Anne-Abigail

Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:26

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Lothaire de Castignac

Mutants

Prologue : Poitiers, France, an 1575

Zwak ressemble à une sauterelle, sauf qu’elle n’est pas verte mais rose. Zwak était le commandant de la première mission d’exploration interstellaire organisée par sa planète natale. Une opération de pur prestige destinée à tester la technologie de cette civilisation. Le voyage dura 40 ans à 90 % de la vitesse lumière. Cela n’était pas un inconvénient pour les aliens, le génie génétique de leurs savants les ayant rendus pratiquement éternels, sauf en cas de destruction du cerveau.

Ils partirent donc à 72 individus et le voyage se passa sans soucis majeurs, Zwak étant habile à étouffer dans l’œuf les conflits latents entre ses congénères.

Au moment d’entrer dans l’atmosphère terrestre, la protection thermique de la partie arrière du vaisseau, là où était installé 60 pionniers, s’avéra défaillante, brulant mortellement tous les occupants.

La cabine de pilotage où se tenait Zwak et onze de ses compagnons était dotée d’un bouclier thermique indépendant, mais la catastrophe survenue à l’arrière déséquilibrait le plan de vol et risquait de s’étendre.

C’est donc un vaisseau quasiment en feu que Zwak parvint à faire atterrir, par chance, ce fut au bord d’un mare boueuse trempée par une pluie incessante.

Zwak et ses compagnons sortirent en catastrophe du vaisseau et le virent s’abimer dans la mare boueuse.

Après une longue période de silence due au choc psychologique, Zwak prit la parole.

– Nous allons nous renseigner pour savoir si cette planète abrite des êtres intelligents et s’ils possèdent une technologie qui nous permettra de rentrer chez nous.

La longueur du voyage et ses contraintes avaient affaiblis les aliens, Aussi ils se trouvaient incapables de se dématérialiser, ils avaient été prévenus, et savaient qu’il leur faudrait plusieurs jours pour retrouver l’intégralité de leurs pouvoirs.

Après une petite pause, la petite compagnie s’envola afin de visiter les environs.

– Ah, voici une construction ! Il y a de la civilisation ici, tout espoir n’est donc pas perdu.

Ils s’approchèrent et pénétrèrent dans le château (car oui il s’agissait bien d’un château) par une fenêtre ouverte.

Et là ils aperçurent le comte Lothaire de Castignac donnant des ordres incompréhensibles à un serviteur.

– Ce bipède doit être un représentant de la race évoluée de cette planète, nous allons l’étudier et ensuite nous tenterons un contact.

Zwak et ses compagnons explorent le château, en profitant pour se nourrir de graines et de petits insectes, ils trouvèrent aussi un broc rempli d’eau potable.

Ainsi repus, ils purent entreprendre de sonder le cerveau de celui qui semblait être ici le maître des lieux, le comte Lothaire de Castignac.

La tâche était difficile, les aliens n’ayant pas encore retrouvé l’intégralité de leurs pouvoirs, il fallut se mettre à plusieurs pour pénétrer l’esprit du comte.

Au bout de 10 minutes, les aliens commentaient le désastre :

– Incroyable ! Il ne sait pas ce qu’est une planète, ni une étoile, leur technologie est purement mécanique.
– On pourrait peut-être leur donner un coup de pouce ? Suggéra Vico.
– Ça va prendre des siècles !
– On pourra accélérer les choses, on a l’éternité devant nous.
– Il nous faut un plan, réfléchissons chacun de notre côté, je pense qu’il doit exister des savants, ici, il nous faudra les contacter…

Et en attendant ils allèrent se planquer dans les nombreuses petites alvéoles qui gangrénaient les murs du château.

Mais bientôt ce fut l’enfer, le château était infesté de bestioles, et les aliens n’étaient pas les bienvenus, il fallait faire avec les chats, les chiens, les rats. Ils crurent résoudre le problème en instituant des tours de garde, mais la situation devint vite invivable.

Et un jour Vico fut pris dans une toile d’araignée dont il ne parvint pas à s’extirper. L’araignée rapide comme l’éclair lui bouffa carrément la tête.

– On ne pourra pas survivre dans ces conditions, nous allons être décimés les uns après les autres ! Se lamenta Zwak.
– Quittons cet endroit ! Suggéra l’un des aliens.
– Pour trouver peut-être pire ! A quoi bon ? Non il nous reste qu’une solution : la fusion !

Cette perspective était loin d’enchanter le petit groupe, mais après quelques discussions il fut convenu qu’il n’y avait guère d’alternatives.

Le château était habité par sept personnes, le comte Lothaire de Castignac, Chapine, sa femme, ses deux filles d’une vingtaine d’années, sa vieille mère et un couple de domestiques.

– Je vais m’occuper de ce Lothaire, il faut que cinq d’entre vous se chargent des autres.
– Non six ! Rectifia quelqu’un.
– Non, on ne compte pas la mère, elle est trop vieille, on ne pourra rien en faire. Il restera six corps à habiter, nous irons les chercher dans les environs… si tout va bien..

Les aliens savaient l’opération pas si innocente que ça, la fusion de l’entité alien avec l’entité humaine laisserait des séquelles. Bien sûr les aliens phagocyteraient les humains mais pas complètement, il resterait quelque chose, la langue, les habitudes, les souvenirs, mais aussi certains traits de caractères ainsi que leurs positionnements sociaux et familiaux. Il faudrait donc apprendre à gérer tout ça.

Les premiers résultats furent encourageant. La fusion entre Lothaire et Zwak, fonctionnait. La personnalité du vieux comte était désormais en arrière-plan. Lothaire était devenu un alien à l’aspect humain.

Chaque alien transformé se chargeait de la sécurité de ceux qui restaient encore à l’état de « sauterelles ». Lothaire et ses amis découvraient des sensations nouvelles, le plaisir de gouter des plats nouveaux, celui de boire de la bière, mais aussi celui de forniquer.

C’est au bout de quatre jours que les premiers troubles apparurent, nausées, fatigue, faiblesse, étourdissements. Cela paraissait inexplicable, normalement la fusion entre les deux entités devaient conserver la quasi-immortalité des aliens et par là-même empêcher toute souffrance, et tout dérèglement pathologique.

– Il manque quelque chose, les fusions ne sont pas achevées. Déclara Zwak (que nous appellerons désormais Lothaire)

Les six aliens transformés se réunirent assis en cercle et entamèrent une longue méditation

– Le sang ! C’est le sang ! s’exclama Dame Chapine.
– Le sang ?
– Oui, nous ne pourrons jamais réaliser une fusion définitive avec ces bipèdes, mais une injection de sang à intervalles réguliers devrait faire l’affaire.

Après une brève discussion, les aliens transformés se rangèrent aux arguments de Dame Chapine.

– Mais comment trouver du sang ? Demanda quelqu’un.
– Il y a des habitants à quelques lieus d’ici ! Déclara Amaury, le domestique. C’est là que je me rends pour faire les courses…
– Alors, allons-y, avant que nos forces nous quittent.
– Il faut mieux ne pas attirer l’attention, je suis connu, attendons la nuit ! Objecta Amaury.

Et la nuit venue, après avoir assuré la sécurité des « sauterelles » non transformées, les six aliens se dématérialisèrent et transformées en nuée invisible, ils parvinrent jusqu’à une ferme.

La suite fut simple. Ils entrent, repèrent les chambres, se matérialisèrent : Six cibles endormis, chacun la sienne. Une morsure au niveau de la jugulaire… et glouglou.

Leur forfait accompli, nos six aliens s’en retournèrent au château et quand ils se matérialisèrent à nouveau, ils étaient en pleine forme.

– C’est pas terrible ce que nous avons fait ! Déplora Amaury
– Non, mais c’était eux ou nous ! Nous rechercherons une solution plus douce, mais en attendant il nous faudra continuer à agir de la sorte ! Déclara Lothaire. Mais par précaution la prochaine fois, nous irons bien plus loin.

Ils laissent passer quatre nouvelles journées au terme desquelles ils allèrent vampiriser quelques paisibles citoyens à plusieurs lieus de là.

A leur retour, il fut décidé que les six sauterelles non encore transformées avaient le feu vert pour fusionner avec qui ils voudraient.

– Bonne chance à vous ! Leur dit Lothaire. Nous resterons en contact télépathique et nous nous rencontrerons tous ensemble régulièrement et en cas de besoin.

La vie au château s’installa, pas grand-chose à faire, de la lecture, profiter de la bonne chère que rapportaient Amaury…

Mais vous allez me dire « avec quoi payait-il tout cela ? » Les impôts naturellement ! A intervalles réguliers, le bourgmestre du village se rendait au château avec les fonds collectés par les habitants. Le seigneur des lieux était donc entretenu à ne rien foutre. Mais en contrepartie ils devaient s’engager à protéger la population contre les invasions barbares.

L’autre activité était le sexe, et tiens, pendant que nous y sommes on va en parler un petit peu, puisqu’après tout on là pour ça, non ?

– Dame Chapine, Voyez comme je bande ! Lui dit Lothaire.
– Mon bon prince, je ne vois rien du tout !
– Venez donc à sa rencontre !

Chapine s’en alla farfouiller dans le haut de chausse du comte et ne tarda pas à faire sortir de sa cachette un magnifique membre bandé comme un arc et sur le gland duquel perlait une impertinente goutte de liqueur séminale.

– Quelle forme ce matin, mon prince ! Dit-elle en prenant en main ce dard arrogant.
– Je présume que vous allez sucer !
– Vous présumez fort bien !
– Mettez-vous à poil, Dame Chapine, que je puisse profiter de la vue de vos gros nichons !
– Lothaire, vous êtes un cochon !
– Je sais !

Chapine se déshabilla et afin d’exciter davantage son époux, elle se mit à faire bouger ses seins et à en tirer les gros bouts turgescents.

– Vous êtes une grosse pute, Chapine !
– Hi, hi ! Ricana-t-elle avant de prendre en bouche le beau vit.

Des bruits de pas, un raclement de gorge…Deux jeunes filles aux cheveux de feu entre dans la pièce

– Alors les parents, on batifole ! S’écria avec amusement Herma, la première fille du couple.
– On peut regarder, ou vous préférez qu’on vous laisse ? Ajouta Gudrun, la seconde fille.
– Mais restez donc mes chéries, plus on des fous, plus la baise est bonne.

Les deux belles rouquines s’approchèrent tout près de leurs parents.

– Hum, qu’elle est belle la bite à papa, tu me la laisses quelques instants, Maman ? Demanda Herma
– Vicieuse, catin !
– Oui, maman, mais ça ne répond pas à la question.
– Pour l’instant, c’est moi qui suce !
– Tu peux bien la partager cinq minutes, en échange je te brouterais la chatte ! Proposa Gudrun.
– Toi tu es encore plus vicieuse que ta sœur ! Mais bon je vais être bonne mère ! Répondit Chapine en se redressant, Régalez-vous, il est en pleine forme !

