Partager l'article ! Pr Martinov 26 – Les sculptures incas – 3: Martinov 26 – Les sculptures incas – 3 – Retour à l’atelier du peintre par Maud-Anne Amaro ...
Mardi 2 mars
Le lendemain matin, Martinov et Béatrice furent accueillis par la famille Chamoulet, du moins une partie de la famille parce que Arsène n’était point-là !
Béatrice descendit en rappel. Et une fois au fond constata que le bas-relief avait disparu ! Complètement disparu, il y aurait dû avoir des débris, eh bien non, aucun débris.
– C’est quoi ce délire ?
Elle prit des photos de la paroi qui était redevenue vierge de tout ornement.
Le sol du fond était meuble et on pouvait y voir nettement des traces de chaussures qui n’étaient pas les siennes, des traces très nettes, genre grosse godasses de randonnées marquées avec six étoiles à l’avant et trois étoiles sur le talon. Elle en prit photo et en mesura la longueur…
– Ohé, on me remonte ?
Et une fois en haut, elle montra à Gino les photos qu’elles avaient prises (mais pas celle de l’empreinte de chaussure)
– Mais alors il n’y a rien ?
– Hier il y avait quelque chose, regardez !
Elle lui montre les photos prises la veille au même endroit.
– C’est ahurissant, ça veut dire que quelqu’un serait descendu dans le puit en pleine nuit et qu’il aurait piqué les bas-reliefs, mais ça n’a aucun sens !
– Ça n’a peut-être aucun sens, mais le fait est que les bas-reliefs ne sont plus là ! Donc pour nous la mission est terminée, il y a un mystère, mais là on tombe dans une enquête policière, nous
nous sommes des scientifiques. Donc ce n’est plus notre affaire.
– Je me vois mal confier cette affaire à un détective privé ! Se désole Gino. Bon je vais vous payer. Maman, où est Papa ?
– Il est parti ce matin à Paris, il avait une démarche à faire pour l’assurance de la maison.
Probablement une excuse « diplomatique », mais Gino ne creusa pas l’affaire. Hélène Chamoulet rédigea un chèque.
– Quittons-nous bons amis, nous pourrions partager notre repas du midi, j’avais pensé à une pintade avec des patates ! Proposa Hélène.
– Avec plaisir ! Répondit Béatrice au grand dam du professeur qui l’a pris à part un peu après.
– Tu sais bien que ça me saoule, ces repas avec des gens qu’on ne connait pas.
– Je t’expliquerai !
En fait Béatrice aurait bien voulu savoir… ben oui l’éternelle curiosité féminine ! Qui était descendu en pleine nuit au fond du puit, et surtout pourquoi un tel acte ?
La personne qui avait opérée avait pris des risques considérables. Déjà il fallait pénétrer dans les lieux, ensuite descendre dans le puit… avec quoi ? Sans doute avait-elle apporté une échelle de cordes, à moins d’être aidé par un complice assurant une corde de rappel. Et ensuite détacher le bas-relief, ce qui n’est pas forcément évident, ensuite il faut remonter avec le bas-relief, puis repartir. Combien de temps pour accomplir tout ça ? Au moins une heure, non ?
Si Béatrice voulait connaitre le fin mot de l’histoire il lui faudrait trouver un prétexte pour prolonger leur présence. Elle se dit qu’elle aurait le temps d’y réfléchir avant le déjeuner prévu pour midi.
– Tu n’as pas envie d’en savoir davantage ? Demanda-t-elle au professeur.
– Si, mais si ça reste un mystère, je n’en mourrai pas.
– Je vais essayer de négocier un jour au deux supplémentaires, t’a rien contre ?
– Tu ne trouveras rien !
– Je peux essayer, 24 ou 48 heures c’est tout !
– Et moi je vais faire quoi ?
– T’inquiète, j’aurais sans doute besoin d’aide.
La table est dressée, le professeur Martinov est assis à côté d’Hélène Chamoulet, Devant lui, s’est assise Fanny, revêtue d’un chemisier noir en dentelle semi-transparent qui laisse entrevoir ses tétons. Imaginez notre pauvre professeur, complètement troublé par cette vision. Elle est entourée de Béatrice et de Gino.
