Pr Martinov

Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:35

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 11 – Octave en Thaïlande par Maud-Anne Amaro

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Le récit d’Octave

J’ai toujours été fasciné par les transsexuelles, fasciné c’est même pas le mot disons que ça m’intriguait. Quand je suis arrivé à Patpong, le quartier chaud de Bangkok, j’ai eu la curiosité d’entrer dans un bar où il y avait des lady-boys. Je m’assois et je me rends compte que l’ambiance est vraiment débridée, un type, le pantalon sur les chevilles, se faisait branler la bite de façon visible par deux lady-boys. Ça m’a excité de voir ça, puis rapidement la lady a emmené le type dans l’arrière-salle. Je regarde autour de moi, beaucoup de ladys était occupées à draguer des touristes, embrassades, pelotages et mains au paquet mais plus de branlette.

 

Une lady s’approche de moi, très jolie et souriante.

 

– Je t’ai apporté une bière, mais tu veux peut-être autre chose ?

– Non, non une bière c’est très bien.

– Je m’assois à côté de toi ?

– Bien sûr !

 

Elle est à peine assise que j’ai déjà sa main sur ma braguette. Je ne proteste pas, après tout je suis venu pour ça.

 

– Tu peux me caresser si tu veux !

 

Je l’ai fait, mais par timidité je me contentais de lui caresser les bras et les cuisses, elle avait la peau très douce.

 

– Tu peux me caresser partout ! Précisa-t-elle. Je m’appelle Lucy

 

Pas vraiment thaïlandais comme prénom mais facile à mémoriser !

 

Je lui pelotais un peu les seins à travers le tissu, puis saisi d’une impulsion subite je mis ma main à l’endroit du sexe.

 

– Humm, petit coquin ! J’ai une belle bite tu sais ! Passe ta main sous ma robe.

 

Je le fais, elle a une culotte, je trifouille dedans et me retrouve avec sa bite dans la main. C’est magique !

 

– Stop ! Si tu veux faire plus de choses, tu me donnes des sous et on va derrière.

 

C’était couru, mais quelque part je suis aussi venu pour ça. Je lui file le fric, je fini ma bière et on y va.

 

L’arrière-salle a été aménagé avec des cabines séparées par des rideaux. Pas trop discret ce truc. Lucy m’explique qu’il y a aussi des chambres plus classiques au premier mais que c’est un peu plus cher. Mais je décide que nous allons rester là.

 

On se déshabille, Lucy est joliment faite, avec des mignons petits seins. Je suis fasciné parce qu’elle a entre les jambes. Elle ne bande pas beaucoup, mais se tripote la bite afin d’y remédier et s’aperçoit de mon trouble.

 

– Tu l’aimes bien ma bite ?

– Elle est belle !

– Je vais te sucer un peu ! Tu voudras sucer la mienne après ?

 

Je ne m’attendais pas à ce que les choses aillent si vite, mais l’instant d’après j’avais ma bite dans sa bouche, elle suçait divinement et mon membre devint rapidement tout raide

 

– A toi maintenant, suce ! Suce ma bonne bite, régale-toi.

 

Qu’elle était douce et bonne sa queue dans ma bouche ! Quelle sensation magique ! J’étais comme fou, comme un gosse avec une nouveau jouet.

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– T’aimes ça, sucer des bites ! Me demande-t-elle.

– Oui ! répondis-je sans réfléchir.

– Tu veux que j’appelle une copine, comme ça tu auras deux bites à sucer.

 

J’ai refusé, par prudence, n’ayant pas envie de claquer de suite tous mes baths. Et puis Lucy m’a demandé :

 

– Tu veux ma bite dans ton cul ?

– On peut essayer !

 

Ça n’a pas été évident, j’avais le cul serré, mais à force de persévérance, ça a fini par entrer. Les premiers instants ont été inconfortable à tel point que j’ai failli lui dire de laisser tomber, mais rapidement la douleur a fait place à une simple gêne, puis à un plaisir très trouble Sophie a bien compris que je n’étais pas un habitué de ce genre de choses, aussi a-t-elle fait preuve d’une grande douceur. Merci à elle !

 

Quand elle s’est retirée, elle m’a demandé comment je désirais jouir, pipe ou sodo ? Je l’ai donc enculé, fourrant ma bite entre ses jolies petites fesses rebondies.

 

Je suis revenu le lendemain avec plus ou moins l’idée de réaliser un truc à trois. En pénétrant dans l’établissement, je cherche Lucy, je ne la vois pas. Une jolie lady-boy s’approche de moi :

 

– Une bière, monsieur ! Me dit-elle en me posant d’office une chope pleine sur ma table.

 

Puis sans autre protocole elle s’assoit sur mes genoux.

 

– Tu me caresses ?

– Je cherchais Lucy !

– Elle doit être occupée, mais je suis aussi gentille qu’elle.

 

Difficile de résister à la tentation de la caresser, je le fais donc et très rapidement ma main se pose sur son entre jambe.

 

– Oh, toi tu es un petit vicieux, je crois que tu aimes bien les bites.

– C’est vrai ! M’entendis-je répondre.

 

Et alors là, la lady-boy a ce geste extraordinaire, elle se lève, soulève sa robe, sort sa queue de son string et me la fait sucer. Comme ça pratiquement devant tout le monde.

 

Ce n’était pas précisément le plan prévu, mais que voulez-vous ?

 

Sauf que voici que la mamasan appelle la fille en thaïlandais.

 

– Je reviens, chéri, me dit-elle, me laissant en plan.

 

Me revoilà seul, et c’est à ce moment que j’aperçois un couple de touristes, la cinquantaine tous les deux. Le femme une belle fausse blonde, cheveux bouclés, bien conservée, très souriante me fait signe de les rejoindre.

 

J’ignore ce qu’ils me veulent, mais poussé par je ne sais quelle curiosité, j’y vais.

 

– English ? American ? Me demande la mature.

– French !

– Nous somme belges, Anvers ! Mon mari c’est Henri, moi c’est Nicole.

– Ah, enchanté ! Octave !

– Asseyez-vous un instant, on une petite proposition à vous faire.

 

J’aime pas trop ça, je me demande si je ne vais pas avoir à faire à des trafiquants de je ne sais pas trop quoi !

 

– Je vous écoute !

– On est tous là pour du sexe, n’est-ce pas ? reprend Nicole.

– Certes !

– On a vu ce que vous avez fait avec la lady-boy, il y a quelques instants. Ça nous a bien plus, mais c’était un peu court.

– Ah ?

– Vous êtes déjà venu ici ?

– Oui pourquoi ?

– C’est indiscret de vous demander ce que vous avez fait en privé ?

– En effet c’est indiscret.

 

Et je vais pour couper court.

 

– C’est dommage… ça vous aurait dit une partouze avec nous ?

 

Je pile.

 

– Vous me prenez au dépourvu ! On ne se connait pas.

– Vous ne connaissez pas non plus les lady-boys d’ici et pourtant vous étiez sur le point de vous isoler avec l’une d’elle.

– Hum

– On est tous pareil ! Figurez-vous qu’avant-hier, on a partouzé avec une jolie lady-boy, Henri lui a sucé la bite, j’adore le voir sucer des bites, il voulait se faire enculer mais la lady ne bandait pas assez.

 

Ces propos commençaient à m’exciter sévèrement.

 

– Ça t’excite ce que je raconte ! Hein Monsieur ! Me dit Nicole en posant sa main sur ma braguette.

– Avouez que la situation est singulière !

– Tu sucerais la bite de mon mari ?

– Je ne sais pas

– Donc tu ne dis pas non ! Tu veux la voir ?

– Euh !

– Mais bien sûr que tu veux la voir !

 

Et voilà que Nicole sort la bite d’Henri de sa braguette et la branle un petit peu pour la faire bander.

 

Une jolie bite bien droite avec une jolie veine bleue courant sur la verge, et un beau gland décalotté d’une belle couleur violacée.

 

– Alors ? Demande-t-elle

– Elle est belle !

– T’as envie de la sucer ?

– Pourquoi pas ?

– Et évidemment il te sucerait la tienne !

– Oui !

– Seulement il y a une suite, c’est pour ça que je te demandais ce que tu avais fait en privé avec la lady-boy

 

J’hésite un peu, puis je me dis que j’en ai rien à foutre, ces gens je ne les reverrais jamais.

 

– Je l’ai sodomisé, mais avant elle m’a proposé de me prendre, j’ai voulu tenter l’expérience. Précisais-je alors.

– Et ça t’a plu ?

– On va dire que c’était une expérience intéressante !

– Et tu serais prêt à recommencer ?

– A l’occasion, oui, bien sûr.

– Une petite partouze ensemble, ce serait sympa et en plus c’est gratuit pour tout le monde ! Reprend Nicole. Je suppose que tu es bisexuel ?

– Non, en fait je ne sais pas ce que je suis, j’aime les femmes, j’aimes les trans, j’aime les bites, je ne sais pas trop où j’en suis, et je m’en fiche un peu.

– En principe les mecs qui aiment les transsexuelles sont un peu bisexuels puisqu’ils aiment à la fois les jolies femmes et les bites.

– Peu importe les étiquettes !

– D’accord, supposons qu’on aille à notre hôtel, je me mets toute nue et je vous regarde, vous les messieurs vous sucer et vous enculer… et je m’excite, après évidement tu auras le droit de me baiser, c’est la moindre des choses, alors ça te dit ?

– On ne sera que tous les trois ?

– Oui !

– Mais pourquoi moi ?

– Tu n’es pas le premier que l’on sollicite, certains ont refusé, d’autres ne faisait pas l’affaire…

– Alors je vais peut-être me laisser tenter !

– On y va maintenant ?

 

Me voilà embarqué dans quelque chose de complétement imprévu.

 

Arrivé en chambre à leur hôtel, Henri me demande ce que je veux boire, je choisi un Martini, il demande par téléphone les consommations, des préservatifs et du gel ! Puis sans attendre les deux belges se déshabillent, m’invitant à faire de même.

 

Et là, il se passe quelque chose, je bande en regardant simultanément le corps très bien conservé de Nicole et la belle bite d’Henri. Je passerai bien à l’action de suite mais je ne suis pas chez moi, ça ne se fait pas.

 

– Ça te plait tout ça ! Me nargue Nicole.

– Hé !

– Rappelle-toi ce qu’on a dit ! D’abord entre hommes, et moi je suis là pour le dessert, suce-lui la bite, vas-y, que je me régale en vous voyant.

 

Elle n’a pas eu besoin de me le dire deux fois, je suce ma troisième bite de ma vie d’adulte, je me régale, j’essaie de m’appliquer, conscient que je dois faire ça comme un pied… Et voilà qu’on sonne à la porte.

 

Instinctivement je stoppe ma pipe !

 

– C’est le service d’étage ! Continue, ils en ont rien à foutre.

 

Effectivement, Nicole à poil, ouvre. Entre une créature dont je ne saurais s’il s’agit d’une vraie fille ou d’une lady boy, elles sont tellement féminines !

 

– Voilà ! Si vous avez besoin de quelqu’un… fille, garçon, lady boy…

– Pas pour l’instant, on vous fera signe ! Répond Nicole en lui donnant son pourboire.

 

On s’arrête pour trinquer, on se boit une gorgée.

 

– A moi de te sucer ! Me dit Henri.

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Je suis un peu déçu parce que je ne l’ai pas sucé très longtemps, mais bon, la partie n’est pas fini. Et là, grosse surprise, le type suce comme un dieu, je ne m’attendais pas du tout à ça et je me laisse faire, ravi.

 

Puis au bout de 10 minutes !

 

– Je t’encule en premier ? demande-t-il.

 

Je ne peux qu’approuver, ai-je vraiment le choix, mais j’ose :

 

– D’accord, mais je peux te sucer encore un peu avant ?

– Bien sûr, régale-toi avec ma bonne bite !

 

Et pendant que je le suce, les commentaires salaces entre les deux belges vont bon train.

 

– T’as vu, on s’est dégoté un bon petit suceur de bites !

– Tu vas bien l’enculer, mon chéri, je suis sûre qu’il va aimer ça, et après c’est lui qui va te prendre.

 

Henri met fin à ma fellation que je suis conscient de ne pas faire aussi bien que lui, et me demande de me mettre en levrette.

 

Appréhension parce que sa queue est plus grosse que celle de la lady-boy. Il me lèche le fion, me fourre un doigt, tout ça n’est pas désagréable mais je réalise que je vais devoir lui rendre la pareille, je ne suis vraiment pas préparé à aller jusque-là, l’enculer pour rendre service je veux bien mais les attouchements périphériques, ça ne me branche pas du tout, mais alors pas du tout. Sans doute pas assez bisexuel pour ça…

 

Après ces quelques privautés, j’ai droit à une bonne tartine de gel, puis je sens que le gland d’Henri tente de forcer l’entrée de mon cul. Après plusieurs tentatives il a fini par entrer.

