Chanette 2 : Chanette et la journaliste 2 – La punition d’Anna Gaëlle
2 – La punition d’Anna Gaëlle
Prologue
Il est 7 heures du matin. Fulbert peut commencer. Il est décidé de faire pour le mieux, Fulbert ! 300 euros pour un boulot aussi facile, c’est inespéré. Il prend les trois plaques émaillées et aimantées, la plaque de cuivre autocollante et la bombe de peinture noire. Il détache l’échelle de la galerie de la camionnette dont les plaques d’immatriculation ont été trafiquées. Il pose l’échelle à proximité de la plaque indiquant le nom de la rue, et y grimpe. Quelques secondes plus tard la rue des Saulniers est rebaptisée rue Michelet-Languereau.
– Vous faites quoi ? Vous changez le nom de la rue, on aurait pu être prévenus !
Ce genre de situation a été prévu. Fulbert répond le plus jovialement du monde :
– C’est pour le film !
– Quel film ?
– Le film qu’ils vont tourner tout à l’heure !
– Ah Bon !
L’intrus a eu son explication, il s’en va. Fulbert continue à recouvrir les plaques et le 53 devient le 51 bis, le 55 le 51 ter. Arrivé à ce numéro, il compose le digicode et il entre, il donne un rapide coup de bombe sur le tableau indiquant l’emplacement des résidents, appelle l’ascenseur et bombe également les indications de numéros d’étages. Au 3ème il auto collera une plaque où les caractères sont très usés mais où l’on peut lire en s’y appliquant « Docteur Folenfant – rhumatologue ». C’est presque fini, dans 3 heures il remplacera les plaques par des plaques neutres, nettoiera ce qui a été bombé et il aura gagné 300 €, il est content Fulbert !
Préparatifs
C’est Phil qui mena une courte enquête afin de localiser cette Anne-Gaëlle de la Souderie de Chabreuil qui s’était copieusement moquée de nous. Ce n’était pas d’une évidence folle, le groupe de presse dont faisait partie le torchon » Globo » n’était qu’une nébuleuse de boites postales toutes plus anonymes les unes que les autres. Mais, faute d’un numéro professionnel, c’est carrément chez la donzelle qu’il appela !
– J’ai une grosse révélation à faire. Un scoop dingue…
– Non mais attendez, vous êtes chez un particulier…
– Vous n’avez jamais rêvé d’avoir un scoop énorme et d’en tirer bénéfice ? Moi, j’ai là l’occasion de me faire une montagne de fric, mais il me faut quelqu’un pour m’aider, quelqu’un qui connaît bien le milieu des journaux. Je n’ai pas envie de me faire avoir !
– J’ai une envie folle de vous raccrocher au nez, pourquoi moi ?
– On m’a donné votre nom !
– J’imagine bien, merci ! Mais qui ?
– J’ai promis de ne dire ce nom que si nous faisions affaire
– C’est bizarre votre truc, et c’est quoi le scoop ?
Phil entendit à ce moment-là un petit déclic, la conversation était à présent enregistrée.
– Justement, il faut que l’on se voie pour en parler…
– Bon, écoutez, je me doute bien qu’il va falloir qu’on se voie… et que vous ne pouvez rien me dire auparavant ! Tout cela est d’un classique ! Mais ce que je vous demande c’est de me mettre sur la voie. S’il s’agit d’OVNI ou de Louis XVII, ce n’est même pas la peine de continuer…
– Et s’il s’agit de la preuve irréfutable, documents à l’appui que toutes les élections de Miss France sont truquées ?
– Mouais, ce n’est pas un grand scoop !
– Et si je vous communique quelques photos des membres du jury en compagnie… disons très spéciale ?
– Parce que les gens qui couchent, ils se font prendre en photos ?
– Disons que quelqu’un a eu intérêt à ce que ces photos soient prises, et là vous comprendrez que je ne puis vous en dire plus au téléphone.
– Bon on se voit où et quand ?
