Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 11:18

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 7 – Duo de coquines par Maud-Anne Amaro

 

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7 – Duo de coquines

Mercredi 7 Février

 

Béatrice arrive en retard ce jour-là, passablement énervée.

 

– Salut mon petit professeur, je suis à la bourre.

– Oh ! Ton petit bout de nez, il est tout froid !

– Ben oui ça caille dehors, y’avait des problèmes sur la ligne, pas de train pendant une heure. Je voulais te prévenir mais ton téléphone était tout le temps occupé.

– Oui, j’ai eu Romain au téléphone, il m’a raconté comment ça s’est passé avec la fille…

 

Et il lui narre tout cela en détail.

 

– Et après c’est elle qui m’a appelé, elle va passer pour régler les détails, mais c’est toi qui vas être obligée de la recevoir.

– Parce que ?

– La Marianne m’a appelé, elle est au lit avec la grippe, je vais lui acheter ses médicaments et je vais rester un petit moment avec elle.

– C’est beau l’amour !

– On ne se moque pas !

– Non, mais merci pour la corvée !

– Tu la juges mal cette fille, elle est gentille.

– Elle n’est pas gentille, c’est une pétasse arrogante et intrigante.

– Reste diplomate quand même !

– Mais oui !

 

A 11 heures, Vanessa se présente à Louveciennes au domicile de Martinov, en retard elle aussi. Elle a préféré venir par le train, plutôt que se laisser accompagner par Octave se disant qu’elle y aurait peut-être une opportunité de faire quelques coquineries avec le professeur Martinov en échange d’un petit billet. Elle fait aujourd’hui très busines-woman, tailleur pied de poule, chemisier en soie et faux foulard Hermès.

 

C’est donc Béatrice qui lui ouvre :

 

– J’ai rendez-vous avec le Professeur Martinov.

– Le professeur est en démarche à l’extérieur, un contretemps. Mais il m’a tout expliqué, on va voir ça ensemble.

– Ah !

– Entrez, je vous en prie.

 

Ben, oui, ça risque d’être tendu, la dernière fois que les deux femmes se sont parlé, elles se sont quittées en se détestant.

 

« Bon, j’ai un compte à régler avec cette blondasse, mais ça ne sera pas aujourd’hui, restons professionnelle ! Oh ! Et puis si ça se trouve elle sait aussi que j’ai fait la pute chez les Framboisert, mais après tout, je m’en tape ! »

 

– Bon, ce ne sera pas long, c’est juste pour qu’on mette bien les choses au point, pour ne pas se planter pour la récupération.

– Oui !

– Donc la pièce où vous allez recevoir Savourey, c’est celle-ci ?

– Oui !

– La fenêtre donne sur la rue ?

– Non !

– Mais vous pourriez le recevoir dans une pièce avec fenêtre sur rue ?

– Oui, bien sûr !

– Vous pouvez me montrer ?

 

Béatrice l’emmène dans le salon du professeur. Elle ouvre la fenêtre.

 

– Ok, je note : la deuxième à gauche de la porte d’entrée ! Super ! Alors voilà comment on voit les choses : vous recevez Savourey normalement, le drone devra être posé sur la table, le nez de l’appareil vers la fenêtre, sans obstacle ! Dès que l’entretien touchera à sa fin, vous ouvrez la fenêtre l’air de rien, ce sera le signal, nous on fait décoller le machin et on le récupère. Des questions ?

– Non ! Ça a le mérite d’être simple.

– Je vais vous laisser, vous transmettrez mes amitiés au professeur Martinov, c’est un monsieur vraiment très sympathique.

– Je n’y manquerai pas

 

Et soudain, Vanessa eut envie de s’amuser :

 

– Il fait pas bien chaud dehors, est-ce que je peux me permettre de vous demander un café ?

– C’est moi qui aurais dû vous le proposer, je manque à tous mes devoirs.

 

« Elle m’oblige à jouer les faux culs, il faut que je trouve un moyen de la déstabiliser, cette rouquine ! Sauf que j’ai pas d’idées »

 

Béatrice revint assez vite avec deux tasses de café et du sucre.