 

– Ça va, c’est bon ? Demande-t-il

– Vas doucement !

 

Je serre les dents, le début est peu agréable, puis imperceptiblement ce corps étranger dans mon cul me procure un plaisir intense.

 

– C’est bon continue !

– T’aime, ça te faire enculer, hein salope !

 

Quel langage ! Mais je sais bien que pour certains ça fait partie du trip.

 

– Oui, j’aime ça !

– Tu es un suceur de bites, un enculé !

 

Eh oui, et en plus j’aime ça !

 

Mais les meilleures choses ont une fin, sur une injonction de Nicole, Henri se retire de mon cul.

 

– A toi de jouer !

 

Ça ne m’emballe pas plus que ça, mais c’était le deal. Je m’encapote, et vais pour lui appliquer du gel., mais Nicole m’interpelle.

 

– Lèche-lui le fion d’abord !

– Pas trop mon truc !

– Alors juste un peu !

 

Finalement je l’ai fait et ça ne m’a pas tué, puis je l’ai enculé, ma bite était bien serrée dans son conduit, finalement ça m’a amusé et excité, je n’aurais pas cru.

 

– Surtout ne jouit pas, me prévint Nicole.

 

Je me suis retiré. Henri s’est couché sur le dos, et Nicole est venu s’empaler sur lui.

 

– Toi tu viens derrière et tu m’encules.

 

C’est la première fois que je participais à une « double-péné ». Ce fut la journée de grandes découvertes.

 

On a réussi à coordonner nos mouvements, et on a jouit comme ça, madame prenant son pied plusieurs fois en criant comme une damnée.

 

Ensuite Henri a voulu me nettoyer ma bite pleine de sperme avec sa langue, je me suis laisse faire mais ne lui ai pas rendu la pareille. Je l’ai un peu regretté ensuite…

 

– Je vais faire pipi ! Annonce Nicole, je vais pisser sur Henri, il aime bien, tu voudrais aussi ?

 

J’aurais préféré que ça se passe avant, puisque là mon excitation est quelque peu retombée, mais je ne saurais refuser ce genre de choses. On s’est donc mis par terre allongés sur le dos, Henri et moi, et Nicole nous a bien aspergé et nous avons bu quelques gorgés de son délicieux pipi.

 

On se douche, nos apéros ne sont plus frais. Nicole téléphone à la réception sans que je fasse attention à ce qu’elle dit.

 

La fille d’étage arrive avec des glaçons, puis sans aucun préalable entreprend de se déshabiller complétement, c’est une très jolie lady-boy avec un peu de poitrine et belle bite un peu sombre.

 

– Voilà, on se reverra plus, on part demain, me dit Nicole, mais comme tu as été sympa, on te fait un cadeau d’adieu. Nous on regarde.

 

Alors comme dans un rêve j’ai sucé la bonne bite de la lady-boy qui après m’a superbement enculé.

 

Fin du récit d’Octave

 

– C’est bien ce qui me semblait, t’es mon petit suceur de bites !

– Si tu veux !

– Et mon petit enculé !

– Pendant qu’on y est…

– Dommage que je n’ai pas mon gode sur moi…

– J’ai fait un saut à Paris ce matin, j’en ai acheté un, je vais aller le chercher.

 

Vanessa découvre le sex-toy

 

– Hum, pas mal, dommage qu’on ne puisse pas l’attacher ! Tu l’as essayé ?

– Non !

– C’est donc moi qui vais l’inaugurer ! Mais dis-moi, pourquoi t’as acheté un gode, tu n’aimes pas le mien ?

– Ben comme ça, si on improvise…

– J’avais compris, petit cochon…

 

Puis la conversation redevint sérieuse :

 

– C’est dommage qu’on ne puisse pas en savoir davantage sur cette histoire de message secret ! On l’aurait enfoncé encore plus ! Tu ne peux pas t’arranger ?

– Comment ça ?

– Je sais pas, moi ? Essaie de lui faire raconter toute l’histoire avec tous les détails, il y a peut-être des trucs qu’il ne t’a pas dit !

– Hum !

– Et si tu pouvais approcher cette masseuse…

– Je veux bien essayer.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:32

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 10 – Le jardinier par Maud-Anne Amaro

 

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Savourey sortit d’humeur partagée : Pour lui, ne voyant vraiment pas pour quelle raison il serait victime de plaisantins et puisque le document n’est rédigé en aucune langue connue ni en clair, ni en code, il était évident qu’il s’agissait par conséquent d’un message des extraterrestres. Ce point étant pour lui acquit, il se demanda qui maintenant serait capable de lui traduire ?

L’enthousiasme de Savourey retomba assez vite. Il se retrouvait passif devant cette situation et ne pouvait l’admettre.

 

« C’est quoi ces aliens qui nous parlent dans une langue qu’on ne pouvait pas traduire ? »

 

Mais il avait sa réponse ;

 

« Ils nous croient plus intelligents que ce que nous sommes ! »

 

C’est ce qui s’appelle une situation coincée.

 

En désespoir de cause Savourey alla s’acheter un tableau blanc mural Velléda qu’il accrocha sur le mur de son salon.

 

Il y reproduisit alors les deux dessins que comportait le « message ». Il marqua ensuite le mot « Terre » en majuscules là où elle était censée figurer, et orna d’un point d’interrogation, la supposée planète des « visiteurs ».

 

« On verra bien ! »

 

Voilà qui donna une idée à Florelle afin de faire avancer le schmilblick ! Mais il lui faudrait une complicité !

 

« La femme de ménage ? Je ne la sens pas ! Alors William ? Bien sûr William ! »

 

Florelle avait conservé sur elle une copie du message, elle y choisit deux mots, ni trop longs ni trop court, les recopia sur un papier et s’en alla à la rencontre de William.

 

William est un antillais d’une cinquantaine d’année, il vient une fois par semaine s’occuper des rosiers et de la pelouse. Mais Savourey l’emploie également pour effectuer des petits bricolages, dans une grande maison comme celle-ci, il y a toujours quelque chose à réparer.

 

William est surpris de voir Florelle s’avancer vers lui, d’habitude c’est juste « Bonjour, bonsoir ». Evidemment il n’est pas né de la dernière pluie et se doute bien de ce qu’elle fabrique avec Savourey.

 

« Une pute de luxe, mais qu’est-ce qu’elle est belle ? »

 

– Hello !

– Bonjour !

– J’ai un petit service à vous demander, c’est facile, rapide et je vous donnerais la pièce, mais j’ai pas le temps vous expliquer maintenant. On peut se voir où ?

– Si c’est un truc louche, je ne marche pas !

– Mais non !

– A 16 heures devant la gare du centre ?

 

A l’heure dite, Florelle l’emmena au bistrot.

 

– Vous revenez quand chez Savourey ?

– Demain, je passerai en vitesse, j’ai un tiroir à réparer, faut que j’achète de la colle…

– Super ! On pourra faire ça demain, Alors voilà, monsieur Savourey a posé un grand tableau blanc dans son salon…

– J’ai vu, il est de travers, il aurait pu me demander…

– Bon, il a fait des dessins dessus, j’aimerais juste lui faire une blague !

– Hum

– Voilà deux mots, rassurez-vous ça ne veut rien dire, vous remplacez le mot Terre par le premier mot et le point d’interrogation par le second mot. Faudra juste acheter un feutre Velléda, je vous donnerais les sous !

– Hum !

– C’est tout ! C’est pas bien compliqué !

– Hum !

– C’est d’accord ?

– C’est louche ! Répondit-il

 

« Fais chier ce mec ! »

 

– C’est pas louche, c’est une blague ! Vous pourriez faire ça quand il fera sa sieste ! 50 euros ça ira ?

– Non !

– Vous voudriez combien ? Ne soyez pas trop exigent, ça ne va vous prendre que trois minutes.

– Laissez tomber !

 

« Quelle andouille ! Je vais être obligé de demander à la femme de ménage ! »

 

– Bon tant pis ! Je vous laisse !

– Attendez !

– Oui ?

– Contre un petit câlin, c’est possible ?

 

« Ben voyons ! »

 

– C’est juste une petite blague : C’est cher payé je trouve.

– Vous étiez prête à lâcher 50 euros même plus ! Alors ?

– Bon, ça marche, on fait ça où ?

– Dans ma voiture !

 

« Quel romantisme ! »

 

– J’en ai une grosse ! Lui dit William, elle devrait vous plaire !

– Ah, ben chic alors ! Répond-elle bien hypocritement.

 

« Faut toujours que les mecs placent leur fierté à l’intérieur de leur braguette ! »

 

William est dans la voiture à la place du chauffeur, il ouvre son pantalon, sort sa queue et la branlotte un peu afin de la raidir comme il se doit.

 

– Non pas comme ça, baisse ton pantalon.

– Tu serais pas un peu vicieuse, toi ?

– C’est toujours les femmes qui sont vicieuses ! Ecoute si tu restes comme ça, tu risques de te retrouver avec une tache de sperme, c’est pas cool.

– Ah ? T’as raison ! et puis comme ça tu verras mes couilles.

– Ben, oui, ça aurait été dommage de s’en priver !

– Euh, je peux voir tes seins ?

– C’était pas dans le deal !

– On avait dit un câlin, on a précisé le contenu !

– Bon d’accord, je te montre mes seins, mais tu n’y touches pas ou alors juste un bisou et après je te fais une pipe, ça te va comme programme ?

– Oui, M’dame !

 

Florelle relève donc son haut et fait sauter les bonnets de son soutien-gorge :

 

– Ça va, ils te plaisent ?

– Whaou, les nichons d’enfer !

– Embrasse-les juste un peu, mais pas sur les bouts ?

– Pourquoi pas sur les bouts ?

– Pose pas de question, pose tes lèvres, tu verras comme ils sont doux.

 

Il le fait, et Florelle le laisse faire une minute ou deux avant de reprendre l’initiative.

 

Elle gobe la bite toute raide de William. Trente secondes après, il lui jutait dans la bouche sans qu’elle ait eu le temps de se retirer.

 

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« Un éjaculateur précoce ! Très précoce, même ! »

 

Elle cherche un kleenex pour recracher tout ça !

 

– T’avales pas ?

– Ben non !

– Je suis parti un peu vite !

– C’est ça quand on est excité ! Ça t’a plu ?

– Oui, m’dame ! On pourra recommencer !

– Sait-on jamais ? Si l’occasion se présente !

 

Ce jour-là, Florelle ne venait pas, et la femme de ménage était déjà partie, Savourey avait déjeuné dans la cuisine d’une assiette de raviolis et d’un bout de fromage accompagnés d’un verre de bon vin.

 

Il traversa le salon, jeta un coup d’œil au tableau Velléda.

 

« Je suis un peu con ! Comme s’ils allaient me répondre ! »

 

Puis il se dirigea vers la bibliothèque et fut interrompu par la sonnette de la grille. Il ouvrit donc à William.

 

– Ah, oui le tiroir, je vous laisse travailler, si vous avez besoin de moi, je serai à côté.

 

Le tiroir avait juste besoin d’un point de colle, aussi William ne se pressa-t-il pas. Vingt minutes plus tard il jeta un coup d’œil dans la bibliothèque au milieu de laquelle Savourey ronflait comme un bienheureux dans son fauteuil favori.

 

Alors il fit ce que Florelle lui avait demandé et repartit sans faire de bruit.

 

« J’espère que cette pute ne m’a pas fait faire une connerie ! »

 

Quand Savourey se réveille il trouve un mot sur le guéridon l’informant que le tiroir était réparé !

 

« Encore heureux ! »

 

Il se leva et pénétra dans le salon :

 

« Je rêve ou quoi ? »

 

Quelqu’un avait écrit sur le tableau.

 

« Ce con de jardinier ! Mais il est complétement frappé ! Je m’en vais te l’engueuler, celui-là ! »

 

Et puis :

 

« Mais ces caractères, comment il aurait fait pour les recopier ? J’avais pourtant replacé l’original dans le coffre ! »

 

Il alla vérifier, tout paraissait normal. Quant à la copie elle était bien à l’abri dans son secrétaire fermé à clés

 

« Mais c’est impossible ! »

 

Il reprit la copie du document et constata que les deux mots ajoutés sur le tableau n’étaient pas de nouveaux termes, car ils existaient déjà tous les deux dans la copie du message.

 

« La fenêtre était fermée, c’est quoi ce délire ? »

 

Puis

 

« J’ai compris, il se sont servi du jardinier comme vecteur, il a écrit au tableau sans s’en rendre compte.

 

Restait à savoir si William avait été possédé de façon permanente par les extraterrestres, à la façon du film de Don Siegel, « l’invasion des profanateurs » en 1956, ou s’il ne s’agissait que d’une possession provisoire.

