Anne-Abigail

Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:56

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 2 – Capturées

stamp slave

Sur le chemin du couvent, Sœur Jeanne avait arraché une poignée de fines branches qu’elle utilisait pour cingler les postérieurs de Mina et d’Abigaelle, tout en les traitant de tous les noms d’oiseaux que la nonne pouvait connaître… et elle en connaissait beaucoup. Les filles avaient bien tenté de faire du chantage en disant qu’elle dirait à tout le monde ce que faisait Sœur Jeanne dans la grange. Mais la nonne avait une réponse toute faite… C’était les filles qui étaient sous l’emprise du démon, c’était elles qui imaginaient des choses, peut être étaient-elles possédées… peut-être qu’il faudrait les brûler… Même si de nos jours cela ne se faisait plus guère que dans les coins reculés des pays les moins éclairés. Mais en l’an de grâce 1782 c’était quand même du passé. C’est donc les fesses rougies par les badines de la sœur que le duo arriva à la porte du couvent.

 

La bâtisse était immense, ceinte de hauts murs. Sur la droite se dressait la chapelle qui jouxtait le bâtiment où se tenaient les cellules des nonnes et le dispensaire. De l’autre côté les communs, le réfectoire et de grandes salles qui étaient utilisées pour stocker ce que les nonnes récoltaient dans les jardins qui se tenaient derrière le bâtiment.

 

A l’entrée la petite maison du concierge, qui faisait office de gardien et de protecteur du couvent. Augustin avait été dans sa jeunesse au service du roi. Malgré son âge il ne fallait pas lui chercher noise car il avait la cane aussi leste qu’une rapière. Il avait lancé un regard noir à la sœur qui menait les filles à la baguette. Augustin s’était pris d’amitié pour les deux filles depuis leur enfance, et ils ne manquait pas une occasion d’en faire des garçons manqués en leur initiant moult pratiques réservées aux hommes.

 

Les sœurs travaillaient et priaient le plus clair de leur temps. Mais la chair est faible et beaucoup n’avaient pas la vocation mais avaient été expédiée au couvent pour arranger les affaires de la famille. Nos chères sœurs avaient une vision de l’abstinence assez particulière. Du moins certaines sœurs concevaient le célibat et le mariage avec dieu comme une idée bien fumeuse. N’oublions pas le chapelain qui était un fieffé coquin, porté sur la bouteille et la chair aussi bien avec les nonnes qu’avec quelques gitons de passage.

 

Sœur Jeanne, poussait sans ménagement les deux mignonnes, elle devait déjà les isoler le temps qu’elle puisse compter sur le soutien d’autres nonnes aussi dévergondées qu’elle et cacher tout ça à la mère supérieure qui n’entendait rien à rien, croyant à l’intégrité de ses condisciples. Cette pauvre femme dévote, sénile mais sincère aurait fait une crise d’apoplexie si elle avait appris les agissements de tout le couvent, qui était plus considéré comme un lieu de débauche et de plaisir par une partie des nobliaux et bourgeois de la région, que comme un lieu dédié au seigneur.

 

– Ouste ! Allez descendez à la cave !

 

La porte voûtée, basse et vermoulue, donnait sur un escalier étroit et glissant aux marches usées et creusées par des années de montées et de descente. Une odeur d’humidité montait de ce boyau chichement éclairé, mais elle était atténuée par la senteur des fut de chêne et l’odeur du vin qui se languissait dans la cave. Abigaelle et Mina étaient inquiètes, jamais elles n’avaient eu le droit de descendre dans ce lieu. Il se murmurait des choses, qu’il y avait des visites à la nuit tombée. Les deux filles avaient bien aperçu parfois des lueurs furtives qui disparaissaient dans l’ombre. Elles n’avaient jamais été assez effrontées et hardies pour aller mettre leur jolis minois dans cette noirceur. Marches et dalles étaient froides à leurs pieds nus, même leur corps était glacé par le froid qui montait des dalles, les filles n’ayant que leurs chemises pour unique vêtement.

 

En bas, le couloir de pierre ouvrait sur deux grandes salles où dormaient les fûts. Après un coude, il s’ouvrait sur une porte cadenassée. Sœur Jeanne tira une clef de sous sa robe, ouvrit le cadenas.

 

Là, plus de pierres nues, des tapis au sol, des candélabres dorés. Le couloir ouvrait sur six portes aux serrures et aux ferrures luisantes dans la pénombre. La sœur les poussa vers la deuxième porte à droite, extirpa une autre clef et ouvrit la porte. Sans ménagement elle poussa Abi et Mina dans la pièce sombre.

 

– Restez là sales catins ! On s’occupera de vous demain soir !

– Mais ma sœur… tenta Abigaelle

– Silence, effrontée ! cria Sœur Jeanne en giflant la jeune fille.

 

Puis tournant les talons elle sortit et verrouilla la lourde porte, laissant les filles dans le noir. Elles restèrent un moment immobiles, haletantes, apeurées, se demandant ce qui allait leur arriver maintenant.

 

Il n’y avait aucun bruit, leurs yeux s’accoutumèrent à l’ombre et elles commencèrent à explorer le lieu se cognant dans tous les meubles de la pièce. Mina trouva une cheminée sur l’un des murs, et à tâtons finit par trouver un briquet et une chandelle. Elle battit le briquet, la mèche rougeoya et enfin la chandelle diffusa une lueur jaune et tremblotante. Mina alluma ensuite les candélabres qui étaient fixés aux murs de la pièce.

 

La pièce était confortable, de bons sièges tendus de velours rouge offrait le repos, divans et fauteuils faisaient assaut de moelleux pour accueillir les séants des visiteurs. Maintenant que la lumière brillait, la pièce était moins inquiétante, enfin moins sombre certes mais peut-être pas si inoffensive que cela. Le long d’un mur des cages d’acier, mimant la forme humaine, étaient suspendues. Mina et Abi se jetaient des regard interrogateurs. Cédant à la curiosité, Abi ouvrit les portes d’un haut meuble, elle poussa un cri de surprise.

 

– Mina ! Mon dieu ! Viens voir vite ! s’exclama Abi.

