Partager l'article ! Sapristi: Sapristi par Etranges Délires Suite aux réactions des lect ...
Suite aux réactions des lecteurs après la publication de « Ditar » nous publions un autre récit zoo, nous publierons désormais les bons textes sur le sujet
Maryse se frottait doucement le clitoris en pensant à Philippe. C’était l’été et dans l’appartement il régnait une chaleur moite et étouffante. Elle essayait d’imaginer Philippe entre ses cuisses, la tête penchée vers son intimité, en train de la lécher. Et elle fermait les yeux pour mieux rêvasser, pour sentir sa langue le long de sa chatte, ses lèvres contre son bouton d’amour.
Philippe était un bel étudiant d’université promis à un bel avenir. Ils se connaissaient depuis l’enfance. Ensuite, leurs chemins avaient divergé et tandis que lui poursuivait de brillantes études, elle se retrouvait elle à remplir les rayons dans un supermarché. Mais depuis toujours elle flashait sur lui et depuis toujours elle espérait qu’un jour ils seraient ensemble pour de vrai.
Un jour qu’ils étaient, lui, elle et deux anciens copains du collège en train de discuter au troquet, il avait bu trop de bière et était légèrement éméché. Du coup, sa langue s’était déliée et il se mit à dire des insanités. Du style qu’il aimait bien les salopes, que l’autre jour justement il en avait rencontré une en boîte et qu’elle avait voulu à tout prix qu’il la prenne sur le capot de sa voiture. Et lui en avait profité pour la prendre par derrière par le cul. Et ce disant, il regardait Maryse en riant et en reluquant sa poitrine, semblant signifier par-là : « Toi aussi tu dois n’être qu’une salope ! ». Mais elle ne lui en tînt pas rigueur pour si peu. Elle voulait bien être SA salope après tout si c’est ce qu’il désirait. Le seul problème c’est qu’il ne se décidait jamais… Humm ouiii, et elle qui avait toujours la chatte en feu pour lui !!!
Elle en était là de ses réflexions quand Sapristi, le jeune labrador que ses voisins lui avait demandé de garder pendant une semaine, fit irruption dans la chambre. Situation délicate puisqu’elle était en train de se masturber, allongée sur le lit sans petite culotte. L’animal fit le tour du lit et vint s’asseoir juste près d’elle en la regardant. Elle s’arrêta un instant pour lui caresser la tête, espérant qu’après ce geste affectueux il allait repartir et la laisser continuer. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Il restait là à l’arrêt devant elle à la reluquer en tirant la langue comme un soiffard.
Mais après tout ce n’était qu’un chien et qu’importe s’il la voyait la main dans la culotte. De toute façon il ne dirait rien à personne. Aussi, elle reprit ses caresses, insistant un peu plus sur ses seins aux durs tétons dressés. Sa poitrine était assez forte, bien galbée, bien pleine et très gracieuse, sans doute ce qu’elle avait de mieux réussi chez elle. Une main donc sur ses seins et l’autre sur son pubis, elle recommençait à se caresser en fantasmant à Philippe, en s’imaginant même à la place de la fille en train de se faire enculer sur le parking. Humm, ouiii elle était prête à tout lui donner. Du coup son doigt vint s’égarer vers son anus, elle aimait ce contact.
Soudain Sapristi se redressa en aboyant. Surprise, elle le caressa à nouveau en lui intimant l’ordre de se coucher. Mais il se dégagea et entreprit de lui lécher les doigts, ses doigts qui devaient à coup sûr sentir la mouille. Quelle sensation étrange… Déjà le jeune chien avait posé ses pattes sur le lit et était en train de renifler son corps, ses aisselles et ses seins. Et bientôt elle sentit la langue rappeuse de l’animal sur ses nichons… De nouveau sensation étrange… Mais agréable ! Serait-ce ainsi lorsque Philippe lui lècherait les seins ? Non, là ce n’était qu’un animal. Elle voulut alors repousser Sapristi, mais l’animal revenait sans cesse à la charge et ne répondait plus à ses injonctions. Il lui montra même les dents lorsqu’elle se montra un peu trop agressive.
