Jean-Sébastien Tiroir

Mercredi 2 août 2000 3 02 /08 /Août /2000 00:15

Brigitte Parade,

Récit humide

par Jean-Seb

 

Gs2

 

Brigitte est revenue de ce laborieux voyage professionnel qui a duré dix-sept jours. A l'aéroport, une mélodieuse et suave voix féminine invite les voyageurs à emprunter les transports en communs, les taxis étant affectés par un mouvement social (on ne dit plus en grève !)

 

Elle prend donc le train, puis le bus, le trajet est relativement long

 

Brigitte est une belle jeune femme aux cheveux blonds cendrés s'éparpillant en boucles sur ses épaules. Elle est assez ronde.

 

- " Trop ronde ! "

 

Non ! N'exagérons rien, peut-être légèrement forte, mais elle n'a rien de difforme ni d'obèse, loin s'en faut. Sa belle poitrine fait néanmoins un bon 100 D. cela la complexe un peu. Les femmes ne sont jamais contentes de leur poitrine. Elle est vêtue d'un tailleur gris légèrement rayé, à la coupe très classique, et orné d'une broche dorée en forme de paon. Un chemisier rose et l'inévitable foulard en soie paraphé d'une signature alambiqué complète cette trop sage panoplie.

 

Le trajet s'éternise, il y a des embouteillages partout et l'autobus n'avance pas. Un homme s'assoit devant elle et semble impressionné par le physique de Brigitte. Après être resté quelques minutes en arrêt devant elle il lâche brusquement et de façon tout à fait incongru :

 

-  Tiens bonjour ! J'ai failli ne pas vous reconnaître ! Comment allez-vous ?

 

Elle ne l'a jamais vu ! S'agit-il d'une confusion involontaire ou d'une nouvelle façon de draguer. ? Elle dévisage le type, genre cadre dynamique, la trentaine, pas moche, mais le pauvre n'a pas de chance, il ignore que Brigitte est peu attirée par les hommes. Elle décide de s'amuser et sans se démonter, lui répond le plus sèchement possible ! :

 

-  Je vais très bien, merci, et vous aussi sans doute, mais il ne me semble pas que nous nous connaissions ?

 

Le type est déstabilisé, et bredouille un vague truc, du genre :

 

- J'ai dû confondre avec quelqu'un d'autres !

 

Et il plonge dans son journal, en pleine confusion !

 

Elle décide d'insister un brin sadiquement.

 

- Remarquez, je rencontre beaucoup de monde, il est parfaitement possible que nous nous soyons déjà rencontrés, mais sans doute brièvement, et sans que cela me frappe sinon je m'en souviendrais !

 

Le type répond par monosyllabe, il ne sait plus où se mettre, la partie ne lui appartient plus

 

- Voyons, avec qui pourriez-vous bien confondre ? Vous travaillez dans quelle branche ? ... Ah ! Non alors ce n'est pas moi ! , Quoique. ?...

 

Elle fait semblant de chercher. Le type du coup se retrouve de l'intérêt, et tente de réorienter la conversation. Mais Brigitte ne répond a aucune de ses questions et alors qu'il lui parle d'on ne sait quoi elle n'aura comme toute réponse que :

 

- Quelle chaleur suffocante dans ce bus !

 

Réflexion non innocente qu'elle accompagne du geste en déboutonnant deux boutons de son chemisier. Du coup le type perd le fil de qu'il disait, deviens cramoisi, prend cela pour une invite et cherche déjà dans sa tête la petite phrase magique qui lui permettra d'entrer pour de vrai dans son rôle du dragueur irrésistible.

 

Ce qu'il ignore c'est que Brigitte est pratiquement arrivée à destination, et alors qu'il allait balbutier quelque chose, c'est fort sèchement, mais en soutenant son regard qu'elle conclut en ces termes cette rencontre de dupes :

 

- Ecoutez Monsieur, nous ne saurons jamais si nous nous sommes déjà rencontrés. Cela ne fait rien, cela m'a été agréable de causer avec vous, mais je tiens à ma tranquillité, et si vous me croisez de nouveau, je vous remercie de bien vouloir m'ignorer. !

