Ursulin

Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 07:18

La couturière à domicile
(Coutumes, mœurs et métiers d’antan) réédité par Ursulin Neveway

 

  cochon

Elle sonnait à la porte des pratiques dont elle avait la clientèle, en général des familles aisées.

On lui ouvrait, elle entrait et, tout de go, on la foutait à poil. Elle-même retirait de bonne grâce sa petite culotte pendant que les dames présentes montraient qui leurs seins, qui leurs dos.

La partouze achevée, la couturière s’absorbait dans ses travaux d’aiguille. On lui donnait cent sous. C’était la belle époque.

Couturiere

Cette image et le texte qui l’accompagne ont été créés pour le magazine Hara-Kiri (merci à eux) et nous ont été envoyés par Ursulin.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 07:03

La légende de Pauline, délire en roman-photos par Ursulin Neveway

 

pauline

 

SCÈNE 1

 

ndw : Ursulin nous a adressé ce petit « essai » de roman photos, comme il le dit lui-même ! Loufoque, distrayant et gentil, je n’ai pas hésité un moment à le publier ! J’espère qu’il vous amusera comme il nous a amusés  !

 

Oyez, Oyez, braves gens !!!

 

Laissez-moi vous conter la légende de Pauline !

 

Et vous saurez ce qu’il en coûte de ne pas respecter ce qui est indiqué sur les panneaux d’interdiction !

 

Vous connaissez tous l’ancienne école désaffectée, bien sûr !

 

Il y a juste devant un champ de maïs. Oh, ce n’est pas un grand champ, c’est un petit champ mais il produit bon an mal an son pesant de maïs, et suffit à nourrir son propriétaire !

 

Mais nul ne sait qui est ce propriétaire mystérieux !

Ce que l’on sait c’est que d’étranges lumières dansent parfois à l’intérieur de la batisse délabrée !

 

Et l’on sait aussi, qu’une main anonyme a planté à l’entrée du champ cet étrange panneau, indiquant de façon claire et précise que ce lieu ne saurait tolérer l’exercice de la turlute !

mais

 

SCÈNE 2

 

Un Panneau d’interdiction !

 

– Qui a bien pu le placer-là ? Interroge Pauline.

 

Elle n’est pas venue seule, Pauline. Elle est accompagnée d’Armand, son amant et d’Albert qui aime tant la prendre par derrière.

 

Mais ces deux nigauds n’en savent pas plus qu’elle et ne savent que répondre !

 

– Y a quelqu’un ? Crie Pauline.

 

Mais seul le souffle du vent répond !

 

– Déshabillons nous, alors propose la blonde !

 

Ne voulant pas paraître pour des pleutres aux yeux de la belle, nos deux mâles se débarrassent de leurs vêtements !

 

Les voilà tous les trois dans les champs. Et sous le soleil du beau temps, Pauline pompe la grosse bite de son amant Armand, tandis qu’Albert… mais vous avez deviné… Pauline est une belle coquine et elle aime sucer quand on la pine..

 

Pauline mais

SCÈNE 3

 

Et tandis que notre trio « triole » avec une ardeur de hardeur, à l’intérieur de la batisse, nous découvrons deux étranges créatures, à moitié sorcières, à moitié fées !

 

Celle qui fait pipi se nomme Ondine et celle qui ne fait pas se nomme Peggy ! Mais qui est alors ce porcelet bien gras ?

 

Tout simplement le propriétaire, gardé en l’état par un sort magique, au cas où il pourrait servir, mais ne pouvant plus s’exprimer comme un humain. Et pour l’instant il sert de siège à Peggy. C’est très confortable un petit cochon comme siège !

 

– Quand tu auras fini de pisser, lui dit Peggy, tu jetteras un coup d’œil par la fenêtre ! Qui sont ces trois hurluberlus ?

– Ils ne font point de mal, ils niquent !

– Certes, mais si nous avons posé un panneau, c’est pour avoir la paix !

– Nous pourrions les transformer en grenouilles et en crapauds ! Propose Ondine.

– Allons, allons, il ne faut point punir l’amour ! Nous allons juste les faire déguerpir !

– Sans doute as-tu alors une idée ?!

– Certes ! Je vais faire neiger, et le froid les fera partir ! Décida Peggy.

FEE1

 

SCÈNE 4

 

Mais nos fées n’avaient pas prévu que notre trio mettrait tant d’ardeur à la tâche, que nos trois baiseurs dégageraient une telle chaleur qu’ils ne se rendirent même pas compte du déluge blanc qui leur tombait sur les flancs.

 

Pauline snow

– Malédiction ! Dit alors Peggy, cela ne marche point !