 

Mina mit son doigt sur ses lèvres pour inviter son amie à plus de modération dans ses exclamations. Mais quand elle vit le contenu de l’armoire elle frissonna et poussa un petit cri. Rangées sagement dans le meuble, pendus comme les outils d’un artisan, il y avait moult fouets, badines, cravaches, chaînes diverses des pinces, bracelets et colliers, quelques pots de chambre et un nombre faramineux d’olisbos de toutes matières, en bois, en os, en verre…

 

Les deux filles étaient serrées l’une contre l’autre… La vision de ces instruments leur provoquant un mélange de crainte et d’excitation.

 

Elles virent alors que derrière une tenture murale se trouvait une autre porte dans cette salle. Avec précaution elles tentèrent d’écouter, mais ne perçurent aucun bruit… un œil à la serrure ne leur fit découvrir que de l’ombre… Mina posa la man sur la poignée de la porte qui céda dans un léger grincement. Elle ouvrait sur une sorte de couloir assez large, silencieux et désert.

 

Elles allumèrent les chandelles dans cet endroit. Une fois la lumière suffisante, elles examinèrent les lieux. Sur un mur une longue tenture ou plutôt un rideau… Sur le mur lui faisant face un long sofa moelleux. Abi tira sur le cordon qui pendait et le rideau s’ouvrit sur une surface lisse brillante… Un miroir ? Une vitre ? C’était un peu étrange. Soudain Mina remarqua qu’on apercevait comme un rai de lumière dans cette immense miroir.

 

C’était sans doute une vitre, et la lumière filtrait sous la porte de la pièce de l’autre côté. Elles refermèrent le rideau bien vite.

 

Les deux amies se réfugièrent dans l’autre pièce. Elles s’installèrent le plus confortablement possible en attendant. Quoi ? Elles n’en savaient rien. Les deux amies s’assoupirent. Soudain elle furent tirées de leur torpeur par des bruits.de voix. Mina toujours vive fut sur pied la première. Elle ouvrit le fameux corridor au sofa. La lumière filtrait de derrière le grand rideau. Abi moins prudente tira le cordon et le rideau coulissa. Mina se cacha rapidement tandis qu’Abigaelle restait subjuguée par le spectacle. La pièce était brillamment éclairée par des douzaines de chandelles. Elles étaient derrière une vitre… mais de l’autre pièce on ne les voyait pas sinon l’alarme aurait été donnée.

 

Abigaelle2BLe spectacle que donnait l’autre pièce était incroyable. Cette pièce elle aussi tendue de lourds rideaux rouges était encombrée de chaînes… de râteliers ou pendaient moult instruments de sévices. Des sofas entouraient la salle sur trois cotés, sur le velours rouge des corps nus ou demis nus étaient enchevêtrés. Une jeune fille nue, était comme écartelée par des chaînes venant du plafond et du sol, pieds et poignets liés… elle était suspendue au milieu de la pièce. Deux grands chiens étaient également dans la salle. Sœur Jeanne était là… nue… ses gros seins pendant, elle était penchée en avant tandis que deux hommes nus, la flamberge dressée. l’enfilaient hardiment avec un cierge d’au moins quatre pieds de long, un de ces gros cierges qui encadre l’autel. Comme Sœur Jeanne était de dos, nos deux amies voyaient le con béant de la religieuse qui baillait alors que les servants le retiraient avant le replonger dans la caverne spongieuse avec un grand « han » de bûcherons.

 

Sur le sofa près du miroir sans tain qui les masquait à la vue des orgiaques, un homme… la perruque de guingois, lutinait un mignon aux fesses joufflues, page ou petit écuyer dont la queue dressée crachait des gouttelettes de foutre, tandis que l’homme lui prenait le fondement avec son énorme vit noueux. De l’autre côté, la fille des cuisines, une grosse rougeaude s’empalait le cul sur le chibre d’un moustachu, mousquetaire ou garde d’un noble quelconque.

 

La porte de la salle s’ouvrit sur deux dames en manteau, capuche rabattue sur le visage. Une fois la porte fermée elles laissent leur manteau tomber. Belles robes, décolleté provocant, perruque et mouches au coin des lèvres, éventail à la main, les dames font le tour de la salle, saluant, touchant parfois les corps nus qui s’enchevêtrent. Elles s’arrêtent, se regardent et se donnent un baiser lascif… tout en se dégrafant mutuellement. Les robes tombent, les deux femmes sont nues, l’une d’elle porte une chaîne dorée autour de la taille. Toutes deux n’ont plus que leur bas. Leurs mains parcourent leurs corps, puis se tenant par la taille elles approchent de la jeune fille enchaînée…

 

Abi et Mina ne perdent pas une miette du spectacle malgré leur situation de prisonnières leurs sens s’échauffent. Mina qui a le plus de tempérament a glissé sa main sous la chemise d’Abi et doucement lui caresse les fesses. Abi tente mollement de repousser les avances de Mina, mais elle aussi a le feu au sang, ses joues sont rouges, ses lèvres humides, ses yeux subjugués par cette orgie qui se déroule sous son nez.

 

Mina s’est débarrassée de sa chemise. Nue debout derrière son amie, elle fait glisser la chemise qui l’empêche de profiter du corps d’Abi.

 

Mina se presse contre son amie… frottant ses seins contre son dos, sa motte contre les fesses douces d’Abi.

 

– Abi, regarde comme c’est excitant de les voir… regarde la sœur comment elle est grande ouverte, on n’entend mal mais elle doit crier !

 

Les mains de Mina parcourait le corps d’Abi,. remontant vers les seins généreux et leur pointes sensibles. Abigaelle commençait à être aussi brûlante que Mina et elle frottait sa croupe sans vergogne contre le sexe de son amie…

 

– Ah ! Si tu étais un homme… Mina… je brûle… de voir ce spectacle… Je brûle d’être prise ! dit Abi essoufflée.

– Oh… ma douce amie, je suis si excitée, dit Mina

 

Elle quitta un instant Abi plongée dans la contemplation de ce spectacle. Elle passa dans la pièce à côté de leur réduit et fouillant les armoires fini par mettre la main sur un olisbos d’ivoire monté sur un harnachement de cuir. Mina ajusta prestement ce substitut de verge et rejoignit Abi…

 

Elle posa l’olisbos sur les fesses d’Abi… qui frissonna mais se cambrait s’appuyant sur le rebord de la vitre. Mina promenait la tête de ce sexe inerte contre la fente de son amie, fente rose et déjà brillante de rosée. Humidifiant l’engin dans la crevasse rose, Mina le promena plus haut, vers l’étroit pertuis, le mouillant au passage, puis revint à la blessure d’amour, posant l’extrémité arrondie prête à pourfendre son amie…

 

– Non… pas là… il faut me préserver… dit Abi plus haut… oui… remonte… là… passe la petite porte !

