Partager l'article ! Pr Martinov 26 – Les sculptures incas – 6: Martinov 26 – Les sculptures incas – 6 – Plaisirs extrêmes par Maud-Anne Amaro ...
Béatrice revient après s’être lavé les mains et recoiffée.
« Et maintenant l’estocade ! »
– A ta santé ! T’aurais pas une cigarette, j’ai oublié les miennes dans la voiture !
– Désolé, je ne fume pas !
« Donc ça confirme ce que je pensais, il sous-traite ses conneries. Mais ça ne change rien au problème, c’est bien lui le responsable ! »
– Le nouveau propriétaire s’est plaint auprès de l’agence de la présence de reproduction de bas-relief incas au fond de son puit et ailleurs aussi.
– Des bas-reliefs incas au fond d’un puit ? Il est malade ce mec !
– Et le gars de l’agence lui a répondu que ces bas-reliefs n’avaient pas été répertoriés lors de l’état des lieux et que cette plaisanterie ne pouvait être que votre œuvre !
– Mais il est complètement con, ce mec, je n’ai rien à voir avec les bas-reliefs incas, c’est quoi cette histoire ?
– Je les ai pris en photo, je vais vous montrer.
Béatrice lui montre la photo stockée sur son téléphone portable.
Mangel les regarde sans manifester une quelconque émotion.
– C’est quoi ? Des moulages ? Demande l’homme.
– Oui !
– Et c’est pourquoi faire ?
– Justement j’aurais aimé savoir. Vous vous intéressez un peu aux civilisations précolombiennes ?
– Aux quoi ?
« Je n’y crois pas ! Il ne sait même pas ce que c’est ! »
– Je veux dire les Mayas, les Incas, les Aztèques ?
– Ah oui, comme Tintin dans le Temple du Soleil ?
– C’est ça !
– Ben non ce n’est pas mon truc !
– Et les sciences occultes, les voyantes, tout ça, ça vous branche ?
– Je pourrais vous répondre que ça ne vous regarde pas, Et d’ailleurs ce sera ma réponse, ça ne vous regarde pas !
– Je demandais ça comme ça, parce que voyez-vous une diseuse de bonne aventure s’est pointée chez les Chamoulet en tenant des propos incohérents.
– Mais quel rapport avec le reste ?
– Elle leur a dit que l’endroit était « sacré » et que s’ils ne déménageaient pas, des esprits vendraient les tourmenter !
– Ça confirme ce que je pensais, ce Chamoulet n’a pas toute sa raison, Le maire me parlait de lui l’autre jour, il a fait venir les gendarmes pour une personne qui serait tombée dans le puit,
quand ils sont arrivés sur les lieux, il s’est rétracté en racontant n’importe quoi !
Depuis quelques minutes, Béatrice cherche l’emplacement de la bibliothèque, avant de se rendre à l’évidence, il n’y en a pas ! Quelque chose lui échappe et ne voit pas bien comment avancer !
– Une question indiscrète, Monsieur Mangel, vous aimez lire ?
– Je ne lis plus, pour mon anniversaire ma fille m’a fait cadeau des œuvres complète de San-Antonio, j’ai même pas commencé…
Béatrice n’a plus aucune ressource, cet entretien est un échec et elle s’apprête à quitter son interlocuteur, quand contre toute attente, c’est Mangel qui rebondit :
– Vous pouvez me montrer encore une fois la photo de tout à l’heure.
– Bien sûr, voilà…
– C’est marrant, ça me rappelle quelque chose, mais quoi ?
– Cherchez bien, ça m’intéresse…
– Ah si ça y est, ça me revient, au dernier vide-greniers, il y avait un type qui vendait des trucs comme ça… des statuettes, des moulages…
– Et vous pourriez me dire qui est le type en question ?
– Désolé ma petite dame, mais je ne suis pas une balance !
« Merde, si proche du but … »
– O.K. Alors je vous propose autre chose, on va jouer cartes sur table !
– C’est comme vous voulez, mais je ne vous promets rien !