 

Patatras ! Le type devient rouge comme trois tomates et deux poivrons.

 

Elle s'était bien amusée. En rentrant, elle trompe sa faim en mangeant n'importe quoi et se couche, harassée, sans avoir pris le temps de prendre une douche

 

- " On verra ça demain !"

 

Elle se réveille tard, trop tard !

 

- Putain, tout le boulot que j'ai à me taper ce week-end. Il y a tout le linge du voyage à laver, la maison qui est plein de poussière. Autant démarrer tout de suite !

 

Elle s'amuse à se coiffer la tête d'un fichu blanc, cela lui donne un petit côté " Perrette et le pot au lait ", puis va pour se recouvrir d'une simple blouse, puis se ravise

 

- " Si Annette se pointe ! "

 

Elle ouvre une commode

 

- " Plus rien à me mettre ! "

 

Par jeu elle choisit un porte-jarretelles noir ainsi que les bas assortis, un petit corset beige avec des motifs, un joli corsage blanc sans manches, et elle recouvre le tout d'une blouse tablier blanche à pois bleus

 

- " On va commencer par la lessive "

 

Brigitte jette tout le linge dans une panière et va pour descendre à la buanderie.

 

- Hello !

 

Brigitte_Ulla01.jpg

 

Evidemment c'est Annette, sa voisine, c'est bien le moment !

 

- Salut, toi ! Je suis un peu débordée, je démarre la machine à laver et je te fais un bisou !

 

Annette est une petite brune avec des cheveux coupés au carré. Elle est habillée d'un blue-jean et d'une espèce de tee-shirt publicitaire très ample et somme toutes assez nul dont elle s'est amusé à couper les manches. Elle a eu la coquetterie de rajouter une grosse ceinture grise par-dessus. 

 

Annette la suit dans la buanderie. Elle a l'œil coquin ! Elle attend patiemment que Brigitte déverse tout le linge dans le tambour du lave-linge, et fasse démarrer l'appareil, puis lui tend ses lèvres. Les deux jeunes femmes s'embrassent fougueusement un long moment mélangeant langues et salives.

 

- Alors ce voyage ?

- Crevant !

- Tu m'as trompé ! J'en suis sûre !

- Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ?

- Alors c'est oui !

- Ben oui, c'est oui !

- Tiens ! Je t'ai fait une surprise ! Regarde ce que j'ai fait à ma petite chatte hier ? 

 

C'est avec un regard pétillant qu'Annette baissa son blue-jean.

 

- Oh ! C'est tout rasé ! C'est super excitant comme ça !

- J'ai une de ses envies !

 

Brigitte crut d'abord que l'envie de sa coquine de voisine était d'ordre sexuel. Et bien non ! Et elle eut la surprise de la voir lâcher un jet d'urine bien dorée dont une partie vint mouiller sa culotte à demi baissée.

 

- Te gênes pas, fais comme chez toi ! Pisse dans ma buanderie !

- C'est pour te punir de m'avoir trompé !

- Tu parles d'une punition !

 

Brigitte voulant montrer à sa copine qu'il en fallait d'autre pour la choquer, lui demanda d'en refaire un petit peu, puis recueillit quelques gouttes du liquide bouillonnant dans sa paume qu'elle lécha.

 

- Hum Délicieux !

 

Annette prit la main de Brigitte pour goûter à son tour

 

- Non ! C'est comme d'habitude !

- Mais c'est toujours délicieux !

- Qu'est-ce que tu en sais ? On a fait ça qu'une fois !

- Non deux fois ! Tu m'excites avec tes cochonneries !

 

Annette ouvrit alors le chemisier de Brigitte libérant ses deux magnifiques globes

 

- Qu'est-ce qu'ils sont beaux ! On ne s'en lasse pas !

- Ils sont trop gros, je vais me les faire raboter !

- Méchante !

 

Et tandis qu'elle pelotait les mamelles de sa copine, ivre de désir, elle lâcha un nouveau jet d'urine dans lequel Brigitte glissa ses doigts

 

Brigitte se débarrassa alors de sa blouse, attirant Annette vers elle pour l'embrasser fougueusement sur la bouche tandis que cette dernière lui tripotait la chatte

 

- T'as pas envie, toi ?