Et bientôt c’est deux petites langues qui virevoltaient autour de la bite du comte qui se pâmait d’aise.

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Dame Chapine se sentant larguée eut l’idée de sonner la bonne.

– Madame m’a mandé ? demanda Perrette découvrant le spectacle de Lothaire en train de se faire sucer le dard par sa progéniture.
– Tu vas me lécher la moule…
– La moule, le cul, tout ce que voudrez, ma douce maîtresse.
– Alors, exécution !
– C’est que je dois préalablement satisfaire un petit besoin bien naturel.
– Je déteste les contretemps, petite pisseuse ! Ton impertinence mérite une bonne fessée, Allez dégage moi ce gros joufflu que je lui tape dessus !
– Mon pauvre cul ! Qu’est qu’il va prendre ! Il va encore devenir cramoisie. Pitié Dame Chapine !

En fait Perrette joue la comédie, elle adore qu’on lui maltraite son popotin, et Chapine le sait bien qui tape à qui mieux mieux jusqu’à s’en faire mal aux mains.

Rageuse et excité comme une puce, la comtesse, plonge un doigt dans le trou du cul de Perrette qui sursaute de surprise mais qui se laisse faire volontiers.

– Tu aimes ça, traînée !
– Je préfère la queue de Sieur Lothaire, mais ce doigt m’est bien agréable.
– Salope ! Répondit Dame Chapine en introduisant un deuxième doigt.

Et après avoir agité ses jolis doigts pendant quelques minutes, il fallut bien qu’elle les ressorti.

– Regarde-moi ça, poufiasse, tu m’as dégueulassé mes petits doigts délicats.
– Hi ! Hi !
– Et ça te fait rire, catin ! Répondit la comtesse en giflant la pauvre servante.
– Méchante comtesse !
– Parfaitement, et maintenant nettoie-moi mes doigts.
– Avec plaisir, méchante comtesse !

Et Perrette, sans hésiter une seconde nettoya de sa bouche les doigts pollués de sa patronne.

– Et maintenant, lèche-moi.
– Puis-je faire remarquer que je n’ai toujours pas pissé et que ça va devenir urgent.
– Pisse-moi donc dans le gosier, ça t’évitera de trop t’éloigner.
– Madame la comtesse est une vicieuse !
– Parfaitement !

La comtesse s’étala sur le froid carrelage de la pièce, et Perrette vint s’accroupir au-dessus de son visage. Très vite, un joli filet jaune sorti de son intimité pour aller remplir le gosier de Dame Chapine.

– Hum, ta pisse est délicieuse, aujourd’hui !
– Madame me fait beaucoup d’honneur.
– Arrête donc de jacter et viens me brouter la chatoune.

Et pendant que Perrette mettait du cœur à l’ouvrage en butinant le berlingot de sa patronne, intéressons-nous au comte Lothaire et à ses deux espiègles de filles que nous avons délaissées.

Herma suçait d’abondance le dard toujours en étendard de son paternel, tandis que Gudrun, passé de l’autre côté, lui prodiguait une feuille de rose bien profonde

– Stop les filles maintenant il faut que je jouisse sinon je vais me taper un mal de bite !.Voyons voir laquelle de vous deux vais-je enculer ?
– C’est mon tour, je crois ! Indiqua Herma
– C’est sûr, ça ? Demanda Gudrun

Mais Lothaire apercevant Perrette en train de brouter son épouse en tortillant de son croupion rougit par la fessée qu’elle avait reçu eut l’idée de la choisir et passant derrière il l’encula d’un seul coup d’un seul, faut dire que la Perrette était tellement moullée que de partout que ça aidait fortement à la pénétration.

Charmant tableau, le comte sodomise la soubrette qui lèche la comtesse, et bientôt ce joli trio poussa des cris de jouissance qui raisonnèrent en écho dans les murs du château.

Quant à Herma et Gudrun, enlacée en soixante-neuf elles ne tardèrent pas à exprimer à leurs tours leur jouissance de façon fort peu discrète.

Comme vous le voyez, nos aliens avaient complétement assimilés la sexualité des terriens à cette importante nuance près, c’est qu’ils n’avaient aucun tabou.

Les mutants ne se déplaçaient plus en groupe pour se ravitailler en sang frais, chacun maintenant se débrouillait à sa guise et selon ses besoins.

Les grandes découvertes sont parfois le fruit du hasard, ainsi il se raconte que le dénommé Barthélemy Thimonnier (1793-1857) recherchait le mouvement perpétuel, il ne le trouva pas mais le résultat de ces expériences fut… une machine à coudre !

C’est Herma, la fille ainée du comte qui une nuit de collecte de sang eut un remord en commençant à mordre une très jolie jeune fille. Elle stoppa son geste et par reflexe fit cesser l’hémorragie en imbibant la plaie de sa propre salive.

Et soudain la fille se réveilla, Herma s’apprêtait à quitter les lieux mais ne le fit pas tant elle fut surprise par l’attitude la fille qui sortit du lit et se prosterna à genoux devant elle.

– Je suis votre esclave ! Ordonnez et j’obéirais.
– Euh, pour l’instant va faire dodo, tu as fait un cauchemar et tu as été piqué par une vilaine bestiole.

Et quelques nuits plus tard Herma retourna seule dans la chambre de jeune fille, elle n’y était plus. Elle sonda alors le cerveau de celui qui semblait être le maître des lieux.

Et ce qu’elle apprit fut atroce, la fille, en fait une servante, avait été surprise en train de mordre jusqu’au sang son compagnon de cuisine. elle fut brulée comme sorcière sans autre forme de procès.

Herma fit part de son expérience aux autres.

– Cela veut dire qu’on peut créer des mutants acquis à notre cause, en étant plus nombreux, nous serons en sécurité, mais attention il ne faudrait pas non plus que nous terrorisions toute la région.

Pendant quelques mois, les aliens eurent une vie paisible, cela jusqu’au jour où Amaury entra en conflit avec Lothaire.

Les prélèvements de sang avaient beau se dérouler à des lieus du château, l’ambiance dans la région devenait délétère

– Des gens accusent le château d’abriter des sorciers suceurs de sang. D’où peut venir cette rumeur, nous prenons nos précautions, non ? S’étonna Lothaire.

Soupçonnant quelque chose de louche, Lothaire entreprit de suivre discrètement ses congénères, et c’est là qu’il s’aperçut qu’Amaury ne s’éloignait pas assez du château lorsqu’il allait recueillir du sang.

Parallèlement la population s’organisait, décapitait et brulait tous les supposés sorciers, et menaçait de donner l’assaut au château.

– Espèce d’abruti, tu mets notre communauté en danger… L’invectiva Lothaire
– Ça devait arriver de toute façon, la seule solution c’est de mordre tout le monde, ainsi personne ne sera contre nous. Répondit Amaury
– O.K. je m’incline, c’est toi le chef désormais, puisque cette idée est de toi, je te laisse la mettre en place, mais il faut auparavant que je te confie quelques secrets. Vite le temps presse, retrouvons-nous dans la salle bleue.

Dame Chapine et ses filles s’empressèrent d’invectiver Lothaire, lui demandant s’il n’était pas devenu complétement fou de pendre une telle décision

– Mais non, voilà ce que nous allons faire….

Dans la salle bleue, située tout en haut d’une des tourelles, les trois femmes se concentrèrent de conserve sur Amaury, l’empêchant de se servir de ses pouvoirs, puis Dame Chapine s’empara d’une hallebarde posée sur un râtelier et fit reculer Amaury jusqu’à la fenêtre vitrée. Il passa au travers, brisant la vitre et dégringola. On a beau être immortel mais quand le cerveau est en bouillie, eh bien on ne l’est plus !

Lothaire réuni ensuite la domesticité .

– Nous allons partir les premiers, attendez un peu et empruntez le souterrain secret. Bonne chance à vous ! Nous nous reverrons !

Lothaire, sa femme et ses filles se dématérialisèrent, puis une fois éloigné du château, ils se firent passer pour des paysans fuyant les sorciers, ils furent engagés comme serfs au service d’un chatelain du coin. Pas trop la joie mais en attendant mieux…

En temps Tolmar, l’un des aliens de la seconde vague de transformation qui avait une formation de biochimiste avait découvert un procédé qui évitait les razzias sanguines. Le chef de leur groupe un certain Rosalio ne souhaitait pas que cette découverte soit divulguée (allez savoir pourquoi ?) Tolmar qui n’aimait pas qu’on lui donne des ordres s’en alla voir ailleurs, mais ne divulgua pas sa formule par crainte des représailles. Mais sa formule finit par fuiter. Les aliens pouvaient à présent dormir tranquille.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:54

Coquineries en Antarctique par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
zoo

Candice appréhende ce déplacement dans l’Antarctique, en plein pôle sud. Elle est obligée de laisser sa petite famille, son mari, et son fils. Candice est une jeune chercheuse de vingt-huit ans, qui travaille sur le réchauffement de la planète. Huit ingénieurs font partie de l’expédition. Six hommes et deux femmes. Les déplacements sur place sont prévus en traineaux. Dix-huit chiens, au total, sont du voyage. Une fois larguée par de gros hélicoptères, l’équipe installe le matériel. La température avoisine les moins quinze degrés. Les duvets s’imposent.

La première journée est réservée au montage des trois tentes, et à l’organisation des équipes. Le lendemain, les travaux commencent. Deux groupes de trois partent faire des prélèvements pendant deux jours. Au camp, il ne reste que Pascale et Candice. Ce sont elles qui sont chargées de rentrer les données sur ordinateur. Les deux femmes occupent la même tente, et le même duvet à deux places. Avec le chauffage à côté, elles n’ont pas froid. D’autant que Pascale, bisexuelle, connait tous les ingrédients pour réchauffer Candice.

Lors de la dernière expédition, Pascale s’était un peu amusée avec Candice, qui avait apprécié, jusqu’à hurler de plaisir. Cette nuit, le thermomètre, à l’extérieur, affiche moins vingt, mais à l’intérieur, la température est assez douce. A tel point que les deux femmes se glissent nues dans le duvet.

– Tu me caresseras comme l’autre fois? demande Candice.
– Bien sûr !
– C’était bon tu sais.
– Tu veux que je branle ta petite chatte, que je doigte ton petit bouton, c’est ça ?

Pendant demi-heure, Candice va s’offrir aux mains expertes de Pascale, savourant les caresses les plus vicieuses.

