Partager l'article ! Pr Martinov 25 – Les agents secrets – 5: Martinov 25 – Les agents secrets – 5 – Les fantaisies d’Olga par Maud-Anne Amaro Mard ...
Le lendemain matin, Blotz-Henri avait une réunion de programmée. Une aubaine pour Odette Morvan qui put se livrer à un travail de croisement entre les photographies prises à l’intérieur du coffre et les éléments du carnet à spirales de son patron. Chaque numéro de flacon renvoyait à un numéro de produit, Il suffisait ensuite de fouiller dans la documentation pour retrouver le numéro en question.
Tout cela est fastidieux, il lui faut lire des fiches dont la plupart ne sont pas rédigés très clairement… et puis soudain devant ses yeux étonnés, elle découvre une fiche intitulée blotzanium. Le code indiqué est le 9030 qui lui- même correspond à l’éprouvette n°27.
Il ne sera même pas nécessaire de faire ouvrir le coffre, la composition du blotzanium, elle l’a sous les yeux. Juste une photocopie et le tour est joué ! Pourquoi se lancer parfois dans des usines à gaz (c’est le cas de la dire) alors que la solution est là, toute simple ?
Et maintenant, à qui va-t-elle confier ce précieux document ? Avec les militaires français elle joue la sécurité mais au bout ce ne sera que 500 €. L’aventurière chinoise est autrement plus généreuse, elle offre 5 000 euros mais Odette ignore si elle est vraiment fiable !
Alors pourquoi ne pas jouer sur les deux tableaux ?
Olga a convoqué le lieutenant Malesherbes à 7 heures du matin, donc avant que celui-ci ne se rende au ministère.
Elle ne le salue pas et s’assoit devant lui.
– J’ai le sentiment d’avoir perdu mon temps, et je déteste perdre mon temps ! Commence-t-elle.
– Je ne comprends pas, balbutie le militaire !
– Je ne vous dis pas ce que j’ai été obligée de faire afin que ce Martinov accepte de me mettre un peu de votre mystérieux gaz de côté !
– Hum…
– Le souci c’est que le gaz qu’avait apporté votre savant fou n’avait rien à voir avec ce que vous a raconté votre taupe…
– Non ?
– Comment ça « non » ?. Est-ce que j’ai l’air de raconter des conneries ?
– Ce n’est pas ce que…
– Taisez-vous Malesherbes, je vous conseille de rattraper le coup, débrouillez-vous, mettez la pression sur cette Madame Morvan.
– Je vais essayer…
– Non, vous n’allez pas essayer, vous aller le faire et si vous vous dégonflez j’ai quelque part un ou deux enregistrements qui ne plairait sans doute pas à vos supérieurs.
– Mais c’est dégueulasse !
– Non, c’est la règle, quand on fricote avec les services secrets, on a beaucoup d’avantages, mais on n’a pas le droit de se planter.
– Vous me décevez, Olga !
– C’est le moindre de mes soucis ! Alors maintenant vous allez être un gentil garçon et faire ce que je viens de vous demander.
Le lieutenant Malesherbes n’en mène pas large et se demande comment il va pouvoir accomplir ce que lui demande l’intrigante cosaque.
« Je peux toujours essayer, mais je n’ai aucune idée… »
Mais tout alla très vite… Il téléphone à Odette qui lui confie avoir trouvé la formule du blotzanium. Elle lui communique une copie du document à 12 h 30. Et à 14 heures il était entre les mains d’Olga.
– Bien ! Vous avez fait du bon travail !
– Je n’ai pas droit à ma petite récompense ?
– Il faut d’abord que je vérifie si tout cela n’est pas bidon… mais rassurez-vous si ça fonctionne, je saurais vous récompenser comme il se doit.
– C’est une promesse ?
– Une promesse conditionnelle.
Il restait à Olga de se voir confirmer la viabilité de la formule. Ce serait le travail du chimiste.
– Mais Olga, je t’avais bien dit que je partais en vacances, et même qu’en ce moment je suis à Roissy et j’attends mon avion pour la Russie. Lui répondit Kopalski.
– Mais ce n’est pas possible ! Je te réquisitionne !
– Je ne pense pas que ce soit dans tes attributions.
