Eddy

Samedi 23 décembre 2000 6 23 /12 /Déc /2000 13:53

Résidence des Mésanges par Eddy

 

Gaystamp

 

Des déplacements toujours des déplacements ! Mais j'en ai marre ! Marre de ces villes de provinces où il n'y a rien à foutre le soir. Je connais maintenant la carte de France par cœur. Je suis tombé sur la liste des 30 plus grandes villes de France, je me les suis toutes tapées ! Toutes !

 

Celle-ci ne fait pas partie des 30 plus grandes, mais elle n'est pas loin de la grande bleue. Le déplacement durera quatre semaines m'a-t-on prévenu (d'habitude c'est rarement plus d'une) Donc au lieu de me faire loger à l'hôtel, mon patron m'a loué un petit studio qui sert d'ordinaire pour la période de vacances.

 

Le bureau des voyages de ma boite a sans doute cru bien faire, le nom est très joli, ça s'appelle la " résidence des mésanges ". N'empêche que ce machin est perché au 4ème étage, l'escalier pour y accéder est si étroit que deux personnes normalement constituées ne peuvent se croiser qu'en se réfugiant sur un palier, que les fenêtres sont minuscules et que la vue donne -comble de l'horreur- sur le clocher de l'église ! Et s'il se contentait d'être hideux le clocher, non, il sonne ! Toutes les heures ! Sinon c'est assez spacieux et pas trop mal agencé. J'ai malgré tout téléphoné au boulot pour leur demander s'ils pouvaient me trouver autre chose. Ils m'ont répondu qu'ils allaient voir ! Le " on va voir " étant bien souvent une façon comme une autre de dire " on s'en fout " !

 

Donc, à ce joyeux tintamarre autorisé au mépris du principe de la séparation de l'église et de l'état, s'ajoute le fait que je n'aie pas grand chose à faire le soir. Résultat : je me lève de plus en plus de bonne heure et ce matin me voici prêt environ une heure trop tôt ! Je n'aurais pas dû déjeuner, et aurais pu ainsi me faire servir une ou deux bonnes tartines de pain pas trop cuites et bien beurrées, agrémentées de confiture, et j'aurais trempé le tout dans un bon café au lait bien fumant ! Hum ! Mais j'ai déjà déjeuné d'un innommable café soluble et d'un croissant de la veille !

 

Je décide de prendre un peu l'air à la fenêtre. La face arrière de l'église me bouche la moitié de la vue. Je regarde à droite et à gauche et aperçoit une fenêtre grande ouverte donnant sur une mansarde. Rien d'original me direz-vous ? Sauf que dans la mansarde il y a un lit ! Et que sur ce lit il y a un corps nu ! Je n'en distingue pas le visage, hors de mon champ visuel, mais cette paire de fesses me nargue !

 

On ne se refait pas ! Et de toute façon qu'auriez-vous fait à ma place ? Je reste scotché attendant qu'il se passe quelque chose. C'est dans ces moments-là que l'on se rend compte que l'esprit humain est fragile ! Parce que : que voulez-vous qu'il se passe ? L'être humain (et j'espère bien qu'il s'agît d'une femme !) va finir par bouger, qu'est-ce qu'il va se passer ? J'aurais la vision d'un corps plus ou moins nu qui va durer, perception rétinienne comprise, moins de 2 secondes. Tout cela pour une paire de nénés, alors qu'il me suffit d'aller au bord de la mer pour en voir des paquets entiers !

 

Mais justement dans ces moments-là, on ne raisonne pas ! Surtout pas ! On attend !

 

Je dois en être à ma troisième cigarette, moi qui ne fume d'habitude presque pas, quand le corps se met à bouger, mais c'est pour se mettre légèrement de côté. On ne distingue toujours pas d'indice probant qui pourrait m'éclairer sur le sexe de cette personne. Mais je me dis que si ça a bougé, c'est que ça se réveille, et que ça ne va pas tarder à rebouger ! J'essaie d'ajuster ma vue au maximum, si seulement j'avais des jumelles, je ne distingue pas de système pileux, c'est donc une femme ! Quoique certains mecs n'ont pas beaucoup de poils. Bon on attend !

 

Effectivement cinq minutes plus tard, ça se retourne, et… Merde, c'est un mec !

 

Et c'est à ce moment-là que les réactions vont diverger ! Sans doute une partie des gens dans mon cas auraient de dépit fermé cette putain de fenêtre en maugréant après les exhibitionnistes qui sont tous des pédés, etc, etc… Mais l'autre partie elle fait quoi ? Ben elle reste ! Et me voici tout étonné d'en faire partie, de cette deuxième partie !

 

Parce que, il y a une suite au spectacle, et cette suite, je la regarde aussi. Le type s'est saisi de sa bite et se met à jouer avec, ce n'est pas une vraie masturbation, ça n'en a pas le rythme, mais n'empêche, il se tripote, et il bande comme un cerf. Et dernière surprise de la matinée (Pour le moment ! Pour le moment !) Je sens un frétillement tout à fait caractéristique au niveau de mon entre-jambes ! Mon dieu ! Je bande ! Ce qui n'est pas grave ! Bien au contraire ! Mais que cette situation-là me fasse bander ! Voilà qui est singulier !

 

Et le voilà qu'il se lève l'animal, et qu'il se dirige vers la fenêtre ! D'instinct, je me recule ! J'ignore s'il m'a vu ! Et puis s'il m'a vu, qu'est-ce que ça peut bien faire ? Je regarde l'heure, j'ai encore une bonne heure devant moi avant d'aller bosser. Je vais satisfaire un petit besoin naturel, puis poussé par je ne sais quelle curiosité je me rapproche de la fenêtre, l'air faussement décontracté, genre " je viens d'arriver, j'ai rien vu avant ! ", je regarde en direction de la fenêtre de tout à l'heure ! Le citoyen y est toujours, il a par contre noué une serviette de bain autour de sa taille…et (je vous avais bien dit que les surprises n'étaient pas terminées), et le mec me salue de la tête !

 

Alors là, il faut que je vous dise, on apprend ça dans les séminaires de formation, quand on a une activité qui nous fait connaître une multitude de gens, on ne peut pas tous se les remémorer, il nous est donc conseillé de répondre à toutes salutations même si la bobine du " salueur " ne vous rappelle rien. C'est un réflexe, je réponds donc au type par un même signe de tête ! Je m'aperçois aussi rapidement que vue la topologie des lieux seul un nombre restreint de personne sont susceptible de mater notre animal. Il savait donc parfaitement ce qu'il faisait.

 

Donc on reprend, pour ne pas perdre le fil, il me salue, je lui rends ce salut, et c'est alors qu'il dénoue sa serviette de bain, m'apparaissant complètement à poil dans l'embrasure de sa fenêtre, et pour me montrer que le geste n'est pas gratuit, il se met à se tripoter ostensiblement le zizi !

 

Un maniaque sexuel ! Au secours ! Et moi au lieu de laisser tomber et de laisser l'hurluberlu à ses délires, je continue à mater, fasciné par l'étrangeté de la scène ! Et ce trouble qui me reprend dans la braguette. Je devrais arrêter les déplacements. C'est sexuellement dérangeant !

 

Le type quitte un moment la fenêtre, le show serait-il terminé ! Non le voici qui revient, toujours à poil mais avec un téléphone à la main qu'il m'exhibe ! Je ne comprends pas vraiment, ou plutôt je trouve confortable de ne pas chercher à comprendre ! Il insiste ! Il me fait d'autres gestes ! Je fais l'andouille ! Il repart ! L'affaire va donc se terminer ! Non ! Il revient, mais avec un ensemble de feuilles d'essuie-tout non séparées… et dessus il y a un numéro de téléphone ! Il me communique son numéro de téléphone ! Dingue ! J'ai quand même l'impression que ce gars-là prend de sacrés risques ! A ce moment-là, j'aurai pu clôturer l'anecdote, il y avait déjà de quoi raconter ! Mais non, son téléphone, je le note ! Et je l'appelle !

 

Il se pointe à la fenêtre avec son téléphone

 

- Allô ! Eh bien c'est moi, à la fenêtre !

- Enchanté ! Me feriez-vous l'honneur de partager mon petit déjeuner ?

- Pourquoi-pas ?

 

Le ton était courtois, correct et surtout me paraissait normal, j'avais en effet un peu peur de tomber sur " le parfait gogol ". Il me donne ses coordonnées et j'y vais. J'ai l'impression d'être sur une autre planète, je ne réalise pas bien. Je sonne le type est là, toujours à poil si ce n'est sa serviette de bain nouée à nouveau autour de sa taille.

 

- Entrez-donc ! Je m'appelle Victor !

 

Je me présente à mon tour, l'endroit est petit mais propre et coquet.

 

- Venez dans la cuisine, je vais faire du café.

 

Je le suis, et hop ! Le voici qu'il dénoue sa serviette, j'ai ainsi son cul devant moi. Un trouble étrange m'envahit. Je ressens soudain le besoin morbide de toucher, je me retiens cependant. Il jette carrément la serviette dans un coin et arrivé dans la cuisine se tourne vers moi !

 

- Je suppose que ça ne vous dérange pas de me voir à poil ! Hein ?

- Non, mais admettez que la situation est un peu étrange !

- Justement c'est ce qui donne du piquant à la vie !

 

C'est effectivement un point de vue ! Puis tout en préparant le café, il enchaîne :

 

- Alors vous êtes un peu voyeur ?

- Juste un peu, je ne recherche rien, mais si j'ai l'occasion, je ne vais pas me priver ! 

- Vous avez peut-être des histoires de voyeur à me raconter, des histoires vécues ?

 

Je cherche dans ma mémoire, je ne trouve pas grand-chose

 

- A vrai dire ce genre d'évènements est plutôt rare, bien sûr chez quelqu'un qui cherche ce doit être plus courant ! Et vous, vous aimez vous exhiber ?

- J'adore !

 

Mes yeux n'arrivent pas à se détourner de sa quéquette. Il va se passer quelque chose, je le sens. Déjà le fait d'être venu jusqu'ici est assez surprenant. Mais je ne suis pas prisonnier, je peux partir quand je veux, là tout de suite. Mais en ais-je seulement envie ? Apparemment le type ne sait pas trop sur quel pied danser afin d'aborder des choses plus hard. Je décide de l'étonner.

 

- Elle est jolie ta quéquette !

 

Tout surpris le Victor, surpris agréablement vous vous en doutez bien !

 

- Mais si tu as envie de la caresser, ne te gène surtout pas !

- Et si je te disais que je n'ai jamais fait cela ?

- Je te crois, mais... vraiment jamais ?

- Ça remonte à loin en tout cas !

- Caresse-là, elle va se redresser de joie !

 

J'y touche, je la caresse, c'est doux, ça bouge, ça grossit. Je sens la mienne qui frétille dans mon slip. Cette matinée va être un tournant de ma vie sexuelle, je le sens. Ou plutôt non pas un tournant, une révélation. Ce n'est pas parce que je vais m'amuser (et j'en ai à ce moment-là vachement envie) avec une bite que je vais me mettre à négliger les femmes !)

 

Et puisque nous en sommes à ce genre de réflexions qu'il soit permis à l'auteur de ce petit texte sans prétention de s'insurger contre une certaine beauferie qui parce que quelqu'un se découvre des affinités homosexuelles, se permet de dire avec une suffisance crasse : " 'Tiens, il a changé de bord ". Et bien non je n'ai pas changé de bord, j'ai essayé autre chose ! Mais la bêtise à toujours le dernier mot, et les bisexuels (à voile et à vapeur) sont encore moins compris -si cela était encore possible- que les homos. Fin de la parenthèse !

 

Je ne caresse plus, je branle maintenant carrément la queue de ce super inconnu. Mais l'excitation me gagne trop ! Je veux ma part et prestement je me déshabille. Victor m'invite à passer dans la chambre. Si l'on m'avait dit, il y n'a même pas une heure qu'en découvrant ce cul à poil sur ce plumard par cette fenêtre ouverte, je finirais par y rejoindre son mâle occupant, je lui aurais sans doute ri au nez. Victor me caresse partout, il a les mains douces, cet olibrius ! Il veut m'embrasser sur la bouche, je refuse, je lui dis ne pas être encore prêt pour ça, il a le savoir-vivre de comprendre. Et nous branlons mutuellement la bite, nos deux queues sont bandées à leur maximum, je sais que cela va continuer en fellation.