– Vous excuserez mon mari, ! Nous dit Hélène, il est en course, du moins c’est l’excuse qu’il a donné, en fait il boude, ça lui passera, ça lui passe toujours !
– Ces bas-reliefs sont très intrigants ! Intervient Béatrice, il faut que j’effectue des recherches, mais comme j’aurais des questions à vous poser, je préfèrerais rédiger notre rapport ici.
C’est l’affaire d’un jour ou deux.
– Ce n’est pas un problème, prenez le temps qu’il faudra ! répond immédiatement Gino.
– O.K, on va se prendre une chambre d’hôtel à Alençon…
– D’accord, vous nous ferez une note de frais.
Pendant le repas, le professeur a du mal à ne pas porter les yeux sur sa vis-à-vis, laquelle un moment se lève en déclarant :
– Je vais pisser, je reviens !
Et elle quitte la table en tortillant du croupion.
Des cris dans la courette, ils se rapprochent, Fanny revient affolée !
– Venez voir, vite !
– Qu’est qui se passe ?
– Mais venez, venez !
Tout le monde est dehors
– Ben quoi ?
– Là !
« Là », c’est la petite dépendance servant de dépôt de bois coupé. Et posé contre un pilier de soutien sur le côté et donc non visible directement… il y a quoi ?
Le bas-relief !
Béatrice l’examine de suite, le bas-relief est en fait une plaque de plâtre concave, elle devait être maintenue sur la paroi du puit à l’aide d’une matière facile à rompre (du mastic ?) Le temps d’intervention de l’intrus est du coup, revu à la baisse. Elle prend quelques photos afin de s’assurer qu’il s’agit bien du même bas-relief que celui découvert au fond du puit.
Sur les photos, on pouvait remarquer un petit défaut de moulage sur la partie supérieure gauche, ce défaut est également présent sur le bas-relief « remonté ». Il s’agit donc bien du même !
– Quelqu’un se serait introduit chez nous en pleine nuit ? S’étonne Gino.
– Et le chien n’a pas réagi ? S’étonne Béatrice.
– Ce n’est pas vraiment un chien de garde, et puis il ne couche pas dehors…
Hélène sonne le rappel :
– Revenez à table, j’ai fait un bon clafoutis.
Tout le monde y va, mais Fanny a le temps d’échanger quelques mots avec le professeur.
– Ils te plaisent mes nichons, hein ?
– C’est bien malgré moi… balbutie le professeur.
– Arrête ton baratin, je ne te fais aucun reproche, j’aime bien qu’on me regarde, mais si tu veux les voir encore mieux, ça peut se faire… mais chut !
Béatrice pour sa part ne pense pas au sexe (patience, ça viendra…) elle est perplexe et se demande à quoi rime cette mise en scène !
« Retirer ce bas-relief du puit pour le poser devant la réserve de bois… Quelqu’un joue au con ! Mais dans quel but ? »
Le délicieux clafoutis étant consommé, Béatrice et Martinov refuse le café et s’isolent.
– Et si l’un des deux mecs d’ici faisait double jeu ? Se demande Béatrice.
– Mais dans quel but ?
– Ah, ça, je n’en sais rien ! Mais j’aimerais bien éliminer cette hypothèse. On serait des détectives privés on aurait regardé toutes leurs godasses sous un prétexte quelconque, mais je ne nous
vois pas faire ça.
– Et alors on fait quoi ?
– On va déjà regarder si on trouve d’autres indices, on va faire le tour de la propriété, moi je vais à gauche, toi à droite, tu as bien mémorisé le dessin des semelles…
« Si au moins ce con avait laissé tomber un objet personnel… » Se dit-elle
Elle longe le grillage de la propriété… du matériel bas de gamme. Le terrain est très cabossé et elle manque de s’étaler plusieurs fois. A un endroit le grillage ne descend pas jusqu’au niveau du sol, cela sur environ deux mètres, ce qui est largement suffisant pour pénétrer dans la propriété en faisant un roulé-boulé.
Quelque chose brille dans l’herbe. Béatrice se penche et ramasse un briquet.
« Un zippo ! A tous le coups le mec qui est entré l’a fait tomber de sa poche »
Elle passe sous la grille…
« Merde je me suis toute dégueulassée… »
Le chemin extérieur est resté détrempé à cet endroit, elle inspecte le sol, il y a des traces de chaussures un peu floues, mais le doute n’est pas permis, ce sont bien les mêmes que celle du fond du puit…
« Et là un mégot… !