- Si ! Tu veux que je t'arrose ?

- Oui ! Sur ma poitrine ! On va jouer au tee-shirt mouillé !

 

Brigitte écarta bien sa chatte et arrosa copieusement sa copine, le fond blanc du tee-shirt devenait de plus en plus transparent et de plus en plus collant au fur et à mesure de l'opération ! 

 

- On est vraiment un peu dingues ! Commenta Annette d'une voix tremblante.

- Et alors ? Y a pas de mal à se faire du bien, et on ne fait de mal à personne !

 

Mais les apartés de sa voisine n'étaient pas de nature à interrompre l'envie de Brigitte. Et Annette tira sa longue langue sur laquelle le jet vint se briser. Elle ne se contentait pas d'avaler, elle dégustait !

 

- Hum ! Ta pisse est tellement bonne que tu devrais la mettre en bouteille, plaisanta Annette

- Pourquoi pas, la prochaine fois que je pars en déplacement je t'en garde un litre !

- T'es folle ! Frais c'est délicieux, mais après ça fermente ! Oh là là ! Je ne sais pas ce qui m'arrive j'ai encore envie ! répondit Annette se remettant à pisser comme une fontaine

- C'est pas possible ! Qu'est-ce que tu as bu pour qu'il y en ait autant ?

- Du thé au jasmin !

 

Annette retira son tee-shirt trempé, dévoilant une jolie guêpière à fleur de laquelle elle laissa s'échapper deux appétissants petits seins

 

Une banane en plastique traînait dans un coin de la buanderie

 

- Tiens pisse sur la banane demanda Brigitte à Annette qui s'exécuta.

 

Brigitte enfonça alors l'objet ainsi lubrifié dans la chatte d'Annette. Leurs seins se frôlaient leurs donnant la chair de poule

 

- Attends, j'ai mieux, regarde ce que je cache ici, petite coquine ! dit Annette, en exhibant un beau gode noir

- J'aime pas ces trucs-là !

- C'est pas grave, lèche-moi le bout des seins, je vais me le garder pour moi toute seule.

 

Et tandis que Brigitte obtempérait, elle s'enfonça l'objet dans sa chatte humide.

 

- Je ne suis pas vache, je vais te donner un coup de main !

 

Elle demanda à sa voisine de se coucher sur le dos et la chevaucha en lui branlant la chatte avec le gode, tandis qu'elle-même s'excitait. Mais ce sexe offert était trop tentant, il fallait qu'elle le lèche et elle revint titiller le clito de sa copine qui eut un violent orgasme lui provoquant un nouveau jet de pisse, Brigitte s'amusa à en avaler le maximum

 

- C'est mon tour ! décida-t-elle se plaçant au-dessus de sa voisine, qui avait repris son jeu de gode ; visant sa petite chatte rasée.

- Non pas là, dans la bouche, j'ai encore soif

 

Annette sentit le deuxième orgasme s'approcher et alors que Brigitte pissait copieusement dans sa bouche grande ouverte. Annette lampait comme si on lui avait servi une grande bière bien fraîche un jour d'été torride

 

- Moi aussi, je peux encore déclara Annette

- Chouette j'ai encore soif ! répliqua Brigitte

 

Elles changèrent une nouvelle fois de position et tandis que sa copine pissait, Brigitte pressa ses deux seins l'un contre l'autre et les souleva un petit peu de façon à ce que la pisse qui dégoulinerait de sa bouche lui chatouille les tétons.

 

- Tu m’étonneras toujours, mais comme je suis bonne fille je vais maintenant t’aider à finir ton ménage ! Dit Annette !

- Super ! Et qu’est-ce qu’on fait après ? Répondit Brigitte avec une feinte candeur.

- D’après toi ?