 

« Comment savoir ? »

 

Un échange téléphonique lui paraissant insuffisant, il alla chercher un marteau et descella l’un des supports de la tringle à rideau de sa chambre.

 

William qui n’habitait pas très loin accepta de repasser en fin d’après-midi avec de quoi resceller la chose.

 

Savourey revint vers le tableau. Il n’effaça rien et dessina une maison, une fleur et un carré, il indiqua sous chaque dessin les mots français correspondants, puis il prit une photo de tout ça !

 

« J’ai été vraiment con de ne pas prendre une photo avant qu’on vienne réécrire dessus »

 

– Comment ça a pu se desceller ? C’est incompréhensible ! S’étonna le jardinier !

– Il doit y avoir des fantômes ! Plaisanta Savourey.

– Comme vous dites !

– Remarquez, je vais finir par y croire, figurez-vous que j’avais écrit des choses sur mon tableau et quand je me suis réveillé de ma sieste, ce n’était plus la même chose.

– C’est bizarre, ça ! Répondit William, tout d’un coup très mal à l’aise.

– Ou alors c’est moi qui perds la tête ! Vous n’avez rien remarqué de bizarre tout à l’heure quand vous avez réparé le tiroir.

– Non ! Rien du tout !

 

« Je le sens troublé, j’espère que je ne me fais pas des idées. »

 

Mais Savourey n’insista pas, le véritable test interviendrait plus tard.

 

– Je vais travailler dans la bibliothèque, vous me direz quand ce sera terminé.

 

Une fois le jardinier parti, Savourey se précipita dans le salon, le tableau n’avait subi aucune modification !

 

« il s’agit donc d’une possession temporaire ! Je ne suis pas plus avancé, le comportement de ces extraterrestres me déroute complètement ! »

 

Le lendemain

 

Florelle fut amusée de voir les nouveaux petits dessins en bas du tableau,

 

« Bon, on va arrêter les conneries, faudrait pas qu’il découvre la supercherie ».

 

Savourey lui raconte l’histoire, à sa façon.

 

– Il n’y avait que le jardinier, il n’a pas pu inventer tout seul ces chaînes de caractères ! Et comme il n’a vu entrer personne, la conclusion s’impose d’elle-même, il a été possédé temporairement par les extraterrestres !

– Eh ben quelle histoire !

– Comme tu dis ! Maintenant j’attends la suite !

– Quelle suite ?

– Ben, ils vont me répondre, ils vont remplacer les mots que j’ai écrit par leurs mots à eux ! On va avoir le début d’un dictionnaire.

 

« Sauf que la suite, il n’y en aura jamais ! Pour l’instant j’ai réveillé son enthousiasme, mais faudrait pas que ça tourne au délire ! »

 

– On va au restau ?

– Et mon régime ?

– Juste une belle assiette de fruits de mer ?

– Allons-y !

 

Une qui ne comprenait rien, c’était Vanessa qui rapporta tout ça à Octave de façon très embrouillée.

 

– Regarde, j’ai pris une photo de son tableau. Il pète les plombs, il m’a dit carrément qu’il essayait d’établir un dictionnaire pour communiquer avec les extraterrestres !

– Mais c’est quoi ces caractères en charabia ?

– Ce sont des mots qui sont aussi dans une espèce de message qu’il a enfermé dans son coffre.

– Un message ?

– Oui, celui qu’il a trouvé par terre.

– Excuse-moi, je n’y comprends rien, si tu me racontais ça dans l’ordre !

– Bon attends, il ne m’a pas raconté ça dans l’ordre non plus. D’après ce que j’ai compris, il y a eu un gros bruit et il s’est retrouvé avec plein de saloperies par terre et au milieu des saloperies, il y avait un message.

– Il te l’a montré, le message ?

– Oui ! C’est un texte dans une langue inconnue, il l’a montré à un linguiste qui s’est déclaré incompétent.

– Mais attends, c’est un gag ! Bon les saloperies dont tu me parles, c’était quoi ?

– Il m’a pas dit !

– C’est arrivé par la fenêtre ?

– Oui !

– Donc ça été jeté par quelqu’un !

– C’est ce que je me suis dit, mais il parait qu’il a regardé dehors, il n’a rien vu de particulier, et puis on ne rentre pas chez lui comme ça !

– Ce ne serait pas lui-même qui aurait monté un scénario de mytho ?

– Il m’a dit qu’il y avait un témoin !

– Un témoin, ça peut se bluffer ! Tu sais qui c’est le témoin !

– Sa masseuse !

– Ah, il se fait faire des massages ?

– Et c’est arrivé pendant le massage ?

– Je suppose.

– Bizarre ! Et son tableau là-dedans ?

– Il a reproduit le dessin qu’il y avait sur le message.

– Parce qu’il y avait un dessin ?

– C’est celui qu’il a reproduit sur le tableau.

– Quelle salade !

– Bon ! De deux choses l’une : ou bien il se la joue tout seul ou alors quelqu’un s’est engouffré dans notre délire et en rajoute une couche ! Mais dans quel but ?

– Tu sais, je vais te dire un truc, Savourey a sans doute beaucoup de défauts mais je ne pense pas qu’il soit mythomane. Les mythos, j’en ai connu plusieurs, je sais les reconnaître.

– Admettons, de toute façon, ça n’a pas grande importance. Je suppose qu’il va bientôt publier tout ça !

– Il attend que les petits hommes verts lui répondent, après il va écrire un article sur Internet et publier ça sur sa feuille de choux.

– On va attendre que ça fasse le buzz et là j’interviendrais et je vais me le ridiculiser le Savourey, tiens ça me fait bander.

– Je peux vérifier !

– Pourquoi, tu me crois pas ?

– Si mais je vais vérifier quand même ! Lui répondit-elle en lui mettant la main au paquet.

– Coquine !

– Tu veux un câlin ?

– Ben…

– Je suppose que ça veut dire oui ?

– Ben…

– Mais je ne te force pas, hein ?

– Non, non on va faire.

– Tu sais ce qui me ferais plaisir ?

– Non mais tu vas me le dire

– J’aimerais que tu me racontes ce que tu as fait à Pataya.

– Maintenant

– Voui !

– Alors d’accord.

– Mais on va se mettre à poil ! Comme ça on pourra se caresse pendant que tu racontes.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:27

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 9 – Florelle ne chôme pas par Maud-Anne Amaro

 

 

stamp blackette

 

 

Vendredi 9 mars

– C’est parfait, exactement ce que je souhaitais, est-ce que je peux vous demander autre chose ? demande Florelle en venant récupérer sa mappemonde

– Si c’est dans mes cordes…

– J’ai un ami un peu à l’ouest, il croit dur comme fer aux extraterrestres, mais en ce moment il déprime, j’aimerais lui offrir un truc qui lui ferait croire que ça été fabriqué par des extraterrestres !

– Une farce alors ?

– Oui, mais faudrait que ce soit crédible.

– Vous devriez…

– On ne se tutoie plus ?

– Si, si ! J’ai eu l’occasion de lire pas mal sur le sujet, la littérature sur les ovnis est illustrée de tout un tas de documents, ce sont essentiellement des photos qui sont soit mal interprétées, soit truquées. Mais jamais personne n’a essayé de présenter un objet comme étant extraterrestre. Ça ne peut pas marcher ! Ah, si, il y a un mec en Espagne qui s’est amusé à ça, il s’est fait ridiculiser.

– Donc c’est pas possible ?

– Ben je ne vois pas…

– On pourrait peut-être essayer une photo…

– Tu sais maintenant avec le numérique, une photo ne prouve plus grand chose.

– Et une lettre, écrite en charabia avec des caractères à la con et un petit dessin.

– C’est puéril !

– Moi, je trouve l’idée intéressante.

– S’il garde le truc pour lui, pourquoi pas, mais s’il montre ça à un linguiste, il va se faire rire au nez.

– Ce qu’il faut c’est que ce soit intraduisible, pour lui il restera donc deux solutions : le canular ou la langue inconnu. Et comme en tant que canular, il jugera que c’est débile…

– Tu crois ?

– Oui ! Tu pourrais me faire ça ?

– Si tu veux, mais je te fais ça à titre privé, ce ne sera pas une prestation du professeur Martinov.

– On est bien d’accord. Et tu me prends combien pour ça ?

– Rien du tout, ça va m’amuser !

– Même pas un petit massage ou un petit câlin ?

– Si tu me le proposes si gentiment, je ne vais pas refuser. A ce propos une petite question : Tu masses aussi les femmes ?

– Je masse tout le monde, sauf les mammouths !

– Je parlais des massages érotiques.

– Ça m’est arrivé ! Parce que ?

– Ma collaboratrice serait intéressée, elle te trouve très jolie !

– Ben v’la aut’chose ! Elle est où ?

– A côté, elle travaille !

– On peut faire un truc à trois, gratuit pour toi, payant pour elle.

– Maintenant ?

– Moi, j’ai le temps, j’ai juste un patient à midi, un vrai, un médical, mais je peux le décaler.

– O. K ! Béatrice, viens une minute !

 

– Bonjour, nous nous sommes juste croisées, je suis Florelle Solima, masseuse kinésithérapeute diplômée d’état et… disons prostituée occasionnelle. Monsieur Martinov m’a dit que vous m’aviez trouvé jolie.

– Béatrice Clerc-Fontaine, diplômée de l’école de chimie, bisexuelle pratiquante, Vous prenez combien ?

– 150 la demi-heure !

 

Béatrice hésite. Non pas parce que Florelle ne lui plaît pas, mais parce qu’elle est en plein travail.

 

– Mais je ne regarde pas ma montre… Reprend Florelle. Viens donc m’embrasser, tu te décideras après.

 

C’est un piège bien sûr, Et Béatrice qui n’est point folle le sait bien, mais assume. Le baiser est profond, baveux et sensuel. Les mains de Florelle ne restent pas inactives et s’en vont peloter ce qu’elles peuvent.

 

Deux minutes plus tard, nos trois libertins étaient dans la chambre de Martinov.

 

– Tu veux vraiment le massage ou on le zappe ? Demande Florelle à Béatrice.

– Zappons-le !

 

Du coup tout ce petit monde se retrouve à poil.

 

– On fait comment ? Demande Martinov qui bande déjà comme un sapeur.

– On vient à côté de moi ! Répond Florelle. Toi à droite, toi à gauche.

 

Et de suite elle se met à peloter Béatrice qui lui rend la pareille.

 

– T’as la peau si douce, c’est pas croyable ! S’exclame Béatrice.

– Et tu peux y aller, c’est doux partout !

 

Et pendant que ces dames se tripotent, Martinov caresse ce qu’il peut, une cuisse, un bras…

 

Et quand Florelle se lève pour s’occuper de Béa en face à face, il accède à son joli postérieur qu’il flatte comme il se doit

 

– Vas-y tripote-moi les fesses, j’adore ça ! L’encourage-t-elle. Tu peux me sucer le trou si tu veux !

 

Voilà une chose qu’il ne faut pas dire deux fois à notre coquin de professeur. La belle blackette se cambre et écarte légèrement les jambes afin qu’il puisse accéder plus facilement.

 

De ses mains il sépare les globes fessiers et tend sa langue en avant, la mettant en contact avec l’œillet fripon (et fripé), Il y rencontre un goût légèrement âcre bien caractéristique, mais qu’il ne déteste pas, un goût de trou du cul, quoi !

 

– Alors tu te régales ?

– Humpf !

– T’y foutrais bien ta bite, hein ?

– Avec ta permission.

– Permission accordée, puisque c’est demandé gentiment

– Maintenant ? S’étonne le professeur qui ne voyait pas ce genre de chose arriver si tôt.

– Ben, oui, pourquoi pas ! J’adore qu’on m’encule quand c’est bien fait… et avec moi c’est toujours bien fait.

– Euh…

– La dernière fois on l’a pas fait parce qu’on ne se connaissait pas, mais aujourd’hui je me sens en confiance.

– Ah !

– Alors on va faire comme l’autre jour, tu t’allonges et moi je m’empale, la seule différence c’est que ce ne sera pas le même trou ! Des questions ?

Martinov19i1

Martinov, quoique quelque peu étonné que soit Florelle qui dirige les débats alors que c’est lui (et Béatrice) qui paie, obtempère néanmoins et se place dans la position demandée.

 

– Viens Béatrice, on va le sucer à deux pour qu’il ait la bite bien raide.

 

Béatrice est aussi un petit peu déboussolé, elle n’a rien contre le fait de sucer la bite de Martinov, mais le souci c’est qu’elle la connaît par cœur et qu’elle préférerait en ce moment lécher le minou de la belle blackette, mais elle se dit que la demi-heure n’étant pas finie d’autres fantaisies ne manqueront pas de venir agrémenter cette petite séance.

