Partager l'article ! Chanette 25 – Football – 11: Chanette 25 – Football – 11 – Partouze au donjon par Chanette Décid ...
Chanette 25 – Football – 11 – Partouze au donjon par Chanette
Décidément, les gens sont imprévisibles ! Qu’est-ce qui lui a pris à Krupz d’aller mettre ma culotte en vente ? Je vais attendre qu’il se manifeste et à ce moment-là, je l’enverrai promener vertement, je n’aime pas qu’on se foute de ma gueule !
Bon, je décide quoi pour Golfen ? La somme offerte est coquette, mais il n’y a pas que le fric dans la vie. En fait tout dépend du risque que je ne parviens pas bien à évaluer.
J’ai téléphoné à Ingrid pour lui demander conseils.
– En fait, Golfen, je ne le connais pas, la seule fois où je l’ai vu c’est quand il a failli… Bref t’as compris. Bon maintenant, si tu as besoin d’un garde du corps, je suis ceinture noire de karaté. S’il déconne je t’en débarrasse en trente secondes.
– Et s’il a une arme ?
– On le fait se déshabiller devant nous, complètement, chaussettes comprises et on éloigne ses vêtements.
– Je prends le risque, alors !
– A mon avis, avec moi tu es bordée, mais tu peux toujours prendre un deuxième garde du corps.
J’ai fait un rêve idiot ! J’étais dans la chambre d’hôtel, Golfen me violait et Ingrid au lieu de me défendre me maintenait les mains plaquées au sol pour m’empêcher de bouger, elle me narguait en me disant d’une voix caverneuse : « J’ai tout manigancé, t’es vraiment une conne, tu tombes dans tous les pièges ! »
Je me réveillais en sueur, me demandant si après tout cette hypothèse était possible.
Bien sûr que non, certes les machinations ça existe et il y en a de fort complexes, mais pas au point d’y inclure la démission de la patronne d’un groupe de féministes cinglées. Et puis la part de l’aléatoire est trop énorme : rien ne m’obligeait à accepter la proposition de Borelli, rien ne m’obligeait à choisir Ingrid comme unique garde du corps, Et puis il y a Krupz et son petit négoce de culottes, il ferait aussi partie d’une machination ? C’est trop con, les rêves !
Le jour convenu, je téléphone à Borelli à 10 heures et lui indique le nom de l’hôtel. Ingrid me rejoint rapidement, elle est en tenue de motard, tout de noir vêtue, ses cheveux blonds étant ramassés en un chignon sévère. A 11 heures tapantes, le type me rappelle m’informant qu’il est dans le hall avec Golfen.
– O.K. Chambre 206, il monte seul, bien entendu ?
– Pas de soucis !
Ingrid sort dans le couloir afin de vérifier que l’individu est effectivement seul.
Golfen entre dans notre chambre, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a l’air bizarre, il murmure un vague bonjour…
– Euh, madame ? Demande-t-il en désignant Ingrid
– Ma garde du corps.
L’explication semble lui convenir. Il sort un papelard de sa poche qu’il se met à me lire maladroitement avec des trémolos dans la voix…
Je ne transcrirais pas ce qu’il m’a lu, j’en suis incapable, en gros, usant d’un charabia de dernier de la classe en français, il s’excuse de sa conduite, s’en veut de m’avoir « fait du mal » et me demande de lui pardonner.
Je lui ai alors simplement répondu que je lui pardonnais, mais qu’après cette séance nous ne nous reverrions plus.
– L’important c’est que vous m’ayez pardonné ! Répond-il en déposant une enveloppe sur la commode.
– On se déshabille ! Proposais-je ?
Il se laissa tranquillement poser une capote
– Tu veux que je te suce un peu avant ?
– Non, on va faire l’amour !
– D’accord, je me mets comment ?
– Allongée !
Le mec m’a un peu embrassé mes nénés, puis m’a pénétré et s’est mis à me limer en cadence dans la position du missionnaire.
Le type est endurant, Dame c’est que c’est un sportif et de haut niveau en plus. Cela dit ça va faire 20 minutes qu’il me baise, heureusement que j’ai pris la précaution de m’enduire la chattoune de gel, parce que je ne mouille pas du tout, même pas une petite goutte.
