Jean-Sébastien Tiroir

Lundi 18 décembre 2000 1 18 /12 /Déc /2000 18:27

Les demoiselles du Sacré-Cœur

Un conte de Noël par Jean-Seb

 

stamp_Xmass.jpg

 

Montmartre.jpg Le cadre

 

Que cette histoire soit aussi l'occasion d'exprimer mon profond dégoût pour cette absolue horreur architecturale que l'on nomme "Basilique du Sacré Cœur" Cet énorme étron blanc érigé pour des motifs idéologiquement douteux défigure notre capitale ! Les touristes s'en foutent... C'est sur leur circuit ! Et sans doute ne font-ils même pas la différence avec Notre-Dame ?

 

Il n'est jamais rare, en montant les marches de son esplanade, et en croisant la foule des visiteurs qui s'y sont arrêtés pour s'y rassasier ou pour s'y reposer, d'y apercevoir, ici une petite culotte, là un décolleté impressionnant, ailleurs un bout de sein aperçu dans l'échancrure d'un minuscule vêtement. Bref ces séances des rinçages oculaires dans les jardins du catholicisme le plus ringard a un petit côté sacrilège qui n'est pas pour me déplaire.

 

C'est en montant que l'on profite du spectacle, pas en descendant, ou alors il faut se retourner sans arrêt, ce qui n'est guère discret. Quelques amateurs savent pourtant que l'on peut continuer à voir des choses intéressantes en descendant par les deux contre allées, très peu fréquentées, mais où parfois sur les bancs des couples n'hésitent pas, ne serait-ce qu'un instant à franchir les limites du convenablement admis.

 

Les personnages, à présent, ils seront trois, deux femmes et un homme.

 

Henri

 

Notre homme se nomme Henri. Quel âge a-t-il au moment de ce récit ? Disons entre 25 et 30 ans ! Dame Nature dont d'aucuns disent qu'elle fait si bien les choses ne l'a pas vraiment gâté ! Sa taille est très inférieure à la moyenne, sa myopie l'oblige au port d'incroyables lunettes, il a un problème de hanche qui le fait légèrement claudiquer et sa plantation dentaire est un tel désastre que son élocution s'accompagne de projections intempestives de postillons qui le rend avare de mots ! C'est tout ? Oui c'est tout ! Vous ne trouvez pas que cela fait bien assez ? Son enfance auprès d'une mère qui non contente de ne pas l'aimer le terrorisait a été malheureuse. Sa scolarité, un calvaire. Ah ! Les risées et les quolibets de ses camarades de cours pendant les cours d'éducation physique que ce salaud de prof n'avait même pas l'intelligence de blâmer ! D'un naturel paresseux, il omettait bien souvent d'apprendre ses leçons. Seuls les mathématiques l'intéressaient où il obtenait régulièrement des 20 sur 20. Il devint vite misanthrope et réalisa un beau matin que la seule façon de s'en sortir serait de travailler pour un jour devenir puissant. Ah ! Quel plaisir exquis se serait d'être un jour le supérieur hiérarchique de ces petits merdeux qui l'avaient tant fais souffrir ! A cette fin, il se mit donc à rattraper son retard dans les matières où il n'avait pas fait grand-chose. Il le fit si bien que quelques années plus tard, il sortit avec les honneurs d'une école d'informatique.

 

Très vite embauché, il s'aperçut aussi que diplômes, connaissance et savoir-faire ne règlent pas tout. Et alors que ses collègues faisaient des déplacements dans le monde entier, lui, on ne l'envoyait que rarement en clientèle, et encore pas trop loin.

 

Il faut bien, vous vous en doutiez, parler de sa sexualité ! Il n'a aucune anomalie physiologique de ce côté-là. Il le sait et il en est fier ! Le problème serait plutôt d'ordre affectif. Il s'est assez vite rendu compte qu'il ne pouvait s'affirmer auprès des femmes. A 21 ans, il était toujours puceau, il s'était donc fait une raison après avoir connu quelques faux espoirs bêtement entretenus et un bon paquet d'humiliations. Alors, il se mit à fréquenter les prostituées, du moins celles qui acceptaient de monter avec lui. Elles n'étaient guère aimables à son encontre et il le leur rendait bien en les méprisant profondément. Il n'arrivait pas à admettre qu'elles n'aient pas la conscience professionnelle d'au moins faire semblant d'être gentilles ne serait-ce que 20 minutes ! Il y retournait cependant, trouvant dans ce genre de rapport une satisfaction que ne lui offrait pas la masturbation.

 

Et puis, il y eut l'incident assez récent, il avait choisi cette fille pour son apparence de calme et de douceur. Elle hésita, mais finalement le monta en chambre. C'est alors qu'après s'être déshabillés et que leurs corps allaient se rapprocher, que brusquement, elle craqua. Se levant brutalement du lit elle explosa :

 

- Non ce n'est pas possible ! Ce n'est pas parce que tu paies qu'il faut te figurer que tu as tous les droits !

 

Henri, la regardait, incrédule, ahuri. 

 

- Tu te rhabilles vite fait ! Tu reprends ton fric et tu te casses !

- Mais qu'est-ce que j'ai fait ? Finit par balbutier Henri.

- Tu as 5 minutes pour te rhabiller et pour te casser, sinon je garde ton fric. C'est pas possible de ne pas se respecter à ce point ! Tu sais ce que c'est, un savon au moins ? T'en as déjà vu dans ta vie ?

 

C'était donc ça ! Bien sûr il se rebiffa, traitant la fille de tous les noms et finissant par se faire sortir par le videur. Voilà qu'à tous ses soucis, il se retrouvait de facto interdit de séjour dans toute une partie de cette rue.

 

Mais quelque part, il réalisa, et décida de se laver, de se changer et de se raser plus régulièrement. Il se surprit même à acheter de l'eau de toilette et du déodorant. Après tout, peut-être n'était-ce que son laisser-aller qui posait problème aux femmes. Il se rendit compte assez vite que non, et en fût fort dépité. Malgré tout il persista dans un certain effort, il remarqua que les visites à ces dames se passaient (un peu) mieux, qu'on l'envoyait (un peu) plus volontiers en clientèle. Et quand il se sentait trop sale, et bien il ne tentait plus rien... ou alors il se lavait ! 

 

Anna et Jenny

 

Commençons, ordre alphabétique oblige par Anna. Anna est comme on dirait un joli petit lot ! Grande, blonde avec une coiffure méchée et relevée en boucle. Elle possède un petit visage fripon agrémenté d'une bouche pulpeuse. Tout est d'ailleurs pulpeux chez elle, y compris sa jolie poitrine, d'une taille suffisante pour remplir la main d'un honnête homme. Originaire du centre de la France, elle est venue poursuivre ses études à Paris, avant de les laisser tomber. Elle gagne sa vie en faisant de l'intérim dans les bureaux. C'est au cours d'une mission qu'elle a rencontré Jany. Jany est une petite blackette, toute souriante. Elle a des cheveux mi-longs, dégagés vers l'arrière avec des tresses ! Vive, intelligente, cultivée et très sensuelle, elle aime dire à qui veut l'entendre qu'elle est une véritable antillaise, puisque née à Sarcelles (Val d'Oise) ! La complicité entre les deux femmes a commencé banalement à la machine à café, pour continuer au restaurant, puis au studio d'Anna que cette dernière proposa de partager "parce que ça fait moins cher à deux"

 

Et puis, il y eut deux évènements :

 

Le premier fut une déception amoureuse d'Anna, laquelle se lança dans un épanchement lacrymal qu'il fallut bien que Jany calme ! Elle la calma avec de telles caresses que l'autre succomba, elle n'avait jamais rien fait avec une autre femme depuis quelques coquineries adolescentes avec une cousine, mais à défaut d'être définitivement convertie aux amours lesbiens, le contact avec Jany lui faisait un bien énorme. Cette fille était la douceur personnifiée, aussi bien sa peau douce comme une fine soierie, que sa voix et sa personnalité.

 

Le second fût plus singulier : Elles s'étaient posées sur ce banc après avoir été traîné dans les galeries de la place du Tertre. Il n'y avait pas âme qui vive, et Jany qui avait l'humeur coquine entrepris de faire d'abord des petits bisous à sa copine avant de lui rouler une véritable pelle. Quand ils reprirent leurs esprits, ce fut pour apercevoir un type qui était en arrêt devant elles, comme ça à 3 mètres 50 ! Et le mec pas gêné, de rester là, un mec bien mis, costume, cravate. Non seulement il ne déguerpit pas, mais il s'approcha de nos deux gazelles :

 

- Excusez-moi mesdemoiselles, mais j'ai beaucoup aimé le petit spectacle, j'ai une proposition à vous faire !

 

Avant qu'elle ait pu l'inviter à aller au diable, le type continuait :

 

- Je suis voyeur, uniquement voyeur ! Je suis prêt à vous rétribuer si vous pouviez en faire un peu plus devant moi !

