Partager l'article ! Annabelle, la reine des mutants - 1: Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 1 – Lothaire de Castignac ...
Prologue : Poitiers, France, an 1575
Zwak ressemble à une sauterelle, sauf qu’elle n’est pas verte mais rose. Zwak était le commandant de la première mission d’exploration interstellaire organisée par sa planète natale. Une opération de pur prestige destinée à tester la technologie de cette civilisation. Le voyage dura 40 ans à 90 % de la vitesse lumière. Cela n’était pas un inconvénient pour les aliens, le génie génétique de leurs savants les ayant rendus pratiquement éternels, sauf en cas de destruction du cerveau.
Ils partirent donc à 72 individus et le voyage se passa sans soucis majeurs, Zwak étant habile à étouffer dans l’œuf les conflits latents entre ses congénères.
Au moment d’entrer dans l’atmosphère terrestre, la protection thermique de la partie arrière du vaisseau, là où était installé 60 pionniers, s’avéra défaillante, brulant mortellement tous les occupants.
La cabine de pilotage où se tenait Zwak et onze de ses compagnons était dotée d’un bouclier thermique indépendant, mais la catastrophe survenue à l’arrière déséquilibrait le plan de vol et risquait de s’étendre.
C’est donc un vaisseau quasiment en feu que Zwak parvint à faire atterrir, par chance, ce fut au bord d’un mare boueuse trempée par une pluie incessante.
Zwak et ses compagnons sortirent en catastrophe du vaisseau et le virent s’abimer dans la mare boueuse.
Après une longue période de silence due au choc psychologique, Zwak prit la parole.
– Nous allons nous renseigner pour savoir si cette planète abrite des êtres intelligents et s’ils possèdent une technologie qui nous permettra de rentrer chez nous.
La longueur du voyage et ses contraintes avaient affaiblis les aliens, Aussi ils se trouvaient incapables de se dématérialiser, ils avaient été prévenus, et savaient qu’il leur faudrait plusieurs jours pour retrouver l’intégralité de leurs pouvoirs.
Après une petite pause, la petite compagnie s’envola afin de visiter les environs.
– Ah, voici une construction ! Il y a de la civilisation ici, tout espoir n’est donc pas perdu.
Ils s’approchèrent et pénétrèrent dans le château (car oui il s’agissait bien d’un château) par une fenêtre ouverte.
Et là ils aperçurent le comte Lothaire de Castignac donnant des ordres incompréhensibles à un serviteur.
– Ce bipède doit être un représentant de la race évoluée de cette planète, nous allons l’étudier et ensuite nous tenterons un contact.
Zwak et ses compagnons explorent le château, en profitant pour se nourrir de graines et de petits insectes, ils trouvèrent aussi un broc rempli d’eau potable.
Ainsi repus, ils purent entreprendre de sonder le cerveau de celui qui semblait être ici le maître des lieux, le comte Lothaire de Castignac.
La tâche était difficile, les aliens n’ayant pas encore retrouvé l’intégralité de leurs pouvoirs, il fallut se mettre à plusieurs pour pénétrer l’esprit du comte.
Au bout de 10 minutes, les aliens commentaient le désastre :
– Incroyable ! Il ne sait pas ce qu’est une planète, ni une étoile, leur technologie est purement mécanique.
– On pourrait peut-être leur donner un coup de pouce ? Suggéra Vico.
– Ça va prendre des siècles !
– On pourra accélérer les choses, on a l’éternité devant nous.
– Il nous faut un plan, réfléchissons chacun de notre côté, je pense qu’il doit exister des savants, ici, il nous faudra les contacter…
Et en attendant ils allèrent se planquer dans les nombreuses petites alvéoles qui gangrénaient les murs du château.
Mais bientôt ce fut l’enfer, le château était infesté de bestioles, et les aliens n’étaient pas les bienvenus, il fallait faire avec les chats, les chiens, les rats. Ils crurent résoudre le problème en instituant des tours de garde, mais la situation devint vite invivable.