Une cigarette que le type n’a pas eu le temps de finir ! Normal il n’allait pas faire son roulé-boulé avec sa clope. Elle le ramasse, en lit la marque : « Winston »
Elle se dirige vers la droite cherchant d’autres traces ou indices mais sans en trouver, il n’y en pas non plus dans l’autre direction.
« Bon, on sait que le mec qui a déplacé le bas-relief venait de l’extérieur, qu’il fume des Winston et qu’il a perdu son zippo ! Avec ça je ne suis pas tellement avancée ! Et maintenant je fais quoi ? »
Béatrice revient vers la bâtisse, elle n’aperçoit pas le professeur, d’ailleurs il n’y a personne dans la courette.
– Allo, mon petit professeur, tu es où ?
– Dans l’atelier de Gino, il m’a prêté son ordi, j’ai trouvé des trucs, monte si tu veux, c’est l’avant dernière porte au premier…
Béatrice pénètre dans l’atelier et à la surprise de trouver Martinov et Gino entièrement nus.
– Euh, vous faite du naturisme en chambre ? Se gausse-t-elle.
– On peut dire ça comme ça en effet, Répond Gino. En fait je voulais peindre Monsieur en faune antique, il fallait pour cela qu’il soir nu, n’est-ce pas ?
– Et le peintre aussi ?
– Comme monsieur hésitait à se déshabiller, il a fallu que je montre l’exemple ! Répondit Gino en rigolant à moitié.
– Vous avez l’imagination fertile ! Et en plus vous avez une bien belle bite, monsieur le peintre ! Le taquine Béatrice.
– Je vous en aurais volontiers proposé l’usage, mais voyez-vous, l’ami Martinov m’a fait jouir intensément, il suce fort bien l’animal et son cul est très accueillant !
– Eh bien j’en apprends des choses ! Mais je ne venais pas pour la gaudriole, tu m’as dit avoir trouvé des trucs…
– Oui, j’ai d’abord examiné le bas-relief, c’est du plâtre de modelage basique, il est récent sans aucune altération, l’auteur a dû fabriquer un moule avec du silicone ou une autre matière
malléable, et a fait sept moulures.
– Quand tu dis récent…
– S’il était resté longtemps au fond du puit, il y aurait dû avoir des saletés, des moisissures, il n’y en a pas.
– Et sinon ?
– Sinon, j’ai trouvé sur Google la sculpture qui a servi de modèle au bas-relief. Ce serait une statuette Incas trouvé en Equateur. C’est d’ailleurs amusant parce que l’image n’est présente que
sur des sites farfelus, tu sais le genre, « grands anciens », il est donc possible que ce soit un faux. De toute façon ça ne tient pas debout, ça parle de cosmonaute parce que le type a
comme un casque que la tête, mais à part ça il est à poil avec juste une espèce de pagne. Ça pourrait être aussi bien un motocycliste, mais je crois que les incas n’avaient pas découvert la
roue…
– Intéressant, mais ça nous mène à quoi ?
– Le gars qui a fabriqué le bas-relief doit être un passionné d’ésotérisme, partisan de la théorie des « grands anciens ».
– Oh là ! Tu vas loin là !
– C’est juste une piste !
– Mwais…
– Faudrait peut-être que tu te rhabilles, on doit aller à Alençon !
Mais voilà que l’on frappe à la porte.
– Entrez !
C’est Hélène Chamoulet.
– Tu pourrais répondre quand je t’appelle ! T’es sourd ou quoi ?
– J’ai pas entendu ! Répond Gino.
– Je voulais te prévenir que ton père est parti une semaine au Canada rendre visite à son cousin, il a appelé un taxi qui vient de partir, il m’a chargé de te dire aurevoir.
– Il n’est même pas foutu de faire ça tout seul ce con !
– Un peu de respect, s’il te plait, faut prendre ça du bon côté, ça va nous faire des vacances.
Et tout d’un coup Martinov a un flash, le visage de la femme faisant une fellation sur la toile que lui a montrée Gino, c’est celui d’Hélène !