 

Qui fera le premier pas ? Je me surprends en le faisant, et j'accueille dans ma bouche ce membre chaud, doux, délictueux, je le lèche de la langue, je le suce des lèvres, son gland turgescent est une merveille, je l'embrasse comme j'embrasserai de plaisir le nez mutin d'une femme transie de froid, je l'embrasse parce que c'est beau, parce que la situation m'excite, parce que ce type est trop sympa, parce que j'aime ce que je suis en train de faire. Je suce un mec, ce matin dans cette ville de province à 30 mètres du carillon du clocher de l'église et j'en suis fier, et j'ai envie de gueuler à tous ceux qui critiquent sans savoir : "essayez donc, bande d'ignares, essayez donc et vous changerez peut-être d'avis ! Et si vous ne voulez pas essayer, libre à vous, mais au moins ne critiquez pas ce que vous ne connaissez même pas, ce que vous ne connaîtrez sans doute jamais !"

 

Victor me suce à son tour, cela ne me paraissait pas indispensable, mais là surprise était aussi par ici ! Ce type suçait divinement ! J'en ai pourtant connu des suceuses et des bonnes, et si cette fellation n'est pas la meilleure que j'ai reçue, on en est malgré tout pas très loin ! S'il continue comme cela je vais jouir dans sa bouche ! Mais qu'importe, je vais pour lui dire. Trop tard j'éjacule ma liqueur, il la boit. Sublime ce type m'a donné trop de plaisir, il faut que je lui rende la pareille. Je fais ce que je peux, il a l'air d'aimer, je sais très bien que je n'aie ni l'expérience ni l'habitude. Je le lui dis !

 

- Comme toute réponse il me fait un large sourire et me caresse le trou du cul ! Non, pas ça, je veux dire : pas ce matin ! Demain ou ce soir. Il faut que j'y aille.

 

Je reprends son sexe dans mes mains, je le branle à fonds, il jouit enfin. Je regarde ma montre, il faut que j'y aille.

 

- Excuse-moi, je m'y prends comme un manche !

- Mais tu es tout excusé. Reviens quand tu veux ! Tu connais le chemin !

 

Je sortais, les idées pas très claires. J'avais besoin de prendre de la distance, de trier tout cela, de l'analyser. J'avais sauté à pied joint dans cette nouvelle expérience. Maintenant avec un tout petit peu de recul, les choses ne me paraissaient pas aussi évidentes. Je voulais essayer d'approfondir. La journée entière j'essayais de comprendre en portant un regard critique sur les gens que je côtoyais. Mais c'était toujours la même chose ! Les visages des femmes continuaient de m'émoustiller comme ils l'avaient toujours fait, et imaginer une paire de sein ou un joli cul bien rebondi me stimulait toujours autant mon imagination. Par contre j'avais beau regarder avec un œil différent la tronche des mecs, je n'arrivais pas, même en me forçant à y trouver un quelconque érotisme. J'en concluais qu'un concours de circonstance m'avait fait faire un coup de folie. Cette affaire serait donc sans suite, et pour me le prouver, je draguais comme un malade une petite secrétaire fort appétissante. J'essayais de décrocher un rendez-vous, elle ne me disait pas non, mais me faisait poiroter. Quelques minutes avant la sortie du bureau, elle m'avisa que ce soir, décidément, elle ne pouvait pas, mais que demain peut-être...

 

Pas grave ! Ne souhaitant pas aller au restaurant ce soir, je me fis quelques courses, des trucs sympas, une bonne bouteille ! J'allais me faire un bon repas de célibataire ! Et pour la suite de la soirée je louais deux cassettes pornos que je choisissais non pas en en fonction des histoires, mais en fonction des modèles, l'une avec des travestis, et l'autre " classique ".

 

En rentrant dans mon pigeonnier, j'ouvrais la fenêtre pour aérer un peu. Instinctivement je regardais en direction de la fenêtre de Victor, elle était fermée. Je me surpris d'en en être déçu ! Le souvenir des évènements du matin m'envahit brutalement. Saisi d'une impulsion subite, je me saisis du téléphone et composais son numéro. Personne ! Je décidais de me passer la première casette, je me ferais à manger ensuite. Elle n'était pas mal du tout cette casette avec de belles scènes impliquant des beaux travelos bien membrés, et très féminins. J'attrapais une trique sévère que j'entretenais juste ce qu'il faut, n'ayant pas l'intention de jouir pour le moment ! Le film fini, je n'en pouvais plus, j'avais mentalement sélectionné quelques passages qui accompagneraient bien ma jouissance au cas où ! Mais avant toutes choses, aller voir à la fenêtre ! Et, joie, c'était ouvert, j'attendais quelques minutes, mais rien ! Je me décidais donc à appeler.

 

- C'est moi, je peux passer !

- Je suis avec quelqu'un, ça m'embête un peu !

- Demain matin, alors ?

- Euh, ben non, je te rappellerais !

 

Je raccrochais dépité et réalisais soudain que ce zouave n'avait pas mon numéro. Il s'était bien amusé, excité par l'insolite de l'instant et n'avait tout simplement plus envie. Ça me désolait, mais ça avait le mérite de classer le problème. Ça m'énervait, je n'avais plus faim pour l'instant, je verrais cela plus tard, plus non plus envie de me masturber. J'enfilais une veste et pris ma sacoche, décidé à aller faire un tour en ville, un tour " comme ça ", un tour pour rien, pour m'aérer, pour me changer les idées, pour réfléchir, peut-être !

 

Je marchais ainsi deux heures durant, ne m'arrêtant que pour apaiser ma soif d'un pauvre demi-panaché sans panache ! Je rentrais, et si me idées n'étaient pas plus classées qu'auparavant, au moins j'étais un peu calmé. Je m'apprêtais donc à me faire le petit programme prévu, petite bouffe un peu arrosé, masturbation devant la cassette X et éjaculation devant les scènes de la cassette "trans" que j'avais repéré, puis dodo ! Un coup d'œil à la fenêtre, avant, comme ça par réflexe ! Des feuilles d'essuie-tout sont dépliées, quelque chose est indiqué dessus, mais c'est écrit un peu petit, je m'y prends à plusieurs fois, et je crois deviner " rappelle ! ". Un moment d'hésitation ! Et si ce message ne m'était pas destiné ? Mais qu'est-ce que je risque, j'appelle !

 

- C'est pour moi le message ?

- Oui ! Passe si tu veux, je vais te présenter un copain !

- J'arrive !

 

Me voici soudain requinqué : j'y cours, j'y vole, je m'y précipite !

 

Victor m'ouvre, son éternelle serviette autour de la taille, il me fait un bisou comme il le ferait à une vieille copine

 

- Je te présente D'Jemba ! C'est Jean-Baptiste, mais pour les amis c'est D'Jemba !

 

D'Jemba est un antillais très légèrement efféminé, il s'est également enveloppé d'une serviette, mais la quitte aussitôt, libérant une magnifique queue noire ! Cette vision me provoque quasi immédiatement un début d'érection. Et soudain j'ai la réponse à mes questions existentielles de l'après-midi ! Ce ne sont pas les mecs qui me font bander, c'est leur queue !

 

- J'ai raconté à D'Jemba comment on s'était rencontré, ça l'a tout excité et il a eu envie de te connaître !

 

 Mais la queue de D'Jemba, je l'ai déjà dans la main, c'est un régal de toucher une chose aussi douce, je la masturbe légèrement, je la décalotte, j'en embrasse le mât, et sans trop réaliser, je la fourre dans ma bouche et commence à m'en régaler, ma langue passe partout, sur le gland, sur le prépuce, descend sur les couilles.

 

J'arrête un moment afin de me déshabiller, je n'ai jamais dû me déshabiller aussi vite ! Victor et D'Jemba sont devant moi, je m'agenouille et me mets à sucer leurs queues alternativement, je passe de la noire à la blanche, de la blanche à la noire. Je suis au bord de l'implosion. Et puis une pulsion me trotte dans la tête, je sais que maintenant je suis psychologiquement prêt, si l'un d'eux veut me sodomiser, je lui offre mon cul sans hésitation. 

 

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D'Jemba se libère un moment de mon étreinte et se retourne me gratifiant du spectacle de sa magnifique paire de fesses.

 

- Suce-moi le trou !

 

Il y a décidément des gestes qui n'étaient pas dans mes fantasmes, même les plus enfouis. Je le fais plus par obédience que par plaisir, mais je me surprends à trouver la chose agréable, et m'acharne de la langue contre son œillet, le forçant à s'entrebâiller, y pénétrant autant que je le peux. L'autre est aux anges !

 

- Oh ! La petite pute, elle m'encule avec sa langue !

 

Victor, lui est passé derrière moi et commence maintenant à m'administrer le même traitement, je le sens me mouiller la rondelle, j'essaie de m'ouvrir au maximum, mais je manque dramatiquement de pratique. Je sens un doigt s'engouffrer dans mon inimité. Mon dieu ! Je sais que le moment est proche maintenant ! Dans quelques minutes, une bite me pénétrera, je me serais fait enculer ! Cela sera un souvenir indélébile de ma vie sexuelle. Et j'ai l'impression qu'il sera encore plus fort si c'est moi qui le demande, alors je le lui dis :

 

- Vas-y encule-moi !

 

Ça ne tarde pas, Victor s'est saisi d'un préservatif et force l'entrée de mon anus, il a manifestement du mal à passer, je pousse autant que je peux, j'agis sur mes muscles et je tire sur mes fesses. Ca y est, ça passe ! Et ça s'enfonce de plus en plus ! J'ai maintenant une bite en moi. Je suis un enculé et j'en suis fier, et voici que ça s'agite, que ça remue, c'est un peu douloureux tout de même, il cherche son rythme, ralentit un peu puis accélère de nouveau, la douleur fait place peu à peu à un plaisir trouble, c'est trop bon ! J'aurais voulu en même temps m'occuper de D'Jemba, mais encore une fois, je suis trop novice pour faire trente-six choses à la fois !

 

Quelque chose se passe derrière moi, la pine de Victor ne bouge plus, je comprends qu'il jouit, son silence me déçoit un peu, moi qui ai l'habitude des éjaculations démonstratives. Je me demande alors qui va s'occuper de la mienne quand je sens la bite de D'Jemba quémander l'entrée de mon trou ! Hé ! Mais c'est que ce n'est pas la même taille ! Comme tout cela va-t-il entrer ? Et bien ça ne rentre pas si mal que ça, le chemin est fait, semble-t-il ! C'est un peu douloureux, beaucoup plus que tout à l'heure, je m'apprête à le lui dire et à laisser tomber, mais j'attends quelques instants, ça va mieux, ça va beaucoup mieux, ça va même très bien, quel pied. D'Jemba me ramone comme un artiste. Instant hélas trop brefs, lui aussi jouira très vite. Ce type a des facultés de récupération assez dingues, il ne s'accorde aucun répit, va chercher un préservatif dans la boite, sur la table, me le tend :

 

- A ton tour de me prendre !

 

Je lui dois bien ça et ça me fait plaisir de lui en donner.

 

Je m'étonne de la facilité avec laquelle je le pénètre. L'action sera brève, moi qui d'habitude mets un certain temps à jouir, là c'est venu très vite, j'en suis un peu gêné. D'Jemba a quand même eu le temps d'apprécier ! Tant mieux. Je me retire confus.

 

- Viens ! Je vais te rafraîchir dit alors Victor à D'Jemba.

 

Nous nous dirigeons vers l'étroite salle de bain, et j'assiste alors à ce spectacle époustouflant. Victor avec une rapidité déconcertante se met à pisser en dirigeant le jet bers le sexe de D'Jemba ! Il en met partout, ses couilles sont dégoulinante d'urine. D'Jemba apprécie :

 

- C'est bon, c'est tout chaud !

 

Je me surprends à bander devant l'étrangeté de la scène, ce qui n'échappe pas à la vigilance de Victor

 

- T'en veux une petite goutte ?

 

J'allais dire non, mais il n'attend pas ma réponse et m'asperge à mon tour, le contact de ce jet doré me redresse lentement mais sûrement ma queue, je bande à nouveau. Et puis saisi d'une impulsion subite, je quittais précipitamment l'endroit.