– C’est vrai tu es une catin… comme moi… mais pure avec une fleur… se gaussa Mina.

 

Abigaelle était capable de toutes les turpides mais refusait obstinément de donner sa fleur, la préservant sans doute pour un prince charmant. Mina elle, dont le sang chaud l’avait toujours entraîné à des joutes d’amour avait pris sa fleur elle-même en se découvrant et ne rechignait pas à se faire prendre au cul, au con et à la bouche…

 

Abigaelle se tendait, attendant la pénétration avec impatientante. Mina d’un coup de rein fit entrer l’olisbos par l’étroite porte. Mina avait passé ses bras autour de la taille d’Abi. Et ses doigts avaient investi la fente humide de son amie.

 

– Oh… c’est bon je te sens bien mon amie… bouge en moi… ouvre-moi le ventre ! Gémissait Abi

– Méchante fille… petite catin… ton con pleure sur mes doigts… ton cul est à moi. Dit Mina très excitée.

 

De l’autre côté de la vitre le giton semblait crier sous les coups de boutoir de son amant. Il avait une verge énorme qu’il poussait loin dans le cul du jeune homme.

 

– Oui, oui. va mon amie ! Oh tu me brises, tu me remplis. Oh, tes doigts dans ma chatte c’est bon ! gémissait Abi

 

Mina donnait des coups de reins enfonçant l’engin au plus profond du cul de son amie pour le ressortir et recommencer. Mina avait placé les lanières de telle façon qu’elle s’enfonçait dons son con, et ses mouvements lui sciait le baveux. Elle était ainsi à l’unisson de son amie, le con de Mina ruisselait, un fourmillement intense lui mangeait le ventre. Mina sentait des explosions de plaisir lui tordre tout son être. En un mot Mina jouissait en continu, tandis qu’Abi le cul béant, lui mouillait les doigts.

 

De l’autre côté du miroir, les deux femmes tournaient autour de la jeune fille écartelée… Elles la fouettaient alternativement, et on commençait à voir les trainées rosâtres que les deux belles laissaient derrière le ballet de leur cravaches…

 

Sœur Jeanne couchée sur le dos, continuait à se faire défoncer le con avec le cierge. Les hommes le sortait totalement avant de pousser pour l’enfouir dans la crevasse ruisselante de la nonne qui se donnait de grands coups sur les mamelles, se prenait les bouts les étirant avant de les lâcher et de redonner des coups…

 

Abigaelle poussa un cri tandis qu’elle jouissait sur les doigts de Mina… qui suivit dans le plaisir sa meilleure amie…

 

Elle se laissèrent tomber sur le sofa…

 

C’est à ce moment que s’ouvrit violemment la porte

 

– Ah ! catins ! venez avec nous ! vous êtes chaudes !

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 16 octobre 2021 6 16 /10 /Oct /2021 09:52

Abigaelle par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Les chaleurs de Sœur Jeanne

cheval

 

Nous sommes en l’an de grâce 1782 sous le règne de Louis le seizième. Quelques privilégiés s’en donnent à cœur joie tandis que le peuple accablé d’impôts crie famine.

 

Cachées dans la paille, les deux filles surplombaient la grange depuis le grenier. Perçant la toiture vétuste, les rais de soleil, dans lesquels dansait la poussière, éclairaient suffisamment la grange pour qu’elles puissent profiter du spectacle. Le nez dans la paille elles ne perdaient pas une miette de ce qui se jouait en bas. Ce n’était pas la première fois que les deux coquines venaient assister à ce genre de spectacle. Elles en étaient toujours friandes et émoustillées à l’avance.

 

En bas le père Adrien le fermier des terres attachées au couvent, la face rougeaude, ahanait avec force. Les pantalons sur les sabots il s’agitait avec force dans le con ébouriffé de sœur Jeanne qui troussée jusqu’aux épaules se pétrissait les mamelles qu’elle avait flasques et énormes, comme le ventre qui s’agitait à chaque coup de boutoir de l’homme. Le fermier avait un vit de belle taille et noueux. Ce bâton de chair luisait des sucs que la nonne dispensait abondamment en criant.

 

– Bourre-moi ! Bourre-moi donc plus fort… Pète-moi la charnière. Plus fort ! Encore !  »

– Z’etes une vraie truie, ma sœur! J’peut point plus. Z’avez l’con trop gros

– Benêt ! Va donc chercher Martin !

 

Abigaelle et Mina étaient elles aussi troussées et les deux amies couchées sur le ventre dans la paille, se caressaient mutuellement les fesses, parfois une main glissait dans le sillon, un doigt s’aventurait les faisant glousser doucement.

 

Abigaelle était d’une blondeur éclatante, sa chevelure qu’elle gardait tressée le plus souvent était d’une douceur de soie. Son visage d’angelot, aux grands yeux limpides aux couleurs changeantes passant du bleu au vert selon les moments, étaient protégés par de longs cils. Son petit nez mutin avait toujours l’air de vouloir humer tous les parfums alentours. Sa bouche dessinée à merveille, était pleine et d’un rose soutenu et brillant car elle n’arrêtait pas de passer sa langue pour l’humecter.

 

Ses petites fesses fermes et rondes à la peau laiteuse étaient exposées au regard et aux mains de son amie Mina.

 

Celle-ci était l’exacte contraire d’Abigaelle. Ses cheveux qu’elle gardait courts étaient noirs comme les ailes d’un corbeau. Sa peau avait la couleur du miel, ses yeux noirs semblaient habités par le démon, ils pouvaient lancer des regards d’assassin. Son nez en bec d’aigle était un peu long, mais non disgracieux. Sa bouche était pleine et voluptueuse, toujours avec une moue dédaigneuse qui la rendait encore plus désirable.

 

Les deux filles étaient inséparables et toujours complices quand il y avait un mauvais tour à accomplir.