– Et puis d’abord qu’est-ce que tu fous à poil en bandant comme un sapeur ! Reprend la Maman.
– On n’a pas eu le temps de se rhabiller.
– Je n’ose même pas demander ce que vous fabriquiez ! Mais quelle belle bite ! S’il n’y avait pas ces messieurs dames, je te la sucerais volontiers.
– Ne vous gênez pas pour nous, faites comme chez vous ! Répond Béatrice, par défi.
Béatrice pensait qu’Hélène parlait de la bite de Martinov, certes agréable à regarder mais pas exceptionnelle non plus. Mais en fait c’est de la pine de son fils qu’elle parlait. Elle s’approche du fiston et lui prend le sexe dans sa bouche.
– A ben ça alors ! Ne peut s’empêcher de clamer la belle chimiste
– Je vous choque ? Il me semblait pourtant que j’avais votre feu vert ! Réplique Hélène en lâchant momentanément sa proie.
– Je ne suis pas choquée, j’en ai vu d’autres, Disons que j’ai été un peu surprise, mais ne vous occupez pas de moi, je vais pendre plaisir à vous regarder.
– Alors tout va bien, vous pouvez même le droit de participer !
Alors folie pour folie, Béatrice se range aux côtés d’Hélène et les deux cochonnes se mettent à sucer tantôt alternativement tantôt conjointement la bite de Gino.
– Qu’est-ce qu’elle est bonne la bite de mon fils ! S’exclame Hélène.
– Cochonne ! Lui répond Béa.
– Oui, mais j’assume !
Un moment les lèvres d’Hélène et celles de Béatrice sont très proches les unes des autres, alors ce qui devait arriver arriva, les deux femmes se roulent un patin comme deux vieilles goudous.
– Dis donc toi tu embrasses bien, je parie que tu aimes brouter du gazon ! Lui balance Hélène.
– T’as tout compris !
– On devrait se mettre à poil, ce serait plus cool.
– Alors soyons cool.
Et nos deux coquines se mettent à poil. Hélène possède ce qui s’appelle une bonne poitrine, elle tombe un tout petit peu (normal Hélène approche de la cinquantaine) mais qu’importe.
Béatrice veut se jeter sur les nénés de la mature, mais cette dernière la prend de rapidité et se met lui sucer les tétons avec gourmandise.
Du coup Gino se retrouve sans partenaire. Mais Martinov vient à ses côtés et les deux hommes se branlent mollement la bite en regardant ces dames se donner du plaisir.
– Regarde ma mère comme elle est salope !
– Je vois ça ! Répond le professeur
– Hum, j’aime ça lécher les nichons des belles femmes ! Ça m’excite ! Annonce Hélène à l’attention de Béatrice
– Continue, c’est bon !
– Tu dois me trouver vicieuse !
– Faire du sexe ce n’est pas du vice ! Répond doctement Béatrice.
– Super !
– Tu fais ça souvent !
– Dis donc ma grande on ne se connait pas encore assez pour se faire des confidences.
– Je demandais ça comme ça…
– Embrasse-moi encore et peut-être que je te dirais mes petits secrets, mais il faudra que tu me dises les tiens.
De nouveau les deux femmes se livrent à un french-kiss bien baveux, en même temps Béatrice a maintenant accès aux seins d’Hélène et ne se prive pas pour les tripoter avant de se jeter dessus pour se régaler de ses tétons turgescents.
– J’ai pas vu ton cul ? Lui demande la mature.
– Ce n’est pas ce que j’ai de mieux…
– Tourne-toi quand même, j’aime bien lécher les petits culs…
Hélène se tourne en cambrant les fesses.
– Ecarte-les que je vois ton petit trou.
Ce qui permet à Madame Chamoulet de pointer sa langue contre l’anus de la jolie chimiste.
– Hum, il a bon cul ! J’adore lécher les culs !
– Régale toi ma grande !
Elle lèche, elle lèche, mais il faut bien que s’arrête un moment.
– J’adore lécher ! Commente-t-elle, les culs, les chattes, les bites… Hum j’ai la chatte en feu, viens me la bouffer.
Hélène se couche carrément sur le sol les jambes écartées, tandis que Béatrice s’approche de ses cuisses.
– Non, en 69 ! Indique Madame Chamoulet.