 

Elles sucent donc à deux. A un moment les deux langues qui lèchent la verge en face à face se mélangent et les filles s’échangent un doux baiser avant de reprendre. Et tandis que Florelle entame une série de va-et-vient classiques, Béatrice s’amuse à gober les couilles de notre vert professeur.

 

Bien sûr le traitement infligé à la bite de Martinov eut tôt fait de produire le résultat escompté. Florelle encapote la chose et se met faire du « à dada » en cadence. Béatrice a choisi de s’asseoir sur le visage du professeur qui peut ainsi lui lécher les trous. Les deux femmes ne sont donc pas loin l’une de l’autre et se rapprochent d’instinct, se pelotent et s’embrasent. Que voilà un joli triangle qui n’a rien d’isocèle dirait un voyeur qui passerait par-là !

 

Et voilà que soudain, Mademoiselle Florelle prend son pied en poussant des gémissements peu discrets. En sueur, elle se dégage ensuite de l’étreinte de ses partenaires.

 

– Whaouh, ça m’a fait du bien, j’en avais besoin ! Maintenant je vais m’occuper entièrement de vous. Faites-moi ce que vous voulez, dans les limites du raisonnable, bien sûr !

 

Dans ce genre de choses, il n’y a pas (en principe) de metteur en scène, ce sont les acteurs qui improvisent, et sans trop savoir comment Béatrice se retrouve en position de soixante-neuf avec la belle blackette, ces dames se lèchent le minou de façon frénétique. Du coup Martinov en est réduit à faire banquette.

 

Il a alors l’idée de fouiller dans son tiroir de chevet afin d’y récupérer son gode. Les joujoux c’est fait pour servir, non ? Le temps de s’en emparer, et c’est pour voir Béatrice jouir comme une damnée sous la langue de Florelle.

 

– Oh ! Un gode ! S’exclame Florelle jouant les étonnées. C’est pour qui ?

– A mon avis, c’est pour Martinov ! Répond Béatrice.

– C’est vrai, ça ? Tu aimes te faire enculer, mon biquet ?

– Ben oui !

– Mais t’es un petit cochon !

– Et j’ai même pas honte !

– T’as bien raison ! Et dis-moi, tu as juste fait ça avec des godes ou t’as été plus loin ?

– T’es bien curieuse !

– T’es pas obligé de me répondre.

– Ben oui, ça m’est arrivé !

– Tu t’es fait enculer par des bonnes bites que tu as bien sucées avant, c’est ça ?

– Eh oui !

– Et ben mon cochon ! Ce doit être excitant de regarder ça ! T’en penses quoi Béatrice ?

– Moi j’aime bien le regarder quand il fait ça.

– Il suce bien ?

– Il paraît, oui !

– Mais où est-ce que je suis tombée ? S’exclame Florelle sur le ton de la plaisanterie. Sur un couple de pervers grave ! Bon c’est pas tout ça, il est où ce gode ?

 

Elle s’en empare, le recouvre d’un préservatif et l’enduit d’un peu de gel.

 

– Et toi Béatrice, tu aimerais que je t’encule avec ?

– Oui, bien sûr, mais priorité au professeur.

 

Ce dernier sans qu’on ne lui demande se met en levrette sur le canapé.

 

– Non, non, on va faire mieux que ça, allonge-toi sur le dos, et maintenant lève ta jambe gauche que je puisse t’enfoncer ce machin dans ton trou de balle. Attention ! J’ai bon là ?

– Oui, vas-y !

– C’est rentré !

– Oui enfonce-le

 

Elle le lui pénètre jusqu’à la garde.

 

– Humpf !

– C’est bon ?

– Oh, oui !

– Il y a un petit vibrateur, j’espère qu’il fonctionne…

– Oh, oui !

 

Et pendant que de sa main droite elle fait aller et venir le gode dans le trou intime du professeur, son autre main s’en va un peu plus haut afin de lui tortiller les tétons.

 

Après plusieurs minutes de ce traitement, Florelle retire brutalement le gode faisant pousser au professeur un soupir d’extase. Mais alors qu’il croyait l’épisode terminé, elle le renfonce aussi sec. Et ceci plusieurs fois de suite. Il n’en peut plus Martinov et commence à se masturber.

 

– Laisse ta bite tranquille, je te sucerai pour finir, mais maintenant Mademoiselle Béatrice, si vous voulez bien prendre place à votre tour afin que je puisse vous enculer comme il se doit ! Déclame-t-elle à la manière de Molière.

 

Même tarif, même punition ! Le gode va et vient tandis que les jolis tétons de Béatrice sont maltraités par la très « vilaine » Florelle… sauf qu’au bout de trois minutes de ce traitement, la Béa s’en va taquiner les étoiles.

 

Le temps a passé, il est même dépassé, mais en bonne « commerçante », Florelle fait comme si elle ne s’en était pas rendu compte.

 

– Je vais te finir, Martinov ! Tu sais j’ai envie de faire pipi, je te pisserais bien sur la bite ! Ça te dit ?

– Tu peux même me pisser dans la bouche ! Répond le professeur.

– J’en veux bien aussi ! Intervient Béatrice.

– C’est bien ce que je disais, je suis tombée sur deux gros cochons !

– Je ne suis pas grosse ! Proteste Béatrice.

– Bon allez venez mes chéris, on ne va pas faire ça ici.

 

La salle de bain du professeur contient une baignoire, en se tassant un peu il est possible d’y entrer à trois, mais seuls Martinov et Béatrice viennent s’accroupir au fond. Florelle, elle, se met en équilibre sur les bords et ouvre les vannes. Ça dégringole en cascade sur les corps du professeur et de son assistance, on en avale un peu, on rigole…

 

– Humm ! Qu’elle est bonne ta pisse ! Commente la jeune chimiste.

– Forcément, j’ai bu du thé au jasmin avant de venir, ça donne un goût divin à l’urine. Il doit en rester quelques gouttes sur ma chatte, léchez mes chéris, léchez mon bon pipi.

 

Après ces fantaisies dorées, Béatrice ouvre le robinet et s’empare de la douchette pour se rincer un peu, puis sort de la baignoire pour se sécher. Martinov s’apprête à en faire autant, mais Florelle vient entre ses cuisses et commence à lui gober la bite, tandis que sa main lui masse les testicules.

 

– Humm, qu’est qu’elle est bonne la bite de vieux cochon ? S’exclame-t-elle entre deux mouvements de succion.

 

Le professeur sent son plaisir monter, Mutine, Béatrice lui pince les tétons pour accroitre son état d’excitation.

 

– Je viens ! Avertit-il en tentant de se retirer.

 

Mais Florelle l’en empêche et recueille tout son foutre dans sa jolie bouche. Puis alors qu’elle n’a rien avalé, elle fait signe à Béatrice de lui rouler une pelle, celle-ci ne se dérobe pas et bientôt le sperme du professeur dégouline de la commissure des lèvres de deux belles coquines

 

Le professeur se met en quête d’un court texte ésotérique sur Internet, ce n’est pas cela qui manque, il le fait traduire en albanais par un logiciel en ligne, puis l’imprime, transforme des mots pour rendre le texte encore davantage abscons, puis invente un alphabet plus ou moins inspiré du runique. Il remplace ensuite les lettres par celles qu’il vient de créer, puis rajoute d’autres caractères à droite et à gauche, supprime toutes les doubles lettres, il scanne tout ça, puis inverse le document pour remplacer l’écriture de gauche à droite par du « droite à gauche » puis réécrit tout ça à la main, il termine son texte par le dessin de deux systèmes solaires dont le nôtre, la terre en étant encadrée et ajoute quatre mots de pur charabia.

 

Il est content de lui, Martinov, il a toujours conservé un petit côté gamin !

 

Samedi 10 mars

 

Muni du papier de Martinov, Florelle attend le moment propice. Après quelques échanges de banalités convenues, Savourey s’en va en cuisine faire du chocolat (il adore offrir du chocolat chaud)

 

Florelle déclenche alors un vacarme enregistré avec son smartphone, c’est assez impressionnant : une explosion sourde suivie d’un bruit d’éboulement. Précipitamment elle éparpille sur le tapis du salon plusieurs poignées de graviers, fait tomber le joli vase de cristal qui trônait au milieu de la table, lequel se brise au sol, puis y jette le papier préparé par le professeur Martinov, puis s’assoit par terre en criant.

 

Savourey accoure à toute jambes, il ne comprend rien (et pour cause !) :

 

– Qu’est-ce qui s’est passé ? Florelle tu es blessée ?

– Non, mais qu’est-ce que j’ai eu peur, j’ai rien compris, j’ai ouvert la fenêtre, je voulais fumer une cigarette, il y a eu comme un souffle, je me suis retrouvée par terre ! Explique-t-elle en se relevant !

– Sûr, tu n’as rien ?

– Non, plus de peur que de mal ! Donne-moi un truc à boire, ça me fera du bien !

– Le chocolat doit être prêt… je reviens.

– Non un truc fort !

– Un whisky, alors ! Mais c’est quoi toute cette merde ? Comment ça a pu rentrer ici ? Je te sers ton whisky et après je passerais l’aspirateur.

 

« Et le papier, il ne le voit pas ? »

 

– Y’a un papier !

– Oui, j’ai vu, je vais nettoyer tout ça, c’est bizarre quand même

 

« Alors tu le regardes ou pas le papelard ? »

 

Savourey s’en va fermer la fenêtre, il s’assure que tout est normal à l’extérieur. Ben oui, apparemment rien de bizarre ce qui en soi constitue tout de même une bizarrerie.

 

– Il n’y a rien ! Si ça avait été balancé vers la fenêtre par un rôdeur, on verrait des traces, le sol est tout détrempé. Et de toute façon, je ne vois pas bien comment quelqu’un pourrait entrer.

– Je me suis fait mal aux fesses, j’espère que je ne vais pas me taper un bleu.

– Les noires, elles ont des bleues aussi ?

– Ben évidemment !

 

« Qu’est-ce qu’il peut être con, par moment ! »

 

– Montre-moi, je vais te dire !

 

« Bon, il va se décider à le ramasser, le papelard ? »

 

Florelle baisse son pantalon et montre ses fesses à Savourey.

 

– Whah, ce cul ! C’est vraiment une merveille, tu me fais bander, tiens !

– J’ai un bleu ou pas ?

– Je n’en vois pas ! On va dans la chambre ?

– Je vais t’aider à faire le ménage et après je te gâte !

– Le ménage on le fera après !

 

« C’est dingue, ça ! Ce qui vient de se passer, ça ne l’intrigue pas plus que ça ? »

 

En fait si ça l’intrigue un peu, il pense à un objet tombé d’un avion de tourisme ou d’un hélicoptère et qui aurait ricoché sur le gravier de l’allée. Il se dit qu’il sortira tout à l’heure pour voir ça de plus près.

 

– Et ce papelard, c’est quoi ?

 

« Enfin ! » soupire Florelle.

 

– C’est quoi, ça ? C’est pas à moi ? Dit-il en le ramassant. C’est à toi ?

– Non, c’est quoi ?

– Putain, tu as vu le dessin ?

 

Florelle mime l’incompréhension.

 

– Ça c’est notre système solaire, tu vois, la Terre c’est la troisième planète, et ça ben c’est un autre système avec la deuxième planète encadrée. Tu sais ce que ça veut dire, Florelle ?

– Ben non ! Pas du tout !

– Les extraterrestres ! Ils m’ont recontacté, la vie est belle ! Oh que je suis heureux ! Viens m’embrasser ma poulette !

 

Il l’enlace, l’embrasse, et l’entraîne dans la chambre, sans lâcher le papier.

 

– Attends, je vais prendre une petite précaution.

 

Savourey fait alors une photocopie du document, puis enferme l’original dans son coffre.

 

« De cette façon, il ne s’envolera pas ! »

 

– Maintenant, à nous ! S’exclame l’homme en retirant prestement son pantalon et en exhibant une bite presque raide. Une bite plus grosse et plus longue que la moyenne et dont il n’est pas peu fier !

– Quelle forme !

– Déshabille toi, Flo, je suis en rut !

– Je vois bien !

– Euh, une question Flo, t’as confiance en moi, maintenant ?

– Oui, pourquoi ?

– Parce que je voudrais t’attacher, je veux dire t’attacher pour de vrai !

– Non ! Tu me le demandes à chaque fois, je t’ai dit que ce n’était pas négociable !

– Donc tu n’as pas confiance !

– Ce n’est pas une question de confiance, nul n’est à l’abri d’un coup de folie, c’est une règle de sécurité, c’est tout !

– T’es chiante ! J’ai connu des filles qui se laissaient attacher, ça s’est toujours bien passé !

– Tant mieux pour elles ! On fait quoi on discute technique ou on s’amuse ?

