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Dans les dunes
Prologue : Allons voir plus loin dans les dunes
Début juin, j'étais en stage à Arles ! Bloqué pour le Week-End que faire ? Je me suis décidé pour une bronzette à la plage de Saintes-Maries-de-la-Mer.
En longeant la plage, j'ai constaté qu'il y avait une zone naturiste ! Chouette, il y aura des mecs tous nus ! Il y avait plus de foufounes que de kikis ! Allons voir plus loin dans les dunes.
Un mec, mais pas nu et un couple en pleine baise ! Zut ! Bon, ben moi aussi, je me mets le zizi à l'air. Je me trouve un coin sympa pas loin du mec pas à poil et m'installe. J'enlève mon maillot et me voilà tout nu et matable par n'importe qui...
Pour moi c'est la première fois, alors ça m'excite un peu... Mais attention aux coups de soleil ! Je me mets de la crème partout et regarde distraitement vers le mec pas à poil.
Il est en train de me mater le bougre ! Le temps de ranger ma crème, il a disparu... Alors, toujours nu je vais à sa recherche l'air de rien et je le vois couché et tout nu...
Il me regarde. Il est en train de se branler. Il a un sexe énorme... Je ne tiens plus. À voir ce sexe bien raide, ça me rend tout bizarre.
Je ne peux m'empêcher de m'approcher de lui, de m'agenouiller, de lui prendre le sexe et de le sucer, de le sucer et de le sucer encore ! Que c'était bon ! J'ai juste laissé sa queue à temps pour qu'il ne jouisse pas dans ma bouche ! Il s'est essuyé, rhabillé et s'est cassé sans même un petit merci, le salaud. Et moi j'étais là comme un con !
Quand je me retourne, le couple qui baisait tout à l'heure me regardait en en se marrant... Le mec était assis sur mes affaires, il était assez balaise.
La femme me dit :
- T'as plus qu'à te branler maintenant !
Et le mec d'ajouter
- Vas-y ! Branles-toi devant ma femme !
Alors je me branle. Des gens se ramènent, alors je veux m'arrêter, mais le mec me dit de continuer. Ils sont maintenant quatre à me reluquer (le couple et deux mecs.) Un des mecs sort sa queue et me dit :
- Suce !
Alors je le suce en me masturbant ! La femme me caresse les fesses et demande aux autres s'ils ne veulent pas de mon petit cul. Heureusement, non ! Je jouis, l'autre aussi ! J'avais honte.
Tout le monde est parti de son côté !
Depuis j'y pense quand je me branle et ça m'excite un max !
Cette histoire peut vous paraître assez loufoque, mais elle est tout à fait réelle !
Avertissement : Voici un prologue dont je ne suis pas l’auteur, je l’ai retrouvé dans mon fouillis, je ne me souviens pas d’où ça vient, mais j'avais trouvé ce petit récit marrant et assez excitant, et surtout j’avais projeté d’en écrire une suite… que vous allez lire maintenant
1 - Helvia ou le retour aux dunes
par Eddy
C’est un peu dépité que je rentrais à l’hôtel, tout cela ne s’était pas passé vraiment comme je l’avais voulu. Jamais je n’avais été maître de la situation. Je me couchais de bonne heure, fatigué, mais le sommeil ne venant pas je lui donnais un coup de pouce en me remémorant les moments forts de cette journée et en imaginant ce qu’ils auraient pu être si j’avais eu davantage la situation en main. A défaut de situation, c’est ma bite que je prenais en main ! Et je finis par m’endormir dans l’humidité de mes draps maculés par mon sperme ! En me réveillant, je projetais de retourner dans ces dunes, pour une nouvelle fois, et cette fois-ci j’avais décidé d’aller jusqu’au bout, si je trouvais quelqu’un qui soit à mon goût et qui veuille m’enculer, je le laisserais faire, on verrait bien !
Malheureusement vers midi le temps tourna couvert, et mon projet devint irréalisable. Saloperie de météo qui encore une fois s’était trompée !
Il me restait quatre jours de stage, peut-être que le vendredi… on verrait bien encore une fois.