Et un jour Vico fut pris dans une toile d’araignée dont il ne parvint pas à s’extirper. L’araignée rapide comme l’éclair lui bouffa carrément la tête.
– On ne pourra pas survivre dans ces conditions, nous allons être décimés les uns après les autres ! Se lamenta Zwak.
– Quittons cet endroit ! Suggéra l’un des aliens.
– Pour trouver peut-être pire ! A quoi bon ? Non il nous reste qu’une solution : la fusion !
Cette perspective était loin d’enchanter le petit groupe, mais après quelques discussions il fut convenu qu’il n’y avait guère d’alternatives.
Le château était habité par sept personnes, le comte Lothaire de Castignac, Chapine, sa femme, ses deux filles d’une vingtaine d’années, sa vieille mère et un couple de domestiques.
– Je vais m’occuper de ce Lothaire, il faut que cinq d’entre vous se chargent des autres.
– Non six ! Rectifia quelqu’un.
– Non, on ne compte pas la mère, elle est trop vieille, on ne pourra rien en faire. Il restera six corps à habiter, nous irons les chercher dans les environs… si tout va bien..
Les aliens savaient l’opération pas si innocente que ça, la fusion de l’entité alien avec l’entité humaine laisserait des séquelles. Bien sûr les aliens phagocyteraient les humains mais pas complètement, il resterait quelque chose, la langue, les habitudes, les souvenirs, mais aussi certains traits de caractères ainsi que leurs positionnements sociaux et familiaux. Il faudrait donc apprendre à gérer tout ça.
Les premiers résultats furent encourageant. La fusion entre Lothaire et Zwak, fonctionnait. La personnalité du vieux comte était désormais en arrière-plan. Lothaire était devenu un alien à l’aspect humain.
Chaque alien transformé se chargeait de la sécurité de ceux qui restaient encore à l’état de « sauterelles ». Lothaire et ses amis découvraient des sensations nouvelles, le plaisir de gouter des plats nouveaux, celui de boire de la bière, mais aussi celui de forniquer.
C’est au bout de quatre jours que les premiers troubles apparurent, nausées, fatigue, faiblesse, étourdissements. Cela paraissait inexplicable, normalement la fusion entre les deux entités devaient conserver la quasi-immortalité des aliens et par là-même empêcher toute souffrance, et tout dérèglement pathologique.
– Il manque quelque chose, les fusions ne sont pas achevées. Déclara Zwak (que nous appellerons désormais Lothaire)
Les six aliens transformés se réunirent assis en cercle et entamèrent une longue méditation
– Le sang ! C’est le sang ! s’exclama Dame Chapine.
– Le sang ?
– Oui, nous ne pourrons jamais réaliser une fusion définitive avec ces bipèdes, mais une injection de sang à intervalles réguliers devrait faire l’affaire.
Après une brève discussion, les aliens transformés se rangèrent aux arguments de Dame Chapine.
– Mais comment trouver du sang ? Demanda quelqu’un.
– Il y a des habitants à quelques lieus d’ici ! Déclara Amaury, le domestique. C’est là que je me rends pour faire les courses…
– Alors, allons-y, avant que nos forces nous quittent.
– Il faut mieux ne pas attirer l’attention, je suis connu, attendons la nuit ! Objecta Amaury.
Et la nuit venue, après avoir assuré la sécurité des « sauterelles » non transformées, les six aliens se dématérialisèrent et transformées en nuée invisible, ils parvinrent jusqu’à une ferme.
La suite fut simple. Ils entrent, repèrent les chambres, se matérialisèrent : Six cibles endormis, chacun la sienne. Une morsure au niveau de la jugulaire… et glouglou.
Leur forfait accompli, nos six aliens s’en retournèrent au château et quand ils se matérialisèrent à nouveau, ils étaient en pleine forme.
– C’est pas terrible ce que nous avons fait ! Déplora Amaury
– Non, mais c’était eux ou nous ! Nous rechercherons une solution plus douce, mais en attendant il nous faudra continuer à agir de la sorte ! Déclara Lothaire. Mais par précaution la prochaine
fois, nous irons bien plus loin.