 

Nos deux filles s'étonnèrent d'accepter cet étrange marché. Les habitudes se prirent et l'homme venait chez eux pratiquement toutes les semaines s'asseyait sur une chaise et assistait en se masturbant aux ébats de nos deux belles. Puis, il repartait ! 

 

Devant cet argent de poche imprévu, elles eurent un jour l'idée de voir si elles pouvaient attirer d'autres voyeurs de la même façon, elles en trouvèrent effectivement quelques-uns. 

 

Et si nous passions à l'histoire ?

 

L'appât 

 

Ce jour-là Henri devais intervenir dans les locaux d'une grande boîte située près du métro Barbès. Le travail programmé sur 48 heures était en fait, quasi terminé ce lundi matin. Il fit signer le bon d'intervention en indiquant mardi soir comme date de fin. Classique ! Quand, il demandait une signature, personne ne lisait, il n'allait tout de même pas se gêner et leur faire des cadeaux, est-ce qu'on lui en avait fait, à lui des cadeaux ? Et voilà ! Une journée et demie de vacances ! Ce midi, il décidait de profiter du temps exceptionnellement clément en cette mi-décembre 2000 pour aller faire une ballade dans les jardins du Sacré-Cœur. Il n'était pas rare que ce qu'il y voyait alimente sa collection de fantasmes. 

 

Peu de monde sur les marches qu'il gravit en grignotant un sandwich, il décida de redescendre par la contre allée de droite. C'est alors qu'il les vit : Sur ce banc, il y avait deux créatures de rêves, l'une blonde et l'autre, une fille des îles, très noire. 

 

Aujourd'hui, Anna s'était vêtue d'un pantalon blanc cassé très moulant et d'un petit caraco multicolore. Jany, la petite blackette portait une petite jupe parme, de bas blancs et un petit bustier de la même couleur en motifs brodés. Ces deux demoiselles étaient assises là et ne faisaient rien de particulier. Elles l'aperçoivent ! Qu'importe, il ne fait que passer, mais esquisse un sourire de circonstance, on ne sait jamais, elles répondent à son sourire, tout va bien, quand soudain il les voit qui se jettent l'une contre l'autre et qui se mettent à s'embrasser goulûment ! 

 

Anna se dégage de l'étreinte de Jany. Elle lui chuchote :

 

- Arrête ! T'as vue son look ?

- C'est un pauvre type, il a le droit de se rincer l'œil !

- Ca y est ! Il se l'est rincé !

- On peut peut-être lui en offrir un peu plus, non ?

- Et puis après on n'arrivera pas à s'en débarrasser !

- Tiens ! J'ai une idée, c'est bientôt Noël, si on faisait une super bonne action !

- Je m'attends au pire !

- On l'emmène à la maison, et on lui fait une séance gratuite !

- T'es folle !

- Non, ça me fait plaisir !

- Alors, si ça te fait plaisir ! Répondit Anna résignée !

 

Et ils reprennent leurs bisous. Instinctivement, Henri a ralenti sa marche, afin de profiter un peu plus de cet insolite spectacle. Mais il a beau marcher le plus lentement possible, il faut bien qu'à un moment il arrive à la hauteur de leur banc... et qu'il continue... ce qui l'obligera alors à regarder derrière lui, ce qui n'est guère discret.

 

Soudain, elles s'arrêtent, et Jany lui fait signe de venir, sans trop réfléchir, il s'approche.

 

- Salut ! Comment tu t'appelles ?

 

Pourquoi cette question ? Henri n'est quand même pas idiot, ce n'est pas parce qu'il s'est lavé ce matin et qu'il s'est aspergé d'eau de toilette, que deux nanas vont le draguer alors que personne ne l'a fait jusqu'ici. Il décide de jouer le jeu en restant sur ses gardes.

 

- Euh ! Henri !

- Ça t'excite de voir deux filles s'embrasser ?

- C'est qu'on ne voit pas ça tous les jours ! Répondit-il en s'efforçant de contrôler son élocution.

- Mais ça t'excite ou pas ?

- Oui, quand même...

- Et si on allait plus loin toutes les deux, rien que pour toi ?

- Ici ? Sur ce banc ?

- Mais non chez nous ! On se met complètement nues et on se caresse mutuellement devant toi !

 

Henri se demande : Deux salopes qui veulent se moquer d'un pauvre type à moitié handicapé ? Deux putes qui racolent bizarrement ? Ou plus grave deux femmes qui cherchent à l'escroquer ?

 

- Et en échange ?

- En échange ? Rien ! On est pas mal exhibitionnistes, alors ça nous excite qu'un type nous regarde !

 

Henri était circonspect, il n'avait sur lui qu'une somme moyenne en liquide. Un vol de portefeuille n'aurait pas une conséquence dramatique. Restait l'éventualité d'un problème de carte bleue. Mais il ne voyait vraiment pas ces deux nénettes en train de le torturer pour lui soutirer le code secret, à moins qu'elles ne soient que des rabatteuses... Finalement il n'était pas très chaud !

 

- Alors tu ne veux pas ? Tu te rends compte de ce que tu rates ?

- Je ne sais pas !

- T'as peur d'un piège ? Il y en pas !

 

Un plan germa soudain dans le cerveau d'Henri, un petit plan mais qui lui permettrait d'accepter sans (trop) craindre pour sa sécurité.

 

- Bon d'accord, mais faut que je fasse un petit pipi avant !

- Tu feras chez nous, c'est à 5 minutes d'ici !

- Non, non, j'ai trop envie, je vais faire ça dans le coin là-bas !

- D'accord, on t'attend !

 

Il avait toujours des bonnes idées, Henri. Une fois planqué dans un coin, il sortit sa carte bleue de son portefeuille et la camoufla dans sa chaussette. Il pouvait maintenant y aller l'esprit tranquille.

 

Le studio

 

Arrivé dans le studio, Jany plaça une chaise à environ 3 mètres du lit.

 

- Voilà tu t'assieds ici et tu regardes, tu peux te mettre à l'aise, tu peux te masturber, on va te donner des kleenex, mais défense de bouger de la chaise ! D'accord !

- D'accord ! Ne put que répondre Henri 

 

Les deux filles s'assoient alors l'une à côté de l'autre sur le bord du lit face à Henri. Jany retire immédiatement son bustier libérant une petite mais charmante poitrine, un bonnet B, probablement. Anna a relevé un peu la jupette de son amie afin que l'on puisse apercevoir sa petite culotte blanche et le haut de ses cuisses nues. Quant à elle, elle a simplement dégagé le haut de son caraco, laissant apercevoir un joli soutien-gorge noir, elle joue avec la bretelle, s'amusant à retarder le moment où elle dévoilera son sein. Henri est déjà gagné par l'excitation. Pour l'instant, il paraît très sage sur son siège, il dévore des yeux ce magnifique duo en "black and white" se demandant laquelle, il préférerait. Il est vrai qu'Anna a beaucoup d'arguments, mais la peau couleur chocolat de l'Antillaise le fascine, et elle a l'air plus gentille.

 

Anna a maintenant sorti son sein droit et de la main tripote la culotte de Jany. Cette dernière lui rend la politesse en se contentant de poser sa main sur la cuisse de sa copine. Anna en aurait voulu plus et " vicieusement " fait des petits effets de langue en direction de l'Antillaise. Celle-ci a compris le message, elle lève alors son visage, et laisse la langue d'Anna approcher et lui lécher le dessous du menton. Du coup Jany attrape la chair de poule d'excitation et sort à son tour son petit bout de langue qui part à la rencontre de la bouche d'Anna. Elles s'embrassent maintenant d'abord timidement, puis se prennent au jeu et le baiser devient fougueux et s'accompagne de caresses. Les tétons de Jany durcissent ainsi sous les mains douces de sa complice. Henri n'en peut plus, sa bite est maintenant bandée au maximum. Il hésite cependant à se masturber devant elles. Quelque chose lui déplait dans cet acte, peu dans la norme selon ses critères.

 

Les filles se sont mises debout. Mais restent près du lit, pas question de s'approcher de la chaise où notre voyeur est en train de craquer. Elles s'embrassent à nouveau, curieux tableau puisque Anna a une demi-tête de plus que sa copine. Elle a maintenant dégagé son autre sein et baisse à présent son pantalon, aidé par la main de Jany, qui doit trouver que ça ne va pas assez vite ! Celui-ci enfin retiré laisse apparaître une ravissante petite culotte rouge et des bas blancs ! Des bas sous le pantalon ? Ben oui !