Le lundi, je me rends sur les lieux du stage, on attend une heure, deux heures… Quand même quelqu’un vient nous annoncer que le formateur a eu un accident de moto, que les remplaçants éventuels ne peuvent pas remplacer. Enfin bref le stage est annulé. Je téléphone à ma boite !
– Embêtant ton truc ! Mais j’ai peut-être une idée rappelle-moi vers midi !
A midi je rappelle !
– Ça t’embêterait de faire une mission dans notre succursale de Nîmes au lieu de remonter à Paris tout de suite !
– Non, il s’agit de quoi ?
On m’explique, ça ne me parait pas compliqué, et j’accepte. Je me rends immédiatement sur les lieux, c’est effectivement assez facile et surtout ça ne me prendra pas toutes les journées, cela veut dire que je pourrais pendant quatre semaines me balader tous les après-midis dans les dunes. Que soit béni l’accident de moto de ce formateur ! (Qui n’était pas bien grave !)
C’est ainsi que ce lundi après-midi je me mis de nouveaux à déambuler dans les dunes des Saintes-Maries. Le problème des dunes c’est la visibilité, on ne voit finalement que le creux de sa dune et rien d’autre. Je croise des gens à poil, des mecs, des filles, des couples, et comme samedi je me mets tout nu, attendant que quelque chose d’intéressant se présente…
Ça ne tarde pas, un peu plus loin, deux mecs sont allongés l’un près de l’autre. Je décide d’attendre avant de me lancer, et pose ma serviette à quarante mètres de l’endroit où ils sont installés. J’attends, j’attends, il ne se passe rien, mais peut-être que je les gêne. Je tente un faux départ, je m’éloigne un peu, j’attends cinq minutes et je reviens, je ne m’étais pas trompé, l’un des deux est en train de masturber l’autre. Je ne sais quelle attitude adopter, pour l’instant ils ne m’ont pas vu. J’attends encore un peu, jusqu’au moment où l’un des types se fait sucer ! Je pense qu’ils sont à présent tous les deux trop affairés pour s’occuper de ma présence et je m’approche. Peine perdue, une heure de gâchée pour s’entendre envoyer promener d’un vulgaire :
– Casse-toi !
Je n’insiste pas, et un peu dépité, je continue ma balade, il y a quand même pas mal de monde, c’est vrai que l’on est lundi et beaucoup de gens ne travaillent pas, et puis il y a déjà du monde en vacances.
J’aperçois un couple, je vais bientôt le croiser, la femme est toute bronzée, une MILF comme on dit, un visage agréable quoiqu’un peu joufflu, un beau sourire et surtout une magnifique paire de seins halée par le soleil, un 95 D probablement qui tient presque tout seul. L’homme la dépasse d’une tête, il est blond, les cheveux courts et assez mignon ! Plus la femme se rapproche plus je matte ses seins, mes pulsions bisexuelles ont pour le moment disparues. Ça y est ! Ils sont à deux mètres de moi et au lieu de m’éviter, ils viennent carrément à ma rencontre !
– Salut !
C’est la femme qui m’adresse la parole, je ne sais pas quoi répondre, surpris de cet abordage inattendu. Elle porte un petit collier sur lequel son nom » Helvia » est indiqué ! Drôle de nom !
– Salut !
– Tu cherches quelque chose ? On peut peut-être s’arranger ?
– Non merci, j’attends quelqu’un !
– Ah, bon ! Bon après-midi, alors ?
Et ils repartent ! Mais je suis con ou quoi ? Mais pourquoi ais-je répondu une chose pareille ? J’ai envie de leur crier : « Revenez, je me suis trompé, je ne sais plus ce que je dis, c’est la chaleur ! » Je m’étais pourtant promis de ne pas me défiler devant les occasions ! J’ai bien envie de foutre le camp et de rentrer à l’hôtel. Oui c’est cela je vais rentrer ! Encore deux ou trois dunes et je vais rentrer !