Un rendez-vous fut fixé au 17 rue L… Ce n’était pas mon adresse, ni celle de personne de notre entourage, mais ce serait celle enregistrée sur son magnétophone.
J’avais prévenu Phil que la ponctualité n’était pas la qualité première de miss Anne-Gaëlle et le jour convenu, Phil se mit en embuscade devant l’immeuble de l’adresse de rendez-vous. C’est une demi-heure plus tard, qu’il vit une personne répondant au signalement qu’on lui en avait fait s’arrêter devant un digicode dont personne ne lui avait parlé. Il allait l’aborder, mais elle le devança.
– Vous habitez ici ? J’ai rendez-vous avec un Monsieur Potez et il ne m’a pas communiqué le code !
– C’est moi !
– Ah ben…
– J’ai un petit problème, je ne suis pas arrivée à vous recontacter. Un dégât des eaux chez moi, je ne peux plus y accéder pendant un mois… Heureusement tout ce dont je vous ai parlé est intact, j’ai déposé cela chez un ami, allons-y c’est à deux pas !
Première à gauche, deuxième à droite. Les voilà rue des Saulniers, où elle n’a jamais mis les pieds. Ils entrent, prennent l’ascenseur. Phil ouvre la porte avec la clé qu’on lui a prêtée, fait entrer la journaliste et prend soin de refermer le verrou derrière lui !
– Asseyez-vous ici, je reviens avec une partie des documents, à moins que vous désiriez prendre un verre auparavant ? Un café par exemple ?
– Non, je vous remercie, j’ai hâte de voir vos documents
– Vous n’allez pas être déçue !
A ce moment-là Phil se dirige vers la porte séparant le salon de l’entrée afin de bloquer cette sortie et se racle trois fois la gorge. C’était le signal !
La punition
Nous avions convenu Corinne et moi, de nous habiller exactement de la même façon que lors de cette interview qu’Anna-Gaëlle avait si bien trafiquée. Nous en avions marre d’attendre, aussi dès que Phil nous fit signe, nous entrâmes dans le salon découvrant le visage horrifié de la journaliste.
– Bienvenue chez Chanette, petite salope !
La tête d’Anna-Gaëlle !
Instinctivement elle se lève et se précipite vers l’entrée. Bloquée par Phil ! Nous n’avions pas prévu par contre le coup de genou qu’il reçut dans les couilles et qui le fit s’écrouler de douleur. Malgré tout elle fut vite maîtrisée et ramenée au centre de la pièce. Histoire de lui montrer que cette séance n’avait rien d’une plaisanterie, je lui balançai un léger coup de cravache qui cingla en s’enroulant autour de sa taille !
– Vous n’avez pas le droit, bandes de putes, je vais porter plainte pour séquestration…
– Ta gueule ! Ou je t’en balance une autre !
Et c’est reparti pour une crise de larmes !
– Pourquoi vous me faites ça ? Si c’est pour l’article j’y suis pour rien…
– Tu arrêtes de mentir !
– Je ne mens pas ! Et si vous me laissiez m’expliquer au lieu de faire du kidnapping !
– Et bien vas-y, explique-toi !
– Ce n’est pas moi qui ai réécris l’article…
Cette fois c’en est trop, je lui balance une gifle magistrale. Elle se tient la tête, elle pleurniche !
– C’est bien ta signature qu’il y a sur cette merde. Pas celle du voisin !
Je lui mets la feuille du journal devant le nez, de colère j’en fais une boule et lui fourre un instant dans la bouche.
– Ils ont laissé ma signature, mais ce n’est pas moi qui l’ai réécrit ! Ce n’est pas compliqué à comprendre.
– A comprendre non ! Mais à prouver ?