 

– Vous devez me prendre pour une drôle de fille ? Lança Vanessa.

– Je ne vous prends pour rien du tout, chacun vit sa vie comme il l’entend, et puis, vous savez, j’ai les idées larges.

– Dans tous les domaines ?

– J’essaie, mais je ne prétends pas être parfaite.

– On s’est un peu chamaillé la dernière fois, vous m’en voyez désolée.

– O.K. Pas de souci !

– On fait la paix, alors ?

– On n’a jamais été en guerre.

– Bisou alors !

 

Les choses vont alors très vite, tandis que Béatrice se demande comment refuser et pourquoi refuser, l’autre y va de son bisou à un demi-centimètre des lèvres.

 

Vanessa se recule, Béatrice n’en revient pas du culot de cette fille.

 

– Ce n’était pas un vrai bisou ! Commente la jolie rouquine, on recommence ?

– Tu joues à quoi, là ?

– A bisou-bisou ! Je peux ?

– Hummf !

 

Cette fois Vanessa lui a collé ses lèvres contre les siennes, sa langue cherche à pénétrer mais Béa reste bouche fermée. Elle se recule !

 

– Encore raté !

– Bon, si t’arrêtais tes conneries ! Lui dit Béatrice

– Pourquoi, j’ai mangé de l’ail ?

– Je ne sais pas à quoi tu joues, et je ne veux pas le savoir, mais maintenant, ça suffit, bois ton café et fous-moi le camp.

– Je ne comptais pas m’éterniser, je voulais juste un bisou. Et puis te mets pas en colère, je n’ai rien fait de mal, ce n’est quand même pas de ma faute si je te trouve sexy.

– Ça devient pénible !

– Alors pardonne-moi mon audace.

– C’est ça, on pardonne, mais maintenant, lâche-moi la grappe, j’ai du travail !

– Juste un mot, et je disparais, tu aurais accepté ce baiser, je serais reparti avec un fantasme, j’aurais imaginé une improbable suite…

– Bon ça va !

– Ce n’est pas gentil de me briser mes fantasmes.

– Faut peut-être te calmer !

– Je ne demande pas mieux, embrasse-moi, embrasse-moi pour de vrai, donne-moi tes lèvres, Béatrice, tu ne le regretteras pas.

 

Il se dégage alors une telle sensualité dans la douce voix et dans l’attitude de Vanessa que Béatrice a du mal à réprimer son trouble.

 

« Après tout qu’elle me roule un patin et qu’elle se barre, je n’en mourrais pas ! »

 

Mais quand Vanessa s’avance vers elle, elle se recule par réflexe.

 

Mais parfois quand on ne veut pas faire quelque chose mais qu’on le ferait peut-être bien quand même, c’est l’inconscient qui arrive à la rescousse en fournissant une raison de le faire (ç va, tout le monde suit ?)

 

 » Et si je lui montrais que je peux être aussi salope qu’elle ! »

 

Alors Béatrice ne bouge plus et entrouvre ses lèvres :

 

– Viens !

 

Et c’est parti pour une fricassée de museau. C’est intense, c’est baveux, c’est sensuel.

 

« Je n’aurais jamais pensé que cette blondasse était bi ! »

 

Et c’est Béatrice qui la première se met à peloter la rouquine, qui n’en revient pas de ne plus être maîtresse du jeu, mais qui elle aussi se met à peloter.

 

Il fallut bien qu’à un moment les deux femmes reprennent leur souffle.

 

– Alors t’es contente, tu l’as eu ton bisou ?

– Tu m’as bien eu !

– Moi aussi je sais être joueuse !

– Je suis sûre que t’es toute excitée maintenant.

– C’est bien possible, mais on a dit qu’on en resterait là.

– C’est ce qu’on avait dit ! Et on va faire comme on avait dit.

– A moins que…

– A moins que quoi ?

– Tu prends combien ?