Là ! Dans cette dune un homme seul, il est nu, j’aime bien sa morphologie, il n’est ni trop musclé, ni trop poilu. Je refais le coup de la serviette à quarante mètres, on verra bien ! Je m’installe et m’aperçois que l’homme est probablement d’origine asiatique, ce qui ne me dérange bien sûr en aucune façon. Il m’a vu, je le sais, le voici qui se touche négligemment sa queue. Je l’imite ! Il me fait un sourire, c’est bon signe, il se masturbe à présent ! Cette fois je ramasse ma serviette et j’y vais. Il continue à se branler en me regardant arriver, mais s’arrête quand je suis à ses côtés.
D’un geste de la main, il m’invite à prendre le relais, je ne me fais pas prier et je prends dans ma main cette belle pine à la peau sombre. Elle est déjà bien raide, et une goutte s’est échappée du gland ! J’ose un petit coup de langue, il se laisse faire, je continue donc à laper le bout de sa pine à la manière d’un chat ! Je pose ensuite mes lèvres à la hauteur de son prépuce mais sans sucer, me contentant de donner des petits coups de langues sur le gland. A présent je commence la fellation proprement dite faisant coulisser la verge entre mes lèvres. Ma pine est évidemment toute raide, mais mon partenaire n’a pas l’air de vouloir s’en occuper. Je me dis qu’après tout, une fois n’étant pas coutume, je vais prendre la direction des opérations et je pivote pour me mettre en position de 69. Ça n’a pas l’air de le contrarier et il entreprend de me rendre la politesse en me suçant également. Il suce assez moyennement, il est en fait plus préoccupé par son propre plaisir que par le mien. Je m’écarte un peu.
– Tu veux que je te fasse jouir ?
Il ne me répond pas mais hoche la tête en signe d’assentiment, après tout peut-être ne parle-il pas notre langue ?
– Je te suce à fond ?
Il me fait signe que non ! En fait, il est peut-être muet ?
– Je te branle alors ?
Pour toute réponse il me désigne mes fesses !
Ben voyons, faut pas se gêner ! J’ai failli partir, et puis, je me suis dit que « quelque part » j’étais aussi venu pour cela, on verrait bien. La seule condition sera le préservatif, mais il l’a déjà en main. Je me positionne donc à quatre pattes, jambes légèrement écartées et j’attends ! Cette bite de taille moyenne devrait me dépuceler l’anus sans problème. J’ose simplement espérer qu’il saura s’y prendre, j’aurais néanmoins préféré quelqu’un qui dialogue un peu plus, mais si je me mets à choisir maintenant… Il a dû s’apercevoir que j’étais très serré, il m’humecte le trou avec sa langue, curieuse sensation, ce type me suce mieux le cul qu’il m’a sucé la bite, il m’en donne la chair de poule. Puis il me doigte un peu, c’est maintenant normalement l’affaire de quelques minutes voire de quelques secondes.
Effectivement je sens le gland qui force l’entrée de mon anus. Il a du mal, je fais ce que je peux pour l’aider en poussant et en agissant sur les muscles des sphincters et en tirant sur mes fesses. Ça y est ! Ça passe ! Ça fait un peu mal. Encore une fois, je constate que l’impossibilité de dialoguer peut rendre les choses compliquées. Il s’enfonce, il s’enfonce, ça fait toujours mal, et le voici qui se met à me pistonner, je sens derrière la douleur une sensation trouble de plaisir qui à présent recouvre tout le reste. C’est bon, c’est trop bon ! Quand je pense que je ne connaissais pas cela ! Ça ne dure, hélas que trop peu de temps ! Il se retire après avoir joui ! Il me fait un sourire, ramasse ses affaires et disparaît ! Et moi alors ? C’est une manie sur cette plage de ne pas s’occuper du plaisir de ses partenaires…
Ce que je n’avais pas vu, c’était les spectateurs, ils sont là à cinq mètres de moi, ils n’ont rien raté de la scène. L’homme a sa queue dressée. C’est le couple de tout à l’heure !
– On continue tous les trois ? Tu n’attends plus personne maintenant ?
Je leur fais signe qu’oui ! Je ne vais pas rater une nouvelle fois cette occasion. Je ne sais pas trop comment m’y prendre, c’est la première fois que je vais faire des trucs avec un couple ! Mais c’est Helvia qui prend la direction des opérations :
– Léchez-moi les seins tous les deux, attention pas trop fort !
– Oui, maman !
