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Chanette 25 – Football – 9 – La petite culotte par Chanette
Krupz
Quand j’ai revu Jean-Marie Krupz, je lui ai proposé de lui faire une séance de domination.
– Non, ce n’est pas mon truc !
– Oui, mais moi c’est ma spécialité, il parait que je fais ça assez bien ! Je sais bien m’occuper des débutants.
– Non ! Est-ce qu’on peut faire comme l’autre fois, juste une dernière fois et après, je ne revendrais plus.
J’ai accepté, allez savoir pourquoi ?
Le gars s’est un peu enhardi, il s’est déshabillé de façon très décontractée et me regarde avec un sourire idiot.
– Je peux vous lécher les pieds ?
J’avais oublié que c’était un de ses trucs, donc allons-y mais j’ai envie de m’amuser :
– D’accord, mais il faut d’abord que tu me retires mes bottes.
Grand moment de rigolade, parce que le garçon n’a jamais retiré ses bottes à quiconque de sa vie et ne sait pas s’y prendre.
Je décide de mettre fin à son embarras.
– Laisse, je vais le faire moi-même, elles ne sont pas faciles à retirer.
Puis je lui tends mon pied droit, et c’est parti ! Cette fois il va droit au but, c’est directo le gros orteil dans la bouche, il s’en régale et me bave dessus comme un cochon. Et comme je commence à avoir des crampes, je le fais arrêter et lui tends le pied gauche.
Et puis, il s’arrête, me faisant comprendre implicitement qu’il aimerait passer à autre chose. Je sais bien ce que c’est son « autre chose », il veut voir mes nichons. Je me déshabille et les lui offre.
Attention pour la sangsue, je le laisse faire pendant une minute ou deux, quelque part, ça m’amuse et me demande comment on va pouvoir occuper la totalité du temps imparti.
La dernière fois je m’étais laissé caresser longuement, c’était loin d’être génial mais son tripotage de fesses n’était pas si désagréable ! Alors histoire de varier, je lui ai proposé qu’il me masse, je doute qu’il sache bien faire, mais ça occupera le temps.
– Je sais pas bien faire ! Me répond-il.
– Et si moi, je te massais ?
– Ah, oui ! Mais pas trop fort !
Je lui ai proposé ça comme ça, je ne pensais pas que ça l’intéresserait, c’est ce qui s’appelle se piéger toute seule.
Bon, je n’ai pas de table de massage, je pourrais aussi masser au sol, comme les asiatiques, mais il me faudra quelque chose qui fasse office de matelas. On va donc faire ça sur le canapé !
Ce n’est pas ma spécialité, mais je sais pratiquer le massage érotique. Avec les femmes et notamment avec Anna, ma complice de toujours, on le fait de temps en temps, mais avec les hommes c’est plus rare, mais j’ai eu l’occasion de le faire (voir Chanette 19 – Trafics, par exemple). Alors allons-y !
Le mec est sur le ventre et je commence par lui masser toutes les zones érotiquement neutres, comme le dos les épaules, les mollets, le bas des cuisses… je fais ça une dizaine de minutes. Puis je m’occupe des fesses que je malaxe, que j’écarte, mon doigt s’approchant de l’anus que je caresse. A ce stade je pourrais lui enfoncer un doigt dans le cul, ce sont des choses qui se font, mais je doute qu’il apprécie ce genre de choses, après tout il n’y a pas si longtemps, il était coincé comme une sardine dans sa boite.
Et puis, l’homme qui aime ça, va le faire savoir à la masseuse, soit directement pour les plus hardis, mas les autres vont se manifester par un « oui » à peine audible ou simplement par un soupir d’aise. Chez Krupz rien de tout cela !
Mais il me reste ma botte secrète : je passe la main sous les fesses, rode un peu de façon à atteindre la limite des testicules que j’effleure à peine. Puis je retire ma main quelques instants avant de revenir faire exactement la même chose. Souvent par reflexe, le massé soulève alors très légèrement son bassin afin que la main puisse passer plus facilement.
Pas lui, mais il me suffit de forcer le passage, cette fois, je touche mieux ses testicules et même la base la bite. Il est ravi. Je lui demande de se soulever un peu, et cette fois je peux prendre la bite à pleine main et la branler. Et ça bande !
