Ursulin

Lundi 7 janvier 2002 1 07 /01 /Jan /2002 19:25

Oh ! My Lord !

par Ursulin

 

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Milord et Milady habitent une maison bourgeoise de la proche banlieue parisienne !

 

- Parisienne ou londonienne ?

- Non, j'ai bien dit parisienne !

- Je crains de ne pas comprendre !

- Savez-vous que Jules Renard, disait "qu'écrire c'est être sûr de ne pas être interrompu ?" Alors s'il vous plait...

- Bon, bon ! 

 

Ils ont tous les deux la quarantaine, Milady ne travaille pas, les revenus substantiels de Milord (soyons cool, nous allons l'appeler George) permettent au couple de mener un bon train de vie, et de ne connaître aucun besoin, eux deux et leur fils de 19 ans, Edouard.

 

George travaille à l'ambassade de Grande Bretagne. Paris est son troisième poste après Bruxelles et Madrid. Milady (allez, ce sera Elisabeth) n'a jamais su exactement ce que pouvait bien y fabriquer son mari, mais ce dernier lui a précisé une bonne fois pour toutes qu'il était astreint au secret professionnel, que celui-ci s'entendait et y compris à ses plus proches, et que la meilleure façon de ne pas le trahir était de ne jamais en parler.

 

George à ses habitudes, il continue malgré huit années passées en France à vivre à l'anglaise. Aussi passe-t-il le plus clair de ses soirées dans un pub près de l'Etoile avec quelques concitoyens, où il y refait le monde à moins qu'il ne joue au bridge ou aux échecs. En sachant que George est aussi un grand amateur de golf et qu'il est plus souvent le dimanche sur le green qu'au foyer familial, qu'il travaille le samedi, il ne reste pas beaucoup de temps pour que Monsieur et Madame puisse se causer.

 

Mais je ne vous ai pas encore tout dit, son travail du samedi est compensé par la libération de deux après-midi (le lundi et le jeudi). Pour le lundi, Elizabeth ne l'a jamais su, pour le jeudi, elle le sait très bien. Expliquons-nous.

 

George serait choqué si on lui parlait de sa pourtant très réelle obsession sexuelle. Il préfère quant à lui parler d'insatiabilité naturelle. Il la gère (comme il dit) en se rendant tous les lundis dans un établissement du 17ème arrondissement, qui grâce à des complicités bien choisies, fait sous couvert d'institut de massage, fonction de bordel pour cadres supérieurs. Là il y rencontre Stella, une plantureuse femme à l'accent marseillais qui s'occupe de ses fantasmes y compris les plus inavouables avec une conscience professionnelle remarquable. Mais laissons cette jeune personne tranquille, elle n'interviendra pas dans ce récit.

 

Et le jeudi ? 

 

Et oui, je vous entends bien, et le Jeudi ? Et bien le Jeudi, George se consacre à son épouse, et depuis des années, trois jeudi sur quatre, ils s'enferment (d'ailleurs parfois ils ne s'enferment même pas) dans la chambre de Madame, et se livrent à de longs ébats ponctués de fantaisies qu'on pourrait juger surprenantes de la part d'un couple au look aussi british !

 

Voilà !

 

Eh bien, figurez-vous que la semaine dernière, le lundi, l'institut de message était fermé pour travaux, que le jeudi suivant Elisabeth était indisposée, et qu'aujourd'hui lundi, ce satané institut n'a toujours pas réouvert. George est un homme pratique, il ne perdra pas de temps en fastueuses recherches de substitution. Il rentra à la maison.

 

Il pense d'abord donner un coup de fil chez lui, mais se ravise et préfère rentrer à l'improviste. Après tout cela l'exciterait de savoir que son épouse profite de ses moments de solitude pour s'envoyer la grosse bite du majordome ! Et d'ailleurs pourquoi le majordome ? Parce que, pensait George, avec le majordome ce n'est pas très grave, avec un autre homme cela le serait plus. Parce que là, disait George ce serait du cocufiage et qu'il n'envisageait pas qu'il puisse faire partie d'une telle catégorie ! 

 

Il n'eut pas cette chance, où cette malchance, James, le justement majordome ne manifesta par aucun signe extérieur l'immense surprise de voir son maître de maison se pointer en ce jour inhabituel, et informa ce dernier de l'absence de Milady. Non, il ne savait pas quand elle rentrerait. Non, il ne savait pas où elle était, il avait entendu vaguement parler de soldes au téléphone mais ne saurait jurer de rien.

 

Voilà notre George fort ennuyé, les solutions locales ne lui disaient pas grand-chose : la nouvelle bonne manquait de répondant, quant à James, si ce dernier était parfois invité à participer à leurs jeux amoureux, et qu'ils allaient parfois assez loin dans l'audace, il considérait comme inconcevable une relation uniquement d'homme à homme. Parce que là, disait George se serait de l'homosexualité et qu'il n'envisageait pas qu'il puisse faire partie d'une telle catégorie ! 

 

Restait la masturbation, mais George considérait cette pratique comme le dernier des derniers recours, l'homosexualité à la limite venait avant.

 

Il passa au salon et se mit sur sa chaîne les marches "pumps and circumstances" de Sir Edgar Elgar. Il fit hurler sa chaîne et se délectait de plaisir. Seul un anglais peut comprendre cette musique, car elle contient l'esprit anglais à elle toute seule. Et anglais pas britannique ! Ne confondez pas s'il vous plait ! Et tandis que la musique tempêtait, il se saisit d'un coupe-papier qu'il commença à agiter tel une baguette de chef d'orchestre en se regardant dans le miroir mural. Comme il aurait aimé diriger un orchestre, créer la musique du bout de ses doigts, être applaudi, vénéré, rappelé par le public qui en demanderait encore et qu'il viendrait saluer, les cheveux dépeignés et le visage en sueur. Et puis d'un seul geste il imposerait le silence, un autre geste et le bis serait joué tandis que son cœur se remplirait de fierté. Il serait le plus grand chef d'orchestre de tous les temps... La musique s'accélérait, ses mouvements de baguettes suivaient, il s'amusait comme un petit fou.

 

- Et bien, mon ami, vous vous livrez à d'étranges activités, et d'abord que faites-vous ici à cette heure-là ?

 

Confus de l'arrivée inopinée d'Elizabeth, George rougit de confusion.

 

- J'ai un petit coup de folie, ne faites pas attention, le médecin m'a dit que c'était très bon pour éliminer le stress !

- Vous avez donc une demi-journée de vacances !

- Disons que c'est beaucoup plus compliqué que cela, mais le résultat c'est qu'effectivement, je suis libre cet après-midi.

- Cela tombe bien, je désirais vous parler !

- Nous parlerons après, pour l'instant j'aimerais bien autre chose !

- Mais quoi donc ?

- Mais vous baiser, ma douce !

- Mais nous ne sommes pas Jeudi !

- Je le sais bien, mais je me sens comme un jeune homme, je suis comme on dirait en rut.

- A propos de jeune homme...

- Pardon ?

 

Ouf, Elisabeth avait enfin réussi à capter l'attention de l'époux.

 

- Il faut que nous parlions d'Edouard !

- C'est grave ?

- Je le crains !

- Je vous écoute !

