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Une nuit à Saint Etienne par Mathilda Stenberg
Salut je suis Lydia, brune et frisée, 23 ans. Je travaille à Paris, mais parfois on m’envoie en mission en province, je passe, ça n’a ici aucun intérêt.
Toujours est-il qu’en descendant dans le sud, j’eu l’idée de faire une surprise à mes parents qui habitent depuis toujours à Saint-Etienne.
J’aurais mieux fait de téléphoner avant, les parents, certes ravis de me voir, m’informèrent qu’ils se préparaient à sortir, si j’ai bien compris ils se rendaient à un diner protocolaire avec des huiles. Pas moyen de décommander ? Non, non… Mais demain promis juré, ils s’occuperaient de moi et me chouchouteraient bien comme il faut. Le souci, c’est que le lendemain il fallait que je sois à Marseille.
Alors tant pis, je suis allé dans ma chambre, celle qui fut la mienne pendant 16 ans. Rien n’avait changé, ni la décoration, avec ce papier peint rose et bleu que je n’ai jamais supporté, la lampe de chevet ridicule avec ses petits chevaux sur l’abat-jour. Les bouquins de la Bibliothèque rose, sont toujours sur les étagères, les poupées aussi mais pas les peluches, elles devaient trop prendre la poussière. Ma mère m’a indiqué qu’il y avait dans l’armoire des draps et des couvertures. Même pas foutu de me prépare mon lit ! Je vous jure ! Alors j’ai fait le lit pendant que des tas de choses me ressurgissaient dans ma mémoire.
Je m’allongeai et le chien de la maison que je n’avais jamais vu vint me tenir compagnie au pied du lit. j’écoutais un peu de musique étendue sur mon lit, et je repensais à quelques souvenirs bien troublants, comme cette image de mon père complètement nu et le sexe en érection dans la salle de bain entrebâillée, qui reniflait en cachette mes petites culottes portées. Quel cochon, celui-ci, je l’aurais volontiers sucé mais on m’avait informé que ce sont des choses qui ne se font pas. Et pourquoi ça ne se fait pas ? Parce que ça ne se fait pas ! Ah bon !
N’empêche que ce souvenir m’émoustillait, et je m’imaginais sucer la bite du paternel. je commençais à me caresser les seins, pour faire durcir mes tétons, puis tout doucement, je descendis ma main vers ma chatte, qui commençait déjà à être toute lubrifiée, je passais sur mon clito, puis descendais pour introduire un, puis deux doigts, je me pistonnais tout doucement, puis remontais de nouveau vers mon clito…
C’est alors que le Toutou est monté sur mon lit et a commencé à me lécher avec sa grosse langue, que c’était bon, alors saisi d’une pulsion subite (je n’ai pas dit sans bite) je me suis décidée à caresser le pénis de ce chien, je n’avais encore jamais fais ça, je commençais à le tripoter et d’un coup il ‘est mis à durcir, j’ai vu le bout tout rouge qui sortait de son foureau, j’ai continué afin de bien le faire bander, il est allé donner quelques coups de langue sur sa verge, alors j’ai attrapé sa queue, pour qu’il ne se retourne plus, et j’ai saisi sa bite toute dure pour commencer à le branler, sous l’effet de l’excitation, je pensais à papa, que c’était sa bite, j’ai posé ma bouche sur la bite de Toutou, et j’ai commencé à le sucer, de temps en temps, du sperme dégoulinait, je le laissais ressortir de ma bouche tout en continuant ma bonne pipe, ça a duré un petit moment, j’étais super excitée,
Alors je me suis mis à quatre pattes, Toutou s’est mis sur moi, j’avais envie de le sentir aller et venir en moi, mais il n’y arrivait pas, j’ai dû guider sa bite pour qu’il me pénètre, et là ce fut le bonheur, Toutou donnait des coups de rein magnifiques, à une vitesse grand V, je mordais le coussin pour ne pas alerter tout le quartier, d’un coup j’ai senti son sperme qui giclait en moi, encore quelques va-et-vient et puis il s’est immobilisé, je sentais qu’il giclait encore en moi son bon sperme chaud qui régalait ma chatte gourmande, et ça continuait encore, mon dieu, qu’est ce ça gicle beaucoup un chien !
J’ai pris mon pied, même si j’aurai préféré que ça dure beaucoup plus longtemps… j’aurais bien aimé prendre tout ce sperme dans ma bouche, et en avaler un peu, pour voir si ça avait le même goût que celui des mecs !
Le lendemain matin ma mère a eu l’immense bonté de m’apporter mon petit déjeuner au lit.
– Ça sent bizarre ici ! Me dit-elle.
– C’est parce que tu n’aère pas assez.
– Ah, oui, ça doit être ça !
FIN
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