Je me demandais si ça allait encore durer longtemps, quand je me rendis compte qu’en fait il était en train de ne pas y arriver. Voilà une situation qui risquait d’avoir des conséquences catastrophiques. Alors je simule, mais apparemment, ça ne suffit pas.
Ingrid est à un mètre de moi, j’essaie de lui faire comprendra la situation en mimant les mots de mes lèvres.
Elle a compris ! Et s’approche du bonhomme :
– Continue à baiser ma copine, ferme les yeux, pense à tes fantasmes, penses-y très fort mais surtout laisse les dans ton cerveau.
Il le fait, il accélère son rythme, et voilà que je me mets à mouiller, réaction purement mécanique puisque liée à aucun plaisir physique, au bout de quelques instants il jouissait comme un malade.
Il se retire d’en moi, il enlève sa capote et va se rincer au lavabo de la salle de bain.
Pendant ce temps je vérifie le contenu de l’enveloppe, le compte y est et les billets sont bons
Il revient, me regarde à peine en se rhabillant.
– Merci, merci pour tout !
Et il disparaît sans dire aurevoir.
Ingrid le suit discrètement, le voit dans le hall rejoindre Barelli qu’elle ne connait pas, puis les deux hommes quittent l’hôtel et s’engouffrent dans une voiture.
– Tout va bien ! Me confirme Ingrid en revenant.
– Ouf ! Je vais te donner la moitié du « cadeau »
– T’es folle j’ai pas fait ça pour du fric !
– Moi, si ! M’amusais-je. Je crois quand même que tu n’es pas venue pour rien !
– OK, alors donne-moi juste 100 balles pour le service.
– T’es sûre que….
– Mais oui, et le papelard qu’il t’a laissé, t’en fais quoi ?
– Poubelle ! J’aime bien les souvenirs, mais celui-là je préfère m’en passer.
– Tu fais quoi, maintenant ? Me demande-t-elle en minaudant.
Je la vois venir ! Après tout après cette passe stressante, ça ne pourra que me faire du bien.
– Maintenant, on s’envoie en l’air ! Viens me caresser, j’ai besoin de tendresse.
Ingrid se déshabille à la vitesse grand V et vient m’enlacer. On s’embrasse, on se pelote et elle ne tarde pas à me lécher mes nichons.
– Attends, lui dis-je après m’être un peu dégagée, il faut que je fasse pipi.
– Tu vas me pisser dans la bouche ?
– Si tu veux !
Ça lui fait plaisir, on aime ça tous les deux, alors pourquoi se gêner ?
On s’en va dans la salle de bain, Ingrid, s’installe, les fesses par terre, le visage penché en arrière et la bouche ouverte, attendant mon offrande.
J’ouvre les vannes ! Eh, c’est que j’avais une grosse envie, Ingrid en avale de bonnes rasades mais elle s’en fout plein partout à côté, même sur les cheveux. Pas bien grave, il y a du shampoing et un sèche-cheveux ici.
Ses seins sont tout mouillés aussi, mais de ceux-ci je m’en occupe, je lèche, je tète et me régale de ma propre urine sur la peau d’Ingrid. Parfois comme ça, j’ai envie d’être cochonne, cochonne ou coquine, je ne sais pas trop, mais ça ne doit pas être incompatible !
Et puis évidement on s’est embrassé, un baiser tiède et salé comme vous pouvez le deviner.
– T’as envie, toi ? Lui demandais-je
– Justement j’y pensais. On fait comment ?
Je me couche sur le tapis de bain et lui demande de venir s’accroupir au-dessus de moi, la chatte collée à ma bouche. En principe de cette façon on n’en met pas partout à condition que la donneuse parvienne à contrôler son débit. Or Ingrid ne contrôle rien du tout et pisse comme un robinet ! Pas bien grave, on rigole !
On s’essuie, Ingrid qui a les cheveux mouillés se met une serviette en turban sur la tête. Ça me fait rire ! Ça va être la première fois de ma vie que je vais faire l’amour avec une nana enturbannée ! Il y a toujours une première fois !