– Retourne-toi ! Je vais te finir.
Il se met sur le dos, la bite bien bandée, il s’apprête à me dire quelque chose. A tous les coups il va me demander que je vienne sur lui pour une partie de « à dada » ! Ben non, même si ça paraît curieux à dire en de telles circonstances, je tiens à garder une certaine distance. Je lui délivre le plus beau de mes sourires, coince sa bite entre mes seins et lui refait le coup de la cravate de notaire. Quand je le sens venir, je mets mes mains en corolle autour de son sexe afin de ne pas en mettre partout. Et hop, le tour est joué, je lui passe une lingette et m’en vais me laver les mains.
Il m’a ensuite invité au restaurant, mes lecteurs savent que j’évite comme la peste ce genre de prestation qui ne m’apporte rien et qui a tendance à me prendre la tête. Mais là j’ai accepté, sans doute parce que ce n’est pas un client ordinaire, c’est le moins que l’on puisse dire, et aussi parce qu’avec lui je me suis dit qu’on pourrait avoir une conversation intéressante.
– Une pizza, ça vous dit ?
Bien sûr que ça me dit, je préfère les petits restaus sympas aux « grandes tables » et leur bataillon de larbins.
J’ai passé une petite robe bleue, les messieurs aiment bien sortir les dames en robe.
On rentre, il me fait passer devant, ignorant donc la règle d’usage, mais je m’en fous, et demande une table « discrète ». Mais pourquoi donc ?
On commande l’apéro, il a le visage grave, il s’apprête à me dire quelque chose, mais ça ne sort pas, pour le mettre à l’aise je me mets à parler.
– Je ne connais rien de toi, tu fais quoi dans la vie ?
– Prof de math.
– T’es marié, t’as des gosses ?
– J’avais une copine, on s’est séparé, mais ma vie n’a pas grand intérêt.
– T’es toujours dans ton groupuscule ?
– Oui, plus ou moins, je vais prendre du recul, mais j’attends un peu.
– Ah ?
– En fait j’attends de voir si on va définitivement vous foutre la paix. Il s’est passé des trucs à la « Patrouille des femmes » que je n’ai pas saisi, toujours est-il que Geneviève Caruso a démissionné.
Je réponds par un sourire de connivence.
– Je suppose que vous y êtes pour quelque chose ? S’autorise-t-il à demander
Il ne suppose rien du tout, il en est sûr, mais il aimerait avoir des détails. Mais d’une part les détails, je ne les ai pas encore, n’ayant pas encore rencontré de nouveau Ingrid, et puis même si je les avais, il serait inopportun de les lui fournir.
– Va savoir !
– Je ne sais pas qui va la remplacer, je ne sais pas ce que va faire Geneviève, tant que j’ai mes entrées auprès de ces gens-là, je reste, je voudrais être sûr qu’ils ne vous emmerderont plus.
Tant de sollicitude me touche !
– J’ai un aveu à vous faire !
Il est tout blanc, je m’attends au pire.
– Je ne me fais aucune illusion, mais il faut que je vous le dise.
– Que tu me dises quoi ?
– Ne vous méprenez pas, je ne suis pas idiot, je n’attends aucun retour.
– C’est pas très clair ce que tu me racontes !
– Je pensais que vous aviez compris !
Ben oui, j’ai compris, pas la peine de continuer à jouer à la conne, le mec est amoureux de moi ! Manquait plus que ça !
– J’ai parfaitement compris, ce sont des choses qui arrivent, mais ça va se passer, tu es assez intelligent pour l’admettre, peut-être qu’on ne se verra plus, dans ce cas ça te fera un souvenir.
– Ben oui !
– Je peux vous poser une question idiote, sans aucun rapport avec ce qui précède ?
– Pose toujours ?
– Si on vous proposait de changer de métier, vous diriez quoi ?
– Que j’en ai pas envie, je gagne bien ma vie, je rencontre des gens intéressants, je suis bien dans ma peau.
– J’étais sûr de votre réponse, mais maintenant j’ai un fantasme, je vous le paierais bien entendu, si vous acceptez de le réaliser.