– Perdrais-tu la main, tendre Peggy ?

– Ta gueule ! Je vais refaire une incantation et rajouter de la neige, tout cela n’est qu’une question de réglage !

– N’est-ce point dangereux ?

– Je sais ce que je fais, mademoiselle !

Et Peggy leva alors sa baguette…

 

SCÈNE 5

 

Peggy venait donc de faire une grosse bêtise !

snow

 

Une très grosse bêtise !

SCÈNE 6

 

FEE2Les deux fées étaient à présent complètement nues, et Ondine était passée derrière sa collègue, une main sur la chatte, une autre sur le sein, en même temps qu’elle sollicitait sa langue. Elle la caressa ainsi quelques instants puis s’arrêta un moment :

 

– Peggy, débrouille-toi mais tu ne peux pas les laisser comme ça !

– Hélas je ne sais pas revenir en arrière !

– Quoi ! Une fée diplômée comme toi, ne sait pas faire ça ?

– Ben non !

– Il y a bien un moyen pour rendre vivants des êtres inanimés, non ?

– Ce n’est pas si facile !

– Je vais essayer, alors ! Proposa Ondine !

 

Alors Ondine leva sa baguette…

 

SCÈNE 7

 

Cette fois c’est Ondine qui venait de faire une bêtise !

Carottes3

 

Une très grosse bêtise !

SCÈNE 8

 

– On est aussi conne l’une que l’autre !

– Mais non, c’est en faisant des erreurs qu’on se perfectionne ! rectifia Peggy. Et arrête de parler quand tu me lèches, ça me déconcentre…

– Que faire ? On ne peut les laisser ainsi, surtout quand on connaît l’espérance de vie d’une carotte !

– On va leur offrir à chacun l’éternité, en attendant de trouver !

– En voilà une riche idée !

– Bon, maintenant tais-toi et suce, on s’occupera de ces messieurs dames tout à l’heure !

– En espérant qu’un amateur de pot au feu ne vienne pas les cueillir avant, ou qu’un lapin qui passe par là ne les grignote !

– Ce que tu es chiante !

FEE3

 

SCÈNE 9

 

Alors Peggy reprit sa baguette…

 

Et c’est depuis ce jour que l’âme d’Albert est enfermée dans ce monument naturel

 

Rocabite

Et c’est aussi depuis ce jour que l’âme de Pauline, prisonnière de cette montagne pisse de l’eau de source pour l’éternité.

Eva source

 

SCÈNE 10

 

FFE4Les deux fées avaient repris leurs ébats, frottant leurs clitoris l’un contre l’autrevdans un tribadisme effréné. Ondine couchée, renversée en arrière et Peggy semi-accroupie ! Ce fut Ondine qui jouit la première, renversant complètement son visage sous le choc du plaisir ! Après quelques instants de récupération, elle demanda soudain :

– Mais Armand! Qu’as tu fait d’Armand ?

– Je n’avais plus de ressources pour l’immortaliser sur terre !

– Mon dieu ! Il est perdu !

– Pas du tout, je l’ai envoyé dans l’espace, et si tu continue à jacter je vais t’envoyer le rejoindre ! Fais moi donc jouir, petite mignonne !

– Mais avec grand plaisir, ma petite fée adorée !

 

 

 

SCÈNE 11

 

C’est ainsi que depuis quelque temps, quelque part entre Mars et Jupiter, il y a désormais un nouvel astéroïde. Il n’ a pas encore de nom, mais lui seul sait qu’il s’appelle Armand ! Il attend le jour où son orbite sera perturbée, où il pourra foncer sur la Terre et s’élancer vers la source de Pauline afin qu’ils puissent connaître ensemble un dernier et sublime orgasme

astrozob2

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Jeudi 8 juin 2006 4 08 /06 /Juin /2006 19:08

La légende du cuisinier du roi Thibault

par Ursulin Neveway

 

cochon

 

Oyez, oyez brave gens, la légende du cuisinier du roi Thibault...

 

Il était une fois, il y a très longtemps dans un petit royaume, régnait un jeune et beau roi répondant au nom de Thibault II, celui-ci avait succédé à son père Thibaut le premier mort d'une stupide overdose de tilleul.

 

Thibault II était homosexuel, ce sont des choses qui arrivent et que la noblesse tolère pourvu que cela ne s'ébruite pas. On conseilla donc au jeune roi de se marier afin de donner le change et on lui choisit la plus belle fille du royaume, la belle Héloïse.