Je la regarde, elle est vraiment belle, il n’en faudrait pas beaucoup pour que je m’en amourache, mais je sais rester raisonnable !
Elle me regarde aussi, on se rapproche, alors forcément on s’embrasse, profondément et goulument et forcement on se pelote les fesses.
Et comme on est juste à côté du plumard, Ingrid me fait perdre l’équilibre, je ne la lâche pas, et c’est encore enlacées qu’on y dégringole à l’unisson.
Moi je suis sur le dos, elle est sur moi, elle se dégage très légèrement c’est pour venir me lécher mes nichons, elle fait véritablement une fixette sur mes nénés, ils ne sont pas mal, je ne m’en plains pas, mais ils ne sont pas exceptionnels non plus. Non pour elle ce n’est même plus une passion, c’est une obsession.
Je la laisse faire d’autant que c’est loin d’être désagréable et que je commence à mouiller sévère. J’ai envie qu’elle me tripote la chatte, si elle ne le comprend pas, je vais devoir lui dire.
– Tu me fais mouiller !
Voilà, je lui ai dit !
– Sans blague, voyons, voir !
La voilà qui descend et qui commence à me lécher l’abricot avec voracité. Puis tout d’un coup :
– Tourne-toi ?
J’ignore ce qu’elle veut faire, mais qu’importe, j’adore les surprises surtout au plumard, et me met en levrette puisque je suppose que c’est cette position qu’elle souhaitait me voir prendre.
– J’aime ton gros cul !
– Dis, donc ! Je n’ai pas un gros cul !
– Il est plus gros que le mien !
– Ah, bon ?
Et la voilà qui m’embrasse les fesses, je sens que dans quinze seconde, elle va me foutre sa langue dans le trou de balle. Ben non, elle prend son temps et me gratifie d’un tas de petits bisous sur mes fesses, c’est ma foi bien agréable.
Et ce qui devait arriver arriva, son petit bout de langue vient me titiller le petit trou, j’en suis toute chose, d’autant qu’avec sa main elle se livre à une sorte de frotti-frotta sur ma chatte.
A ce rythme je ne vais pas tenir longtemps, d’autant que madame en remet une couche en m’enfonçant carrément son index dans le cul et en le faisant bouger comme un piston.
Je mouille, je gémis, je gesticule, je respire bizarre, elle continue de plus belle ! Je jouis dans un râle la tête dans le couvre lit.
Putain le plumard ! On aurait dû défaire le couvre lit, ou au moins mettre une serviette. Bof ! pour le prix qu’on paie, ils peuvent faire nettoyer !
Le temps que je reprenne mes esprits je m’aperçois qu’Ingrid est maintenant à mes côtés, elle me fait un signe avec ses deux mains qui doit signifier dans ce genre de langage : « Viens un peu par ici, toi ! ».
J’y vais, je l’embrasse ! Autre signe avec l’index cette fois qui m’indique la direction de sa chatte. Elle me prend pour une débile ! Bien sûr que je vais lui lécher la chatte, mais ça n’empêche pas les bisous, non mais dès fois…
Elle aussi elle mouille comme une soupe. mais je m’en fous, les chattes on les préfère mouillées, et puis comme me disais je ne sais plus qui « Une chatte sèche, c’est difficile à prononcer ! »
Elle a joui assez vite, on s’est de nouveau embrassées et câlinées, on a fumé une clope, on a fait venir le service d’étage avec des Pina Colada, et on s’est fait une petite sieste l’une contre l’autre comme dans le dortoir des grandes.
Et voilà ! Est-ce que cette affaire est maintenant terminée ?
Oui ! Enfin presque parce que je devais encore apprendre certains détails :
8 jours plus tard
Il est presque midi et je reçois un coup de fil de Barelli qui voudrait bien me voir, si possible aujourd’hui parce que m’informe-t-il, demain il repart en Italie.
– Si c’est pour une séance, vous êtes le bienvenu. Si c’est pour me proposer autre chose, ce n’est même pas la peine d’essayer.
– Juste une séance !
– 14 heures ?