 

Anna se place ensuite derrière la blackette, lui tient les nénés à pleines mains et l'embrasse dans le cou. Jany qui commence à mouiller sérieusement se tripote un peu la chatte, pardessus son slip. Elle finit par l'envoyer valser d'un geste large. Elle jette un coup d'œil à Henri qui les yeux hagards, ne perd pas une miette du spectacle. Alors, pour lui, elle se rassoit sur le bord du lit et s'écarte sa petite chatte noire, faisant apparaître une petite caverne toute rose, malgré la distance son petit clito est bien visible avec son tout petit bout rose.

 

C'en est trop pour Anna qui plonge sa tête dans l'entre jambe de Jany afin de lui titiller le clitounet avec sa langue.

 

Jany demande à sa compagne de prendre encore une pose "spéciale spectateur" et alors qu'Anna se branle la chatte. Jany s'assoit sur elle et se branle aussi. Voici une figure de style qui n'empêche nullement la tendresse puisque la main d'Anna caresse aussi la main qui caresse sa chatte.

 

Jany s'est maintenant allongé, elle continue de se tripoter le sexe des deux mains, Anna s'accroupit sur son visage les fesses vers elle, elle s'écarte le cul et lui donne sa chatte à sucer. Jany ne se le fait pas dire deux fois et donne de brefs et de nerveux coups de langue sur le clitoris d'Anna.

 

Les deux filles ne sont pas des fanatiques de l'emploi des godemichés. Non pas qu'elles n'aiment pas cela, elles peuvent même y trouver énormément de plaisir, simplement dans l'intimité elles n'en ressentent pas le besoin. Lors de sa deuxième visite, leur premier voyeur leur a offert un magnifique coffret avec plusieurs modèles. Alors autant que ça serve !

 

anna_jany01.jpg>

 

Les filles se sont mises en ciseau et Anna introduit un gode dans la chatte de Jany. Celle-ci assez grande fille pour jouer toute seule reprend l'engin à sa main. Du coup Anna en prend un autre. Pas de jalouse ! Chacune joue avec le sien.

 

Anna a soudain une idée derrière la tête. Elle relève ses jambes par-dessus son corps et se masturbe dans cette position. Jany lui active le gode dans la chatte tout en sortant une langue gourmande en direction de ses fesses, puis lui introduit un autre gode (plus petit) dans le trou du cul. 

 

Jany toute excitée par le spectacle de sa copine se titille les seins tandis qu'Anna joue avec ses deux godes et s'est mise à quatre pattes, invitant sa complice à venir encore lui lécher les fesses. Jany est à présent complètement déconnectée du monde, elle a repris ses mouvements de gode dans sa chatte et tandis qu'elle se masturbe, elle invite du regard sa copine à activer le gode anal.

 

Les deux filles sont maintenant complètement mélangées, elles ont oublié Henri et se bouffent la chatte avec une frénésie invraisemblable, jouent avec les godes, se mordent les tétons. Le délire est à son comble !

Henri est au bord de l'apoplexie, malgré sa détermination de rester sage, il sort maintenant sa bite et se masturbe un petit peu. Mais il ne tient pas en place. Qu'est-ce qu'elles vont lui faire s'il s'avance juste un peu ? Rien ! Se dit-il pour se rassurer. Alors il avance. Elles ont de toute façon autre chose à faire que de le regarder. Il s'avance, il est à 50 centimètres du lit, la bite à la main qui sort fièrement dressée de sa braguette ! 

 

Et soudain, Anna explose ! Elle pousse un cri de jouissance en tétanisant son corps, avant de retomber temporairement vidée de ses forces par cet orgasme aussi imprévu que rapide.

 

Puis c'est Jany qui à son tour pousse un cri, mais cette fois c'est un cri de stupeur. Elle vient d'apercevoir Henri, un rictus idiot lui défigurant son visage, qui s'approche de plus en plus !

 

- Qu'est-ce que tu fous là, toi ! Retourne à ta place !

- Ben quoi ! Ça vous manque pas une bonne bite ?

- Retourne à ta place !

- Laisse toi faire ! Salope ! Tu vas aimer !

 

A ces mots Jany, lui retourne une superbe gifle. Henri hurle, invective, injurie, menace !

 

- Maintenant dégage !

- Vous vous êtes foutue de moi !

- Non, mais je rêve ! On t'offre un spectacle par pure gentillesse, tu ne sais pas te tenir et maintenant tu nous engueules, mais tu te rends compte au moins ?

- Salopes, vous êtes des salopes ! Jura-t-il en postillonnant à tout va.

 

Anna est sortie de sa torpeur, elle se lève brusquement et aide Jenny à foutre le petit bonhomme à la porte. Elle referme le verrou à double tour !

 

- Ouf !

- Ça t'apprendra à être trop gentille !

- Peut-être !

- Comment ça peut-être ! C'est vraiment un con ce type !

- Oui c'est un con ! Un pauvre con même ! Ce n'est sans doute pas de sa faute. Il a des excuses ! Mais sur ce coup j'ai sans doute été encore plus conne que lui !

- Pardon !

- J'ai voulu lui offrir un truc qu'il n'avait jamais demandé et dont il n'a vraiment pas besoin !

- Hein ?

- Oui je lui ai offert de la pitié !

 

Et si à ce moment-là, Anna, fut gagnée par l'émotion et se jeta au cou de sa compagne pour l'embrasser tendrement, c'était parce que des larmes coulaient maintenant sur les joues de la petite blackette !

 

Jean Sébastien Tiroir - 6/95 - revu en 12/2000

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Décembre 2000

 

Première publication sur Vassilia, le 18/12/2000

 

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 18 décembre 2000 1 18 /12 /Déc /2000 10:13

Maudite robe de chambre !

par Jean-Seb

Gs2

 

Pardon à toi, critique vénéré,

Toi que ce style que tu nommes tutu irrite tant !

Mais comment pourrais-je m'exprimer autrement ?

Moi qui ne peux dialoguer ?

Prisonnier du sort que l'on m'a jeté !

Je ne parle pas, mais je vois, je regarde, et je me souviens !

Mais personne ne le sait, ni se soucie du sort qui est le mien !

 

Je suis là pour le meilleur, mais aussi pour le pire !

Mais, rassurez-vous ! Ce pire je n'ai rien à en dire !

 

Mais au diable les rimes ! Ma poésie est dérisoire !

Comparé au bonheur de te sentir et de te voir !

 

Car te voilà déjà ! Je ne t'attendais pas si matin !

Ne va pas trop vite, ne soit pas si pressée !

Remplis mon esprit de souvenirs, de petits riens

Qui me feront patienter jusqu'au retour de tes pas !

Je te connais par cœur, mais je ne me lasse pas

C'est dans l'aurore que je te préfère.

Tu n'es pas encore habillée ! De quoi as-tu l'air ?

Parfois tu es nue ou comme aujourd'hui

Vêtue de cette robe de chambre que ne ferme qu'un vilain cordon.

Ce cordon que tu détache d'un mouvement grognon.

Et puis tu te livres à cette pantomime étrange

Que je connais si bien ! D'un geste brusque, tu lance le pan droit.

De cet insupportable vêtement rejoindre ton côté gauche.

Etant bien placé, je peux ainsi admirer ta longue jambe galbée

Et ta cuisse qui sans cesse invite la caresse.

Si tu voulais pivoter un petit peu, que je puisse mieux voir ?

Mieux voir quoi ? Je te laisse le choix !

Ta petite chatte, mais elle, je la verrais bien tout à l'heure ?

Alors plutôt tes fesses avant qu'à nouveau tu ne les caches !

Ça y est ! Tu t'assieds !

Tes jambes sont écartées !

Tu as l'air de penser à d'étranges choses !

Et voici le doux jet doré de ton petit pipi qui s'échappe de ton corps

Et qui vient tintinnabuler dans l'eau dormante.

Tu regardes ailleurs ! Attendant que se tarisse

Cette trop imprévisible source, où les fantasmes se nourrissent.

D'ordinaire à ce stade tu arraches un bout de mon ruban

Puis tu t'en essuie, et d'un geste machinal, le regarde !

Mais non, pas ce matin ! Je sais que tu mouilles.

Tu restes là, et tes doigts te fouillent

D'une main tu saisis le bout de ton sein que tu presse !

Sauvage ! Va !

Tu te recule un peu sur le siège, pour prendre mieux tes aises.

Tant mieux ! Je te vois bien mieux ainsi !

Ton dos se penche en arrière, tes paupières se ferment !

Tes cuisses tressautent, ton dos s'arque !

Un cri veut sortir de ta bouche, tu l'étouffe !

Il se change en soupir !

Et ça y est cette fois tu le prends ce ruban, tu en prends même trop.

Tu le déchire violemment, et tu t'essuie.

Tu as ce geste ensuite que tout le monde n'a pas,

Mais je l'ai déjà dit, de regarder,

Oui ! de regarder,

Oh juste l'espace d'un instant ce bout de papier

Maculée de tes intimes humidités.