– Un fantasme, mais pourquoi tu ne m’en as pas parlé tout à l’heure ?
– Parce que c’est un fantasme de restaurant !
– Ah ? Dis-moi !
Le mec rougit comme une écrevisse.
– Si vous pouviez me donner votre petite culotte ?
– N’importe laquelle ?
– Non, celle que vous portez en ce moment !
C’est donc pour ça qu’il voulait un endroit discret !
Bon, si ça lui fait plaisir…
– Quand j’irais aux toilettes, je te la rapporterai.
– C’est à dire… J’aurais préféré… Balbutie-t-il en rougissant.
Bon, j’ai compris, il commence à être chiant, pépère ! J’aurais porté un pantalon, il ne m’aurait pas emmerdé. Cela dit, ça ne va pas me tuer. Je regarde si je peux l’enlever en me contorsionnant. Personne ne regarde dans notre direction. C’est faisable, je réalise que j’aurais dû lui faire croire d’emblée que je ne portais pas de culotte, cela m’aurait évité ce genre de gesticulation débile.
Bon, ça y est je fais passer une jambe, puis l’autre, j’en fais une boule et je lui tends.
– Merci, merci beaucoup !
Je crois qu’il aurait gagné la super cagnotte du super grand loto, il ne serait pas aussi content !
Fin du cirque ? Pas tout à fait !
– Une dernière chose, vous pourriez me la dédicacer ? Me déclare-t-il en sortant un stylo feutre de la poche intérieure de son blouson.
– Ça ne va pas non ? Répondis-je sans réfléchir.
– Bon, bon, n’en parlons plus.
Merde j’ai dû le vexer, le mec est de nouveau rouge comme un coquelicot.
Comme quoi tout le monde à un petit jardin secret, il cachait bien son jeu pépère. Je me suis rebiffé par réflexe mais je peux me raviser, autant que ce mec garde un bon souvenir de moi !
– Je vous dois combien ?
– Passe-moi la culotte, je vais te la faire ta dédicace !
J’ai la culotte devant moi, je l’ai mise toute propre ce matin, l’ai quitté pour bosser, puis remise ensuite, elle est très peu « souillée » : Quelques traces d’urine devant, une minuscule
traînée brune derrière. C’est la première fois de ma vie que je vais écrire sur une culotte ! Il y a toujours des premières fois !
– J’écris quoi ?
– Je sais pas ? « Pour Jean-Marie », ce serait bien !
J’écris ça en tendant bien le tissu, puis je signe. Je n’ai que très rarement eu l’occasion de signer « Chanette », puisque ce n’est pas mon nom. Je me contente donc de l’écrire en l’entourant d’une jolie arabesque.
Maintenant s’il me demande autre chose, je risque de m’énerver !
– Je vous dois combien ? Répète-il
– Je ne sais pas ? C’est une prestation que je n’ai pas en catalogue ! Tu veux me donner combien ?
La question est volontairement embarrassante.
– 50 euros ! Murmure-t-il en rougissant. Mais je dis peut-être une bêtise ?
Ce mec n’arrête pas de rougir ! Ce doit être un émotif compulsif !
– Laisse tomber ! Donne-moi juste 20 balles pour le principe.
Voilà, ce n’est pas difficile de rendre un homme heureux ! Qui c’est la petite marchande de bonheur ? C’est Chanette ! Et quand je pense qu’il y en a qui critique les putes !
– Fallait me le dire que t’étais fétichiste, on aurait pu intégrer ça à nos petits jeux.
– Je suis un peu timide !
– Tu sais ce que tu vas faire ? L’argent que tu étais prêt à me donner pour la culotte, tu vas le mettre de côté, tu vas y ajouter quelques sous de temps en temps et quand tu auras assez pour venir me voir, on fera une super séance, un peu fétichiste. Je ne peux pas continuer à te faire demi-tarif, mais je te ferais un prix d’amis. Ça te dit ?
– Ben…
– Mais il faut que tu cesses d’être amoureux de moi, sinon tu vas être malheureux ! On fait comme ça ?
– Je vais essayer !