Ils laissent passer quatre nouvelles journées au terme desquelles ils allèrent vampiriser quelques paisibles citoyens à plusieurs lieus de là.
A leur retour, il fut décidé que les six sauterelles non encore transformées avaient le feu vert pour fusionner avec qui ils voudraient.
– Bonne chance à vous ! Leur dit Lothaire. Nous resterons en contact télépathique et nous nous rencontrerons tous ensemble régulièrement et en cas de besoin.
La vie au château s’installa, pas grand-chose à faire, de la lecture, profiter de la bonne chère que rapportaient Amaury…
Mais vous allez me dire « avec quoi payait-il tout cela ? » Les impôts naturellement ! A intervalles réguliers, le bourgmestre du village se rendait au château avec les fonds collectés par les habitants. Le seigneur des lieux était donc entretenu à ne rien foutre. Mais en contrepartie ils devaient s’engager à protéger la population contre les invasions barbares.
L’autre activité était le sexe, et tiens, pendant que nous y sommes on va en parler un petit peu, puisqu’après tout on là pour ça, non ?
– Dame Chapine, Voyez comme je bande ! Lui dit Lothaire.
– Mon bon prince, je ne vois rien du tout !
– Venez donc à sa rencontre !
Chapine s’en alla farfouiller dans le haut de chausse du comte et ne tarda pas à faire sortir de sa cachette un magnifique membre bandé comme un arc et sur le gland duquel perlait une impertinente goutte de liqueur séminale.
– Quelle forme ce matin, mon prince ! Dit-elle en prenant en main ce dard arrogant.
– Je présume que vous allez sucer !
– Vous présumez fort bien !
– Mettez-vous à poil, Dame Chapine, que je puisse profiter de la vue de vos gros nichons !
– Lothaire, vous êtes un cochon !
– Je sais !
Chapine se déshabilla et afin d’exciter davantage son époux, elle se mit à faire bouger ses seins et à en tirer les gros bouts turgescents.
– Vous êtes une grosse pute, Chapine !
– Hi, hi ! Ricana-t-elle avant de prendre en bouche le beau vit.
Des bruits de pas, un raclement de gorge…Deux jeunes filles aux cheveux de feu entre dans la pièce
– Alors les parents, on batifole ! S’écria avec amusement Herma, la première fille du couple.
– On peut regarder, ou vous préférez qu’on vous laisse ? Ajouta Gudrun, la seconde fille.
– Mais restez donc mes chéries, plus on des fous, plus la baise est bonne.
Les deux belles rouquines s’approchèrent tout près de leurs parents.
– Hum, qu’elle est belle la bite à papa, tu me la laisses quelques instants, Maman ? Demanda Herma
– Vicieuse, catin !
– Oui, maman, mais ça ne répond pas à la question.
– Pour l’instant, c’est moi qui suce !
– Tu peux bien la partager cinq minutes, en échange je te brouterais la chatte ! Proposa Gudrun.
– Toi tu es encore plus vicieuse que ta sœur ! Mais bon je vais être bonne mère ! Répondit Chapine en se redressant, Régalez-vous, il est en pleine forme !
Et bientôt c’est deux petites langues qui virevoltaient autour de la bite du comte qui se pâmait d’aise.
Dame Chapine se sentant larguée eut l’idée de sonner la bonne.
– Madame m’a mandé ? demanda Perrette découvrant le spectacle de Lothaire en train de se faire sucer le dard par sa progéniture.
– Tu vas me lécher la moule…
– La moule, le cul, tout ce que voudrez, ma douce maîtresse.
– Alors, exécution !
– C’est que je dois préalablement satisfaire un petit besoin bien naturel.
– Je déteste les contretemps, petite pisseuse ! Ton impertinence mérite une bonne fessée, Allez dégage moi ce gros joufflu que je lui tape dessus !
– Mon pauvre cul ! Qu’est qu’il va prendre ! Il va encore devenir cramoisie. Pitié Dame Chapine !