– A quatre pattes, chienne !

 

C’est le signal du début de séance. Florelle se met dans la position demandée, Savourey la laisse ainsi pendant qu’il s’en va chercher un collier de chien muni d’une laisse qu’il lui fixe autour du coup, puis il la fait avancer doucement dans les grandes pièces de sa résidence, en la cravachant régulièrement.

 

Florelle se prête au jeu sans broncher en relevant bien son croupion.

 

« Quand même, quel cul, elle se paie ! »

 

Parfois Savourey la cingle trop fort, elle fait alors un simple geste de la main qui doit signifier « basta » ou quelque chose d’équivalent. L’homme sait alors qu’il doit taper moins fort, ça fait partie du jeu, il aimerait bien taper plus vigoureusement, et que sa soumise encaisse mieux les coups…. Mais bon…

 

Savourey ouvre la porte de son sous-sol dans lequel il a aménagé dans un coin, un mini donjon. Florelle se remet debout pour descendre les marches mais elle est toujours tenue en laisse et « stimulée » par la cravache.

 

En bas, elle se remet à quatre pattes et se dirige vers le mur sur lequel Savourey a fixé des bracelets de cuir. Florelle entre elle-même ses mains dans les bracelets, ils ne sont donc pas serrés à fond et elle peut ainsi se dégager rapidement si besoin est.

 

Martinov19i2Prenant de la corde à bondage, Savourey serre les seins de la belle blackette jusqu’à ce qu’ils deviennent tout durs, puis il lui tord violemment le bout des seins. Florelle crie mais supporte, il lui accroche ensuite des pinces sur ses tétons qui sont réunis par une chaine, joue un peu avec, faisant grimacer sa victime consentante, puis il y ajoute des poids.

 

 

L’homme se recule, et contemple le tableau, il bande comme un cerf. Il reprend la cravache et donne des petits coups secs tantôt sur les seins, tantôt sur les cuisses et le ventre.

 

Il prend ensuite deux autres pinces qu’il accroche après les lèvres vaginales puis reprend ses petits coups de cravaches jusqu’à ce que je jeu semble ne plus l’amuser.

 

Il lui retire alors les pinces, les chairs meurtris libérés de leurs étaux métalliques souffrent d’être libérées, et Florelle déteste ce moment. Il dénoue aussi la corde qui entourait les seins.

 

Elle devine son supplice presque terminé. Presque parce qu’elle sait que Savourey aime bien terminer la domination sur une note fantaisiste, enfin fantaisiste c’est une façon de parler, c’est parfois des glaçons, une autre fois cela a été des orties, mais elle lui a fermement demandé de ne plus recommencer et aujourd’hui ce sera la bougie !

 

Savourey a allumé un cierge, un gros cierge, un cierge de compétition, et s’amuse à faire couler la cire sur les tétons de Florelle qui la reçoit en faisant des vilaines grimaces, en fait elle exagère, il sait qu’il aime la voir souffrir (enfin juste un peu) alors autant faire un peu de cinéma même si la bougie n’est pas si douloureuse que ça !

 

N’empêche que la cire liquide coule sur les tétons de la jolie blackette et se solidifie rapidement en une intrigante coute blanchâtre.

 

Quand le jeu cesse de l’amuser, il retire sans ménagement la croute de cire, laissant les tétons rougis par ces « vilains » traitements.

 

– Maintenant suce !

 

C’est la fin de la séance, Florelle a du mal à mettre la grosse bite de Savourey dans sa bouche, et elle lèche au lieu de sucer, mais l’homme n’en a cure, il adore cette langue qui lui titille le gland. Quand elle sent l’homme prêt à jouir elle se dégage un petit peu et reçoit toutes sa semence sur les seins.

 

Est-ce la fin ? Non ! Savourey aime parfois jouer une prolongation.

 

– Ne bouge pas !

 

Il étale une bâche qui restait dans un coin, puis pisse d’abondance sur sa soumise qui prend le jeu avec amusement et qui en absorbe même un petit peu, elle sait que l’urine est stérile, et celle de son tourmenteur n’a pas mauvais goût

 

– Je te paye le restau ? Lui demande l’homme.

– Volontiers ! Mais je prends une petite douche avant !

– Vas-y ! J’ai envie de te gâter, t’as envie de quelque chose ?

– J’ai vu une paire de bottines, mais elles ne sont pas données…

 

« Le plan a fonctionné au poil, pourvu que ça dure ! »

 

Jean-Claude Savourey a dégoté un linguiste de renom sur Internet et a pris rendez-vous pour le lendemain.

 

– Le professeur Oppelmayer va vous recevoir dans cinq minutes lui annonce une grande bringue à lunettes.

 

Oppelmayer est un quinquagénaire aux cheveux très bruns plaqués sur le crâne, doté d’une impossible moustache gominée et chaussé de lorgnons vintage.

 

« Encore un original ! »

 

– Jean-Jacques Savourey, se présente-il, ancien fondé de pouvoir chez Boulard-Frangier. J’ai d’abord été embauché en tant qu’ingénieur en génie civil avant de gravir les échelons. Je suis aussi l’auteur…

– Oui, bon ! Coupa le linguiste qui ‘en avait rien à cirer. Venons-en au fait, montrez-moi ce fameux texte.

 

« Pas très sociable ce type ! »

 

– Voilà !

– C’est l’original ?

– Oui !

– Ce n’est pas ancien !

– Je n’ai jamais dit le contraire !

– Voyons voir, ça ressemble à du runique, mais ce n’est pas du runique, ça m’a tout l’air d’une écriture inventée.

– Inventée ?

– Oui ! C’est une composition alphabétique, toutes les écritures ne dont pas alphabétiques, certaines sont idéographiques, d’autres phonétiques, l’alphabet est une invention moyen-orientale, mais le premier digne de ce nom ce sont les sont les phéniciens… Enfin bref j’ai la prétention de connaître tous les alphabets existants et passés, certains sont rares… Des peuples anciens… Mais votre truc ne ressemble à rien que je connaisse.

– Et vous en concluez quoi ?

– De deux choses l’une : où il s’agit d’un texte ancien, d’une peuplade dont nous n’aurions jusqu’ici pas eu connaissance, plus ou moins apparenté au runique, ou alors c’est tout simplement l’œuvre d’un plaisantin.

– Heu, la première hypothèse…

– Laissez-moi terminer, comme je ne vois vraiment pas comment du pseudo runique pourrait atterrir sur une feuille de papier A4, je vous laisse conclure vous-même !

– Et ces dessins en dessous, vous en pensez quoi ?

– Bof des conneries astrologiques, ce n’est pas mon domaine.

 

« C’est peut-être un linguiste réputé mais il est infoutu de reconnaître le système solaire ! »

 

– Bien, je voulais savoir si ce langage était connu, j’ai donc ma réponse.

– Des plaisantins, je vous dis, c’est un code ! Pff, vous parlez d’un code ! Ces gens-là croient encore qu’on fonctionne encore comme au temps des armées de Napoléon… Maintenant avec le numérique…

– Si c’est un code, ça peut se traduire ?

– Evidemment, je peux même vous le faire de suite, mais il y aura un petit supplément.

– Allez-y !

– Vous ne me demandez pas le prix ? Ce sera juste 100 euros de plus.

– 100 euros pour faire tourner un logiciel !

– Il y a du travail préliminaire, il faut que l’on scanne tout ça, qu’on isole tous les caractères, ma secrétaire peut vous le faire maintenant. Ça va prendre une bonne heure.

– Faites !

– Je vous fait patienter en salle d’attente ou alors vous revenez dans une heure ?

 

Savourey revint donc une heure plus tard :

 

– Ce n’est pas du français, je peux maintenant essayer avec toutes les langues connues, enfin celles qui utilise un alphabet.

– Et ça va encore prendre une heure ?

– Non parce que le travail préparatoire est déjà fait, disons : 10 minutes ! Vous patientez à côté.

– Il y aura un nouveau supplément ?

– Mais non !

 

Et le résultat tomba dix minutes plus tard :

 

– Ça n’appartient à aucune langue alphabétique. Soit c’est un codage complexe, et c’est hors de ma compétence, soit c’est du n’importe quoi volontaire. Je privilégie la seconde hypothèse bien évidemment !

 

Alors Savourey osa :

 

– Et si c’était des extraterrestres ?

 

Le linguiste s’aperçut avec stupeur que son interlocuteur ne plaisantait pas et préféra rester muet.

 

– Vous ne répondez pas ?

– Je vous ai fait part de mes conclusions, restons-en là Monsieur Savourey.

 

A suivre

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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:24

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 8 – Massage in black par Maud-Anne Amaro

 

Massage2

 

Jeudi 8 Février

 

A 10 heures tapantes, Jean-Jacques Savourey était dans les locaux du professeur Martinov. Après avoir été cherché le drone et l’avoir déposé sur la table du salon conformément aux instructions de Vanessa, Béatrice lui tendit le bref rapport qu’elle avait elle-même rédigé.

 

L’examen de l’objet, genre « drone » que nous a confié Monsieur Jean-Jacques Savourey, fait ressortir qu’il s’agit d’un engin artisanal non breveté et sans indication de propriété. L’analyse des composants montre à l’évidence qu’il s’agit de produits courants disponibles en magasin mais sur lesquels toutes indications ont été effacé. Le fonctionnement de l’appareil n’a pu être testé, n’ayant pas la télécommande à notre disposition, d’autre part un programme de vol est incorporé sur la carte mémoire mais est protégé par un mot de passe que nous n’avons pas cherché à craquer.

 

– Ce ne sont pas les conclusions que j’attendais ! Commenta l’homme.

– Je peux comprendre que vous soyez déçu, mais croyez bien que nous avons examiné l’objet avec toute la rigueur nécessaire. Rétorqua le professeur Martinov.

– Puisque vous semblez si sûr de vous, pourquoi n’affirmez-vous explicitement dans ce rapport que cet objet n’est pas extra-terrestre ? Auriez-vous des doutes ?

– S’il n’y a que ça pour vous faire plaisir, je peux ajouter une phrase expliquant qu’il n’y a aucun martien derrière ce drone !

– Cette plaisanterie est lamentable. Je suis très déçu, on m’avait pourtant recommandé votre officine.

– Nous ne sommes pas une officine, et je vous demanderais de bien vouloir mettre fin à cette discussion après nous avoir réglé votre facture. Répondit sèchement Martinov

– Parce que vous vous imaginez que je vais vous payer pour ce rapport fumeux ?

– Si vous ne payez pas, on vous enverra un huissier, vous êtes dans votre tort, Monsieur Savarin.

– Savourey, pas Savarin ! Et sachez que je n’ai pas l’habitude de rétribuer des escrocs.

– Vous allez trop loin, là ! Intervint Béatrice qui jusque-là était restée silencieuse.

– Toi la pétasse, je ne t’ai pas sonné.

 

Il ne vit pas arriver la gifle !

 

– Et maintenant tu payes ou tu dégages ! S’nerva la jeune chimiste.

 

Vexé comme un pou, Savourey se lève de son siège. Béatrice s’en va ouvrir la fenêtre, c’est le signal. Octave Heurtebise fait décoller l’appareil qui s’envole et qui après quelques circonvolutions rejoint le coffre de sa voiture garée un peu plus loin dans une rue adjacente.

 

– Mais c’est pas possible ! Eructe Savourey.

– Ben si avec les martiens tout est possible ! Raille Martinov.

– Vous êtes des escrocs, je me vengerais, je me vengerais.

 

Et il débarrasse le plancher… Sans payer.

 

– On porte plainte ou pas ? Demande Béa.

– Non, on n’en mourra pas, et de toute façon on l’avait surfacturé ! On va juste lui envoyer une sommation, pour le principe, mais je ne me fais aucune illusion.

– Quand même, quel con !

 

Dix minutes après que Savourey fut reparti, furieux comme un tigre, Vanessa et Octave Heurtebise sonnaient chez Martinov.

 

– Bonjour ! Est-ce que l’on peut entrer juste cinq minutes, nous voudrions juste vous remercier pour votre collaboration.

– Entrez ! Répondit Béa.

– Voilà ! Dit Vanessa, je vous présente Monsieur Heurtebise, c’est lui qui a conçu ce drone.

– Enchanté ! Répond Martinov qui en fait n’en a pas grand-chose à faire.

 

Ce dernier a horreur des mondanités mais parfois on ne peut pas faire autrement, il installe donc ces messieurs-dames dans le salon-bibliothèque, propose une boisson, puis s’en va préparer un café et un chocolat, tandis que Béatrice dévisage Octave. Un drôle de bonhomme au physique difficile comme on dit, mais dont l’âge a quelque peu gommé la laideur.

 

Un silence gêné s’installe jusqu’à ce que Martinov revienne avec les collations.