– Non, j’ai un rendez-vous, je ne serais libre qu’en fin d’après-midi
– En fin d’après-midi, j’ai deux messieurs ensemble, ils ne sont pas contre les mélanges, mais je suppose que ce n’est pas votre cas ?
– Si, si au contraire, ça peut m’intéresser.
Ah, bon ? Etonnant comme attitude ! Mais en y réfléchissant bien, je pense comprendre, la première fois, il était probablement obnubilé par ce qu’il devait me demander après, son esprit préoccupé devait donc l’empêcher de se lâcher complètement y compris quand il me décrivait ses fantasmes. Aujourd’hui c’est différent, c’est détente intégrale et pas d’arrière-pensées, du moins je l’espère
A l’heure dite, Marcel alias Nœud-pap, mon fidèle habitué, toujours très ponctuel arrive en premier. C’est un petit bonhomme, la cinquantaine, correct et bien propre sur lui, depuis quelques temps, nous avons développé ensemble une complicité qui dépasse un peu le stade de la relation client/pute (voir les chapitres précédents). Il a l’habitude de la maison et se déshabille sans attendre ses camarades de jeu.
Patrice arrive tout de suite après, c’est un client qui vient depuis environ un an, un black friqué, qui m’a confié être attaché d’ambassade, je l’ai fait deux fois avec Nœud-pap et ça s’est bien passé. Poigné de main de politesse entre les deux hommes et je fais signe à Patrice de se dévêtir à son tour.
On attend cinq minutes, pas plus, pas de Barelli, tant pis, j’emmène mes deux esclaves dans le donjon quand mon téléphone portable me rappelle qu’il sait très bien sonner.
Serait-ce Barelli ? Tout à fait, le monsieur est pris dans les embouteillages et ne sera là que dans quelques minutes, il me dit de commencer sans lui. Correct le gars !
– J’attends un troisième petit cochon, il arrivera dans cinq ou dix minutes, annonçais-je à ces messieurs.
Comme souvent je réserve les relations entre mes clients pour la seconde partie de la séance et commence donc de façon presque classique.
C’est Patrice qui a l’honneur et l’avantage d’être ma première victime consentante. Après avoir retiré mon kimono sous lequel je suis en bustier décolleté et le cul à l’air, je m’approche de lui et lui pince les seins assez fort de façon à ce qu’il me fasse une jolie grimace !
– T’aimes ça, hein pédé ?
– Oui maîtresse !
Parfois à ce stade, je crache sur mes soumis, je ne le fais pas aujourd’hui, j’ai un petit rhume ! Je continue de lui serrer ses tétés, ça le fait grimacer, mais ça le fait aussi bander, et c’en est même impressionnant.
J’interpelle Nœud-pap :
– T’as vu un peu cette bite ! C’est pas de la rigolade, tu vas te régaler tout à l’heure.
Il me fait un petit signe approbateur.
– T’es vraiment qu’un suceur de bites !
Ça n’a vraiment pas l’air de le traumatiser !
J’accroche des pinces sur les bouts de seins de Patrice qui supporte la chose crânement. Il crane un peu moins quand j’ajoute des poids, et il ne crane plus du tout quand j’accroche d’autres pinces sur ses testicules.
Je prends ma cravache et fait bouger un peu tout ça, il supporte, du coup de m’occupe un peu de Nœud-pap lequel commence à connaitre tout mon catalogue de petites misères par cœur, mais ça fait rien les pinces aux seins, lui aussi ça le fait toujours bander.
Je m’aperçois que Patrice a vraiment mal aux couilles, bonne fille je le lui retire les pinces qui y sont attachées, je ne suis pas là pour démolir mes soumis.
On passe à la promenade des petits chiens : mes deux soumis à quatre pattes doivent se balader de long en large dans mon donjon et même que s’ils n’avancent pas assez vite, je leur fouette le cul, et pas forcément gentiment.
Et sur ces entrefaites, le dénommé Borelli se ramène. Je lui demande de se déshabiller en vitesse après m’avoir fait le petit cadeau d’usage et de nous rejoindre.
