Partager l'article ! Vie de château 1: Vie de château - 1 - Le cul de Betty par Boris Vasslan attention, texte contenant des passages scatos explicit ...
attention, texte contenant des passages scatos explicites
Je ne me souviens plus pourquoi je me suis dirigé ce matin-là vers la cuisine. Je suis une grosse faignasse et quand j’ai besoin de quelque chose, je sonne mes domestiques (voir en attendant Edwige 1)
Toujours est-il qu’un charmant spectacle m’attendait, Betty ma cuisinière, était agenouillée sur le sol en train de rechercher je ne sais trop quoi. Son tablier était remonté sur ses fesses qui se trouvaient à moitié dégagées, et comme je le préconise, elle ne portait pas de culotte.
Rappelons que Betty est la plus ancienne de mes domestiques, la cinquantaine, un peu grassouillette, cheveux blonds coupés au carré, grosse lunettes… et vicieuse de chez vicieuse.
– Betty que faites-vous donc dans cette position ? L’interpellais-je, goguenard.
– Oh, Monsieur, je ne vous ai pas entendu entrer, j’ai fait tomber le bouchon d’un flacon d’épices et pas moyen de le retrouver. ! Dit-elle ; se relevant
– Dis donc, Betty je ne t’ai pas demandé de te relever…
Je passe derrière elle et commence à lui malaxer ses grosses fesses bien dodues.
– Humm, j’aime bien quand vous me tripotez le cul !
Je me baisse, lui embrasse le postérieur, puis j’ai soudain une idée !
– Monte sur la table, je vais te lécher, bien comme il faut.
Elle n’y va pas, elle s’y précipite ! Quelle est belle Betty dans cette position qui tend bien la peau des fesses, j’approche ma langue de son petit œillet brun et commence à la lécher !
– Hum quel doux parfum !
Car le moins qu’on puisse dire c’est que ça sent vraiment le cul ! Je lèche comme un forcené, le sphincter finit par s’ouvrir timidement, et je peux y pénétrer mon bout de langue, c’est assez âcre mais j’aime bien… je me mouille l’index et l’introduit dans son anus… Elle miaule de plaisir, tandis que mon doigt rencontre de la matière molle et chaude. Tant mieux… je ressors mon doigt, il est tout pollué.
– Tu as le cul plein de merde, Betty !
Je lui présente mon index, elle rigole ! Je suce alors mon doigt, comme d’habitude ce genre de geste est d’abord exaspérant de banalité (alors qu’il dégoûte ceux qui n’ont pas franchi ce pas) puis vient le petit côté enivrant, excitant qui fait qu’on a envie d’en faire un peu plus. Alors du coup je replonge mon doigt, et le suce de nouveau.
– Voulez-vous que je vous fasse un joli caca ? Propose alors Betty.
Un rire derrière nous m’empêcha de répondre à cette insolite proposition. Mirabelle toute souriante entrait dans la cuisine.
Mirabelle, une petite brune frisée, mignonne comme un cœur avec un cheveu sur la langue fut longtemps ma soubrette préférée, j’en suis tombé amoureux, c’est désormais ma compagne.
– Bonjour Betty, je ne vous dérange pas au moins ? Je vois que Monsieur se régale !
– Teins Mirabelle, je ne voudrais pas t’en priver ! Répondis-je en lui tendant mon doigt qu’elle suça avec gourmandise et application.
– Hum… j’adore, il y a longtemps qu’on n’avait pas fait des trucs comme ça, je croyais que tu t’en étais lassé !
– On ne se lasse jamais des bonnes choses, mais ce n’est pas une raison pour les faire tous les jours !
– J’en reprendrais bien, juste une petite fois !
Je replongeais mon index dans les entrailles de la cuisinière.
– Encore, encore, j’aime ça qu’on me tripote le trou du cul ! S’exclamait cette dernière !
Je me débrouillais pour ramener davantage de matière et tendis mon doigt à Mirabelle qui une nouvelle fois le nettoya sans aucun problème.
– Betty va nous faire un petit caca. Il faudrait sans doute mieux nous déshabiller, Mirabelle !
Et tout en enlevant ses vêtements, ma soubrette préférée n’arrêtait pas de lorgner le cul de sa collègue !
– Elle a un de ces culs, tout de même !
– Il est superbe ! Approuvais-je !
– J’aimerais bien le taper !
– Mais je t’en prie Mirabelle !
– Hé, pourquoi, voulez-vous me tapez ? Demanda Betty, se prenant au jeu. Je n’ai rien fait moi !
– Comment ça tu n’as rien fait ? Explosa Mirabelle ! Tu montres ton gros cul plein de merde à tout le monde… et même qu’on se salit les doigts quand on te les fout dedans…
– Ça n’a pourtant pas trop l’air de vous gêner ! Ricana alors la cuisinière.
– Mais c’est qu’elle deviendrait impertinente, je peux la gifler, Boris ?
– Bien sûr Mirabelle, gifle-moi cette salope !