– T’as un remplaçant au ministère ?
– Oui, mais c’est un peu le genre « service minimum »
– Bon, et bien bonnes vacances !
Elle contacte donc le remplaçant qui lui répond carrément qu’il n’est pas qualifié pour effectuer ce genre de choses.
– Fonctionnaire borné ! Lui lance Olga.
– Grosse pute !
« Pourquoi grosse ? » Dit-elle en raccrochant.
Il lui fallait maintenant trouver un chimiste. Pas question d’attendre le retour de vacances de Kopalski. Non il lui fallait dénicher quelqu’un de discret qui n’ira pas ébruiter ce qu’on lui demande.
Elle effectue une recherche rapide sur l’Internet, tombe sur des sociétés, des laboratoires. Ça ne va pas, ce qu’il lui faudrait c’est un chimiste indépendant… Allez trouver ça, vous !
Ou alors quelqu’un dans le genre de Martinov… Et pourquoi pas Martinov lui-même….
Une demi-heure plus tard, elle était de nouveau à Louveciennes :
Le professeur Martinov ne prenait des rendez-vous que le matin, aussi est-il étonné d’entendre le carillon de la porte d’entrée en ce début d’après-midi.
– Je vais voir ! Se propose Béatrice.
Elle ouvre la porte et se retrouve nez à nez devant Olga.
« Qu’est qu’elle vient foutre ici cette pétasse ? »
– Bonjour ! Dit la russe en présentant le plus beau de ses sourires.
– Vous n’avez pas rendez-vous, si je ne m’abuse.
– Non, mais je brûle d’impatience de rencontrer ce cher professeur.
– Je ne suis pas certaine qu’il souhaite vous recevoir.
– Soyez gentille de lui demander, mais je pense qu’il ne sera pas insensible à la surprise que je lui apporte.
Martinov qui n’était pas très loin et qui a tout entendu intervient :
– Entrez Olga, mais je suis débordé, je ne peux vous accorder que cinq minutes.
– Cinq minutes ce sera très bien.
Elle entre et s’installe à l’aise dans l’un des fauteuils du salon.
– Nous n’allons plus parler de cette histoire de Fly-tox. Je viens pour tout à fait autre chose. Vous êtes chimiste je crois ?
– Non !
– Comment ça « non » ? C’est pourtant indiqué sur le descriptif de vos activités.
– Mes notions de chimie sont rudimentaires, c’est bien pour cela que j’ai engagé Béatrice qui elle, a fait l’Ecole de Chimie.
– Ah ?
Voilà qui casse le plan d’Olga, elle se faisait fort d’avoir au charme une fois de plus ce cher professeur et de l’amener à fabriquer le produit B107 sans qu’il se pose trop de questions.
– Quelque chose vous embête ? lui demande Martinov.
– Non, je vais vous montrer ce que je souhaiterais, dites-moi si c’est dans vos cordes.
– Je peux toujours jeter un œil !
– Voilà : la première feuille c’est la composition du B107. Dans cette composition entre un autre mélange qu’on va appeler le blotzanium et dont voici la fiche.
– Le premier mélange, je pourrais faire, le second c’est autrement plus pointu, mais je pense que Béatrice saura faire. Béa tu peux venir…
La jolie assistante de Martinov se pointe, trouve le professeur et Olga en pleines palabres.
« Il va encore se faire avoir ! »
– Tu saurais faire ce truc ? Lui demande-t-il en lui tendant la fiche.
Il suffisait cher lecteur, que Béatrice réponde qu’elle ne savait pas faire, Olga repartait et s’en allait voir ailleurs et l’aventure qui suit n’aurait pas eu lieu, mais on ne pense pas toujours aux conséquences de ce que l’on dit et Béatrice répondit spontanément.
– C’est un peu compliqué mais je pense que c’est à ma portée.
– Donc nous pourrions faire affaire ? Propose Olga.
– Mais ça va servir à quoi, votre truc ?
– Je vous ai expliqué lors d’un précédent entretien que nous avions un collègue au CNRS qui se livre à des expériences bizarres…
– Le même que celui du Fly-tox.