Soudain, dehors, une lutte s’engage dans la meute. Les deux femmes se couvrent d’énormes couvertures et sortent de la tente. C’est Sultan, un husky de deux ans qui s’est fait prendre le haut de la cuisse. Candice le tire sous la tente, pendant que Pascale prépare la pharmacie. Ce n’est pas trop grave. Le chien s’assied sur l’épais tapis. Pascale s’accroupit pour soigner la plaie. La tête de Sultan repose sur les genoux de Candice, qui se trouve assise sur la table basse.

Le chien sent la mouille de la jeune femme. Il glisse son museau sous la couverture, et se trouve en contact avec la chatte. Sultan envoie un premier coup de langue.

– Chut Sultan, calme-toi, dit Candice.

Le deuxième coup est plus précis. La langue râpeuse pénètre entre les lèvres, décalotte le clitoris. Candice bascule sur le dos, jambes écartées de chaque côté de la table basse, sa tête dans le vide. Pascale fait mine de retenir le chien, mais fait pression sur sa tête.

– Oh l’enfoiré, gémit-elle, mais c’est qu’il me bouffe le minou ce salaud…ha…regarde Pascale.

Une fois le pansement terminé, Pascale passe une main sous le ventre du chien, et lui caresse le sexe. La queue, toute rouge, sort du fourreau de poils. Sultan couine légèrement.

-Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de ma copine ? sourit Pascale. Polisson, regarde comme tu la fais mouiller, c’est ça qui te fait bander? Salaud !

– Oh putain… que c’est bon… comme il me suce le bouton…. mieux qu’un homme.
– Et moi ma chérie, poursuit Pascale, si tu savais ce que je tiens entre mes mains, une grosse bite. J’ai bien envie de la sucer, tu sais.
– On va la sucer à deux !

C’est Pascale qui, la première met la bite visqueuse de l’animal dans la bouche avant de la proposer à Candice.

– Hum, on est vraiment vicieuse !
– T’as raison. Tu veux qu’il te la mette, ça ne doit pas être désagréble, tu sais ?
– Cà risque rien tu crois? J’ai tellement envie de prendre un bon coup de queue. S’il me fait mal, tu le retire, d’accord ?

AntactiquePascale place les deux pattes du chien sur la table basse. Elle approche l’énorme queue de la chatte de Candice, et la fait aller et venir sur les lèvres humides. L’instinct animal fait le reste. Sultan la pénètre

– Allez mon chéri, nique-la, voilà, comme ça, doucement, régale-la.
– Oh… putain… qu’il est gros… que c’est bon.. .ha… ha… quel coup de queue.

Pascale ôte sa couverture. Elle est superbe dans toute sa nudité. Elle fait le tour de la table, et se place jambes écartées, au-dessus du visage de Candice. Lentement, elle descend.

Candice observe le corps magnifique de sa maitresse. D’abord les lèvres humides de la chatte, le ventre plat, la superbe poitrine. Puis le regard coquin. Pascale saisit la tête de la jeune femme par la nuque, et la colle contre sa chatte.

– Sens comme je mouille moi aussi. Sens mon petit bouton comme il est dur. Suce-le… vas-y… j’ai envie tu sais… oui jouissons ensemble… viens toi aussi…

Candice, agrippée aux fesses de Pascale, mord littéralement dans le fruit ainsi offert. Pascale gémit de plus en plus, s’écarte d’avantage, se prend le bout des seins qu’elle fait rouler entre ses doigts.

Sultan accélère ses coups de boutoirs, jusqu’à se vider en abondance dans les entrailles de Candice. Les hurlements provoqués par l’orgasme traversent la tente. Les deux chercheuses ont joui ensemble. La cyprine de Pascale dégouline sur les joues de Candice. Le chien se retire lentement et nettoie la chatte pleine de mouille, ce qui est loin de lui déplaire. Pascale s’approche pour se faire lécher la sienne. Les deux femmes roulent sur le tapis, enlacées, soudées par un baiser sulfureux, puis regagne leur duvet.

– Woua… ben dit donc…Au fait, on en était où; déjà? Demande Pascale. Ah oui.
– Hum…hum… roucoule Candice

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Samedi 22 octobre 2022 6 22 /10 /Oct /2022 11:05

Soubrette de deux jours par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
stamp brune

 

Dans cette histoire mon pseudo sera Myriam. Mais en vrai je suis Zoé, 35 ans, fausse blonde aux cheveux mi-long. Mes parents m’ont légué l’usufruit de quatre grands appartements dans le Marais. Inutile de vous dire que vu le prix des loyers, je n’ai nul besoin de travailler.

Parlons sexe puisque, vous êtes, chers lectrices et lecteurs, là pour ça. Mon mariage à 18 ans avec un apollon de la plage, con comme la lune a fait long feu. J’avais de grosses tendances lesbiennes et j’ai vécu plus de 10 ans avec une maitresse femme qui m’en a fait voir de toutes les couleurs et qui m’a révélé mes penchants masochistes.

Et un jour elle est partie avec une autre. La salope !

J’ai essayé de retrouver les mêmes relations. Pas si facile et en vieillissant je deviens compliquée.

Et puis un jour sur Internet, une annonce m’a fait fantasmer

« Belle femme autoritaire, cherche femme de ménage ne craignant ni les châtiments corporels, ni les humiliations… »

Moi la petite bourgeoise, allez passer le plumeau chez une autre bourgeoise, voilà qui m’a interpellé.

Je prend contact, tombe sur ce que je pense être la secrétaire de madame.

– Je ne réponds qu’aux questions pratiques, me dit-elle. Horaires, salaire. Pour le reste c’est à voir sur place. Mais envoyez-nous une photo de votre visage et de votre silhouette…
– Habillée ?
– Comme vous voulez.

Après réception des photos, on m’a fourni l’adresse et donné rendez-vous. Et le jour venu, c’est une grande rousse habillée en soubrette d’opérette qui me fit entrer dans cette villa cossue de l’ouest parisien.

– Je suis Myriam, j’ai rendez-vous avec Madame de Chatenfeu…
– C’est pour le poste de soubrette ?

Question idiote, est-ce que j’ai l’air de quelqu’un qui vient relever le compteur du gaz ?

– Oui…
– OK, entre et suis-moi ! Je m’appelle Katia. N’ai pas peur, on ne va pas te manger.

Je la suivis donc jusque dans cette immense pièce où trônait dans un fauteuil « Emmanuelle » une grande femme, entre cinquante et soixante ans, brune coiffée d’un chignon strict, joli visage, teint halé. Elle était vêtue d’une robe noire assez simple, légèrement décolletée et laissant ses belles épaules dénudées. A ses pieds, roupille un grand labrador noir que ma présence semble indifférer.

– La pétasse est arrivée ! Dit simplement la rousse.

Je ne réagis pas à ces paroles volontairement humiliantes, puisque ça devait faire partie du cérémonial.

– Bonjour madame ! Dis-je en faisant une jolie petite courbette.

Elle me dévisage sans aucune gêne, me déshabille du regard.

– Bon, t’es pas mal foutue, T’as une bouche à taller des pipes ! Mais dis-moi : tu as déjà fait ce genre de travail ? Me demande la maîtresse des lieux sans répondre à mon bonjour.
– Oui, mais mon patron n’a pas pu me garder, il a été muté à l’étranger… Inventais-je
– Tu aimes obéir ?
– Oui madame.
– Tu aimes être punie ?
– Oui, madame.
– Tu sais qu’ici tu seras mon jouet, que tu seras humiliée, fouettée…
– Oui ! Je viens pour ça…
– On dit : « Oui, madame ! », pétasse !
– Oui madame !
– T’as des tabous ?
– Non, mais il y a des choses que j’aime moins que d’autres.
– Il y a des choses que tu refuses ?
– Oui, tous les marquages définitifs, tatouages, brulures au fer rouge…
– Ben voyons,, je suppose que tu refuses également qu’on te coupes en rondelles ?

Quel humour à deux balles, je feint un sourire.

– OK, ouvre ta bouche de pute.

Je le fais, et Honorine puisque c’est le nom de la dame, me crache au visage plusieurs fois.

– On dit « merci madame « !
– Merci Madame
– Reprenons, je suppose que la pisse ne te gêne pas ?
– Non pas du tout, Madame, j’adore ça !
– Et la merde ?
– Quand ça reste raisonnable.
– Ça ne veut rien dire ! Tu pratiquais chez tes anciens patrons ?
– Oui Madame, un peu !
– Donne-moi des détails, pétasse !
– Madame me faisait lécher son cul après qu’elle ait fais ses besoins.
– Tu léchais sa merde ?
– Ben oui !
– Donc tu lécheras la mienne ?
– Si tel est votre désir, je lécherai votre merde, Madame !
– Et tu t’es déjà fait sauter par un chien ?
– Ma foi non !
– Et si je t’ordonne de le faire ?
– J’obéirais, Madame.
– OK ! Déshabille-toi entièrement.

J’obtempérais, elle vint près de moi me peloter un sein, puis une fesse.

– Bon, ça devrait aller. Katia va te tester, suis-là… non, non reste à poil.

Je suis donc la rousse qui ouvre une pièce aménagée spécialement pour les jeux entre esclaves et maitresses, un donjon, quoi ! Avec Croix de Saint André, cheval d’arçon, chaines, et étagères occupées par des gadgets multiples et variés.

– Je te préviens, je vais t’en faire baver !
– Attends… Tu vas m’attacher ?

Katia me gifle deux fois de suite.

– Alors deux choses, quand je te punis tu dois me vouvoyer, le reste du temps je m’en fous, sinon, bien sûr que je vais t’attacher.
– Il y a un mot de sécurité ?.
– Oui c’est « balai brosse ». Maintenant tu te mets à genoux.

J’obéis, Katia me serre fortement les tétons du bout de ses doigts.

– T’aimes ça, hein morue ?
– Euh, oui Katia !

Zoe02Elle s’éloigne de quelques pas afin de prendre deux pinces à seins reliées par un chainette. Et après les avoir fixés sur mes jolis tétons elle me force à avancer en tirant sur la chainette. Ça fait très mal mais je supporte. Elle retourne chercher deux autres pinces, pour mes grandes lèvres cette fois.

Elle me fait faire plusieurs fois le tour de la pièce à quatre pattes, puis me fait me relever et m’attache contre la croix de St André, mon cul face à elle.

Et c’est parti pour une série de coups de cravache qui me mord les chairs, je crie en essayant en vain de retenir mes larmes, mais je supporte.

Je pousse un ouf de soulagement quand elle me détache, mais c’est pour mieux me rattacher, mais de face cette fois-ci.

C’est terrible elle me cingle les seins plusieurs fois, je vais me taper des traces pendant quinze jours à ce rythme-là !

De nouveau elle me détache, et sans que je m’y attende elle me gifle

– Tiens, ça c’est en prime !
– Aïe !
– Tu dois avoir soif ma pauvre bichette !
– Un peu, oui
– On va arranger ça !