Il parait surpris de voir mes deux autres soumis à quatre pattes, le cul à l’air, il me regarde en se demandant ce qui va lui arriver. Je sais puisqu’il me l’a dit qu’il n’aime pas ce qui est convenu d’appeler les « petites misères ». Non il est là pour sucer de la bite et se faire enculer.
Ben oui le petit monde de la domination est loin d’être univoque, et heureusement d’ailleurs, sinon je ne vous dis pas la monotonie. Il y a ceux qui prennent plaisir à souffrir mais qui ne supporte pas l’humiliation, il y a ceux qui aiment l’humiliation mais qui sont douillets comme des jeunes filles, il y en a qui veulent tout, ce sont les polymorphes, et puis il y a les transgressifs assistés, ceux-là peuvent surprendre, parce que jamais au grand jamais ils n’oseraient se faire pisser dessus ou aller sucer une bite alors que c’est dans leurs fantasmes. Et c’est là qu’intervient la dominatrice, et ça change tout, parce que si c’est elle qui ordonne de faire ce genre de choses… et bien ils vont le faire… et sans discuter… C’est bien dans cette catégorie que se situe Barelli. Du moins c’est ce que je croyais…
Il aurait été à l’heure, je l’aurais collé dans un coin avec un gode dans le cul pendant que je faisais souffrir ses collègues. Mais là ce n’est pas la peine, on va entrer de suite dans le vif du sujet..
Je demande à Nœud-pap et à Patrice de se relever, ce qu’ils font, exhibant des bites bien dressées. Celle de Patrice est impressionante
– Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? Elles sont comment ces bites ? Le narguais-je.
– Elles sont belles.
– T’aimerais bien les sucer ?
– Oui, oui !
– Eux aussi, ce sont des suceurs de bites !
– Hé !
– Alors pour l’instant tu vas les regarder ! Tu t’assois là, et je t’interdis de te branler.
Il s’installe comme demandé et se tripote le sexe, ce doit être un réflexe.
– Qu’est-ce que je viens de te dire ? Mets-toi les mains sur ta tête et ne bouge plus ! Chenapan !
Il est rigolo, on dirait un petit garçon pris en faute.
– Bon, honneur aux anciens, Nœud-pap tu vas sucer la grosse bite de Patrice. Non, venez un peu plus près que notre petit nouveau puisse s’en foutre plein la vue !
Nœud-pap est devenu un bon suceur, tous ceux qui ont bénéficié de sa bouche gourmande en ont été d’accord. Et Patrice à l’air d’apprécier.
Un autre souci avec ces séances bisexuelles, c’est que pratiquement tous ces messieurs sont passifs. Il faut donc faire jouer la réciprocité, celui qui veut sucer devra aussi se faire sucer, jusque-là ce n’est pas trop difficile à gérer, mais celui qui veut de faire sodomiser devra aussi sodomiser l’autre, c’est moins évident, mais en principe ça se gère aussi !
– Bon, on inverse les rôles ! A Patrice de te sucer ! Vas-y suce sa bonne bite.
Je les laisse opérer pendant plusieurs minutes avant des faire stopper.
Pas facile de gérer trois personnes, une fois j’ai voulu leur faire faire le petit train, l’enculeur du milieu se faisant lui-même sodomiser. Ça n’a jamais fonctionné, deux d’entre eux ont pris ça à la rigolade, pas le troisième que je n’ai jamais revu.
Pour l’instant, dilemme : lequel va enculer l’autre ? Je pourrais tirer à pile ou face, mais uniquement par caprice, je décide que ce sera Patrice qui va sauter Nœud-pap. J’aime bien le regarder se faire prendre, il aime ça et n’en éprouve aucune honte, il est bien dans sa peau, il assume.
J’interpelle Borelli :
– Alors, ça te plait ? Deux mecs qui s’enculent, on ne voit pas ça tous les jours. Regarde-moi-ça cette bonne bite comme elle lui rentre bien dans le cul !
– C’est très troublant ! Concède-t-il en me montrant sa bite comme témoin de son excitation..
– Tu voudrais bien être à la place de Nœud-pap, c’est ça !
– Eh, c’est que je suis venu pour ça ! Mais pour moi, ça va peut-être être un peu gros, non ?