– Oui, mais là il s’agit d’autre chose, on se demande sérieusement s’il ne fait pas des trucs en liaison avec une puissance étrangère ou avec une organisation terroriste, c’est pour cela que
j’aimerais qu’on reconstitue ce produit…
– Et pour le tester ?
– Vous avez des souris de laboratoire, non ?
– Non !
– Je vous en achèterai !
– Bon, on réserve notre réponse jusqu’à demain matin ! Propose Béatrice.
Voilà un contretemps qui ne sied guère à Olga.
« Ils vont réfléchir et estimer qu’il y a des chances que je ne dise pas la vérité sur mes motivations et donc ils refuseront ! Pire, ils peuvent se renseigner auprès du CNRS afin de savoir si j’y travaille vraiment ! »
Et puis un flash se forma dans le cerveau d’Olga, le souvenir du trouble de Béatrice lorsqu’elle avait croisé pour la première fois son regard.
Elle va donc en tenir compte dans ce qui n’est encore qu’une esquisse de plan :
– Si vous pouviez avoir la gentillesse de m’offrir un verre d’eau ou un jus de fruit et après je vous laisse.
Béatrice s’en va chercher ce qu’il faut en cuisine, Olga en profite pour confier au professeur :
– Quel dommage que vous ne soyez pas seul, j’aurais bien fait quelques petites galipettes…
– Vous êtes insatiable, vous !
– Non, ce n’est pas vraiment le mot, mais j’ai un bon souvenir de notre petite folie de l’autre jour.
Béatrice est revenue et a entendu la fin de la conversation.
– Ne fais pas trop de folies, mon petit professeur, à ton âge il faut surveiller ton petit cœur. Lui dit-elle.
– Oh, je n’ai pas été très discrète. Réplique Olga, qui en fait, savait pertinemment ce qu’elle faisait.
– Ça n’a aucune importance, je n’ai pas les oreilles chastes.
– En fait, je proposais à monsieur Martinov juste un petit massage relaxant… N’est-ce pas professeur ?
– Je n’ai pas dit « oui »
– Mais vous n’avez pas dit « non » ! On y va !
– C’est un massage relaxant ou une prestation sexuelle de nature à embobiner le professeur ? Intervient perfidement la belle chimiste.
– Mais enfin Béatrice ! S’offusque Martinov.
– Mademoiselle, je vais vous faire une proposition ! Rétorque alors Olga, venez avec nous et vous pourrez constater que je n’embobine personne.
Ça passe ou ça casse !
– Chiche !
Une fois en chambre, Olga demande au professeur de se déshabiller et de s’allonger. Il conserve néanmoins son affreux slip kangourou.
– Ah ! Dit alors la belle russe, je suppose que vous n’avez pas d’huile de massage ?
– Ben non !
– De l’huile d’olives, vous avez ?
– Oui ! Béatrice tu veux être gentille et nous apporter la bouteille d’huile qui est dans le petit placard.
– Mais bien sûr, monseigneur ! Se gausse-t-elle.
– Attendez ! Lui dit Olga, je ne voudrais pas me salir… Si vous aviez une blouse ?
– Nous avons !
– Et puis quelque chose pour bâcher le lit ?
– C’est tout, oui ? Vous ne voulez pas cent balles et un Mars ?
– Pardon ? Demanda la russe peu au fait de certaines subtilités de notre langue parlée.
Toujours est-il que Béatrice partit chercher tout ça et quand elle revint, Olga était en sous-vêtements, un très bel ensemble culotte et soutien-gorge dans les bleus-gris dont la vision troubla quelque peu la belle chimiste. Quant à Martinov il était tout nu, la quéquette à l’air.
– Tiens tu t’es débarrassé de ton slip ! Lui fit-elle remarquer.
– Pour masser les fesses, c’est beaucoup plus pratique ! Répliqua Olga.
– Je le conçois aisément.
Le professeur s’installa sur le ventre et la belle russe commença son massage.
Après quelques mouvements obligés sur la nuque, les épaules et le dos, elle attaqua les fesses du professeur, les malaxant comme s’il s’agissait de pâte à modeler.
Les mains écartent les globes fessiers, un doigt préalablement humecté d’huile d’olive vient s’immiscer dans l’anus du professeur qui se pâme d’aise.