Pour ensuite geste inutile, le froisser,

Et pour finir, geste fatal, le jeter,

Tu fais résonner le tonnerre de la chasse d'eau.

Je déteste ce vilain petit bruit.

Une dernière vision de ton corps !

Elle est bien partielle !

Maudite robe de chambre

De laquelle, en un geste nerveux, tu resserre le cordon

Maudite robe de chambre !

Qui ne me permet plus de voir !

Et tu sors !

Il me reste ton odeur !

Ta féminine fragrance qui se dissipera lentement.

Si un abruti ne vient pas asperger du déodorant !

 

Je peux reprendre ma lente méditation !

Peu de gens savent qu'un vulgaire distributeur de papier toilette

Peut abriter l'âme errante d'un voyeur impénitent

Que les enfers voulurent punir ainsi !

 

Mais qui y en fait y trouvait malgré tout son compte !

 

april206b.jpg

 

© Jean-Sébastien Tiroir (Novembre 2000)

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Première publication sur Vassilia, le 18/12/2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 3 décembre 2000 7 03 /12 /Déc /2000 17:49

Tina Pavussa

Par Jean Seb

 

bi stamp

 

Elle s'appelle Valentina. Mais ici tout le monde l'appelle Tina. Il n'y a qu'ici qu'on l'appelle Tina. Au début ça l'avait embêté, et puis elle s'était habituée à ce diminutif, toujours plus agréable que la façon monstrueuse dont les gens prononçait son prénom. Mais quelque part ne plus avoir de prénom l'enfonçait un peu plus dans l'anonymat. Déjà qu'elle n'avait plus de pays. ! Elle avait acquit après bien des difficultés le statut de réfugiée politique. Son pays d'origine est tellement peu connu qu'on ne sait même pas vraiment comment l'appeler. Certains le nomment Biélorussie d'autres Bélarus ! Ca se comprendrait s'il s'agissait d'un territoire minuscule ! Mais non ce pays recouvre 200 000 km² (près de la moitié de la France et abrite 10 millions d'habitants) Mais voilà elle est tombée dans le pays des nuls en géographie et personne ne connaît son pays ! Personne ? Non ce n'est pas tout à fait vrai ! Elle s'est aperçue que deux catégories de citoyens en entendaient parfois parler : les lecteurs de la presse sportive, et aussi ceux de la presse d'opinion, car maintenant que Milosevic a été chassé du pouvoir en Serbie, la Biélorussie reste le seul pays d'Europe ou la démocratie n'existe que sur le papier, et où les opposants sont pourchassés. 

 

Ses tracasseries avaient commencé quand elle avait pris des responsabilités au sein de l'équipe dirigeante du syndicat étudiant. Arrestations, perquisitions, brimades… Elle en avait marre !

 

Sa copine Galina, lui avait présenté un cinéaste français.

 

- Si tu veux faire du cinéma, je t'emmène en France !

 

Elle n'en revenait pas. Tina plaisait mais n'avait rien d'un top modèle. Brune, les yeux bleus, les pommettes relevées à la slave, elle se trouvait légèrement grassouillette, et trouvait sa poitrine trop grosse (les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine)

 

- Autant te prévenir, c'est du cinéma un peu déshabillé, ça ne te gène pas au moins ?

 

Non, ça ne la gênait pas, elle se considérait comme une femme libérée, ce qui n'était pas spécialement bien vue dans ce pays à la mentalité paysanne.

 

- Et il faudra faire semblant ou pas faire semblant ?

- Beaucoup semblant ! Et un peu pas semblant !

- Je ne veux faire que semblant !

- On s'arrangera !

 

Bien sûr, une fois arrivée en France, on lui avait expliqué que pour l'instant les films "où on ne faisait que semblant" ne marchaient pas fort, et de fil en aiguille elle s'était très rapidement retrouvée dans les milieux du film X. Pas forcément la joie, mais elle s'adaptait, jusqu'au jour on elle se rendit compte que l'on profitait de son incompréhension du français pour la rouler financièrement. Elle avait plaqué tout cela après avoir piqué une vaine colère en langue natale.

 

Il existait une petite association de Biélorusses exilés que dirigeait de façon dynamique, un dénommé Pavel. Cet individu doué d'un charisme étonnant et d'une élégance rare avait une énorme influence sur les autres membres du groupe et avait su développer des réseaux afin de soutenir ses compatriotes.

 

Elle ne fut donc pas sans travail, mais malgré tout, réduite aux "petis boulot " et alors que commence notre histoire elle fait des ménages pour le compte d'une société de service.

 

- Ne néglige pas ton physique, maquille-toi, porte des bas et des portes jarretelles sous ta blouse. Un jour quelqu'un te remarqueras et peut-être qu'il t'entretiendra ou te proposera autre chose. Le pouvoir ça se grignote, mais il faut forcer la chance et la chance viendra, c'est mathématique, c'est une question de probabilité ! 

 

Sacré Pavel !

 

Tous les jeudis matin, de très bonne heure elle fait un remplacement dans les locaux de la Consulting Machin-Truc.

 

- Tiens ! Le bureau du fond est allumé !

 

Elle frappe, elle rentre, un type est à son bureau entouré d'un incroyable fouillis de documents, il répond à peine à son bonjour, elle à l'habitude…

 

- Dommage qu'il soit si impoli, il est mignon !.

 

Il s'en veut José, d'avoir été si grognon : elle n'est pas mal la femme de ménage, mais bon aujourd'hui, il a un rapport à rendre, il est en retard, il a essayé de travailler tard chez lui, la veille. Mais il s'est vite aperçu que sans un certain nombre de documents stockés dans son bureau la tâche était impossible. Lui qui n'est pas du matin s'est donc levé de très bonne heure pour venir. Et il est d'une humeur exécrable. Deux heures plus tard ça va mieux, le travail se termine mieux que prévu, il prend soin de se renseigner :

 

- La femme de ménage, la jeune avec un accent russe, elle est là tous les jours ?

- Non juste le jeudi, les autres jours c'est une personne d'un certain âge !

 

Le jeudi suivant, José revint de très bonne heure, et attendit, il verrait bien !

 

Un quart d'heure plus tard, elle rentrait dans le bureau, l'air contrarié de le voir

 

Il lui sourit, un beau sourire. Elle le lui rend !

 

- Quel magnifique sourire, la journée va être bonne !

 

Elle n'a pas tout compris, mais elle sait que c'est gentil, quelque chose la chatouille entre les cuisses. Elle n'a pourtant rien d'une nymphomane, mais ce type à décidément un charme fou, et elle lui ferait volontiers un petit câlin

 

Elle s'était aujourd'hui vêtue simplement de porte-jarretelles blanc auxquels sont attachés des bas légèrement bleutés. Une petite culotte blanche très classique, pas de soutien gorge, et sa blouse par-dessus tout cela. Elle avait rajouté malgré tout, une note qu'elle trouvait coquette sous la forme d'un petit foulard en soie noué autour de son coup, la signature bien en évidence pour montrer qu'elle savait aussi aimer les belles choses !

 

Ne sachant évidemment pas pourquoi le type était venu si tôt, elle décide de le provoquer, juste une fois, pour voir, pour s'amuser. S'il ne se passe rien elle n'insistera sans doute pas.. Elle lui tourne le dos, et se penche en avant faisant semblant de nettoyer un objet, elle s'arrange pour qu'il voie sa petite culotte, elle se retourne, il rigole, elle éclate de rire et devient toute confuse de son audace. Il lui fait signe d'approcher, elle obéit. Elle ne comprend pas bien, il lui fait signe de se rapprocher encore davantage. Quand il lui tend ses lèvres, elle comprend et les accepte. La voici en train de rouler une pelle à cet inconnu qui avait été si impoli la fois d'avant. 

 

José ne reste pas inactif et lui passe la main sur la culotte, et doucement, la lui baisse. Ce n'est pas forcément pratique dans cette position, alors elle l'enlève elle-même, elle rigole, la situation lui échappe un peu. Il lui demande de s'asseoir sur le bureau. Il a la surprise de constater qu'elle s'est fraîchement rasée, il passe alors délicatement sa langue sur sa chatte déjà bien mouillée.

 

José est à présent excité comme un cerf, il ouvre la fermeture éclair de sa braguette, défait la ceinture de son pantalon et baisse légèrement de dernier, dégageant son sexe déjà magnifiquement bandé. Tina s'en empare, et lui passe des petits coups de langue à la base du prépuce. Elle se sent si excitée qu'elle se caresse en même temps.

 

José à envie de la pénétrer, il lui désigne le fauteuil destiné aux visiteurs et lui demande de s'agenouiller dedans afin de la pénétrer en semi-levrette. Elle écarte d'une main ses fesses pour que son amant du matin puisse contempler mieux les secrets de sa slave anatomie 

 

José veut varier à présent les positions et lui demande de se coucher sur le bureau en relevant les jambes, elle en profite pour déboutonner sa blouse offrant sa jolie poitrine au regard de l'homme. Quelques minutes plus tard, José s'assied dans le fauteuil et demande à Tina de venir le chevaucher, quand soudain…

 

- Dring !