Tout d’un coup, elle redevient digne, et c’est avec une expression à la limite du mépris qu’elle nous fait maintenant face :
– Je ne peux rien prouver ! D’accord ! Et je ne vous dirai plus rien. Je ne sais pas ce que vous avez décidé de me faire. Mais comme je ne pense pas que vous allez me tuer, ce ne sera qu’un mauvais moment à passer et un mauvais souvenir. Il faudra bien que vous finissiez par me libérer. Et après je porterai plainte pour enlèvement et séquestration et sans doute pour coups et blessures et viol !
– Tu vas la fermer !
– Oui je la ferme ! Je vous ai dit ce que j’avais à vous dire ! Maintenant allez-y montrez-moi votre courage, acharnez-vous contre moi à trois contre une… Il faut sans doute que je me foute à poil, je vais le faire ! Ça nous avancera !
Je ne m’attendais pas à une telle résistance, mais ce n’était pas pour me déplaire, le fauve serait difficile à dompter. Je la giflai à nouveau. Elle reçut la gifle sans broncher, me cracha dessus et avant que j’aie le temps de réagir, elle me lance :
– Continue salope ! Ça m’excite !
Décontenancée ! C’est Corinne qui vint à mon secours en recentrant le scénario que nous avions préparé.
– Tu n’as rien compris, petite pétasse ! Tu es ici pour deux choses. Nous expliquer pourquoi tu as fait cela et ensuite te faire passer l’envie de recommencer
Anna-Gaële ne répondit rien. Je lui passe mon téléphone fixe.
– Mais tu n’es pas séquestrée ! Tiens prend ce téléphone et appelle qui tu veux pour dire où tu es !
Elle ne comprend plus. Phil s’est mis à côté de la prise pour couper s’il lui prenait l’idée saugrenue d’appeler la police, sinon on avait convenu de laisser faire. Elle prend le combiné, compose un numéro, ce n’est pas celui des flics, apparemment elle tombe sur un répondeur
– Allô ! Jean-Loup c’est Anne ! Je suis un peu coincée sur le truc dont je t’avais parlé hier. Si tu n’as pas de nouvelles de moi dans une heure je suis au 51 ter rue Michelet-Languereau chez le docteur Folenfant.
Elle repose le combiné. Nous éclatons tous les trois d’un fou rire nerveux ! Anna-Gaëlle ne comprend plus rien. Je peux reprendre l’avantage. Cependant le plan est devenu bancal, voire dangereux. En la faisant téléphoner nous ne pensions pas qu’elle donnerait ce délai d’une heure. C’est vrai, l’adresse n’existe pas mais un numéro de téléphone ça se localise ! Et puis il y a ses menaces de plainte. Il faudrait à présent la jouer fine et vite.
J’ouvre mon blouson. J’ai mis un soutien-gorge rouge en dentelle très sexy. Je ne lui laisse pas le temps de le détailler, je pivote et lui présente mon dos.
– Dégrafe-le !
Elle le fait en maugréant, plus pour éviter des baffes que par soumission.
– Vous êtes vraiment des salopes !
– Bien sûr !
Sauf que maintenant elle a mes seins sous le nez ! Son regard se trouble. Il se troubla encore plus quand quelques secondes plus tard, j’entrepris de faire durcir mes tétons en les faisant rouler entre mon pouce et mon index
– Tu devais te déshabiller, non ?
– Qu’allez-vous me faire ? Vous ne vous rendez pas compte des risques que vous prenez ?
Hé ! Hé ! La réflexion de trop, elle aurait dû rester dans son rôle de victime fière, hautaine. Elle est en train de fragiliser sa position.
– A poil, salope !
– Je peux encore m’expliquer ?
Son système de défense s’est complètement lézardé !
– A poil ! On verra après !
Elle se déshabille complètement. Elle est belle Anna-Gaëlle. J’aime ces gros seins laiteux terminés par des petites pointes roses. Exprès je la regarde avec envie. Je recommence à me faire durcir les tétons et soudain c’est les siens que j’agrippe.
– Non ! Non ! Arrête ! Salope ! Arrête ! C’est trop bon ! Arrête ça ! Tu n’as pas le droit !
