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Confessions scatos – 1
Elle est très joueuse par Sadako
Nan mais ce qu’elle vient de me faire… ::
En même temps je l’ai cherchée mais bon… Enfin bref !
En fait voilà, je viens de faire une « merde infinie », vous savez celles où il faut se torcher pendant des lustres avant de ne plus voir de caca sur le papier… :hum:
Bref, après moults efforts, je sors des chiottes et je lui sors d’une façon hyper classe :
– Putain, j’ai lâché une de ces merdes ! J’en voyais plus le bout, ça finissait plus quand je m’essuyais ! :
Et là cette abrutie, que fait-elle ?
– Han vas-y fais voir, fais voir ce qu’il te reste !
Et elle commence à me poursuivre quasiment à poil, moi en caleçon, à essayer de m’arracher ce dernier et à m’écarter le fion…:
Nan mais j’hallucine !
Et pour finir je suis venu m’assoir devant l’ordi pour qu’elle ne puisse plus m’avoir, mais le peu de temps où j’étais dos à elle, elle m’a farci quatre doigts dans la raie à travers le calbute juste pour m’emmerder !
Bon alors OK, c’est pas la première fois qu’elle fait ce genre de chose, et ça ne concerne pas que le domaine du caca, elle est vraiment à la masse parfois…
Mais là je ne sais pas, je viens de prendre du recul, je la regarde là, sérieuse en train d’écrire du courrier, alors qu’il y a quelques minutes elle m’arrachait le caleçon en espérant trouver des résidus de matière fécale sur mon anus…
Et je repense à tous les trucs à la masse qu’on a pu faire, et je me dis que les gens dans la rue doivent être loin de se douter que cette jeune femme à ce genre de caractère
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Passage à l’acte par enum
Je pense qu’aujourd’hui qu’on peut désormais aller plus loin dans le récit de certaines pratiques dites « extrêmes » sans pour autant passer pour un affreux pervers dérangé et idiot à la fois…
Avec ma femme, nous avons des jeux uro, de manière assez régulière et je dirai « décontractée » mais il y eut une période où nous avons expérimenté des jeux scato, devenus plus rares maintenant et je souhaiterai essayer de vous faire comprendre comment cette transition a pu arriver :
Pour moi, les plaisirs uro ont toujours été associés à un jeu de soumission : je suis allongé par terre : ma femme est au-dessus de moi et elle urine sur mon visage et dans ma bouche. Ma femme se plait à me répéter qu’elle adore faire ça, ce qui évidemment m’excite d’autant plus.
Dans la période où nous avions une pratique assidue de ces jeux, vint un moment où j’eu envie de passer à autre chose. Pour être clair j’avais envie que ma femme chie sur moi. Je n’étais absolument pas convaincu que j’aimerais, mais tout l’aspect sale et répugnant lié à la matière fécale était occulté par l’idée du plaisir que je ressentirai à sentir ma femme assise sur moi en train de me remplir la bouche de cette chose immonde. Oui, car en effet je suis tout de suite parti dans l’idée que ça se passerai comme ça, directement, sans étapes préalables.
Nous en avons donc discuté et franchement ma femme a été difficile à convaincre, nos points de divergence étaient les suivants : elle considérait que c’était tout à fait différent de l’uro, que c’était sale et qu’elle ne pourrait jamais en arriver là.
Je lui disais au contraire que pour moi c’était une continuation et que c’était l’acte plus que le résultat en lui-même qui me tentait.
A force de discussion elle accepta de faire une tentative :
Allongé dans la baignoire elle vint se placer au-dessus de moi jusqu’à s’asseoir sur ma bouche ouverte; cette sensation d’ailleurs ne lui déplaisait pas.
Les premières fois furent vaines, puis une fois elle réussit à lâcher une petite chose qui tomba dans ma bouche et que j’alla immédiatement recracher dans les toilettes. Ce fut l’élément déclencheur.