Rentré chez lui Jean-Marie Krupz s’empressa de sortir la petite culotte de son sac, il la porta à ses narines afin de la humer. Elle ne devait pas sentir grand-chose, mais en certains cas le cerveau fait des miracles et amplifie les rares fragrances pour le grand bonheur du sniffeur.
Il se met à poil, complètement. Puis il tente d’enfiler la culotte. Mission impossible, trop petite pour lui, elle s’avère incapable de passer l’obstacle de son trop gros cul !
« Merde, je n’avais pas pensé à ça ! »
Du coup, il passe à la seconde phase de son scénario, phase toute simple puisqu’il a prévu de se masturber dans la culotte.
Il parvient à jouir rapidement en appelant de leur concours ses fantasmes secrets et bientôt la culotte se retrouve imbibée de son jus.
« Merde, c’est allé trop vite ! Je fais quoi maintenant ? »
Il pensa d’abord mettre la culotte en machine à laver, mais y renonça de peur que la dédicace ne s’efface et décida de la laisser sécher en l’état.
« Je mettrais du détachant sur la tache de sperme quand ça sera sec ! Mais il n’y aura plus l’odeur de Chanette ! J’ai tout foiré, je suis trop con dès fois ! Et je n’oserais jamais lui en demander une autre. Allez, dodo ! »
La nuit, dit-on, porte conseils, mais parfois ces conseils sont curieux.
Puisque son projet d’essayer ma culotte avait échoué, sitôt sa journée de travail terminé, il prit le métro pour rejoindre à l’autre bout de Paris, un Monoprix où il n’avait jamais mis les pieds. Il choisit une culotte de femme dans sa taille, une grande culotte, puis rechercha une caisse automatique. Evidemment ce magasin n’en possédait pas. Ne se décidant pas à affronter le regard de la caissière avec ce seul article, il acheta du chocolat, des gâteaux apéritifs, des sardines à l’huile et du dentifrice.
– Vous avez la carte de fidélité ? Lui demande la pimpante hôtesse de caisse.
– Non, non, j’en n’ai pas besoin ! Répondit Krupz en rougissant une fois encore.
– C’est moi qui vous fais rougir comme ça ! S’amusa la belle caissière en réajustant son décolleté !
– Je ne rougis pas ! Balbutia-t-il
– 35 euros, vous payez comment ?
Incapable de sortir un nouveau son, il sortit deux billets de 20 euros, pris sa monnaie et disparu du magasin, la honte aux joues.
Ayant besoin d’un remontant, il s’installa dans un bistrot proche et commanda un cognac. Une fois servi, il plaça discrètement la culotte dans sa poche, puis se dirigea vers les toilettes, où il l’enfila. Le contact du tissu lui procura une sensation de volupté qui le fit bander.
Rentré chez lui, il se déshabilla complètement à l’exception de sa nouvelle culotte, il s’admira devant le miroir de sa fausse armoire normande.
« Ça me fait un de ces jolis petits culs quand même ! La prochaine fois que j’irais voir Chanette, je la porterais… Si j’ose… »
Mais déjà, il se ment à lui-même, il sait pertinemment qu’il n’osera jamais.
Sans enlever la culotte, il dégagea son sexe par le côté et commença à se masturber. Tout en le faisant il lui vint des idées bizarres :
« Comment je serais en travelo ? Il me faudrait une perruque pour me rendre compte ! Mais où acheter une perruque ? »
Il lui semblait qu’il y avait vers Pigalle des magasins vendant ce genre de produits, sinon il y avait Internet !
Après qu’il eut conduit sa masturbation à son terme, il se déroula pendant un bon moment, une petite heure environ, pendant laquelle il se demanda ce qu’il était en train de devenir.
« Le naturel reprend le dessus, je n’ai plus la politique pour m’occuper et je deviens un gros pervers ! »
Bref, le gars développait le stress post éjaculatoire en mode « honte ». Ce n’est qu’au bout d’un moment qu’un petit démon facétieux lui souffla quelque propos que je lui avais tenus :
« En matière de sexe du moment que ça se passe entre adultes consentants et responsables, la morale n’a pas à s’en mêler ! »
Il passa une soirée calme de célibataire, dîner vite fait, série nulle à la télé, puis dodo.
A suivre
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