 

Mais avant d'écouter Elisabeth, parlons un peu de cet Edouard qui a eu 19 ans il y a quelques semaines. Edouard a cumulé les malchances, non seulement il naquit de parents riches et anglais, mais il a eu une grave maladie étant petit, il s'en est à présent complètement sorti mais cela lui a occasionné un retard scolaire si considérable que ses parents ont dû renoncer aux écoles anglaises (présentes dans la plupart des grandes capitales) et ont dû avoir recours au professorat particulier. C'est cher, c'est assez efficace, mais cela à un désavantage certain, c'est que notre Edouard ne risquait pas d'avoir de camarades de classes. Ne pouvant pratiquer de sport du moins à hautes doses, on le dirigea vers les arts. C'est ainsi qu'Edouard partage ses temps de loisirs entre l'aquarelle et le piano. Il est actuellement élève du conservatoire, mais a gardé un tel esprit solitaire qu'il ne se lie avec personne. Quant à ses toiles...

 

- Il n'est pas normal qu'à 19 ans Edouard n'ai pas une petite amie !

- Voudriez-vous me dire par-là qu'il aurait des tendances homo ?

- Je crois plutôt qu'il a des tendances rien du tout, nous n'avons jamais abordé les problèmes du sexe avec lui, il ne parle à personne, n'a pas de copains, j'ai fouillé dans ses cachettes... et vous savez ce que j'y ai trouvé ?

- Certes, non !

- Je m'attendais à trouver des revues françaises, vous savez des revues, comment on dit ?

- Porno !

- Et bien, la seule chose que j'ai trouvé c'est sa réserve d'After Eight !

 

George réprima un petit rire nerveux

 

- Et où voulez-vous en venir ?

- Il faut lui parler, nous aurions dû le faire bien avant, mais on ne se cause pratiquement jamais...

- Lui parler de quoi ?

- Lui expliquer la vie, ce qu'est le sexe, comment les enfants naissent...

- Il a bien dû se renseigner !

- Je suis persuadé du contraire ! Parlez-lui George !

- Et pourquoi, moi ? Parlez-lui donc vous !

- Non, c'est le rôle du père !

- Ecoutez nous en reparlerons tout à l'heure, j'ai pour l'instant un autre projet !

- Et c'est moi le projet ?

- En quelque sorte !

- Si vous ne me promettez pas de lui parler, et bien, le projet il va sortir faire un tour !

 

George fut piqué, rarement il avait vu sa femme aussi déterminée !

 

- Bon, bon, je lui parlerais, mais c'est bien pour vous faire plaisir !

- Alors, venez dans ma chambre !

 

- Je vous propose avant de commencer de prendre un petit whisky, je ne pense pas que vous connaissiez cette marque ? proposa Elisabeth à son mari qui faisait des yeux tous ronds de surprise

- Vous avez de l'alcool dans votre chambre à présent ? C'est nouveau ?

- C'est en effet assez nouveau !

- Et pourrais-je savoir d'où il provient ?

- Mais d'un de mes milliers d'amants ! Dit-elle en riant.

- Coquine ! C'est votre nouveau jeu ?

- On y joue ?

- Bien sûr qu'on y joue ! Je devrais donc vous punir pour votre infidélité !

- Oh oui, punissez-moi ! Faites-moi tout ce que vous voulez !

- Hum... je réfléchis ! Mais commencez donc par vous foutre à poil !

- Mon cul et mes nichons vous excitent donc toujours, George ?

 

Il ne répondit pas, en fait, il pensait sincèrement aimer sa femme, mais il l'aimait à sa façon, il ne lui aurait fait aucun mal, s'il la trompait, il estimait que c'était à cause de son insatiabilité. Mais il n'était nullement blasé de voir con corps, non qu'il était exceptionnel, mais il était agréable. Elisabeth faisait très british, grande rousse, fine, la peau très blanche, les yeux bleus, les seins en forme de poires et le tétons très rose. Il aimait bien son joli postérieur, il le caressa dès qu'elle fut nue

 

- Vous avez un cul à faire damner un saint !

- Corrigez-le, il ne demande que ça !

 

George reprit son rôle !

 

- Votre faute est si grande que vous corriger moi-même ne suffirait pas !

- Ah ! Non, vous n'allez tout de même pas me faire fouetter par James ?

- Je vais me gêner !

 

George appela le majordome ! Impassible devant sa maîtresse nue, il attendait les ordres, mais c'est vrai qu'il avait l'habitude des scénarios croquignolets de ses employeurs.

 

- Donnez donc vingt coups de badines à cette pétasse, James ! Et que ça cingle !

 

Et, ça, pour cingler, cela cingla ! Le premier coup laissa derrière lui un segment de droite rouge rosée, le second fit la même impression sur la chair de l'autre fesse, puis les traces se multiplièrent, se croisèrent, se superposèrent, le cul était maintenant tout rouge. Chaque coup provoquait des soubresauts de la pauvre Elisabeth qui avait l'air de s'accommoder de cet étrange traitement. Elle poussait des Aie et des Ouilles (en anglais) mais ne refusait point ces coups. George retira alors son pantalon, sans se presser, le mit en pli et le posa délicatement sur un valet de chambre en bois, il retira ensuite son caleçon qu'il mit côté afin de le mettre ensuite au " linge sale ". Le voici maintenant la bite à l'air, la bite fière et bien bandée, il ne peut s'empêcher de se la branler un tout petit peu ! Adversaire de la masturbation solitaire, George qui n'est pas à une contradiction prêt pratiquait néanmoins la masturbation publique ou collective.

 

- Alors ma chère, votre petit cul de pétasse en chaleur chauffe-t-il convenablement ?

- Bandes de brutes !

- Mettez-vous donc à genoux, la punition n'est pas terminée, à ce que je sache !

 

Elle obtempéra.

 

- Dites-moi, James, reprit George ! Bandez-vous ?

- Yes sir !

- Vérifions ! Reprit-il en lui mettant carrément la main à la braguette !

 

James resta impassible ! 

 

- Sortez-moi votre sexe ! ordonna George.

 

La grosse bite de James sortit alors de sa braguette. George s'en empara. Jamais au grand jamais il n'aurait fait une chose pareille sans la présence d'une femme. C'est en fait ce qui changeait tout. Il masturba la bite du majordome simultanément à la sienne quelques instants. Puis saisi d'une impulsion subite, il emboucha le membre de James, c'était une première ! 

 

- Oh ! dit simplement Elisabeth qui n'en croyait pas ses yeux

- Ne soyez pas jalouse, vous allez l'avoir aussi la grosse bite de James, et même qu'il va vous la foutre dans le cul !

- Depuis quand sucez-vous des bites, George ?

- Depuis tout petit, mais dans mes rêves uniquement !

- C'est incroyable !

- Cela vous choque !

- Cela me choque, mais cela m'excite ! Continuez donc !

 

George encouragé, reprit sa fellation, il ne souhaitait pas pour autant que l'autre décharge trop vite.

 

- Tenez prenez le relais, mais pas trop longtemps, et après il va vous enculer !

- Mais je ne veux pas !

- La punition n'est pas terminée Milady !

- ...alors dans ce cas !

 

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Et après avoir mis ses babines en contact avec le gland violacé du domestique, puis fait coulisser le membre dans sa bouche, elle s'agenouilla, tendit ses fesses, les écarta. James s'encapota et s'avança vers sa rondelle, et la pénétra sans trop de difficultés, il accomplit ainsi quelques coups de piston, puis incapable de se retenir davantage explosa son plaisir.

 

- Vous mettrez mon caleçon au sale, vous pouvez disposer, merci James, vous êtes un serviteur dévoué !