 

Héloïse avait un visage d'ange, des yeux de sorcière, une poitrine de rêve, un cul de reine et une chatte de velours. Après la noce, le roi la délaissa et un valet fut mis secrètement à la disposition de la reine pour calmer ses ardeurs. Pour le reste de la cour et pour la population, le couple était censé s'entendre à merveille et histoire de respecter les mâles traditions, il fut bien précisé que toute main baladeuse sur le corps de la belle Héloïse serait puni au mieux d'une émasculation et au pire du gibet...

 

C'est bien ce qui embêtait Gaétan, le maître des cuisines de la cour. Celui-ci avait un fantasme : fourrer son nez dans la voluptueuse poitrine de la jolie reine. Mais il savait ses chances nulles, il n'était pas assez viril pour cela, quant à employer la surprise, voilà qui aurait été fort suicidaire.

 

Mais Gaétan entendit parler d'un sorcier qui parfois fréquentait la cour, rendant quelques services particuliers à la famille royale. Alors un jour il trouva un prétexte pour lui offrir à boire dans une taverne de la ville, et sur le ton de la plaisanterie, lui confia son fantasme :

 

- Je donnerais fort cher pour embrasser les seins de la reine.

- Je peux t'arranger ça l'ami, répondit le sorcier, tu donnerais combien ?

- Euh, 1000 pièces d'or ! répondit Gaétan, alors qu'il ne les possédait guère

- Tapes là, affaire conclu et cochon qui s'en dédit

 

Le jour suivant, le sorcier fabriqua une lotion urticante et en versa un peu dans la chemise de la de la reine pendant qu'elle prenait un bain. (Dans la chemise, pas dans le soutien-gorge, ça n'existait pas le soutien-gorge à cette époque !)

 

La reine après s'être fait sécher par deux laquais aveugles, s'habilla... Peu de temps après, la démangeaison commença.

 

- Mais qu'on donc mes nichons à me gratouiller ainsi ? s'écria-t-elle fort agacée.

 

Et comme le gratouillement augmentait d'heure en heure, c'est fort énervé qu'elle se confia au roi

 

- Messire, j'ai les nibards en feu !

- Voilà qui est nouveau, d'habitude se serait plutôt votre minette !

- Je ne rigole pas, regardez vous-même l'état de mes mamelles ! dit-elle en se dépoitraillant.

- Mais je ne vois rien de spécial, ma chère, et si cela est un stratagème pour me faire bander, et bien c'est raté, vous savez bien que je ne bande que pour les beaux culs masculins !

- Sire, mandez moi sur l'heure votre sorcier préféré, il aura sûrement un remède.

- Que nenni ! Débrouillez-vous !

- Souhaitez-vous que je révèle à tout le monde vos penchants ?

- Bon, bon, il suffit de le demander gentiment ! concéda le roi

 

Le sorcier, appelé en urgence, et qui était loin d'être un saint en profita pour bien peloter les seins de la belle avant de rendre son verdict :

 

- Je ne comprends pas comment la reine a attrapé ça, sans doute un très puissant génie l'a-t-il envoûté à distance ?

- Je ne veux pas savoir comment elle l'a attrapé, je veux savoir comment elle peut guérir.

- Il faut de la salive de Jupiter ! Avec une application de quatre heures !

- C'est quoi ça ?

- Seul environ un homme sur mille possède cette particularité dans la salive. Réunissez tous les hommes qui travaillent à la cour, je vais faire des tests, avec un peu de chance nous trouverons l'oiseau rare ici même !

 

Queen48.jpg

 

Bien sûr le faux test était destiné à sélectionner Gaétan : Celui-ci se mit l'antidote que lui avait donné le sorcier dans la bouche et pendant les quatre heures suivantes il lécha et suça passionnément les seins magnifiques de la reine Héloïse, se régalant de ses tétons et s'enivrant de la douceur de la chair des royales mamelles

 

Au bout de tout ce temps, il alla se soulager dans un coin tranquille... il fallait maintenant trouver un moyen de faire patienter le sorcier qui attendait ses 1000 pièces d'or...

 

Mais voilà, un sorcier ça ne sait pas attendre et son paiement il le voulait de suite...

 

- Lundi tu seras payé ! Tergiversa Gaétan

 

Mais le lundi, il n'avait toujours pas l'or. Il tenta de renégocier un délai...

 

- Tu as trompé ma confiance, ne t'étonnes pas si tu es victime d'un mauvais sort dont tu ne pourras te débarrasser qu'en me payant le double de ce que tu me dois...

- C'est ça, c'est ça... répondit Gaétan, peu rassuré en fait.

 

Le sorcier mit alors en œuvre sa vengeance, le lendemain il versa un peu de crème urticante sur le devant du caleçon du roi Thibault II.