 

- Quelque chose ne va pas ?

- Si mais ça fait beaucoup pour un seul jour, je vous laisse !

 

Ils me proposent de m'emmener dans une pizzeria, je refuse poliment, j'ai besoin d'essayer d'y voir clair, au calme, sans personne pour m'influencer, et sans que mes réflexions soient parasitées par des éléments extérieurs comme au travail cette après-midi. Je prends congé, je rentre.

 

J'ai faim maintenant, je sors du frigo toutes les bonnes choses que j'ai achetés et les dispose sur la table, j'ai vraiment à ce moment-là envie de m'en foutre plein la lampe.

 

Mon regard est soudain attiré par une grosse enveloppe posé dans un coin. L'envoi journalier de ma boite. Je l'ouvre sans conviction : le bulletin archi nul de l'entreprise, les communications sans intérêts de ma direction générale... je m'apprête à mettre tout le paquet à la corbeille, quand j'aperçois une enveloppe un peu plus personnalisée que le reste. Je déchire l'enveloppe et en lit le contenu.

 

" Suite à votre demande, nous vous proposons de transférer votre logement de fonction temporaire à " tel et tel endroit " Veuillez nous adresser un fax pour confirmation et blablabla... "

 

Quel démon me poussa alors à prendre cette feuille, à la froisser, en faire une boulette et pour être bien sûr que je n'irais pas la récupérer, la jeter à travers ma fenêtre ouverte ?

 

FIN

Eddy Stokien © edvardstokien@hotmail.com 

Première publication sur Vassilia, le 23/12/2000

 

 

 

 

  

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Mercredi 29 novembre 2000 3 29 /11 /Nov /2000 11:46

 

 

Martine la soubrette 2 – Les carreaux par Eddy

Fetish

 

  

Et, voilà, je l’avais voulu cette situation ! Moi, l’ancien cadre informatique, bien noté et toujours impeccable, j’étais en train de nettoyer la vitrerie d’un couple de bourgeois, travesti en tenue de soubrette, et sans culotte pour couronner le tout. C’est fatigant de faire les vitres et inintéressant au possible, et il y en avait des vitres et des miroirs dans cette maison !

Vers 10 heures j’eus un petit coup de pompe, j’aurai bien mangé un petit en-cas mais ignorais comment gérer ici ce genre de choses. Tant pis, j’attendrais midi, et puis il fallait que je satisfasse un besoin bien naturel… J’allais donc à la recherche des toilettes. Je supposais qu’il s’agissait de cet endroit derrière cette porte. Oui, mais voilà, elle était fermée à clé ! Tant pis j’irais me soulager dans la salle de bain. Mais cette dernière était également bouclée. De véritables obsédés de la serrure ces gens-là ! Restait la cuisine et son évier providentiel. Gisèle y était en train d’arranger un immense bouquet de glaïeul.

– Excusez-moi madame ?

Pas de réponse ! Elle le faisait exprès, bien sûr !

– Excusez-moi madame ?
– Dis donc petite pute, tu ne vois pas que tu me déranges ?
– C’est que pour les toilettes…
– Et que veux-tu faire aux toilettes ?
– Euh ! Ben… Uriner ?
– Pour te servir des toilettes, il faudra venir nous le demander, mais pour pisser, tu n’en as pas besoin !
– Mais comment dois-je faire ?
– Tu te retiens !
– Me retenir !
– Oui te retenir ! Et maintenant arrête de m’emmerder et retourne à ton travail, et que je ne trouve pas en train de pisser dans la cuisine derrière mon dos. Sinon c’est la porte et tu iras jouer à la soubrette ailleurs, petite tapette !
– Bien madame !

Je m’aperçois que j’ai donc oublié de parler avec mes employeurs de tout un tas de détails, par exemple, il faudra bien que j’aie accès à la salle de bain…Je repars continuer à astiquer les vitres, en me forçant à me retenir. Je ne me fais aucune illusion ceci est un jeu, et je suis aussi là pour ça !

Au bout d’une heure, la situation devient intenable, j’imagine quelques astuces pour m’en sortir quand Gisèle entre dans la pièce !

– Madame je suis désolé, mais je n’arrive plus à me retenir !
– Te retenir de quoi ?

Elle se fout de ma gueule ! Je craque :

– Je veux bien être un jouet, mais il faut quand même que le joujou fasse pipi, sinon le joujou il fout le camp…

Je n’en reviens pas d’une telle audace. Elle peut me jeter, maintenant tout de suite. Je m’en fous, il y a des limites tout de même !

– On se rebelle ?
– La question n’est pas là ! Si vous ne me dites pas où pisser, je pisse par terre et je me casse !
– OK ! Casse-toi !

La décision est brutale, mais tant pis, une vacherie comme ça le premier jour, ça veut dire que l’expérience va être intenable, je veux bien m’amuser, mais pas à n’importe quel prix ! Bien sûr ces crétins ont fermé ma chambre à clé ! Je hurle.

– Si on ne me file pas la clé, j’enfonce la porte !

Gisèle s’approche, elle a l’air hors d’elle. Elle me jette la clé qui passe à deux doigts de mon visage ! Tandis que précipitamment je mets quelques affaires dans mon sac, j’entends des bruits de clés. Elle a donc ouvert les toilettes. Mais c’est peut-être pour son usage personnel. Je jette un œil. Non, elles sont bien ouvertes sans personne dedans. Je me précipite. Mon dieu que ça fait du bien ! Ça veut dire aussi que Gisèle n’essaiera pas de faire le premier pas pour éviter cette rapide rupture de contrat. Le fait de pisser m’a calmé. J’ai été idiot de m’emporter. Sans doute attendait-elle une autre réaction de ma part, que je fasse sur moi ou dans je ne sais quel récipient. Je m’en veux. J’aurais volontiers prolongé cette expérience, mais il faut croire que j’en suis incapable. L’humiliation est terrible, après le divorce, et le licenciement, un autre échec ! Même pas capable d’être un esclave. J’en chialerais ! Alors humiliation pour humiliation je tente un va-tout, je cherche Gisèle, je la retrouve dans le salon et je m’agenouille comme une larve et je baisse la tête :

– Pardon Madame !
– Casses-toi !

Non, ce n’est pas possible qu’elle me repousse, elle joue, elle va me demander de revenir au dernier moment ! Mais pas cela ! Pas l’humiliation de l’avoir supplié en vain ! Je ne bouge pas ! Il ne se passe plus rien, je reprends espoir et lève timidement la tête. Elle me crache alors en pleine figure !

– Punissez-moi ! Faites-moi tout ce que vous voulez, mais gardez-moi !

Et je me précipite sur ses pieds, j’aurais voulu lui lécher les bottes, mais elle est très prosaïquement en petits chaussons. Ça ne fait rien, je lui lèche les chevilles, je n’arrête pas, elle ne dit rien, le temps travaille pour moi.

– Casse-toi, connard !

Aie, tout mon univers s’écroule. L’estocade ! L’insulte et au masculin en plus, m’ôtant même ma condition de travesti. Je me relève. Je suis mal, je vais pour partir. J’ai maintenant pris mon sac, je déverrouille la porte d’entrée. Toute cette plaisanterie va se terminer dans quelques secondes. Il faudra ensuite que je gère le retour à la maison…

– Au pied !

Je n’ai pas compris tout de suite que l’ordre s’adressait à moi ! Elle me rappelle donc ! Un truc de dernière minute à me dire sans doute avant de me jeter comme un vieux kleenex.

– Suis-moi !

Non je n’y crois plus, j’hésite, déjà elle s’éloigne dans l’appartement. Elle se retourne.

– Je t’ai dit de me suivre ! A quatre pattes, comme un toutou !

Elle me garde donc, je la suis dans la position qu’elle m’indique. Arrivée dans la grande salle à manger, elle pose les mains sur la table, me tournant le dos, puis retire la jupe de son tailleur. Elle a le cul relativement large.

– Baisse ma culotte !
– Oui, Maîtresse !

Je lui baisse sa culotte jusqu’en bas, je m’arrange pour laisser traîner quelques doigts afin de lui frôler la peau de mes caresses.

– Va chercher un verre, un grand verre, ou plutôt un bol.

Je m’exécute et reviens avec l’objet demandé, elle le prend, le place sous sa chatte et se met à pisser dedans. En voilà une drôle d’idée ! Ses chiottes sont bouchées ou quoi ?

– Tiens bois ! M’ordonne-t-elle en me tendant le bol à moitié rempli.

Je n’ai rien contre l’uro, mais ne l’ai jamais pratiqué de cette façon. Peu importe sa pisse est délicieuse

Gisèle se retourne et s’écarte alors ses deux gros globes afin de bien dégager son trou du cul. Je devine ce qu’elle va me demander !

– Nettoie-moi le trou !

Je me dis que ce ne sera pas une corvée, néanmoins en m’approchant, je constate que tout n’est pas nickel chez cette bourgeoise. Ou bien elle a oublié de se laver ce matin, ou alors son papier toilette n’est pas de très bonne qualité. L’odeur est loin d’être insoutenable, mais elle est forte, je finis par m’y faire. Je réalise à présent qu’en fait cette petite fantaisie était probablement programmée. Encore une façon de m’humilier. Je m’en fous, je prends sur moi, je lèche les petites taches marrons. L’épreuve est plus facile que ce que j’aurais pu imaginer. Je lui remplis de cul de ma salive, j’essaie de pénétrer au plus profond avec ma petite langue. Le résultat de tout cela c’est que ça me fait bander !

– Tu m’as bien léché !
– Merci Maîtresse !
– Mais qui t’a autorisé à bander ?
– C’est le fait de vous lécher maîtresse
– Ça te fait bander de me nettoyer mon trou du cul plein de merde !
– Il n’y avait pas tant que ça, Maîtresse !
– Non pas aujourd’hui…. Branle-toi, ça va te calmer !
– Ici ? Maîtresse ?
– Non pas ici ! Sur le toit ! Ou devant la fenêtre ! Bien sûr que c’est ici, triple idiot, et dépêche-toi !

J’obéis et je me masturbe, j’ai un peu peur d’être en panne, mais non ça va venir, je le sens

– Il me faudrait un kleenex !
– Et puis quoi d’autre encore, Tu jouis par terre et tu nettoies avec ta langue !

Je n’aime pas cela. Contrairement à certaines personnes qui peuvent jouir plusieurs fois de suite sans aucun palier, chez moi la jouissance est immédiatement suivie d’une chute brutale de la libido, qui dure deux ou trois minutes et qui rend le genre de chose qu’elle me propose particulièrement désagréable. Du coup je débande, ça me panique, elle va s’en apercevoir !

– Ben alors ? T’as des problèmes de quéquette ?

Je ne sais plus où me foutre !

– Bon, laisse tomber ta saucisse ! Elle est complètement hors service. Demain on prendra rendez-vous pour toi chez le sexologue. Pour l’instant suis-moi, on va voir comment tu as travaillé…

Je suis rouge de honte mais j’arrive à balbutier :

– C’est que ce n’est pas fini ! Maîtresse !
– Je ne veux pas voir comment c’est fait quand c’est fini, je veux voir comment c’est fait quand c’est commencé…

Elle se dirige vers la grande fenêtre du salon, s’approche des vitres. C’est vrai qu’ils ne sont pas mal nettoyés mes vitres, pas une trace…

– C’est quoi ce travail ?
– J’ai fait de mon mieux, maîtresse !
– Et bien il n’y a pas de quoi être fier !

Et la voilà qui crache sur les vitres !

– Tu vois bien qu’ils ne sont pas propres tes carreaux, une pétasse a craché dessus !

Elle attend que je lui dise quelque chose, mais je ne sais vraiment pas quoi dire.

– Et d’abord, c’est qui la pétasse qui a craché sur les carreaux ?

Ignorant quelle genre de réponse elle souhaite entendre j’essaie :

– Je ne sais pas maîtresse, ça a dû se produire quand nous étions à côté.

Elle me gifle !

– Et pourquoi tu mens ? Tu étais là ! Je veux que tu me dises le nom de la pétasse qui a craché sur ces carreaux, sinon je t’en retourne une autre !
– C’est vous Maîtresse…

Le bras se lève, je l’évite et je crie :

– C’est vous maîtresse, mais vous n’êtes pas une pétasse !
– Ah ! Enfin une réponse intelligente ! Va nettoyer immédiatement ces saloperies !