– Vous êtes sûre que c’est un massage relaxant ! Persifla Béatrice.
– Evidemment ! Quoi de plus relaxant qu’un doigt dans le cul ?
– Si vous le dites ! Répondit Béa en riant !
– Vous savez, si ça vous tente, je peux masser deux personnes !
– Non merci !
– Vous n’aimez pas les massages ?
– Continuez donc à vous occuper du professeur.
– Les Grecs anciens avaient une façon de masser très originale, ils introduisaient des olives dans l’anus… Si ça vous tente et si vous avez des olives…
Martinov refusa, mais cette proposition fort bizarre interpella Béatrice qui se demanda quel effet cela pouvait bien faire.
Ses pensées vagabondèrent, alors qu’Olga passait maintenant ses mains entre les cuisses du professeur et lui palpait le scrotum.
Saisie d’une impulsion subite, Béatrice se dirigea vers la sortie de la chambre.
– Vous fuyez, chère amie ? Demande Olga.
– Pas du tout, je reviens de suite !
Et quelques courtes minutes après, notre coquine chimiste revenait avec un pot d’olives vertes à peine entamé !
– J’ai trouvé ça dans le frigo !
– C’est gentil de vous être déplacée, mais je ne pense pas que monsieur Martinov souhaite expérimenter ce genre de choses.
– Mais moi, je ne serais pas contre !
– Oh, la coquine ! Se gaussa Olga.
– Vous aviez bien dit que vous n’étiez pas contre le fait de masser deux personnes, si je ne m’abuse !
– Déshabillez-vous, Béatrice !
– En effet ce sera plus pratique.
Elle le fait et à la vitesse « grand V » au grand étonnement d’Olga qui était loin d’anticiper une telle disponibilité.
– Votre nudité vous va très bien ! La flatte la russe.
– Si vous retiriez vos sous-vêtements je pourrais juger de la vôtre !
– C’est prévu, soyez patiente ! Je te caresserai volontiers ces gentils nénés ! Réplique Olga.
– Si tu te mets à poil, je veux bien que tu me pelotes, sinon t’attendras.
– Alors soit !
Les deux femmes sont maintenant nues, face à face, c’est Olga qui la première ouvre les hostilités en portant la main sur les seins de la blonde chimiste, laquelle évidemment lui rend la pareille, Les visages s’approchent, les lèvres de Béatrice s’ouvrent comme par réflexe, la langue d’Olga s’y engouffre et le baiser devient brulant.
Béatrice est-elle d’ores et déjà tombée dans les griffes de l’espionne russe ? Elle se dit que non mais est-elle sincère ?
Dans ce petit face à face érotique, c’est Olga qui domine, non pas parce qu’elle est un peu plus grande que Béa, mais parce qu’elle a aussi été formée pour ça !
– Allez ma belle, couche-toi à côté de ton patron, je vais m’occuper de ton joli petit cul mais avant je dois m’occuper un peu de ce cher professeur, sinon il va croire que je le laisse tomber !
Ce dernier est invité à se retourner, ce qu’il fait exhibant une bite tendue comme un arc.
– Oh la jolie chose ! Je suis sûre qu’elle a besoin de cracher son foutre ! Je vais bien m’en occuper ! Dis-moi Béa, tu la suces souvent sa bite ?
– Si on te demande…
– Si on me le demande je ne dirais rien, mais viens donc la sucer avec moi, c’est délicieux de sucer une bonne bite à deux.
Les deux femmes se livrent alors à un étrange ballet, la langue de Béatrice faisant contact alternativement avec le gland du professeur et la langue de la russe. Celle-ci s’applique également tandis qu’une main coquine vient serrer avec une certaine énergie le téton droit du professeur… puis le gauche.
Le sang afflue au visage de Martinov, quelques gouttes de liqueur séminale dardent sur le méat. Les deux femmes se reculent de quelques centimètres laissant le foutre fuser sur leur visage.
Les deux coquines se lèchent le visage l’une l’autre en rigolant.
– Tu veux toujours les olives ? Demande Olga !
– Ben oui, je ne vais pas me dégonfler !