 

Fin de l’épisode

 

Jean-Sébastien Tiroir © 2000

 

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Première publication sur Vassilia, le 7/10/2000

 

 

 

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mardi 1 août 2000 2 01 /08 /Août /2000 07:59

Laura Soif

récit humide

par Jean-Seb

 

Gs2

 

Laura est une grande femme d'une trentaine d'année, elle a de magnifiques yeux bleus, ses cheveux châtains d'où émergent quelques rares mèches blondes sont maintenus sur le haut de la tête en une coiffure très moderne. Elle arbore un sourire conquérant. Ceux qui la connaissent, ne s'y frottent pas, ils savent sa réputation de nymphomane, mais savent aussi que c'est elle qui choisit. Grande amateur d'art moderne, il lui arrive souvent d'être conviée à des vernissages. Ce soir Machisko expose ses œuvres, des machins incompréhensibles dans un dégradé de vieux rose. Elle s'ennuie. Elle est vêtue ce soir d'un tailleur bleu foncé légèrement rayé de blanc. La coupe croisée en est très stricte. Les amateurs de décolletés en seront pour leurs frais.

 

Elle s'en est draguée deux, ce genre de situation l'excite. L'un s'appelle Kurt, c'est un allemand très décontracté, genre sportif aux cheveux court L'autre est Arnaud, type beaucoup plus réservé, la peau un peu mate et ses longs cheveux très bruns sont attachés avec un catogan.

 

C'est ce dernier qui essaie de faire la conversation, il est évidemment question de Machisko !

 

- Un fumiste, l'art moderne en est inondé !

 

Le ton est péremptoire, Arnaud se tait

 

A peine entrée chez-elle, elle attaque, pas de préliminaire, pas de petit verre, pas de musique douce, on ne s'assoit même pas ! Laura a déboutonné deux boutons de sa veste de tailleur et en écarte les pans toisant Arnaud ! Ce dernier ne comprend pas où est passé le chemisier, il y en avait tout simplement pas, il a une superbe vue à présent sur un magnifique soutien-gorge en soie bleue dont la partie supérieure s'orne de fine dentelle noire. Aucun des hommes ne prend d'initiative, subjugués par le charisme de leur hôtesse. Laura retourne la partie dentelée du soutif afin de libérer ses mamelons déjà érigés Elle laisse choir ensuite sa jupe de tailleur sous laquelle ne logeait aucune culotte, et elle se penche en avant et tandis que Kurt lui pelote son magnifique petit cul superbement cambré, elle a déjà dégrafé la ceinture d'Arnaud, lui faisant glisser caleçon et pantalon, et attaque avec la bouche sa bite déjà bien bandée.

 

- Elle est courte mais elle est bonne ! Diras-t-elle un peu plus tard.

 

Elle s'assied à présent sur le canapé. Kurt a à son tour libéré sa longue bite. Laura s'en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation, mais c'est celle d'Arnaud qu'elle garde en bouche, lui astiquant les couilles de son autre main. Cette autre main sera bientôt attirée par son propre sexe qui dégouline de mouille. Elle n'en peut plus, elle veut jouir comme une folle. Elle change de bite et suce maintenant celle de Kurt, demandant à Arnaud de venir la prendre, ce qu'il s'empresse de faire.

 

Mais présentement elle préfère sucer Arnaud que Kurt et demande aux deux hommes d'intervertir leur position, elle se met en position chevauchante sur Kurt et recommence sa fellation sur Arnaud. Ce n'est pas une " avaleuse de bite ", elle à la mâchoire plutôt petite, elle préfère travailler le gland.

 

- C'est ce qu'il y a de meilleur à sucer !

 

Elle s'amuse à le mordiller, faisant sursauter son propriétaire. Elle change de position et demande à Kurt de se placer sur le côté " en paresseuse ", puis en levrette couchée, sa fellation sur la bite d'Arnaud ne faiblit pas, elle la déguste, elle se régale, elle se goinfre ! Sa main astique son clito. D'un coup elle n'est plus là, elle ne sait plus où elle est partie ! Elle se tétanise soudain et elle pousse un hurlement de jouissance, puis son corps est atteint d'impressionnants soubresauts tandis que ses cuisses dégoulinent de mouille. Elle a joui, pas les mecs ! Elle se reprend assez vite.