Hein ? c’est sa mère !
On fait ce qu’elle souhaitait, elle m’explique carrément que son truc c’est de voir son fils sucer des bites, et même que s’il se faisait enculer ce serait génial ! En matière de fellation je préfère sucer qu’être sucé, mais bon, je ne vais pas jouer au trouble-fête, et je laisse le biquet me gober la bite, tandis qu’Helvia s’occupera de la sienne. A ma grande surprise, il suce beaucoup mieux que mon partenaire précédent, et je le soupçonne de ne pas en être à sa première. A tel point que je suis obligé de le ralentir afin que je ne jouisse pas trop vite. Du coup il abandonne la fellation et se met dans la même position que moi, tout à l’heure. Il aurait pu me demander si j’étais d’accord, mais c’est vrai que je n’ai pas dit non. Il m’ouvre son cul, qui est aussi serré que le mien. Helvia me tend un préservatif. Je refais les gestes que l’Asiatique a fait avec moi, je lui lèche consciencieusement l’anus, puis, je prépare l’entrée en le doigtant. Helvia passe derrière moi et m’attrape le bout de mes seins et me les pince. Cette délicieuse caresse me permet de maintenir mon érection.
Alors j’entreprends une première tentative, je m’en vais dans les décors, je recommence et cette fois le pénètre, j’essaie de mesurer mes allers et retours afin que ma jouissance ne vienne pas trop rapidement. Le type lui pousse des râles de plaisir sur l’air de « Vas-y c’est bon ! » comme dans un mauvais porno ! Un petit déclic me prévient que la jouissance est toute proche
– Vite ! Jouis sur mes seins.
Il était temps, je décule, enlève la capote et fais ce que Helvia me demandait. Le type veut m’embrasser sur la bouche, sans doute pour me remercier, je n’aime pas trop mais me laisse faire. Helvia fait ensuite signe à son fils :
– Viens maintenant !
Elle écarte les cuisses et il la pénètre avec une sauvagerie incroyable, leurs corps deviennent rouges tellement l’excitation est à son paroxysme, le coït ne durera que cinq minutes, mais ils en sortiront épuisés après avoir jouis simultanément.
Helvia se relève, fourbue, ses cuisses sont trempées d’un mélange de sueur, de cyprine et de sperme !
– Je suis crevée ! J’ai une grosse envie de pisser ! Tu en veux ?
Mais de quoi parles-t-elle ? Et comme je ne réponds pas, elle s’accroupit sur le visage de son fils et lui pisse dans la bouche ! Je savais que ça se faisait mais je n’avais jamais vu cela de si prés. Je vais peut-être rater quelque chose ! Après tout j’ai pris de bonnes résolutions depuis tout à l’heure !
– Euh, s’il t’en reste une goutte ?
– Juste une goutte alors !
Je pose ma tête sur le sable, j’ouvre la bouche et j’avale, ce n’est pas mauvais, on dirait de la bière chaude !
– Merci Helvia !
– C’est nous qui te remercions, on vient de concrétiser un vieux fantasme !
Elle fouille dans ses affaires…
– Tiens ! Voilà c’est une invitation au restaurant !
Je n’en reviens pas !
– A quelle heure ?
– Et bien disons 21 heures ! Ça ira ?
Je trouve que ça fait tard mais une invitation ne se refuse pas
Epilogue de l’épisode
Je quitte la plage, bizarre cette invitation, ce n’est pas comme cela que l’on invite les gens au restaurant, je regarde le papier ! C’est en fait un bon de 40 euros à valoir sur l’un des menus !
Où a-t-elle eu ce truc ? Je me change, j’attends patiemment l’heure, je commence à avoir sacrement faim quand je me présente au restaurant, je présente mon papier et on me conduit à une table !
Seul ! Je ne comprends plus ! Je pensais retrouver mes tourtereaux, et bien non, je vais donc dîner tout seul. Quelqu’un me tend une carte.
– Monsieur prendra bien l’apéritif ?
Je connais cette voix, je me tourne vers la serveuse ! Helvia ! Quelque chose me dit que la soirée va être longue !
à suivre
Edvard Stokien © 2000
edvardstokien@hotmail.com
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