 

Le téléphone sonne !

 

José décroche, c'est son collègue du premier, comment a-t-il su qu'il était déjà là ? La lumière peut-être ?

 

- Je te rappelle, je suis sur une autre ligne

 

Puis pris d'une inspiration subite, il demande à Tina :

 

- Ça t'embête si je fais venir un collègue ?

 

Elle a du mal à comprendre. Il lui explique mieux, elle lui fait signe de la tête que cela ne l'embête pas. Il rappelle son collègue

 

- Tu va pas me croire, je suis en train de me taper la femme de ménage !

- Menteur !

- T'as qu'a pas me croire ! Mais tu peux venir, apparemment elle n'est pas contre le fait de faire ça à trois, j'espère qu'elle a compris parce qu'elle ne parle que le serbo-croate

- Niet ! s'exclame brusquement Tina

- Comment ça Niet ? T'es plus d'accord ?

- Pas serbo-croate, Bélarus !

- Ah bon ! T'es russe ?

- Non Bélarus !

- Bon mais t'es d'accord ou pas ? .

- Pas serbo croate !

- OK ! OK ! Il peut venir ou pas ? 

- Venir ?

- Oui venir !

- Da !

- OK ! Tu peux venir !

- Tu me mène en bateau !

- Non, et comme tu ne m'as pas cru t'auras un gage !

 

C'est tout étonné que Paul rentrant dans le bureau découvre le spectacle de Tina à demi-nue chevauchant José. Ils lui font signe de s'approcher, ce qu'il fait tout doucement tandis que sa queue commence à donner du volume à sa braguette.

 

Bien sûr Tina s'en aperçoit et lui met la main au pantalon. Paul retire donc ce vêtement qui ne sera d'aucune utilité dans les minutes qui vont venir, et Tina tout en continuant sa fantastique chevauché entreprend une fellation sur ce beau membre.

 

Tina a beau être sportive, la position fatigue un petit peu. Paul se couche alors sur le canapé visiteurs permettant à Tina de poursuivre sa fellation. José lui s'est couché par terre et recommence à lécher le joli minou de la slave, puis la fait mettre en levrette pour la pénétrer à nouveau.

 

C'est alors, mes bons amis, qu'il se passa quelque chose de tout à fait surprenant et inhabituel en ce genre de circonstances !

 

Tina était plus une fellatrice du bout de la langue qu'une avaleuse de sabre. Elle avait abandonné le gland de Paul pour venir s'occuper de ses couilles qu'elle aguichait de sa langue agile.

 

Et voir ce si beau gland sans personne pour s'en occuper troubla tant José qu'il y précipita sa bouche, et ce, sans abandonner sa levrette, 

 

La situation était très trouble. Tandis que José suçait la partie supérieure de la bite de Paul, Tina s'occupait plutôt de la partie inférieure.

 

Paul ne disait rien, cette double fellation inattendue avait l'air de lui convenir parfaitement.

 

bi-sex202bm.jpg

 

L'insolite de la situation vint encore augmenter l'excitation de Tina qui n'avait vraiment nul besoin de cela, toutefois, il ne se passa rien d'autre entre les deux hommes et elle se surprit à en être un peu chagrinée.

 

La pine de Paul étant super bandée, Tina vint le chevaucher, tandis que José lui pelotait les seins.

 

Mais les deux hommes voulurent faire une éjaculation extérieure. Ainsi pendant que Tina se réinstallait dans le fauteuil, Paul ne tarda pas à éjaculer sur sa chatte, tandis que José en faisant autant sur son visage.

 

- Spasibo ! Remercia Tina dans sa langue natale !

- Oui ! Pas serbo-croate, on a compris !

 

Ils rirent tous les trois

 

Quelques temps après Paul et José, tous deux divorcés, et à qui le hasard avait révélé leur bisexualité latente se mettaient en ménage.

 

Trois mois après ils contractèrent un PACS. Ils firent une petite fête et invitèrent quelques rares amis triés sur le volet. Tina fut évidemment de la partie.

 

Elle ne comprenait pas bien ce faux mariage entre hommes, son français avait progressé, mais elle ne saisissait pas tout

 

- Vous allez partir en voyage de noces ? demanda-t-elle en rigolant 

- Tu ne crois pas si bien dire, on se paie deux semaines au Brésil ?

- Vous auriez pu m'emmener ! Dit-elle en plaisantant !

 

Paul se retourna alors vers José :

 

- Mais pourquoi pas ? Cela me semble une excellente idée !

 

Jean Sébastien Tiroir

© Avril 1983 - Revu en décembre 2000 (Comme le temps passe... Tina était tchèque dans la première version…)

 

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Première publication sur Vassilia, le 03/12/2000

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Décembre 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 8 novembre 2000 3 08 /11 /Nov /2000 15:38

Marika Lynn par Jean-Seb

 

stamp trans

 

 

Marika est au volant de sa voiture (ou du moins celle de son époux) elle rentre chez elle en banlieue parisienne. Ce voyage à Bordeaux n’a rien eu d’une partie de plaisir. Un enterrement n’est jamais drôle, même s’il s’agit d’une belle-mère qui la détestait. Son mari est resté quelques jours afin de régler un certain nombre de détails, il rentrera en TGV.

Marika est une femme plutôt grande, (1 m 75) Elle est bronzée (les seins aussi, et ceux-ci sont de taille moyenne 85 C). Elle a les yeux verts, les cheveux courts à peine bouclés, mais qui lui couvrent la nuque. Elle est (presque) toujours souriante. Elle est vêtue au moment où débute notre histoire d’une petite jupe blanche assez courte et d’un caraco bleu ciel en dessous duquel elle n’a pas mis de soutien-gorge, ce qui pour elle reste exceptionnel. (Pardon ? Est-ce qu’elle a une culotte ? Bien sûr qu’elle a une culotte ! Pour qu’elle raison n’en aurait-elle pas ?)

Elle sort de l’autoroute, elle en a marre, et d’abord elle mangerait bien un morceau, la voici maintenant sur une petite nationale qui traverse un tas de petits villages, elle cherche un restaurant, mais ne trouve rien, elle s’arrête néanmoins dans une sorte de bistrot ou elle achète un sandwich. Puis elle repart, pas envie de reprendre l’autoroute, elle continue sur la nationale. Là-bas une femme fait du stop une grande femme avec une grande robe blanche, elle rigole :

–  » La mariée s’est échappée !  »

Elle s’en approche et s’arrête à sa portée :

– Je vais à Paris !

Whaa ! La voix pas possible, encore une qui doit fumer ses 50 gitanes par jour !

– Je peux vous emmener jusqu’à Rambouillet !
– Ce sera très bien ! Merci !

 » Maintenant que je me suis arrêtée, je me sens un peu obligée de la prendre, j’espère qu’elle ne va pas bombarder tout le long du chemin !  »

– Autant vous prévenir tout de suite, c’est une voiture non-fumeur !
– Ce n’est pas un problème, je ne fume presque pas !

 » Elle se fout de ma gueule !  »

Marika la regarde, elle a un look marrant, très grande, mince, peu de poitrine, mais un peu quand même, le visage est assez allongé, elle a de longs cheveux roux bouclés et surtout un grand nez pas possible.

 » C’est ce qui fait son charme !  »

Elle est assez mignonne, assez pour réveiller certains démons qui ont décidément beaucoup de mal à rester tranquilles. Quelque chose cloche quand même, mais Marika ne sait pas encore dire quoi.

– Les vacances sont terminées ?
– Ben oui, hélas !
– Vous étiez où ?
– A Lacaneau !
– Je connais ! Je reviens de Bordeaux.
– Vous étiez où ?
– Je n’étais pas en vacances, je reviens d’un enterrement !
– Je suis désolée !

La conversation s’arrête, elle jette un coup d’œil sur son visage, et soudain :

Déclic !

Quelques imperceptibles poils sur le visage repoussent ! Un travelo ! Ou tout simplement une pauvre fille qui a des problèmes d’hormones. Et puis cette voix trop rauque. C’est instinctif, elle jette un coup d’œil dans l’entre jambe de la créature, mais l’ampleur de la robe l’empêche de découvrir le moindre indice, elle jette néanmoins un 2ème, puis un 3ème coup d’œil.

– Vous cherchez quelque chose ?
– Oui ! Mais je vous dirais pas quoi !

– Vous êtes en train de vous demander si je suis un travesti ou pas ! Alors autant vous le dire tout de suite : oui, je suis un travesti, mais rassurez-vous je ne mords pas, et si ça vous insupporte, vous vous arrêtez et je descends, ça m’aura toujours fait gagner 5 kilomètres !
– Ça ne m’insupporte pas comme vous dites, mais vous auriez pu le dire !
– Le dire ? Vous voulez que je fasse du stop avec un panneau « attention travelo » ?