 

- Saperlipopette, mes couilles me gratouillent, ma bite me pique... Aurais-je à mon tour attrapé la même malédiction que mon épouse ?

 

Mais le roi n'était point sot, il se souvint de l'adage qui dit qu'aux mêmes mots, il faut appliquer les mêmes remèdes... et il convoqua Gaétan, lui ordonna de venir lui sucer le dard et les roubignoles pendant quatre heures.

 

En chemin le sorcier le guettait derrière un pilier :

 

- Tiens voilà de l'antidote, il faut qu'il guérisse, sinon il va te faire pendre, et je pourrais dire adieu à mes 2000 pièces d'or... mais si je ne les ai pas demain je recommence...

 

Le sorcier croyait bien avoir humilié le chef des cuisines, mais ce qu'il ignorait c'est que ce dernier était bisexuel et qu'il ne répugnait pas à sucer de temps à autre une jolie pine.

 

Aussi quand il découvrit le superbe engin dont était pourvu le roi, c'est avec délectation qu'il le lécha, le suça, tant et si bien que le roi éjacula avec fracas et le remercia avec émoi.

 

- Tu suces divinement, et je crois que tu m'as guéri, j'ai bien envie de te garder près de moi, comme amant officieux... J'espère bien sûr que tu ne détestes pas un bon dard dans ton cul de temps à autre...

- Sire ce sera un honneur, je ferais tout ce que vous me demanderez, j'ai juste une affaire à régler en ville qui me tracasse un petit peu et ensuite ma bouche et le trou de mon cul seront entièrement à votre disposition.

- Et quelle est donc cette affaire ?

- Disons que j'ai besoin de 2000 pièces d'or...

- Voilà qui n'est pas un problème, je me reculotte et je vais demander à mon chambellan qu'il te donne cette somme... après va vite régler cette dette et reviens vite, mon braquemart rêve déjà de tes fesses...

 

Moralité : Heu....

 

 

Ursulin Neveway... 6/2006

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Mardi 8 juin 2004 2 08 /06 /Juin /2004 10:21

Autrefois en Avesnois

par Ursulin

nonne2.jpg

 

Autrefois en Avesnois,

Je cueillais des noix

Le jour du Vendredi Saint.

J'ai toujours aimé faire le malin,

Mais que voulez-vous ? Je préfère cueillir des noix

Que de faire le pitre au chemin de croix !

 

Et je tombe sur un superbe échantillon,

Elle est là dans le chemin formant un joli petit rond

Et je m'en vais le ramasser,

Délicatement sans la casser

 

Et une voix sortit soudain de dedans ses cerneaux :

"- Je suis la noix magique, petit saligaud,

Ce vendredi tu m’as ramassé,

Ce jour-là, cette chose est un péché"

 

De frayeur, je lâchais la noix qui ne se brisa point

"- Tu m'as cogné, que faisais-tu quand le curé t'as oint ?

Tu mérites un châtiment

Pour ce double tourment.

 

Tu seras châtié pour ces outrages

Et devras te rendre à l'ermitage,

Me porter jusque chez sœur Rosalie

Et t'installer avec moi dans son lit..."

 

A un génie, jamais il ne faut désobéir

L’ermitage n’était point loin, à vrai dire.

Je m’empressais d’aller tirer la chenillette

Chez cette énigmatique cornette :

 

"- Que me veux- tu jeune impertinent ?

Aucun homme n’est admis dans cette annexe du couvent "

"- C’est que je ne suis point seul, j’ai avec moi une noix,

Cette noix m’a parlé, m’a dit de me rendre près de toi."

 

"- Alors rentre ! Que pouvons-nous contre la magie ?

Mais quel rôle dans ce sortilège me fera jouer ton génie ?"

"- Il faut te mettre nue sur ta couche, ouvrir ta chatte

Pour conjurer le sort, afin que je te besogne sans hâte."

 

"- Mais ceci m’est en principe interdit par Monseigneur l’évêque,

Et à moins que tu n’ais quelques ducats ou même un chèque,

Je ne te crois point, et ne ferais rien de tout cela !"

J’implorais à ce moment la noix afin qu’elle vienne me tirer de ce mauvais pas

 

Mais il ne se passa rien, alors quand sœur Rosalie voulut me mettre dehors

Je consentis à sortir quelques pièces en or

Alors la nonne défit sa chasuble noire

Ses gros seins laiteux ballottaient devant moi, n’osant y croire.

 

Elle s’est retournée, a ôté sa grande culotte

Me dévoilant son gros cul de bonne sœur et sa motte

N’y tenant plus

Je lui ai embrassé le cul

 

En ai écarté les globes, et passé ma langue peu sage

Dans le sillon, me délectant de son odeur sauvage

Puis la religieuse s’est couchée, les jambes écartées,

La touffe abondante, je l’ai reniflé, je l’ai tété.