Je m’empare d’un chiffon

– C’est pourquoi foutre ce chiffon ?
– Ben, pour essuyer, maîtresse !
– Lâche ça !

Je le lâche, j’ai décidé d’être obéissant !

– Nettoie avec ta langue !
– Mais maîtresse…
– Tu discutes mes ordres, maintenant ?
– Mais c’est que…
– C’est que quoi ? Ce n’est que de la salive, je n’ai pas la tuberculose à ce que je sache. C’est la même salive dont tu te régales quand tu roules un patin à quelqu’un !
– Ce n’est pas une question de salive, Maîtresse, mais il y a de l’ammoniaque dans ce produit…
– De l’ammoniaque, mais en voilà une drôle d’idée…

Elle s’en va en marmonnant, je lui ai encore tenu tête. Mais pouvais-je faire autrement ? Je ne suis quand même pas là pour jouer avec ma santé !

Et la voilà qui revient. A tous les coups elle a encore inventé un truc pour m’humilier.

Gisèle ouvre son chemisier et fait jaillir ses gros nichons de son soutien-gorge.

Je rêve !

Elle se met à cracher plusieurs fois sur ses seins qui se retrouvent rapidement gluants de salive.

– Maintenant lèche ! Il n’y a pas d’ammoniac sur mes nichons.

Incroyable qu’elle me demande une chose pareille, d’un côté cet aspect gluant qui n’est pas spécialement ragoutant, de l’autre ses jolis seins. Je ferme les yeux et je lèche… et je bande.

Je me remets à faire ses vitres et à essuyer ses conneries. Il faudrait que je m’isole pour faire le point. D’un côté, je subis humiliation sur humiliation, mais de l’autre, c’est aussi ce que je cherchais… Et à l’instant présent je suis incapable de dire si cette situation me satisfait ou non !

Le temps passe, il va être 14 heures, elle ne m’a pas appelé pour déjeuner. Je ne réclame pas, je n’ai pas très faim, mais j’ai compris maintenant son jeu… ce soir j’aurais à manger, par contre j’aurais bien bu un verre d’eau. Mais je peux me retenir, la maison est pleine de coins, de recoins, de placards, de tiroirs, demain je planquerais une bouteille d’eau et même peut-être quelques morceaux de pain ou des gâteaux secs.

C’est quand même dingue, j’en suis là, moi le brillant cadre informatique, en train de finir de refaire les vitres qu’une bourgeoise a maculées de son crachat. J’ai la bite à moitié en panne se baladant librement sous une jupette, et je suis en train de faire des plans pour ne pas tomber d’inanition. Il faudra aussi que je prévoie une bouteille vide, je pisserais dedans !

L’arrivé de Gisèle interrompt mes rêveries !

– Alors ? Ce ne sont pas les cadences infernales à ce que je vois ? J’ai ma mère qui va passer me dire bonjour, tu iras lui ouvrir et tu prépareras le café ? Tu sais faire ? J’espère !
– Bien sûr ! Maîtresse !
– Comment ça bien sûr ? Comme si c’était évident, surtout venant de la part d’un impuissant !

Ah ! La salope, elle va trop loin, l’adrénaline monte, j’avale ma salive pour me calmer !

– Faudra-t-il que je me change ?
– Te changer pourquoi faire ? Non !
– Je dois rester sans culotte ?
– Absolument !
– Bien ! Maîtresse !

blond2.jpg

Une demi-heure après la maman qui se prénomme Bénédicte sonnait à la porte. Je vais ouvrir. Elle est très classe, la soixantaine, cheveux argentés, habillée d’un tailleur gris très BCBG. Pas un mot. Elle me regarde et pouffe de rire ! Toujours agréable !

Les deux femmes s’installent dans le salon, et je vais préparer le café. Ces gens sont pleins de frics et ils ne sont même pas foutus d’avoir une cafetière un peu moderne. Bon dieu ! Ça coûte 20 euros une cafetière ! Non au lieu de cela il faut faire le café avec un vieux machin à pression. Et le café est en grain, il faut le moudre. Je perds un temps fou à faire tout cela ! Je vais me faire engueuler, je le sens, d’autant que je ne sais pas trop comment le doser !

– Le café on va bientôt l’avoir, ou il faut qu’on descende au bistrot ?
– C’est presque prêt, maîtresse !

Il faut encore que je dégote un plateau. On ne me dit rien dans cette maison. Par chance j’en trouve un. Et le sucre ? il faut que je trouve le sucre ! Jamais je n’aurais imaginé que faire un simple café serait un tel calvaire. Ça y est… je trouve le sucre, mais je ne vais pas emmener le paquet comme ça ! Ça ne doit pas se faire, il faut maintenant trouver une sucrière, je vais craquer.

– Bon alors ?

Tant pis pour la sucrière j’apporte ça comme ça, je sers les tasses, je verse le café, je me rends compte que j’ai oublié les petites cuillères, je marmonne un mot d’excuse et m’enfuit dans la cuisine à la recherche des précieux ustensiles sous les éclats de rire des deux femmes qui n’en peuvent plus. Je reviens

– C’est quoi ce truc ?
– Une soubrette, c’est le dernier modèle à la mode !
– Mais c’est un mec !
– Non, enfin si, enfin, ce n’est pas une femme !
– Mais qu’est-ce que t’as fait d’Huguette ?
– On en avait marre, on l’a laissé partir !
– Et tu l’as trouvé comment ton dernier modèle à la mode ?
– C’est mon mari sur Internet…
– On trouve décidément n’importe quoi sur Internet !
– Et tu penses le garder ?
– Non ! Il est trop nul !

La salope, elle m’a fait reprendre espoir, pour mieux m’humilier, je vais finir par craquer pour de bon !

– Il ne sait rien faire alors ?
– Non ! Quoique si, il lèche très bien le cul !

Enfin quelque chose qui ressemble à un compliment. Gisèle sait très bien souffler le froid et le chaud. Mais elle reprend :

– Remarque, ce doit être un pervers, je devais avoir le cul dégueulasse, d’ailleurs ça l’a fait bander trente secondes.
– Oh ! Tu devrais peut-être lui faire dessus !
– C’est prévu, mais pour l’instant je n’ai pas envie, et toi ?
– Je peux essayer si tu veux.

– Allez Martine, couche-toi par terre, maman va te chier dessus.
– Je… je … je reste habillé ?
– Evidemment conasse, elle va te chier sur la gueule.

J’ai le cul de la vieille bourge au-dessus de mon visage, son anus s’ouvre, une petite crotte finit par apparaître, grossit, prend la forme d’un petit boudin, se détache et m’atterrit sur la tronche, un deuxième suit, puis plus rien. La femme se relève, ne s’essuie pas et ramasse les deux étrons, elle en pose un sur la table et lèche un peu le second, puis le passe à Gisèle qui en fait de même. Elles sont dégueulasses.

Gisèle me demande de me relever.

– Ma salope de mère ne s’est pas essuyé le cul, alors à toi de jouer : corvée de nettoyage.

Je lèche donc les traces de merde restées autour de l’anus. Ma foi, c’est pas mauvais.

Mon nettoyage terminée, je me relève, les deux femmes complètement déchainées après avoir léché et reléché l’étron, se roulent des patins d’enfer bien gluants. Je vous dis, elles sont dégueulasses.

– Je peux regarder sa queue ? Demande Bénédicte

Et sans attendre l’autorisation de sa fille, elle me fait tomber ma jupe. La voilà qui me tripote la bite, elle a les mains très délicates, je me remets à bander !

– Tu vois, moi j’arrive à le faire bander
– Ça ne m’étonne pas t’es qu’une salope !

Elles rient.

– Tu me le prêtes ?
– Je te le prêterais mais pas aujourd’hui !
– Je croyais que tu ne voulais pas le garder ?
– Je ne le garderais pas des années !

Me voici avec une érection tout à fait correcte, Bénédicte me branle carrément maintenant !

– Elle n’est pas si mal sa bite, bien bandée !
– Dans le genre modèle réduit, ouais !
– Tu exagères, moi elle me plait bien !

Et de façon tout à fait inattendue, Bénédicte me fourre ma queue dans sa bouche !

– Maman ! Je t’interdis !
– Gisèle ! Tu n’as rien à m’interdire !
– Si ! Je suis chez moi !

Mais c’est qu’elles sont sérieuses, elles vont s’engueuler, et c’est moi le sujet de discorde ! C’est la meilleure de la journée ! Bénédicte se lève, et se dirige vers la porte

– Bon à un de ces jours, et merci pour l’accueil !
– Arrête maman ! On ne va pas s’engueuler !

L’autre ne répond pas et disparaît de l’appartement.

– Mais, c’est pas vrai ! La voilà fâchée maintenant, et tout cela à cause de cette pédale ! Casse-toi sale connard et cette fois n’essaye pas de te raccrocher ou sinon je t’écrabouille !

C’est profondément injuste, je ne suis pour rien dans cette embrouille absurde ! Je crois qu’effectivement je suis resté un peu trop longtemps dans cette maison ! Je me précipite afin de prendre mon sac dans ma chambre, et vais pour sortir. Ça y est, je suis dans l’escalier. J’ai oublié de réclamer mes gages de la journée. Pour le principe parce que je n’attends pas après. Je descends ! Quelqu’un monte, j’ai eu le temps de mettre une culotte, tout va bien, mais ne voilà-t-il pas que je me retrouve nez à nez avec Bénédicte !

– Faut que je remonte, j’ai oublié mon briquet, c’est que j’y tiens à celui-là ! Mais tu te barres ? Elle t’a viré ?
– Oui ! Mais de toute façon j’en ai marre !
– Tu as tort, il faut les connaître, ils n’étaient pas si méchants que ça avec Huguette…
– C’est fait, c’est fait !
– Non ! Remonte avec moi !

J’accepte sans trop savoir pourquoi. Elle sonne.

– Qu’est-ce que vous foutez là tous les deux ?
– Je te propose un deal. Tu me rends mon briquet et je te rends ta soubrette !
– N’importe quoi ! Bon rentrez tous les deux, on va essayer d’y voir clair !

Bénédicte se rassoit, tranquillement, pas gênée, et elle s’adresse à moi :

– Et toi la petite tapette, tu vas nous refaire du café, mais cette fois tu vas le faire un peu moins fort, d’accord ?
– C’est toi qui donnes des ordres, maintenant !
– Oui parce que si tu n’en veux pas je l’embauche ! Et sur-le-champ en plus ! Et quand il va revenir je veux le sucer. Sauf si tu t’y opposes formellement, auquel cas, je n’insisterais pas !

Ce n’est pas possible, la bagarre va recommencer, je ne suis qu’un objet ridicule, un gadget, qui ne sait même pas faire le café.

Je prends les premières tasses pour les rapporter en cuisine.

– J’enlève ça ? Demandais-je en désignant l’étron resté sur la table.
– Laisse-le là ! Il est très joli cet étron !

Faut surtout pas les contrarier.

Quand je revins dans le salon, les deux femmes étaient très débraillées et tendrement enlacées. Elles avaient utilisé l’étron pour se badigeonner le corps. Gisèle léchait goulûment le téton droit de sa mère, qui bouche ouverte et yeux mi-clos se tripotait la chatte. La vision de ce chaud spectacle me provoqua une érection immédiate et non dissimulable. Je me raclais la gorge.

– Sers les tasses, laisses-nous et va finir ce que tu faisais ! M’ordonna sèchement Gisèle exposant un instant à mon regard de vicelarde ses seins lourds, laiteux et recouvert de matière.

Il me restait effectivement quelques vitres à finir ! Quelques heures après j’ai retrouvé le café refroidi. Elles ne l’avaient pas bu. Et Bénédicte n’était plus là pour me faire une pipe…

Je suis resté une semaine chez mes employeurs, le vendredi j’ai demandé mes gages ne sachant pas si je reviendrais mais ne leur en parlais pas.

Il s’est passé pas mal de choses pendant cette semaine, je vous les raconterais peut-être si vous êtes sages.