 

Béatrice prend alors conscience de la méchanceté gratuite de sa réplique destinée à rappeler la condition de prostituée de Vanessa. Méchante parce que Béatrice n’a rien contre ces filles d’autant qu’il lui est arrivé en de rares occasions, il est vrai, de monnayer, elle aussi ses charmes. Elle se demande comment rattraper le coup, mais Vanessa ne s’est pas laissé désarçonner :

 

– Pour toi ce sera gratuit ! A moins que ce soit ton fantasme, de t’envoyer une pute, à ce moment-là tu me donneras ce que tu auras envie de me donner !

– Je ne voulais pas…

– Laisse tomber, t’as envie, j’ai envie… On fait ça où ?

 

Et tout en parlant Vanessa se rapproche de nouveau de Béatrice afin de lui offrir sa bouche, mais cette fois le gros bisou s’accompagne d’un pelotage très peu discret des fesses. La jeune chimiste ne voulant pas être en reste lui rend la pareille. L’air de rien elle pousse sa partenaire vers le canapé proche puis la fait carrément tomber dessus, l’entrainant dans sa chute.

 

– Oh ! tu m’as fait peur !

– Mais non ! On se défait un peu ?

– Ben oui, je ne voudrais pas froisser mon tailleur.

 

Vanessa se relève puis retire précautionneusement sa panoplie de femme d’affaires, puis revêtue uniquement de son soutien-gorge, de sa culotte et de ses bas revient vers sa partenaire avec un air de défi.

 

– Me revoilà ! Maintenant t’as la permission de me bousculer ! Mais dis donc, toi t’as l’intention de rester habillée.

– Pas vraiment non ! Répond Béatrice en retirant sa blouse de travail, en dessous, elle est, elle aussi en sous-vêtements.

– Bon, ben on va retirer tout ça ? Dit Vanessa. Je peux ?

– Mais je t’en prie !

 

Et hop, le soutif de Béa est rapidement dégrafé, celui de l’escort-girl aussi. Et voici nos deux donzelles face à face, seins contre seins et les mains pelotant les fesses.

 

Nouveau baiser sur la bouche avant que la langue de Vanessa s’égare quelques instants dans le cou de Béatrice avant de descendre gouter le joli téton offert. Elle tète, elle suce, elle aspire, elle fait virevolter sa langue en un ballet infernal.

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– Oh, là là, qu’est- ce que tu me fais ?

– Des bonnes choses, non ?

– Pince les-moi si tu veux ! précise Béa

 

Vanessa le fait, elle le fait même avec un petit plaisir sadique.

 

– A moi ! Propose Béatrice au bout d’un instant.

– Tu lèches, mais tu ne me pinces pas !

 

« Chochotte ! »

 

Et c’est au tour de Béatrice de se régaler des gros nénés de l’escort-girl.

 

– Humm, tu sens bon, t’as la peau douce !

– Hé ! Viens sur le canapé, j’ai envie de te bouffer la chatte.

– On va monter dans la chambre de Martinov, on sera plus à l’aise… propose Béatrice.

– Et s’il se pointe !

– Ben on fera avec ! Rigole-t-elle.

– Je l’ai trouvé très sympa, Martinov !

– Ça, c’est un vrai plaisir de travailler avec lui !

– Il est un peu coquin, non ?

– Pourquoi tu me demandes ça, tu le sais bien non ?

– Je voulais dire, coquin avec toi ?

– Mais ça ne te regarde pas, ma grande !

– T’as raison, allez allonge-toi, je vais te manger la chatte.

 

Béatrice ferme les yeux et s’abandonne à la douce caresse de sa partenaire, excité par l’insolite et la perversité de la situation son sexe est mouillé d’abondance. Vanessa se régale de ses sucs au goût de miel balayant l’endroit de larges lampées.

 

« Qu’est-ce qu’elle attend pour me lécher le clito ? »

 

Elle n’attend rien, elle prend son temps, et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, elle se lèche un doigt afin de l’introduire dans le trou du cul de la jeune chimiste.

 

– Oh !

– Tu n’aimes pas ?

– Si, si ! Continue.

 

Du coup elle en introduit un deuxième. Langue sur la chatte et doigts dans le troufignon, deux raisons pour Béatrice de se trémousser… Mais voilà que la langue de Vanessa se déplace un peu vers le haut, là où est situé le clitoris, Bea sent venir son plaisir, elle se cramponne après le dessus de lit, son corps se raidit, elle hurle en mouillant comme une éponge.