 

Puis bandant comme un mulet

J’ai pénétré Sœur Rosalie d’un trait

C’est alors que j’ai entendu un bruit de noix qui éclate,

Senti des mains qui m’attrapent les reins et les flatte

 

J’ai peur, me retourne et je l’aperçois :

Une créature mi-homme mi-femme est derrière moi

Son visage est celui d’un ange en liesse

Ses seins sont ceux d’une antique déesse

 

Et sa bite est un dard merveilleux.

"- Continue ton ouvrage" me dit ce génie avec sérieux

"- Tandis que tu besognes la nonette

Dans ton petit cul je vais introduire ma quéquette !"

 

Me faire enculer parce qu’au lieu d’aller à la procession

J’ai préféré de moins nobles missions,

Voilà une punition bien singulière,

Mais qui, je suis sûr, ne déplaira point à mon derrière... !

 

Mais putain ! J'en faisais des rêves à la noix

Quand j'étais en vacances en Avesnois !

Mais de ces délires humides dans mon lit

J’ai toujours gardé une fascination pour ces femmes à zizi...

 

sasha1104.jpg

 

Ursulin

 

J’étais un jour tombé sur une page web sur laquelle il n’y avait que ce titre qui m’avait bien plu, du coup j’en ai fait une version soft, puis une hard... L'Avesnois est la région d'Avesnes sur Helpe au sud du département du Nord, et non loin de Maubeuge

 

 

Ce texte a eu l'honneur d'être désigné comme meilleure poésie pour l'année 2004

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Lundi 7 janvier 2002 1 07 /01 /Jan /2002 19:25

Oh ! My Lord !

par Ursulin

 

Spanking.jpg

 

 

Milord et Milady habitent une maison bourgeoise de la proche banlieue parisienne !

 

- Parisienne ou londonienne ?

- Non, j'ai bien dit parisienne !

- Je crains de ne pas comprendre !

- Savez-vous que Jules Renard, disait "qu'écrire c'est être sûr de ne pas être interrompu ?" Alors s'il vous plait...

- Bon, bon ! 

 

Ils ont tous les deux la quarantaine, Milady ne travaille pas, les revenus substantiels de Milord (soyons cool, nous allons l'appeler George) permettent au couple de mener un bon train de vie, et de ne connaître aucun besoin, eux deux et leur fils de 19 ans, Edouard.

 

George travaille à l'ambassade de Grande Bretagne. Paris est son troisième poste après Bruxelles et Madrid. Milady (allez, ce sera Elisabeth) n'a jamais su exactement ce que pouvait bien y fabriquer son mari, mais ce dernier lui a précisé une bonne fois pour toutes qu'il était astreint au secret professionnel, que celui-ci s'entendait et y compris à ses plus proches, et que la meilleure façon de ne pas le trahir était de ne jamais en parler.

 

George à ses habitudes, il continue malgré huit années passées en France à vivre à l'anglaise. Aussi passe-t-il le plus clair de ses soirées dans un pub près de l'Etoile avec quelques concitoyens, où il y refait le monde à moins qu'il ne joue au bridge ou aux échecs. En sachant que George est aussi un grand amateur de golf et qu'il est plus souvent le dimanche sur le green qu'au foyer familial, qu'il travaille le samedi, il ne reste pas beaucoup de temps pour que Monsieur et Madame puisse se causer.

 

Mais je ne vous ai pas encore tout dit, son travail du samedi est compensé par la libération de deux après-midi (le lundi et le jeudi). Pour le lundi, Elizabeth ne l'a jamais su, pour le jeudi, elle le sait très bien. Expliquons-nous.

 

George serait choqué si on lui parlait de sa pourtant très réelle obsession sexuelle. Il préfère quant à lui parler d'insatiabilité naturelle. Il la gère (comme il dit) en se rendant tous les lundis dans un établissement du 17ème arrondissement, qui grâce à des complicités bien choisies, fait sous couvert d'institut de massage, fonction de bordel pour cadres supérieurs. Là il y rencontre Stella, une plantureuse femme à l'accent marseillais qui s'occupe de ses fantasmes y compris les plus inavouables avec une conscience professionnelle remarquable. Mais laissons cette jeune personne tranquille, elle n'interviendra pas dans ce récit.

 

Et le jeudi ? 