Eh oui, la position magique celle où on se fait lécher tout en léchant à ce point qu’on a l’impression de se lécher soi-même.
Le deux femmes mouillent comme des éponges, chacune se régalant des sucs de l’autre. Gino et Martinov se branlent en les regardant.
Quand Béatrice porta sa langue sur le clito de sa partenaire, cette dernière par une belle réciprocité en fit de même ce qui fait que les deux diablesses jouirent quasiment en même temps…
Les deux femmes s’embrassent encore une fois et se relèvent pantelantes.
– Ben dis donc, Maman tu pètes la forme ! lui dit Gino.
– Toi aussi on dirait ! Tu comptes rester longtemps avec ta bite raide comme un bout de bois ! Viens donc enculer ta mère !
Elle ne lui demande pas s’il est d’accord, elle se met en levrette et attend l’assaut. Mais Gino ne se dégonfle pas et lui fous sa bite dans le cul.
– Martinov, vient devant moi que je te suce la bite pendant que mon fils m’encule.
Vous pensez bien que le professeur n’allait pas refuser une telle proposition. Et le trio infernal se met en place.
– Oh, toi aussi t’as une bonne bite ! Dit-elle à Martinov après avoir gouté à son chibre. Béatrice ne fait pas banquette, passe derrière mon fils et fous lui ton doigt dans le cul, ça va le motiver encore plus.
Imaginez le tableau ! Quatre joyeux érotomanes en furie ! Mais c’est le professeur qui sera le premier à quitter le quatuor, trop de jouissance contenue, ne pouvant ternir la distance il explosa son sperme dans la bouche gourmande d’Hélène qui s’en pourlécha les babines.
– Il est trop bon, ton foutre, pépère !
Il va s’assoir complètement lessivé, tandis que Gino stimulé par le doigt de Béatrice qui s’agite dans son cul continue de sodomiser sa génitrice.
– Continue, insulte-moi, allez !
– Ça te plait de te faire enculer par ton fils, grosse morue !
– Morue je veux bien, mais je ne suis pas grosse, bourre-moi le cul, pédé, suceur de bites, buveur de pisse.
Le lecteur remarquera qu’on est désormais en pleine poésie.
Mais les meilleures choses ont une fin. Après avoir fait hurler sa mère de plaisir plusieurs fois de suite, il finit par éjaculer. Sa mère lui retire la capote et nettoie tout ça !
– Eh bien quelle séance, mes amis, maintenant faut que j’aille pisser…
– Moi aussi ! Précise Béatrice.
– Tu voudrais me regarder pisser ?
– Si t’as rien contre !
– T’es aussi vicieuse que moi, on dirait !
– Je ne vois pas où est le vice là-dedans, mais ça ne fait rien…
– Je sais, je sais… Je crois deviner ce que tu veux…
– Ah oui ?
– Tu voudrais que je te pisse dessus ?
– Oui !
– Peut-être même dans la bouche ?
– Oui !
Et c’est qui se passa, dans la salle de bain Béatrice s’assit sur le sol, ouvrant une large bouche et avala plusieurs rasades du nectar dorée de la belle mature. Et comme vous vous en doutez, elles échangèrent ensuite les rôles.
– Tu fais d’autres trucs extrêmes ? Demanda Hélène.
– Ça ce sont mes petits secrets.
– O.K, je n’insiste pas, mais toi tu m’avais posé une question. Tu veux que je te réponde ?
– T’es pas obligée.
– Non, mais je vais le faire quand même. A Paris nous sortions régulièrement en boite échangiste avec mon fils et Fanny… elle est où d’ailleurs Fanny ?
– Partie faire des courses !
– Elle a raté quelque chose !
– Et Monsieur Chamoulet, il ne doute de rien ?
– Il fait l’autruche, et de toute façon il n’a rien à dire, il a une maîtresse, alors on fait dans le gentleman agrément.
– Mais maintenant comment allez-vous faire ?
– Tu peux continuer à me tutoyer. Le Mans n’est qu’à une demi-heure de voiture, Angers, un peu plus loin, et à la limite il ne faut que trois heures pour aller sur Paris…
Hélène eu le tact de ne pas relancer Béatrice afin de lui faire avouer ses « petits secrets »
A suivre
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