 

Vanessa lèche ses doigts qui viennent d’explorer le fondement de la belle chimiste !

 

– Hum, il est délicieux ton petit cul !

 

Béatrice se jette au cou de Vanessa, reconnaissante de lui avoir procuré tant de plaisir. Elle roule sur sa partenaire pour l’embrasser, laissant apparaître une grosse tache humide au milieu du lit.

 

– On aurait dû mettre une serviette ! Constate-t-elle.

– Martinov va t’engueuler ?

– Mais, non, j’irais à la laverie faire tourner tout ça.

 

Et tout en parlant Béatrice caresse les douces cuisses de sa partenaire.

 

« Quand je pense que voulais la casser… comme quoi faut pas toujours se fier à sa première impression… »

 

– Tu t’occupes un peu de ma chatte ? Lui demande Vanessa.

– Mais bien sûr ma chérie, j’ai envie de me régaler ! Attends, il y a un truc dans le tiroir du chevet.

– Un gode, je parie ?

– Comment tu le sais ?

– D’après toi ?

– Evidemment !

 

Béatrice habille le gode avec un préservatif.

 

– Devant ou derrière !

– Tu me l’enfonces derrière et tu me lèches devant.

– Bon plan !

 

La jolie chimiste s’occupe ainsi simultanément de la chatte et du cul de sa partenaire. Elle prend son temps, mais Vanessa n’en peut plus tellement elle est excitée.

 

– Fais-moi jouir ! Fais-moi jouir !

 

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Qu’à cela ne tienne, la langue de sa partenaire virevolte sur le clitounet érigé. Vanessa part au quart de tour, Et pendant qu’elle crie sa jouissance, Béa lui extrait le gode de son cul d’un coup sec, ajoutant encore à son plaisir.

– On est vraiment deux salopes ! Commente Vanessa.

– Ah ? Tu crois ? Minaude Béatrice en se mettant sur le ventre.

– Arrête de m’exhiber ton cul comme, ça, tu vas encore m’exciter !

– Et, alors, c’est grave ?

– Parce que t’as encore envie ?

-Je ne dirais pas non en tous cas !

– Et si je te flanquais une fessée ?

– Pas trop fort, alors.

 

Et Vanessa se met à claquer en cadence le popotin de Béatrice qui ne tarde pas à virer au rouge cramoisi.

 

– J’arrête, j’ai mal aux mains !

– Chochotte !

– Non, mais dis donc, je peux aller chercher un truc si tu veux, une ceinture, une brosse, une paire de mule, une cuillère en bois…

– Quelle imagination !

– Qu’est-ce que tu crois, ce sont les petites ficelles du métier ! Dans l’armoire, il y a peut-être quelque chose…

– C’est l’armoire du professeur ! On n’y touche pas.

– D’accord, d’accord, mais tu touches bien à son tiroir de table de chevet…

– Ben oui ! Cherche pas à comprendre !

– Tu m’as l’air d’avoir des rapports très particuliers avec ce bon professeur.

– Ecoute la jolie, tu es mignonne, tu es adorable, mais ça ne te regarde pas.

– Bon, bon, on ne va pas se disputer, mets-toi sur le dos, je vais te faire des petites misères autrement.

 

Béatrice se couche sur le dos, Vanessa lui attrape les bouts de seins et commence à les tortiller de façon modérée.

 

– Plus fort ! Supplie Béa

– Ça tombe bien, j’allais le faire.

– Aïe !

– C’est trop fort ?

– Non, vas-y c’est bon, mais pas plus. Aïe, Continue, continue.

 

La main de Béatrice s’en va en direction de son sexe et commence à s’agiter frénétiquement. Souple comme un chat Vanessa abandonne le travail qu’elle faisait sur les seins de la blonde, et vient se positionner en soixante-neuf, chacune bouche contre chatte.

 

Sur ces entrefaites, voici que le professeur Martinov revient, il est allé à la pharmacie chercher les médicaments pour la Marianne, celle-ci ayant surtout envie de dormir, il l’avait donc laissée tranquille.