Il y avait par terre une écuelle probablement destinée à donner à boire ou à manger au chien, Katia s’accroupit au-dessus (elle n’avait donc pas de culotte) et pisse dedans.

Puis elle revient vers moi, me faire mettre à quatre pattes en me tirant sur la chainette qui réunit mes pinces aux tétons. J’ai compris ce qu’elle voulait que je fasse… mais j’attends qu’elle me le confirme :

– Bois ma pisse ! Non tu ne soulèves pas la gamelle, tu lapes, comme une chienne.

Eh bien moi qui voulait de l’humiliation, je suis servie, ce n’est pas l’uro qui me gêne mais le fait de laper la pisse dans cette position.

Et pendant que je lape sa pisse, elle vient derrière moi et m’introduit sans trop de ménagement un gode dans l’anus.

– Remet toi à genoux, on va faire autre chose.

Elle s’éloigne de quelques pas, appelle quelqu’un sur son téléphone portable, raccroche, va s’assoir et fumer une cigarette en attendant, sans me jeter un seul regard.

A peine 10 minutes plus tard, la porte s’ouvrait, un bonhomme dans la soixantaine fait son apparition, il ne me salue pas et sors sa bite de sa braguette, un bon morceau !

– Allez suce-le et à fond !
– Que je…
– Oui que tu le suces ! T’as quelque chose contre ?
– Non, non !

J’ai eu peur que sa bite ne soit pas nette, mais ça allait, juste un petit arrière-gout de pisse.

Malgré ma trentaine, je n’ai pas sucé tant de bites que ça dans ma vie, mais j’essaie de bien faire. Mais toujours est-il qu’au bout de 10 minutes le monsieur bandait bien mais ne semblait pas prêt de jouir.

– Monsieur Albert, baissez votre pantalon, la pute va nous lécher le trou du cul !

Manquait plus que ça. J’ai déjà léché l’anus de mes copines de lit, mais je n’ai jamais fait de feuille de rose à un homme. Est-ce que je vais être capable de faire ça ?

Petite appréhension mais bon, je lui lèche la rondelle en fermant les yeux, ça aurait pu être pire.

Après quelques mouvements derrière, je repasse devant et le pompe en cadence. Je ne tarde pas à percevoir quelques soubresauts annonçant sa jouissance.

– Tu avales tout ! M’ordonne Katia. Les salopes, ça avale tout !

Ben oui, je suis là pour ça !

On me fait nettoyer la bite du mec afin qu’Il ne reste plus de sperme agglutiné, Il se reculotte et me jette un billet de 20 euros par terre.

20 euros ? Le salaud ! Je veux bien jouer à la pute, mais je vaux quand même plus que ça, non ?

– Vas te reposer cinq minutes sur la canapé, je vais aller dire à Honorine que tu es bonne pour le service.

Encore heureux !

Un quart d’heure plus tard, Katia vint me retrouver, me fixa un collier de chien, muni d’une laisse, autour de mon cou et me conduisit devant la maîtresse du lieu.

– Katia va t’expliquer le travail, comme elle est plus ancienne, tu lui dois entière obéissance, elle aura le droit de te punir et de s’amuser avec toi si ça lui chante, on est bien d’accord ?
– Oui madame !
– Mon fils passe parfois à la maison pour me baiser, tu lui devras obéissance également !
– Oui, Madame !
– Katia, gifle-moi cette pétasse et crache-lui à la gueule, pour qu’elle comprenne bien qu’elle n’est qu’une merde ici !

La rousse me balança un double aller-retour que j’encaissais sans broncher, puis me cracha dessus !

– Ouvre la bouche ! Pétasse !

Je reçus la salive de Katia au fond du palais et la déglutit.

– Qu’est qu’on dit !
– Heu ! Merci ?
– Et maintenant que tu m’a bien excité, tu va me sucer la chatte.

Voilà qui n’est pas un problème, je me mis en position et pointait ma petite langue agile sur son minou tout humide. Je procédais par longs mouvements effleurant à chaque fois son clitoris gonflé d’excitation. En même temps mes doigts s’aventuraient sur ses tétons que je faisais rouler.

Quand sa respiration devint saccadée, je lui donnais le coup de grâce en titillant son clito de l’extrémité de ma langue. Elle prit son pied mais manifestement s’empêcha de crier.

– Faudrait pas que l’autre folle m’entende ! Commentât-elle en se redressant

Katia n’était pas méchante, elle m’expliqua le travail et tous les détails de la maison. Effectivement il y avait du travail, la maison était immense.

– Si tu es un vraiment maso, que tu aimes les femmes et le sexe tu ne devrais pas être malheureuse ici ! Mais tu vas voir au début Honorine va-t’en faire voir de toutes les couleurs.
– C’est qui, Honorine ?
– C’est le prénom de la patronne !
– Elle vit toute seule ?
– Oui, en fait, elle est rentière, elle doit avoir pas mal d’immeubles, et tout ça est géré à l’extérieur. Pour s’occuper, elle fait de la sculpture, c’est d’ailleurs affreux, mais ce n’est pas la peine de lui dire. Elle reste parfois des heures entières dans son atelier, pendant ce temps-là elle nous fout la paix. Et puis quand ça lui prend, il faut se farcir ses séances de domination. Elle reçoit parfois des copines, des vielles salopes, surtout une…

Katia me choisit ensuite une tenue de soubrette à ma taille, très décolletée en haut et très raccourci en bas.

J’ai ensuite vaqué à des occupations exclusivement domestiques, il fallait aider la rousse Katia à faire le ménage et il y avait pas mal de repassage en retard.

Je suis rentré à la maison vers 18 heures, plutôt satisfaite de cette première journée… Ce n’est que le lendemain que les choses sont devenues un peu plus hard.

Je n’avais pratiquement pas croisé Miss Honorine de la matinée à l’exception d’un petit bonjour que j’avais trouvé bien malicieux, quand celle-ci m’appela en début d’après-midi. Elle s’était habillée en haut d’un chemisier crème et d’une jupe de tailleur pied de poule. Très classe !

– Viens devant moi, poufiasse !
– Oui, madame !

Elle se lève alors, se met devant moi et commence à trifouiller dans mon décolleté de soubrette, en extrait le haut de mes seins et se met à me pincer les bouts entre ses doigts.

– Tourne-toi maintenant !

Une fessée suivie d’une autre plus forte atterrit sur mon cul !

– Mets-toi à poil, ce sera plus pratique pour la suite !
– Bien madame
– Maintenant je veux que tu me déshabilles. Tu vas faire ça très lentement, à chaque fois que tu découvriras une partie de mon corps, je veux que tu la caresses, que tu l’embrasses, que tu la lèches ! Tu as bien compris conasse ?

– Oui, madame !
– On dit « Oui, madame, la conasse a compris »
– Oui, madame, la conasse a compris !

Puis elle m’ordonna de marcher à quatre pattes.

– Non, pas comme ça, tu ne le fais pas bien, il faut cambrer ton cul !

Et tout en disant cela elle m’asséna un coup de cravache sur les fesses. Elle m’obligea à faire plusieurs tours dans la pièce dans cette position, et bien sûr elle me frappait à chaque fois. Ce petit manège dura une dizaine de minutes et mon cul commençait à chauffer sérieusement.

– Reste comme tu es, on va changer d’endroit !

Elle demande à Katia de nous rejoindre. Nous sommes alors sorties de la pièce et Honorine me conduisit jusqu’aux toilettes !

– Je les ai fait agrandir, elles étaient un petit peu petites pour mes petits jeux…

Il y avait une vraie toilette bien classique mais aussi une autre qui l’était beaucoup moins puisqu’il s’agissait en fait d’un simple abattant élégamment monté sur quatre pieds, il n’y avait rien du tout en dessous de ce truc.

– Allez, tu t’allonges, tu passes ta tête là-dessous et tu ouvres bien la bouche. Katia, tu surveilles !

J’ai une vue imprenable sur les intimités de ma patronne, mais je n’ai pas trop le temps de m’y attarder, sa pisse dégouline, j’avale ce que je peux, mais ne peux tout absorber.

– Nettoie-bien avec ta langue !

Je lui lèche sa chatte pleine de pisse. Je me régale, sa pisse est savoureuse.

– Et maintenant je vais chier !

Et dans cette position, elle ne peut que me faire sur le visage. Je n’étais jamais allé aussi loin avec mon ex-copine. Après tout je suis ici pour voir jusqu’où je peux aller mais rien ne m’empêche de laisser tomber l’affaire.

Bien sûr mon côté profondément maso pourrait me faire tenter l’expérience, mais bon si je ne me sens pas prête, je ne me sens pas prête !

– Non pas comme ça ! Me rebiffais-je.
– De quoi ? On se rebelle !
– Je veux bien essayer de faire de la scato, mais je n’ai jamais fait ça. Je ne suis pas contre, mais faut y aller progressivement. Expliquais-je en m’extirpant de ma position.
– Autrement dit, tu me dis ce qu’il faut que je fasse ! Poufiasse !

Bon, ça tourne mal, je ne vais pas rester

– La pouffasse va sa rhabiller et aller voir ailleurs. Répondis-je.
– Non mais quelle petite effrontée ! Qu’en penses-tu Katia ?
– Puis-je suggérer à Madame d’envisager un dressage progressive de la poufiasse.
– T’as raison, les chiennes, ça se dresse ! Alors poufiasse t’es d’accord pour qu’on te dresse ?
– Oui Madame !
– Mais j’espère que tu ne vas pas me fait perdre mon temps, si je vois que ça ne colle pas, je te fous à la porte et tu ne seras pas payé .

N’importe quoi ! Je n’attend pas après l’argent, mais les principes ce sont des principes…

– Non ça ne va pas ! Si vous me virez, il faudra me payer mes gages.
– Mais c’est qu’elle commence à nous emmerder la poufiasse ! Dehors !

Je récupère mes fringues, me rhabille, mais avant de partir je compte bien lui réclamer mes gages de la journée, je n’ai pas fait tout son putain de repassage pour des prunes !

Mais la voilà qui me rejoint…

– Tiens conasse, c’est pour le dédommagement ! Me dit-elle en me tendant une enveloppe. Si tu restes tu seras payée à la journée pendant ta période d’essai.

Je compte les sous dans l’enveloppe ! C’est correct. Je ne lui a pas dit « merci » !

– Tu fais quoi, maintenant , tu te barres ou tu restes ?

Je suis restée, je me suis déshabillée et j’ai attendu les ordres.

– Bon avec tout ça, je n’ai pas chié ! Indique Honorine dans un grand moment de poésie.

Elle ordonne à Katia se s’allonger par terre, elle ne sert pas de la chaise percée, je comprends pourquoi : elle veut m’en foutre plein la vue !

– Tu t’assois là et pour l’instant tu regardes ! Me dit-elle.