– J’ai le droit d’essayer ! Donc je vais déjà vous rassurer : votre kiné n’est pas souffrante et elle viendra vous visiter cet après-midi comme prévu…
– Ça je l’avais un peu deviné !
– Deuxième chose, je travaille dans un cabinet de détective privé, le type de l’agence ne m’a jamais demandé de faire quoi que ce soit, et ce n’est pas lui me paye…
– De mieux en mieux… C’est donc Chamoulet ?
– Peut-être bien qu’oui, peut-être bien que non., si vous voulez vraiment le savoir, balancez-moi le nom du vendeur de statuettes.
– Ni comptez pas !
– Juste un indice !
– Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Le gars est un faussaire, on ne vend pas des statuettes antiques dans un-vide grenier, ce sont des faux ou des imitations. Je suis allé il y a deux
ans en Egypte, le guide nous avait mis en garde en nous expliquant qu’on allait nous proposer des statuettes égyptiennes de l’antiquité, mais qu’en fait ce serait des faux fabriqués juste la
veille dans des caves du Caire.
– C’est ça votre indice ?
– Oui et c’est avec ça que vous trouverez, j’en suis sûr !
– Donc je dois chercher un faussaire qui vend des statuettes à la brocante, c’est ça ?
– Tout à fait !
– Si vous êtes sûr que je vais trouver, pourquoi ne pas me faire gagner du temps…
– C’est une question de principe ! Et ce n’est pas négociable !
« Tête de lard ! »
Et sur ces bonnes paroles Béatrice et Mangel se quittèrent en se serrant la main.
Béatrice retourne au Clos de Merisiers, dubitative. Comment retrouver ce personnage ? Se renseigner en Mairie, il doit bien y avoir une personne qui s’occupe de l’organisation et de la logistique des vide-greniers. Elle retrouve Fanny et lui fait part de l’avancée de son enquête.
– La Mairie ? Il y en a une, mais elle ne sert à rien à part l’état civil, le reste est géré par l’agglomération de communes ! Rétorque Fanny. Administrativement on est rattaché à Saint-Chibre.
Mais à mon avis tu vas dans le mur !
– T’as pas une idée toi ?
– Là tout de suite, non, mais ça peut venir, t’as encore besoin de mes fringues ou je les récupère ?
– Je vais te les rendre !
– Chic, je vais pouvoir te caresser :
Béatrice se déshabille et s’offre aux douces caresses de la jolie Fanny. Celle-ci jette de suite son dévolu sur les seins de la chimiste et en suce les tétons avec une gourmandise non feinte.
– Dis donc, si tu te mettais à poil à ton tour ce ne serait pas mal ! Lui suggère malicieusement Béatrice.
– J’ailais le faire, Mais ça va réveiller le chien !
– Le chien.
– Oui, Muzo…
Et effectivement Béa aperçoit le gros labrador beige en train de roupiller dans un coin.
– Ça va le réveiller de te mettre à poil ?
– Ben oui, mon odeur… Dit-elle en rigolant.
– C’est pas grave.
– Il est peu vicieux, dès fois il veut me lécher…
– Et ça te gêne ?
– Non je trouve ça marrant.
Et en même temps, Fanny se déshabille offrant la beauté se son corps de brunette aux yeux de Béatrice.
Les deux femmes sont face à face et se caressent mutuellement, les mains deviennent de plus en plus baladeuses, elles se touchent les seins, les fesses, la chatte, leur visage se rapprochent, elles s’embrassent.
Et comme Fanny l’avait prédit, le chien se pointe et se met à tourner autour du couple saphique tout en remuant frénétiquement de la queue.
– Mais Muzo, veut-tu nous foutre la paix !
Mais comme vous le pensez bien, le chien n’en fait qu’à sa tête.
– Si je le vire pas, il est capable de me lécher la chatte ! Indique Fanny.
– Je croyais que tu trouvais ça marrant ?
– Pourquoi ? T’aimerais le voir me lécher ?
– Ça ne me dérangerait pas.