A partir de là s’en suivit plusieurs tentatives jusqu’à cette semaine de vacances que nous passâmes tous les deux où systématiquement le soir elle me pissait dessus et le matin, après le petit déjeuner elle me demandait d’aller m’allonger la bouche grande ouverte dans la baignoire; elle venait s’asseoir sur moi, m’empêchant de bouger, et me déversait le contenu de ses entrailles au point où certains jours elle était obligée de se soulever légèrement car les quantités abondantes suffisaient à me remplir la bouche et à me recouvrir presque totalement le reste du visage.
Je me rendis alors compte que ce qui m’excitait le plus étaient les secondes d’attentes, la bouche ouverte, totalement soumis à ma femme, et la sensation d’être envahi et recouvert par quelque chose venant d’elle.
En revanche, la répugnance vis à vis de la chose restait bien là, et je passais ensuite un moment à me laver et me désinfecter la bouche.
Aujourd’hui ces plaisirs se sont espacés, je dois même dire que nous avons pour le moment abandonné les expériences « scato » même s’il nous arrive d’en parler.
Je pense d’ailleurs qu’il est une bonne chose que ce ne soit pas de venu une obsession, mais resté un jeu parmi d’autres (l’importance du cadre contractuel dans toute pratique !).
Certain(es) ne manqueront pas de juger cela répugnant, je le comprends tout à fait, car moi-même n’aurais jamais pensé AVANT pouvoir prendre ce genre d’orientation. Mais c’est ainsi, l’être humain est complexe et souvent contradictoire.
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Scato tarifée par Fuc18vf
Moi depuis 2 ans je vois régulièrement des donneuses de caviar professionnelles comme les dominas ou occasionnelles rencontrées via des annonces passées…
Franchement au début avant internet j’y pensais même pas, mais en surfant sur des sites je suis tombé sur des vidéos scato et mon fantasme à surgit ! Alors quelques mois ont passés et un jour je me suis décidé à appeler une domina pour réaliser ce fantasme.
Rdv pris au mois de mai à Paris avec une domina de 40 ans environ. Pendant tout le trajet en voiture mon cœur battait à 100 à l’heure, j’étais pressé, excité et un peu fébrile à l’idée de le réaliser !
Arrivé à son appartement, elle me demanda de me déshabiller et de m’asseoir. En attendant elle buvait un thé qu’elle s’était préparée après manger.
Pour commencer elle m’ordonna de lui lécher l’anus, ce que je fis avec engouement (j’aime renifler le cul des femmes et leurs odeurs ), et c’était agréable car ça s’entait très bon…
Ensuite après avoir lécher passionnément et ardemment son cul et sa chatte, elle me fit signe que c’était le moment pour moi de me diriger dans la salle de bain afin de que je lui serve de chiotte. M’allongeant dans la baignoire, elle se mit debout face à moi et me pissa abondement sur la figure en me demandant d’ouvrir la bouche. J’étais trempé de pisse, la tête, les cheveux, la bouche et le torse. Ensuite elle se retourna, dos à moi, accroupie au-dessus de ma tête les pieds calés sur le rebord de la baignoire elle commença a pousser, oui c’était enfin le moment que j’attendais !
Quelques pets sortaient de son anus pendant que je me branlais (j’étais dur et super excité !) et je voyais petit à petit son étron sortir de son cul dilaté. Il tomba sur moi en deux fois !
Une fois terminé, elle ria et me demanda si je voulais goûter, ce que je n’ai pas voulu faire pour une première fois, donc elle me demanda de me branler avec sa merde, ce que je fis jusqu’à l’éjaculation !
Voilà c’était ma première expérience, en 2009. Depuis j’ai eu l’occasion de prendre en bouche, de lécher le cul de belles femmes à qui je sers de toilette, bref j’ai continué à raison d’un rendez-vous tous les deux mois à peu près.
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