissance lui parviennent à l’oreille, qui émanent de la chambre voisine.

 

– Elle n’arrêterons donc jamais de baiser ? Se dit Juliette excédée.

 

Ce qu’elle ignore c’est que Sylvie et Isabelle ont été surprises dans leur sommeil par deux ombres qui maintenant honorent leur nudité agissant telles des vagues et parcourant leur corps du lent friselis du plaisir… A peine Juliette s’est-elle réinstallée dans la torpeur qu’elle sent un vent caressant lui courir sur la peau sans se douter qu’il s’agit d’une main dont la douceur n’a d’égale que la blancheur. Son corps lui échappe bientôt à petites doses, le plaisir se plaît au murmure, Juliette n’ose cependant pas ouvrir les yeux tant sa crainte est grande de ce qu’elle pourrait découvrir. Elle se transforme bientôt en un brasier que seul vient éteindre une petite morsure qui lui marque soudainement le coup et la transforme en une autre :

 

– Luciana enfin je te retrouve… lance Desmond d’une voix plus proche du chuchotement que de la parole.

 

Ces mots suffisent à Juliette pour retrouver la mémoire, celle-là même qu’elle avait enfouie et qui était demeurée après tant de siècles si vivace en elle… La comtesse Bathory, Desmond ce doux jeune homme trop sensible qu’elle avait rencontré aux champs et puis sa mort en une lente agonie un jour néfaste de février… Deux ombres, entre-temps, sont venues se loger près de Desmond et Juliette n’a nul besoin d’explication pour comprendre qu’il s’agit d’âmes errantes qui n’ont pu se départir de l’endroit de leur mort. Juliette ou Luciana, une personne est de trop. Aussi Desmond n’a-t-il besoin que d’un baiser pour convaincre la jeune femme de son identité : Juliette est morte, longue vie à Luciana !

 

Isabelle entre à cet instant accompagné de Sylvie. Les deux femmes ne se sont pas donné la peine de se rhabiller : elles sont nues. Isabelle tient un revolver à la main qu’elle fait voyager sur toute l’étendue de son corps.

 

– Juliette viens avec nous, on a une vue imprenable à te faire admirer ! Dit-elle d’un air menaçant et péremptoire.

 

Sylvie à cet instant s’aperçoit de la présence de l’oblongue silhouette de Desmond qu’Isabelle avait ignoré encore trop en proie à son plaisir.

 

– Qui est-ce ? demande-t-elle à Isabelle qui lui répond d’un haussement d’épaule et de ces quelques mots :

– Je ne sais pas mais on ne va pas tarder à le savoir.

– Qui êtes-vous ?

 

Desmond n’attendait que cela pour se retourner et offrir la vision de ses deux canines.

 

– Mon Dieu qu’est-ce que c’est que ça ? hurle Sylvie qui dans l’instant prend la fuite.

 

Isabelle, elle, est demeurée un rien en retrait. Sa voix s’est enrayée tout comme son pistolet dont le tir est demeuré muet. Rasant les murs, elle décide d’une fuite intelligente.

 

Sylvie monte dans la tour poursuivie par celle que l’on ne doit plus nommer Juliette mais bien maintenant Luciana. Une fois au sommet Sylvie verte de peur avance à reculons.

 

– Non ne me fait pas de mal ! crie-t-elle à la jeune femme en laquelle elle a bien du mal de reconnaître son ancienne « amie ».

 

Un pas plus loin et ce sera la chute.

 

Pendant ce temps Isabelle a rejoint sa voiture. Elle n’a pas hésité à abandonner sa complice d’autant plus qu’elle sait que l’argent est dans le coffre. La jeune blonde s’y installe complètement nue, elle est excitée comme jamais et quand la peur se mélange à l’excitation l’orgasme n’est jamais très loin. Une fois encore le plaisir la prend d’assaut dans un de ces moments où s’imposerait la sagesse. Mais cette fois Isabelle n’y est pour rien. N’étaient ces deux ombres, jamais elle n’aurait pensé à jouir en cet instant voué à la fuite. Toute nue dans sa voiture qui semble foncer vers l’enfer Isabelle à la surprise de se faire baiser par d’invisibles revenants. Elle frissonne de voir ses larges seins malaxés comme du simple pouding et semblant s’animer d’eux-mêmes. Une des deux ombres entre-temps s’est attachée à son clitoris. Isabelle jouit bientôt comme rarement auparavant.

 

Soudainement les protagonistes de son plaisir disparaissent comme n’ayant jamais existés et quand Isabelle porte son regard sur ce qu’il est difficile d’appeler une route c’est pour en constater bientôt l’absence. Le vide se pose sous ses roues tel un gigantesque vertige et elle ne peut éviter de chuter avec sa voiture dans le précipice. La jeune femme se crispe à son volant et tandis que son visage prend des allures de grimaces, elle habille une dernière fois sa bouche d’un horrible cri qui pour une fois n’en est pas un de jouissance :

 

Une centaine de mètres plus bas Isabelle explose avec sa voiture, quelques billets virevoltent au vent…

 

Les mois ont passé. Un peu comme le vin qui devient vinaigre et enfin se bonifie, la région a retrouvé une certaine prospérité touristique. Un nouveau mystère s’est investi du paysage et attire les curieux en quête de sensations douteuses. La voiture écrabouillée en contrebas de la falaise n’a pas encore finit de déchaîner les contradictions et l’appareil photo retrouvé au château maudit de Csejthe, d’où semblait venir la voiture, à l’autopsie n’a donné à voir qu’un superbe cul nu.

 

Si l’on interroge les gens du pays ils vous diront que parfois l’on voit passer, là-haut dans la montagne, un homme assez grand tenant par la taille une douce personne. Tout juste derrière, à deux pas, les suivent deux autres femmes qui semblent n’être là que pour l’usage. Il paraît que celui qui embrase leur chemin s’expose à la morsure du vampire mais que bien souvent tous quatre se transforment en chauve-souris – et cela le croit qui veut.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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