En fait Perrette joue la comédie, elle adore qu’on lui maltraite son popotin, et Chapine le sait bien qui tape à qui mieux mieux jusqu’à s’en faire mal aux mains.
Rageuse et excité comme une puce, la comtesse, plonge un doigt dans le trou du cul de Perrette qui sursaute de surprise mais qui se laisse faire volontiers.
– Tu aimes ça, traînée !
– Je préfère la queue de Sieur Lothaire, mais ce doigt m’est bien agréable.
– Salope ! Répondit Dame Chapine en introduisant un deuxième doigt.
Et après avoir agité ses jolis doigts pendant quelques minutes, il fallut bien qu’elle les ressorti.
– Regarde-moi ça, poufiasse, tu m’as dégueulassé mes petits doigts délicats.
– Hi ! Hi !
– Et ça te fait rire, catin ! Répondit la comtesse en giflant la pauvre servante.
– Méchante comtesse !
– Parfaitement, et maintenant nettoie-moi mes doigts.
– Avec plaisir, méchante comtesse !
Et Perrette, sans hésiter une seconde nettoya de sa bouche les doigts pollués de sa patronne.
– Et maintenant, lèche-moi.
– Puis-je faire remarquer que je n’ai toujours pas pissé et que ça va devenir urgent.
– Pisse-moi donc dans le gosier, ça t’évitera de trop t’éloigner.
– Madame la comtesse est une vicieuse !
– Parfaitement !
La comtesse s’étala sur le froid carrelage de la pièce, et Perrette vint s’accroupir au-dessus de son visage. Très vite, un joli filet jaune sorti de son intimité pour aller remplir le gosier de Dame Chapine.
– Hum, ta pisse est délicieuse, aujourd’hui !
– Madame me fait beaucoup d’honneur.
– Arrête donc de jacter et viens me brouter la chatoune.
Et pendant que Perrette mettait du cœur à l’ouvrage en butinant le berlingot de sa patronne, intéressons-nous au comte Lothaire et à ses deux espiègles de filles que nous avons délaissées.
Herma suçait d’abondance le dard toujours en étendard de son paternel, tandis que Gudrun, passé de l’autre côté, lui prodiguait une feuille de rose bien profonde
– Stop les filles maintenant il faut que je jouisse sinon je vais me taper un mal de bite !.Voyons voir laquelle de vous deux vais-je enculer ?
– C’est mon tour, je crois ! Indiqua Herma
– C’est sûr, ça ? Demanda Gudrun
Mais Lothaire apercevant Perrette en train de brouter son épouse en tortillant de son croupion rougit par la fessée qu’elle avait reçu eut l’idée de la choisir et passant derrière il l’encula d’un seul coup d’un seul, faut dire que la Perrette était tellement moullée que de partout que ça aidait fortement à la pénétration.
Charmant tableau, le comte sodomise la soubrette qui lèche la comtesse, et bientôt ce joli trio poussa des cris de jouissance qui raisonnèrent en écho dans les murs du château.
Quant à Herma et Gudrun, enlacée en soixante-neuf elles ne tardèrent pas à exprimer à leurs tours leur jouissance de façon fort peu discrète.
Comme vous le voyez, nos aliens avaient complétement assimilés la sexualité des terriens à cette importante nuance près, c’est qu’ils n’avaient aucun tabou.
Les mutants ne se déplaçaient plus en groupe pour se ravitailler en sang frais, chacun maintenant se débrouillait à sa guise et selon ses besoins.
Les grandes découvertes sont parfois le fruit du hasard, ainsi il se raconte que le dénommé Barthélemy Thimonnier (1793-1857) recherchait le mouvement perpétuel, il ne le trouva pas mais le résultat de ces expériences fut… une machine à coudre !
C’est Herma, la fille ainée du comte qui une nuit de collecte de sang eut un remord en commençant à mordre une très jolie jeune fille. Elle stoppa son geste et par reflexe fit cesser l’hémorragie en imbibant la plaie de sa propre salive.
