Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 08:44

 

Professeur Martinov 18 – L’héritage de tante Madeleine –21- Mâles en rut par Maud-Anne Amaro

Stamp sodo

 

– Alors mon petit professeur, ça va ? Demanda Béatrice en revenant.

– Oui, j’ai déjà dégrippé la longue vue du type de tout à l’heure, c’est vraiment une belle pièce, faut maintenant que je m’occupe de l’optique…

– Je viens de le revoir ce type. Tu sais qui c’est ?

– Danone, il m’a dit ! T’as vu la mémoire, un peu ?

– Tu parles ! Pourquoi pas Yoplait pendant qu’on y est ? Toujours est-il que ton Monsieur Yaourt, il m’a carrément agressé au Café des Sports.

 

Elle lui raconte…

 

– Et personne ne bougeait son cul, heureusement, il y a un dépanneur de chez Darty qui a eu pitié de moi. Mignon comme tout, mais un peu bourrin.

– Pourquoi « un peu bourrin » ?

– Fallait bien que je déstresse !

– Hum, je vois !

– Tu ne vas pas me dire que ça te choque ?

– Choqué, moi ? Non ce qui m’embête c’est que parfois tu te mets dans des situations dangereuses. Tu ne sais pas sur qui tu peux tomber.

– Oui, ben quand on stresse, on stresse ! Ce qui est dangereux c’est cette affaire de table tournante qu’on n’aurait jamais dû accepter… Où j’ai mis mon sac ? T’as pas vu mon sac ?

– Euh, tu l’avais en rentrant ?

– Evidemment, enfin je crois… C’est dingue ça, où je l’ai foutu ? Putain je l’ai oublié dans la bagnole et l’autre salaud il se l’est gardé ! Putain, il y a des jours on ferait mieux de rester couchée : Et tous mes papiers qui sont dedans qui va falloir que je refasse ! J’en ai marre, mais marre ! Et puis d’abord…

 

Sa longue tirade de désespoir fut subrepticement interrompue par le bruit de la sonnette d’entrée qui se mit à tintinnabuler d’un son joyeux qu’on pourrait trouver complètement déplacé en pareil moment.

 

– La bombe lacrymo, si c’est « Danone », gaze lui la tronche ! S’énerve Béatrice qui commence à paniquer.

– Je vais lui rendre sa longue vue et le virer, la rassure Martinov.

 

La bombe dans sa poche, la longue vue dans la main, il s’en va ouvrir.

 

– Bonjour Monsieur, une de vos employées a oublié son sac à main…

– Béatrice, c’est ton sac !

– Non, ce n’est pas ce nom là… Commence Loïc.

 

Mais Béatrice qui a reconnu sa voix accoure.

 

– Ah, Loïc, comme c’est gentil….

– Tu ne t’appelles pas Georgette, alors ?

– Si dès fois ! Mais entre boire un truc !

– Pas le temps, j’ai des clients à voir !

– Cinq minutes quoi !

– Alors juste cinq minutes !

– Un jus de fruits, une bière, un café ? Propose Martinov.

– Un petit jus de fruit, ça le fera très bien.

 

Le professeur se dirige vers la cuisine. Béatrice lui emboite le pas et lui chuchote dans l’oreille :

 

– S’il t’intéresse, t’as tes chances.

– Mais t’es complétement malade !

 

Mais le professeur en vieux coquin qu’il était n’avait pas complétement zappé la réflexion de sa jeune et jolie complice.

 

– Béatrice m’a soufflé que vous étiez très coquin ! Vous avez raison, il faut profiter de la vie !

– Parce que vous aussi vous êtes coquin ? Répond Loïc, un peu gêné et histoire de dire quelque chose.

– J’aime la bouffe, le sexe, la vie quoi !

– Hétéro ?

– Un peu bisexuel à mes heures ! Répond Martinov

– C’est pour ça que vous me regardez comme ça ?

– C’est, croyez le bien, en tout bien tout honneur.

– Vous êtes drôle, vous ! Remarquez de mon côté, je n’ai rien contre les hommes mûrs, bien au contraire.

 

Du coup, le professeur est un peu déstabilisé.

 

– Remarquez, si ça vous intéresse, on peut s’amuser vingt minutes.

– Ma foi, voilà qui est bien tentant.

– C’est tentant, mais ç’est pas gratuit.

– Ah ! Bon n’en parlons plus.

– Je ne prends pas cher, juste 50 euros, mais pour vous je prendrais juste 40 euros. Vingt minutes et on fait ce qui vous intéresse.

– Euh !

– Je vais vous montrer ma queue ! Elle devrait vous plaire.

 

L’instant d’après le professeur Martinov demandait à Béatrice d’aller lui chercher 40 euros dans son portefeuille.

 

– On fait ça dans ma chambre ! Demande Martinov.

– Si vous voulez !

– Béatrice tu veux regarder ?

– Non, je vais me faire un café et finir un truc, tu me raconteras.

 

Une fois en haut, les deux hommes se déshabillèrent. Martinov se demandait néanmoins par quel tour de magie il se retrouvait ici dans sa chambre avec un parfait inconnu avec qui il allait faire une passe à 40 euros.

 

« Je deviens barge ! Mais c’est de la faute de Béatrice, c’est elle qui m’a soufflé ce plan insensé ! Trop tard pour reculer désormais, et puis 40 euros, ça ne va pas me ruiner ! »

 

– Passif je suppose ? demande Loïc.

– Oui !

– Tu me fais une pipe et je te prends ?

– On va faire comme ça !

– Dos donc, tu as des sacrés gros tétons, toi !

– C’est à force de me les faire tirer, j’aime bien…

– Comme ça ?

 

Le Loîc s’est saisi des bouts de seins du professeur et s’amuse à les pincer, à les tirailler, à les tordre. Cela rempli d’aise notre coquin de professeur qui bande bientôt comme un âne en chaleur.

 

– T’aimes ça, hein, tu serais pas un peu maso ?

– Non !

– Même pas une petite fessée ?

– Une petite alors !

– On verra ça après, viens donc me sucer !

 

Martinov se baissa, tomba en arrêt devant cette belle bite couleur chocolat, et se dit qu’au lieu de la prendre en bouche et de s’abimer la mâchoire, autant la lécher. Il se régala alors du goût légèrement musqué de son gland et la douce texture de sa verge, avant de se décider à en placer l’extrémité dans sa bouche.

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– Humm tu suces bien !

 

« Tu parles, il doit dire ça à tout le monde ! »

 

– Je te prend comment, en levrette ou par devant ?

 

« Déjà ? Je l’aurais bien sucé encore un peu, moi ? »

 

– En levrette !

 

Et sans que le professeur s’y attende Loïc lui flanque une fessée sur le cul.

 

– Comme ça, tu aimes bien ?

– Oui mais pas plus fort !

– J’aime bien donner la fessée.

– Ah !

 

« On ne va pas le contrarier ! »

 

Loïc fessa alors le postérieur professoral en cadence, un coup à droite, un coup à gauche et on recommence. Martinov ne pouvait voir son cul rosir, mais il le sentait chauffer et demanda à l’homme de cesser la chose.

 

– T’as une capote, t’as du gel ?

 

Et après ces inévitables préparatifs Loïc (ou du moins sa bite) pénétra le professeur.

 

« Oh, la vache, c’est gros ! »

 

Le moins qu’on puisse dire c’est que le cul du professeur était bien rempli. Sportif et endurant, Loïc encula le professeur pendant près de dix minutes en bonne cadence, respectant ainsi son contrat oral. Quand un coup d’œil discret à son bracelet-montre lui fit savoir qu’il fallait maintenant terminer, il simula sa jouissance et se retira, planquant sa capote dans un kleenex !

 

– J’espère vous avoir satisfait ?

– Oui, c’était bien ! Vous êtes doux et sympa !

 

Martinov se demande comment lui faire comprendre qu’il n’avait pas joui, mais déjà le jeune homme est déjà en train de rhabiller.

 

– Faut que j’y aille, je me suis foutu trop en retard. Au plaisir et embrassez Georgette de ma part !

– Georgette ?

 

Le professeur revint vers Béatrice.

 

– Alors c’était bien !

– Oh, il m’a super bien enculé, mais je n’ai pas joui !

– Une panne ?

– Non, j’avais envie de jouir ! Mais monsieur était un peu pressé.

– Mon pauvre biquet ! Donne-moi ta bite, la petite Béatrice va t’arranger ça !

 

La jolie blonde débraguetta alors le professeur.

 

– Tu ne bandes plus !

– Ben non !

– T’as vraiment envie ?

– C’est psychologique, c’est frustrant de se faire baiser et de ne pas jouir !

– Ben alors, si c’est psychologique, baisse bien ton pantalon.

– T’as vu ce qu’il m’a fait ce con ! Bougonna-t-il en montrant ses fesses cramoisies.

– Ben v’la autre chose ! Attends, je vais t’arranger ça !

 

Béatrice s’en alla chercher une serviette imbibée d’eau fraiche et la lui appliqua sur les fesses.

 

– Voilà, tu tiens la serviette pour ne pas qu’elle bouge et pendant ce temps-là je te fais une pipe.

 

Martinov rebanda assez facilement et la pipe fut rapide. Béatrice garda la bite en bouche pendant qu’il jouissait et avala tout le sperme. Elle avait justement un petit creux !

 

– Voilà, il est content mon petit professeur ?

– Il est content !

– Je boirais bien un coup avec toutes ces émotions, t’as du whisky ?

– Je vais chercher !

 

Après qu’ils eurent trinqués on passa à des choses plus terre à terre :

 

– Il t’a rappelé, Petit Couture ?

– Oui, pendant que tu étais à la poste, je n’ai pas eu le temps de t’en parler, on est invité samedi soir pour diner.

– En quel honneur ?

– Ben, justement pour parler de cette histoire.

– Mais enfin, il n’y a rien à parler. On ne s’occupe plus de cette affaire et point barre !

– Ce n’est pas une raison pour refuser l’invitation, on peut toujours écouter ce qu’il veut nous dire.

– Par téléphone, c’était trop compliqué ? Il veut nous enfumer !

– Il nous enfumera pas, on va discuter entre gens raisonnables.

– Ben voyons !

– Tu n’as pas envie de revoir Florentine.

– Elle est toujours avec lui ?

– Faut croire que oui !

– Tu l’aimais bien Florentine ?

– Oui, mais maintenant, elle a dix ans de plus !

– Toi aussi, moi aussi ! Tout le monde !

– Ça se passe où ? A Paris ?

– Non chez eux à Amiens, on couchera là-bas !

– Ça sent le traquenard !

– Ecoute, arrête, ce sont des gens charmants, on risque de passer une soirée agréable et pour ce qui est de l’affaire en cours, Gérard n’est pas idiot, il comprendra nos raisons.

– Bon on va faire un effort.

– Et si l’abruti m’attend ce soir ?

– Je te raccompagnerais à la gare.

– Et demain ?

– Viens en voiture !

– Elle est au garage !

– Ecoute, demain prends ta journée…

– Mais on ne va pas continuer à vivre avec une situation pareille, faut qu’on fasse quelque chose !

– On verra ce que Petit-Couture a à nous dire, si ça nous convient pas on prendra des dispositions.

– O.K. On se donnera rendez-vous Gare du Nord samedi après-midi.

 

Chantilly

 

Herman rentré à Chantilly se désole auprès de Maria-Ines.

 

– Faut se rendre à l’évidence, on n’est pas fait pour ces boulots, on aurait dû engager un privé ! Je suppose qu’avec la trouille que je lui ai foutue, la fille ne viendra plus fourrer ses pattes chez la vieille.

– Si elle revient, on le saura ! A moins que Romuald nous cache des trucs, mais cet aspect des choses sera réglé rapidement.

– J’ai beau réfléchir, je ne vois pas le rapport entre cette nana et l’héritage, il doit y avoir autre chose ! On devrait laisser tomber cette piste.

– Cette nana et celle d’avant doivent être à la recherche d’un objet de valeur, si ça se trouve elle a un trésor caché chez elle et il est même possible qu’elle n’en sache rien. Un trésor ! Tu te rends compte, un trésor ! Si l’héritage nous passe sous le nez on aurait au moins ça !

– Mais comment faire ?

– Ta longue-vue, on ne va pas la laisser là-bas ?

– Ben non !

– Alors c’est moi qui irais la récupérer !

– Mais ce n’est pas possible, la Béatrice, elle va te reconnaître.

– Elle n’habite pas Louveciennes, d’accord ?

– Ben non !

– Alors j’agirais demain soir ou alors samedi !

 

Romuald

 

Romuald se demande depuis plusieurs jours si le fait de balancer tout ce qu’il sait à sa patronne lui rapportera quelque chose. Sa relation très particulière avec Maria-Ines ne l’amuse plus comme avant, ce n’est d’ailleurs pas la personnalité de Maria-Ines qui l’irrite mais celle d’Herman qui devient arrogant, méprisant, insupportable. Et puis maintenant, il y a Ninotchka, avec laquelle les relations sont certes intéressées, mais néanmoins moins compliquées.

 

Alors ce pauvre Romuald ne sait plus trop où il en est. Maria-Ines lui a donné rendez-vous ce soir à Chantilly, il ne voit pas comment il pourrait refuser de s’y rendre. En fait il a peur d’Herman ce « jeune con », comme il se plaît à l’appeler, de plus il craint qu’il ait des relations peu fréquentables.

 

Prenant son courage à deux mains, il décide de « tester » sa patronne.

 

– Madame Mornay-Sauvignac, je voudrais vous parler.

– Si c’est pour une augmentation, c’est non !

– Il ne s’agit pas de ça…

– Vous voulez quoi ? Des vacances ?

– Non je voulais simplement vous avertir…

– M’avertir de quoi ?

 

« Si elle ne me laisse pas parler, je ne vais jamais y arriver. »

 

– Il y a des gens qui manigancent autour de votre testament…

– Qu’est-ce que vous me racontez, on ne peut pas manigancer autour d’un testament, et d’abord qui vous dit que j’en ai fait un, de testament ? Et les gens que vous évoquez, c’est qui ça « des gens » ? Mêlez-vous de ce qui vous regarde ! Vous êtes à mon service pour vous occuper de ma comptabilité et de ma paperasse, uniquement pour ça ! Je vous ai déjà fait une observation en ce sens. Je vois que vous n’avez toujours pas compris !

– Mais…

– Y’a pas de « mais », la prochaine fois ce sera la porte ! Disparaissez !

 

« Il va me faire monter ma tension cet abruti : » Maugréa Madeleine.

 

« Quel con, j’ai été de croire que je pouvais jouer ce genre de carte ! » Ronchonne Romuald. J’aurais dû m’y prendre complétement autrement.

 

Mais l’esprit d’escalier agita la vieille tante qui dix minutes plus tard entrait en trombe dans le bureau de Romuald.

 

Le téléphone sonnait juste à ce moment-là, mais il choisit de ne pas répondre quand il vit dans quel état de fureur était la vieille douairière.

 

– Ces gens dont vous me parliez c’était qui, c’était quand ? Vous ne me l’avez pas dit ? Eructe-t-elle.

– Un coup de fil tout à l’heure, la personne ne s’est pas annoncée…

– Un homme ? Une femme ?

– Un homme !

– Et il a dit quoi ?

– Il m’a demandé si j’étais votre secrétaire, j’ai dit oui…

– Je m’en fiche, il voulait quoi ?

– Savoir si j’étais au courant pour votre testament.

– Au courant de quoi ?

– De savoir s’il y en avait un.

– Et vous avez répondu quoi ?

– Que j’en savais rien !

– C’est tout ?

– Oui !

– Et c’est pour ça que vous venez me déranger ? Vous ne vous arrangez pas, mon pauvre garçon !

 

Et elle quitta le bureau en continuant de ronchonner.

 

Après ce lamentable épisode, Romuald s’efforça de faire le point, il ne pouvait décemment avouer à Maria-Ines qu’il savait que la mystérieuse femme était en fait la première clerc du notaire de sa patronne. Il était trop tard, il perdrait la face !

 

Il se rappela alors que le téléphone avait sonné, la personne avait laissé un message.

 

« Romuald, c’est moi Amalia, j’espère que tu vas bien, il faut qu’on se voie de toute urgence, je serais au café les « deux pigeons » à 18 h 30. Tu me confirmes ? Bisous ».

 

Il confirma, il serait en retard chez Maria-Ines, mais il s’en foutait.

 

Amalia regretta d’avoir donné rendez-vous à Romuald dans ce lieu où l’on se souvenait d’elle.

 

– Ah, madame Amalia ! Il y avait longtemps ! Lui lança le patron.

– Ben oui, hein !

– Vous allez bien ?

– Très bien, merci, servez-moi un chocolat, s’il vous plait.

 

Romuald arriva cinq minutes après elle et fut sincèrement heureux de la revoir. Ils s’embrassèrent chaleureusement (mais chastement)

 

– J’ai juste une heure à te consacrer, après faudra que j’y aille. La prévient-il.

– Ça devrait le faire !

– T’étais malade ?

– Je vais t’expliquer tout ça, mais commande d’abord…

 

Une fois, Romuald servi, Amalia commença :

 

– En gros, j’ai été approché par un escroc qui s’est fait passer pour un inspecteur du travail. En fait il a magouillé pour qu’une complice à lui prenne ma place.

– Hein ! T’es sûre ?

 

En soi le renseignement était déjà considérable, du coup il commençait à envisager son rendez-vous avec Maria-Ines de façon beaucoup plus apaisante.

 

– Tu peux m’expliquer en détail ?

 

Elle le fit.

 

– Je suppose que la personne qui t’as demandé de te renseigner sur le testament de la vieille sera ravie d’apprendre ça !

– Euh, oui, bien sûr ! Répondit Romuald qui la sentait venir.

– A priori, le mec ne sait pas que j’ai découvert le pot aux roses, j’ai son numéro de téléphone on peut donc remonter jusqu’à lui.

– S’il n’est pas bidon ?

– Il ne l’est pas, j’ai vérifié.

– Alors ?

– Alors voilà !

 

Elle sortit de son sac deux feuilles qu’elle déplia et tendit à Romuald.

 

– C’est quoi ?

– Ça s’appelle une reconnaissance de dettes.

– Mais…

– Ton contact, il a du fric, non ? Mon tuyau, il n’est pas gratuit !

– Y’a pas de montant !

– Normal, c’est à toi de l’inscrire en toutes lettres.

– Et il faudrait que j’inscrive combien ?

– 20 000.

– T’es malade !

– Ton contact sera d’accord !

– Attends-moi une minute.

 

Romuald sortit de l’établissement, appela Maria-Ines et lui résuma brièvement ce qu’il avait appris et ce qu’il en couterait d’en savoir davantage… A l’évocation du montant demandée la jeune femme lève le ton.

 

– T’es devenu complétement malade !

– Mais…

– Et tu te crois assez malin jouer tout seul, ce renseignement je le veux gratuitement.

– Mais ce n’est pas possible…

– Tais-toi ! Tout est possible quand on en a la volonté ! Alors tu te démerdes !

– Mais…

– Et puis c’est quoi cette salade ? Tu ne nous avais pas dit que la vioque avait changé de bonne !

– Je ne pensais pas que ça pouvait avoir de l’importance.

– Je t’ai déjà dit qu’on ne te payait pas pour penser mais pour nous rapporter tout ce qui sortait de l’ordinaire.

– Je vous appelle pour vous donner un renseignement important et vous, vous m’engueulez…

– Tu nous aurais dit plus tôt pour le changement de bonne, on aurait gagné du temps. Pauvre con !

 

Excédé, Romuald raccrocha.

 

Il revint à sa place, mais à peine assis son téléphone sonna, c’était Maria-Ines, il décida de ne pas répondre.

 

– Alors ? Demanda Amalia.

– Alors je réfléchis !

– C’est toi qui réfléchis ou c’est ton contact ?

– Les deux !

– Comment ça les deux ?

 

Le téléphone de Romuald sonna de nouveau, cette fois Maria-Ines lui envoyait un message :

 

« Je t’ai parlé un peu durement, je m’en excuse, rappelle-moi vite, gentil esclave ! »

 

– Qu’elle aille se faire foutre ! Grommela-t-il.

– Qui ça ?

– Les rapports avec mon « contact » deviennent compliqués.

– C’est une femme ?

– Oui !

– Elle n’est pas d’accord ?

– Elle réfléchit.

 

Pour Amalia, la déception était énorme, elle avait passée des heures entières à finaliser ce plan, elle l’avait choisi simple, on pourrait presque dire simpliste, il n’avait qu’un défaut, basé sur l’effet de surprise, la proposition devait faire oublier dans sa précipitation que remonter à la source par l’intermédiaire de la nouvelle bonne serait compliqué et couteux mais serait loin de valoir 20 000 euros.

 

Le temps travaillait donc contre elle. Il lui fallait donc tenter d’embrouiller Romuald, ce ne serait pas bien difficile, mais cela servira-t-il à quelque chose ?

 

– Tu fais quoi ce soir ? Lui demanda-t-elle.

– Rien de prévu.

– Je croyais que…

– Oui, mais j’ai changé d’avis.

– Ça te dirait qu’on se donne un peu de bon temps.

– Ça me dirait ! Répondit Romuald.

 

L’idée le stimule, Romuald, soumis dans l’âme, adore qu’on le domine. Qu’on le domine certes, mais pas qu’on le méprise ou alors juste par jeu. Au début de ses étranges relations avec Maria-Ines il acceptait tout, ivre de concupiscence devant tant de beauté. Mais aujourd’hui que les ponts étaient rompus de fait, il se disait qu’il avait été trop loin et s’il n’arrivait pas à haïr complétement son ancienne dominatrice, toute sa hargne se dirigeait maintenant vers Herman.

 

« Herman cette sale face de rat ! »

 

Aucun des deux ne souhaitant emmener l’autre chez lui, c’est dans un hôtel qu’il se rendirent et comme de juste Romuald paya la chambre.

 

En chambre, ils se déshabillèrent d’emblée sans pelotages préalables, sans bisous, non à poil direct.

 

Evidemment Romuald ne perdait pas une miette de la nudité d’Amalia, un peu potelée mais sans exagération, des jolis seins un peu lourds terminés par de larges tétons bruns et arrogants.

 

– Ça te plaît ? Je suis encore consommable ?

– T’es très belle ! Répondit l’homme qui ne trouva rien de plus original à répondre.

 

Evidemment il ne pouvait s’empêcher de faire la comparaison avec Maria-Ines, mais les deux femmes ne jouaient pas dans la même catégorie !

 

– Tu me pinces les seins comme l’autre fois ! Proposa Romuald.

– Mais bien sûr, mon biquet ! Tu vas voir ce qu’elle fait, Amalia avec ses doigts de fée.

 

L’ancienne bonne portugaise sait magnifiquement se servir de ses jolis petits doigts et manipule comme il le faut les tétons de Romuald qui se pâme de plaisir sous les tortillements que lui inflige sa partenaire.

 

– C’est trop bon, continue !

– On continuera plus tard, tourne-toi j’ai envie de voir ton cul.

– Pourquoi ?

– Parce que j’aime bien regarder le cul des mecs ! J’ai bien le droit, non ?

 

Il se retourna donc.

 

– Humm, il est très beau ce cul ! Bien cambré ! Commenta-t-elle en lui pelotant les fesses. Dis donc tu ne serais pas un peu pédé sur les bords, toi ?

– Non, non !

– T’es sûr ? On va bien voir !

 

Et sans lui demander son avis, Amalia après avoir mouillé son index lui introduisit direct dans le fondement avant de le faire bouger.

 

– Mais…

– Mais quoi, tu n’aimes pas ?

– Si !

– C’est quand même pas la première fois ?

– Non, non !

– Je me disais aussi… Et des godes tu t’en es rentré dans le cul aussi ?

– Ça m’est arrivé…

– Je savais bien que t’étais pédé ! Et tu ne t’es jamais fait enculer ?

– Mais enfin, Amalia, qu’est-ce que ça peut te foutre ?

– Donc c’est oui, sinon tu m’aurais dit « non » !

– Bon, on arrête cette conversation ?

– Et pourquoi donc, tu n’as pas à avoir honte ! Tu sais mon ex, il était un peu à voile et à vapeur, il s’était trouvé un copain comme lui, il s’appelait Paolo. On l’invitait à la maison environ une fois par semaine, on buvait l’apéro et on se mettait à poil… Je continue à raconter ?

– Si tu veux ! Répondit Romuald soudain intéressé.

– On suçait tous les deux la bite de Paolo. Elle était très belle, elle t’aurait plu ! Et puis quand il était bien bandé, Paolo il enculait mon ex. Ça m’excitait de voir sa belle bite entrer et sortir dans son cul… Rien que d’y penser j’en ai la moule qui mouille.

– Et après vous faisiez quoi ?

– Après c’était plus classique, mon ex m’enculait et après on passait à table ! C’était sympa, non ?

 

Romuald troublé par ce récit bandait comme un sapeur.

 

– C’est dommage que je n’aie que mes doigts à te mettre dans le cul, j’ai toujours un gode à la maison, si on doit se revoir je l’apporterais et je t’enculerai avec. Bon alonge toi, je vais te sucer bien comme il faut.

 

Amalia était une bonne suceuse et elle aimait la bite. Aussi mit-elle tout son savoir- faire au service de la fellation qu’elle prodigua à Romuald. Cela dura un certain temps mais tout à une fin même les pipes, et Amalia avait maintenant hâte de passer a des choses qui la stimulerait davantage.

 

– Ça te dirait de m’enculer ? lui demanda-t-elle.

– On peut essayer.

 

« Quel enthousiasme ! »

 

Le simple fait de mettre la capote (Amalia avait pris la précaution d’en apporter) fit débander Romuald. Elle le suça un peu avec la capote pour lui redonner vigueur, mais les tentatives de l’homme pour lui pénétrer l’anus tournèrent au fiasco.

 

« Mais qui c’est qui m’a foutu un pareil peine-à-jouir ? »

 

– Je ne suis pas très en forme, je prends des médicaments… Balbutia-t-il.

 

Elle failli lui lancer une méchante vanne mais se souvint qu’elle était là avant tout pour mettre Romuald « dans sa poche », il lui fallait donc faire profil bas.

 

Mais profil bas n’empêche pas de prendre du plaisir…

 

– Et si tu me faisais une minette ?

 

Romuald y avait échappé la dernière fois, mais cette fois, il se dit que ça ne coutait rien d’essayer.

 

La touffe poilu et odorante de la portugaise lui plaisait bien c’était déjà ça, il écarta les poils pour s’y retrouver dans tout ce fouillis et commença à laper. Il se surpris à apprécier se mélange d’odeurs et de saveurs, de l’urine, de la transpiration mais aussi des choses plus subtiles… Pour un peu il rebandait.

 

– Plus haut ! Le guida Amalia, lèche mon clito.

 

Il fit comme demandé et la femme déjà excitée comme une puce ne tarda pas à prendre son plaisir peu discrètement.

 

Il n’en revient pas, Romuald, il a réussi à fait jouir une femme, c’est bien la première fois, son ego en est tout revigoré !

 

– Tu voudrais jouir comment ? Je te suce à fond ?

– Je voudrais bien me branler sur tes pieds !

– Ah oui, c’est vrai que tu les aimes bien mes petits pieds-pieds ! Vas-y mon biquet branle toi bien. Assis-toi au bord du lit !

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Amalia s’assit aussi, mais de façon à ce que ses pieds se posent sur les genoux de l’homme. Il les avait maintenant à quelques centimètres de ses yeux. Alors il se masturba et arrosa de son sperme les pieds de sa charmante partenaire.

 

– On fait comment pour notre affaire ? Demanda Amalia après qu’ils se soient reposés quelques courts instants.

– On va réfléchir !

– Mais le temps presse !

– Je sais !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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