- Ce fut un plaisir Milord !

 

Alors les deux époux s'enlacèrent. Comme à leur habitude après avoir fait les folies les plus inattendues, ils se jetaient l'un contre l'autre et laissaient exploser leur tendresse. C'est les cheveux défaits alors que la radio jouait la chevauchée des Walkyries qu'Elisabeth prit son plaisir accroupit et empalée sur le sexe de son mari.

 

Epilogue :

 

- Milady, faut-il vraiment que je parle à Edouard ?

- Vous aviez promis, je crois !

- Mais que vais-je lui dire ?

- Commencez par lui expliquez comment se font les bébés !

- Je n'oserais jamais !

- Débrouillez-vous, vous avez promis, je vous le répète.

- Mais comment amener le problème ?

- Mais je ne sais pas, faites une analogie avec le monde animal, expliquez-lui comment les animaux font leurs bébés, et le déclic se produira sans doute.

 

Quelques heures après dans la chambre d'Edouard 

 

- Edouard, mon fils j'ai à vous parler !

- Oui Père !

- Voilà, il est des moments dans la vie, où un père doit dire des choses à son fis, des choses qui peuvent le choquer, mais qui sont des choses de la vie.

- Vous voilà bien grave !

- Vous souvenez-vous du cadeau personnel que je vous ai fait pour vos 18 ans

- Oui, vous m'avez emmené au bordel, père !

- Et cela vous a plus, je crois ?

- Oui, père !

- Vous avez donc en encore en mémoire tout ce que vous y avez vu ?

- Oui, bien sûr !

- Alors écoutez-moi bien et attendez-vous à un choc !

- Oui père !

- Et bien, les animaux, ils font exactement pareil !

 

© Ursulin Neveway (E et MP Perez) - janvier 2002

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Mars 2002

 

  

 

 

    

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Dimanche 22 juillet 2001 7 22 /07 /Juil /2001 18:58

Féfesse et les abeilles 

(Une farce signée Ursulin)

 

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Wha ! Déjà cette heure-là ! Ça fait du bien de ronfler un peu ! Je me suis octroyée ce mardi un jour de repos ! Ça fait du bien, et c'est pour la bonne cause. Car il se trouve qu'aujourd'hui, c'est mon anniversaire, j'ai 30 ans !

 

D'ailleurs je n'aurais 30 ans que ce soir, je suis née à 21 heures paraît-il !

 

Allez, on se présente ? Vous êtes comment vous ? Moi, mon vrai prénom c'est Fabrizia, c'est joli ça, comme prénom, Fabrizia. Mais il y a un truc que les parents n'ont jamais compris, c'est que dès que le prénom est un peu compliqué, il ne sert plus à rien, les gens le remplace, ainsi petite j'étais Faby, ça passe encore. Mais quand j'ai commencé à travailler et que je signais mes pièces comptables je mettais mes initiales "F.S". Le chef trouvait très marrant de m'appeler comme ça "F.S". Et puis "éfesse" c'est transformé en Féfésse ! Bon c'était pour l'anecdote parce que dans le récit on ne va pas s'en servir.

 

Comment je suis, alors "je suis" 1 m 70, "je suis" quelques kilos de trop (4 ou 5), "je suis" la peau mate, je suis châtain clair, les cheveux coupés au carré, les fesses rebondies, la poitrine moyenne (95 C), je suis myope comme une taupe, j'ai les yeux bleus, la bouche pulpeuse et un sale caractère, je n'aime pas qu'on m'emmerde, mais sais être romantique et douce comme un agneau. Ais-je oublié quelque chose ?

 

Non ? Alors c'est mon anniversaire ! Et j'entends déjà le chœur antique des lecteurs : "encore une histoire de cadeau d'anniversaire, un cadeau vivant monté sur pattes, bien sûr !" Ben, non ! Vous n'y êtes pas du tout ! D'abord !

 

Parce que figurez-vous que mon copain après 4 ans de bon et loyaux rapports amoureux s'est carapaté le mois dernier avec une pétasse (ben oui c'est forcément une pétasse, non ?) Et que mon anniversaire, je vais me le faire toute seule comme une grande. A 21 heures piles, je vais me servir un petit repas, simple et sympa mais qui satisfera ma gourmandise, il y aura un joli plat de tagliatelles, une assiette de charcuterie italienne, et un petit rosé de Provence, pour le dessert je vais acheter une grosse religieuse au chocolat, je mettrai une grosse bougie dessus marqué 30 et je la soufflerai toute seule, toute seule ! Et puis, je mettrai de la musique, du Tchaïkovski, j'adore ce compositeur ! Et puis, je vais m'acheter des fleurs, j'ai envie de glaïeuls, je ne sais même pas si j'ai un vase assez grand pour les mettre, ça ne fait rien j'achèterais un vase. Je passerais chez le fleuriste en revenant du docteur.

 

A ben oui, il faut que je passe chez le docteur en fin d'après-midi, il doit me faire mon rappel de tétanos. Il est craquant ce docteur, je ne le vois pas assez souvent, c'est normal je ne suis jamais malade ! Un bel homme, des beaux yeux coquins, et les tempes grisonnantes, une belle allure sportive, beaucoup de charme, décontracté, sympa ! Tiens, pourquoi je mouille moi ?

 

Bon, je me lève ! Mais c'est qu'il fait super beau ! Après tous ces jours de flotte, voilà qui est une excellente surprise. Je regarde la température extérieure : 21° ! Bigre, Et pas un nuage ! Oh lala ! Je me douche vite fait, je reste à poil, me prépare sur un plateau tout ce dont j'ai besoin pour aller dans le jardin, mon petit déjeuner, mon portable, mon baladeur, mes cigarettes, mon briquet, mes chewing-gums, mon gode (mais non pas mon gode, je n'ai rien contre, remarquez, mais il se trouve que je n'en possède pas !) Et zou ! Je vais m'installer dans une chaise longue offrant mon corps de jeune femme au soleil.

 

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Et oui trente ans, le meilleur âge, la jeunesse et l'expérience !

 

Le jardin est bien protégé, on ne peut pas me voir. En principe, parce que les baraques de quatre étages qui sont à cent mètres, il suffit d'une petite paire de jumelles et puis toc ! Mais je m'en fous, d'ailleurs non c'est faux, je ne m'en fous pas ! Ça m'exciterait plutôt cette affaire-là ! Je ne me classe pas comme exhibitionniste, mais je ne vais pas non plus bronzer à l'intérieur d'un chapiteau de toile ! Tiens, ça me rappelle le voisin qui l'an dernier par une belle journée de septembre était resté vingt minutes à bricoler en haut d'une échelle dans son cerisier. Dans son cerisier au mois de septembre ! Je l'ai croisé le lendemain je lui ai demandé s'il m'avait mis des cerises de côté, depuis on ne se parle plus !

 

Bon je suis là dans ma chaise, je me regarde, je ne suis pas trop mécontente de mon corps, il y a mieux, il y a pire, je suis dans la bonne moyenne, quoiiiiiii !