Je vois Honorine de dos accroupie au-dessus de Katia. Son anus s’ouvre et ne tarde pas à dégager un petit étron qui grandit pour devenir boudin, se baisse et dégringole sur le visage de Katia qui ne fait aucun geste pour s’en débarrasser.

– Commentaires ? Me demande Honorine.
– Votre merde est très belle ! M’entendis-je mentir.

Je retrouvais mes taches ménagères, quand environ une heure plus tard la sonnette d’entrée retentit. Katia me pria d’aller ouvrir.

Un blondinet (décoloré) dans la trentaine.

– T’es nouvelle, toi ! Me balance-t-il sans me saluer !
– Oui, je suis Myriam !
– La daronne est là ?
– Elle est dans son atelier ! Lui répond Katia.
– Ben va lui dire que je suis arrivé, qu’est-ce que tu attends, conasse ?

Honorine s’amène. Elle embrasse le type.

– Qu’est-ce qui t’amène, mon fils ?
– Ben tu m’avais demandé un bouquin, je l’ai trouvé…
– Super, on s’installe un moment dans le salon.
– T’as encore le feu au cul, maman ?
– Quand je te vois, oui !

La mère et le fils s’installent sur le canapé très proches l’un de l’autre, Sammy puisque c’est nom du moutard, débraille sa mère et lui fait ressortir un sein qu’il se met à téter goulument. C’est très excitant de voir ça !

– Myriam au lieu de rester là comme un conne va nous chercher à boire, une vodka à l’orange pour moi et un jus de pomme pour mon enculé de fiston.

J’y vais puis reviens avec les verres sur un plateau.

– Elle est pas mal cette gonzesse, je peux la voir à poil ! Demande Sammy.
– Evidement ! Ben qu’est-ce que t’attend toi la boniche, allez à poil !

Je m’exécute, on me demande de me retourner, de me dandiner, d’ouvrir les cuisses, de me foutre un doigt dans la chatte, je suis devenue une jument à la foire aux bestiaux.

– Elle fait tout ?
– Elle fait pas mal de choses ! Répond Honorine.
– Tu lui as fait sucer le chien ?
– Non pas encore.
– Ça me plairait de la voir faire ça !
– Pas de problème, Katia va chercher le chien !

Et la voilà qui revient avec le toutou, elle le caresse, il se laisse faire, les chiens Ils aiment bien les caresses ! Sa main lui enserre le pénis et après quelques mouvements un cylindre rougeâtre et gluant sort de son fourreau. Impressionnant !

– Allez Myriam fait nous voir comment tu te régales en suçant la bite du chien !
– Moi je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça, faut me montrer !
– Quelle gourdasse ! S’écrie Honorine. Allez Katia assiste-la !

Katia se baisse et sans hésiter une seule seconde embouche la bite du quadrupède.

Ben oui c’est tout con, une fellation reste une fellation sauf que là il s’agit d’un chien. Donc je suce la bestiole, ça ne me fait ni chaud, ni froid, ça ne m’excite pas, ça ne me répugne pas… l’indifférence, quoi !

Pendant ce temps Honorine, complètement désintéressée par le spectacle que je suis censé donner, s’occupe à sucer la bite de son fils..

– Maintenant, met toi en levrette, le chien va te baiser ! Me dit Sammy.

Pas envie… je le ferais sans doute un jour mais ces gens-là m’énervent.

– Je reviens… Dis-je.

Je me refugie dans l’entrée, là où sont posés mes affaires et je me rhabille. Katia déboule.

– Tu fais quoi ?
– Je me barre !
– Tu as tort, c’est le premier jour, c’est normal que ce soit dur, mais ce n’est pas tous les jours comme ça !
– Ah ! Bon et on fait quoi les autres jours ?
– Le ménage, le repassage…
– Super ! Tiens, je te laisse mon adresse, tu diras à ta patronne qu’elle m’envoie un chèque pour ma journée d’aujourd’hui…
– Mais
– Salut ma belle !

Je ne regrette pas mes deux journées, mais j’aurais au moins appris deux choses, faire la soumise avec des gens antipathiques genre Honorine et son rejeton n’a rien d’excitant.

En revanche je ne regrette pas la séance avec la belle Katia, mais s’il faut que je me farcisse une semaine de repassage pour rejouer la scène, merci !

La seconde chose c’est que les séances sado-maso, c’est comme les visites au musée, on est super content d’y avoir été, mais on n’a pas envie d’y retourner de suite.

Et sur ce mes amours, je vous quitte.

AnneAbigail Lemeunier du Chesne

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Dimanche 1 mai 2022 7 01 /05 /Mai /2022 22:56

Au parc des anges par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
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Je suis Ophélie, 35 ans divorcée et sans enfants. Grande brune, cheveux longs, yeux bleus. Je suis conseillère bancaire et je viens d’avoir une belle mutation en province.

C’est en faisant mon jogging dans le bois environnant que je suis tombée sur ce gros chien beige manifestement affamé et stressé, probablement un labrador croisé avec je ne sais pas quoi. Il est venu me renifler, je l’ai caressé, il n’a pas voulu me quitter, je l’ai adopté et bichonné, c’est une brave bête. Je l’ai baptisé Cookie.

Je le promène deux fois par jour, le matin de bonne heure et en fin d’après-midi après ma journée de travail. Je me rends pour se faire au « Parc des Anges ».

Bien sûr je ne suis pas la seule propriétaire de chien et les rencontres sont nombreuses, Simple échange de politesse, phrases convenues, quelques casse-pieds des deux sexes, les inévitables dragueurs, les mémères aux discours intarissables. Je reste polie mais réservée, je n’ai pas envie qu’on m’emmerde.

Ce jour-là, Cookie était manifestement pressé, je ne me suis pas changée et suis redescendu vêtue de mon tailleur pied de poule

– Mâle ou femelle ? Me demande une dame rousse dans la cinquantaine tenant en laisse un grand labrador noir.
– Bonjour madame ! Répondis-je simplement.
– Oh ! Pardonnez mon impolitesse !
– Pas grave !
– Mais je vois que c’est un mâle ! Il m’a l’air bien excité ! Vous avez vu sa bite ?

C’est qui cette cinglée ? Je m’apprête à filer mon chemin, mais quand même, je me demande… Je vérifie, mon chien a effectivement la pine en érection.

– Ben mon toutou, qu’est-ce qui t’a mis dans cette état ?
– C’est moi ! Répond la dame !
– Pardon ? Votre chien c’est une femelle ?
– Non c’est un mâle, la femelle, c’est moi !

Je vous dis, elle est frappée.

– Vous savez que vous êtes très belle ? Reprend la rousse.
– J’en suis fort aise, bonne fin de journée madame.
– C’est la première fois que je vous vois dans le coin !
– Il y a toujours une première fois !
– Accepteriez-vous que je vous paie un verre ?
– C’est gentil, mais en quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, vous me paraissez très sympathique.
– Eh bien merci, je vous laisse !
– Et vous allez laisser votre chien avec sa bite en rut ?
– Mais enfin madame !
– Désolée pour la provocation, mais je pense que nous serons amenées à nous rencontrer de nouveau !

Ben oui, c’est bien ça qui me navre !

Et puis, sans savoir pourquoi, je lui balance :

– Vous tenez ce genre de discours à tous les habitués du parc ?
– Certainement pas, je tiens à ma réputation !
– J’ai peur de ne pas comprendre !
– J’ai été profileuse dans la police, ça laisse des traces !

Mytho en plus !

– Quel rapport ? Et des traces de quoi, d’abord ?
– Vous êtes célibataire, probablement suite à une déception, vous entendez le rester, mais votre sexualité n’est pas éteinte…
– Mais…
– Et c’est avec les femmes que vous vous consolez parfois ! J’ai bon ?

Une sorcière, j’ai rencontré une sorcière !

– Et si vous me foutiez la paix ?
– Je suis moi-même un peu goudou ! Ça vous dirait qu’on passe un petit moment ensemble ?

Du coup je la regarde différemment, Le visage est agréable, jolie peau (je devrais dire joli maquillage),. le sourire carnassier, jolies lèvres, les yeux dissimulés sous des verres légèrement teintés. Elle est vêtue d’une robe imprimée très légèrement décolletée par-dessus laquelle elle a enfilé un blouson de cuir qu’elle a laissé ouvert. Pendant quelques courts instants mon esprit vagabonde et je l’imagine en train de me sucer un téton. Je dois être complétement frappée !

– Vous voudriez me violer ?
– Je ne ferais rien sans votre permission.

Je reste là, figée comme une andouille, au lieu de la laisser planter là ! Je sens que je vais me faire avoir. L’autre n’est pas folle et a bien compris que je suis maintenant à deux doigts d’accepter de la suivre..

– Vous ne le regrettez pas, je sais être très douce et il parait que je lèche bien.
– Mais enfin, nous ne nous connaissons pas !
– Ce sera donc une excellente façon de faire connaissance, non ?
– Je vais peut-être me laisser tenter !
– Ben voilà !
– Mais j’ai quand même l’impression que je vais faire une bêtise…
– Il y a des bêtises qu’il est agréable de partager, allez viens ma grande, je vais te lécher bien comme il faut.
– Euh, mon chien ?
– Ben vous l’emmenez !

Elle n’habite pas très loin du parc, pendant le trajet, elle monopolise la parole en me parlant du temps qu’il fait et du temps qu’il va faire ! C’est fou comme c’est passionnant, mais ça m’empêche de réfléchir.

On arrive, immeuble cossu, appartement qui pue le fric, encombré d’une myriade d’objets, Après m’avoir libéré de ma veste de tailleur, elle m’invite à m’assoir sur le canapé du salon u milieu d’une imposante bibliothèque.

– J’ai un excellent Porto, ça vous dit ?
– Pourquoi pas ?

Je me demande ce que je fous là, elle arrive avec la bouteille et deux verres qu’elle remplit. Elle s’assoit à ma gauche, on boit…

– On se tutoie ? Je m’appelle Sonia.
– Pas de problème, moi c’est Ophélie.
– Tiens regarde ! Me dit-elle en soulevant sa robe ! Je n’ai pas mis de culotte ! Précise-t-elle au cas où je ne m’en serais pas aperçu.

Je me demande que faire ! Je suppose qu’il faudrait que je me lève et que je m’approche d’elle…Mais les choses se passèrent tout à fait différemment.

Tango le chien de Sonia vint intercaler son museau entre les cuisses de sa maîtresse.

– Attend, mon chien, ne soit pas pressé ! Oui tu me lèches bien, mais fous le camp maintenant, allez couché. !

Le chien s’en va comme à regret, mais voilà que Cookie tout content de trouver la place vacante s’en vient le remplacer en frétillant de la queue.