Désormais, il lapait ses seins et bavait sur son ventre et elle ne contrôlait plus très bien la situation. Mais malgré la peur provoquée par cette situation cocasse, elle était malgré tout excitée, trop excitée d’ailleurs. Et la langue rappeuse de l’animal sur ses tétons lui procurait un plaisir qu’elle n’arrivait plus à nier. Une dernière fois elle tenta de l’arrêter mais il n’y avait rien à faire…
Et puis après tout ce n’était pas grave. Même lorsqu’il est venu avec sa langue jusqu’à sa chatte pour le laper. Oui c’était là que ça sentait bon, il en était visiblement particulièrement excité. Et à Maryse, cela lui faisait du bien, un bien fou, mieux qu’avec ses propres doigts, cette grande langue humide qui la léchait partout c’était divinement bon. Toute cette bave aussi mélangée à sa mouille. Le chien lapait partout, indistinctement, ses cuisses, sa chatte, son clito, son anus… Elle écarta encore plus les cuisses pour mieux le laisser faire… D’être ainsi dévorée lui procurait des sensations partout et pas uniquement dans l’entrecuisse. Des frissons zébraient tout son corps de jeune femme. C’était tellement bon qu’elle en voulait encore plus. Elle avait complètement oublié qu’il s’agissait d’un animal et pensait être aux mains d’un redoutable amant. Elle ne pensait même plus à Philippe, juste à cette langue qui lui provoquait un plaisir inouï ! Elle était déjà presque au bord de l’orgasme. Ça arrivait, très fort entre ses cuisses, très fort et très profond, du plus profond de ses entrailles, une série de spasmes incontrôlables qui lui la firent couiner comme une truie. Un flot de mouille s’écoula de sa chatte se mêlant à la bave de l’animal, un torrent tel qu’elle crut un instant qu’elle était en train d’uriner sur le lit.
Sapristi, à cet instant-là, sauta carrément sur le lit, à quatre pattes au-dessus d’elle, pour continuer à laper de plus belle, semblant apprécier au plus haut point l’odeur forte de son liquide intime. Et c’est là qu’elle s’aperçut qu’il était lui aussi excité, son vit était en parti sorti de sa gaine. Elle regarde, médusée, c’était la première fois qu’elle voyait d’aussi près le pénis d’un chien en érection. Et, alors que cela ne se fait pas, qu’il est de bon ton de dire que c’est inconvenant et incorrect, elle a eu tout de suite envie de le toucher. Humm… et lui qui continuait à lécher sa mouille… Elle cambra même ses reins pour aller au-devant de cette langue. Et, se tournant lentement sur le lit pour être légèrement en 69, elle tendit sa main vers le braquemart de l’animal. Après tout n’avait-il pas droit lui aussi à sa part de plaisir ?
Elle caressait donc doucement le pénis de l’animal, s’attardant sur ses couilles puis revenant sur sa pine. Il avait l’air d’apprécier l’attention et son engin gonflait encore un peu plus. Un pénis bien rouge, bien long, qu’elle essayait de caresser au mieux dans l’espoir de lui donner du plaisir. Elle le branlait désormais, fascinée par ce beau vit, approchant peu à peu son visage. Non, il ne fallait pas, c’était dégueulasse… Mais malgré tout elle avait envie, envie de lécher tout ça de lécher partout, de lui rendre la pareille… Et elle était en train de sucer une bite de chien. Et, loin de la dégoûter, ce goût fort dans la bouche ne faisait que l’exciter encore plus. Elle avait envie qu’il la baise, d’être sa chienne, qu’il la baise comme une chienne.
Elle a donc pris l’initiative de se mettre à quatre pattes pour se faire saillir et l’animal a tout de suite compris ses intentions et est naturellement monté sur elle en cherchant maladroitement sa cible. Elle a senti le dard de l’animal frotter entre ses cuisses mais il était à côté et avait besoin d’aide. Aussi elle l’a saisi entre ses doigts et l’a guidé vers son trou. C’était plus gros et plus long qu’elle ne l’aurait imaginé de prime abord et elle eut un peu de mal à se l’enfoncer. Mais, une fois bien calé en elle, les pattes sur son dos, elle sentit qu’il la grimpait. Et elle aimait ça, se faire prendre par cette bête. Elle adorait même ça, cette sensation d’être aussi dépravée, son excitation était au comble, elle se tortillait de plaisir.
Chaque poussée du chien la faisait partir un peu plus, le pénis de l’animal était en train d’éclater sa vulve, de l’exploser. Et lui donnait envie de se frotter le clito de l’autre main. Elle se l’astiquait à s’en faire mal tellement elle était dépravée. Elle n’en pouvait plus, c’était trop, trop bon, trop fort… Et soudain elle a senti le liquide s’écouler en elle, lui remplir le vagin, des jets saccadés qui lui éclaboussaient les entrailles… La semence animale, ultime signe de sa perversité… Et là ainsi, collée à l’animal, n’importe qui aurait bien pu arriver, c’était vraiment trop fort et trop bon d’être ainsi saillie…
Un peu plus tard, Maryse écrivit sur son journal intime : « Aujourd’hui, je me suis fait prendre par le chien du voisin, j’ai aimé, je recommencerai. »
Une version quasi identique avait été publiée (aujourd’hui retirée) sur Revebebe en 2/2000 sous le titre » rêve animal » (et le chien s’appelait « Démon ») Nous avons précédé à quelques corrections mineures.
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