 

C'est instinctif, il faut que je me caresse ! Mais non ! Attendez, pour l'instant je ne m'occupe que de la douceur de ma peau, je me caresse les bras, c'est très doux un bras surtout à l'intérieur, ne trouvez-vous pas ? Les épaules à présent, ça aussi c'est pas mal, c'est rond, et puis les cuisses, les mollets, le ventre... Un coup d'œil aux fenêtres, pas de voyeur, comme c'est dommage, je lui aurais fait un petit spectacle, c'est vrai qu'on est en semaine, les gens travaillent. Ah ! J'ai cru voir bouger quelque chose, mais c'est peut-être moi qui me fais des idées. Mais ça ne fait rien, je vais faire comme-ci. Je commence à avoir très chaud au propre comme au figuré, je me caresse les seins, je les aime bien mes seins, ni trop gros, ni trop petits, et des petits tétons très réactifs. D'ailleurs je vais les faire réagir immédiatement, je me les pince, je me les tortille, j'adore me faire mal aux nénés. Oh ! N'allez pas croire que je suis maso ! Ou alors juste un petit peu !

 

Une abeille passe, cet abruti de bestiole est attiré par la confiture de ma tartine que j'ai laissée dans le plateau. Je n'aime pas ces trucs là, mais alors pas du tout !

 

Bon, elle m'a dérangé l'insectoïde avec ses bzzz-bzzz, reprenons, et non voilà cette conne qui recommence dans l'autre sens ! C'est d'un pénible, si on ne peut même pas se tripoter tranquille à présent ! J'attends un peu ! Plus d'abeilles pour le moment, c'est parfait ! Je continue là où je m'étais arrêtée. Je continue à me triturer mes pointes, je commence à mouiller sec, mais je n'ai que deux mains, pas pratique de se tripoter à la fois les nénés et la chatoune. Et puis en plus j'ai envie de pisser.

 

Ben oui, quoi ? Je n'ai jamais assimilé le pipi au crade, pour moi il s'agit d'un suc corporel dont nous a doté la nature et qui ne me dégoûte absolument pas, bien au contraire. Folie pour folie, on n'a pas tous les jours 30 ans, et je me pisse dessus, par petits jets successifs, ça me coule sur les cuisses, ça se barre sur le tissu de la chaise longue, une partie passe à travers et l'autre s'étale, du coup je soulève un peu mes fesses, mouillée pour mouillée, autant y aller carrément. Mais c'est que j'avais une grosse envie, j'en fous partout. Et me voilà follement excitée ! Ma main descend vers ma chatte en feu. Mais ça m'embête d'abandonner cette bonne pression sur mes pointes de seins.

 

Mais j'ai de la ressource ! Je me lève, je vais jusqu'à la corde à linge et j'y prélève quelques pinces, je me réinstalle, et hop une pince au téton droit, et hop une pince au téton gauche. Pas très forte la pression, je reprends deux autres pinces que je superpose. De cette façon, ça commence à serrer sévère !

 

L'abeille repasse ! Non, ce n'est pas vrai ! Je vais finir par aller chercher une bombe insecticide !

 

Je suis excitée comme rarement je l'ai été, du coup j'essaie de me placer une pince sur mes lèvres vaginales, ce n'est pas la première fois que je fais cette tentative, mais j'ai toujours laissé tomber, ça fait trop mal. Cette fois encore je la retire au bout d'une vingtaine de seconde, décidément je ne suis maso que des nénés, comme je vous le disais !

 

El l'abeille qui repasse...

 

Le bout de mon index frôle maintenant mon clitoris, il se fait de plus en plus insistant, des images se forment dans ma tête, des fantasmes, le docteur ! Comment ça le docteur ? Ben oui, le docteur ! Me voici en train de fantasmer sur le toubib !

 

Bzzz ! Bzzz !

 

Cette fois c'en est trop, il faut que je fasse quelque chose !

 

C'est alors que j'ai un coup de folie, je m'empare du portable :

 

- Allô docteur !

- Oui je vous écoute !

- Docteur c'est affreux, j'étais toute nue dans mon jardin en train de me faire bronzer, et voilà qu'une abeille est rentrée dans mon vagin et ne veut plus en ressortir

- Pardon ?

 

Je lui répété tout cela très calmement, en essayant de garder mon sérieux.

 

- Hum, voyez-vous cette abeille a été attirée par des phéromones sexuelles. Elle n'en sortira que si des phéromones plus puissantes l'attirent. Me répond doctement… le docteur.

- Et en clair je fais comment ?

- Et bien peut-être un mélange de phéromones masculines et d'éléments sucrés ?

- Pardon ?

- Demandez donc à votre mari de s'enduire le sexe de confiture, et l'abeille devrait sans doute préférer ce mélange !

- Ah ! Vous croyez ? Docteur !

- Je suis sûr ! Je peux vous laisser à présent, chère madame !

- C'est qu'il y a un problème !

- Il ne devrait portant plus y en avoir !

- Si ! Je n'ai pas de mari, je suis désespérément seule docteur !

- Ah ! Ben dans ce cas, ne touchez à rien, je vais me sacrifier, contentez-vous de préparer la confiture. Euh ? C'est à quelle adresse ?

 

C'était dingue, j'avais téléphoné comme ça pour délirer complètement, et le toubib rentrait dans mon délire. Je me demandais quand même s'il oserait allez jusqu'au bout ! J'allais néanmoins chercher un pot de gelée de groseilles, au cas où...

 

Il a osé, je lui ouvre, revêtue d'une robe de chambre passé à la hâte :

 

- Ah docteur comme c'est gentil d'être venu, suivez-moi docteur, nous allons faire cela dans le jardin, je ne veux pas d'abeille dans mes murs !

 

Hum, qu'il est beau ce docteur, tout à fait dans mes goûts, il veut bien jouer avec moi, il ne sera pas déçu.

 

- Voilà j'ai préparé la confiture ! C'est de la groseille, mais si vous préférez autre chose !

- Ça devrait aller, mais je vais être obligé de me déshabiller, afin de ne pas me salir !

- Mais faites, docteur, faites, je vous en prie !

 

Mon beau docteur se déshabille, c'est qu'il est mignon comme tout ce petit docteur là ! Un vrai petit bonhomme comme je les aime tant !

 

- Voilà, enlevez cette robe de chambre et restez assise dans la chaise ! Oh mais elle est toute mouillée, il aurait donc plu ?

- C'est possible docteur, nous avons des micro-climats par ici !

 

Je m'assois dans l'humidité de ma chaise et le docteur se penche vers moi et entreprend de me caresser.

 

- Mais que faites-vous donc docteur ? Je croyais que vous alliez vous badigeonner le sexe !

- Ce sera bien plus efficace s'il offre une surface plus importante !

- Et le fait de me caresser serait donc de nature à augmenter la surface de votre sexe ?

- La surface et le volume !

- Ciel ! Mais c'est vrai en plus ! Ça alors, je n'en crois pas mes yeux !

- Mais si vous n'en croyez pas vos yeux, croyez en vos mains, touchez donc chère madame, je vous y autorise !

- Oh ! Quel très bel objet que vous avez là !

- Certes, mais il y a un problème !

- Un problème ! Mais nous allons le résoudre j'espère !

- Je pense, oui ! La confiture ne tiendra pas sur mon sexe, il est trop sec !

- Trop sec, mais alors il faut l'humecter !

- Voilà qui me paraît une excellente idée !

- Je vais aller chercher une bouteille d'eau, vous la préférez plate ou gazeuse ?

- Ne vous donnez pas cette peine, un peu de salive fera parfaitement la peine !

- De la salive, docteur ?

- Hé !

- Rendez-vous compte heureusement que personne ne nous regarde, les gens auraient cru que je m'apprêtais à vous faire une pipe !

- Les gens ont de ces idées !