 

Et oui, je vous entends bien, et le Jeudi ? Et bien le Jeudi, George se consacre à son épouse, et depuis des années, trois jeudi sur quatre, ils s'enferment (d'ailleurs parfois ils ne s'enferment même pas) dans la chambre de Madame, et se livrent à de longs ébats ponctués de fantaisies qu'on pourrait juger surprenantes de la part d'un couple au look aussi british !

 

Voilà !

 

Eh bien, figurez-vous que la semaine dernière, le lundi, l'institut de message était fermé pour travaux, que le jeudi suivant Elisabeth était indisposée, et qu'aujourd'hui lundi, ce satané institut n'a toujours pas réouvert. George est un homme pratique, il ne perdra pas de temps en fastueuses recherches de substitution. Il rentra à la maison.

 

Il pense d'abord donner un coup de fil chez lui, mais se ravise et préfère rentrer à l'improviste. Après tout cela l'exciterait de savoir que son épouse profite de ses moments de solitude pour s'envoyer la grosse bite du majordome ! Et d'ailleurs pourquoi le majordome ? Parce que, pensait George, avec le majordome ce n'est pas très grave, avec un autre homme cela le serait plus. Parce que là, disait George ce serait du cocufiage et qu'il n'envisageait pas qu'il puisse faire partie d'une telle catégorie ! 

 

Il n'eut pas cette chance, où cette malchance, James, le justement majordome ne manifesta par aucun signe extérieur l'immense surprise de voir son maître de maison se pointer en ce jour inhabituel, et informa ce dernier de l'absence de Milady. Non, il ne savait pas quand elle rentrerait. Non, il ne savait pas où elle était, il avait entendu vaguement parler de soldes au téléphone mais ne saurait jurer de rien.

 

Voilà notre George fort ennuyé, les solutions locales ne lui disaient pas grand-chose : la nouvelle bonne manquait de répondant, quant à James, si ce dernier était parfois invité à participer à leurs jeux amoureux, et qu'ils allaient parfois assez loin dans l'audace, il considérait comme inconcevable une relation uniquement d'homme à homme. Parce que là, disait George se serait de l'homosexualité et qu'il n'envisageait pas qu'il puisse faire partie d'une telle catégorie ! 

 

Restait la masturbation, mais George considérait cette pratique comme le dernier des derniers recours, l'homosexualité à la limite venait avant.

 

Il passa au salon et se mit sur sa chaîne les marches "pumps and circumstances" de Sir Edgar Elgar. Il fit hurler sa chaîne et se délectait de plaisir. Seul un anglais peut comprendre cette musique, car elle contient l'esprit anglais à elle toute seule. Et anglais pas britannique ! Ne confondez pas s'il vous plait ! Et tandis que la musique tempêtait, il se saisit d'un coupe-papier qu'il commença à agiter tel une baguette de chef d'orchestre en se regardant dans le miroir mural. Comme il aurait aimé diriger un orchestre, créer la musique du bout de ses doigts, être applaudi, vénéré, rappelé par le public qui en demanderait encore et qu'il viendrait saluer, les cheveux dépeignés et le visage en sueur. Et puis d'un seul geste il imposerait le silence, un autre geste et le bis serait joué tandis que son cœur se remplirait de fierté. Il serait le plus grand chef d'orchestre de tous les temps... La musique s'accélérait, ses mouvements de baguettes suivaient, il s'amusait comme un petit fou.

 

- Et bien, mon ami, vous vous livrez à d'étranges activités, et d'abord que faites-vous ici à cette heure-là ?

 

Confus de l'arrivée inopinée d'Elizabeth, George rougit de confusion.

 

- J'ai un petit coup de folie, ne faites pas attention, le médecin m'a dit que c'était très bon pour éliminer le stress !

- Vous avez donc une demi-journée de vacances !

- Disons que c'est beaucoup plus compliqué que cela, mais le résultat c'est qu'effectivement, je suis libre cet après-midi.

- Cela tombe bien, je désirais vous parler !

- Nous parlerons après, pour l'instant j'aimerais bien autre chose !

- Mais quoi donc ?

- Mais vous baiser, ma douce !

- Mais nous ne sommes pas Jeudi !

- Je le sais bien, mais je me sens comme un jeune homme, je suis comme on dirait en rut.

- A propos de jeune homme...

- Pardon ?

 

Ouf, Elisabeth avait enfin réussi à capter l'attention de l'époux.

 

- Il faut que nous parlions d'Edouard !

- C'est grave ?

- Je le crains !

- Je vous écoute !