– Oh, o, dirait bien que ton chien est aussi vicieux que le mien !
– Cookie, arrête d’embêter la dame ! Me crus-je obligé de dire.
– Il ne m’embête pas, si tu savais comme c’est agréable ! Il te fais ça aussi ?
– Euh, il voudrait bien, mais je l’ai toujours empêché.
– Tu devrais essayer !
– Non, non !
– Arrête ! Je vois bien que tu en meurs d’envie !
– Mais non !
– Mais si !

Et à ce moment Sonia approche son visage du mien. Son odeur me fascine, j’entrouvre la bouche, j’accepte sa langue et c’est parti pour un baiser fougueux. J’étais déjà troublée par cette rencontre, mais maintenant je fonds, me voilà en train de mouiller ma culotte..

Elle me pelote les seins à travers mon chemisier, cherche le téton, le trouve, le pince. Et c’est instinctivement que je porte ma main vers sa chatte, mouillée elle aussi, sa chatte que le chien vient de lécher !

– On va peut-être se mettre à l’aise ! Me propose Sonia.

Et hop, elle enlève sa robe en-dessous de laquelle nichait un joli soutien-gorge en dentelle rose qu’elle conserve pour le moment.

Une belle femme, bien foutue, de belles cuisses, j’ai toujours aimé les jolies cuisses !

Je ne peux faire autrement que de l’imiter ayant trop envie de de mettre à poil afin que cette belle bourgeoise puisse s’occuper de moi, et contrairement à elle j’enlève tout, y compris le soutif

Je me rassois, Sonia vient me lécher les tétons ! Mon dieu quelle langue ! Je mouille de plus en plus et j’écarte les jambes voulant par-là lui signifier que j’aimerais bien qu’elle vienne s’occuper de mon minou !

Mais voilà que justement une langue râpeuse vient s’en occuper ! Je réalise alors que cette langue est celle de Tango.

– Non !
– Laisse-toi faire ! Me dit Sonia, il ne va pas te faire du mal… au contraire.

Alors je me suis laissé faire, une langue de vieille gouine sur mes nichons, une langue de clébard sur ma chatte. Je me sens salope, mais salope ! Et le fait de me sentir salope m’excite ! Allez y comprendre quelque chose ?

Mon chien Coolie n’est pas resté inactif et s’occupe de la chatte de Sonia.

On se pelote, on se caresse, je lui dégrafe son soutien-gorge dégageant deux belles mamelles laiteuses au tétons durcis que j’honore de ma bouche.

– Bon le chien, tu fais quoi ? T’as envie de me prendre, c’est ça ! Dit-elle à l’adresse de Cookie. Attends, couche-toi un peu, je vais te sucer la bite ! Tu permets, Ophélie que je suce la bite de ton chien ?
– Tu ne vas pas faire ça ?
– Ben quo ? Je ne vais pas lui faire de mal.
– Mais quand même…
– Quand même quoi ?
– Je ne sais pas, je ne sais plus où j’en suis, vas-y ,je te regarde.

Et la voilà qui attrape la bite du chien, la fait passer sous son arrière-train et commence à lécher. En même temps, elle me regarde, un regard extatique.

– Comment… comment tu peux faire une chose pareille ? Balbutiais-je.
– Ben tu vois, je me sers de ma bouche !

La question était un peu idiote, je le conçois !

– Viens essayer !
– Non, non, je regarde, c’est tout !
– Alors approche-toi mieux !
– Pour quoi faire ?
– Donne juste un petit coup de langue ! Un tout petit, pendant une seconde !

Ben oui, une seconde ce n’est pas beaucoup ! Est-ce que je suis capable de faire ça ? Je reprends ma respiration ! Je me lance, ma bouche s’approche, je recule, je recommence, je ne sors pas ma langue mais mes lèvres touchent la bite du chien.

– Un peu mieux que ça ! Me dit Sonia.

Elle m’énerve ! Elle a vraiment besoin de me regarder ? je recommence, sors un petit bout de langue, Je lèche un peu, c’est doux, c’est agréable, je me recule pour reprendre mon souffle et j’y retourne et cette fois je n’hésite plus, je lèche la bite du chien ! Je ne me serais jamais cru capable de faire une telle chose !

Cookie
On n’arrête pas, on est déchaîné, on suce, on lèche alternativement ou ensemble, juste une petite pose pour se rouler une pelle. Je me sens chienne, c’est le cas de le dire.

Et soudain, Sonia se relève.

– Viens me brouter la chatte !

Elle se dirige vers le canapé et s’y allonge de tout son long, après avoir envoyé les chiens se coucher. Je la rejoins. Bien sûr que je vais lui lécher la chatte, mais moi aussi je veux jouir. Je me couche sur elle en position de soixante-neuf, et c’est parti.

Sa chatte est charnue, visqueuse à force d’être imbibée de mouille, je lèche, c’est délicieux. Elle me rend la pareille en agitant sa langue comme une forcenée.

– Un doigt ! Fous-moi un doigt dans le cul ! Me demande-elle en soulevant légèrement son bassin.

Pourquoi pas ? J’ai le nez sur son anus, la peau y est légèrement plus brune qu’ailleurs il sent un peu fort, il sent le cul, quoi ! Il est attendrissant. Je le lui embrasse, je sors ma petite langue, j’aime bien, mais puisque c’est le doigt qu’elle veut, je me mouille l’index et le lui enfonce dans le cul.

Sonia pousse des petits cris et me fait la même chose. Elle est bien gentille, et j’apprécie la chose mais j’aurais préféré qu’elle continue à s’occuper de mon minou..

Au bout de quelques minutes, je commence à fatiguer du doigt et reprends mon léchage de chatte. Miracle de la spontanéité elle fait pareil et cible mon clito avec sa langue diabolique.

Je ne vais pas tenir longtemps et fais à mon tour virevolter ma petite langue sur son gros clito fièrement érigé.

Elle m’a fait jouir la première ! Une jouissance intense qui m’a lessivée, mais je m’en serais voulu de ne pas rendre la pareille à cette charmante personne et reprenant mes coups de langue je l’emmenais à son tour vers le jouissance.

Moment calme assorti de quelques petits câlins. Elle me propose un autre Porto, je lui répond que je préférai un grand verre d’eau.

– Ça va te faire pisser ! Me dit-elle en m’apportant un verre.
– Justement il faut que j’y aille, c’est où ?
– Je vais te montrer !

Elle m’accompagne jusqu’à la porte des toilettes.

– Ça t’embête si je te regarde pisser ? Me demande-t-elle.
– Ah ? Non !

Je pisse en me positionnant de façon à ce qu’elle puisse bien voir. Son doigt vient rencontrer la trajectoire du jet de mon pipi. Elle le porte à la bouche.

– Hum, il est délicieux ton pipi !
– Ah bon ? Répondis-je bêtement.
– Tu as déjà joué a des jeux de pipi ?
– Ma foi non !
– Et tu aimerais essayer ?
– On a déjà fait beaucoup de choses…
– Mais tu n’es pas contre ?
– On verra !
– O.K on verra,! Tu veux que je t’étonne encore ?
– Il va falloir que je rentre…
– Tu n’es pas à un quart d’heure près quand même ?
– Non !

Nous nous dirigeons de nouveau vers le canapé. Et au lieu de s’y assoir, Sonia se pose à genoux, le jambes écartées, le cul offert. Elle ne va tout de même pas…

Ben si !

– Tango ! Viens mon chien ! Vien sauter ta maîtresse.

L’assaut fut rapide, le chien a déboulé à toute vitesse et s’est mis à niquer sa maîtresse à une fréquence infernale. La scène devait interpeller Cookie qui se mit à nous tourner autour, comme attendant son tour. Le spectacle me fascinait.

– Il ne te fais pas mal, au moins ? Demandais-je !
– Oh, non que du plaisir, c’est trop bon ! Aaahhh !

Serais-je capable de faire une chose pareille ? Au point ou j’en suis… J’adopte la même position que Sonia. L’instant d’après Cookie me couvrait ! Quelle sensation un vraie mécanique infernale. Je me suis mise à gueuler, Sonia gueulait aussi ! J’espère que ses murs sont insonorisés ! On a joui comme des malades, On s’est libéré des chiens mais ne souhaitant les laisser dans cet état, nous les avons sucés. J’y prends gout, savez-vous !

Les meilleures choses ont une fin ! Cette expérience m’a beaucoup plus ! Et puis cette Sonia est charmante, j’aimerais faire quelque chose qui lui fasse plaisir.

Je crois que j’ai trouvé

– Sonia avant de partir, je voudrais goûter à ton pipi !

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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Vendredi 14 janvier 2022 5 14 /01 /Jan /2022 17:14

Vacances en famille par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 5 – Encore plus !
scat
Attention : scato et zoophilie explicite

 

Ce matin-là Martine et Marie s’amusaient dans la salle de bain, d’abord en s’aspergent d’eau et de mousse, puis en se prodiguant de douces et sensuelles caresses.

Celles-ci ne tardèrent pas à devenir de plus en plus osées. Martine commença par titiller les tétons de sa camarade qui lui rendit la pareille et bientôt les langues et les lèvres remplacèrent les doigts.

– Oh, c’est trop bon ce que tu me fais, touche-moi la chatte en même temps, je vais te faire la même chose !

A ce petit jeu nos deux jeunes femmes ne tardèrent pas à jouir de concert sans chercher à rester discrètes.

Janine, la mère de Marie fit soudain irruption dans les lieux.

– Dites-donc, les gouines, à quel moment je vais pourvoir espérer me servir de la salle de bain ?
– Gouine toi-même ! Lui répondit Martine.
– Ce n’est pas une réponse !
– On se rince et on sort, Dis Maman, tu n’as pas envie de pipi, un peu ?
– Non… si peut-être ! Pourquoi cette question ?
– Pisse-nous dessus Maman !
– Mais vous êtes de vraies cochonnes !
– Ça, on le sait ! Alors il vient ce pipi ?

Janine se mit en position sur le bord extérieur de la baignoire.

– Je n’y arrive pas, je bloque !
– Va chercher Nicole, à deux vous allez peut-être y arriver.
– Oui, bon, on pourra faire ça après…
– Maman s’il te plait, fais nous plaisir !
– Ah ces jeunesses !

Janine revint accompagnée de Nicole, côte à côte contre la baignoire, elles ouvrirent les vannes, et arrosèrent copieusement leur filles qui se régalèrent de ce joli liquide doré.

Après s’être rincées et séchés les deux jeunes lesbiennes prirent un petit déjeuner sur le pouce avant d’aller se prélasser dans l’herbe.

Elles ne restèrent pas longtemps inactives, et bientôt les deux jeunes filles se couvrirent de caresses et de baisers de plus en plus osés.

Un moment Martine présenta son postérieur à Marie en se cambrant et en écartant les fesses afin de rendre son bel anus brun et plissé bien visible.