– Ne t’inquiètes pas, je gère ! Et tu ne perds rien pour attendre, tu vas te le faire défoncer ton petit cul ! Mais en attendant, lève-toi, et mets-toi devant Nœud-pap, il va te sucer pendant que l’autre l’encule.
Pas forcément évident de sucer quelqu’un quand on vous encule ! Du moins de le faire correctement ! Croyez en mon expérience ! Mais si celui qui est derrière n’est pas un sauvage, ça peut très bien se passer.
Et effectivement, pour l’instant ça se passe bien, et je sais pourquoi : si Patrice veut passer à la casserole, il est préférable qu’il ne jouisse pas, donc il se ménage.
Le trio est joli, et ce qui est super, c’est que je n’ai rien à faire, juste à diriger et à surveiller.
– Bon changement de camp, Thierry (c’est le prénom de Barelli) tu vas enculer Patrice, et Nœud-pap va lui sucer la bite. Allez en piste.
Comme tout à l’heure le trio fonctionne bien, Barelli ne force pas ses coups de boutoirs mais remplit d’aise de Patrice qui miaule de plaisir tout en suçant la queue de Nœud-pap !
Tout le monde suit ?
Il ne reste plus qu’une figure afin que tout le monde reparte avec ce qu’il est venu chercher ! Cette fois c’est donc Barelli qui se fait mettre par Nœud-pap tout en suçant la bite de Patrice.
Heureusement qu’ils ne sont pas quatre, j’aurais été obligée de prendre des notes !
– Laissez-vous allez, les mecs, c’est le final !
Je ne sais pas trop comment ils vont se laisser aller, je sais que Nœud-pap n’aime pas trop jouir de cette façon.
Je passe derrière Patrice qui est en train de se faire sucer et lui pince fortement les tétons. C’est radical, sa bite se raidit au maximum dans la bouche de Barelli, il prévient son partenaire qu’il va jouir, mais l’autre le garde en bouche et se régale de son sperme, quel cochon !
Je passe ensuite derrière Nœud-pap et lui fait subir le même traitement ! Sa bite réagit bien mais ce n’est pas ce qu’il souhaitait.
– Je préfère jouir autrement, maitresse !
– On n’a plus le temps, mon petit bonhomme… jouis dans son cul. La prochaine fois tu auras ton petit champagne.
Il n’est pas contrariant, Nœud-pap, alors j’ai comme un remords, je m’approche de lui et lui susurre à l’oreille :
– Fais semblant de jouir, on va s’arranger !
C’est ce qu’il fait ! Il pousse un cri de sauvage, décule, puis cache sa bite encapotée dans ses mains pour aller dans la salle de bain.
Patrice m’indique qu’il va se rhabiller, et me dit que tout était très bien. Il serre la main de Barelli et la mienne aussi.
– Vous remerciez l’autre monsieur de sa participation ! Il faut que j’y aille…
– Je n’y manquerai pas.
Je demande à Barelli de m’attendre, puis je me précipite dans la salle de bain ou Nœud-pap m’attend !
– Allez en piste !
Il s’étale sur le tapis de bain, la bouche ouverte, je m’accroupis au-dessus de lui, chatte contre bouche et j’ouvre les vannes. Je n’avais pas une très grosse envie de pipi, mais cela semble suffire à son plaisir.
Retour au donjon, Barelli n’a pas joui. J’ai certains clients que je ne finis pas, le fait d’être empêché de jouir est pour eux une sorte de plaisir masochiste que j’ai du mal à comprendre, mais si ça leur convient, tant mieux pour eux. Mais Barelli n’est pas dans ce genre d’état d’esprit. Je lui propose une pipe, prestation qui n’est pas dans mes habitudes de dominatrice, mais bon… Ça lui convient et la chose fut rapide.
Nœud-pap a pris congé, Barelli me fait la conversation en se rhabillant :
– J’ai eu l’occasion de rencontrer Krupz ! C’était assez surréaliste, vous voulez que je vous raconte ?
Que voulez-vous ? On est curieuse ou on ne l’est pas !
– Racontez-moi ça pendant que je me remets en « civil » !
A suivre
Derniers Commentaires