Vendredi 16 juin 2023 5 16 /06 /Juin /2023 08:39

Martinov 25 – Les agents secrets – 4 – Chinoiseries par Maud-Anne Amaro
asian

Zhang Lei, habitué aux sautes d’humeur et aux caprices de sa responsable hiérarchique ne bronche pas, il sait que cela ne servirait à rien.

– Je peux y aller ? Demande Li Xia.
– Non, j’aurais peut-être besoin de toi, assis toi !

La chinoise demande à Zhang Lei de se déshabiller complètement puis de s’assoir, elle le fait ensuite attacher par Li Xia.

– Camarade Wan, je sais que vous allez passer vos nerfs sur moi, je suis à vos ordres et je n’ai pas à les discuter, mais je considère que c’est profondément injuste.
– Li Xia ! Ma cravache !

Equipée de l’instrument demandé, la jolie chinoise frappe le pauvre Zhang de plusieurs coups sur la poitrine.

– Je me réserve le droit de faire un rapport au Bureau Central ! Déclare-t-il entre deux gémissements de douleur.
– Ils te demanderont si tu as des témoins !
– Li Xia témoignera pour moi !
– Qu’est-ce que tu en penses Li Xia ? Lui demande Wan.
– Il raconte n’importe quoi, en fait il a envie de se faire punir, il adore ça, une bonne punition ce serait de ne rien lui faire, hi, hi, hi !
– Pourquoi pas ? Si je vous permutais ?

Martinov2504Ne voulant pas se faire piéger, Li Xia s’enferme dans le silence tandis que Wan reprend ses coups de cravache.

Zhang s’est habitué à la douleur, son visage exprime un bonheur quasi extatique.

– Regarde-moi cette salope, il bande comme un cochon ! Fait remarquer Wan.

Du coup, elle lâche sa cravache pour venir lui pincer et tortiller les bouts de seins avec un plaisir sadique.

– C’est malin, je suis tout excitée, maintenant ! Déclare la chinoise en enlevant son pantalon puis sa culotte avec laquelle elle fait une boule et nargue Zhang.
– Elle est toute mouillée maintenant, tout ça par ta faute, je vais être obligée d’en changer ! Tiens lèche là.

Et comme ses mains sont restées attachées, elle porte la culotte devant sa bouche. Evidemment Zhang ne se fait pas prier et la lèche avec gourmandise.

– Dis donc Li Xia, ça ne te gêne pas de rester habillé, alors que je suis à moitié à poil.
– Je vais me déshabiller ! Répond ce dernier en s’exécutant.
– Oh, mais dis-donc ! Toi aussi tu bandes comme un cochon ! Approche-toi que je la voie mieux !

Elle s’empare de la bite de son collègue et la branle quelques instants.

– Qu’elle est belle ! Regarde-moi ça Zhang, une merveille avec ce gland qui brille, la petite veine, un vrai bijou !

Le Zhang en question n’est pas complétement fou et connait bien sa chef, il devine donc ce que sera la suite, mais ça ne le dérange plus du tout. Réticent au début aux fantaisies bisexuelles, d’autant que la chose est mal vue en Chine malgré qu’elle y soit désormais théoriquement tolérée, il s’en est accoutumé.et n’appréhende plus le contact d’une bonne bite que ce soit en bouche ou en cul.

– Suce-moi cette belle queue, pédé !
– Avec plaisir !

La bite de Li Xia s’étant maintenant approchée tout près du visage de Zhang, celui-ci peut la mettre en bouche et s’en régaler. Il en bave tellement ça lui plait.

– Tu deviens de plus en plus pédé, Zhang !
– Non, non ! Se défend-il en cessant un instant sa fellation, j’aime bien les femmes aussi.
– Attend j’aimerais bien la sucer aussi ! Dit-elle.

La bite passe attentivement de la bouche de Zhang Lei à celle de Wan Ting Koh. La chose dure un certain temps avant que la belle chinoise interpelle son collègue.

– Et maintenant, t’aimerais bien qu’il t’encule, n’est-ce pas ?
– Oh oui ! Oh oui ! Répond Zhang
– Hum tu te sens capable de nous enculer tous les deux ? Demande-t-elle à Li Xia.
– Euh…
– Bon, j’ai compris, alors ta bite ce sera pour moi.

Et sans plus attendre la belle chinoise se met en levrette en tortillant du croupion.

– Dis-moi qu’il est beau, mon cul !
– Il est magnifique !
– Fayot, tu n’en penses pas un mot ! Décris-le !
– Que je le décrive !
– Ben oui !
– Euh…. Comment dire : Joliment potelé mais sans graisse, un bel arrondi et au milieu le petit trou plus sombre.
– Très bien, alors tu ne sais pas : Le petit trou plus sombre, tu vas me le lécher, comme ça ta bite passera mieux.

Cela ne posait aucun problème à Li Xia qui s’empressa de lui lécher la rondelle avec application.