– Oh ! que c’est beau ! S’exclama Marie, je vais l’embrasser.

Sa langue vint alors titiller ce délicat petit endroit.

– Il a bon goût, ça me rappelle ce que nous avons fait l’autre jour avec ta tante Julie.
– Mets-moi un doigt.

C’était de toute façon dans ses intentions et le doigt préalablement imprégné de salive pénétra dans le fondement de son amie

– Oh, c’est bon ! Continue à me branler le trou du cul, encore, encore ! Ouiii ! Mets un deuxième doigt… Aaaah !

Marie ressortit son doigt et sembla désolée de ne pas le trouver pollué, elle le lécha néanmoins avec plaisir.

– Hum c’est bon, mais j’aurais préféré quelques traces de merde ! Tu veux me faire la même chose ?
– J’allais te le proposer

Ce fut donc au tour de Martine de labourer le trou du cul de Marie et de la faire jouir.

Et quand son doigt ressortit, il présentait d’insolentes tâches brunâtres. Elle l’approcha de sa bouche.

– J’hésite un peu !
– Ferme les yeux et vas-y carrément !

Ce qu’elle fit !

– Humm, c’est pas mauvais, pas mauvais du tout !
– Tu m’en laisse un peu ! Intervint Marie..
– Bien sûr ma chérie !

Elles finirent par sucer le doigt de conserve, ravies d’avoir franchi un nouveau pas.

– Tu crois qu’on pourrait aller encore plus loin ? Demanda Martine.
– Tu aimerais que je fasse mon caca sur toi ?
– On pourrait toujours essayer !
– Maintenant ?
– Oui !
– Suce moi un peu la rondelle, ça va aider. Proposa Marie en présentant son joli petit cul à sa partenaire de jeu.

Martine lui écarta les globes fessiers afin d’avoir une vue imprenable sur l’orifice étoilé.

– Que c’est beau un anus ! S’exclame-t-elle
– Tu as déjà léché celui de ta mère ?
– Non mais ça me parait une excellente suggestion
– On fera ça ensemble !
– Oh ! oui ! s’enthousiasma Martine.

Sa langue virevoltait maintenant sur l’œillet brun, le gout âcre lui rappelait de façon mon prononcée celui qu’elle avait rencontré en léchant son doigt pollué.

Alors folle d’excitation, elle mouilla son doigt et le plongea de nouveau dans l’étroit conduit, rencontrant une matière molle sans doute prête à s’extraire.

Elle le retira, constata les « dégâts », voulu cette fois le lécher en gardant les yeux ouverts, mais n’y parvint pas. C’est donc, yeux fermés qu’elle entreprit ce second nettoyage de la matinée.

– Allonge-toi, je vais essayer ! Prévint Marie. Je te fais ça où ? Sur le ventre, sur les seins ?
– Les seins ? Suggéra sa complice

Marie se place légèrement accroupie au-dessus de Martine, le cul tourné vers son visage et commença à pousser.

– Ça va venir, un peu de patience !

Mais ses efforts furent interrompus par le bruit de la porte d’entrée d’où émergèrent Janine et Nicole.

Les deux mamans s’en allaient faire des courses en ville, toutes deux simplement vêtues d’un robe courte et très légère, bleue pour Janine, jaune pour Nicole.

– Mais vous faites quoi, les filles ? S’étonna Janine
– On essaie des jeux un peu scato ! Répondit Marie.
– Berck ! Ne put s’empêcher de dire Nicole.
– Si ça vous chante, mais faites ça sans nous ! Ajouta Janine.
– D’accord, d’accord répond Marie en se redressant, mais on aimerait vous demander une petite fantaisie.
– Eh bien on verra ça tout à l’heure, là nous partons en courses ! Répond Nicole.
– C’est juste un petit truc, ça ne va durer que cinq minutes ! Intervient Martine.
– C’est quoi ? Demande Janine poussée par la curiosité.
– On voudrait vous embrasser le trou du cul ! Dit alors Marie.

Les deux mamans se regardent, se demandant si elle doivent rire ou s’offusquer. Mais elle choisissent la première option.

– Elles sont folles ! S’amuse Nicole.
– On ne va pas leur refuser ça ! Dit Janine
– Alors d’accord, les filles, venez nous lécher la rondelle.

Alors dans un ensemble parfait les deux mamans se retournent, et soulèvent leurs robe sous lesquelles il n’y avait aucune culotte.

Martine et Marie se positionne derrière leur mères respectives, Nicole et Janine.

Ce petit léchage de cul dure juste quelques minutes.

– Bon vous avez eu ce que vous vouliez, maisnteant il faut que nous fassions es courses ! Précise Nicole.!
– C’est trop excitant de lécher le cul de sa mère ? N’est-ce pas Marie ? Lui dit Martine
– Dommage que ça sentait le gel douche ! Rétorque cette dernière.
– Oui reprend Martine, On refera ça juste après que vous aurez fait vos besoins.

Les deux mamans poussèrent un soupir d’exaspération et sans répondre se dirigèrent vers la voiture et s’y installèrent.

– Tu sais, confia Janine à son amie Nicole, ça m’a terriblement excité de me faire lécher le trou du cul par ma fille !
– Oui c’était troublant, moi aussi ça m’a excité !

Spontanément les deux belles matures s’enlacèrent et s’embrassèrent, les mains devirent baladeuses, allant à la rencontre d’abord des tétons durcis, puis s’aventurant dans les grottes humides..

Les mamans parties, les deux jeunes débauchées reprirent leur positions antérieures, Marie s’efforça de pousser tant qu’elle le pouvait, mais rien n’y fit, tout juste put-elle libérer quelques gouttes d’urine qui atterrirent sur les seins de Martine.

– On va remettre ça à plus tard, je bloque ! Convint Marie.
– Tu sais, je repensais au coup d’œil que nous avais lancé Suzanne quand Sophie s’était mise à nous parler de scato.
– Et tu crois que…
– On peut toujours l’appeler !

– Allo, Suzanne, c’est Martine, on ne te dérange pas…
– Mais non ma petite chérie.
– Avec Marie, nous évoquions le petit clin d’œil que tu nous avais lancé quand Sophie nous parlait de ses expériences scato…
– Ah ! Je te vois venir, petite cochonne ! Je suis à ta disposition ! C’est quand tu veux !
– Ce matin ?
– Pourquoi pas, je vous attends, j’ai plein de jeux bien salaces à vous proposer.
– Chic alors, on sera là dans une demi-heure

Le temps d’enfiler un petit haut et un short au ras des fesses, nos deux jeunes délurées cheminèrent jusqu’à la villa de Suzanne après avoir envoyé un message aux mamans leur précisant qu’elles allèrent « dire bonjour » à Suzanne.

Cette dernière les accueillit simplement vêtue d’un paréo

– Alors mes petites salopes ! On vient faire des petites cochonneries !
– Mwoui !
– Vous n’allez pas être déçue ! Accepteriez-vous d’être mes petits esclaves pendant une heure ou deux . Ce sera un jeu bien sûr et on pourra tout arrêter si vous le souhaitez !

Les deux jeunes femmes se regardèrent et acquiescèrent

– Alors asseyez-vous sur ces chaises et interdiction de bouger.

Suzanne retire son paréo, se retourne et se met à dodeliner du cul de façon obscène.

– Alors vous le trouvez comment mon joli derrière ?
– Il est très beau ! Répondit Marie.
– Bien sûr qu’il est beau, mais il sera encore plus beau quand vous verrez une belle merde en sortir, c’est bien ça que vous voulez, non ?
– Euh, oui !
– Mais figurez-vous qu’avant votre coup de fil j’avais un autre projet. Aujourd’hui j’ai mon homme de ménage qui est là et j’adore quand il m’encule, alors vous allez profiter du spectacle ! Julien viens, c’est l’heure.

Un jeune blondinet fit son apparition. Sa présence ne disait rien que vaille aux deux jeunes femmes peu porté sur la gent masculine, mais il eut été inconvenant de quitter les lieux alors qu’elle venaient à peine d’arriver.

L’homme se déshabilla, Suzanne le prit en bouche afin de le faire bander correctement, puis l’objectif étant atteint, elle se plaça en levrette.

– Il me fait ça sans capote, on se fait tester régulièrement ! Précisa Suzanne

L’homme lui entra sa bite dans le cul très facilement et se mit à effectuer une série de va-et-vient. Suzanne ne tarda pas à pousser des gémissement de plaisir de plus en plus explicites et de plus en plus bruyants. Avant de jouir dans un râle…

Julien décula, exhibant une bite poisseuse de sperme et de merde.

– Maintenant les filles, nettoyez-lui la bite !

Martine et Marie se regardent sans enthousiasme

– Non, peut-être pas ! Précise Martine
– Et toi Marie ?
– Moi non plus !
– Bon je ne vous retiens pas, vous pouvez partir ! Leur dit alors Suzanne
– Interloquées, les deux jeunes femmes se levèrent.
– Ou alors on va faire autrement ! Reprit Suzanne. Mettez-vous à genoux, tête baissée et cul relevé, je vais vous chauffer les fesses. Ça va peut-être vous permettre de voir les choses autrement.

Satisfaites de pouvoir rester, Martine et Marie s’exécutèrent. Suzanne se saisit d’une cravache et commença par fouetter Marie.

– Tiens vilaine fille ! Tiens pétasse.
– Aïe !
– T’aime ça te faire rougir le cul ?
– Je ne sais pas ! Aïe !
– Dis-moi que tu es une petite pétasse !
– Je suis un petite pétasse ! Aïe.
– Et les petites pétasses, ça suce les bites, même quand elles sont pleines de merde, tu le sais, ça ?
– Aïe ! C’est trop fort
– Répond-moi !
– Oui, je vais la sucer !
– Alors vas-y !

Marie s’approcha de la bite de Julien, eut un mouvement de recul, mais ferma les yeux et ouvrit la bouche et commença le nettoyage.

T’as le droit de la rejoindre ! Indiqua Suzanne à Martine qui toute contente de s’en tirer à si bon compte rejoignit sa camarade dans sa tâche.

Finalement l’épreuve ne fut pas si difficile que ça et les deux jeunes filles en sortirent ragaillardies.