– Alors allons-y ! Dit-elle en s’asseyant sur le bord du lit et en écartant les cuisses. Viens Muzo, viens mon chien, viens lécher la bonne foufoune de ta maîtresse.
Le toutou ne se le fait pas dire deux fois, il déboule et donne de grands coups de langue sur le pubis humide de la petite brunette.
– Oh ! Quelle langue ! T’es un bon chien ! Tu veux essayer, Béatrice ?
– Oui, oui !
– Ben dit donc quel enthousiasme ! Tu l’as déjà fait ?
– J’ai eu quelques occasions oui…
Fanny a dirigé le chien vers le minou déjà trempé de notre belle Béatrice. Il est tout content le chien il a de la mouille à lécher.
– Et dans tes occasions, t’as été plus loin ? Demande la brune.
– Tu voudrais bien savoir, hein ?
– T’es pas obligée de me dire ce que tu ne veux pas me dire ! Moi dans mes moments de folie, j’ai été assez loin.
– Et en ce moment tu ferais des folies ?
– Si tu m’accompagnes, oui !
– On lui suce la bite, alors ? Demande Béatrice en caressant le dos du chien.
Fanny passe sa main sous le flanc du quadrupède, lui tripote la pine qui sort de son fourreau, rouge et visqueuse, puis elle fait ressortir à l’extérieur de ses pattes de derrière. Béatrice y a donc maintenant accès et se met à lécher le chibre canin avec gourmandise.
– Qu’est-ce qu’il mouille ce chien !
– Tu te régales, hein ?
– Oui, je ne sais pas trop pourquoi ? Le plaisir de l’interdit, je suppose ?
– Tu veux qu’il te prenne ?
– Pourquoi pas, soyons folles ! Mais faudrait peut-être lui couvrir les pattes. Faudrait pas qu’il se mette à griffer.
Fanny extrait des chaussettes du tiroir de son armoire et en recouvre les pattes avant du chien.
Béatrice se met en levrette, Fanny conduit Muzo qui semble hésiter, puis tout d’un coup il grimpe, pine en avant et pénètre la chimiste. La cadence est infernale, à ce point que Béatrice n’arrive pas à rester en place, ce qui fait mourir de rire Fanny.
Et comme au théâtre au moment où on s’y attend le moins, voici que l’on toque à la porte.
– C’est quoi ! Demande Fanny
– C’est moi ! Répond Hélène, je cherche Gino, il est avec toi ?
– Non il est parti se balader, mais entre donc, il y a du spectacle !
Hélène entre et n’en crois pas ses yeux !
– Eh bien, Béatrice, vous nous aviez caché ça !
Mais sa réflexion ne contient aucun reproche, c’est avec le sourire qu’elle l’énonce.
– Attends, je vais retirer le chien sinon tu pourrais rester bloquée une demi-heure ! Indique Fanny à Béatrice.
– Tu m’as fait entrer pour que je regarde ou pour que je participe ? Demande Hélène avec un aire de fausse innocence.
– J’allais pas te laisser à la porte !
– Tu parles, vicieuse comme tu es, tu ne rates jamais une occasion.
– Si tu te mettais à poil, belle-maman ? Lui demande Fanny.
– Béatrice, avez-vous quelque chose contre les vieilles salopes ?
– Non, mais pourquoi cette question ?
– Ça vous dirait de me déshabiller ?
Bien sûr que ça lui dit !
Béatrice lui enlève son haut, le soutien-gorge bien rempli est en dentelle noire. Madame aime la belle lingerie ! Une fois le soutien-gorge de la belle mature retirée, Béatrice attirée comme un amant par cette belle paire de nénés se met à les caresser puis demande la permission de les lécher, ce qu’elle lui accorde bien volontiers.
Les tétons durcissent sous la langue de la jeune chimiste. Petite pause, il faut bien souffler un peu, les deux femmes s’embrassent, puis c’est Hélène qui vient titiller les nichons de Béa. Juste retour de choses !
Le chien s’est calmé et se fait caresser très sagement (pour le moment) par Fanny.