 

Etonné de ne pas voir Béatrice, il regarde un peu partout, puis monte au premier, il entend des bruits très particuliers derrière la porte de sa chambre, très doucement il entrouvre la porte.

 

Un rustre serait venu s’imposer, mais le professeur Martinov est un gentleman, il sait qu’on ne dérange pas deux coquines qui se donnent du plaisir. Il redescend, la bite toute raide.

 

Bientôt les deux filles se mettent à hurler de plaisir. Puis calmées et repues, elles s’embrasent et se câlinent avant de prendre une douche ensemble puis de se rhabiller.

 

– Euh, je vais te dédommager… commence Béatrice.

– Je t’avais dit que ce serait gratuit, on ne revient pas là-dessus… Et puis ce n’était pas du business puisque tu m’as fait jouir.

 

En descendant, elles tombent sur Martinov.

 

– Ces demoiselles vont bien ?

– Oui, mais je prendrais bien un petit café ! Répond Béa, tu en veux un, Vanessa ?

– Oui, oui !

– Vous avez fait connaissance alors ? Ironise le professeur.

 

Vanessa ne répond pas, mais met la main sur la braguette de Martinov.

 

– Mais voulez-vous retirer votre main !

– Quelle main ?

 

Et bien sûr, non seulement elle ne la retire pas, mais caresse l’endroit qui ne tarde pas à devenir dur.

 

– Une petite pipe, ça te dirait, mon lapin ?

– Non, non proteste-t-il, j’ai du travail.

– Bon tant pis, nous aurons l’occasion de nous revoir, je vous laisse, j’ai tout expliqué à Béatrice, vous verrez ce n’est pas bien compliqué. Bisous Béa ?

 

Les deux filles s’embrassent, juste un petit bout de langue dans la bouche, mais ce petit geste émoustille néanmoins notre vert professeur.

 

– Je vous fais la bise professeur ?

 

Sur la bouche ! Bouche fermée mais quand même !

 

– Quel dommage ! Reprend Vanessa en tripotant une nouvelle fois la braguette du professeur, je te l’aurais prise toute entière dans ma bouche.

 

Béatrice rigole dans son coin tandis que Martinov hésite et pour l’instant se laisse faire.

 

– Vanessa, vous êtes une sorcière, vous abusez de la situation ! Finit par dire le professeur

– Je n’abuse rien du tout, d’ailleurs je vous laisse… Euh, vous êtes sûr que vous n’allez pas regretter ?

– Bon alors d’accord, mais juste une petite pipe, alors ? Ça fera combien ?

– Allez juste 50 euros !

 

Vanessa n’attend pas son accord et lui extrait sa bistouquette de son pantalon.

 

– Oh, je sais ce que t’aimerais bien…

– Tss, tss, on a dit juste une pipe !

– Oui, mais tu n’aimeras pas qu’on te suce à deux, moi et Béatrice ?

– Faudrait peut-être que je sois d’accord ! Feint de s’offusquer cette dernière.

– Mais bien sûr que t’es d’accord, tout le monde est d’accord…

 

Et Béatrice plus par jeu que par autre chose vient aux côtés de Vanessa sucer la bite du professeur qui sous l’effet conjugué de deux belles langues agiles, ne tarde pas à cracher son foutre. Et hop un kleenex.

 

– Normalement on paye d’avance ! Commente la belle escort-girl, mais bon, toute règle à ses exceptions.

 

Façon de rappeler à Martinov que la prestation restait payante. Mais ce dernier a toujours un peu de liquide par devers lui.

 

– Tu ne donnes pas un petit billet à Béatrice ? S’amuse-t-elle.

– Mais enfin ça ne te regarde pas !

– Elle a raison, intervient l’intéressée, quand on joue il faut le faire jusqu’au bout !

– Mais enfin, Béatrice !

– Ça ne va pas te ruiner !

– Bon, bon ! On verra ça tout à l’heure.

 

Une fois Vanessa partie, Martinov apostropha Béatrice :

 

– Tu veux vraiment que je te paie ?

– Mais, non, grand couillon ! Mais il va bientôt être midi, tu m’offres l’apéro ?

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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