– Ben alors ? Qu’est-ce qui vous bloquaient ? S’étonne Suzanne
– C’est-à-dire ! Répondit Marie en rougissant. Les garçons nous ont déçu, alors on s’étaient jurés toutes les deux de ne plus toucher à aucune bite.
– Oui mais là, ça n’a rien d’une relation sentimentale, c’est comme si vous aviez joué avec un sex-toys vivant ! N’est-ce pas Julien que tu n’es qu’un sex-toy ?
– Oui madame, si vous le dites ! Je ferais remarquer à madame que Madame a oublié de me donner ma petite enveloppe.
– Ce que tu peux être vénal. Répondit-elle en allant fouiller dans son sac à main afin d’y extraire ce qu’il convient. Voilà, maintenant tu te rhabilles et tu repars bosser. Vous les filles allongez-vous par terre collées l’une contre l’autre. Je vais vous chier dessus. Mais pour ça il faut me le demander.
– Oui chie-nous dessus Suzanne ! Répond Marie
– Vous êtes bien sûre parce qu’après ce ne sera pas fini, il faudra gouter à ma merde.
– Oui, on est venu pour ça, chie nous dessus et on goutera à ta merde ! Confirme Martine.
– Alors attention le petit oiseau va sortit

Suzanne se positionne au-dessus des deux jeunes délurées, elle commence par pisser dru, son jet atterrissant dans les bouches ouvertes de deux jeunes femmes, puis elle se recule, se retourne et s’accroupit légèrement. L’anus s’ouvre, elle pousse laissant sortir un petit étron. Elle respire un bon coup, pousse encore et très vite un long boudin se fraye un chemin vers la sortie. Elle effectue un mouvement de côté de façon que les deux filles en reçoivent sur leurs corps. En fait c’est Martine qui a presque tout reçu..

– Ne bougez pas ! Alors ça vous a plus ? Ça sent bon ?
– Ben ça sent la merde ! Commente Marie.
– Vous allez vous habituer.

Suzanne prélève un morceau de son caca, le passe sous les nez des deux jeunes femmes, puis l’approche de sa bouche et le lèche. Puis vient le moment fatidique.

– Rapprochez vos visages, vous allez lécher toutes les deux en même temps.

L’étron s’approche, Martine ferme les yeux. Suzanne la gifle. Oh pas trop fort mais le geste n’en n’est pas moins humiliant.

– Tu gardes les yeux ouverts, salope !

Plus d’hésitation, Martine et Marie lèchent la merde de Suzanne.

– Alors c’est comment ? Demande la belle mature-
– C’est pas mauvais, mais surtout qu’est-ce que c’est excitant ! Répond Marie.
– Je vois ça, je vais vous lécher la chatte à toutes les deux toutes les deux mais avant léchez encore un peu ma merde !
– Oh oui ! Répond Marie, mais tu es une vilaine, tu as giflé ma copine.

Suzanne prélève un peu de matière et s’en badigeonne les seins

– Allez sucez moi les nénés maintenant !

– Bien sûr que je suis vilaine… Oui comme ça, léchez bien, vous y prenez goût on dirait.
– J’ai essayé de chier sur Martine, tout à l’heure mais je n’y suis pas arrivée ! Explique alors Marie.
– Ah, voyons voir ! Répond Suzanne en introduisant son index dans le fondement de la jeune fille. Effectivement je sens quelque chose, pousse un peu pour voir !

Elle eut beau pousser, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.

– Je te ferais un petit lavement tout à l’heure mais pour l’instant on va passer à autre chose, où sont vos mères ?
– En courses !
– Tiens Marie appelle la tienne, puis passe-moi le portable.
– Mais tu ne devais pas nous lécher la chatte !
– Patience, la journée n’est pas terminée !

– Allo Janine, c’est Suzanne, les deux jeunes sont chez moi…
– Oui je suis au courant….
– On s’est amusé un peu, ça vous dirait de nous rejoindre ? On pourra manger toutes à la maison !
– Pourquoi pas ? On sera là dans dix minutes.

– Allez vous doucher, les filles, les mamans arrivent, je crois que la suite devrait vous surprendre !.

Janine et Nicole arrive avec quelques minutes de retard, elles ont toute pimpantes, On s’embrasent, on rigole.

– Alors vous avez fait quoi avec nos filles ?
– Un peu de scato
– Ce n’est pas pour nous ! Répond Nicole.
– Chacun ses fantasmes, mais en ce qui vous concerne, on peut peut-être envisager autre chose. Vous avez raconté à vos filles ce que j’ai fait avec le chien ?
– Euh, je ne sais plus, je vous en ai parlé, les filles ?
– Non ! Il s’est passé quoi avec le chien ? Raconte !
– Ben le chien lui a léché la chatte et après elle lui a sucé la bite ! Explique Nicole
– Oh la cochonne !
– Vous voulez qu’on rejoue la scène ? Demande Suzanne.

Tout le monde semble d’accord.

– Mais cette fois, je ne veux pas que vous vous dégonfliez ! Précise Suzanne.

Elle va chercher le chien et un pot de rillettes, elle en prélève un petit peu et se frotte la chatte avec. Il ne lui reste qu’à attirer le chien qui vient la lécher avec de grands coups de langues, tandis qu’elle se pince violemment le bout des seins.

– Oh ! C’est trop bon ce qu’il me fait ! Je suis vraiment une salope ! Allez les nanas, traitez-moi de salope
– T’es une salope, Suzanne, une grosse salope qui se fait lécher par son chien ! Répond Janine.
– Oui il faut vraiment être la reine des salopes pour faire ce genre de choses ! Renchérit Nicole.
– Mais vous aussi vous êtes de salopes ! Répond Suzanne ! N’est-ce pas les filles, que vos mamans sont des salopes ?
– Oui, oui, Répond Martine, des salopes qui se gouinent avec leurs propres filles.
– Et aujourd’hui vous allez être aussi salopes que moi ! Reprend Suzanne entre deux gémissements. Les filles distribuez des rillettes à vos mamans.

Janine se retrouve avec le pot de rillettes dans la main, elle hésite un peu

– C’est sans danger de faire ça ?
– Aucun danger !
– Bon, j’essaie !

Elle se tartine un peu le pubis avec les rillettes, puis passe le pot à Nicole qui se sent obligée de faire de même.

– On est prête ! Dit Janine ! Envoie le clébard quand tu veux.

Suzanne se lève, tire le chien vers la maman de Marie qui après un moment d’appréhension se laisse lécher

– Oh, quelle langue, c’est magique ! Aaaaah
– C’est vrai c’est si bon que ça ! Demande Nicole.
– Oh, oui !
– Tu as vu, Marie comme ta mère est salope !
– On est toutes des salopes.

Après quelques minutes, Suzanne tira la laisse du chien afin de le conduire devant Nicole.

– Laisse le moi encore un petit peu protesta Janine..
– Ne t’inquiètes pas, la partie n’est pas terminée.

Ce fut donc au tour de Nicole de gouter les plaisirs provoqués par la langue du chien. Pendant ce temps Janine, non rassasiée se faisait doigter la chatte par sa fille.

Suzanne222Suzanne revint chercher le chien, et le coucha sur le flanc, elle, le branla un peu et quand la bite fut sortie de son fourreau , elle l’emboucha. En regardant l’assistance d’un air de défi !

Janine et Nicole savaient ce qui les attendaient, quand Suzanne leur demanderait de les rejoindre, oseraient-elles le faire ?

– Qui veut me rejoindre ? Finit par demander Suzanne. Janine ? Nicole ?

Les deux mamans se regardent, les deux jeunes filles également. Puis Martine défia sa mère.

– Vas-y maman, va sucer la bite du chien !
– Et pourquoi moi ?
– Parce que j’ai envie de te regarder faire ça !
– Bon je vais essayer !

Nicole s’approche du couple formé par Suzanne et le chien, se baisse afin de s’approcher du sexe de l’animal, hésite encore.

– Allez vas-y, tu en meurs d’envie ! L’encourage Suzanne.

Nicole respire fort, l’instant d’après elle a la bite du chien dans la bouche, étonnée de rencontrer une texture aussi douce et peu gênée par le gout musqué qu’elle dégage.

Suzanne se retire laissant un moment Nicole seule avec l’animal, celle-ci fait alors signe à Janine de la rejoindre et bientôt les deux mamans sucent à l’unisson le sexe canin, l’écoulement de liquide spermeux leur coulant sur le visage.

– Bon ça va maintenant, laissez-en pour vos filles.

Martine et Marie sont étonnées de cette invite ayant fini par penser que Suzanne avait réservé ce genre de fantaisie à leurs mamans. Mais contrairement à celles-ci c’est sans aucune hésitation qu’elles vinrent prendre leur place.

– On peut aller encore plus loin si vous voulez, ça intéresse quelqu’un de se faire baiser par le chien. Mais attention je ne veux qu’une seule volontaire après ce brave toutou ira se reposer !
– C’est pas dangereux ? Demande Nicole
– Non, on lui enfilera des chaussettes sur ses pattes de devant pour ne pas qu’il griffe, sinon pas de problème. Répond Suzanne
– Tu le ferais, toi ? Demande Janine à son amie.
– Pourquoi pas, ça peut être amusant, et toi ?
– Je ne sais pas, mais pourquoi pas après tout !
– Alors laquelle des deux ? On va tirer au sort Pile pour Janine, face pour Nicole.

Ce fut Janine.

– Viens te mettre ne levrette, je vais préparer le chien.

Le chien ne proteste pas quand on lui enfile des chaussettes, Suzanne prélève un peu de sa propre mouille et tartine les fesses de Janine, elle fait venir le chien qui comprend ce qu’on attend de lui. D’un bond il grimpe sur la belle mature et la pénètre.

– Oh ! Il me baise ! Je me fais baiser par un chien, c’est moi la plus salope !

Le chien y va de ses va-et-vient à une cadence infernale faisant gémir la belle mature qui finit par jouir peu discrètement.

– Maintenant retire-toi sinon tu risques de rester collée dix minutes !

La partie est terminée ? Non pas tout à fait, d’ailleurs tout le monde se lèche, se tripote et s’embrasse.

– Je vais m’occuper de :Marie, elle a un petit problème ! Déclare Suzanne qui revient de la salle de bain avec une poire à lavement et une cuvette.

Suzanne injecte le contenu de quatre poires dans le fondement de Marie qui ne tarde pas à se tortiller. Elle veut aller jusqu’au toilettes, mais il lui faut passer devant les mamans et Martine. Elle ne peut pas aller plus loin, un jet obscène sort de son cul éclaboussant tout le monde. Et le reste suivit.

Les mamans se demandent si elles doivent s’offusquer de la situation ou d’en rire. Vous aurez deviné qu’elle ont préférer en rire.

La journée n’est pas terminée, la partie non plus, mais le récit s’arrête là, votre imagination fera le reste !

FIN

Informations de publication : Cette histoire s'inspire très largement d'un texte publié en 2000, (signé J. Bayec) puis repris sur le site de X Story (sans aucune correction et en oubliant le chapitre 1) J'ai conservé la quasi-totalité du texte original, en le corrigeant de ses quelques fautes, en le rendant compatible avec notre charte de publication, en y incluant quelques ajouts thématiques sans nuire à l'esprit du récit. Je n'ai pas conservé le dernier chapitre qui n'ajoutait pas grand-chose à l'histoire et l'ai remplacé !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Anne-Abigail
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