En fait, je voulais vivre une expérience, pourquoi la prolonger, j’ai vécu ce que je voulais vivre, j’ai eu mon compte de châtiments corporels et d’humiliations diverses. Inutile de s’éterniser dans cette relation où tout risque de devenir répétition, et puis je ne suis pas soumis 24 heures sur 24 non plus !.

J’ai maintenant un autre fantasme, rencontrer d’autres travestis comme moi et faire des tas de petites cochonneries ensemble.

Fin

Au départ ce texte était une commande d’un travesti qui d’ailleurs se faisait appeler Martine et qui voulait que je rédige ses fantasmes. J’ai pondu deux épisodes, qui lui ont plu, puis un troisième qui ne lui a pas convenu. On a donc arrêté là. Je n’ai pas conservé le chapitre trois et j’ai remanié les chapitres 1 et 2. Bisous

Edvard Stokien 2000
eddy@vassilia.net

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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Mercredi 29 novembre 2000 3 29 /11 /Nov /2000 11:45

Martine, la soubrette

par Eddy

 

Fetish

 

 

Chapitre 1 – Entretien d’embauche

Mauvaise nuit ! Et mauvaise année ! Il y a deux mois ma femme me quittait après avoir découvert ma malle secrète au grenier. Il était impossible qu’elle la découvrît et qu’elle en force le cadenas. Elle l’a fait quand même ! Je n’avais pas d’explications de prête. La crise a eu lieu. Nous aurions pu nous en sortir, mais j’ai été malhabile et comme toujours dans ces cas-là, on atteint une situation de non-retour. Elle est partie avec les gosses ! En contrepartie j’acquérais un peu de liberté, plus besoin de malle pour planquer mes affaires destinées à me travestir. Mais cette rupture m’a traumatisé. Je m’en veux de ne pas avoir eu le courage de lui avouer mes fantasmes. Et puis, voilà hier, convocation chez le grand patron : et le couplet de l’hypocrisie : La survie de l’entreprise passe par des réductions drastiques de personnel, votre départ est une perte pour l’entreprise, mais… et blablabla, foutu à la porte ! Je ne me plains pas, j’aurais mon salaire pendant un an, et la possibilité de ne rien foutre ! Et passé ce temps je saurais bien trouver une entreprise qui appréciera mes services.

Envie de ne rien faire aujourd’hui. Je branche le micro et je décide d’aller m’exciter tout seul en regardant les sites de travelos, mais je n’ai même pas le cœur au sexe. Avant de refermer, je décide d’aller voir un site de petites annonces coquines qui m’amuse…

…et soudain je tombe sur ça :

« Couple bon milieu cherche soubrette travestie ou transsexuelle »

Pourquoi pas ?

Je réponds et attends fébrilement la réponse sur ma messagerie, elle ne tarda pas à arriver. L’auteur de l’annonce m’envoie une espèce de grille questionnaire sur les pratiques que je suis ou non prêt à accepter, je dois à chaque fois dire oui, non ou modérément… je réponds tout de suite, me demandant avec anxiété si mes blocages sur certains comportements ne feront pas capoter ma candidature ! Mais non, je ne risque rien de tenter le coup et répond « oui » à toutes les questions sauf pour la scato ou je coche « modérément »

Une heure après nouveau mail :

– Je vous trouve bien délicat, mais cela devrait s’arranger, téléphonez-moi avant midi à ce numéro !

Je me précipite sur le combiné !

Le type au bout du fil me demande de venir en début d’après-midi, il faudra bien sûr que je vienne en travesti !

Il y a quelques mois, je serais monté au grenier, j’aurais pris mon sac de sport (censé m’accompagner à des séances de gymnastiques) et je serais allé m’habiller et me maquiller dans les chiottes d’un bistrot ! Mais maintenant je m’en fous, ce que pense les voisins ne m’intéresse pas, et je me prépare doucement, je commence par me doucher puis, je me rase de très près comme j’ai l’habitude de le faire non seulement le visage, mais tout le corps, je me rase ainsi le torse, le ventre, les bras, les jambes, les fesses, et même les couilles, laissant juste un peu de poil à l’endroit du pubis, j’enduis mon corps de crème afin qu’il soit doux et lisse ! Puis j’entreprends de me maquiller. Le plus dur c’est les yeux, mais j’ai acquis un certain coup de main, le visage ensuite, puis les lèvres ! Il me reste à me faire les ongles, je me les fais avec applications y compris ceux des orteils que je néglige habituellement. Je mets ma perruque blonde, je regarde l’image que me renvoi mon miroir, je suis belle. Je suis Marie-Pierre, une femme à bite, un travelo et j’en suis fier !

Je m’habille maintenant, je choisis un bel ensemble slip et soutien-gorge rouge, j’aime les sous-vêtements rouges, ça fait pute, si j’avais été une femme j’aurais été pute ! J’ai aussi un porte-jarretelles et des bas de la même couleur ! Super, j’ai des belles jambes, j’en suis fier, certaines femmes n’en ont pas d’aussi belles, je me tourne pour regarder mes petites fesses, machinalement je me glisse un doigt dans le trou, j’espère que quand je reviendrais, je me serais fait enculer par une bonne bite ! J’adore ça !

Je complète ma tenue par une minijupe noire et par un chemisier beige clair. Restent les chaussures, je ne mis suis jamais faites aux chaussures, ça reste un véritable enfer, j’essaie quand même une paire relativement assortie en espérant qu’elles ne me feront pas trop mal ! Et voilà, un peu de parfum, mon petit sac à main de poulette et je suis prête pour l’aventure.

Je marche un peu, je prend un café dans un bistrot où je n’ai jamais mis les pieds, cela m’excite d’observer les regards ambigus des gens !

Je prends le RER, puis le métro, puisque ma femme a aussi embarqué la voiture et que la seconde est en panne… c’est la première fois que je me travesti au départ de chez moi, je sens dans les transports des regards qui m’interpellent, mais personne de connu, et une fois arrivé à Paris je peux me fondre dans un anonymat plus rassurant ! Je déjeune d’un simple hot-dog, et arrive enfin. Et sonne au 3ème étage de cette maison bourgeoise du 15ème arrondissement. Un type 45-50 ans, sans un poil sur la caillou, m’ouvre !

– Vous êtes Marie-Pierre, entrez donc !

Le ton est jovial, ça ne devait pas durer !

– Nous verrons dans un instant si vous faites l’affaire, mais de toute façon, je vous paye votre journée d’aujourd’hui, et j’attends de vous la soumission la plus totale !

Et ce disant, il me balance un billet de 50 euros que je ramasse, bien évidemment.

– Bon ! Marie-Pierre est un trop joli nom pour une pétasse comme toi, je t’appellerai Martine, Tu es d’accord ?
– Oui, Monsieur !
– De toute façon, d’accord ou pas, c’est comme cela, Je te tutoierais, mais toi tu nous dois le respect, tu nous appelleras Monsieur et Madame en temps ordinaire et Maître et Maîtresse pendant les périodes de soumissions.
– Oui monsieur !
– Evidement tu as mis une culotte ?
– Oui monsieur !
– T’es vraiment nulle, se présenter à un entretien d’embauche en culotte ?
– Je n’y avais pas pensé !
– Tu aurais dû le deviner !
– Oui Monsieur !
– Tu vas être punie pour cela !
– Oui Monsieur !
– Retire-la !

Le maître m’arrache des mains la culotte que je viens de retirer et me la déchire ! Il est con, ce type, je l’avais payé cher, mais je suis là pour être dominé et humilié et ne dis rien !

– Bon maintenant enlève ta jupe, on ne t’as jamais dit qu’elle était ridicule ?
– Non, Monsieur !

blond.jpg 

J’enlève donc ma jupe, et me voici, la bite à l’air devant ce type ! La vue de ma queue le trouble, je le sens, mais il ne fera aucun commentaire. J’ai envie de m’amuser et je vais jouer à l’aguicher, je prends ma queue et attaque quelques mouvements de masturbation

– Qui t’as dit de te branler, petite salope ?

La gifle était complètement inattendue, mais il n’a pas voulu me faire mal, mais m’humilier, oui !

– Désolé, Monsieur, je pensais que…
– Tu n’es pas ici pour penser, mais pour obéir, t’as compris, petite pute ?
– Oui Monsieur !

Le type est excité, ça se voit au chevrotement de sa voix, et à son visage qui rosit légèrement. Il est vêtu d’une espèce de veste d’intérieur croisée qui m’empêche d’observer sa braguette… Il me tripote un peu les couilles sans aucune délicatesse comme si j’étais une marchandise, puis me caresse la verge. Il enlève sa veste, il a chaud, et je distingue maintenant la grosse bosse derrière la braguette !

– Tourne-toi.

Parade facile et prévisible ! Il me tripote à présent mon petit derrière.

– Martine tu as un vrai cul de gonzesse ! Tu aimes te faire enculer ?

Il le sait bien, ça faisait partie du questionnaire, mais puisque cela fait partie du jeu, je réponds :

– Oui Monsieur ! J’adore ça ! Vous pourrez me le faire quand vous voulez !
– Bien sûr que je vais le faire quand je voudrais, petite salope !

Il m’introduit maintenant un doigt dans le cul, on ne peut pas dire que ce type soit un modèle de délicatesse ! Mais ça ne fait rien, j’aime bien me faire doigter le cul !

– Un peu étroit quand même !
– Je vous avais prévenu !
– Ne t’en fais pas, si tu restes à mon service, il va s’élargir !
– Ce sera avec grand plaisir !
– Je vois que tu deviens une petite garce obéissante…

Il retire son doigt, en constate l’état.

– Pas très propre tout ça !
– Vous ne m’avez pas précisé que je devais… euh…
– Ça ne me dérange pas, mais nettoie-moi cette merde.
– Euh, j’ai un kleenex…
– Non, lèche !

Ce n’est pas un problème, je lui lèche le doigt qui redevient vite tout propre

Ce disant, il n’en peut plus, il ouvre sa braguette, et sort sa queue, toute raide, elle me plait, elle est belle et le bout est tout violacé ! Un amour de bite !

– Suce ma queue, pétasse !

Je ne réponds pas, je saisis la verge d’une main et approche ma langue de son gland, je donne quelques coups de langue, sa pine a une odeur assez forte, ce qui est normal à cette heure, j’entoure le gland avec ma bouche et commence mes mouvements de succion tout en continuant à tamponner le bout avec la langue, j’adore sucer des belles bites !

– Arrête !

Il finit de retirer son pantalon et s’en va, je ne sais où.

– Attends-moi !

Bien sûr que je vais l’attendre, je ne vais pas m’en aller ! Il ne tarde pas à revenir, muni d’un préservatif ! Ça y est ! Je vais passer à la casserole, je ne pensais pas que cela arriverait si tôt. Il me fait pencher en avant en m’arc-boutant contre une table, Et le voilà qui pousse, ce connard m’a fait mal, il aurait fallu qu’il lubrifie avant, je crie un peu, mais il s’en fout, il finit par rentrer, j’ai réellement mal, et je me demande si je ne vais pas tout planter là et aller voir ailleurs des gens aux pratiques un peu plus douces, mais peu à peu la douleur disparaît pour faire place à ce plaisir trouble que je n’ai que trop peu connu. C’est bon je me laisse faire ! Il ne tarde pas à jouir en poussant un hurlement de sapeur !

– Et maintenant, à genoux devant moi et bouche ouverte, je vais te pisser dans la gueule.

Son urine n’est pas trop forte, mais le débit est puissant, j’en fous plein à côté.

– C’est bon tu es engagé pour un mois !
– Merci Monsieur !
– Tu commences demain… tu peux apporter tes affaires ! Mais avant tu me nettoies les saloperies que tu as fait sur le parquet.

Ah bon, je commence demain ! J’aurais bien commencé tout de suite…mais il est vrai que je n’ai rien apporté pour rester.

– Tu coucheras ici, ton week-end est libre sauf si je te retiens, à ce moment-là tu seras payé en supplément ! Si tu as envie de prendre l’air tu devras me le demander Mais sinon tu es mon esclave 24 heures sur 24 du lundi 9 heures au vendredi minuit !

