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La mouche - 3 – Telle mère, telle fille.par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
Carole rencontre une femme intrigante dans une salle de sport, Carole la surnomme « la mouche » mais elle se fait appeler « Madame Isabelle ». Celle-ci l’emmène chez elle, et lui montre ses talents de dominatrice en punissant sévèrement la bonne. Carole ayant confié à la « mouche » les rapports particuliers qu’elle entretenait avec sa fille, se fait inviter chez elle, le but étant de s’arranger pour l’emmener dans son donjon…
Carole avait accepté avec l’impression de se lancer à l’eau, elle ignorait comment sa fille de 19 ans allait réagir et cela l’angoissait, mais elle se disait aussi que Madame Isabelle savait ce qu’elle faisait.
Carole n’avait pas invité « la mouche » à diner. Comment aurait-elle pu rivaliser avec la table succulente qu’elle lui avait servie chez elle ? La différence de classe était énorme. Ce serait donc juste un apéritif, tous les gens ne deviennent-ils pas égaux devant un Martini avec des glaçons et une rondelle de citron ?
Actuellement Elodie faute de mieux travaille à mi-temps dans un magasin de fringues à bon marché. A 18 heures elle rentre à la maison et embrasse sa mère.
– J’ai mal aux fesses ! Lui dit Carole
– Voilà ce que c’est d’abuser de la salle de sports !
– Non ce n’est pas ça, j’ai rencontré une nana qui m’a donnée une fessée !
– Pardon ?
– Une jolie femme, dans la salle de sport justement, elle m’a dragué, je me suis laissé faire.
– Et elle t’as donnée une fessée ?
– Oui, c’était très… comment dire ? Très érotique, très sensuel !
– Elle fesse mieux que moi ?
– C’est différent, toi tu aimes mieux recevoir que donner.
– Bon, qu’est-ce qu’on mange ?
– Il reste du poulet, mais j’ai invité la fille pour l’apéro.
– Ah ? Répondit Elodie sans enthousiasme.
Carole téléphona discrètement à « la mouche » pour lui confirmer le rendez-vous et lui décrire comment elle avait annoncé sa venue à sa fille.
Madame Isabelle est là à l’heure, offrant à ses hôtes une bouteille de whisky pur malt. Elle s’est habillée de façon quasi provocante, pantalon et blouson en vinyle. On se présente ! Elodie n’a fait aucun effort de toilettes et après avoir pris une douche s’est revêtue d’un jogging gris trop ample,
On s’installe autour de la table basse, on remplit les verres, « la mouche prend un Martini » Carole le whisky, non pas par préférences mais par politesse. Elodie se contente d’un jus d’orange.
La conversation a du mal à s’installer, alors on parle de la météo épouvantable et de la circulation difficile.
Elodie a envie de sonder cette inconnue qui la fascine :
– Alors comme ça vous fréquentez la salle de sport ?
– En fait je viens juste de m’y mettre…
– Et si j’ai bien compris vous avez fessé ma mère ?
– C’était un jeu !
– Je n’en doute pas Et vous aimez faire ça !
– J’adore ! Et quand une personne a de jolies fesses, comme votre maman, c’est encore mieux.
– Et ça vous intéresserait de me donner une fessée, à moi ?
Madame Isabelle n’en revient pas que les choses aillent si vite, mais cela n’est pas pour lui déplaire.
– Pourquoi voudrais-tu une fessée, tu as fait des bêtises ?
– Vous avez besoin d’un prétexte pour me fesser ?
– Non mais ce serait mieux !
– Alors j’ai piqué le gode de ma mère, j’avais trop envie de me le foutre dans le cul ! Ça ira comme prétexte ?
– Oh la vilaine fille ! S’écrie Madame Isabelle, entrant dans le trip, retire-moi ce pantalon trop moche et viens t’allonger sur mes genoux.
– Maman, tu vas la laisser faire ? Demande Elodie, joueuse.
– Bien sûr ! Ça t’apprendra à me piquer mon gode.
Elodie se débarrasse de son pantalon sous lequel ne logeait aucune culotte.