Betty reçu ainsi deux beaux aller et retour qu’elle encaissa sans broncher. Ma compagne lui donna l’ordre de se déshabiller complètement et accrocha deux belles pinces à torchons sur les pointes de ses grosses mamelles. Puis la cuisinière dû se remettre en position tandis que Mirabelle faisait le tour de la cuisine à la recherche d’un objet frappeur. La situation était quand même surréaliste, la cuisinière son gros cul exposé sur la table, prête à chier à notre demande, Mirabelle à poil en train de chercher de quoi la taper, et moi dans le même appareil, la bite raide en train de contempler tout ça. Finalement ma copine opta pour une belle cuillère en bois assez longue.
– Tu crois que ça va le faire ? Me demanda-t-elle en me montrant l’objet.
– Fais donc voir ?
Et me saisissant de la cuillère, je la testais en m’en frappant la paume, puis alors qu’elle ne s’y attendait absolument pas, j’assénais un coup sur la fesse droite de Mirabelle.
– Aïe !
Puis enchaînant, la fesse gauche, la droite, la gauche !
– Tiens ça t’apprendras, petite peste, à vouloir frapper ma cuisinière qui n’a rien fait de mal !
Et je continuais à taper atteint d’une frénésie inavouable, je prenais un réel plaisir à rougir les petits globes charnues de ma complice préférée.
– Aïe ! Aïe ! Mon pauvre cul !
– Tu vas te taire, oui !
– Pardon, pardon, continue à me taper, je l’ai bien mérité…. Oh là là, ça chauffe !
J’arrêtais quand je jugeais que les fesses étaient suffisamment rouges comme ça ! Coquinement je lui tendis le bout de mes lèvres.
– Alors ça t’as plus ma petite fessée ?
– Hum… t’es un monstre, mais je t’adore. Bon, maintenant, je peux la taper ou pas ? Demanda Mirabelle
– Mais bien sûr que tu peux, mais ne l’abîme pas !
Betty qui se croyait sortie d’affaire encaissa donc une cinquantaine de coups de cuillère en bois, la chair de ses fesses tressautait à chaque contact rendant la scène irrésistiblement hot.
– Bon maintenant tu pousses ! Ordonna la soubrette
L’anus s’ouvre au rythme de ses efforts, on l’encourage !
– Allez Betty, fait-nous un joli boudin !
– Je le sens qui vient, vous n’allez pas être déçus !
Ça y est, un étron très brun parvient à trouver le chemin de la sortie. Betty reste comme ça un moment. Mirabelle tente un coup de langue, puis l’étron grossit, je tends la main, un morceau se détache et je le recueille. Elle continue, le reste tombe sur la table. Betty a fini de chier, elle veut se dégager ! On l’en empêche et elle n’insiste pas. Mirabelle se penche sur le contenu de ma main et se met à lécher, je l’imite, nous voilà tous les deux en train de régaler nos langues de ce joli boudin merdeux. J’en détache un morceau plus petit et le porte entre mes lèvres, le suçant légèrement, le goût est un peu acre mais pas franchement mauvais. Je m’approche du visage de Mirabelle qui ouvre sa bouche recueillant l’étron à son tour. Puis avec un autre morceau nous commençons à tartiner le fessier de Betty !
– Ça a du mal à s’étaler, c’est trop solide, il faudrait pisser dessus !
Je suis trop bandé pour le faire, c’est Mirabelle qui se dévoue, son jet atterrit sur les fesses, que je peux ainsi lui barbouiller plus efficacement.
– Qui c’est qui va se taper le ménage après ? Rigole Betty.
On se met à lécher, les fesses et le trou du cul de la cuisinière. On est complètement parti dans notre trip. Un moment nous nous roulons un patin, mélangeant nos goûts pleins d’âcreté. Je bande de trop.
– Betty je vais t’enculer !
Ce n’est pas une suggestion, même pas une proposition, c’est une constatation, je suis déjà dans son anus, je la ramone quelques minutes. C’est qu’elle aime ça se faire enculer, la cuisinière … Et tandis que je la besogne elle se tripote le clito avec une énergie assez remarquable. Mais je n’arrive pas à me contrôler… Dommage j’aurais bien conclu l’affaire avec Mirabelle. Mais que voulez-vous on ne fait pas toujours ce que l’on veut. J’en ressors la bite un peu merdeuse. La bouche de ma chérie m’attendait à la sortie et me nettoya tout !
– Je suis comme une conne, dans cette affaire, je n’ai pas joui, moi… M’avertit Mirabelle dont la voix était couverte par les cris de l’orgasme de la cuisinière.
– Mirabelle et moi allons prendre notre douche ensemble au premier, nous vous laissons celle du rez-de-chaussée, cela ne vous gêne pas, Betty ?
– Pas du tout Monsieur
– Et merci pour tout Betty, vous êtes formidable.
Je pris alors la main de Mirabelle et une fois dans le couloir, je la regardais dans les yeux, elle me répondit par le plus beau des sourires. Elle comprit que la journée ne faisait que commencer et nous partîmes vers la salle de bain…
© vassilia.net et Boris Vasslan 2014,2017
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