Il me parle après de mes honoraires, j’accepte ses conditions, il n’est pas censé savoir que je ne fais pas cela pour le fric. Je remets ma jupe, mais quelque chose ne va pas, l’absence de culotte me gêne et j’ai l’impression que tout le monde va s’en apercevoir

– Euh, vous n’auriez pas une culotte, ou un slip à me prêter, parce que…
– Certainement pas, tu n’avais qu’à y penser avant, démerde-toi ! Maintenant fout le camp et soit à l’heure demain matin !
– Bien Monsieur !

Me voici dans la rue, j’ai horriblement mal au trou du cul, et j’ai vraiment l’impression d’être à poil, ma bite fait une bosse sous ma jupe, et je ne sais plus où me mettre, j’essaie de cacher tout cela en plaçant mon sac à main devant, mais ça me donne une attitude ridicule, Je suis rouge de honte, j’essaie de déambuler sur les trottoirs où il y a le moins de monde. J’aurais pu héler un taxi, mais l’humiliation de la situation m’empêche de réfléchir correctement. Et ce qui devait arriver arriva. Deux jeunes loubards me croisent :

– T’as vu le travelo ? Mate un peu ce pédé, il n’a pas de culotte !
– Trop nul le mec, on lui pique sa jupe ?

J’aurais réfléchi, je me serais rendu compte, que la rue n’étant pas déserte, ils n’auraient jamais mis cette menace à exécution, mais non, paniqué, je me mets à courir, pour m’apercevoir que… ma jupe se soulève quand je cours ! Je suis désespérée ! Je ne m’attendais pas à une honte pareille ! Je craque, je m’assois cul nu sur le bord du trottoir et je me mets à chialer comme une madeleine. Trop c’est trop, je souhaitais être humiliée, rabaissée, mais pas à ce point… des gens me regardent ! J’ai peur que quelqu’un appelle les flics ! Je panique de plus en plus !

– Vous avez un problème ?

C’est qui celui-là ? La situation est déjà assez compliquée comme cela, je m’enfuis au petit trop pour ne pas que ma jupe se soulève ! Des gens rigolent !

Un Monoprix ! Sauvé, je vais pouvoir m’acheter une culotte. Où est le temps où l’on pouvait faire des tas de choses derrière les porches des immeubles ? Maintenant il y a des digicodes partout… Je finis par me changer dans les toilettes d’un bistrot ! Ça va mieux ! Je m’assieds à une table et tente de rassembler mes idées. Je ne me vois pas rentrer comme cela dans mon coin en pleine heure de pointe. Alors je retourne au Monoprix, soulagée, m’acheter du maquillage, des sous-vêtements de rechange et autres bricoles…et je loue une chambre d’hôtel pour la nuit !

A 9 heures précises, je me pointe chez mes nouveaux patrons. Avant dans l’escalier, je retire ma culotte que je glisse dans un sac de voyage que j’ai acheté la veille. Le maître m’accueille :

– Bonjour Martine, je vois que tu es ponctuelle, bien vérifions tout cela.

Et ce disant, il soulève ma jupe, constatant qu’aujourd’hui je n’ai rien en dessous, il recommence à me tripoter la bite, je suis sûr qu’il n’avait aucunement l’intention de le faire, mais c’est plus fort que lui… Bien sûr, il me fait bander. Je suis sûr qu’il a envie de me la sucer. Mais il se reprend.

– Quelqu’un t’a autorisé à bander ?
– Non, Monsieur !
– Je devrais te punir pour cela !
– Comme il vous plaira, Monsieur !
– Bon je n’ai pas trop le temps ce matin, je vais te présenter à madame !

Il appelle donc son épouse ! Gisèle est une grande femme, la cinquantaine, assez forte sans exagération. Elle est habillée d’un tailleur beige assez strict. Ses cheveux bruns sont coiffés en chignon strict et elle porte des lunettes !

– Bonjour madame !

Elle ne daigne pas me répondre ! Elle tourne lentement autour de moi, en prenant un faux air dégoûté !

– Retire ta jupe !
– Oui madame !

Décidément c’est une manie dans cette maison… Me voici à nouveau le cul et la bite à l’air, et l’autre qui n’arrête pas de tourner, elle finit par s’arrêter, et soudain alors que j’étais loin de m’y attendre, elle me crache au visage.

– Tiens ! Sale porc ! Mon cadeau de bienvenue !

Il ne faut surtout pas que l’humiliation me fasse bander… Mais je ne peux pas m’en empêcher ! Elle s’adresse à son mari :

– Eh bien, je crois qu’on n’a pas fini de s’amuser avec cette petite tapette…

Puis m’adressant enfin normalement la parole :

– Bon, toi tu me suis, et je vais t’expliquer ce qu’on attend de toi !
– Bien madame, je peux remettre ma jupe ?
– Tu es très bien comme cela !

Je suivis donc ma maîtresse dans une autre pièce où elle m’expliqua :

– Tous les jours tu auras une liste de tâches ! Tu te débrouilles pour faire cela correctement ! Inutile de saloper le travail pour espérer être puni, cela ne se passe pas comme cela ici. Si tu ne fais pas l’affaire, ce n’est pas une punition que tu auras, mais tu seras foutu à la porte ! Cela dit ici tu n’es qu’une merde d’esclave et on sera amené à jouer avec toi et à te faire subir les pires traitements quand bon nous semblera ! T’as compris poufiasse ?
– Oui Madame !
– Je veux t’entendre répondre : « je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit ! »
– Oui madame, Je suis une pouffiasse et j’ai bien compris ce que vous m’avez dit !
– On a tous les droits, si on veut de cravacher ou te chier dessus, tu n’as rien à dire.
– Oui madame !
– Quand nous aurons du monde tu t’enfermeras dans ta chambre et tu n’apparaîtras que si on a besoin de toi ! En ce qui concerne la tenue, voici un tablier de soubrette et une petite coiffe. Tu te mets ça immédiatement !
– Oui madame !
– Bon tu as toutes les vitres à nettoyer aujourd’hui, t’en as pour un moment, je vais te montrer où sont les produits, les chiffons et tout cela et tu vas commencer ! Mais avant je vais te montrer ta chambre

Je m’attendais à une espèce de geôle, mais non c’est une chambre normale, même si le décor est quelque peu spartiate.

– Bon voici ta chambre, tu vas pouvoir y installer tes affaires ! Mais tu dois savoir deux choses, la première c’est que si on a envie de te faire coucher ailleurs une nuit, on en a parfaitement le droit, la deuxième c’est qu’il ne faut pas te figurer que cette chambre sera ton petit coin tranquille ! Il n’y a pas de clé et nous avons la liberté d’y entrer à n’importe quel moment. Par contre, je veux que cet endroit demeure impeccable ! T’as compris salope ? Parce que si tu n’es pas d’accord tu peux encore te tirer maintenant, après ça va être plus compliqué !
– J’ai parfaitement compris madame !

Ma vie de soubrette commençait donc ce matin…

à suivre

Edvard Stokien © 2000

eddy@vassilia.net 


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Mardi 2 mai 2000 2 02 /05 /Mai /2000 11:54

Le Bar à Travelos

par Eddy

 

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C'est en discutant sur Internet que j'ai eu connaissance de cette adresse, il s'agissait d'un restaurant de quartier à Paris. Travaillant avec une clientèle de bureau, il fermait le week-end. Et le samedi soir se transformait en "boîte à travelos"...

 

Il y a longtemps que je rêvais de réaliser mes phantasmes avec des transsexuelles. C'était l'occasion ou jamais. Je m'y rendis donc. Arrivé sur place je m'acquittais du prix demandé, et première surprise le préposé à l'entrée m'en demande le double. Comme je m'en étonne, il m'explique que l'entrée simple ne donne pas droit à l'entrée de l'arrière salle, là où ont lieu les débats les plus hards, me dira-t-il ! Bon ! Je ne vais pas reculer maintenant... Je paye, le gardien me colle deux coups de tampons sur le dos des mains et j'entre.

 

Il doit y avoir une trentaine de personne, peu de transsexuelles, mais les quelques-unes présentes sont des merveilles. Je saurais plus tard leurs noms L'une d'entre elle (Lisa) de race noire trône au bar sur un haut tabouret, elle est vêtue d'une robe super décolletée et très moulante, fendue sur le côté, elle discute avec une copine à la peau plus claire (Vanity) qui elle est vêtue d'une mini-jupe et d'une sorte de mini pull noir à large maille ne cachant rien de sa merveilleuse poitrine. Un peu plus loin une autre coiffée de ravissantes boucles blondes (Christy) est habillée en pantalon vert fluo qui lui moule les fesses, le haut étant constitué d'un corsage en voile noir semi-transparent.

 

Inutile de vous dire que ces visions de rêve m'excitent au plus haut point. J'ignore comment les choses se passent, ici, et je décide de m'attabler en attendant la suite.

 

- Vous permettez que je m'installe près de vous ?

 

Allons, bon ! Qui est ce casse-pieds, il ne s'agit pas d'un transsexuel, mais d'un travesti, j'espère que je ne me suis pas fait avoir en pénétrant dans une boite à entraîneuses, le genre d'établissement ou on vous fait consommer très cher en vous promettant la lune et en ne vous donnant rien...

 

- Qu'est-ce qu'il fait chaud ce soir ?

 

Voilà qui s'appelle avoir de la conversation ! Je décide d'avoir une attitude de grognon pour faire partir l'indésirable, mais je me dis qu'après tout je vais pouvoir me renseigner sur les habitudes du lieu, quitte à lui demander d'aller voir ailleurs, si ça ne tourne pas comme je veux !

 

- Je suis nouveau et je suis un peu perdu ! L'informais-je.

- Je vois bien ! Alors vous me trouvez comment ?

 

Il faut dire que le type est superbement maquillé, il manque malgré tout le petit truc en plus, qui fait que si les transsexuelles m'excitent presque toujours, les travestis m'attirent beaucoup moins. Mais un certain trouble commence à m'envahir. Le type me raconte un tas de banalité... qu'il a dû refaire deux fois son maquillage, que ses chaussures neuves lui faisaient mal... Malgré tout, il est plein d'humour, et en plus il a un sourire désarmant. Sa conversation est soudain interrompue par un immense éclat de rire. C'est Lisa, la grande transsexuelle noire qui se marre comme une bienheureuse, tous les regards se tournent un instant vers elle.

 

- Quelle merveille !

- Et tu n'as pas vu sa bite, elle est splendide ? J'adore la sucer ! Ça t'intéresserait ?

- Bien sûr !

 

J'ai répondu d'instinct, sans réfléchir.

 

- Elle est très demandée, mais je peux t'arranger ça !

 

J'ai compris l'allusion, le type peut me rendre service, mais c'est donnant donnant ! Peu importe, je suis de plus en plus persuadé que ce ne sera pas une corvée !

 

- Tu aimes sucer ? Demande l'inconnu.

- Oui j'adore !

- Et tu fais ça souvent ?

 

Je vais pour improviser un mensonge, mais j'ai l'impression que quelque part la vérité l'excitera davantage.

 

- En fait, je ne l'ai fait que rarement, quelques bites au hasard de partouzes, rien de plus, mais j'en ai gardé un excellent souvenir !

 

Soudain, le travesti (appelons le Claude) effleure de sa main, ma braguette.

 

- Je peux ?

 

Je lui fais signe qu'oui, sa caresse devient plus appuyée, et ma bite se met à bander, il me descend alors la fermeture éclair et me tripote à présent à travers le slip. Je sais maintenant que je suis embarqué dans une aventure dont j'ignore la suite. Il entreprend à présent de me sortir ma bite de mon slip, la voici à l'air. Je me demande si je suis le seul dans la salle à être dans cet état, mais un coup d'œil circulaire me rassure, l'ambiance est de plus en plus débridée, des couples se forment mélangeant toutes les combinaisons entre hommes, travestis et transsexuels, je crois même apercevoir quelques femmes, mais on ne peut être sûr de rien. Des types se baladent carrément la bite ou le cul à l'air, c'est assez incroyable ! Claude a lâché ma queue, c'est dommage, il branlait bien !

 

- Tu veux voir la mienne ?

 

Il soulève sa minijupe, la vision de ses cuisses nues sous le porte-jarretelles me provoque un trouble étrange, je regarde les jambes, il s'est entièrement épilé. Ce type me fascine, quand je pense que j'ai failli l'envoyer promener tout à l'heure. Sa bite fait une bosse énorme sous son slip de femme. A mon tour je lui caresse sa verge, quelques moments à travers le slip, puis, je lui sors carrément. Je commence un lent mouvement de masturbation, attendant je ne sais quel déclic pour pouvoir lui sucer !