– Oh ! Le joli cul ! S’exclame Madame Isabelle. Il est aussi beau que celui de ta mère… Bien que pour comparer, il faudrait que tu te mettes aussi les fesses à l’air, Carole !
Carole à son tour enlève le bas, la mère et la fille sont maintenant côte à côte, Madame Isabelle leur pelote le cul sans vergogne à la façon d’un maquignon à la foire aux bestiaux.
– Humm, difficile de départager, mais ce sont de vrais culs de putes. Ça ne te gêne pas Elodie d’avoir un cul de pute ?
– On ne me l’avait jamais dit, mais ça ne me gêne pas du tout !
– Petite effrontée ! Allez viens te coucher sur mes cuisses, tu vas l’avoir ta raclée
Elodie obtempère et offre ses fesses aux instincts sadiques de la « mouche », en ponctuant ses coups d’insultes diverses et variés.
– Tiens ! Jeune dévergondée ! Tu es aussi salope que ta mère !
– Aïe !
– Tiens putain !
– Ouille !
En fait Madame Isabelle est peu habituée à prodiguer des fessées à mains nues, et ne tarde pas à ressentir de la douleur dans les mains, tandis que le cul de la belle Elodie se met à virer au cramoisie.
– Bon j’arrête, tu as eu ce que tu méritais, mais je vais te dire un secret !
– Un secret ?
– Oui, tu m’as fait mouiller
– J’en suis fort aise, chère madame.
– Tu dis ça mais je suis sûre que tu ne me crois pas !
– Si, si !
– Je vais te montrer quand même !
La « mouche » ôte son pantalon, elle ne mentait pas, la mouille lui dégoulinant sur les cuisses.
– Je ne peux pas rester ainsi ! Dit-elle.
– Et que voudriez-vous que je fisse ?
– Que tu me lèches !
– Et pourquoi moi et non pas Maman ?
– Justement j’y pensais ! Mais tu ne vas pas te défiler ! Vous allez me lécher le minou toutes les deux !
– On le fait Maman ? Demande Elodie.
– Je crois bien que nous allons le faire !
– Mettons nous toutes à poil propose madame Isabelle, ce sera plus fun..
Et tout en disant cela, elle dézippe la fermeture éclair de son blouson de vinyle… elle n’avait rien en dessous.
– Alors ma salope, ils te plaisent mes nichons ?
– Je peux les embrasser ? Demande Elodie.
– Oui, tu pourras, mais pas maintenant, pour l’instant ça va être du broute-minou.
Elle s’installe sur le canapé, les jambes écartées, Elodie et sa mère viennent lui butiner la chatte, pas facile de faire ça en même temps mais en pratiquant de façon alternative, ça le fait très bien.
– Stop ! Dit « la mouche » au bout d’un moment, vous avez de la mouille plein la bouche, j’aimerais vous voir vous embrasser.
La suggestion amuse Elodie qui ouvre les lèvres et approche sa bouche de celle de sa mère, l’instant d’après elles se roulaient un patin.
– C’est bien ce que je pensais, vous êtes des vraies salopes, continuez à me lécher ! Oui comme ça, l’une après l’autre…
Madame Isabelle eut la jouissance aussi fulgurante qu’humide. Carole très excitée aurait bien joui, Elodie aussi, mais elles n’étaient plus maîtresses du jeu.
– Vous m’avez l’air bien excitées toutes les deux, si vous voulez on va arranger ça, mais c’est moi qui vais vous dire comment cela va se passer. D’accord ?
– Pourquoi pas ? Répondit Elodie.
– Vous allez vous mettre toutes les deux en soixante-neuf, j’ai assisté à pas mal de turpitudes mais je n’ai pas encore vu une mère et une fille se gouiner devant moi ! Alors vous allez m’offrir ce spectacle ! Objections ?
Les deux femmes ne répondent même pas, se positionnent comme il se doit et se gamahuchent jusqu’à l’extase.
Elles se relèvent, épuisées. Carole ressert des apéritifs et la « mouche » s’adresse à Elodie :
– Tu es très soumise, n’est-ce pas ?
– Par jeu, uniquement par jeu !
– Et tu serais capable d’aller plus loin que des fessées ?
– Oui !