Elle se rend compte de sa bévue.

– Excusez-moi ?
– Mais je vous en prie, vous êtes charmante !
– Vous allez me draguer à présent ?
– Pourquoi pas ? Mais je ne ferais rien sans votre permission !
– C’est gentil ! Mais vous n’avez pas peur en faisant du stop de faire de mauvaises rencontres ?
– Non ! Habillée comme je suis, beaucoup de voitures s’arrêtent, et j’en refuse un sacré paquet !
– Vous faites comment pour refuser ?
– Je leur demande s’ils vont à Bayonne, comme c’est l’autre direction…
– Et s’ils disent oui ?
– Je leur dis que finalement j’ai changé d’avis et je m’éloigne…
– Je vais vous dire un truc, les travestis m’ont toujours fascinée, j’ai toujours rêvé de discuter avec. Ça vous embête si je vous pose plein de questions ?
– Non pas du tout !

Il se met à bâiller

– C’est quoi ton prénom ?
– Gilda !
– Enchanté, moi c’est Marika, et tu peux me tutoyer.
– Ok ! Ça t’embête si je ronfle une petite heure, j’ai pas dormi de la nuit, et après c’est promis, je réponds à toutes les questions.
– Non vas-y, fais dodo !

Gilda s’endormit quasi instantanément, il ronflait littéralement. Charmant bruit de fonds. Le temps passe, la route défile. Elle ne se décide à le réveiller qu’en arrivant en région parisienne !

Marika ne peux s’empêcher de regarder le visage de Gilda. Lui vint une folle envie de l’embrasser sur ses lèvres, et aussi sur son joli nez atypique.

– Dis donc Gilda ! Faudrait penser à te réveiller, on arrive dans 10 kilomètres !
– Je suis désolée, j’étais crevée !
– J’ai bien vu ! C’est dommage j’aurais bien discuté !
– On peut toujours !
– Je peux être très indiscrète ?
– Vas-y toujours !
– Sexuellement tu vas avec les garçons ou avec les filles ?
– Les deux, je suis complètement bisexuelle. Quoique les choses ne sont pas si simples, si j’avais été une vraie fille, je crois que je serais devenu lesbienne, mais pas lesbienne exclusive, parce qu’une bonne queue quand même… heu, je ne te choque pas ?
– Non pas du tout, continue !
– En fait le super pied, c’est quand je vais avec un autre travesti !
– T’es pressée de rentrer ?
– Non pas spécialement ! Pourquoi ?
– T’avais quelque chose de prévu ce soir ?
– Non rien !
– Je t’invite chez moi, on se fait une petite bouffe, et j’aurais enfin ma discussion, t’es d’accord ?
– Mais bien sûr !
– Et après, je te raccompagnerais à la gare ! Remarque tu peux même coucher à la maison, si tu veux !
– Mais je suis prêt à toutes les éventualités, chère amie !

Elle s’apprête à lui demander si elle lui plaît, mais se ravise, elle a le temps désormais.

C’est vers 20 heures que Marika se gara devant son petit pavillon de banlieue.

– Je suis un peu crevée ! Je prendrais bien une douche, mais d’un autre côté j’ai une faim de loup. Qu’est-ce que tu en penses, toi ?
– J’ai un petit creux moi aussi ! répondit, Gilda tout sourire.

Après avoir fait l’inventaire des boites de conserves et inspecté le frigo, Marika poussa un soupir d’agacement !

– Je t’invite, et j’ai rien à bouffer ! On va appeler le traiteur ! Pizza ou Chinois ?
– Pourquoi pas chinois ?
– OK !

En attendant l’arrivée du livreur nos deux complices allèrent s’asseoir quelques minutes dans le jardin. Marika dévisageait Gilda, s’amusant de l’état quelque peu altéré de son maquillage sous lequel les poils de la barbe commençaient à se voir un peu trop. Malgré tout, le charme que dégageait cette créature était certain. Marika eut une idée :

– Tu sais ce qu’on va se faire On va faire un petit repas de fête, on va aller chercher une bonne bouteille, on va mettre une nappe, allumer des bougies, et puis on va se faire belles. Tiens ! Si tu veux te remaquiller un petit peu, j’irais après !

Gilda n’était pas folle, elle reçut parfaitement le message, récupéra sa petite trousse de toilette dans son grand sac et entreprit de rectifier tout cela.

Elle arriva rayonnante, dans la salle à manger, où le livreur chinois venait juste d’apporter les plats. Ils dégustèrent ensemble quelques nems et du canard laqué agrémenté de riz cantonais. Elles burent aussi plusieurs verres d’un bordeaux qu’on disait excellent. Marika n’en pouvait plus de regarder cette créature qui lui faisait face et qui la faisait mouiller d’excitation. Elle avait une façon quand elle parlait de se croiser les mains doigts tendus, mettant en valeur ses beaux ongles vernis. Des doigts faits pour la caresse ! Marika se demandait comment elle allait attaquer, mais ce fut Gilda qui fit le premier pas. D’une façon complètement innocente, elle se leva de sa place, vint se placer derrière la chaise de Marika, et lui mit les mains sur les épaules. Du bout des doigts, elle entama un mini massage.

– Délicieux ton petit repas !

Marika tourne légèrement son visage. Gilda se penche. Marika entrouvre la bouche et se passe la langue sur les lèvres. Gilda de sa propre langue vient caresser celle de Marika et les deux complices s’embrassent fougueusement. Un long baiser, un baiser passionné. Gilda fait alors glisser la fine bretelle du caraco de son hôtesse dévoilant un sein dont elle agace le joli téton entre deux doigts fureteurs. Marika ne veut pas être en reste et pelote les seins du travesti à travers l’étoffe. Mais ces vêtements finissent par gêner, elle l’en débarrasse, tandis que la deuxième bretelle de son caraco s’échappe à son tour. Elles sont à présent toutes les deux les seins à l’air.. Ceux de Gilda sont petits, mais très mignons, terminés par de petits tétons qui savent bien se raidir au contact de la langue de Marika. Gilda apprécie la caresse et se pâme de plaisir.

Gilda fait lever sa copine de son siège et en profite pour lui descendre sa petite jupe. C’est à son tour de lécher la poitrine de son hôtesse, une poitrine un peu lourde et pourvue de larges aréoles brunes.

Nos deux diablesses s’embrassent à nouveau tendrement. Marika rigole de sentir le grand nez de Gilda cogner contre le sien un peu à la manière dont les eskimos se disent bonjour. Marika a maintenant mis sa main sur la culotte de Gilda et palpe à travers le tissu la bite déjà raide du travesti.

Tout en continuant de s’embrasser, elles font toutes deux descendre leur culotte. Marika est donc maintenant toute nue, tandis que Gilda est en bas et porte-jarretelles blancs. Son sexe est bien bandé et présente un bel aspect, il est terminé par un ravissant petit gland de couleur rose foncé. Marika n’en peut plus, ce sexe, il lui faut, elle s’agenouille alors devant le travesti et lui lèche l’extrémité du gland, cela a pour effet immédiat de redresser encore un peu plus la chose. Elle continue pendant de longues minutes cette bonne caresse buccale ! Elle adore cela. Quelques gouttes finissent par surgir signifiant par-là que Gilda apprécie hautement cette gâterie. C’est le moment que choisit alors Marika pour commencer une fellation en règle, essayant d’introduire la verge de sa complice du 3ème sexe dans sa bouche, autant que faire se peut.

Elles décident de continuer leurs ébats dans la chambre conjugale. Gilda se couche alors sur le lit et Marika peut alors reprendre sa pipe savante. Cette dernière mouille comme elle n’a que rarement mouillé. Elle a envie de jouir, et sans lâcher de sa bouche la queue du travesti, elle change de position se mettant en 69. Gilda a très bien compris le message et entreprend de sucer la chatte de son hôtesse qui ne tarde pas à jouir et qui s’écroule pantelante, inachevant du coup sa fellation.

Mais personne n’est pressé ce soir, elle prend dans sa main ce joli petit sexe et le masturbe quelques instants. Soudain Marika à une idée. Elle fouille dans le tiroir de la table de chevet et en extrait un gode ceinture

– Tu vois j’ai des drôles de trucs chez moi ! Tu veux jouer avec ?
– Qu’est-ce que tu veux faire avec ça ? Tu vas m’enculer ?
– Si tu veux, oui !
– D’accord !