Béa s’affale sur la bâche posée sur le lit en relevant légèrement le croupion
– Je ne te masse pas, j’y vais direct !
– Fais comme t’as envie, ma belle !
– Je vais juste un peu lécher avant, ça va aider !
Prétexte fallacieux pour pouvoir lui lécher le cul, puisqu’aucune préparation n’est nécessaire pour introduire des olives dans un anus.
La langue d’Olga est diabolique, un véritable organe de plaisir.
– Il est délicieux ton cul ! Commente-t-elle, mais maintenant passons aux choses sérieuses, combien t’en veux ?
– Pas trop quand même ?
– Sept ?
– Vas-y !
L’introduction se fait facilement, après tout ce ne sont que des olives. Bea ne voit pas bien ce que ces olives lui apportent de plus par rapport aux boules de geisha qu’elle a déjà expérimenté (voir l’épisode 15 le chronoscope de Telius). Pourtant elle était demandeuse ? Alors pourquoi ? Bea ne saurait dire sinon que parfois le subconscient nous joue des tours… de cochon…
– Alors ça te fait quoi ?
– Pas grand-chose, mais je n’ai pas envie de les garder !
– Alors chie-les !
– Je vais aller aux toilettes !
– Non tu vas faire ça dans ma main !
– T’es complétement folle !
– Peut-être, mais explique moi pourquoi tu voulais tant que je te les introduise.
– Je ne sais pas…
– Si tu le sais !
– C’est tellement pervers !
– Allez vas-y
Olga mis ses mains en corolle devant l’anus de Béatrice, celle-ci poussa et éjecta en deux fois les sept olives
– J’en fais quoi ? Demande Olga avec malice.
– Je sais pas, on les jette ?
– C’est vraiment ça ton fantasme ?
– Parfois pour passer du fantasme à la réalité, ce n’est pas toujours évident !
– C’est vrai que si tu n’essaies pas ce ne sera pas évident du tout ! Regarde ces olives, elles sont à peine polluées. Juste un peu du jus de ton cul…
Béatrice en choisit une, la plus nette, et la dégusta
– Alors ?
– Alors, c’est moi la reine des cochonnes !
– Encore une ?
Béatrice en avala une deuxième, puis, cinq autres encore.
Olga pris la dernière !
– Tu permets ! Demanda-t-elle en la portant à sa bouche !
– Je t’en prie !
– Maintenant viens la chercher !
Les deux femmes s’embrassèrent alors, faisant se trimbaler l’olive entre leur palais.
– Je dois être dingue, mais maintenant je suis excitée comme une puce.
– Ça tombe bien, moi aussi ! Répliqua la belle Olga.
Et c’est en soixante- neuf que les deux femmes clôturèrent cette folle séance. Leurs cris de jouissance furent tels que le professeur se réveilla. Eh oui, ce brave homme avait piqué un petit roupillon et n’avait pas assisté à la séance d’olives.
– Et maintenant tu veux me regarder pisse, petit coquin ?
– Il y a des propositions qui ne se refusent pas !
– Alors ouvre la bouche…
– Mais le lit..
– Il est bâché…
– Alors ça va ?
C’est qu’elle avait une grosse envie la cosaque ! Et le jet tomba dru dans le gosier du professeur.
– Et moi, je ne peux pas gouter ? Intervient Béatrice.
– Mais bien sûr ma bibiche, il m’en reste quelques gouttes.
Après ces petites fantaisies les trois protagonistes redescendent boire un jus de fruit.
– Vous êtes vraiment charmants tous les deux ! Commente Olga. Alors pour ce que je vous ai proposé, vous avez pris une décision ?
– On vous a demandé un délai de 24 heures ! Répond Martinov.
– Un délai c’est normal, il faut bien que vous vous concertiez tous les deux, mais faut-il attendre 24 heures ? Voilà ce que vous propose, je vais aller faire un tour je reviens dans une heure,
peut-être que votre décision sera prise, et si elle n’est pas prise et bien, ma foi, j’attendrais.
– D’accord, faisons comme ça ! Répond Béatrice.
– Et souvenez-vous que si vous acceptez, vous pourrez encore me caresser, j’adore qu’on me caresse… Allez, à tout de suite.
A suivre
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