 

- Je vais te dire mon fantasme. Je viens une fois par semaine ici, travesti en femme. Mon truc c'est de m'exhiber et de me faire sucer par un nouveau. Il y en pas toujours, et puis il y en a qui ne veulent pas... Allez, viens on y va !

 

Il me prend alors par la main, et veut me faire lever !

 

- Attends que je me rhabille, quand même !

- Mais non, reste comme cela, c'est bien plus excitant !

 

Puisqu'il le dit ! Il m'entraîne au bar !

 

- Lisa, soit sympa de me prêter un moment ton tabouret !

- D'accord, tu sais bien que je ne peux rien te refuser... Répond-elle d'une voix un peu rauque.

- Au fait, quand tu auras un moment tu pourras t'occuper du trou du cul de ce jeune homme ?

- Pas de problèmes je vais l'enculer bien comme il faut, ton copain !

 

Claude s'est maintenant installé sur le tabouret, il écarte les jambes, soulève sa jupe et me tend sa bite !

 

- Vas-y suce !

 

Je me demande à quoi sert l'arrière salle, et pourquoi j'ai payé double tarif, puisque apparemment on peut tout faire ici ! Mais c'est sans hésiter que je me saisis de son pénis en érection et que j'en approche la langue pour lui lécher le bout du gland, j'enferme ensuite celui-ci entre mes lèvres et le fait pénétrer plus avant dans ma bouche ! Que c'est bon, je l'engloutis, puis commence une série de va-et-vient. Un petit rassemblement se forme autour de nous. Je sens quelqu'un qui me baisse mon pantalon. Je laisse faire et je sens bientôt une langue qui s'attaque à mon trou du cul. Sensation étrange mais délicieuse. Un autre me branle la bite, mais il ne fait pas très bien. Soudain je sens la bite de Claude atteinte de soubresauts. Il décharge dans ma bouche. J'hésite une seconde entre avaler le sperme ou le recracher, mais voici qu'il m'embrasse sur la bouche en récupérant une partie. Je me retrouve tout con, là devant le bar, le pantalon par terre et la bite à l'air.

 

Je me rhabille un tout petit peu, mais voilà Lisa qui m'entraîne dans l'arrière salle. Je vais enfin savoir ce qu'il y a à voir là-dedans ! Je m'aperçois d'ailleurs qu'à l'entrée, personne ne contrôle si j'en ai payé le droit. On a disposé dans cette salle une dizaine de matelas recouverts de serviettes éponges. Sur l'un de ceux-ci, Christy, l'une des trans que j'avais repérée à l'entrée est en train de se faire enculer par un type.

 

Lisa se déshabille prestement, sans aucune élégance. Son corps est magnifique, d'un joli noir tirant sur le marron, les seins sont galbés à souhait et terminés par de jolis tétons arrogants tout noirs. Sa bite est plus sombre que le reste, d'un bon volume avec un gland magnifique

 

- Tu veux me sucer un peu, avant ? Demande-t-elle

 

Et comment que je veux la sucer ! Je me précipite vers ce chef d'œuvre et le travaille dans ma bouche, trop peu de temps, hélas ! Lisa veut bien rendre service, mais il ne faut pas que ça dure trop longtemps.

 

- Tu veux que j'encule comment, à quatre pattes ou les jambes en l'air ?

- Les jambes en l'air, comme ça je peux te voir !

- T'as raison, c'est meilleur !

 

Je me couche, je lève les jambes, écarte mes fesses au maximum, pour laisser le passage, Lisa, elle a mis un préservatif lubrifié et essaye de passer.

 

- Ben dis donc ! Ça doit faire une éternité que tu t'es pas fait mettre, toi ! Qu'est-ce que tu es serré !

 

Je ne vais pas lui dire quand même que je suis puceau du cul ! Ça passe enfin, ça fait un peu mal, elle fait pénétrer la moitié de sa verge, puis tout. Un curieux plaisir m'envahit tandis que Lisa commence une série de va-et-vient de plus en plus rapides. Au bout de dix minutes, elle arrête, je n'en puis plus, c'est trop bon !

 

- Ça a été ?

- Super !

 

Elle me fait un bisou sur le nez et s'en retourne au bar !

 

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Je voudrais bien jouir, mais je ne sais pas trop comment, et décide à mon tour de rejoindre la salle, mais auparavant, il faut que j'aille faire un petit pipi. Les toilettes sont relativement grandes comme on en faisait autrefois, il y a trois urinoirs, deux sont occupés par des hommes, l'un d'entre eux se faisant branler par l'autre. Un travesti (Frédérique) est posté un peu en retrait, je ne sais pas ce qu'il attend, pas l'urinoir puisqu'il est libre. Je ne cherche pas trop à savoir, me dirige donc vers la pissotière de libre et dégage ma bite quand soudain une main se pose dessus, je regarde à qui appartient cette impertinente mimine. !

C'est le travesti qui s'est donc emparé de ma bite et qui la masturbe. Je me laisse faire.

 

- Tu aimes les jeux de pipi ?

 

Je ne sais pas quoi répondre, d'abord je ne sais pas exactement ce qu'il entend par-là. Il se passe décidément de drôles de choses dans cette boite. Le type voyant que je suis un peu perdu reformule sa question :

 

- Ça ne te plairait pas de pisser sur un beau travesti comme moi ?

 

J'ai failli dire non, mais je me ravise, j'ai déjà pratiqué très rarement quelques jeux uro, et cela ne m'a pas déplu, et puis, je suis là pour m'éclater et découvrir un tas de choses.

 

- T'es pas pressé, on va attendre que ces deux connards se tirent de là !

 

Je comprends qu'il a dû essuyer un refus des deux types et qu'il n'a pas envie de se montrer en spectacle devant eux. Je me mets donc en retrait à côté du travesti.

 

- Je t'ai vu tout à l'heure sucer Claude ! Tu à l'air d'être doué !

 

Tout en me parlant, il me tripote la queue que j'ai rangée dans son slip, mais sans remonter la braguette, il me la sort carrément, et s'accroupit devant moi pour me sucer. Il fait ça très bien, mais j'ai toujours mon envie de pisser et je préférerais me soulager avant de jouir. Enfin les deux branleurs quittent la toilette. Alors à toute vitesse, Frédérique se déshabille sur place, me tend ses vêtements et s'agenouille devant la cuvette, face à moi :

 

- Vas-y pisse-moi dessus !

 

Je vise son sexe et l'asperge de mon urine !

 

- Remonte !

 

Je remonte légèrement lui mouillant le torse !

 

- Garde en une goutte !

 

Je suis à nouveau interloqué, mais je comprends, il veut que je lui pisse maintenant dans la bouche, sans pour autant je lui abîme son savant maquillage. J'introduis donc mon sexe dans sa bouche et lui donne ma dernière goutte.

Il a l'air tout content et pour me remercier veut me rouler une pelle. Je n'hésite même plus et l'embrasse, mélangeant nos saveurs intimes.

 

- Tu veux m'enculer ? Demande-t-il

- Ça peut se faire en effet !

 

Je n'avais pas envisagé de jouir de cette façon, mais après tout, pourquoi pas ? Il ne se rhabille même pas et nous nous dirigeons vers l'arrière salle qui en quelques minutes s'est considérablement remplie.

 

Christy est toujours là, se faisant toujours prendre par le même type. A un autre endroit c'est Lisa qui se livre à une partie de triolisme avec un grand noir à perruque qui l'encule, ce dernier se faisant sucer le cul par un troisième larron. Encore ailleurs c'est Vanity qui sodomise un type qui a les jambes relevées et qui suce un autre homme. Mais la véritable attraction c'est Claude qui penché en avant se fait fouetter les fesses à grands coups de martinet par un gigantesque escogriffe qui se masturbe en même temps.

 

Plusieurs hommes se branlent, se délectant du spectacle.

 

Frédérique m'entraîne sur un matelas, je me déshabille à nouveau.

 

- On va se sucer d'abord !

 

Ca me paraît une excellente idée ! Nous nous plaçons en position de soixante-neuf, et nous nous suçons mutuellement la bite, la sienne est encore imprégnée du goût de mon urine, mais qu'importe, je m'adapte très vite ce soir ! Soudain Frédérique lâche mon gland pour s'intéresser à mon trou du cul, cela ne fera que la deuxième fois qu'on me le lèche ce soir, et je commence à apprécier hautement cette caresse que je connaissais mal. Bien sûr, je lui rends la politesse et m'active à lui donner des petits coups de langues dans son petit trou.

 

- C'est trop bon, continue !

 

Certes, mais maintenant, j'ai envie de jouir ! Je décide malgré tout d'être correct et de retarder mon plaisir pour continuer à le satisfaire. C'est lui-même qui mettra fin à cet anulingus et qui se placera à quatre pattes, me tendant les fesses, le trou béant ! Sans hésiter j'enfile une capote et pénètre l'anus du type qui a dû en voir défiler un certain nombre. J'essaie à la fois de retarder ma jouissance et de lui donner du plaisir, pas facile, je n'ai jamais enculé personne, moi !

 

- Ne jouis pas dans mon cul ! Donne-moi ton sperme !

 

Il était temps, je me retire, ôte le préservatif et lui tend ma bite afin qu'il recueille ma semence. Je suis sûr qu'il va m'embrasser sur la bouche. Effectivement, c'est une manie ce soir !

 

- Bon, à mon tour de jouir, tu me donnes ton cul ?

 

J'aurais préféré attendre un peu que l'excitation revienne, mais bon s'il veut m'enculer, qu'il m'encule, après tout c'est si bon !

 

- Vas-y encule-moi !

 

Et pour la deuxième fois de la soirée, mon cul accueillit une bonne bite ! Frédérique prit son plaisir assez rapidement. Pour ma part j'étais épuisé.

 

Je retourne dans la grande salle où il n'y a plus grand monde à part quelques " couples " qui se branlent ou qui se sucent sur leur banquette.

 

J'ai un coup de pompe pas possible, je décide de partir. Mais vivement Samedi prochain que je revienne ! '

 

Eddy Stokien © 2000

edvardstokien@hotmail.com

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Mai 2000

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Mercredi 2 février 2000 3 02 /02 /Fév /2000 09:01

Le Parc aux Fauvettes

par Eddy

 

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Thémes abordés : doigtage masculin, domination hard, feuille de rose, gay, party, spermophilie, uro

 

En déplacement dans cette ville de province et n’ayant pas le temps matériel de rentrer à Paris, je m’inquiétais auprès des gens avec qui j’étais en contact des lieux de loisirs et de promenades du coin. :

– Oui, il n’y a pas un parc ? Un endroit pour respirer l’air frais…
– Il y a bien le Parc aux fauvettes, mais vaut mieux pas y aller, le samedi et le dimanche matin c’est un vrai repère de pédés !

Cet imbécile venait sans le savoir de m’indiquer un superbe but de promenade. J’avais emporté un jogging et des baskets et c’est donc dans cette tenue que je me rendis le samedi matin au parc en question, celui-ci (en fait une espèce de bois) plus ou moins entretenu se trouvait à la sortie de la ville. Ne sachant évidemment pas où se passait ce que j’y cherchais, j’y entrais un peu au hasard, et me mis à la recherche de quelque chose d’intéressant. Toujours est-il qu’au bout d’une demi-heure sans la moindre rencontre, je commençais à me désespérer, ceux qui m’avaient indiqué le tuyau étaient peut-être mal renseignés ?

J’étais très déçu, car j’avais bien l’intention d’occuper une partie de mon week-end en réalisant mes fantasmes homos ! Je rêvais d’avoir une belle queue dans ma bouche, une belle queue que je rendrais bien raide avant qu’elle ne m’encule ! Une autre demi-heure passa, je décidais donc de partir quand je me rendis compte que je m’étais à moitié égaré dans ce parc impossible. Je commence à m’énerver sérieusement, me voici sur un chemin que je ne me souviens pas avoir emprunté dans l’autre sens, et évidemment, aucune pancarte, je suis bel et bien perdu. Mais voilà que j’entends des voix, effectivement un peu plus loin, deux types arrivent dans l’autre sens. Ils s’approchent, ils m’ont vu et pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté ils se tiennent par la main.