 

– Votre collaboration nous a été précieuse et nous voulions juste vous remercier, j’espère que ces modestes cadeaux vous satisferont.

 

Martinov se retrouve avec un ouvrage in folio consacré aux tableaux de Botticelli.

 

– Ah, c’est très bien, j’adore !

 

… et Béatrice avec une boite de chocolat provenant d’une grande maison parisienne.

 

– Humm ! Je vais me régaler !

 

« Et ma ligne ? »

 

– Il voulait savoir quoi, exactement, Savourey ?

– En fait, il aurait aimé qu’on lui dise que le drone était extraterrestre !

– Et vous lui avez dit quoi ?

– Je lui ai dit que ça n’avait rien d’extraterrestre ! Répondit Martinov en riant. Mais, je suis sans doute indiscret, mais c’est donc délibérément que ce drone s’est retrouvé chez Savourey.

– Oui, ce n’est pas très malin de ma part, mais disons que j’avais un vieux compte à régler avec cet individu. Je n’ai évidemment pas volontairement scratché le drone chez lui, mais, en fait ça tombe à pic, maintenant tout est en place pour la deuxième phase. Je vais le ridiculiser le Savourey !

 

Octave Heurtebise s’excitait tout seul en parlant, il ne souhaitait maintenant qu’une seule chose c’est qu’on lui demande la suite.

 

Mais tout cela n’intéressait que très modérément le professeur Martinov qui en ce moment n’avait d’yeux que pour la belle Vanessa, il avait déjà pris la décision de la rencontrer charnellement de nouveau. Il prendrait rendez-vous dès que possible et s’imaginait déjà gouter à la douceur de ses seins.

 

C’est donc, Béatrice, curiosité féminine oblige, qui relança Heurtebise :

 

– Et cette « deuxième phase », c’est secret ?

– Pas du tout ! Figurez-vous que Savourey écrit des bouquins sur les Ovnis, il y croit dur comme fer. Dans cet épisode que nous venons de vivre, il est persuadé d’avoir eu un contact avec les extraterrestres, il va incorporer ça au bouquin qu’il est en train d’écrire avec forces détails, quand ce sera publié, j’interviens, je remets toutes les pendules à l’heure et il ne s’en remettra pas !

– Vous paraissez bien renseigné sur ses activités.

– Forcement, intervient Vanessa !

– Pardon ?

– Je suis la nièce de Savourey ! Je vais chez lui toutes les semaines !

– Ah ! Eh bien ça alors ! Et je suppose que vous avez aussi un compte à régler avec lui ?

– T’as tout compris !

– Tiens vous vous tutoyez ? s’étonne Octave.

– Je tutoie très facilement.

 

Vendredi 9 février

 

– Ah, Vanessa ! Il faut que je te raconte ! L’ovni, c’était bien un Ovni ! Annonce Savourey à sa nièce

– Ah ?

– Le conard à qui je l’avais confié a voulu m’escroquer, mais je ne l’ai pas payé ! Tu sais ce qui s’est passé, au moment de partir de chez lui, on s’est un peu accroché, le drone est reparti, il lui a fait la nique : Comme ça le Martinov, il peut m’attaquer tant qu’il veut, il sera dans son tort.

 

« Il devient complétement malade, le pauvre vieux ! »

 

– Et tu vas faire quoi maintenant ?

– Je vais écrire tout ça, je ne sais pas si je vais incorporer ça dans le bouquin que je suis en train d’écrire ou si je vais publier ça dans « Ovnis News » ?

– Pourquoi pas les deux ?

– Oui, t’as peut-être raison ! Je suis persuadé que les extraterrestres vont me recontacter, mais il y a un problème de communication qui m’échappe, il faut que j’y réfléchisse. La différence culturelle est énorme…

– Et s’ils ne te recontactent pas ?

– C’est improbable, voyons !

 

Mais tout en disant cela Savourey fut pris d’un énorme doute.

 

Vendredi 2 mars

 

Trois semaines passèrent sans que Savourey reçoive la visite de nouveaux drones. Vanessa avait bien suggéré à Octave de le faire, afin de maintenir la pression, mais celui-ci rechignait à prendre le risque de le perdre à nouveau.

 

Du coup Savourey se perdait en conjectures.

 

« Voyons, ils essaient de me contacter mais la communication ne fonctionne pas, ça je crois savoir pourquoi : l’armée doit être sur le coup et le fenêtre de communication doit être très étroite. Ils sont probablement naufragés sur la Terre et ont besoin d’aide. Le drone a été conçu à partir de pièces détachées terrestres, forcement, ils ont fait avec ce qu’ils avaient sous la main, mais la technologie de ce truc n’est pas terrestre. C’est ce que ce con de Martinov a été incapable de le comprendre. Mais pourquoi ont-ils cessé les tentatives de contact ? Les militaires les auraient-ils piégés ? »

 

Puis ses réflexions prirent une tournure plus anxiogène :

 

« Et si ce n’étaient pas des extraterrestres ? Si un con de rationaliste essayait de me piéger pour me ridiculiser ? Mais dans ce cas pourquoi je ne reçois plus la visite de ces drones ? Ou alors le mec s’est dégonflé après que l’appareil se soit scratché ? »

 

Bref Savourey se posait mille questions et en perdait l’appétit et le sommeil. Et cette situation eut une conséquence collatérale dont il convient maintenant de parler.

 

Jean-Claude Savourey souffre depuis un certain temps de problèmes chroniques de sciatique. On lui a prescrit des massages à domicile qui lui furent d’abord prodigués par une masseuse revêche mais compétente jusqu’à ce que celle-ci prenne sa retraite.

 

Quand la nouvelle masseuse se présenta il fut quelque peu surpris d’abord parce que celle-ci était noire et que Savourey était un poil raciste, mais il fut néanmoins frappé par sa beauté, son sourire et son charme.

 

Mais ce n’était pas tout, Florelle Solima puisque tel était son nom avait une façon tellement sensuelle de s’occuper de son corps que ses massages thérapeutiques glissèrent assez rapidement vers des massages carrément érotiques, moyennant évidement un petit supplément.

 

Les habitudes se prirent assez vite et Savourey mit son racisme entre parenthèses en devenant quelque peu accro à cette jolie blackette avec laquelle il forniquait au moins une fois par semaine. L’homme qui ne savait que faire de son argent se montrait d’une générosité sans bornes. Manteaux de fourrure, robes chics, bijoux, parfums haut-de-gamme pleuvaient dans l’escarcelle de la belle sans parler des grandes tables.

 

Bref Florelle avait dégoté le bon pigeon et n’avait pas l’intention de le lâcher. Sauf que depuis trois semaines il ne la gâtait plus, semblait déprimé et sa libido paraissait s’être envolé.

 

– Toi, mon biquet, t’as des soucis !

 

Alors, il lui expliqua, ça fait du bien de parler, du moins tant que l’on parle, après ça recommence !

 

« La source aux trésors s’est tarie, à moi de la réactiver ! » Se dit alors la belle.

 

Lundi 5 mars

 

Ce jour-là, alors que Martinov bricolait une vielle radio à lampes, le téléphone sonna, c’est Béatrice qui répondit :

 

– Je suis la compagne de Monsieur Savourey…

– Savourey… Savourey ce ne serait pas la personne qui a oublié de nous payer sa facture ?

– Il s’agit d’un malentendu, nous allons vous régler !

– Et bien, c’est parfait, il ne nous reste plus qu’à attendre votre chèque, quant aux excuses de ce monsieur à propos de sa conduite inadmissible, on s’en passera.

– Sa conduite ?

– Restons-en là !

– J’aimerais vous apporter ce règlement en mains propres, j’aurais peut-être un nouveau contrat à vous proposer.

– Epargnez-vous cette peine, envoyez-nous le chèque et on en restera là !

– Ecoutez-moi juste une minute, Monsieur Savourey a été blessé par vos conclusions, c’est un homme fragile. Je vous propose de modifier légèrement votre rapport, votre prix sera le mien…

– N’insistez pas, je vais raccrocher, au revoir madame.

 

Mais Florelle, puisque c’est elle dont il s’agissait, vous l’aviez devinée, a plus d’un tour dans son sac et elle avait prévu un plan B.

 

Elle fait téléphoner une amie afin de lui obtenir un rendez-vous avec le professeur Martinov.

 

Mardi 7 mars

 

Le jour et l’heure en étant fixé, Florelle se rend à Louveciennes avec une vieille mappemonde sous le bras, elle s’est coiffée en queue de cheval et s’est habillée sous son manteau d’une jolie robe orange lui laissant ses belles épaules dénudées

 

Martinov et Béatrice ont déjà, (ceux qui ont lu les épisodes précédents en savent quelque chose), reçu quelques canons brunes, blondes ou rousses, et cela s’est parfois traduit par des aventures aussi chaudes que rocambolesques. Cette fois encore le professeur bave de concupiscence devant cette très jolie blackette, tandis que Béatrice se met à rêver d’impossibles péripéties saphiques, mais se contente de dire bonjour sans assister à l’entretien.

 

– Voilà, c’est une vieille mappemonde, elle n’est pas très jolie, mais j’y tiens, comme je vous l’ai expliqué au téléphone, j’aimerais qu’un système d’horlogerie la fasse tourner en 24 heures.

– On devrait pouvoir vous faire ça ! Répond Martinov en matant le décolleté de la visiteuse.

– Rapidement ?

– Ça pourrait être prêt vendredi, mais téléphonez-moi avant.

– Voici ma carte.

– Ah, vous êtes kiné ?

– Oui…

– Je, j’ai, enfin comment dire…

– Je m’en veux de vous faire bafouiller, professeur. Vous vouliez me demander quelque chose ?

– Non, à tout hasard, j’ai sans doute besoin de massages, mais je n’ai pas de prescriptions.

– Dans ce cas, vous ne serez pas remboursé, mais je peux faire.

– On pourrait faire ça quand ?

– Tout de suite si vous voulez.

– Oui, je veux bien.

– Je vais dans ma voiture chercher mon sac avec les huiles de massages et je reviens.

 

Pour Florelle la situation devient idéale, certes, elle entendait bien user de ses charmes pour s’attirer les bonnes grâces du professeur Martinov mais n’avait pas de plan précis, comptant sur son sens de l’improvisation. Cette proposition de massage lui ouvrait un boulevard. Souvent lorsqu’elle massait un monsieur seul, elle faisait en sorte que le massage évolue du thérapeutique vers l’érotique. Elle y mettait beaucoup de tact afin d’éviter tout incident et n’insistait pas si elle ne constatait pas de répondant. Parfois l’homme réagissait mais faisait stopper l’affaire au titre qu’il n’avait pas de quoi payer… Qu’à cela ne tienne, Florelle cassait le prix… pour cette fois… et miracle la fois suivante, le monsieur avait trouvé des sous. Elle n’abusait pourtant pas de la pratique, elle n’aimait pas plumer les gens, sauf les cons et ceux qui avaient du fric à revendre… comme Savourey. Fin de la digression.

 

Béatrice curieuse comme d’habitude demande à Martinov pourquoi la belle blackette est déjà repartie.

 

– Non, elle revient de suite, c’est une kiné, je vais m’occuper de sa mappemonde et elle va me faire un petit massage. Pas mal comme échange de bons procédés.

– Alors bon massage, mon petit professeur !

– J’en ai bien besoin.

– Et elle va te masser quoi ? La bite ?

– Oh ! Béatrice !

 

Florelle revient avec un grand sac dans lequel elle entasse tout ce qui est nécessaire à ses prestations.

 

– Vous voulez qu’on fasse ça où ?

 

Ils montèrent dans la chambre.

 

– O.K. je vais vous demander une grande serviette qu’on va étaler sur le lit… c’est pour ne rien tacher ! Et puis une plus petite si vous avez.

 

Et tandis que le professeur va chercher tout ça, Florelle se tourne pour se déshabiller (pas entièrement, elle conserve ses sous-vêtements) et passer une blouse blanche assez peu sexy.

 

– Voilà, alors vous vous déshabillez, soit vous conservez votre caleçon soit vous vous mettez tout nu avec la petite serviette sur les fesses…

 

Le lecteur aura deviné que le professeur choisit la seconde option.

 

– Non pas comme ça ! Mettez-vous en travers du lit, c’est plus pratique pour moi. Alors vous avez des douleurs où ça ?

– Dans le bas du dos !

 

Pas la position la plus pratique pour ce qu’elle escomptait. D’ordinaire, elle massait les épaules en faisant face au patient et en ayant au préalable déboutonné le haut de sa blouse. C’était souvent un bon début…

 

Là, il lui fallait faire différemment, mais elle n’était pas inquiète, la façon dont ce Martinov l’avait déshabillé du regard montrait à l’évidence que l’homme était dans de bonnes dispositions.