 

J'approchais ma bouche du membre viril de ce membre du corps médical, puis l'emprisonnait de mes lèvres, l'humectait comme il faut, le balayant de savants coups de langue. Ce coquin en profitait pour me peloter les nichons. Laissant un moment son sexe je m'étonnais de ce curieux traitement.

 

- Le tripotage de mes seins fait-il aussi partie de votre thérapeutique ?

- Absolument, disons que je vous prépare psychologiquement au choc que pourrait constituer une sortie trop violente de cette abeille !

- Ah ! C'est très bien, et bien je crois que je ne suis pas encore complètement préparée psychologiquement, continuez donc à me préparer docteur !

- J'y comptais bien, je vais me livrer avec votre permission à une petite action psycho-humide !

- Ciel ! Je suis impatiente de connaître ça !

 

Le toubib mit alors sa tête entre mes jambes, je crois qu'il fut un moment surpris d'y trouver cette curieuse odeur de pipi non essuyé, mais il finit par s'installer dans un cunnilinctus en règle, léchant d'abord tout ce qu'il pouvait pour venir en final m'agacer le clitoris avec une précision toute médicale. Je me surpris à jouir dans un déluge de tremblement et de cris.

 

- Et malgré tout cela la guêpe n'est pas sortie !

- Une abeille, docteur, pas une guêpe !

 

Je vis le docteur aller fouiller dans les poches de son pantalon, il en sortit (puisque extraya n'est pas français !)" un préservatif et sans me demander mon avis me pénétra carrément.

 

- Mais docteur que faites-vous donc ?

- J'ai changé de tactique, votre abeille, je vais l'assommer, et ensuite la noyer !

- Vous ne la noierez pas avec un préservatif !

- C'est exact, elle aura donc la vie sauve !

- Docteur !

- Oui, madame ?

- Quand vous aurez fini d'assommer cette abeille, aurez-vous encore un moment ?

- Je crois bien que je le prendrais !

- Parce que je ne vous ai pas tout dit !

- Vous m'auriez caché quelque chose ?

- Ben oui docteur, je suis très timide !

- Il faut tout me dire !

- Et bien, voyez-vous, je viens de me souvenir qu'une deuxième abeille m'est rentrée par mon autre trou...

 

Rideau sur la scène du théâtre érotique, Féfesse et le docteur viennent saluer le public !

 

Clap Clap Clap ! Tout le monde applaudit sauf qui se branlent… on ne peut pas tout faire.

 

U Neveway (E et MP Perez)

 

 

Première publication sur Vassilia, le 22/07/2001, légèrement révisé en 2010>

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Samedi 14 avril 2001 6 14 /04 /Avr /2001 18:46

Romantique Rome antique

par Ursulin

 

cochon

 

Cela se passe à l'époque de l'empire romain.

 

Nous sommes en l'an 45 après J-C ! Rome est alors gouverné par l'Empereur Claudius. Sa jeune femme Messaline à une vingtaine d'année et c'est l'une des plus belles femmes de l'empire. Sa peau d'albâtre, ses cheveux de jais légèrement bouclés, sa bouche sensuelle et son joli petit nez, tout cela attire l'attention de ceux qui ont la chance de s'en approcher. Et pour ceux qui ont eu la rare chance de s'en approcher davantage, ceux-ci savent bien que ses longues jambes, son petit cul bien cambré et sa magnifique poitrine, ont rendu fous de désir plus d'un homme.

 

Oui mais voilà ! C'est que l'impératrice est peu aimable, fort ambitieuse et assez peu scrupuleuse. En fait peu s'y frottent.

 

Faisons maintenant la connaissance de Titus ! Ce général de centurie, beau comme un dieu, et musclé comme un gladiateur s'est illustré à la guerre. Auréolé de gloire il aurait pu grimper dans la carrière militaire si une sale blessure au bras ne l'avait pas rendu légèrement handicapé et obligé à une semi-retraite. Ses ambitions se sont donc portées vers le politique, milieu, où son charme fou aidant, il courtisera maintes femmes de sénateurs et autres maîtresses des conseillers de la cour.

 

Sa réputation d'amant émérite est alors parvenue jusqu'au premier cercle du pouvoir, et quand profitant de l'absence de l'empereur, il eut l'occasion de faire son numéro de charme à l'impératrice Messaline, celle-ci se laissa faire, et l'entraîna dans ses appartements privés pour un ébat d'amour d'une fougue à peine contrôlée.

 

Ils se rencontrèrent ainsi une dizaine de fois, jusqu'à ce que Messaline décida que d'une part il était temps de changer d'amant, et que d'autre part celui-ci commençait par prendre au palais des habitudes qui contribuait à le rendre embarrassant voire dangereux.

 

Messaline demanda donc à l'un de ses gardes du corps d'informer l'empereur de sa liaison. Lequel empereur entra dans une colère folle, (ce qui n'était pas très grave), distribua quelques gifles à l'impératrice (qui du coup sollicita son pardon). Il fit également jeter aux lions l'infortuné messager, (pour lui apprendre à ne plus rapporter des nouvelles aussi déplaisantes) et bien sûr il fit arrêter Titus.

 

L'empereur souhaita que l'amant de sa femme comparaisse devant lui, et on lui amena ce dernier, couvert de chaîne, la barbe hirsute, et la crasse puante. Un tel affront méritait un châtiment exemplaire, quelque chose qui flatterait et qui impressionnerait la foule.

 

- Je ne vais pas te tuer comme cela ! Non ! Tu vas devoir affronter une épreuve, une épreuve à la hauteur de ta réputation. Tu vas devoir baiser 50 femmes à la suite et si tu n'y arrives pas je te ferais bouffer par les lions !

 

L'empereur donna des ordres afin que Titus soit bien traité, et bien nourri pendant 15 jours, et c'est donc en pleine forme qu'il se présenta à l'épreuve.

 

Ce jour-là il faisait beau et chaud sur la capitale de l'empire, le ciel est d'un bleu uniforme qu'aucun nuage n'a l'outrecuidance de venir tâcher et le Colisée était plein à craquer, On fit entrer 50 femmes dans l'assistance, choisies parmi les plus belles esclaves de Rome.

 

Fort de sa popularité, Titus en rentrant dans l'arène fut salué d'une magnifique ovation du public qui debout scandait : TI-TUS ! TI-TUS ! dans une ambiance survoltée.

 

Un héraut muni d'un porte-voix annonce au public les " règles ", il avait été convenu que Titus pourrait " prendre " ces demoiselles dans l'ordre qu'il souhaiterait, cependant toute brutalité était exclue et l'affaire devait se terminer avant le coucher du soleil. 

 

Des centurions firent alors leur entrée et entreprirent de lier les poignets de ces dames derrière leur dos. En effet, si Titus devait jouir 50 fois, il était interdit à ces demoiselles de lui donner le moindre " coup de main "

 

Puis le héraut demanda à Titus de commencer.

 

Titus alors se déshabille ! Il exhibe alors son sexe à la vue de la foule qui scande à nouveau : TI-TUS ! TI-TUS ! Il esquisse quelques mouvements de masturbation rythmée par les ovations. Et quand il estime être satisfait de l'état de raideur se son sexe, il désigne l'une des 50 esclaves et lui demande de se lever pour aller le rejoindre sur la luxueuse literie qui a été disposé au centre de l'arène

 

 Sans hésiter, il s'envoie la 1ère, puis la 2ème, puis les 25 premières sous les acclamations du public, 

 

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A la 26ème, petit passage à vide mais la foule l'encourage : ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! Et le voilà reparti pour 10 filles de plus sous les vivats de la foule. A la 36ème, bon passage à vide mais la foule l'encourage : ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! Et le voilà reparti pour 10 filles de plus sous les vivats de la foule. A la 44ème, gros passage à vide mais la foule l'encourage ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! et le voilà reparti sous les vivats de la foule. 