Et soudain la fille se réveilla, Herma s’apprêtait à quitter les lieux mais ne le fit pas tant elle fut surprise par l’attitude la fille qui sortit du lit et se prosterna à genoux devant elle.
– Je suis votre esclave ! Ordonnez et j’obéirais.
– Euh, pour l’instant va faire dodo, tu as fait un cauchemar et tu as été piqué par une vilaine bestiole.
Et quelques nuits plus tard Herma retourna seule dans la chambre de jeune fille, elle n’y était plus. Elle sonda alors le cerveau de celui qui semblait être le maître des lieux.
Et ce qu’elle apprit fut atroce, la fille, en fait une servante, avait été surprise en train de mordre jusqu’au sang son compagnon de cuisine. elle fut brulée comme sorcière sans autre forme de procès.
Herma fit part de son expérience aux autres.
– Cela veut dire qu’on peut créer des mutants acquis à notre cause, en étant plus nombreux, nous serons en sécurité, mais attention il ne faudrait pas non plus que nous terrorisions toute la région.
Pendant quelques mois, les aliens eurent une vie paisible, cela jusqu’au jour où Amaury entra en conflit avec Lothaire.
Les prélèvements de sang avaient beau se dérouler à des lieus du château, l’ambiance dans la région devenait délétère
– Des gens accusent le château d’abriter des sorciers suceurs de sang. D’où peut venir cette rumeur, nous prenons nos précautions, non ? S’étonna Lothaire.
Soupçonnant quelque chose de louche, Lothaire entreprit de suivre discrètement ses congénères, et c’est là qu’il s’aperçut qu’Amaury ne s’éloignait pas assez du château lorsqu’il allait recueillir du sang.
Parallèlement la population s’organisait, décapitait et brulait tous les supposés sorciers, et menaçait de donner l’assaut au château.
– Espèce d’abruti, tu mets notre communauté en danger… L’invectiva Lothaire
– Ça devait arriver de toute façon, la seule solution c’est de mordre tout le monde, ainsi personne ne sera contre nous. Répondit Amaury
– O.K. je m’incline, c’est toi le chef désormais, puisque cette idée est de toi, je te laisse la mettre en place, mais il faut auparavant que je te confie quelques secrets. Vite le temps presse,
retrouvons-nous dans la salle bleue.
Dame Chapine et ses filles s’empressèrent d’invectiver Lothaire, lui demandant s’il n’était pas devenu complétement fou de pendre une telle décision
– Mais non, voilà ce que nous allons faire….
Dans la salle bleue, située tout en haut d’une des tourelles, les trois femmes se concentrèrent de conserve sur Amaury, l’empêchant de se servir de ses pouvoirs, puis Dame Chapine s’empara d’une hallebarde posée sur un râtelier et fit reculer Amaury jusqu’à la fenêtre vitrée. Il passa au travers, brisant la vitre et dégringola. On a beau être immortel mais quand le cerveau est en bouillie, eh bien on ne l’est plus !
Lothaire réuni ensuite la domesticité .
– Nous allons partir les premiers, attendez un peu et empruntez le souterrain secret. Bonne chance à vous ! Nous nous reverrons !
Lothaire, sa femme et ses filles se dématérialisèrent, puis une fois éloigné du château, ils se firent passer pour des paysans fuyant les sorciers, ils furent engagés comme serfs au service d’un chatelain du coin. Pas trop la joie mais en attendant mieux…
En temps Tolmar, l’un des aliens de la seconde vague de transformation qui avait une formation de biochimiste avait découvert un procédé qui évitait les razzias sanguines. Le chef de leur groupe un certain Rosalio ne souhaitait pas que cette découverte soit divulguée (allez savoir pourquoi ?) Tolmar qui n’aimait pas qu’on lui donne des ordres s’en alla voir ailleurs, mais ne divulgua pas sa formule par crainte des représailles. Mais sa formule finit par fuiter. Les aliens pouvaient à présent dormir tranquille.
A suivre
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