 

Mais avant d'écouter Elisabeth, parlons un peu de cet Edouard qui a eu 19 ans il y a quelques semaines. Edouard a cumulé les malchances, non seulement il naquit de parents riches et anglais, mais il a eu une grave maladie étant petit, il s'en est à présent complètement sorti mais cela lui a occasionné un retard scolaire si considérable que ses parents ont dû renoncer aux écoles anglaises (présentes dans la plupart des grandes capitales) et ont dû avoir recours au professorat particulier. C'est cher, c'est assez efficace, mais cela à un désavantage certain, c'est que notre Edouard ne risquait pas d'avoir de camarades de classes. Ne pouvant pratiquer de sport du moins à hautes doses, on le dirigea vers les arts. C'est ainsi qu'Edouard partage ses temps de loisirs entre l'aquarelle et le piano. Il est actuellement élève du conservatoire, mais a gardé un tel esprit solitaire qu'il ne se lie avec personne. Quant à ses toiles...

 

- Il n'est pas normal qu'à 19 ans Edouard n'ai pas une petite amie !

- Voudriez-vous me dire par-là qu'il aurait des tendances homo ?

- Je crois plutôt qu'il a des tendances rien du tout, nous n'avons jamais abordé les problèmes du sexe avec lui, il ne parle à personne, n'a pas de copains, j'ai fouillé dans ses cachettes... et vous savez ce que j'y ai trouvé ?

- Certes, non !

- Je m'attendais à trouver des revues françaises, vous savez des revues, comment on dit ?

- Porno !

- Et bien, la seule chose que j'ai trouvé c'est sa réserve d'After Eight !

 

George réprima un petit rire nerveux

 

- Et où voulez-vous en venir ?

- Il faut lui parler, nous aurions dû le faire bien avant, mais on ne se cause pratiquement jamais...

- Lui parler de quoi ?

- Lui expliquer la vie, ce qu'est le sexe, comment les enfants naissent...

- Il a bien dû se renseigner !

- Je suis persuadé du contraire ! Parlez-lui George !

- Et pourquoi, moi ? Parlez-lui donc vous !

- Non, c'est le rôle du père !

- Ecoutez nous en reparlerons tout à l'heure, j'ai pour l'instant un autre projet !

- Et c'est moi le projet ?

- En quelque sorte !

- Si vous ne me promettez pas de lui parler, et bien, le projet il va sortir faire un tour !

 

George fut piqué, rarement il avait vu sa femme aussi déterminée !

 

- Bon, bon, je lui parlerais, mais c'est bien pour vous faire plaisir !

- Alors, venez dans ma chambre !

 

- Je vous propose avant de commencer de prendre un petit whisky, je ne pense pas que vous connaissiez cette marque ? proposa Elisabeth à son mari qui faisait des yeux tous ronds de surprise

- Vous avez de l'alcool dans votre chambre à présent ? C'est nouveau ?

- C'est en effet assez nouveau !

- Et pourrais-je savoir d'où il provient ?

- Mais d'un de mes milliers d'amants ! Dit-elle en riant.

- Coquine ! C'est votre nouveau jeu ?

- On y joue ?

- Bien sûr qu'on y joue ! Je devrais donc vous punir pour votre infidélité !

- Oh oui, punissez-moi ! Faites-moi tout ce que vous voulez !

- Hum... je réfléchis ! Mais commencez donc par vous foutre à poil !

- Mon cul et mes nichons vous excitent donc toujours, George ?

 

Il ne répondit pas, en fait, il pensait sincèrement aimer sa femme, mais il l'aimait à sa façon, il ne lui aurait fait aucun mal, s'il la trompait, il estimait que c'était à cause de son insatiabilité. Mais il n'était nullement blasé de voir con corps, non qu'il était exceptionnel, mais il était agréable. Elisabeth faisait très british, grande rousse, fine, la peau très blanche, les yeux bleus, les seins en forme de poires et le tétons très rose. Il aimait bien son joli postérieur, il le caressa dès qu'elle fut nue

 

- Vous avez un cul à faire damner un saint !

- Corrigez-le, il ne demande que ça !

 

George reprit son rôle !

 

- Votre faute est si grande que vous corriger moi-même ne suffirait pas !

- Ah ! Non, vous n'allez tout de même pas me faire fouetter par James ?

- Je vais me gêner !

 

George appela le majordome ! Impassible devant sa maîtresse nue, il attendait les ordres, mais c'est vrai qu'il avait l'habitude des scénarios croquignolets de ses employeurs.

 

- Donnez donc vingt coups de badines à cette pétasse, James ! Et que ça cingle !