 

Il reste 6 filles, les plus belles, Titus fait signe à Leila de s'approcher, Leila est une belle brune à la peau mate, c'est une esclave qui vient de l'Afrique au nord du grand désert. Pour se reposer un peu, il lui demande de le sucer. La fille engouffre alors le sexe de Titus dans sa bouche et commence une savante fellation, alternant art de la langue et science des lèvres. Quelques minutes après, Titus est atteint de soubresauts de plaisir et tandis que Leila tire sa langue maculée de sperme au public, témoin de son savoir-faire, notre héros est ovationné par la foule en Délire

 

ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS !

 

C'est au tour de Tatiana, maintenant, pour son 46ème coup. Tatiana est une blonde à la peau claire qui vient de la très lointaine Lituanie, il dégage d'elle une sorte de charme paysan qui ne laisse pas Titus indifférent. Et si la vue de ses seins l'émoustille, celle de ses fesses à un effet revigorant. Il lui demande de se positionner en levrette, humecte d'un peu de salive son petit trou et l'encule devant le public en liesse.

 

- BRAVO TITUS ! BRAVO TITUS !

 

Le dernier carré, Il choisit à présent Elaura, Elle vient de la nordique Bretagne (qu'on n'appelait pas encore Grande). Sa chevelure rousse flamboie sous les courants d'air qui traverse le Colisée. Ses yeux sont verts comme les lézards des pierres et elle est couverte de tâches de rousseurs. Partout ! Y compris sur son opulente poitrine. Titus la couche sur la literie, se coince la queue entre ses deux nichons à la peau si douce et entame des mouvements de va-et-vient. Sans doute était-ce la première fois qu'une branlette espagnole était exécutée devant une telle foule !

 

- ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! 

 

Plus que 3 ! L'antépénultième sera donc Oday, Cette magnifique beauté noire vient de très loin, plus loin que les sources du Nil, elle vient d'Abyssinie, son corps d'ébène et sa peau satiné excite notre héros. Si le galbe de ses seins est magnifique, sa cambrure de rein est exceptionnelle. Jamais Titus n'avait vu une femme aussi bien proportionnée. Il la retourne, décidément ces fesses l'attirent trop. La sodomiser, pourquoi pas ? Mais il a envie d'essayer autre chose. Alors sans la pénétrer, il coince sa bite entre les deux globes de ses fesses et entreprend de lui faire une branlette à la Grecque ! La foule découvrira donc cette spécialité assez peu répandue qui n'a jamais eu l'immense succès d'estime de sa cousine espagnole !

 

- BRAVO TITUS ! BRAVO TITUS !

 

D'où peut bien venir cette étrange créature ? Se demande Titus ! Une comme cela il n'en a jamais vu ! Il ignore que Yoko était déjà esclave des Perses quand les Romains l'ont ramené ici. Il ignore que les Perses l'ont capturée encore plus loin à l'Est, là où sont les Terres où le soleil se lève. Elle n'est pas bien grande, ses yeux sont en amande, et sa peau est jaune dorée ! Il émane d'elle un charme gracile et une gentillesse du sourire qui envoûte Titus. La fatigue le gagne, il n'est pas sûr de tenir ce coup-là, il est quasiment vidé de ses forces, mais la foule l'encourage encore 

 

- ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! 

 

Il se couche sur la literie et demande à Yoko de le chevaucher, ça dure un certain temps, de plus sa verge commence à être sérieusement irritée, mais, la foule est avec lui, et il finit par jouir d'un maigre filet de sperme qui le rend complètement exténué, mais qui déchaîne la foule

 

- BRAVO TITUS ! BRAVO TITUS !

 

Reste donc la 50ème fille ! La plus belle ? Peut-être pas ! Mais celle qui devrait l'exciter le plus, et pour une raison bien simple, cette fille ressemble trop à l'impératrice. Sa peau d'albâtre, ses cheveux de jais légèrement bouclés sa bouche sensuelle et son joli petit nez, ses longues jambes, son petit cul bien cambré et sa magnifique poitrine. Sa ressemblance avec Messaline est trop frappante

 

- L'impératrice aurait-elle une sœur jumelle ? Se demande soudain Titus, avant que la vérité lui éclate au visage : C'EST l'impératrice ! Une chance probablement car nulle autre qu'elle ne pouvait l'exciter autant ! 

- ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! 

 

Mais que faisait Messaline ici ? Voulait-elle participer à sa chute de tout près ? Ou au contraire lui apporter une aide in-extremis ? Non ! Ce n'était pas du tout cela et Titus le compris bien. Tout simplement Messaline s'infligeait une épreuve. Etre choisit la dernière, pour l'épreuve ultime signifiait pour elle qu'aucune femme, y compris dans les régions les plus reculées de l'Empire n'égalait sa beauté. Ce en quoi Messaline se trompait lourdement, Titus l'avait simplement " réservé " à cause des fantasmes et des souvenirs qu'elle réveillait en lui !

 

- ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! 

 

Mais Titus n'en peut plus, il voudrait bien, mais il ne peut pas

 

- ALLEZ-TI-TUS ! ALLEZ-TI-TUS ! 

 

Il fait un signe à la foule, indiquant que vraiment, cette fois il ne pourra pas ! Mais il a fait une magnifique prestation, 49 coups c'est un exploit ! La foule saura peut-être lui éviter un retour dans cette arène, et cette fois face aux lions. Il implore son jugement, stoïque !

Un brouhaha d'abord incompréhensible surgit du public, qui maintenant scande à l'unisson aux oreilles incrédules de notre héros :

 

- TI-TUS PE-DÉ ! TI-TUS PE-DÉ !

 

Ursulin - 18/06/00

Première publication sur Vassilia, le 14//04/2001

 

additif : Cette histoire, je devrais dire cette farce, n'a aucune prétention sinon d'amuser, mais je ne résiste pas au plaisir de vous recopier la "critique' qu'une andouille qui se faisait appeler Saint-Ange avait à l'époque doctement pondu sur le site de revebebe : " absolument pas vraisemblable à l'époque dans laquelle elle est située" mort de rire !

 

Ursulin

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Samedi 14 avril 2001 6 14 /04 /Avr /2001 18:27

Kélia au marché de Bujumbura

par Ursulin

 

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Notre histoire se passe au Burundi ! Lorsqu'on regarde une carte de l'Afrique, il faut savoir ou c'est ! Et on finit par dénicher ce tout petit pays coincé à l'est du Congo (ex Zaïre) et à l'ouest de la Tanzanie. Au nord un autre petit pays lui tient compagnie, le Rwanda ! Mais quelle idée dira-t-on que de faire des pays si petits. Les raisons en sont historiques et seraient ici hors-sujet. 

 

Mais sachez que tout est relatif, le Burundi mesure 28 000 km². Certes ! Mais la Belgique n'en mesure que 30 000 ! Ce qui est à peu prés la même chose. D'ailleurs le Burundi après avoir été colonisé par les Allemands à été cédé à nos amis belges après la guerre de 1914-1918. 