Je continue et augmente ma pression.
– C’est trop fort ! Arrête !
Elle va tomber dans le piège dans une seconde, j’en mouille à l’avance.
– C’est vrai ? C’est trop fort ?
– Oui : c’est trop fort !
Je baisse ma pression.
– Et comme ça va ?
– Oui ! Ça va, continue, salope, tu es en train de m’avoir ! Tant pis pour moi !
Je relâche tout.
– Tu m’as traité de quoi ?
– De salope, Chanette ! Tu es une salope ! Mais moi aussi !
J’ai gagné ! Un frisson me surprend. Ma chatte coule !
– Alors j’écoute ! Et après on fera peut-être la paix !
– Tout ce que je vous ai dit est vrai. J’ai d’abord fait un premier article où je vous présentais toutes les deux sous un jour favorable, le chef de rubrique n’en a pas voulu. J’en ai refait deux autres enduite, de plus en plus neutres. Ça n’allait toujours pas. Alors je lui ai dit que je laissais tomber. Il a tout rectifié mais il a laissé ma signature. J’ai pensé à te prévenir mais j’ai laissé tomber. Je me suis dit que sans doute vous ne verriez jamais l’article et que finalement ce n’était pas si important que cela…
– Tu as pensé à me prévenir et après tu as changé d’idée. Et pourquoi donc ?
– Je viens de le dire !
– C’est si difficile un petit coup de fil ?
– Il y une autre raison ! Tu veux vraiment la savoir, Chanette ?
– Oui !
– C’est que je ne voulais pas me donner l’occasion de retomber dans tes griffes ! J’avais jusqu’ici une sexualité presque normale ! J’ai compris en venant ici l’autre fois que mes fantasmes avaient besoin d’êtres assouvis. J’ai eu peur de ne plus pouvoir me passer de ce que j’ai connu ici ! Tu comprends Chanette ? Oh pardon Chanette ! Pardon Corinne !
Et la voici à nouveau en larmes !
– Et maintenant ?
– Maintenant tu as gagné ! Salope ! J’ai envie de toi, j’ai envie de vous deux !
– Et tu ne crois pas que tu devrais être punie d’abord ?
– Chanette, je voudrais que nous soyons régulières toutes les deux, tu me punis mais après, je voudrais tant que nous fassions l’amour…
– C’est à toi de prendre le risque, si tu ne veux pas le prendre, tu peux partir tout de suite, on ne t’en empêchera pas, et je trouve que ce serait pas mal comme punition. Alors ?
– Je reste !
– Allons-y tu l’as mérité et puis tu aimeras peut-être ?
On emmène la journaliste dans la salle que j’ai aménagée en donjon, on la suspend à une barre. Corinne lui place des pinces sur les tétons et sur les lèvres de sa chatte. Elle hurle, puis se calme. Je tourne autour d’elle le martinet à la main, et applique le premier coup
– Aie !
J’avais prévu 50 coups, mais tout d’un coup ça me semble énorme, au 15ème je décide de m’arrêter à 20. Anna-Gaëlle, manifestement souffre, elle crie, elle gigote, mais ne me dit pas d’arrêter.
– Plus fort ! Marque-moi !
Ça me paraît complètement invraisemblable, mais je m’apprête à le faire, quand soudain Corinne arrête mon bras en plein élan :
– Elle veut que tu la marques pour pouvoir faire un constat de coups et blessure !
Je n’y avais pas pensé ! Je continue à frapper mais normalement.
– Ecoutez-moi une minute ! L’autre jour j’ai trahi votre confiance, je veux la regagner, c’est pour cela que je veux que tu me marques, comme ça tu pourras constater que je ne donnerais pas suite à mes menaces de tout à l’heure !
Je regarde Corinne, elle a l’air comme moi de penser qu’on peut prendre ce risque. Alors de toutes mes forces, je vise le joli cul rebondi de la journaliste et je lui zèbre les fesses de longues traînées rouges, je le fais quatre fois, à ce stade on a comptabilisé 20 coups. Je stoppe. Moi non plus je ne tiens plus en place. Phil s’est lui déshabillé et s’apprête à entrer en scène !