– Bonjour !
– Bonjour !
– Tu as l’air perdu ?
– Je suis perdu !
– Tu veux sortir du parc ?
– Non je ne suis pas pressé.
– On monte à la clairière aux noisettes ! Tu veux venir avec nous ?

Fauvette J’ignore qu’elle est cette clairière, mais je ne refuse évidemment pas. Les deux hommes ne démarrent pas pour autant. Sans que j’aie le temps de réaliser, le premier baisse son pantalon, libérant son sexe qu’il tient à pleine main et qu’il fait maintenant grossir en le masturbant légèrement. Cette bite est magnifique, bien droite et terminé par un gland bien lisse d’une belle couleur un peu mauve. Le trouble me gagne. Cette bite il me la faut. Soudain l’homme (appelons-le, Mario) cesse de se branler, sa bite à maintenant grossi, et il me l’exhibe, que dis-je, il me l’offre. Je la prends dans mes mains et la masturbe à mon tour. Elle est douce, elle est chaude. Le deuxième promeneur (Arnaud) passe alors derrière moi et sans me demander mon avis baisse mon jogging et mon slip, me voici les fesses à l’air.

– T’as un beau petit cul, un vrai petit cul de gonzesse !

Le voilà qui maintenant me lèche l’anus, il y a longtemps que l’on ne m’avait pas fait cela, mais par un homme c’est la première fois, il fait cela très bien, sa langue est douce et agile, et il n’hésite pas à pénétrer dans mon trou aussi profondément qu’il le peut. Il arrête soudain de me lécher, je sens maintenant un doigt me pénétrer, il me masturbe le cul à coup de va-et-vient. Cette position n’est pas pratique, j’écarte les jambes et me penche en avant, j’ai donc du coup la bite de Mario à hauteur de ma bouche, et j’entreprends donc de la sucer, elle est délicieuse, un léger goût d’urine, mais ce n’est pas pour me déplaire.

Derrière moi, Arnaud a retiré son doigt, j’ignore ce qu’il fabrique ne souhaitant pas retourner, et tout d’un coup je sens quelque chose de plus gros qui tente de pénétrer mon anus. Il est tout bonnement en train d’essayer de m’enculer, la pénétration n’est pas facile, en fait, je ne suis pas habitué, ça fait un peu mal, mais le type à du savoir-faire et continue à me pénétrer, une fois entré, il reste un moment sans bouger, puis commence des petits va-et-vient qui deviendront de plus en plus rapides. Je suis aux anges, voici des années que je recherchais ce plaisir trouble, et me voici dans ce bois de province en train de me faire enculer tandis que je suce une bonne queue. Le bonheur, quoi !

La bite de Mario est devenue toute dure au contact de mes lèvres et de ma langue, j’agis d’instinct en donnant des petits coups de langues sur le gland, puis me sert de mes lèvres pour effectuer un mouvement de succion. Arnaud s’est retiré de mon cul. Le voici qui passe devant, et retire son préservatif, du coup c’est Mario qui se positionne derrière moi et qui me prend le cul, la pénétration est plus facile, sa bite doit être plus longue que celle de son copain car je la sens nettement aller plus loin. Dans le même temps je suce la bite d’Arnaud, le contact du préservatif lui a donné un goût de plastique peu agréable, mais ça ne dure pas.

Mais voici que j’aperçois au bout du chemin deux types qui viennent dans notre direction, d’instinct je cesse de sucer la pine d’Arnaud !

– V’la du monde, on va peut-être changer de coin ?
– Pourquoi ? T’aimes pas t’exhiber ?

C’est vrai que j’en ai pas grand-chose à faire, je suis à 500 Km de chez moi, et comme si de rien n’était, je reprends ma fellation interrompue. Les deux types se sont maintenant approchés à la hauteur de notre groupe. Ils se contentent dans un premier temps d’observer, puis au bout de quelques instants, ils sortent leur bite et se masturbent en nous regardant. Moi qui adore voir des bites, me voici servi ce matin. L’une d’elle est à portée de ma main, je la tends, le type (Kévin) me laisse faire et je le masturbe un peu, pas longtemps, parce que synchroniser tous ces mouvements demande une technique que je ne possède pas… Il se place à présent juste à côté d’Arnaud, sa bite tendue vers mon visage, je comprends l’invitation, et abandonnant quelques instant la pine d’Arnaud, j’entreprends de sucer cette nouvelle queue qui s’offre à ma bouche, Je passe de l’une à l’autre, c’est trop bon ! Je suis en plein rêve, et Mario qui continue à m’enculer ! Tout cela est trop nouveau et trop bon.

Le quatrième comparse (Bertrand), ne s’intéresse pas à moi, mais profite du fait que je suce son copain, pour engloutir à ma place la bite d’Arnaud ! Je bande comme un cerf, mais personne ne pense pour l’instant à me sucer ou à me branler… Mario, lui vient de jouir dans mon cul, il repasse à nouveau devant moi, ôte sa capote et me tend son sexe gluant de sperme. J’hésite, je n’ai jamais fait cela, puis je me lance, je lui nettoie tout de la langue et des lèvres, avalant tout.

Bertrand s’est aperçu que la place était libre, et sans me demander mon avis, entreprend de m’enculer à son tour, il n’a malheureusement pas le savoir-faire des deux précédents et me fait un peu mal, à moins que ce soit mon cul qui ne supporte plus une fantaisie aussi longue et varié. Je vais pour le lui dire, mais la douleur à tendance à se calmer et finalement je le laisse faire. J’ai recommencé à sucer alternativement les bites d’Arnaud et de Kévin, ce dernier ne tarde pas à jouir dans ma bouche, et cette fois j’avale tout sans hésiter, puis il va s’asseoir un peu plus loin, attendant probablement que son copain cesse de me sodomiser.

Voici de nouveau quelqu’un qui arrive par le chemin, il s’agit d’un grand noir, seul. Il connaît Arnaud. Ils se saluent. Le voilà devant moi, j’ai maintenant sa braguette à la hauteur de mon visage

Bizarrement il ne fait rien, on m’expliquera plus tard que certains mecs ne sortent pas eux-mêmes leurs queues, trouvant beaucoup plus excitant qu’on le fasse à leur place… Je commence à tripoter sa bite à travers son jean, je la sens se raidir, mais pas assez, je continue donc. Pendant ce temps Arnaud que j’ai arrêté de sucer s’est glissé sous moi et me suce (enfin !) à son tour ! Lentement je descends la fermeture de la braguette d’Alexis, je lui tripote maintenant la bite à travers son slip, je sais que je vais découvrir un très gros sexe, il me tarde de le voir, de le toucher, de le sucer… Délicatement je sors l’engin du slip. Une merveille, j’esquisse à peine quelques mouvements de masturbation et l’englouti dans ma bouche. Ma quatrième pipe de la matinée ! Elle est très bonne, peut-être encore plus douce que les autres, question de texture de peau sans doute.

– Je peux t’enculer ?

Au moins lui il est correct, il demande ! J’appréhende quand même un peu. C’est quand même pas mal gros, tout cela !

– Ok ! Mais vas-y doucement !

Du coup Bertrand cède la place en maugréant et se finit à la main. Je n’ai plus personne à sucer ! Dommage ! Alexis pousse pour rentrer, seule l’introduction sera un peu difficile, après ça glissera tout seul, mon cul ayant été bien lubrifié par les trois autres lascars.

L’excitation est à son comble, je sens que je vais bientôt jouir dans la bouche d’Arnaud, tandis que le plaisir anal que me donne le grand black monte à son paroxysme. Ça y est ! Je jouis enfin, précédant Alexis de quelques secondes. Arnaud lui se finira à la main

– C’était bien ? Demande Alexis.
– Divin !

Puis se tournant vers Mario et Arnaud :

– Vous faites quoi, maintenant ?
– On voulait aller à la clairière !
– J’en reviens, y a personne !
– Et bien on y va comme ça y aura du monde !

Puis Mario me demande :

– Tu aimes bien les trucs un peu masos, sans exagération ?
– Si c’est sans exagération, alors d’accord !

On se rhabille et nous voilà partis vers cette fameuse clairière, qui est à un quart d’heure de marche

Arrivé sur place, il n’y a effectivement personne et, Alexis exprime le désir de pisser un coup.

– Tu veux que je te pisse au cul ?

J’avoue ne pas bien comprendre et Arnaud viens à mon secours

– Il n’est pas habitué, et de toute façon il aura sa part bientôt !

Tout en parlant, il s’est déshabillé, il va très vite n’ayant qu’un jogging.

– Vas-y ! reprend-il.

Je n’en crois pas mes yeux, Alexis commence à pisser, il vise le postérieur d’Arnaud et le lui asperge. Il s’arrête de pisser, afin d’étaler le liquide sur ses deux fesses. Ce spectacle insolite me fait bander à nouveau. Arnaud s’est maintenant retourné, et Alexis lui asperge maintenant la bite…puis ce dernier s’accroupit doucement. Alexis ne change rien à la direction du jet qui atteint maintenant le torse d’Arnaud… puis son visage, il ferme les yeux, mais entrouvre la bouche, avalant une lampée de l’urine de l’autre. Je n’ai jamais vu cela, il m’est arrivé très rarement de pratiquer des jeux uro avec des femmes, mais là, je n’en reviens pas, et ma bite est vraiment toute raide ! Mario intervient !

– Mets-toi à poil ! Tu vas faire l’esclave !

J’hésite un peu.

– Ai confiance, on respectera tes limites !

Je me déshabille

– Tu vas déjà aller nettoyer le trou du cul d’Arnaud qui est plein de pisse

J’hésite encore, il faut que je me lance dans ce jeu, mais un je ne sais quoi m’en empêche encore

– Bon on va te faire obéir !

Mario va chercher quelques branchettes, il en choisit une et la tend à Arnaud.

– Vas-y ! Essaye-la sur moi !

Arnaud cingle d’un violent coup de branchette les fesses de son copain. Le coup laisse une traînée rouge

– Super ! Viens là, toi !

Je m’approche et lui tends mes fesses. Sans préavis un premier coup atteint mon cul, ça fait mal mais c’est supportable

– Tu aimes cela petite salope ?
– Oui !

Ce n’est pas tout à fait vrai mais j’ai envie d’essayer un tas de trucs ce matin ! Un deuxième coup arrive, plus fort, puis un troisième, ça commence à faire mal.

– Assez !
– Comment ça assez ?
– Assez !
– Bon alors un dernier !

Et celui-là fait très très mal.

– Maintenant va lui nettoyer le trou

J’y vais ! La pisse a séché, mais il reste une odeur un peu forte, je lèche minutieusement essayant de pénétrer au plus profond que je peux avec ma langue.

Mario s’approche à nouveau de moi

– Mets-toi à genoux et ouvre la bouche, je vais te pisser dans la bouche !
– Juste un peu !
– D’accord !

Mario vise ma bouche et me balance une goutte. Ce n’est pas mauvais, son urine est très claire, il doit boire beaucoup d’eau.

– C’est tout ? Demandais-je.
– Faudrait savoir ?
– Encore ?

Cette fois il pisse d’abondance et j’en avale plusieurs lampées

Quand il eut terminé, il se masturbe légèrement, faisant atteindre à sa bite une taille convenable, il me demande maintenant de lui présenter mes fesses, je crains une autre volée de branchette, mais non, il m’encule à nouveau, tandis qu’un peu plus loin Alexis se fait prendre le cul à son tour par Arnaud.

C’est complètement épuisé, le cul défoncé que je terminais.

– Je suis invité ce soir à une party un peu spéciale chez un bourge du coin ? Je t’emmène ?
– Bien sûr !

Je rentre à l’hôtel, m’amusant à l’avance de la question que me poseront mes imbéciles de collègues lundi matin sur mes occupations du week-end. C’est par la pensée que je leur répondrais :

– Si tu savais combien de bites j’ai sucé, et combien de fois je me suis fait enculer !

Mais, il n’est pas fini ce week-end et j’espère que la soirée avec mes nouveaux amis sera très… chaude !

Edvard Stokien © 2000
edvardstokien@hotmail.com

Par Eddy - Publié dans : Eddy
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