– Bon, Muzo à l’air en pleine forme ! Indique Hélène, j’aimerais bien en profiter un peu. Prépare-le un petit peu, Fanny.
De nouveau la petite brune fait bander le chien mais cette fois le fait coucher sur le côté et commence à le sucer. Hélène rejoint sa belle-fille et c’est de conserve qu’elles honorent la pine du brave toutou.
Après quelques minutes de fellation canine, Hélène se met en position de façon que le chien puisse la prendre.
Et le chien repart pour un nouvel assaut, il ne dure pas bien longtemps et laisse Hélène groggy.
– Si on faisait jouir Béatrice toutes les deux ? propose Fanny.
– Attends, je souffle un peu… bon on y va, Béatrice couche toi sur le dos on va te faire un truc spécial.
Une fois allongée, on demande à Béatrice se ramener ses jambes au-dessus d’elle, tous ses trésors deviennent ainsi disponibles et Fanny peut lui lécher la chatte, tandis qu’Hélène lui balaye le trou du cul de sa langue.
Vous pensez bien qu’avec un pareil traitement, la petite Béa se met à jouir rapidement… on a ensuite permuté les rôles afin que chacune ait sa part de jouissance.
– J’ai envie de pisser ! Dit Hélène, ça intéresse quelqu’un ?
Et Fanny et Béatrice collée l’une contre l’autre recueillirent en bouche un peu du nectar doré de la belle mature.
– Quelle salope ma belle-mère quand même ! Cru devoir commenter Fanny. Tu sais qu’elle se fait enculer par son fils ?
– Et alors ? Je ne vois pas pourquoi je me priverais d’une bonne bite !
– Oui mais c’est mon mari !
– Il est à moitié pédé, ton mari !
– C’est pas grave ça !
– Alors il est où le problème ?
– Il n’y a pas de problèmes, on est des salopes on assume ! Répond Fanny.
– Je vais vous laisser, il faut que je fasse caca ! Reprit Hélène.
Elle ramasse ses vêtements en boule et se dirige vers la porte, mais semble hésiter et stoppe.
– A moins que cela vous intéresse, Béatrice ?
– Pourquoi pas ?
– En principe je fais des belles crottes, n’est-ce pas Fanny ?
– Hum, oui, de belles crottes bien moulées !
– O.K ! Il me faudrait un chiffon ou du papier journal, je ne vais pas salir la moquette.
– Chie sur moi, belle-maman !
-T’es vraiment une salope !
– Et toi alors ?
– Moi aussi !
Hélène se met en position au-dessus de sa belle-fille qui s’est couchée à même le sol. Elle pousse, son anus s’ouvre laissant apparaître un bout d’étron, elle pousse encore et cette fois c’est un long boudin qui dégringole sur la poitrine de Fanny. Celle-ci le prend dans ses main et le porte à sa bouche afin d’en lécher l’extrémité
Voilà une petite scène qui a réveillé l’excitation de Béatrice qui se tripote la chatte frénétiquement.
– Tu as aimé ? Lui demande Hélène.
– Oui !
– C’es ton truc, la scato ?
– Non pas vraiment, mais j’ai eu quelques expériences qui m’ont amusées…
– Tu voudrais me nettoyer le cul ?
– Oui je veux bien !
Hélène se tourne offrant à lécher à Béatrice les traces brunes restant au bord de l’anus. Bea y plonge sa langue sans hésiter et entreprend de décaper tout ça.
– Alors, elle a quel gout, ma merde ?
– Elle est délicieuse !
Hélène prend alors l’étron des mains de Fanny, le lèche à son tour avant de le proposer à Béatrice, qui ne se défile pas
Les trois coquines complétement déchainées s’amusent ensuite à s’enduire les seins de matière avant de se les lécher mutuellement puis de se livrer à une série de french-kiss, des french-kiss au gout bien particulier.
Béatrice n’en revient pas d’avoir été si cochonne et se masturbe comme une malade pendant qu’Hélène et sa belle-fille se font jouir en soixante-neuf.
Et maintenant toutes à la douche !
A suivre
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