 

Abigaelle avait été abandonnée devant la porte du couvent, simplement emmaillotée dans force linges pour lui éviter le froid, on avait tiré la cloche en pleine nuit et la sœur qui alla ouvrir ne vit qu’une ombre à cheval qui attendait de voir si la porte s’ouvrirait avant de disparaître dans la nuit. En ces temps troublés il arrivait souvent que des enfants soient ainsi confiés aux servantes du seigneur. Mina elle avait été recueillie plus tard quand ses parents gitans avaient été massacrés par des villageois fanatisés. Elle n’avait été sauvée que par l’intervention du curé qui l’avait confiée ensuite au couvent.

 

Sœur Jeanne se languissait sur la paille… Elle avait jeté sa robe sur l’échelle. Elle était nue comme un ver, ses gros seins tombant de chaque côté de son torse, son ventre rebondi faisant des plis et son con largement ouvert, entaille rose dans la forêt de poils châtain qui lui ornait le bas du ventre. D’une main elle tenait les lèvres largement ouvertes, faisant saillir un gros bouton, tandis que de l’autre avec ses doigts elle fouillait l’antre du démon avec trois doigts qui faisait un bruit humide quand ils s’agitaient… Un bruit dehors… des pas… comme s’il y avait plusieurs hommes en sabots…

 

Abi et Mina reculèrent de crainte d’être vues.

 

Les pas s’approchaient… et elles entendirent avec soulagement la voix du père Adrien. Passant toutes deux leur nez au-dessus du tas de paille qui les masquaient… elles virent avec effarement qui accompagnait le fermier… C’était le baudet … Martin… c’était lui !

 

Sœur Jeanne cessa de se caresser et s’agenouilla près de l’âne qui semblait avoir une grande habitude de cette situation…

 

– Abi, tu ne crois pas que sœur Jeanne… dit Mina.

– Oh si je le crois… regarde… répliqua Abi

 

Le nonne avait empoigné le vit du baudet qui commençait à se tendre… Le père Adrien… avait à nouveau baissé culotte et se branlait allègrement. Sœur Jeanne agitait le braquemart de l’âne avec vigueur.

 

– Bande mon beau… Allez donne-moi de quoi me remplir le con ! Disait la nonne tout à son affaire.

– Moi je bande, dit le fermier…

– Alors prends moi le cul pendant que je mets en forme notre Martin.

soeur Jeanne

Si tôt dit, si tôt fait. Adrien se plaça derrière la nonne écarta largement les fesses dévoilant un œillet brun qui portait les stigmates de bien des pénétrations. Et d’un coup de rein il encula proprement la sœur qui astiquait le vit énorme de l’âne. La bête semblait prendre plaisir à ce jeu. Son membre était énorme, la tête plus grosse encore ressemblait à un champignon. Sœur Jeanne, commença à lécher ce gland difforme. Puis elle ouvrit grand la bouche et le fit entrer tout entier entre ses lèvres distendues avec force gloussements et borborygmes. Elle se mettait à sucer l’âne tandis que le père Adrien lui explosait le fondement. Sœur Jeanne appréciait le jeu… car sa grosse chatte dégoulinait, laissant tomber sur le sol de grosses gouttes de mouille grasse. Elle mouillait de plus en plus au fur et à mesure qu’Adrien lui dilatait le petit trou. Mais elle étaient encore plus excitée par l’idée de se faire prendre par le bel âne… qui commençait à piétiner.

 

Mina glissait sa main entre les fesses d’Abi… et elle sentit sous ses doigts la moiteur du con de son amie. Elle poussa un doigt dans le sexe, il était trempé.

 

– Dévergondée… ça te plaît de voir sœur Jeanne se faire défoncer ! dit Mina d’un air faussement courroucé en montrant son doigt mouillé à Abi.

– Oh oui… je prendrais bien sa place… et toi aussi… dit-elle en prenant le doigt luisant entre ses lèvres et en glissant sa main entre les cuisses de Mina.

 

Elle trouva le con ruisselant de son amie et y plongeât deux doigts qu’elle plaça devant le visage de la brune.

 

– Et ça ? C’est de la pluie peut-être… ton con est inondé mon amie ! dit Abi avec un sourire éloquent.

– Donne ! dit Mina en prenant la main de la blonde et elle se mit à lui sucer les doigts.

 

En bas… la nonne pompait allègrement le baudet… manquant de s’étouffer à chaque fois qu’elle engloutissait le braquemart de plus en plus turgescent de l’âne, qui maintenant piaffait et commençait à donner des signes d’énervement.

 

– Maintenant tu vas me baiser mon bel étalon ! Dit la nonne toute à la joie de la saillie imminente…

 

Elle se releva, laissant le père Adrien tout penaud avec son vit roide, gonflé et un peu merdeux venant d’où il venait… La nonne s’accouda à l’échelle, présentant sa croupe à l’âne, laissant ainsi pendre ses mamelles et son ventre flasque. Adrien lui écartait les fesses largement laissant voir le con baveux et déjà ouvert largement de la sœur. Martin en âne bien élevé ne se fit pas prier il se dressa sur ses pattes arrière, balançant ses sabots de part et d’autre de la nonne pour les appuyer sur la barrière. Sœur Jeanne avec une souplesse que ne laissait pas deviner sa corpulence, attrapa le vit de l’âne et le posa contre son con luisant. Martin donna un grand coup de rein et enfonça d’un trait un bond pied de chair… Tirant un cri à la sœur

 

– Ah! je le sens ! Ah il est dedans ! Oh qu’il est gros… pousse, pousse bel étalon… déchire-moi le con ! hurlait-elle.

– Et moi… Demanda naïvement Adrien

– Mais viens dans ma bouche nigaud ! Je vais pomper ton nœud !

 

Il ne se fit pas prier et fit taire sœur Jeanne avec son chibre.

 

Au risque d’être découvertes Abigaelle et Mina avait sorti la tête de leur cachette pour profiter du spectacle. La nonne était secouée par les coups de boutoir de l’âne qu’elle encourageait, lançant son fessier contre l’énorme queue, faisant naître des ondes dans sa chair qui se propageait comme les ricochets sur l’eau. Le con de la nonne baillait et dégouttait des ruisseaux de sucs qui faisait des tâches dans la poussière du sol. Le vit de l’âne se couvrait d’une mousse blanche et onctueuse comme si le barattage qu’il imposait à la religieuse était en train de faire du beurre. Sœur Jeanne le visage rouge, haletais, ne proférait plus que des onomatopées… des oh, des ha… des oui… des hue… Le père Adrien lui ne disait rien mais sa mine réjouie en disait long… son engin noueux se couvrait de salive qui s’égouttait le long de ses bourses velues… De ses mains il avait empoigné les mamelles de la nonne et semblait décidé à la traire.