 

La similitude entre le Burundi et la Belgique ne se limite pas à la taille du pays. De même que nos amis belges sont parfois tourmentés par quelques Flamands n'aimant pas les Wallons (et/ou vice versa), Le Burundi, pays pauvre et qui n'a vraiment pas besoin de cela s'embarrasse de querelles ethniques entre les Hutus et les Tutsis. (retenez bien ceci, s'il vous plait !)

 

Après ce court précis de géopolitique, nous pouvons peut-être passer à notre histoire et faire la connaissance de Kélia.

 

Kélia est une splendide jeune femme. Elle vient d'avoir 22 ans. C'est l'aînée d'une famille de sept enfants, toutes des filles ! Ses cheveux sont coiffés en fines tresses. Elle est vêtue aujourd'hui " à l'européenne " d'un petit boléro jaune sans manche assez décolleté laissant deviner une belle poitrine en obus logée fièrement dans un bon 95 aux larges bonnets et qui lui laisse le nombril découvert. En bas elle s'est habillé de ce qui fut jadis un blue-jean, mais qui après découpage n'est plus qu'un short moulant une croupe bien rebondie qui ne passe guère inaperçue. Et surtout précisons-le pour la suite, Kélia appartient à l'ethnie Hutu.

 

Elle habite à une vingtaine de kilomètres de Bujumbura, la capitale. Une fois par semaine elle s'y rend en vélo afin de faire son marché et d'y acheter des œufs et de la farine. 

 

Comme toujours, le marché s'emplit d'un vacarme inimaginable ou se mélangent les cris des marchands faisant l'article, ceux des acheteuses essayant de marchander, ainsi que les inévitables querelles inhérentes à ce genre de lieux. Rien n'est vraiment organisé, et les marchands de fruits et légumes côtoient, des étalages d'ustensiles, d'instruments de musiques, d'animaux vivants, de babioles en plastiques, de tissus en tout genre, et de produits soi-disant magiques.

 

Comme toutes les semaines, Kélia avant de faire ses courses fait d'abord une traversée de reconnaissance dans le marché, déjà pour repérer les marchands les moins chers, mais aussi pour tenter d'y découvrir (pourquoi pas ?) une éventuelle bonne affaire

 

C'est ainsi qu'au moment où commence notre récit (il serait grand temps !), Kélia aperçoit un marchand de chapeau. 

 

Il est rare qu'il y ait des marchands de chapeaux à Bujumbura, en tous les cas, elle n'avait jamais vu celui-là ! Elle s'approche. Le marchand est un Tutsi, mais cela l'indiffère ! Elle regarde les chapeaux. Ou plutôt elle regarde un chapeau ! Il lui plait. Elle ne se fait aucune illusion, ce n'est pas pour sa bourse. Mais par jeu elle en demande néanmoins le prix 

 

- C'est combien ce chapeau ?

- 1000 francs Burundi, mais on peut s'arranger.

Le type exagérait ! Ce chapeau ne valait pas une telle somme, elle tourna les talons. Le marchand la rappela :

- Revenez ! Je vous ai dit que l'on pourrait s'arranger. Je veux bien vous le laisser pour 500 francs Burundi !

- Laissez tomber ! Je n'ai pas une pareille somme, et même si je l'avais, je n'irais pas la gaspiller pour acheter un chapeau

- Combien tu voudrais mettre ?

- Je n'ai que 50 francs.

- Non, je ne peux pas le laisser à ce prix là

- Tant pis, au revoir !

- A moins que…

- A moins que quoi ?

- A moins que tu me fasses une petite gâterie ?

- Non mais tu me prends pour qui, je ne suis pas une pute !

- Tout de suite les grands mots ! Ca va durer 5 minutes et après tu auras un beau chapeau. Et si ça trouve ces 5 minutes tu ne vas pas les trouver désagréables !

 

Kélia se dit que ce vendeur avait des arguments forts et du coup changea résolument d'attitude

 

- Pourquoi pas ?

 

 Le marchand, laissant la responsabilité de l'étale à un compère entraîna alors notre belle africaine dans une cabine d'essayage fort primaire (en fait quatre tapis suspendus)

Sans autre forme de préambule, il baissa son pantalon, puis son slip. Libérant son sexe flasque qui pendouillait entre ses jambes. Kélia s'agenouilla et prit le membre dans sa main, le masturba quelques instants pour lui donner un peu de raideur, puis ce résultat obtenu, l'engouffra dans sa bouche. Le sexe du marchand de chapeau sans être exceptionnel était néanmoins de bonne taille et prenait une place substantielle dans la bouche de Kélia. Si celle-ci ne détestait pas sucer les queues de ces messieurs, il n'en restait pas moins qu'elle n'avait pas suivi de cours d'avaleuse de sabre, et préféra au bout d'un moment abandonner la méthode globale par celle plus douce, des petits coups de langues sur le gland, par la succion des testicules et le léchage de la hampe. Tout ceci pratiqué par des léchages habiles, des mouvements de sussions de lèvres et quelques caresses doigtées. 

 

Charmaine_Sainclair25.jpg

 

Notre marchand finit par succomber à ce traitement et à cracher violemment son plaisir dans le palais de Kélia, qui vu l'état sanitaire du pays préféra recracher plutôt que d'avaler ! Son contrat était donc rempli

 

- Bon alors, je le prends le chapeau !

- Non !

- Mais c'est trop fort, espèce de salaud ! Tu m'avais promis !

- Une promesse quelle promesse ! tu ne connais donc pas le proverbe

- Le proverbe, quel proverbe ?

- TURLUTTE HUTU - CHAPEAU POINT DU !

 

 

Première publication sur Vassilia, le 14//04/2001

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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Samedi 14 avril 2001 6 14 /04 /Avr /2001 17:29

Un moment dans la vie de Raymondo Aranjuez

par Ursulin

 

cochon

 

Raymondo eu une montée d'adrénaline lorsque le vaguemestre lui tendit l'enveloppe.

 

Une enveloppe rose !

 

Il détestait cette couleur ! Lorsqu'il croisait un homme avec une chemise rose dans la rue, il ne pouvait s'empêcher d'emplir son cœur de haine ! Pour lui, le rose était la couleur de pédés. Un point c'est tout. Il n'y avait pas à discuter. 

 

Quand ses amis viendront au pouvoir, ils interdiront les chemises roses et les pédés !

 

Et là, il fallait qu'on lui écrive en rose. Il hésita à ouvrir ! Il allait partir en permission ! Cette lettre encore cachetée lui gâchait déjà son plaisir, alors une fois ouverte….

 

Il palpa l'objet. Son contenu était cartonné. Un faire-part, se dit-il. Sans doute était-il invité à un mariage ou à un baptême. Il aimait se rendre à ce genre de cérémonie. Il y allait toujours dans son beau costume de légionnaire, bien impeccable, il pouvait discuter avec un tas de gens, ce n'était pas si courant.

 

Il décida de s'informer du contenu de la lettre un peu plus tard, quand il serait en ville, au bistrot.

 

Ça y est, le garçon lui avait apporté son demi, il allait pouvoir savoir. Il sortit l'enveloppe de sa poche. Bon Dieu ! Ce rose ! Il réalisa qu'on pouvait le voir en train de lire un truc rose, il se dissimula tant qu'il put ! et il ouvrit la missive !

 

Un prénom : Mélusine.

 

Un prénom ridicule !