 

Après avoir fait couler un peu d’huile de massage, elle commence par lui masser les lombaires puisque c’est par là qu’il disait avoir mal.

 

– Ça vous fait du bien ce que je vous fais ? Demanda Florelle au bout de dix minutes.

– Oui, ça soulage ! Répondit le professeur un peu déçu de ne pas voir le massage « bifurquer ».

– Je ne peux pas faire plus pour vos lombaires, mais je peux vous faire un petit massage relaxant, ça vous ferait du bien, vous voulez ?

– Oh ! Oui !

– Quel enthousiasme !

– C’est que j’adore les massages !

– Ah, je comprends.

 

Florelle retire d’autorité la serviette qui lui recouvrait les fesses, fait couler un peu d’huile et commence à masser l’endroit.

 

– Si vous n’aimez pas, vous me dites, il y a certains hommes que ça gêne, je n’ai jamais compris pourquoi d’ailleurs.

– Non, non allez-y !

– Je vous écarte un peu les fesses, c’est pour que l’huile pénètre dans le sillon inter-fessier.

– Oui, oui

 

« Sillon inter-fessier ! Elle ne peut pas dire raie du cul come tout le monde ?

 

En fait de sillon, la main de la masseuse, s’égare sur le périnée, pas plus loin, le passage est bloqué.

 

– Si vous pouviez relevez votre bassin, juste un demi-centimètre.

 

Martinov s’exécute et la main s’égare jusqu’aux testicules.

 

– Oh excusez-moi, je vous touche des choses que je ne devrais pas.

– Ce n’est pas grave !

– Ah ! les hommes ! Une fois j’ai dérapé un peu comme ça avec un client, ça a fini en massage érotique, on a bien rigolé, ce n’était pas prévu du tout.

– Si vous voulez déraper avec moi, je n’ai rien contre.

– Tss, tss, je n’étais pas en train de vous faire une proposition, qu’est-ce que vous allez penser, je vous ai juste un peu frôlé les couilles, comme ceci ! Dit-elle en recommençant.

– Hum, vous avez des doigts de fée !

 

Mais Florelle ne s’attarde pas sur l’endroit et s’en va masser les épaules du professeur à son grand désappointement.

 

« Elle joue à quoi, cette allumeuse ? »

 

– Je retire ma blouse, il fait chaud ici !

 

Mais le professeur a à peine le temps de voir le bel ensemble composé d’une culotte et d’un soutien-gorge en dentelle blanche à large bonnets… car la coquine est déjà passé de l’autre côté pour s’occuper de nouveau des fesses de son patient.

 

Et cette fois, son doigt s’en va frôler l’anus et pousse jusqu’à ce qu’il s’entrouvre. Notre bon professeur n’en peut plus.

 

– Oh là qu’est-ce que vous me faites ?

– Une petite fantaisie passagère ? Vous aimez ?

– Oui, oui !

 

De nouveau sa main passe sous les testicules, mais cette fois elle les malaxe, elle les pétrit, la main remonte encore et trouve la bite bandée.,

 

– Tournez-vous, s’il vous plaît !

 

Martinov se dit qu’il n’est sans doute plus utile de mimer un massage, mais Florelle n’en fait qu’à sa tête. Elle répand de l’huile de massage sur le torse du professeur, puis lui pince les tétons.

 

– Oh ! Oui ! Approuve-t-il

– Je ne peux pas vous laisser dans cet état ! Lui dit Florelle en regardant la bite bandée.

 

Elle retire prestement sa culotte et son soutien-gorge.

 

– Ça va je te plais ?

– Superbe !

– T’as raison, il n’y a rien à jeter.

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Puis sans autre préalable elle se penche pour prendre la bite du professeur d’abord dans sa main en la branlant de l’extrémité de ses doigts agiles, puis dans sa bouche pour commencer à la sucer comme il se doit en alternant de longs va-et-vient et des titillements du gland du bout de la langue.

 

– Humm, j’adore avoir une bonne bite dans la bouche ! Je te suce à fond ou tu préfères que je vienne sur toi ?

– Comme tu veux ! Répond le professeur peu en état de choisir.

– Alors je vais te chevaucher, c’est bon pour mes abdominaux.

 

Elle s’en va dans son sac récupérer un préservatif et elle s’empale sur la bite dressée. Trois minutes plus tard, le professeur jouissait dans un râle. Florelle n’éprouva pas le besoin de simuler quoi que ce soit, mais vint gratifier le professeur d’un petit bisou sur le front qui le rendit tout chose.

 

– Si on se revoit, je te laisserai m’enculer, d’accord mon biquet ?

– Ma foi…

– Je suppose que tu vas aller prendre une douche ? Je peux te demander d’en prendre une d’abord, je vais me dépêcher ?

 

Le professeur revêt une robe de chambre et redescend, il tombe sur Béatrice qui le nargue :

 

– Alors, c’était bien ?

– Divin !

– Avec finition je suppose ?

– Hé !

– Elle a l’air d’avoir un corps magnifique !

– Comme tu dis !

– J’aimerais bien savoir si elle fait des trucs avec les femmes, ça pourrait m’intéresser.

– Ce sera peut-être payant !

– M’en fous !

 

Florelle redescend, toute pimpante.

 

– J’espère, cher monsieur que je vous ai fait du bien à votre dos ?

– C’était parfait !

– Merci, j’essaie toujours de faire de mon mieux

– Euh, je vous dois quelque chose ?

– Non, mais vous ne me ferez pas payer la mappemonde.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:18

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 7 – Duo de coquines par Maud-Anne Amaro

 

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7 – Duo de coquines

Mercredi 7 Février

 

Béatrice arrive en retard ce jour-là, passablement énervée.

 

– Salut mon petit professeur, je suis à la bourre.

– Oh ! Ton petit bout de nez, il est tout froid !

– Ben oui ça caille dehors, y’avait des problèmes sur la ligne, pas de train pendant une heure. Je voulais te prévenir mais ton téléphone était tout le temps occupé.

– Oui, j’ai eu Romain au téléphone, il m’a raconté comment ça s’est passé avec la fille…

 

Et il lui narre tout cela en détail.

 

– Et après c’est elle qui m’a appelé, elle va passer pour régler les détails, mais c’est toi qui vas être obligée de la recevoir.

– Parce que ?

– La Marianne m’a appelé, elle est au lit avec la grippe, je vais lui acheter ses médicaments et je vais rester un petit moment avec elle.

– C’est beau l’amour !

– On ne se moque pas !

– Non, mais merci pour la corvée !

– Tu la juges mal cette fille, elle est gentille.

– Elle n’est pas gentille, c’est une pétasse arrogante et intrigante.

– Reste diplomate quand même !

– Mais oui !

 

A 11 heures, Vanessa se présente à Louveciennes au domicile de Martinov, en retard elle aussi. Elle a préféré venir par le train, plutôt que se laisser accompagner par Octave se disant qu’elle y aurait peut-être une opportunité de faire quelques coquineries avec le professeur Martinov en échange d’un petit billet. Elle fait aujourd’hui très busines-woman, tailleur pied de poule, chemisier en soie et faux foulard Hermès.

 

C’est donc Béatrice qui lui ouvre :

 

– J’ai rendez-vous avec le Professeur Martinov.

– Le professeur est en démarche à l’extérieur, un contretemps. Mais il m’a tout expliqué, on va voir ça ensemble.

– Ah !

– Entrez, je vous en prie.

 

Ben, oui, ça risque d’être tendu, la dernière fois que les deux femmes se sont parlé, elles se sont quittées en se détestant.

 

« Bon, j’ai un compte à régler avec cette blondasse, mais ça ne sera pas aujourd’hui, restons professionnelle ! Oh ! Et puis si ça se trouve elle sait aussi que j’ai fait la pute chez les Framboisert, mais après tout, je m’en tape ! »

 

– Bon, ce ne sera pas long, c’est juste pour qu’on mette bien les choses au point, pour ne pas se planter pour la récupération.

– Oui !

– Donc la pièce où vous allez recevoir Savourey, c’est celle-ci ?

– Oui !

– La fenêtre donne sur la rue ?

– Non !

– Mais vous pourriez le recevoir dans une pièce avec fenêtre sur rue ?

– Oui, bien sûr !

– Vous pouvez me montrer ?

 

Béatrice l’emmène dans le salon du professeur. Elle ouvre la fenêtre.

 

– Ok, je note : la deuxième à gauche de la porte d’entrée ! Super ! Alors voilà comment on voit les choses : vous recevez Savourey normalement, le drone devra être posé sur la table, le nez de l’appareil vers la fenêtre, sans obstacle ! Dès que l’entretien touchera à sa fin, vous ouvrez la fenêtre l’air de rien, ce sera le signal, nous on fait décoller le machin et on le récupère. Des questions ?

– Non ! Ça a le mérite d’être simple.

– Je vais vous laisser, vous transmettrez mes amitiés au professeur Martinov, c’est un monsieur vraiment très sympathique.

– Je n’y manquerai pas

 

Et soudain, Vanessa eut envie de s’amuser :

 

– Il fait pas bien chaud dehors, est-ce que je peux me permettre de vous demander un café ?

– C’est moi qui aurais dû vous le proposer, je manque à tous mes devoirs.

 

« Elle m’oblige à jouer les faux culs, il faut que je trouve un moyen de la déstabiliser, cette rouquine ! Sauf que j’ai pas d’idées »

 

Béatrice revint assez vite avec deux tasses de café et du sucre.

 

– Vous devez me prendre pour une drôle de fille ? Lança Vanessa.

– Je ne vous prends pour rien du tout, chacun vit sa vie comme il l’entend, et puis, vous savez, j’ai les idées larges.

– Dans tous les domaines ?

– J’essaie, mais je ne prétends pas être parfaite.

– On s’est un peu chamaillé la dernière fois, vous m’en voyez désolée.

– O.K. Pas de souci !

– On fait la paix, alors ?

– On n’a jamais été en guerre.

– Bisou alors !

 

Les choses vont alors très vite, tandis que Béatrice se demande comment refuser et pourquoi refuser, l’autre y va de son bisou à un demi-centimètre des lèvres.

 

Vanessa se recule, Béatrice n’en revient pas du culot de cette fille.

 

– Ce n’était pas un vrai bisou ! Commente la jolie rouquine, on recommence ?

– Tu joues à quoi, là ?

– A bisou-bisou ! Je peux ?

– Hummf !

 

Cette fois Vanessa lui a collé ses lèvres contre les siennes, sa langue cherche à pénétrer mais Béa reste bouche fermée. Elle se recule !

 

– Encore raté !

– Bon, si t’arrêtais tes conneries ! Lui dit Béatrice

– Pourquoi, j’ai mangé de l’ail ?

– Je ne sais pas à quoi tu joues, et je ne veux pas le savoir, mais maintenant, ça suffit, bois ton café et fous-moi le camp.

– Je ne comptais pas m’éterniser, je voulais juste un bisou. Et puis te mets pas en colère, je n’ai rien fait de mal, ce n’est quand même pas de ma faute si je te trouve sexy.

– Ça devient pénible !

– Alors pardonne-moi mon audace.

– C’est ça, on pardonne, mais maintenant, lâche-moi la grappe, j’ai du travail !

– Juste un mot, et je disparais, tu aurais accepté ce baiser, je serais reparti avec un fantasme, j’aurais imaginé une improbable suite…

– Bon ça va !

– Ce n’est pas gentil de me briser mes fantasmes.

– Faut peut-être te calmer !

– Je ne demande pas mieux, embrasse-moi, embrasse-moi pour de vrai, donne-moi tes lèvres, Béatrice, tu ne le regretteras pas.

 

Il se dégage alors une telle sensualité dans la douce voix et dans l’attitude de Vanessa que Béatrice a du mal à réprimer son trouble.

 

« Après tout qu’elle me roule un patin et qu’elle se barre, je n’en mourrais pas ! »

 

Mais quand Vanessa s’avance vers elle, elle se recule par réflexe.

 

Mais parfois quand on ne veut pas faire quelque chose mais qu’on le ferait peut-être bien quand même, c’est l’inconscient qui arrive à la rescousse en fournissant une raison de le faire (ç va, tout le monde suit ?)

 

 » Et si je lui montrais que je peux être aussi salope qu’elle ! »

 

Alors Béatrice ne bouge plus et entrouvre ses lèvres :

 

– Viens !

 

Et c’est parti pour une fricassée de museau. C’est intense, c’est baveux, c’est sensuel.

 

« Je n’aurais jamais pensé que cette blondasse était bi ! »

 

Et c’est Béatrice qui la première se met à peloter la rouquine, qui n’en revient pas de ne plus être maîtresse du jeu, mais qui elle aussi se met à peloter.

 

Il fallut bien qu’à un moment les deux femmes reprennent leur souffle.

 

– Alors t’es contente, tu l’as eu ton bisou ?