Marika s’harnache du gode ceinture et le revêt d’un préservatif bien lubrifié, puis elle se couche. Le gode est tout de même de bonne taille. Du coup Gilda s’empale dessus, contrôlant elle-même son introduction. Par rapport à Marika, elle s’est mise sur le côté, un pied entre les jambes de sa partenaire, l’autre à l’extérieur de ses cuisses. L’introduction est assez lente, mais elle parvient à presque tout faire entrer dans son anus, et entreprend alors des mouvements de va-et-vient. Marika en profite pour lui branler la bite qui a maintenant repris bonne forme.

Ginger13.jpgQuand il eut estimé que le  » chemin  » était fait, Gilda quitta sa position et se mit à quatre pattes

– Vas-y encule-moi bien comme il faut, maintenant !

Marika se plaça derrière lui, et après avoir réintroduit le diabolique objet avec l’aide de Gilda qui s’écartait les fesses au maximum, elle commença des mouvements saccadés provoquant les râles de plaisir du travelo

– Ah ! C’est bon ! Je jouis du cul ! C’est bon ! Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer !

Elles finirent par s’écrouler sur le lit épuisées, et se reposèrent à nouveau quelques instants.

– Et toi Marika, tu aimes bien qu’on t’encule ?
– J’aime tout, moi, je suis une vraie cochonne ! Allez viens me la mettre !

A ces mots Marika s’empara à nouveau du sexe de Gilda pour le revigorer d’une main experte, et se plaça en paresseuse, invitant le travesti à la sodomiser. Sa bite rentra facilement. Mais Marika aimait bien rester maîtresse de la situation, et elle préféra finir cette enculade en chevauchant Gilda, et tandis que de son corps, elle faisait coulisser le sexe dans son anus, de son autre main elle se branlait le clitoris, les yeux fermés, ivre de plaisir. Elle ne tarda pas à jouir de nouveau. Alors Gilda de par en dessous donna quelques vigoureux coups de reins, pour jouir à son tour, éjaculant dans les entrailles de son hôtesse d’un soir !

– Un jour il faudra que tu viennes quand mon mari sera là !
– Pas de problèmes !

(voilà qui pourrait faire l’objet d’une autre histoire !)

Jean-Sébastien Tiroir – 1992 – revu et corrigé en 2000/2001/2022 ©

monsieur_tiroir@hotmail.com

Ce récit a eu l’honneur d’obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour janvier 2001

 

Seule version autorisée, tout droit réservé.

 

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 1 septembre 2000 5 01 /09 /Sep /2000 12:27

Pastichette se déchaîne

par Jean-Seb


 stamp rousse

 

Hello ! Je m'appelle Orelia, et j'ai eu 18 ans très récemment, je vous livre quelques pages parmi les plus chaudes de mon journal intime

 

Jeudi 1 juin

 

Demain c'est mon anniversaire. Que vont-elles m'acheter ? Je dis "elles" car nous allons faire cela en petit comité, il y aura ma mère, (qui à 40 ans est encore une femme superbe !), ma Tante Sidonie que j'adore et ma grande sœur Bénédicte. Mon père ne sera pas là, il est en prison et on ne veut pas me dire pourquoi !

 

Vendredi 2 juin

 

Oh là, là ! Que d'émotions, ce jour restera à jamais gravé dans ma mémoire, Après un bon repas préparé par ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe, on ne le répètera jamais assez) celle-ci est allée chercher le dessert. Ma première réflexion fut de m'étonner que les bougies ne soient pas allumées.

 

Je m'aperçus ensuite que ce n'étaient pas des bougies qui ornaient mon gâteau d'anniversaire, mais des godes, 18 godes plantés dans le gâteau au moka !

 

J'embrassais ma mère et ma sœur pour les remercier, puis alors que je m'apprêtais à déposer un chaste baiser sur les douces joues de ma tante Sidonie (qui elle aussi à 40 ans est également une femme superbe !) Cette dernière dévia mon visage afin de coller ses lèvres contre les miennes, et me roula carrément un patin. Quel plaisir divin de se faire rouler une pelle par sa douce tata, je me laissais faire bien sûr. Elle me précisa que ce baiser faisait aussi partie des cadeaux.

 

Bon ! C'est pas tout cela, mais il fallait bien le manger, le gâteau, je fis la remarque qu'il manquait les petites assiettes et les cuillères :

 

- Inutile ! Dit ma sœur. Regarde comment on va faire !

 

Se saisissant de l'un des godes, elle l'enfonça dans le gâteau, le ressortit et le lécha. Voilà une excellente idée. Nous étions toutes les quatre en train de sucer nos godes plein de crème au moka ! Bien sûr ce genre de situation excite, et Tata Sidonie fut la première à enlever sa culotte, pour faire un usage un peu plus classique du godemiché. Quelques instants après elle en prit un deuxième afin de combler son petit trou qui devenait jaloux. Nous n'avons pas tardé à imiter Tata Sidonie (qui à 40 ans est toujours une femme superbe !). Tata Sidonie a voulu m'assister dans cette tâche, pensant que je manquais de pratique (si elle savait la pauvre !). Je me suis laissé faire. Elle m'a aussi demandé de lécher le gode qu'elle s'était introduite dans la chatte, j'ai pu ainsi déguster les saveurs intimes de ma Tata, et c'est moi qui lui ai demandé ensuite de lui nettoyer le gode tout merdeux qu'elle s'était carrée dans le cul. Ensuite Tata m'a demandé de la lécher pour la faire jouir. Cette partie à quatre a alors duré jusqu'à notre épuisement complet.

 

Mardi 6 juin

 

J'ai bouffé trop de gâteau, j'ai été malade, ce matin ça va mieux, j'ai 18 ans, le monde est à moi. Avec l'argent de poche que j'ai eu, je vais renouveler ma garde-robe. Je m'habille très très court, je mets le plus beau des 18 godes dans mon sac à main et je me décide à commencer par le marchand de chaussures. En pleine rue, je me dis que je n'aurais pas dû mettre de culotte, alors je la retire dans l'indifférence générale.

 

J'essaie quelques godasses, la vendeuse est mignonne, et je m'arrange pour qu'elle remarque mon absence de culotte. Mais elle fait semblant de ne pas voir, cette pétasse

 

- Ça ne vous dérange pas que je n'ai pas de culotte ?

- Mais pas du tout, nous avons l'habitude, si vous saviez le nombre d'exhibitionnistes qu'il y a chez les marchands de chaussures !

 

Ça me contrarie ce genre de réponse parce que ça ne correspond pas au scénario que j'avais dans la tête, alors je me décide à forcer la dose, je sors mon gode et me l'enfonce dans la chatte, puis je fais démarrer les piles du vibrateur. Quelques personnes se détournent juste un peu, mais c'est tout ! Un type se pointe devant moi :

 

- Je suis le directeur du magasin, veuillez me suivre !

 

J'accompagne le mec dans une arrière salle, j'espère qu'il va me violer, j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience !

 

- Nous, vivons, mademoiselle dans une société, où il est nécessaire de respecter les valeurs morales judéo-chrétiennes. Ce que vous n'êtes vraiment pas en train de faire. Je vais donc appeler les flics sauf si vous consentiez à me faire une petite turlutte !

- Ok !

 

Le type avait une bite monstrueuse, je léchais un peu son gros membre parcouru de grosses veines bleues, mais j'avais du mal à mettre dans ma bouche son énorme gland violacé. Pourtant au bout de trois minutes il me lâcha une considérable giclée. Je croyais que l'affaire allait en rester là, mais il m'indiqua qu'il rebandait déjà et m'intima l'ordre de me tourner afin qu'il m'enculât.

 

Ayant peur que cet engin surdimensionné me déchire le fondement, je décidais de fuir et me mit à courir. En traversant le magasin, je trébuchais sur une boite à chaussures et m'affalait, le cul à l'air. Deux vendeuses m'empoignèrent et me ramenèrent manu militari dans l'arrière-boutique.

 

- Laissez-vous faire, ce n'est une formalité !

 

Il me fit très mal, mais comme dans les histoires, après la douleur vint le plaisir et c'est toute contente que je sortis du magasin avec mes chaussures à l'œil.

 

Tout de même si on ne peut pas venir acheter des chaussures sans culotte, sans se faire enculer, où va-t-on ?

 

Mercredi 7 juin

 

Je cherche un petit ensemble, j'en trouve un super mignon, il faut que je l'essaye, je vais donc dans une cabine. Ils sont fous dans ce magasin, ils mettent des rideaux aux cabines, je laisse bien sûr la mienne ouverte et me déshabille, j'essaie le truc. Il me va très bien, je me déshabille à nouveau et dans la foulée j'enlève aussi mes sous-vêtements. Les gens passent, mais ne s'arrêtent pas. C'est désespérant. Je renouvelle la tactique de la veille et je sors mon gode en réglant le vibrateur à fonds. Une bonne femme arrive en pétard !

 

- Si vous n'arrêtez pas, j'appelle la sécurité !