 

Les mains d’Abi et de Mina étaient croisées chacune agaçant les fesses de l’autre. Agenouillées maintenant comme pour prier, elles ne perdaient pas une miette du spectacle. Elle se glissaient mutuellement des doigts dans leurs fentes de plus en plus humides, tandis que leur autre main caressait leur bouton qui ne cessait de gonfler. Les tétons se frottaient à leur chemise de toile rêche et se dressaient également. Les deux amies se mordaient les lèvres et se jetaient des regards langoureux… Ce n’était que par crainte de manquer le spectacle qu’elles n’avaient pas entrepris de se gamahucher.

 

En bas les cris redoublaient, l’âne donnait des coups de boutoirs qui faisait décoller du sol sœur Jeanne et la faisait crier de plus belle.

 

– Oh il me broie la matrice ! Il m’a démoli le con ! J’en pisse de plaisir ! criait-elle

 

En effet… de longs jets tombaient sur le sol, à chaque poussée de l’âne un jet puissant répondait associé à un cri de plaisir de la nonne.

 

– Je le veux dans mon œillet ! Qu’il me pète ma rondelle Adrien, guide le vers l’autre pertuis !

 

A regret le fermier qui n’était pas loin de se vider dans la bouche de la nonne… accéda à la demande… Il passa sa main sous le ventre de l’âne, empoignant le chibre bouillant et couvert de crème qu’avait distillé la sœur, elle en avait partout, sa motte ébouriffée avait des paquets de poils collés, luisants, avec de longs fils poisseux qui gouttaient au sol. Le fermier profita d’un coup de rein de la sœur pour faire sortir le sexe de l’âne et le guider vers le petit trou de la nonne. Petit était un peu exagéré sans doute. Il était lâche et avachi, bourrelet souvent sollicité par cierges et légumes divers, elle n’était plus une novice au petit cul serré et presque impénétrable. C’était une nonne respectable qui avait dû occuper les longues soirées d’hiver avec autre chose que les sempiternelles prières.

 

Sentant l’orifice à la pointe de son chibre l’âne donna un énorme coup de rein encouragé par le pervers Adrien qui lui avait claqué la croupe.

 

L’âne avait englouti la presque totalité de son membre soit pas loin de deux pieds dans le fondement de la nonne… qui la bouche ouverte tentait de reprendre son souffle… Son con, lui, dégouttait de tout ce qui était accumulé… elle laissais échapper ce que son ventre contenait d’urine en petits jets que suscitait l’ébranlement de l’âne. Chaque fois que l’animal se retirait un peu l’anus de la nonne suivait… gaine de chair incongrue qui semblait ne pas vouloir lâcher l’engin qui le distendait. Chaque fois qu’il redonnait un coup en avant l’anus reprenait sa place.

 

Nos deux voyeuses avaient de plus en plus de mal à rester spectatrices, leurs doigts investissaient tous les orifices, sondaient les grottes humides et brûlantes. Leur bouches partageaient des baisers tout en lorgnant du coin de l’œil sur la nonne et l’âne. Elles avaient laissé choir leurs chemises et leurs seins tendus se frottaient. Mina avait un buisson d’un noir de jais qui luisait sous le soleil, mais aussi à cause de la rosée qui commençait à emperler chaque touffes de poils. Abi avait à peine une ombre dorée et laissait voir la crevasse divine toute nue ou presque. Mina allait et venait dans la fente d’Abi qui se pâmait et gémissait doucement tout comme Mina qui frottait sa motte contre la main de son amie. Elles ne rêvaient que d’avoir un gros vit à se partager afin de se sentir comblées dans tous leurs orifices. Elle étaient également hypnotisées par l’âne et la sœur… Sans doute les deux coquines rêvaient elles de prendre la place de la nonne.

 

Soudain ce fut de grands hurlements, sœur Jeanne, étaient secouée par les grands coups que donnaient l’âne. Il entrait presque son vit jusqu’à la garde dans le cul béant de la religieuse. Cette fois son trou avait abdiqué il était dilaté, ourlé d’une écume rose. L’âne entrait et sortait à loisir tandis qu’agrippée à l’échelle sœur Jeanne tentait de ne pas tomber… Son con tout aussi béant que son cul, dégouttait et elle piétinait dans une flaque visqueuse qui s’était formée à ses pieds.

 

– Il me tue ! Je suis déchirée ! Je meurs ! Que c’est bon ! Encore, défonce-moi le ventre ! hurlait la nonne comme possédée.

– Suce-moi donc au lieu de bramer drôlesse ! lui intima le père Adrien en plantant son vit dans la bouche de la sœur.

 

Et il n’y resta pas longtemps car en deux coups de rein il se vidait les bourses dans la bouche de la nonne. Il ressortit son braquemart et laissa la nonne la bouche encombrée d’une énorme rasade de foutre qui ruisselait sur son menton et ses mamelles.

 

A cet instant le brave Martin tape du sabot… bourriquant comme un perdu… il défonce la nonne, qui empalée sur le vit est entraînée au milieu de la grange… Là le baudet se soulage, giclant des litres de foutres dans le rectum de la servante du seigneur qui se pâme en sentant la semence ânée inonder son ventre.

 

– Ah il m’emplit de liqueur, je déborde il m’empale je vais mourir ! C’est bon ! Hurle la nonne.

 

Elle est sous l’âne qui gicle en elle, et la transporte dans la grange… elle jouit à son tour, la sœur. Elle jouit en marchant à quatre pattes sous l’âne. Le visage rubicond de la none qui se pâme… exprime soudain une douleur… incommensurable ! L’âne se retire brusquement…. Sœur Jeanne dégringole sur le sol les mains dans le foutre et l’urine. Elle lèche ensuite sa main avant de se relever chancelante… Elle approche de Martin qui, le vit pendant, s’ébroue… Elle lui pose un baiser sur le chanfrein.

 

– Ah l’âne est bien plus humain que l’homme ! Dit-elle sentencieusement.

 

Le père Adrien prend l’âne au licol et l’entraîne hors de la grange…

 

Sœur Jeanne avec une poignée de paille se frotte le con et le cul pour les sécher un peu avant de reprendre sa robe qu’elle enfile sans autre vêtements dessous.

 

Soudain dans un grand fracas, le plancher du grenier cède… On entends des cris, et nues comme à leur naissance, cuisses et bras enchevêtrés, tête bêche. Abigaelle et Mina se retrouvent dans le tas de paille… sous les yeux effarées de sœur Jeanne…

 

– On a rien vu ma sœur… on a rien fait ! S’écrie Abigaelle tandis que Mina jauge la nonne d’un regard effronté.

– Petits démons ! que faites-vous là ! Que faisiez-vous? Couvrez-vous petites catins ! Je vais vous apprendre…

 

La nonne prenant chacune des filles par une oreille, les entraîna sur le chemin en direction du couvent…

 

Le père Adrien observant la scène dit à l’âne…

 

– Tu vois mon vieil ami… on a eu du bon temps… mais les petites vont passez un sale moment !

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:38

Les Vilaines Cousines par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

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Bonjour, je m’appelle Anne-Abigail et ce récit est basé sur des faits réels. J’ai aujourd’hui 33 ans, je suis un peu maso, un peu sapho, un peu dingo

 

C’était il y a 13 ans… l’année de mes 20 ans !

 

Pendants mes vacances, j’avais décidé de rendre visite à ma tante Sylviane et à mon oncle Georges que je n’avais pas vu depuis quelques années. Ils vivent près de Cahors dans un joli corps de ferme. En compagnie de leurs deux filles. Caroline, 21 ans et Manon 19 ans.

 

Cet après-midi, après nous être promenées dans les bois avec mes cousines, nous sommes arrivées près d’une cabane abandonnée.

 

– Entrons nous reposer quelque temps ! Dit Manon l’air visiblement très fatiguée.

– C’est une bonne idée ! Renchérit Caroline.

 

Toutes les trois nous nous dirigeons vers cette cabane faite de rondins de bois et couverte d’une mousse indiquant que peu de personne viennent par ici. Je pousse la porte qui me résiste un peu et entre la première. La pénombre qui règne dans la pièce me permet à peine de distinguer les meubles. Devant moi une table mal équarrie avec une chaise sur le côté, dans le fond une commode et face à l’entrée un canapé fort usé. Entièrement à ma contemplation, je suis surprise lorsque Manon se colle contre mon dos, me saisit les poignets et les tend à Caroline, qui en un tour de mains les attachent avec une fine corde.

 

– Mais… qu’est-ce que vous faites… ?

 

A peine ai-je terminé ma phrase qu’une traction sur mes poignets m’oblige à lever les bras. Je vois Manon tirer sur la corde qui entrave mes poignets, en jeter l’extrémité par-dessus une poutre du plafond et de toutes ses forces elle me soulève. Si bien que rapidement je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds si je ne veux pas que mes épaules me fassent trop souffrir.

 

– Vous êtes folles… ! Détachez-moi immédiatement… !.

 

Une boule d’angoisse monte dans ma gorge lorsque je vois Caroline, terminant de nouer la corde sur un anneau fixé dans le mur, me regarder avec des yeux de feux.

 

– Qu’est-ce que je vous ai fait… ? Pourquoi… ? Détachez-moi… Je vous en prie… !

– J’en ai marre que tu nous prennes de haut avec tes grands airs de fille de la ville, toujours à nous narguer et à nous snober, aussi nous allons te montrer comment nous traitons les petites prétentieuses de ton genre par ici ! Dit Caroline pleine de colère.

– Je le ferais plus… détache-moi, j’ai mal aux poignets… Pardon Caro Pardon !

– Trop tard Anne, fallait y penser avant !

 

Je vois Caroline se diriger vers la commode, ouvrir un tiroir et prendre un objet, lorsqu’elle se retourne vers moi elle me montre une baguette en bois.

 

– Je vais te chauffer un peu les fesses peut être que cela t’apprendra la modestie ?

– Nooonn… ! Tu ne vas pas oser faire ça… ! Nooonn… ! Je veux pas… !

 

Cousine

 

Comme Caroline passe devant moi je tente de lui décocher un coup de pied mais je perds l’équilibre et une violente douleur monte de mes poignets. J’essaie de d’arrêter le balancement de mon corps en me mettant sur la pointe des pieds mais je n’y arrive pas.

 

– Salope… ! J’ai mal aux mains, détache-moi… !

– Quoi ? Tu oses me traiter de salope… ! Tu ne perds rien pour attendre… ! Je me suis toujours demandé quelle sorte de culotte peut bien porter une fille de la ville.

 

Joignant le geste à la parole, elle passe dans mon dos, remonte doucement ma jupe, découvrant petits à petit mes cuisses, lorsqu’elle commence à apercevoir ma petite culotte, elle s’exclame :

 

– Tu portes une culotte de pute ma chère Anne. Regarde Manon elle porte une culotte de dentelle presque transparente, on lui voit les poils et pour un peu on lui discernerait le minou.

 

Morte de honte en entendant les commentaires de Caroline je me mets à pleurer.

 

– Ar rêtes, tu as gagn (snif) ées, je ser rai sage à l’ave (snif) nir !

 

Les larmes inondent mon visage, mais, lorsque j’entends Manon, je n’en crois pas mes oreilles.

 

– Dit Caro, tu crois qu’on la fait mouiller ?

– Je ne sais pas il suffit de vérifier… !

 

Caroline termine de remonter ma jupe jusqu’à ma taille, découvrant mes cuisses fermes et fuselées, la roule et la coince dans ma ceinture. Puis elle fait glisser ses mains le long de mes hanches et s’arrête en atteignant l’élastique de ma culotte.

 

– Noonn ! Caro ne fait pas ça ! Baisse pas ma culotte… Noonn… !

 

J’ai beau me débattre, mais attachée comme je le suis, je ne peux rien faire. Je sens les mains de Manon faisant descendre ma culotte avec une lenteur extrême, laissant apparaître le duvet roux de ma toison puis la fente de mon sexe. Arrivée à mi-cuisses elle la laisse tomber. Je perçois le frottement du tissu glissant sur mes jambes et découvre sur le sol ma petite culotte faisant une tache blanche. De rage je lance un coup de pied à Caroline.

 

– Aiiii… !

 

Au glapissement que j’entends, je sais que mon talon l’a atteint à l’estomac. Je vois Caroline se tenir les mains sur l’estomac, pliée en deux de douleur.

 

– Vache j’ai mal… ! Tu vas me payer çà !

– Attends Caro ont va l’attacher autrement intervient Manon.

– Comment ? Demande Caroline se redressant avec peine et me jetant un regard noir.

– On va lui ligoter les jambes, comme ça elle ne pourra plus bouger.

 

Manon et Caroline s’approchent de moi.

 

– Pardon Caro Pardon ! Je ferai tout ce que tu veux. Excuse-moi

 

Arrivée à ma hauteur Caroline s’abaisse et attrape une de mes chevilles.

 

– Anne, si tu bouges je te promets que tu le regretteras

 

Le ton de la voix de Caro est si dur que je n’ose pas faire un mouvement. Manon détend la corde de mes poignets ce qui me fait un bien fou car je peux enfin reposer les pieds sur le sol. Très vite un fourmillement parcourt mes bras et mes mains, puis des picotements de plus en plus douloureux au fur et à mesure que le sang se remet à circuler. Manon et Caroline en profitent pour lier une corde à chacune de mes chevilles, puis elle en passe l’extrémité dans des anneaux fixés dans le sol et, elles tirent sur les cordes m’obligeant à écarter les jambes. Lorsqu’elles sont satisfaites, elles nouent les cordes aux anneaux. Je suis immobilisée entièrement à leur merci.

 

– Qu’est-ce que-vous allez faire de moi ?

 

Manon s’approche de moi et me dit en me regardant dans les yeux.

 

Tu n’aurais pas dû faire ça Anne…

 

Elle se laisse tomber à genoux et son visage arrive à hauteur de mon sexe. Elle place ses mains sur mes fesses me faisant sursauter.

 

– Que vas tu me faire ?

– Juste vérifier si tu mouilles. Me répond-elle en riant.

 

Le souffle du rire de Manon sur ma chatte, les caresses de ses mains sur mes fesses et la situation dans laquelle je me trouve commencent à provoquer des troubles au creux de mes reins. Une chaleur que je connais bien irradie mon minou. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas laisser paraître mon trouble. Mais lorsque Manon écarte les lèvres de ma chatte, je suis bien obligée d’admettre l’évidence.

 

– Regarde-moi çà Caro, elle mouille comme une fontaine. Elle aime ça, une vraie petite salope.

 

Les mots de Manon me blessent mais je préfère ne rien dire.

 

– Si elle aime se faire tripoter, je lui réserve une bonne surprise dit Caroline en se dirigeant vers la porte. Avant de sortir, elle me regarde

 

– Je crois que tu vas aimer Anne tu n’aurais pas dû me frapper, je t’aurais pardonné ta morgue mais maintenant j’ai un compte avec toi.

 

Et elle referme la porte sur elle.

 

– Qu’est-ce qu’elle va me faire ?

– Je ne sais pas me répond Manon Mais depuis le temps que j’ai envie de toi je vais en profiter…

 

Je regarde Manon, son visage ovale encadré de cheveux blonds est tourné vers moi, de ses yeux bleus un torrent sensuel s’échappe. Elle approche sa bouche de ma vulve, écarte à nouveau les lèvres de mon minou, attrape avec délicatesse mon clitoris et commence à le sucer comme un bonbon. Une violente décharge secoue mon bas ventre, mon bassin ondule au rythme des caresses de Manon. Le plaisir d’abord insidieux devient de plus en plus fort. En femme experte Manon contrôle la montée de mon orgasme, reculant le plus possible les limites de l’explosion.

 

-Manon.. . Je… Oui… en peu plus… Oui… Oui… Ouuiii !! Je veux jouir Hooo ! Ouuii… Haaa… Ouuuiiii… !!

 

Un orgasme fulgurant me parcourt le corps me laissant sans force, au bord de l’évanouissement. Lorsque que je reprends conscience je vois Caroline devant moi.

 

– Alors petite pute, je vois que tu ne t’es pas ennuyée pendant mon absence. Depuis le temps que Manon voulait te faire une minette. Maintenant à mon tour de jouer avec toi. Regarde, je t’ai cueilli des fleurs…

 

Dans ses mains Caroline tient délicatement un bouquet de fleurs. Elle les dépose une à une sur la table. Six en tout. C’est alors que je me rends compte que ce ne sont pas des fleurs mais des orties. Un cri jaillit de ma bouche.

 

– Que vas-tu faire avec ça !

– Te nettoyer la chatte. Regarde-toi, tu as de la mouille partout. Ce n’est pas très propre cela. Toi qui passe des heures dans la salle de bain à te pomponner, tu dois bien le comprendre. Me dit-elle un sourire aux lèvres.

– Non…Noonn…Nooonnn…!! pas çà Caro, tout ce que tu veux mais pas çà

 

Comme une hystérique je me débats dans mes liens. Je tente de resserrer mes jambes. Chose impossible car je suis trop bien attachée.

 

– Caro je tends prie, ne fais pas ça…!

 

Caroline contemple mes efforts infructueux. Elle tire un mouchoir de l’une des poches de son jeans, l’enroule autour de la tige de la première ortie, la soulève et se dirige vers moi. Une peur panique me saisit.

 

– Nooonnn…!!

 

Soudain Manon et Caroline éclatent de rire.

 

– Regarde elle pisse… elle a tellement la trouille qu’elle fait pipi dit Manon entre deux hoquets.

– La cochonne faire cela devant nous… elle n’a pas honte ? Renchérit Caroline.

 

Rien n’y fait, je ne peux pas m’arrêter, je regarde cette fontaine d’or jaillir de ma chatte et imprégner le sol sablonneux de la cabane. Petit à petit le flot se tari pour ne laisser place qu’a quelques gouttes. Je suis rouge de confusion et je n’ose pas regarder devant moi, je garde la tête baissée sentant monter un flot de larmes.

 

Manon se mouille le doigt avec un peu de l’urine qui a coulé sur mes cuisses et me le fait sucer.

 

– Suce, suce ta bonne pisse !

– Non pas ça !

– Tu as tort, elle est délicieuse ! dit-elle en se léchant le doigt.

 

Je pensais avoir échappé à cette épreuve, mais voilà qu’elle recommence. Je ferme ostensiblement la bouche, alors elle me pince fortement le téton à travers mon tee-shirt et profite du fait que j’ouvre la bouche pour crier, pour y fourrer son doigt

 

– Tu es vraiment une sale fille. Reconnaît qu’il faut bien t’essuyer la foufounette maintenant. Me dit Manon

 

Je ne réponds pas. Mais lorsque je vois les feuilles d’ortie entre mes jambes je ne peux m’empêcher de supplier Caroline.

 

– Tu m’as assez humiliée comme çà…arrête Caro…!

 

Je vois les doigts de Caroline séparer les lèvres de mon sexe. Je retiens mon souffle car les feuilles d’ortie montent vers ma chatte. Saisie par l’appréhension je ne bouge plus. Lentement Caroline fait glisser les feuilles d’ortie entre les lèvres de mon minou, entre mes jambes et pour finir dans le sillon de mes fesses jusqu’à mon anus. Dans un réflexe je crispe mes fessiers ce qui a pour effet de ralentir encore plus le mouvement des orties. Une fois entièrement passée Caroline jette la tige sur le sol.

 

– Et d’une…!

 

Ces mots sont comme un déclic, jusqu’à présent je ne sentais rien. Brusquement un picotement se propage à l’intérieur de ma vulve, bientôt remplacé par une véritable démangeaison, puis des élancements semblables à des piqûres se répandent le long du trajet suivi par les feuilles d’orties se transformant en une unique brûlure.

 

– Aiiii…! Je suis en feu…! J’ai mal !

 

A travers le brouillard de larmes qui obstrue mon regard j’aperçois Caroline qui revient vers moi avec une autre tige d’ortie.

 

– Noonn…! Plus ça…Trop mal…!

 

Malgré mes suppliques et les déhanchements de mon corps pour échapper aux orties de Caroline, une deuxième tige suit le même chemin le long de ma vulve et dans la raie de mes fesses. La douleur est encore plus vive que précédemment.

 

– Plus… Noonn… ! … plus Caro… trop mal… ! … arrête … !

– J’espère que tu as compris maintenant !

– Ouuii…! …Ouuii ! …je serai sage je ferai tout ce que tu voudras…!

 

Caroline profite quelques temps du spectacle de mon corps se contorsionnant en tous sens pour échapper à la souffrance qui le ronge. Elle semble se délecter de mes cris et de mes suppliques.

 

Manon s’approche de Caroline

 

– Tu m’excite quand tu fais la méchante !

 

Les deux sœurs s’embrassent sensuellement sur la bouche, se pelotent et se débraillent avant de rouler sur le sol, où elle se gamahuchent l’une, l’autre.

 

J’ignorais que mes cousines avaient des rapports incestueux, les voir se donner du plaisir ainsi m’excita énormément.

 

– Bien. Manon, détache-la.

 

Manon s’approche de moi, me délie les chevilles et lorsqu’elle détache la corde qui maintenait mes bras levés je m’effondre sur le sol. Je me tords comme un ver, une main frottant ma chatte l’autre mes fesses pour tenter d’apaiser la souffrance. Au bout de quelques temps la douleur s’estompe. Comme je tente de me relever Manon me dit :

 

– Reste à genoux et approche à quatre pattes esclave…

 

C’est la première fois que j’entends ce mot dans sa bouche mais à partir de cet instant je sais qu’il va rythmer toute ma vie. Je m’approche de mes cousines, déjà prête à me soumettre à leurs nouveaux caprices.

 

– C’est exprès que tu as laissé trainer ça sur ta table de nuit ? Me demande Manon en m’exhibant une feuille de carnet rempli de mon écriture.

 

« Elles sont trop belles mes cousines ! Que j’aimerais être leur esclave ! »

 

– Vous fouillez dans ma chambre alors ?

– Ben quoi ? Faut bien aérer, non ? Et puis ne te plains pas, nous avons exaucé ton fantasme ! Maintenant habille-toi correctement, nous devons rentrer à la maison. Dit Caroline.

 

J’abaisse ma jupe. Je cherche ma petite culotte du regard mais Manon me dit :

 

– A partir de maintenant tu ne portes plus sous-vêtement.

– Oui…maî…maîtr…maîtresse Manon.

 

Nous sommes sorties de la cabane. Arrivée sur le chemin, je me suis tournée vers la cabane pour figer à jamais l’image de cet endroit qui me fit découvrir ma vocation d’esclave.

 

En entrant dans la maison, une autre surprise et de taille m’attendais.

 

– Alors, demande l’oncle Georges, ça s’est bien passé ?

– Super ! Répond Caroline, on l’a soigné aux orties.

 

Je rêve, l’oncle Georges était donc au courant !

 

– Et elle a réagi comment ? Demande la tante Sylvianne.

– Elle a mouillé comme une salope !

– Bien on va se faire cinq minutes détente, on se mets tous à poil.

 

L’instant d’après je découvrais la bite de mon oncle Georges fièrement bandée.

 

J’étais tétanisée, ma tante Sylvianne et mes cousines me retirèrent mes vêtements, je me laissais faire.

 

– Venez mes chéries, venez sucer la bite de votre papa ! Dit ensuite tonton Georges.

 

Et là devant mes yeux subjugués, je vis Caroline et Manon s’agenouiller près de leur père et entamer une fellation incestueuse à deux bouches.

 

Il les fit stopper au bout de quelques minutes. Et pointa sa main vers moi !

 

– En levrette, esclave, je vais t’enculer !

 

Je ne protestai pas, cela procédait pour moi de la logique des choses, je me mis en position et offrait mon anus aux assauts virils de mon oncle, tandis que les deux cousines faisait minette à leur mère.

 

13 ans plus tard je me remémore encore cette folle journée ! Le lendemain je quittais oncle, tante et cousines, les adieux furent chaleureux sans arrière-pensées, comme s’il ne s’était rien passé !

 

J’ai ainsi découvert ma nature profonde : je suis profondément maso, mais libre ! Paradoxal ! Non ! Car maintenant mes Maîtresses, c’est moi qui les choisis !

 

Bisous.

Anne-Abigail

 

© 2000 annvoneichmuller@hotmail.com

 

Publié initialement sur le site de Revebebe le 23/02/2001 sous le numéro 1869 et qui ne l’a pas conservé

Rétabli ci dans une version non censurée et rewritée.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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