 

C'était un faire-part de naissance : Avec ahurissement il découvrit qu'il s'agissait de sa propre sœur ! La salope, même pas mariée, elle s'était fait faire un gosse par ce salaud de Patrick ! De rage il déchira le carton ! 

 

Quand ses amis viendront au pouvoir, ils interdiront les enfants adultérins !

 

Il réalisa soudain qu'il avait une nièce ! Il était tonton ! Un tonton légionnaire, ça ne faisait pas sérieux ! Puis il lui vint une pensée ridicule :

 

- Il vaut mieux être tonton que tata !

 

Il faudrait qu'il replace cette bêtise. Mais en attendant, il fallait qu'il se calme ! Une bonne bagarre ? Pourquoi pas ? Mais il était en début de permission et il avait peur de salir son bel uniforme ! Boire un coup ! Pour commencer !

 

Il allait leur montrer de quoi il était capable, il était un homme lui ! Pas une lavette ! Il quitta la table, se dirigea vers le bar ! Son sergent instructeur lui avait dit :

 

- Quand tu veux battre ton propre record, ne vise pas juste un peu au-dessus, mais carrément au-dessus !

 

Ce sergent était son modèle. Il avait toujours la bonne opinion sur tout ! Il conseillait bien, renseignait bien et savait donner des ordres. Raymondo était fier d'être sous son commandement. Son précédent record était de 14, il quitta sa table s'approcha du comptoir et commanda :

 

- 17 demis !

- Pardon ?

- 17 demis !

- Vous attendez du monde !

 

Raymondo empoigna la chemise du serveur et commença à le secouer.

 

- On t'a dit que mézigue y voulait 17 demis, alors tu lui sers 17 demis, et tu me fais pas chier avec tes questions d'intellos !

 

Il relâcha le garçon qui recula, se mettant hors d'atteinte du légionnaire !

 

- Alors d'accord ! Mais tu payes d'abord ! Et si tu fais du scandale, j'appelle les flics !

 

- Attend un peu, je vais revenir avec mes amis, et on va te l'arranger ton bistrot de merde.

 

Déjà, le garçon s'emparait du téléphone. Raymondo sortit, il avait un autre moyen de se calmer, un moyen beaucoup plus agréable que de se bagarrer pour rien ! Il prit l'avenue l'emmenant à la sortie de la ville. Bientôt les maisons s'espacèrent, puis disparurent presque complètement. Il tourna à droite, il connaissait bien le chemin, il fallait maintenant monter un sentier assez cahoteux, et on arrivait sur une sorte de plateau. Pourvu qu'elle soit là ! Elle était là ! Elle était seule ! Elle ne faisait pas attention à lui ! Il l'appela 

 

- Fuguette !

 

Fuguette ne répondit pas, toute occupée à brouter n'importe quelles mauvaises herbes. Raymondo franchit l'enclos, il savait qu'à cette heure personne ne le dérangerait, il s'approcha de la chèvre et la caressa. La bestiole devait être dans un mauvais jour. Elle qui répondait d'habitude à ses caresses par des bêlements approbateurs, jouait aujourd'hui les indifférentes. Néanmoins le contact avec l'animal fit bander Raymondo. 

 

- Ben alors Fuguette ? Tu ne me reconnais pas ?

 

Il fallait croire que non !

 

- Qu'est-ce que ça peut foutre, de toute façon ?

 

Raymondo se positionna derrière l'animal, déceintura son pantalon, le baissa ainsi que son slip et s'agrippa aux cuisses de la chèvre afin de préparer son introduction. A ce moment-là Fuguette avança de deux mètres ! Raymondo se rapprocha de nouveau et fit un deuxième essai. Peine perdue la chèvre avança de nouveau

 

- Mais tu vas rester tranquille ? Conasse de chèvre à la con ?

 

 Il fit une troisième tentative qui se solda par le même scénario ! La bestiole ne tenait pas en place. Il se dit qu'il allait essayer une dernière fois, et que si ça ne marchait pas cette fois ci, il faudrait qu'il trouve un truc pour l'immobiliser 

 

C'est à ce moment-là qu'il entendit l'hélicoptère ! Il était tout près ! Il leva le nez, c'était un hélicoptère de l'armée française, il avait l'air en difficulté et cherchait à se poser. Raymondo dépité remonta son pantalon. L'engin se posa, et un militaire en descendit ! Un militaire ! Non "une" militaire !

 

- Une pétasse ! 

 

Qui avait eu un jour l'idée saugrenue d'autoriser les femmes dans l'armée ? Les pédés du ministère sans doute ? Quand ses amis viendront au pouvoir, ils interdiront les femmes dans l'armée et dans la police, et ils interdiront les pétasses ! "Les femmes c'est bon pour les queues des hommes et des casseroles" comme disait son sergent !

 

La fille se présenta en faisant le salut réglementaire :

 

- Sergent Marie-Ange Ivnitsky ! 

 

"Truc en ski ? Encore une rousskof ou une polak ? Si ça se trouve c'est une espionne ? Elle ne peut pas s'appeler Dupont ou Martin comme tout le monde ?" pensa Raymondo Aranjuez

 

- Je suis en mission spéciale, mon hélico à un petit problème, je sais d'où ça vient, mais il faut être deux pour réparer ! Pouvez-vous m'aider ?

 

Il ne pouvait pas faire autrement, il fallait maintenir une pièce dans une certaine direction pendant qu'elle réglait une sorte de grosse visse. L'affaire dura une bonne demi-heure

 

- Voilà c'est fait ! Que je suis content ! Je vais pouvoir continuer ma mission secrète, j'ai eu de la chance de rencontrer un militaire, je ne me voyais pas demander cela à un civil !

 

Raymondo, dévisagea Marie-Ange, elle était magnifique, un visage régulier, les yeux bleus, une poitrine de rêve, il se surprit à bander. Il lui revint en mémoire les paroles de son sergent instructeur :

 

"Il n'y a d'être sur terre plus vicieux qu'une femme !"

 

N'empêche qu'elle l'excitait !

 

- Vous ne pouvez pas savoir de quel mauvais pas vous venez de me tirer, je ne sais comment vous remercier !

- Ne me remerciez pas, c'est normal !

- Non, non, je tiens vraiment à vous remercier !

 

Et en disant cela elle se passa sensuellement la langue sur les lèvres. Et reprit :

 

- Tu peux me demander tout ce que tu veux, absolument tout !

 

Et elle passa coquinement sa main sur sa chemise à l'emplacement de sa poitrine.

 

Thelma03.jpg

 

Le cerveau de Raymondo fonctionnait à 100 à l'heure et son sexe n'en pouvait plus tellement l'érection était intense. Oserait-il lui demander ? L'occasion était trop belle ! Ne pas le faire et il le regretterait sans doute amèrement ! Il lui fallait vaincre sa timidité maladive envers les femmes !

 

- Je peux vraiment tout te demander ?

- Mais bien sûr puisque je te le dis !

 

Elle commençait à déboutonner sa chemise.

 

- Alors je voudrais que…

 

Il avait du mal à s'exprimer.

 

- Que quoi ? Tu ne vas pas me dire qu'un beau militaire comme toi va se mettre à faire le timide ?

 

Alors Raymondo retenant sa respiration finit par lui dire :

 

- OK ! Alors tu vas me tenir cette putain de chèvre qui bouge tout le temps que je puisse la baiser peinard !

 

Ursulin

 

 

Première publication sur Vassilia, le 14//04/2001

Par Ursulin Neveway - Publié dans : Ursulin
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