 

Je ne réponds pas, j'espère bien que la sécurité va venir, j'espère aussi qu'ils vont me violer (j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience). Ça y est la sécurité arrive. C'est un grand gaillard d'environ 1 m 98 !

 

- Mademoiselle, votre jouet dépasse le maximum de décibels autorisés dans cet établissement, si vous pouviez le régler ?

- Je ne sais pas faire !

- Donnez !

 

Et joignant le geste à la parole, il m'enlève le gode, baisse le vibrateur, et le remet en place

 

- Euh ! Il était bien dans cet orifice ?

- Non dans l'autre !

- Alors excusez-moi ! Je vais le remettre ou je l'ai trouvé, bonne journée Mademoiselle !

 

pup-lik002.jpg

 

Le goujat, il ne m'a même pas violé. Une fille rentre, une belle fausse blonde

 

- Toutes les cabines sont prises, ça ne vous dérange pas si je rentre ?

- Non, non !

 

La fille baisse son pantalon et sa culotte, s'accroupit et se met à pisser au milieu de la cabine d'essayage, provoquant la création d'une énorme marre d'urine

 

- Hé, mais qu'est ce que tu fais ? C'est des cabines d'essayage, ici pas des chiottes !

- Non, non ! Les cabines d'essayages se ferment de l'intérieur

- Mais les chiottes aussi !

- T'as raison, c'est super mal indiqué !

- T'es lesbienne ?

- Cette question ? Bien sûr ! Toutes les femmes sont lesbiennes !

- Ça te dirait de faire des trucs avec moi ?

- Non désolé, je ne fais cela qu'avec ma sœur, c'est beaucoup plus joli !

- Et pourquoi c'est plus joli ?

- Parce que l'inceste c'est beau ! Si tu ne comprends pas ça, c'est que t'es lourde !

 

Jeudi 8 juin

 

Bon c'est pas tout cela, mais on m'a pas encore violé (j'aimerais bien qu'on me viole, aujourd'hui, il paraît que c'est super comme expérience) Je décide de forcer la chance et je prends un train de banlieue aux heures creuses, je m'installe dans un wagon à moitié vide, il n'y a que trois loubards dans le fonds, et un vieux monsieur qui est à moitié planqué derrière un journal. Je retire ma culotte devant leurs yeux médusés et commence à jouer avec mon gode.

 

- Wha ! T'as vu l'autre salope ?

- Je t'ai toujours dis, il n'y a pas plus vicieux qu'une femme !

 

Evidemment ils s'approchent. Il faut que je résiste un peu, sinon c'est plus du viol (ben oui, le viol c'est comme le football, ça a des règles très strictes !)

 

- Laissez-moi tranquille !

- Wha l'autre ! Elle allume les mecs, et elle voudrait qu'on la laisse peinarde dans son coin. T'es qu'une grosse pute ! T'es qu'une salope !

 

Hmmmm, ça m'excite tous ces mots doux !

 

- On va te prendre tous les trois et on va t'enculer ! Tu vas voir ce que c'est qu'une vraie bite !

- Laissez-moi tranquille, vous n'avez pas le droit !

- On va se gêner !

 

Et après avoir rigolé grassement, déjà deux d'entre eux m'immobilisent, le troisième s'approche de moi, son haleine sent la bière trop forte et le big mac mal digéré. Il sort son énorme bite (les violeurs ont toujours des bites énormes) mal lavée et sans préliminaires me la fourre dans le con (c'est plus littéraire de dire con que chatte, personne ne parle comme ça, mais ça ne fait rien). Il jouit illico presto. Ils me retournent et le deuxième s'attaque carrément à mon trou du cul. Je hurle ! Il me fait très mal ! Il ne s'occupe évidemment pas de mon propre plaisir et ne pense qu'a lui, il ressort son énorme pieu et me le fourre dans la bouche tandis que le 3ème le remplace derrière. Je nettoie la bite du 2ème. Elle ne sent vraiment pas la rose, mais que voulez-vous un viol c'est un viol, je ne vais pas en modifier les règles ! Le troisième n'arrive pas à jouir. Mon cul est en marmelade. Tout d'un coup l'un des loubards, se rappelant la présence du petit vieux à l'autre bout l'appelle !

 

- Viens là toi, y a du spectacle !

 

Le type ne bronche pas

 

- Viens ici ou alors on t'encule !

 

Le type affolé se précipite vers le signal d'alarme ce qui ne tarde pas à immobiliser le train. Les trois loubards sautent par la portière et disparaissent dans la nature. Dans la foulée ils ont eu le courage et la bonté de me piquer mon sac à main. Les braves violeurs ! Qu'ils étaient beaux mes violeurs !

 

Quand même quand on y pense, se faire prendre comme cela par des individus mal lavés, mal éduqués, à moitié bourrés, qui ne respectent pas les femmes, qui nous insultent, nous considèrent toutes comme des salopes, disposent de notre corps comme des brutes en ne pensant qu'à leur propre plaisir, en nous faisant mal ! Quel pied ! Et en plus ils piquent les sacs à main. Tiens, rien que d'y penser, je mouille !

 

Vendredi 9 Juin

 

Je vais passer chez Pépé ! Pépé c'est mon grand-père maternel, donc le père de ma mère, je vous ai, je crois parlé de ma mère (qui à 40 ans est encore une femme superbe) Ma mère est fâchée avec son propre père depuis qu'elle a surpris ce dernier en train d'enculer son mari (donc mon père, vous suivez ?) Ce sont des choses qui ne se font pas. La sodomie est chez la femme un plaisir exquis, c'est le dessert de l'acte, et même si ça fait mal, quel plaisir de voir cette douleur se transcender en plaisir (au fait j'ai encore mal au cul suite à mes conneries d'hier). Tandis que chez l'homme la sodomie est un avilissement honteux.

 

Mais j'aime bien mon pépé ! Il est encore bel homme et n'a que 56 ans.

 

- Je suis venue pour que tu me souhaites mon anniversaire !

- Bien sûr je ne te vois que pour cela ! Alors cette fois désolé, pas de nouvelle pendant un an et aujourd'hui tu te pointes comme un cheveu sur la soupe !

- Dis pépé c'est quoi l'inceste ?

- Tu ne vas pas me reparler de cette histoire, on était bourrés et entre beau-père et gendre, ce n'est pas de l'inceste !

- Et si on faisait des trucs tous les deux ce serait de l'inceste ?

- Oui ?

- Ça te tente ?

- Non !

 

Il m'énerve, il ne veut pas me donner d'argent, et voilà qu'il se met à avoir des principes !

 

- T'as vu ? Je n'ai pas de culotte !

 

Il devient cramoisi.

 

- Et je vais te montrer comment je joue avec mon petit gode !

 

Le pépé sort alors son énorme gland et s'avance vers moi. Je recule !

 

- L'argent d'abord !

- Mais t'es une vraie pute !

- On ne parle pas comme cela a sa petite fille !

 

Il va chercher quelques billets

 

- Encore un effort !

- C'est tout ce que j'ai !

- Alors c'est juste une pipe !

 

En sortant, je me demandais ce que cet acte avec ce vieux dégoûtant m'apportait de plus ! Mais je me disais que l'essentiel était de l'avoir fait, de pouvoir me dire que je l'avais fait et de pouvoir écrire que je l'avais fait.

 

Ce week-end je me repose, lundi j'ai rendez-vous chez Sonia car je veux absolument essayer Kiki. Kiki c'est son doberman !

 

FIN

 

Jean-Sébastien Tiroir © 2000

monsieur_tiroir@hotmail.com 

 

Postface du webmaster :

Un pastiche bien sûr ! Un pastiche d’histoires que l’on trouve ici et là, (mais pas sur ce site) Publié à l’origine sur l’excellent site de Revebebe, certaines des illusions passeront ici inaperçues. Ainsi Orelia se réfère à Aurelia, une série mettant en scène une petite délurée n’ayant pas atteint l’âge légal pour ce genre de choses. Les redondances "ma mère qui à cet Age est encore une femme parfaite..." se référaient à un auteur assez grave qui non content de fantasmer sur sa maman, invectivait copieusement les malheureux qui n’avaient pas la bonne idée de partager son fantasme.

 

Tel que, ce récit reste savoureux. Trop de sites d’histoires sont envahis par les histoires de familles tuyau de poêle, et par les histoires de viol ou l’infortunée violée se retrouve toute contente d’être passée à la casserole ! Et tout cela au nom de la liberté d’expression ! Chez ces curieux libertaires, cela semble passer avant le respect de la personne humaine ! N’empêche le père Tiroir dans ce récit à l’immense talent d’une seule phrase et sans aucun didactisme de remettre à leur place les violeurs et leurs thuriféraires ! Merci Jean-Sébastien !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Zarouny16a
  • Priscilla Lenn
  • CV05
  • Surviv04
  • Heka08b
  • Chanette23c1

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés