Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:47

Chanette 31 – La clairière secrète – 1- Les envies de Marjorie
bisou1719

Bonjour tout le monde ! Ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures, (quel dommage !) ne savent peut-être pas qui je suis, j’exerce le métier de dominatrice professionnelle… Je suis comme on dit une MILF, taille moyenne, peau légèrement mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde. Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques (avec parfois de la domination, j’en conviens). Mon vrai prénom c’est Christine, Chanette c’est pour le business et les copines.

Prologue

Lyrta est devant une agence de l’ANPE .et en est à son cinquième échec.. elle ne peut se permettre de revenir vers son gourou sans avoir réussie, sinon elle va se recevoir une de ces trempes !

Elle pénètre dans le bistro proche, une nana dans les vingt-cinq ans, devant un café au comptoir, téléphone peu discrètement :

– Que dalle, on ne me propose que des stages de merde, si ça continue je vais tapiner sur Internet…
– Si vous êtes en galère, je peux vous proposer un travail très bien réénuméré… intervient Lyrta.
– Hein, quoi ? Qui êtes-vous ?
– Une simple mission. 50 000 euros…
– C’est quoi le gag ? Il y a une caméra cachée ?
– C’est pas un gag, c’est une transaction anonyme.
– Non merci, je n’aime pas les affaires louches.
– Rassurez-vous il n’est pas question ni de drogues, ni de terrorisme ou d’espionnage, c’est beaucoup plus innocent que ça.
– 50 000 euros pour un truc innocent ! Vous me prenez pour une andouille ?

Lyrta fit alors appel à ses talents de comédienne (car oui, mademoiselle avait taquiné les planches).

– Je vais juste vous donner un indice, il existe un marché des amateurs d’art , des types pleins aux as, prêt à dépenser des fortunes pour leur collection privée, vous me suivez ?
– Hum…
– Les transactions se doivent d’être intégralement sécurisées, pas de téléphone, pas de SMS, pas d’internet, juste des petits papelards et un messager non identifiable.
– Ah ? Et en admettant, je devrais faire quoi ?

Et voilà se dit Lyrta, le poisson mord déjà à l’hameçon.

– On vous paye quelques jours de vacances à la campagne, la réservation se fera au nom de Noémie Galibert, votre véritable identité n’apparaitra nulle part. Un jour on vous remettra un papier avec une adresse, il vous faudra vous y rendre d’urgence et livrer le papier, en échange vous recevrez 50 000 euros.
– C’est tout ?
– Oui !
– Je peux réfléchir ?
– Juste cinq minutes, on est un peu pressé
– Alors je crois que je vais accepter.
– Voici une enveloppe avec un acompte de 5 000 euros. Voici l’adresse du gîte où vous devrez vous rendre…
– C’est loin !
– Oui mais l’air y est vivifiant, vous devrez être présente dans la salle commune entre 9 heures et 11 heures, n’oubliez pas ! Le reste du temps vous pourrez profiter des joies de la campagne. Des questions ?
– Non, mais admettons que je vous fasse faux bond ?
– Nous sommes des professionnels, ne nous sous-estimez pas. Dernière chose : maintenant je disparais des radars, vous n’aurez la possibilité de joindre personne, vous allez être seule avec votre mission, mais elle est facile, votre café est payé, adieu !

Noémie Galibert (nous continuerons à l’appeler ainsi, sa véritable identité important peu) me ressemble un peu, blonde, peau mate, mais au moins dix années de moins.

Toujours est-il qu’elle fonce vers le gîte de Mombillac à bord de sa Yamaha. Et puis – elle ne saura jamais pourquoi – , elle se déporte sur le côté, chute avec sa moto, elle hurle, ne parvient pas à se relever, et pour cause, elle a une côte cassée. Elle est rapidement prise en charge et hospitalisée. Elle n’a aucun moyen de contacter qui que ce soit. La mission était juteuse, 50 000 euros, elle devra en faire son deuil… ou peut-être pas….

Et revenons à ma modeste personne.

J’avais cet été décidé de m’octroyer quelques douces vacances, loin du bruit de la capitale.

Lundi

C’est ma copine Anne-Gaëlle, galeriste de son état, qui avait dégoté l’adresse de ce gîte rural à Mombillac, petit patelin paumé à quelques kilomètres de Rodez. Nous devions partir ensemble mais au dernier moment mademoiselle avait eu un empêchement professionnel. Me voilà donc en vacances toute seule comme une grande dans cette contrée perdue du Massif central. Pas grave, la solitude ne me dérange guère

Je me baladais dans les bois sans véritable but, sinon celui de profiter de l’air pur de la montagne, quand je croisais une espèce de barbu aux longs cheveux blancs.

– Vous êtes qui, vous ? Me demande-t-il.
– En voilà une drôle de façon de questionner les gens ? Répondis-je à l’importun.
– Vous n’avez rien à faire ici !
– Pourquoi ? Je ne pense pas être dans une propriété privée, la montagne est à tout le monde.

Il m’énerve ce type !.

– Foutez le camp, on n’a pas besoin de vous. Vous salissez notre montagne.
– Bon écoute pépère, tu m’as l’air d’avoir un problème. Alors tu me laisses passer et tu me fous la paix.
– Salope !
– Gros con !

Et le voilà qu’il se met les bras en croix, il n’a manifestement aucune intention de me laisser passer dans ce chemin étroit.

Je la joue bravache et m’avance vers lui, il ne bouge pas d’un poil

– Bon, tu te pousses tout seul ou tu veux un coup de main, connard ?

Je le pousse, oh pas trop fort, mais n’empêche qu’il dégringole par terre en me couvrant d’injures auxquelles je m’abstiens de répondre.

Je tends la main au type, m’inquiétant de son état, il m’envoie promener, tant pis pour lui !

Je continue à tracer la route dans ce chemin qui devient de moins en moins praticable, et voilà que je tombe sur un panneau surréaliste :

« Zone fortement déconseillée, présence de vipères. »

Bon, ma témérité n’ira pas jusqu’à braver cet interdit et je rebrousse chemin. J’espère que je vais pouvoir me balader ailleurs sinon ça va être de drôles de vacances.

Je n’ai pas de nouveau croisé l’abruti de tout à l’heure. Tant mieux !

Je décide de me rendre au gîte rural afin d’épancher ma soif. Je m’assois dans la salle commune dans laquelle un mec est attablé. Il me salue, je lui réponds…

– On peut faire connaissance ? Me propose-t-il. Moi c’est Jacques.
– Christine ! Répondis-je. Je vous laisse, je suis un peu fatiguée.

Il est désappointé le bonhomme, mais je n’ai pas envie de me prendre la tête avec des conversations qui ne m’apportent rien.

Comment ça je suis une sauvage ?

– Si vous désirez quelque chose, il faut appuyer sur la sonnette. Me souffle Jacques.
– Ah bon ?

Je le dévisage, fin de trentaine, beau gosse pour qui apprécie les grands bruns ténébreux avec des sourcils partout… mais pas mon genre. D’ailleurs mes lecteurs savent que je suis assez peu branché sur les mecs.

Je m’enquière de l’emplacement de ladite sonnette et l’active.

La maîtresse des lieux ne tarde pas à débouler. Arrivée ce matin, et accueillie par sa fille Clotilde, je n’avais pas encore eu l’occasion de rencontrer celle-ci.

Marjorie est une jolie femme légèrement boulote, brune à la peau claire, très souriante et dotée d’une poitrine volumineuse.

Elle me demande ce que je désire en me dévorant des yeux. C’en est presque gênant.

– Alors, vous revenez de balade ?
– Oui, il fait chaud…
– Vous avez été à l’étang ?.
– Ah, il y a un étang ?
– Oui faut prendre le chemin à gauche.
– Ah, bon ! Moi j’ai été par-là, répondis-je, en montrant la direction du doigt.
– Ah ! Le bois de la Fouine. C’est pas très intéressant par-là,
– J’ai rencontré un drôle de type, plutôt agressif.
– Vous pourriez me le décrire ?

Je le fais

– Ah c’est, Simon le prophète, il vit dans une cabane là-bas, il est à moitié fou, il se figure que la forêt est à lui. Je vais vous chercher votre jus d’orange .

Marjorie sort de la salle, Jacques en profite pour m’interpeller .

– Hi, hi, vous avez vu comment elle vous regarde ?
– Pardon ?
– Méfiez-vous, elle est des deux bords.

Je ne réponds pas mais j’enregistre l’information. Après tout pourquoi pas ? Si elle veut me draguer je crois que je pourrais me laisser faire, mais ce ne sera pas moi qui fera le premier pas…

Je suis montée dans ma chambre, j’avais besoin d’une bonne douche. Puis je me suis allongée à poil sur le lit pour me concentrer sur la lecture d’un bon polar.

Et voilà que l’on frappe. Qui peut bien venir m’emmerder ? Je me couvre d’une serviette de bain et me dirige vers la porte.

– C’est quoi ? Demandais-je sans ouvrir.
– Marjorie, je ne vous dérange pas ?

Si, elle me dérange, mais je ne vais pas aller lui dire ! Je lui ouvre après m’avoir enfilé un peignoir.

– Je passe juste en vitesse, c’est pour voir si tout va bien.

Tu parles ? J’ai l’impression que l’opération « drague » est amorcée.

– Ça peut aller, lui répondis-je
– Euh la réservation était pour deux personnes…
– Je sais, je m’en suis expliquée avec la personne qui m’a reçu.
– C’est ma fille, Clotilde, mais elle ne m’a rien dit.
– Je devais venir avec une amie, mais elle a eu un empêchement de dernière minute, ça pose un problème ?
– Mais pas du tout, c’était juste pour savoir… vous verrez il y a de belles balades à faire ici, il y a l’étang, mais vous pouvez aussi aller à la ferme des violettes, ils font un de ces fromages, si vous êtes amateur vous allez vous régaler, sinon plus loin, il y a les rochers de Maroisan…
– Super, vous m’indiquerez comment aller voir tout ça.
– Justement je vous ai apporté un petit dépliant, ça explique tout.
– Merci !
– Vous savez je suis contente que vous soyez là, la présence d’une jolie femme, ça va égayer l’atmosphère…
– Je ne tiens pas trop à me faire remarquer, je suis d’une nature plutôt discrète.
– Oui je comprends, mais j’ai toujours eu un faible pour les jolies femmes. Je ne sais pas pourquoi, ça ne se commande pas ! Vous en pensez quoi, vous ?

Nous y voilà !

– Seriez-vous en train de me draguer ?
– Oh ! Qu’allez-vous penser de moi ?
– Vous me faites rire ! Mais vous m’avez posé une question ?
– Ah oui…
– Donc pour vous répondre, je ne suis pas, moi non plus insensible aux charmes féminins.
– Dommage que je ne sois pas votre genre.
– Qui vous a mis dans la tête une chose pareille, je trouve au contraire que vous avez beaucoup de charme.
– C’est gentil, une petite détente entre femmes, là tout de suite, ça vous dirait ?
– Vous êtes du genre direct, vous, mais pourquoi pas ?

Et la nana enlève son tee-shirt. La voilà devant moi avec son soutien-gorge à gros bonnets.

– Sont un peu gros, non ?
– Mais non !

Je suppose qu’elle doit débiter la même chose à toutes ses conquêtes.

– Et les tiens, tu me les montres ?

Facile, il me suffit d’ouvrir mon peignoir, ce que je fais .

– Oh qu’ils sont beaux ! Me flatte-t-elle.
– Je ne me plains pas !

Elle me fout carrément ses grosses paluches dessus, mais je me laisse faire, ses mains sont douces. Elle me tripote les tétons qui réagissent comme il se doit.

Je passe mes propres mains dans le dos de Marjorie et lui dégrafe son soutif libérant deux grosses mamelles aux aréoles toutes roses.

chanette3101Le tripotage mutuel de nénés dure quelques instants pendant que nos corps se rapprochent. On s’enlace, nos seins se touchent, on se pelote, nos bouches s’attirent. Et c’est parti pour un roulage de pelle bien baveux. Ses lèvres sont d’une incroyable douceur, tout n’est que douceur chez cette femme !

Fatalement, nous nous sommes retrouvées sur le plumard en train de nous prodiguer mille caresses passionnées.

Elle s’est très vite débrouillée pour me faire une bouche à chatte. Sa langue est diabolique. Madame est une experte et me lèche les chairs intimes avec une efficacité rare. Evidement je mouille comme une gouttière et elle s’en régale, la belle coquine.

Je sens mon plaisir monter de façon inexorable. Ça se voit et ça s’entend, elle me porte l’estocade en venant butiner mon berlingot. Je me laisse aller, je jouis comme une folle, je hurle, j’enlace Marjorie, l’embrasse à pleine bouche, je suis bien.

Elle veut à présent que je m’occupe d’elle. Juste retour des choses mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle se mette en levrette dans une pose obscène, cul en attente, trous dégoulinants.

C’est qu’il m’attire ce petit orifice brun et fripé que je me plais à lécher avec délectation, appréciant son petit goût particulier.

Après cette mise en bouche, je descends vers l’antre de son plaisir rencontrant un étrange gout à la fois mielleux et salé.

Je comptais prendre mon temps, mais il faut croire que mademoiselle n’en pouvait plus.

– Fais-moi jouir, fais-moi jouir…

Qu’à cela ne tienne, j’ai fait ce qu’il fallait pour ça…

Gros bisous, cigarette… et elle s’est mise à me parler de la ferme des Violettes et de leur bon fromage. Brave fille !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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