 

Et, ça, pour cingler, cela cingla ! Le premier coup laissa derrière lui un segment de droite rouge rosée, le second fit la même impression sur la chair de l'autre fesse, puis les traces se multiplièrent, se croisèrent, se superposèrent, le cul était maintenant tout rouge. Chaque coup provoquait des soubresauts de la pauvre Elisabeth qui avait l'air de s'accommoder de cet étrange traitement. Elle poussait des Aie et des Ouilles (en anglais) mais ne refusait point ces coups. George retira alors son pantalon, sans se presser, le mit en pli et le posa délicatement sur un valet de chambre en bois, il retira ensuite son caleçon qu'il mit côté afin de le mettre ensuite au " linge sale ". Le voici maintenant la bite à l'air, la bite fière et bien bandée, il ne peut s'empêcher de se la branler un tout petit peu ! Adversaire de la masturbation solitaire, George qui n'est pas à une contradiction prêt pratiquait néanmoins la masturbation publique ou collective.

 

- Alors ma chère, votre petit cul de pétasse en chaleur chauffe-t-il convenablement ?

- Bandes de brutes !

- Mettez-vous donc à genoux, la punition n'est pas terminée, à ce que je sache !

 

Elle obtempéra.

 

- Dites-moi, James, reprit George ! Bandez-vous ?

- Yes sir !

- Vérifions ! Reprit-il en lui mettant carrément la main à la braguette !

 

James resta impassible ! 

 

- Sortez-moi votre sexe ! ordonna George.

 

La grosse bite de James sortit alors de sa braguette. George s'en empara. Jamais au grand jamais il n'aurait fait une chose pareille sans la présence d'une femme. C'est en fait ce qui changeait tout. Il masturba la bite du majordome simultanément à la sienne quelques instants. Puis saisi d'une impulsion subite, il emboucha le membre de James, c'était une première ! 

 

- Oh ! dit simplement Elisabeth qui n'en croyait pas ses yeux

- Ne soyez pas jalouse, vous allez l'avoir aussi la grosse bite de James, et même qu'il va vous la foutre dans le cul !

- Depuis quand sucez-vous des bites, George ?

- Depuis tout petit, mais dans mes rêves uniquement !

- C'est incroyable !

- Cela vous choque !

- Cela me choque, mais cela m'excite ! Continuez donc !

 

George encouragé, reprit sa fellation, il ne souhaitait pas pour autant que l'autre décharge trop vite.

 

- Tenez prenez le relais, mais pas trop longtemps, et après il va vous enculer !

- Mais je ne veux pas !

- La punition n'est pas terminée Milady !

- ...alors dans ce cas !

 

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Et après avoir mis ses babines en contact avec le gland violacé du domestique, puis fait coulisser le membre dans sa bouche, elle s'agenouilla, tendit ses fesses, les écarta. James s'encapota et s'avança vers sa rondelle, et la pénétra sans trop de difficultés, il accomplit ainsi quelques coups de piston, puis incapable de se retenir davantage explosa son plaisir.

 

- Vous mettrez mon caleçon au sale, vous pouvez disposer, merci James, vous êtes un serviteur dévoué !

- Ce fut un plaisir Milord !

 

Alors les deux époux s'enlacèrent. Comme à leur habitude après avoir fait les folies les plus inattendues, ils se jetaient l'un contre l'autre et laissaient exploser leur tendresse. C'est les cheveux défaits alors que la radio jouait la chevauchée des Walkyries qu'Elisabeth prit son plaisir accroupit et empalée sur le sexe de son mari.

 

Epilogue :

 

- Milady, faut-il vraiment que je parle à Edouard ?

- Vous aviez promis, je crois !

- Mais que vais-je lui dire ?

- Commencez par lui expliquez comment se font les bébés !

- Je n'oserais jamais !

- Débrouillez-vous, vous avez promis, je vous le répète.

- Mais comment amener le problème ?

- Mais je ne sais pas, faites une analogie avec le monde animal, expliquez-lui comment les animaux font leurs bébés, et le déclic se produira sans doute.

 

Quelques heures après dans la chambre d'Edouard 

 

- Edouard, mon fils j'ai à vous parler !

- Oui Père !

- Voilà, il est des moments dans la vie, où un père doit dire des choses à son fis, des choses qui peuvent le choquer, mais qui sont des choses de la vie.

- Vous voilà bien grave !

- Vous souvenez-vous du cadeau personnel que je vous ai fait pour vos 18 ans

- Oui, vous m'avez emmené au bordel, père !

- Et cela vous a plus, je crois ?

- Oui, père !

- Vous avez donc en encore en mémoire tout ce que vous y avez vu ?

- Oui, bien sûr !

- Alors écoutez-moi bien et attendez-vous à un choc !

- Oui père !

- Et bien, les animaux, ils font exactement pareil !

 

© Ursulin Neveway (E et MP Perez) - janvier 2002

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Mars 2002

 

  

 

 

    

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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