– Tu m’as bien eu !

– Moi aussi je sais être joueuse !

– Je suis sûre que t’es toute excitée maintenant.

– C’est bien possible, mais on a dit qu’on en resterait là.

– C’est ce qu’on avait dit ! Et on va faire comme on avait dit.

– A moins que…

– A moins que quoi ?

– Tu prends combien ?

 

Béatrice prend alors conscience de la méchanceté gratuite de sa réplique destinée à rappeler la condition de prostituée de Vanessa. Méchante parce que Béatrice n’a rien contre ces filles d’autant qu’il lui est arrivé en de rares occasions, il est vrai, de monnayer, elle aussi ses charmes. Elle se demande comment rattraper le coup, mais Vanessa ne s’est pas laissé désarçonner :

 

– Pour toi ce sera gratuit ! A moins que ce soit ton fantasme, de t’envoyer une pute, à ce moment-là tu me donneras ce que tu auras envie de me donner !

– Je ne voulais pas…

– Laisse tomber, t’as envie, j’ai envie… On fait ça où ?

 

Et tout en parlant Vanessa se rapproche de nouveau de Béatrice afin de lui offrir sa bouche, mais cette fois le gros bisou s’accompagne d’un pelotage très peu discret des fesses. La jeune chimiste ne voulant pas être en reste lui rend la pareille. L’air de rien elle pousse sa partenaire vers le canapé proche puis la fait carrément tomber dessus, l’entrainant dans sa chute.

 

– Oh ! tu m’as fait peur !

– Mais non ! On se défait un peu ?

– Ben oui, je ne voudrais pas froisser mon tailleur.

 

Vanessa se relève puis retire précautionneusement sa panoplie de femme d’affaires, puis revêtue uniquement de son soutien-gorge, de sa culotte et de ses bas revient vers sa partenaire avec un air de défi.

 

– Me revoilà ! Maintenant t’as la permission de me bousculer ! Mais dis donc, toi t’as l’intention de rester habillée.

– Pas vraiment non ! Répond Béatrice en retirant sa blouse de travail, en dessous, elle est, elle aussi en sous-vêtements.

– Bon, ben on va retirer tout ça ? Dit Vanessa. Je peux ?

– Mais je t’en prie !

 

Et hop, le soutif de Béa est rapidement dégrafé, celui de l’escort-girl aussi. Et voici nos deux donzelles face à face, seins contre seins et les mains pelotant les fesses.

 

Nouveau baiser sur la bouche avant que la langue de Vanessa s’égare quelques instants dans le cou de Béatrice avant de descendre gouter le joli téton offert. Elle tète, elle suce, elle aspire, elle fait virevolter sa langue en un ballet infernal.

Martinov19G1

 

– Oh, là là, qu’est- ce que tu me fais ?

– Des bonnes choses, non ?

– Pince les-moi si tu veux ! précise Béa

 

Vanessa le fait, elle le fait même avec un petit plaisir sadique.

 

– A moi ! Propose Béatrice au bout d’un instant.

– Tu lèches, mais tu ne me pinces pas !

 

« Chochotte ! »

 

Et c’est au tour de Béatrice de se régaler des gros nénés de l’escort-girl.

 

– Humm, tu sens bon, t’as la peau douce !

– Hé ! Viens sur le canapé, j’ai envie de te bouffer la chatte.

– On va monter dans la chambre de Martinov, on sera plus à l’aise… propose Béatrice.

– Et s’il se pointe !

– Ben on fera avec ! Rigole-t-elle.

– Je l’ai trouvé très sympa, Martinov !

– Ça, c’est un vrai plaisir de travailler avec lui !

– Il est un peu coquin, non ?

– Pourquoi tu me demandes ça, tu le sais bien non ?

– Je voulais dire, coquin avec toi ?

– Mais ça ne te regarde pas, ma grande !

– T’as raison, allez allonge-toi, je vais te manger la chatte.

 

Béatrice ferme les yeux et s’abandonne à la douce caresse de sa partenaire, excité par l’insolite et la perversité de la situation son sexe est mouillé d’abondance. Vanessa se régale de ses sucs au goût de miel balayant l’endroit de larges lampées.

 

« Qu’est-ce qu’elle attend pour me lécher le clito ? »

 

Elle n’attend rien, elle prend son temps, et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, elle se lèche un doigt afin de l’introduire dans le trou du cul de la jeune chimiste.

 

– Oh !

– Tu n’aimes pas ?

– Si, si ! Continue.

 

Du coup elle en introduit un deuxième. Langue sur la chatte et doigts dans le troufignon, deux raisons pour Béatrice de se trémousser… Mais voilà que la langue de Vanessa se déplace un peu vers le haut, là où est situé le clitoris, Bea sent venir son plaisir, elle se cramponne après le dessus de lit, son corps se raidit, elle hurle en mouillant comme une éponge.

 

Vanessa lèche ses doigts qui viennent d’explorer le fondement de la belle chimiste !

 

– Hum, il est délicieux ton petit cul !

 

Béatrice se jette au cou de Vanessa, reconnaissante de lui avoir procuré tant de plaisir. Elle roule sur sa partenaire pour l’embrasser, laissant apparaître une grosse tache humide au milieu du lit.

 

– On aurait dû mettre une serviette ! Constate-t-elle.

– Martinov va t’engueuler ?

– Mais, non, j’irais à la laverie faire tourner tout ça.

 

Et tout en parlant Béatrice caresse les douces cuisses de sa partenaire.

 

« Quand je pense que voulais la casser… comme quoi faut pas toujours se fier à sa première impression… »

 

– Tu t’occupes un peu de ma chatte ? Lui demande Vanessa.

– Mais bien sûr ma chérie, j’ai envie de me régaler ! Attends, il y a un truc dans le tiroir du chevet.

– Un gode, je parie ?

– Comment tu le sais ?

– D’après toi ?

– Evidemment !

 

Béatrice habille le gode avec un préservatif.

 

– Devant ou derrière !

– Tu me l’enfonces derrière et tu me lèches devant.

– Bon plan !

 

La jolie chimiste s’occupe ainsi simultanément de la chatte et du cul de sa partenaire. Elle prend son temps, mais Vanessa n’en peut plus tellement elle est excitée.

 

– Fais-moi jouir ! Fais-moi jouir !

 

Martinov19g2

 

Qu’à cela ne tienne, la langue de sa partenaire virevolte sur le clitounet érigé. Vanessa part au quart de tour, Et pendant qu’elle crie sa jouissance, Béa lui extrait le gode de son cul d’un coup sec, ajoutant encore à son plaisir.

– On est vraiment deux salopes ! Commente Vanessa.

– Ah ? Tu crois ? Minaude Béatrice en se mettant sur le ventre.

– Arrête de m’exhiber ton cul comme, ça, tu vas encore m’exciter !

– Et, alors, c’est grave ?

– Parce que t’as encore envie ?

-Je ne dirais pas non en tous cas !

– Et si je te flanquais une fessée ?

– Pas trop fort, alors.

 

Et Vanessa se met à claquer en cadence le popotin de Béatrice qui ne tarde pas à virer au rouge cramoisi.

 

– J’arrête, j’ai mal aux mains !

– Chochotte !

– Non, mais dis donc, je peux aller chercher un truc si tu veux, une ceinture, une brosse, une paire de mule, une cuillère en bois…

– Quelle imagination !

– Qu’est-ce que tu crois, ce sont les petites ficelles du métier ! Dans l’armoire, il y a peut-être quelque chose…

– C’est l’armoire du professeur ! On n’y touche pas.

– D’accord, d’accord, mais tu touches bien à son tiroir de table de chevet…

– Ben oui ! Cherche pas à comprendre !

– Tu m’as l’air d’avoir des rapports très particuliers avec ce bon professeur.

– Ecoute la jolie, tu es mignonne, tu es adorable, mais ça ne te regarde pas.

– Bon, bon, on ne va pas se disputer, mets-toi sur le dos, je vais te faire des petites misères autrement.

 

Béatrice se couche sur le dos, Vanessa lui attrape les bouts de seins et commence à les tortiller de façon modérée.

 

– Plus fort ! Supplie Béa

– Ça tombe bien, j’allais le faire.

– Aïe !

– C’est trop fort ?

– Non, vas-y c’est bon, mais pas plus. Aïe, Continue, continue.

 

La main de Béatrice s’en va en direction de son sexe et commence à s’agiter frénétiquement. Souple comme un chat Vanessa abandonne le travail qu’elle faisait sur les seins de la blonde, et vient se positionner en soixante-neuf, chacune bouche contre chatte.

 

Sur ces entrefaites, voici que le professeur Martinov revient, il est allé à la pharmacie chercher les médicaments pour la Marianne, celle-ci ayant surtout envie de dormir, il l’avait donc laissée tranquille.

 

Etonné de ne pas voir Béatrice, il regarde un peu partout, puis monte au premier, il entend des bruits très particuliers derrière la porte de sa chambre, très doucement il entrouvre la porte.

 

Un rustre serait venu s’imposer, mais le professeur Martinov est un gentleman, il sait qu’on ne dérange pas deux coquines qui se donnent du plaisir. Il redescend, la bite toute raide.

 

Bientôt les deux filles se mettent à hurler de plaisir. Puis calmées et repues, elles s’embrasent et se câlinent avant de prendre une douche ensemble puis de se rhabiller.

 

– Euh, je vais te dédommager… commence Béatrice.

– Je t’avais dit que ce serait gratuit, on ne revient pas là-dessus… Et puis ce n’était pas du business puisque tu m’as fait jouir.

 

En descendant, elles tombent sur Martinov.

 

– Ces demoiselles vont bien ?

– Oui, mais je prendrais bien un petit café ! Répond Béa, tu en veux un, Vanessa ?

– Oui, oui !

– Vous avez fait connaissance alors ? Ironise le professeur.

 

Vanessa ne répond pas, mais met la main sur la braguette de Martinov.

 

– Mais voulez-vous retirer votre main !

– Quelle main ?

 

Et bien sûr, non seulement elle ne la retire pas, mais caresse l’endroit qui ne tarde pas à devenir dur.

 

– Une petite pipe, ça te dirait, mon lapin ?

– Non, non proteste-t-il, j’ai du travail.

– Bon tant pis, nous aurons l’occasion de nous revoir, je vous laisse, j’ai tout expliqué à Béatrice, vous verrez ce n’est pas bien compliqué. Bisous Béa ?

 

Les deux filles s’embrassent, juste un petit bout de langue dans la bouche, mais ce petit geste émoustille néanmoins notre vert professeur.

 

– Je vous fais la bise professeur ?

 

Sur la bouche ! Bouche fermée mais quand même !

 

– Quel dommage ! Reprend Vanessa en tripotant une nouvelle fois la braguette du professeur, je te l’aurais prise toute entière dans ma bouche.

 

Béatrice rigole dans son coin tandis que Martinov hésite et pour l’instant se laisse faire.

 

– Vanessa, vous êtes une sorcière, vous abusez de la situation ! Finit par dire le professeur

– Je n’abuse rien du tout, d’ailleurs je vous laisse… Euh, vous êtes sûr que vous n’allez pas regretter ?

– Bon alors d’accord, mais juste une petite pipe, alors ? Ça fera combien ?

– Allez juste 50 euros !

 

Vanessa n’attend pas son accord et lui extrait sa bistouquette de son pantalon.

 

– Oh, je sais ce que t’aimerais bien…

– Tss, tss, on a dit juste une pipe !

– Oui, mais tu n’aimeras pas qu’on te suce à deux, moi et Béatrice ?

– Faudrait peut-être que je sois d’accord ! Feint de s’offusquer cette dernière.

– Mais bien sûr que t’es d’accord, tout le monde est d’accord…

 

Et Béatrice plus par jeu que par autre chose vient aux côtés de Vanessa sucer la bite du professeur qui sous l’effet conjugué de deux belles langues agiles, ne tarde pas à cracher son foutre. Et hop un kleenex.

 

– Normalement on paye d’avance ! Commente la belle escort-girl, mais bon, toute règle à ses exceptions.

 

Façon de rappeler à Martinov que la prestation restait payante. Mais ce dernier a toujours un peu de liquide par devers lui.

 

– Tu ne donnes pas un petit billet à Béatrice ? S’amuse-t-elle.

– Mais enfin ça ne te regarde pas !

– Elle a raison, intervient l’intéressée, quand on joue il faut le faire jusqu’au bout !

– Mais enfin, Béatrice !

– Ça ne va pas te ruiner !

– Bon, bon ! On verra ça tout à l’heure.

 

Une fois Vanessa partie, Martinov apostropha Béatrice :

 

– Tu veux vraiment que je te paie ?

– Mais, non, grand couillon ! Mais il va bientôt être midi, tu m’offres l’apéro ?

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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