Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:04

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 11 Pute occasionnelle
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La tactique de la bande à Philibert est parfaitement rodée, ils n’interviennent pas toujours sur les mêmes routes rendant leur présence insoupçonnable..

J’ai pu ainsi assister à deux guet-apens assez basiques, faible butin et aucune résistance de la part des victimes.

Mais le troisième…

– Un carrosse, ce devrait être intéressant. Dit Robert
– Pas d’escorte ? Demande Philibert.
– Je n’en vois pas.
– Cela veut dire qu’il n’y a peut-être rien à voler
– Tentons le coup, on verra bien .

Les quatre hommes surgissent sur la route tel des diables et stoppent l’attelage en vociférant.

– On descend ! Ordonne Philibert

Une dame vêtue de beaux atours descend suivie de ce qui doit être une dame de compagnie.

Philibert commence à se lécher les babines car ces personnes ont belles allures, quand surgit brusquement une arrière-garde que personne n’avait vu venir…

Une fusillade éclate, heureusement je me tenais en retrait et j’ai eu réflexe de me dissimuler dans les fourrés. Je recule encore, et me retrouve devant une sorte de ravin, sans trop réfléchir je m’y précipite et m’y cache..

Je laisse passer plusieurs minutes avant de ressortir de ce merdier. Je suis dans un drôle d’état, piquée par les ronces et la cheville gauche douloureuse.

Je m’approche à pas de loup de la route. Le carrosse n’est plus là, les gens d’armes non plus mais j’aperçois les corps allongées dans leur sang de Robert, de Pierre et de Geoffrey. Je m’approche, les trois gaillards sont morts et bien morts ! J’ignore où est Philibert, soit il a pu s’enfuir soit il a été capturé..

Qu’importe après tout, je lui ai donné sa chance, j’ai eu quoi en retour ? Pas grand-chose, je devrais même dire rien de tout .

Il me faut donc à présent rejoindre la capitale et ne sais comment m’orienter .

Alors, je marche tout droit sans savoir si la direction est bonne

Au bout d’une demi-heure j’aperçois une auberge sur ma droite. J’y entre .

– Je viens d’être attaqué par des brigands de grands chemins, ils ont massacré mes compagnons, je n’ai plus un sou ! Annonçais-je.
– Et dans ce cas que puis-je faire pour toi ? Me répond la plantureuse patronne du lieu
– Il faut que je gagne Paris…
– Tout droit sur la droite.
– J’aurais aimé me reposer…
– Sans argent ça risque d’être compliqué.
– Je peux faire la vaisselle, le ménage…
– On a déjà ce qu’il faut pour ça
– Alors tant pis ! Quelle est la bonne route ?
– Je viens de te le dire ! Tout droit sur la droite. Mais il y a une journée de marche.

Un type vient alors chuchoter je ne sais quoi à l’oreille de la patronne.

– Je te fais une proposition. Me dit la patronne. Tu baises avec ce beau jeune homme, tu me files la moitié du prix de la passe et avec le reste tu pourras manger et dormir.

Je regarde le bonhomme, ce n’est pas Appolon, mais il y a pire. Je lui adresse un sourire idiot.

– Alors, on y va ? Je rêve de vous prendre dans mes bras.
– Profitez ainsi d’une jeune femme en détresse ! N’avez-vous point honte ? Minaudais-je sans grande conviction.
– Ma foi non puisque tout le monde y trouve son compte.
– Bon, vous y allez ou pas ? S’impatiente la patronne.
– On y va, on y va ! Répondis-je
– Venez, je vais vous ouvrir une chambre, mais d’abord les sous, jeune homme !.

– Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? Demandais-je au bonhomme.
– Que je vous baise !
– J’entends bien mais souhaitez-vous quelques spécialités ?
– Les pieds !
– Quoi les pieds ? Vous voulez me donner des coups de pieds ?
– Mais non, les lécher.
– C’est bon, on y va ! Je me déshabille ?
– C’est la moindre des choses !

S’il le dit…

Margot11
Une fois nue, (et lui aussi) je m’assois sur le bord du lit et lance mes petites gambettes à l’horizontale afin qu’il puisse les contempler.

Ça lui fait un de ses effets, sa bite est déjà en érection. Il se penche m’attrape le pied droit et le couvre de baisers…

– Ne me chatouille pas, tu seras gentil !

Et le voilà qui se met à me gober les orteils… Il n’est pas difficile le gars, mes pieds ont transpiré et ne sentent pas vraiment l’eau de Cologne.

C’est au gros orteil qu’il donne sa préférence, il le suce, l’enduit de salive et l’entortille avec sa langue, comme s’il pratiquait une fellation… Et ça le fait bander le garçon, il en a le gland tout violacé !

– Je n’en peux plus ! Ecarte tes roseaux que je pêche au large !

Ce doit être un poète !

– Mon petit minou est indisponible, mais je t’offre mon trou du cul ! L’informais-je. (je suis une menteuse, il n’a rien d’indisponible, mais je n’ai nulle envie de me faire engrosser.)
– C’est vrai ! Je peux t’enculer ? Me demande-t-il tout en joie.
– Puisque je te le dis !

Et tout en parlant je me pose en levrette, le cul tendu, les cuisses ouvertes. Le gars passe derrière moi, me crache sur le trou de balle (quelle classe !) et m’enfonce son machin à l’intérieur. Par vraiment doux, le client !

Il faut croire que ses couilles étaient prêtes à déborder, parce que l’enculage n’a même pas duré trois minutes. Il a joui en hurlant comme un cochon qu’on égorge et s’est retiré avec un air idiot. Moi je n’ai pas joui, mais ne dit-on pas que les putes ne jouissent jamais avec leurs clients ?

– Alors comme ça, t’es en galère ? Me dit le type en se rhabillant.
– Une longue histoire que je n’ai pas trop envie de raconter. Il me faut à présent regagner Paris, mais c’est loin.
– Une diligence passe demain midi, tu pourras l’emprunter…

On redescend, la patronne interpelle le client.

– Ça s’est bien passé ?
– Fort bien, cette jeune femme a de bonnes dispositions…. Et un joli cul ! Et des jolis pieds.

Whah, mon égo !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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