– Bon, ça devrait aller, il avait quel goût, mon cul !
– Ben un goût de cul !
– C’est quoi un goût de cul ?
– Légèrement âcre, on va dire !
– Ciel ! Me serais-je mal essuyé tout à l’heure ?
– Non c’était propre !
– Et il ne l’aurait pas été, tu aurais léché quand même ?
– Je pense, oui !
– T’est un vrai cochon, un jour tu me serviras de papier à cul !
– Mais avec plaisir !
– Je ne suis pas fauché avec des collaborateurs pareils, un pédé et un cochon ! Dit-elle sur un ton faussement courroucé. Maintenant fous moi ta bite dans le cul !

L’homme bandait comme un hussard et pénétra sa collègue d’un coup d’un seul.

– Eh ! Doucement, je ne suis pas une poupée gonflable !

Il se calma un peu et trouva la bonne cadence.

– Et moi je fais quoi ? Demanda Zhang.
– Tu te tais et tu prends des notes ! Plaisanta Wan.

La belle chinoise ne tarda pas à jouir sous les coups de butoir de son partenaire lequel se retira, la capote pleine de sperme en poussant un cri de dragon en détresse.

Dans son coin, Zhang se paluchait les yeux fermés.

Olga Boulganine attendit sagement le départ de Béatrice pour sonner à la porte du professeur.

– Alors cher ami, quelles sont les nouvelles ?
– Ma foi, je n’y comprends pas grand-chose, le type est venu avec une de ses collaboratrices, il a testé le gaz sur elle, ça l’a juste fait pleurer cinq minutes. Mais le bonhomme avait l’air content et il vient de me commander un deuxième Fly-tox.
– Bizarre ! Vous avez pu prélever un peu du produit ?
– Oui, bien sûr.

Le professeur alla chercher l’éprouvette et la tendit à Olga.

– Bien, je vous remercie, mais racontez-moi comment s’est passé ce test.
– Mais je viens de vous le dire…

Et soudain Martinov descend de son nuage et réalise (enfin) que la dame joue peut-être un drôle de jeu.

– Oui, mais j’aimerais des précisions, est-ce que le cobaye était loin du Fly-tox ? Reprend-elle
– Bon écoutez, je vous ai fait plaisir, vous m’avez demandé quelque chose, je vous l’ai donné. Maintenant on est quitte ou alors expliquez-moi ce que vous fabriquez réellement …
– Je fais des expériences, mon cher, ça vous convient comme réponse ?
– Bien obligé, si vous faites des trucs louches, vous n’allez pas me le dire !
– Répondez simplement à ma petite question et après je vous laisse tranquille !
– Le cobaye était à environ 1,50 m, le type lui a fait une pulvérisation complète. Ça va comme ça ?
– Et elle a juste pleuré ?
– Très peu de temps, moins de cinq minutes.
– Il s’est passé quelque chose d’imprévu, il faut que je trouve. Ne nous quittons pas fâchés, professeur.
– Je ne suis pas fâché !
– Alors un bisou ?
– Ecoutez, je me suis laissé avoir une fois par vos charmes, je ne regrette rien d’ailleurs, c’était très bien, mais « Errare humanum est, perseverare diabolicum ».
– Wāh, vous parlez latin ?
– Et vous, vous parlez quoi ?
– Le français, l’italien et le tchèque puisque c’est ma langue natale. Mais j’ai aussi un autre don, je sais lire dans les pensées.
– C’est ça, oui…
– Vous voulez que je vous dise à quoi vous êtes en train de penser en ce moment ? Minauda-t-elle.
– On va en rester là si vous le voulez bien !
– Vous êtes en train de vous dire « quel dommage qu’elle me cache quelque chose, sinon je me serais bien envoyé en l’air. »
– Je ne suis pas si obsédé que ça !
– Ah, bon, je croyais ! Bon, je vous laisse, mais rassurez-vous nous nous reverrons… pour notre plaisir à tous les deux.

« C’est qui cette nana ? » Se dit le professeur une fois la belle russe partie. « J’aurais dû l’envoyer promener dès le départ, Béatrice m’avait pourtant mis en garde ! »

Olga passe un coup de fil à Kopalski, un « spécialiste scientifique » de l’ambassade de Russie

– Tu peux m’attendre, j’ai une analyse urgente à faire
– C’est que…
– C’est un ordre, Kopalski.
– Puisque c’est un ordre ! soupira-t- il

L’analyse fur rapide :

– Ça contient du chlorobenzylidène malonitrile.
– De quoi ?
– C’est un gaz lacrymogène classique, mais dans ton truc il est dilué dans une grosse quantité d’hélium. Il y a juste de quoi faire pleurer une fillette émotive. Si tu croyais avoir trouvé une arme de destruction massive, tu t’es planté !
– Pizdek (merde)
– Comme tu dis ! Bon, je peux rentrer chez moi, maintenant ?
– Ben oui !
– Et tu peux me souhaiter bonnes vacances, je pars demain.
– Et si j’ai besoin de toi ?
– Personne n’est irremplaçable.

Olga décida de rentrer directement chez elle. La conduite automobile l’empêchait de bien réfléchir, mais la situation n’était pas si compliquée :

De deux choses l’une : Ou bien le lieutenant Malesherbes s’était fait abuser par une mythomane, ou alors le vrai gaz mystérieux n’avait jamais quitté le laboratoire du CNRS.

« Demain, je referais un point avec Malesherbes… »

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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