 

- J'ai soif ! Donnez-moi à boire !

 

Déjà Kurt se précipite vers la cuisine, mais Laura à une autre idée en tête, elle demande à Arnaud de venir avec elle dans la salle de bain. Elle retire à présent son soutien-gorge, mais elle garde son porte-jarretelles assorti et ses bas. Kurt les rejoints avec trois bières et un décapsuleur.

 

- Pose ça là ! Pour l'instant, vous allez me pisser dessus !

 

Laura02.jpg

 

Elle dit cela avec un air si malicieux, une si belle coquinerie affichée dans le visage, que Kurt n'hésite même pas et tandis que la femme s'est accroupie, il lui dirige son jet de pipi sur sa belle poitrine.

 

- Je t'ai dit que j'avais soif ! Connard !

 

On ne lui dit pas deux fois à Kurt, et il réoriente le jet vers la bouche ouverte de Laura. Arnaud a plus de mal à démarrer, il se demande où il a mis les pieds mais il n'ose plus reculer, quelques gouttes finissent par émerger de son gland. Laura s'en empare afin de les laper à la source, décidément elle à une grosse préférence pour la bite à Arnaud. Elle revient au jet de Kurt qui lui ne tarit pas, elle en avale une goulée et pendant ce temps serre les dents, faisant dégouliner le trop plein sur son corps, une fois, la bouché avalée, elle desserre les dents et s'applique à recevoir le jet directement au fond de son gosier.

 

Il fallait bien qu'à un moment le jet de Kurt se tarisse. Alors elle le suce, lui mordille le gland. Arnaud, lui, semble avoir repris des ressources et libère un long jet. Laura se retourne et lui présente ses fesses

 

- Vas-y ! Fout-m'en partout !

 

Son cul et ses cuisses sont trempés. Elle se retourne !

 

- Les seins maintenant !

Il l'arrose

 

- Je veux encore en boire !

 

Son urine a été longue à venir mais dorénavant il n'arrête plus, il lui vise la bouche, ça dégouline de partout tellement le flot est abondant. Kurt en remet de son côté une petite lampée. Laura a maintenant saisi la bite d'Arnaud et s'en servant comme d'une douchette dirige le jet vers toutes les parties de son corps. Kurt se branle. Laura a pitié de lui et lui léchouille le gland. Arnaud s'aventure du côté de la chatte.

 

- Tu as aussi t'as soif ?

 

Il a un mouvement de recul.

 

- Tu as déjà essayé ?

- Non !

- Ben alors qu'est que tu attends ?

 

Son excitation ne prête pas à la réflexion, il lèche le minou rasé de Laura d'où quelques gouttelettes jaunes ne vont pas tarder à émerger. Il goutte, il est surpris par le goût qui n'a rien de repoussant. Il la lèche au milieu de sa pisse, il n'en peut plus il en redemande. Il s'applique à la faire jouir, ce qu'elle fit bientôt pour la deuxième fois de la soirée.

 

- J'ai la chatte brûlante, arrose-la-moi !

 

Arnaud trouve encore l'énergie de repisser et dirige le jet vers la chatte brûlante de Laura avant de finir n'importe comment sur son corps. Pendant tout ce temps Laura n'a pas lâché sa fellation sur la bite de Kurt. Et bientôt ce dernier éjacule dans sa bouche. Arnaud implore qu'on lui fasse pareil, il se branle, il est au bord, Laura va pour le prendre en bouche, mais le simple contact de sa main sera de trop, il éjacule sur le corps mouillé de Laura.

 

Elle regarde l'image que lui renvoi son miroir, celle d'une belle femme complètement trempée tenant dans chaque main une bite encore bandée. Une femme rayonnante de plaisir et de bonheur

 

Elle lâche la pine de l'Allemand.

 

- Alors tu nous les débouches tes bibines ? On a soif !

 

© Jean-Sébastien Tiroir - 1996 - revu et corrigé en 2000  

 

monsieur_tiroir@hotmail.com

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Août 2000

Par Jean-Sébastien Tiroir - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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