– Alors si tu veux, je vous emmène toutes les deux chez moi, j’ai un sous-sol aménagé dans lequel je peux faire plein de misères à mes esclaves du moment. Ça te dit ?
– Je ne me laisse pas faire n’importe quoi ?
– Ce ne sera pas n’importe quoi, un peu de flagellation, de bondage, de pinces et aussi quelques humiliations à ma manière !
– Je ne veux pas de trucs dangereux…
– Il n’y en aura pas et on emploiera un mot de sécurité !
– C’est quoi ça ?
– Par exemple si tu dis une fois « roudoudou », j’arrête ce que je fais et je passe à autre chose. Si tu dis deux fois « roudoudou », on arrête tout. Mais ça c’est la théorie, j’ai acquis une certaine habitude et je suis capable de deviner ce que vont supporter ou non mes soumises.
– Mwais… et on ferait ça quand ?
– Mais tout de suite, si tu veux, on se rhabille et on monte dans la bagnole !
***
C’est Annie, la soubrette délurée qui ouvre aux trois femmes.
– Nous allons descendre à la cave ! Lui dit « la mouche ». Prépare-nous un repas pour trois personnes que tu serviras dans une heure et demie.
– Bien Madame !
– Tu vois j’ai ramené l’autre salope avec sa fille ! Ce sont vraiment des trainées, elle se sont gouinées devant moi !
– La mère et la fille ?
– C’est comme je te le dis !
– Mais c’est très mal, ça, ça mérite une bonne punition !
– Justement c’est prévu ! Tu aurais aimé voir ça, je suppose ?
– Oui bien sûr !
– Mais ça, ce n’est pas dans mes intentions, file en cuisine et réserve nous un bon pinard.
Elodie exprime alors le souhait de satisfaire un petit besoin naturel avant de passer à autre chose.
– Pas question, tu te retiens, on gérera ça en bas.
Une fois dans le donjon, Madame Isabelle ordonne à ses « invitées » de se déshabiller, ce qu’elles font sans rechigner. Elle demande ensuite à Carole de se coucher sur le sol.
– Elodie tu as envie de pisser, si je ne m’amuse ?
– Ben oui !
– Et bien tu vas pisser sur ta mère !
– Quoi ?
Elodie croise le regard de sa mère, y cherchant un quelconque signe de désapprobation, mais c’est le contraire qui se produit, Carole opine du chef en signe d’assentiment.
Résignée, Elodie enjambe sa mère et se positionne au niveau de son ventre, mais elle bloque.
– Ben alors, mademoiselle ne peut pas pisser ? Se moque madame Isabelle.
– C’est que je n’y arrive pas !
– Voilà qui est fâcheux ! Ne bouge pas, reste comme tu es !
Madame Isabelle se saisit d’une cravache !
– Ton cul est déjà rouge, mais bon, un peu plus, un peu moins…
– Aïe !
Cinq coups de cravache viennent zébrer les fesses de la pauvre Elodie.
– Alors tu pisses ?
– J’essaie.
Elodie se concentre, essaie de faire le vide dans son esprit mais sa vessie refuse de se vider.
– En te cravachant le ventre et les nichons, ça va peut-être venir.
– Non !
– Ta gueule !
La cravache cingle son ventre, Elodie crie de douleur, la « mouche » arme de nouveau son instrument.
– Non, je crois que ça vient, juste une seconde !
Effectivement, le jet doré commence à jaillir se sa source.
– Et maintenant, tu avances en pissant vers son visage !
Carole comprend ce qui va se passer et ouvre la bouche, geste qui stoppe Elodie dans son élan. Mais la mère lui fait de la main signe de continuer d’avancer.
Et c’est le cœur battant et le rouge aux joues qu’Elodie finit de faire son pipi dans le gosier de sa propre mère qui s’astreint à avaler ce qu’elle peut.
Sa miction terminée, Elodie se déplace sur le côté, elle est chancelante, mais n’a pas employé le mot de sécurité. Quant à Cadole elle est aux anges.
– Quelle humiliation ! Se faire pisser dessus par sa propre fille ! J’en suis tout émoustillée ! Mon dieu, je mouille comme une éponge !
– C’est vrai, maman, C’est dingue ce qu’elle nous a fait faire !
Carole se relève, elle embrasse sa fille… sur la bouche évidement…. Et profondément.
– C’est très bien, mes chéries, Nous allons passer à autre chose.
A l’aide de menottes fourrées, Madame Isabelle attache les mains des deux femmes derrière leur dos puis s’emparant d’épingles à linges, elle leur fixe sur les tétons, enfin avec l’aide d’une chainette elle relie le téton droit de Carole au téton gauche de sa fille et inversement…
La « mouche » se saisit à nouveau de la cravache et s’en va fouetter les cuisses, le dos et les fesses des deux femmes qui gigotent en tous sens, faisant s’étirer les chainettes et leur provoquant des cris de douleur. Elle agit avec beaucoup de sérieux, prenant garde à ce que les chainettes ne se tendent pas de trop, mais c’est surtout pour faire durer le plaisir parce que le final est terrible. Elle abat sa cravache sur les chainettes faisant voler les pinces et crier les deux soumises qui s’étreignent en pleurant tandis que « la mouche » les libère des menottes.
Madame Isabelle s’en va dans un coin et utilise son téléphone portable, puis elle s’assoit et attend. Les deux femmes restent plantées au milieu de la place, se demandant quels diaboliques sévices va encore leur tomber dessus.
Et voilà qu’arrive un bonhomme, la quarantaine, grosse moustache, il tient en laisse un gros labrador noir qu’il fait se coucher à l’entrée.
– Voici Roger, mon régisseur et jardinier, vous savez il y a toujours quelque chose à faire dans ces grandes baraques… Le chien c’est Zoltan, mais on va faire les choses dans l’ordre, vous n’aimez pas les hommes me semble-t-il ?
– Pas trop, non ! Répond Elodie
– Ça tombe bien, sinon ce n’aurait pas été une punition. A poil Roger !
Les deux femmes se regardent, résignées tandis que Roger exhibe maisnteant une vraie bite de complétion qu’il branle énergiquement pour la rendre très raide.
– Allez les putes, allez sucer Roger, l’une devant l’autre derrière, faites comme vous voulez, de toute façon on invertira les rôles au bout d’un moment.
C’est Carole qui spontanément se place derrière, ne voulant pas laisser la pose la plus « humiliante » à sa fille, et elle qui n’a pas eu de rapport avec un homme depuis bien longtemps se met à lécher le trou du cul du bonhomme, un trou du cul qui est loin de sentir la rose. Et pendant ce temps-là, Elodie lui suce la bite, elle a d’ailleurs conscience de le faire très mal. Hé, c’est qu’elle n’en pas sucé beaucoup dans sa jeune vie ! Une ou deux, l’histoire ne le dira pas.
– Ça se passe bien ! Demande la « mouche »
– J’ai l’impression qu’elle ne sait pas sucer, on sent ses dents ! Répond le moustachu.
– D’accord, j’ai du pain sur la planche si je veux en faire une bonne pute. Allez les filles on alterne.
Elodie est rouge de honte, la tentation de laisser tomber tout ça l’effleure, mais comme sa mère semble à l’aise, elle n’en fait rien. L’anus de Roger est maintenant tellement imprégné de salive que le gout en est devenu neutre. Carole suce la bite avec application, elle n’a rien contre les bites, ce qu’elle ne supporte plus ce sont leurs propriétaires, mais présentement ce genre de relation n’ayant rien d’affectif, elle peut se lâcher et même y trouver un certain plaisir.
Mais Carole fait signe d’arrêter et demande aux deux femmes de se mettre en levrette.
– Mieux que ça, le cul cambré, les jambes écartées, Roger va vous enculer l’une après l’autre.
Elles n’hésitent même pas ! A quoi bon d’ailleurs ? Elles se contentent de prier les dieux de la baise que l’homme ne fasse pas usage de brutalité.
Il commence par la mère, l’introduction se fait sans aucune douceur. Eh oui une bite ce n’est pas comme un gode où l’on reste constamment maîtresse du jeu. Et les premiers instants sont pénibles, ensuite ça va mieux et ça commence même à être plutôt agréable, mais Roger décule, change de capote et s’en va enculer la fille qu’il gardait pour le dessert.
– Doucement, doucement !
– Je vais doucement !
– Ah bon !
Mais excité comme il est Roger ne tient pas la distance et jouit dans le fondement d’Elodie en meuglant comme un veau qu’on égorge.
– Merci Roger, maintenant amène le chien au milieu et vas t’assoir sur une chaise. Lui dit la « mouche »
– Je ne fais rien avec le chien ! Proteste Elodie !
– Essaie au moins !
– Non !
– Et on peut savoir pourquoi ?
– Ça ne me branche pas, c’est tout !
– Et toi Carole ?
– Qu’est que tu voudrais que je fasse ? Que je suce le chien ?
– Pas forcément ! Pour l’instant ne bouge pas je vais vous montrer quelque chose.
La « mouche » sort d’un petit placard une boite de conserve de pâté pour chien et l’ouvre, elle enlève ensuite son pantalon et s’enduit le pubis et la chatte d’un peu de pâté.
– Viens Zoltan, viens mon chien .
Le chien hésite mais elle l’attire avec son doigt qu’elle rapproche insensiblement de son bas ventre. Le chien cette fois comprend, sort une large langue et viens lécher tout ça !
– A quelle langue, mes chéries quelle langue ! Tu m’as bien léché tu es un bon chien.
Il est content Zoltan, il remue la queue en tous sens, mais il n’y a plus de pâté.
– A toi, Carole !
– C’est pas dangereux ?
– T’en a d’autres des questions idiotes, allez lance-toi.
Carole se tartine à son tour et se laisse lécher par le chien.
– Je suis vraiment une salope ! Commente-t-elle
– Je ne te le fais pas dire. A toi Elodie.
– J’ai dit que je ne voulais pas !
– Jusqu’à présent ça n’a tué personne ! Carole empêche-la de bouger je vais lui tartiner la chatte.
Carole hésite, voilà une façon de procéder qui n’a plus rien à voir avec le consentement, mais elle se dit aussi que si vraiment sa fille veut quitter le jeu, il y a le mot de sécurité, alors elle l’immobilise, mais Elodie ne se débat pas et se laisse faire. Et quand le chien vient lui laper la chatte elle se met à rigoler de bon cœur !
– C’est pas possible une langue pareille !
Madame Isabelle fait ensuite coucher le chien sur le côté et lui tripote la bite, celle-ci ne tarde pas à émerger de son fourreau et de présenter une belle raideur, sans hésiter elle porte l’organe en bouche.
– C’est quand vous voulez les filles ! Leur dit-elle en leur faisant signe de la rejoindre.
Elodie n’est pas du tout décidée, mais Carole hésite.
– Bon alors ? Vous vouliez être humiliées, c’est pas une bonne humiliation, ça de sucer la bite d’un chien ?
L’argument est sans aucun doute idiot mais il fonctionne et Carole se lance, timidement mais elle le fait .
– Mais c’est épouvantable de faire ça ! S’écrie Elodie qui à la surprise générale se lance à son tour et goute brièvement la bite du chien.
– C’est bien Elodie, je t’avais promis que je te laisserais me lécher les seins, tu peux y aller maintenant.
La bouche d’Elodie s’approche du téton droit de Madame Isabelle, il est tout érigée d’excitation, tout dur. Inutile de préciser qu’Elodie se régale
– Pour vous les tortures sont terminées, nous allons monter déguster ce que nous préparé Annie mais avant je vais vous offrir un petit spectacle. Ah ! Vous auriez aimé jouir, mes chéries, et bien faites-le en me regardant…
Le « mouche » extrait du placard une paire de grosses chaussettes qu’elle enfile sur les pattes avant du chien, elle se met en levrette et attire le quadrupède qui la monte et qui la bourre.
Carole et Elodie n’ont regardé que le début, elle se sont rapidement enlacées, caressées, pelotées, embrassées, léchées et c’est en position de soixante-neuf quelles firent éclater leur plaisir.
Ce qui clôt la partie sexe de cette folle soirée qui se termina dans une bonne ambiance autour d’un délicieux canard à l’orange et d’un Pommard millésimé.
FIN
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