– Non pas maintenant, mais va plutôt t’occuper de Corinne, elle est toute mouillée la pauvre !
Il n’en fera rien, ça n’a jamais été l’amour fou entre eux deux. Je détache Anna-Gaëlle. Je l’enlace, et me faisant tomber, l’entraîne dans ma chute. Je l’embrasse avec fougue, je lui caresse le corps, lui pétris les seins, les fesses, les cuisses, je lui mets mes doigts partout, dans la chatte, dans le cul… Elle non plus n’est pas en reste et veut m’embrasser partout. Elle me serre les tétons comme je les ai serrés tout à l’heure
– Toi aussi tu aimes ça !
– Bien sûr
– T’es vraiment une salope !
Encouragée, elle réussit à me faire hurler, je lui rends la pareille, nous devenons folles tandis que nos corps ruissellent de sueur et de mouille. Je veux la boire, on change de position et nous voici en 69. Je la bois et elle me boit. Ma langue lèche maintenant sa chatte au goût de miel, tandis qu’elle me suce le clitoris. J’ai du mal à me retenir de pisser et puis à quoi bon me retenir, je me laisse aller. Anna-Gaëlle lape mon urine comme un chat laperait une source de lait. J’ose espérer qu’elle me rendra la pareille, je la sens qui force et tout d’un coup elle libère à son tour sa source dorée qui s’écoule dans mon gosier. Son urine à un goût unique, (elle m’expliquera bien plus tard qu’elle avait l’habitude de boire du thé au jasmin). Ça y est ! La source est tarie, elle a repris ses mouvements de lèvres et de langue sur mon clitoris, je l’imite, je ne vais pas tenir longtemps, un geyser de cyprine s’écoule de ma chatte tandis que je suis atteinte de soubresauts nerveux, j’essaie de me reprendre au plus vite pour la faire jouir à son tour, elle le fera quelques minutes plus tard, en poussant un hurlement de tigresse. Nous nous enlaçons à nouveau et nos bouches qui ont connu tous les liquides se soudent à nouveau.
Je me relève fourbue !
Corinne est assise dans un fauteuil, les jambes écartées et s’envoie un vibro dans la chatte en poussant des petits cris. Phil s’est masturbé en nous regardant et nous a probablement arrosé de son sperme, mais nous ne nous en sommes pas aperçu.
– Je peux téléphoner ?
– Bien sûr !
– Allô Jean-Loup ! Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ? Un fax urgent à me faire porter ? Et le coursier n’a pas trouvé l’adresse ? Il est nul ton coursier, et il y avait quoi dessus ? Ah bon ! Ce n’est pas si important que cela ! Je ne passerai pas au bureau de la journée.
En raccrochant, Anna-Gaëlle ne comprit pas pourquoi nous étions de nouveau éclatées de rire
– Vous m’expliquerez ?
– C’est promis !
A ce moment-là, Anna Gaëlle s’approche de moi et me prend la main.
– J’ai une proposition à faire : on va se prendre une bonne douche toutes les deux, et après je vous paye le restaurant à tous !
Epilogue
Quelques jours après, en relevant mon courrier, je découvre une enveloppe provenant du Palais de Justice. Je l’ouvre stupéfaite et découvre qu’une dénommée Anna-Gaëlle de machin chose portait plainte… contre son journal pour extorsion de signature et abus de confiance.
Le téléphone sonna quelques moments après.
– Allô, tu vois, j’ai porté plainte !
– C’est malin ! Ça va être classé sans suite ton truc !
– Même pas ! C’est un faux !
– Tu mérites encore une fessée !
– Je sais, je peux passer la prendre vers quelle heure ?
Fin
© Chanette (Christine d’Esde) 2000 (révisé en 2012) reproduction interdite sans autorisation de l’auteur
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