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Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 8 – Quentin, le régisseur
Et puis cette nuit-là…
Dès le soleil couché, nous quittons notre abri pour partir en reconnaissance, nous voilà rapidement au-dessus d’une zone avec un certain nombre de belles baraques plutôt espacées les unes par rapport aux autres.
L’une attire particulièrement mon attention, le jardin semble très mal entretenu à l’exception des rosiers entourant le perron, peu de lumières sont allumées.
La plaque d’entrée indique ou plutôt indiquait « Le Clos Pivert » qu’une main facétieuse a modifié en « La Clos Pinette ». Apparemment la plaisanterie ne date pas d’hier, preuve que l’endroit n’est pas entretenu sérieusement. Plutôt bon signe.
Je cherche une ouverture, mais tout paraît fermé à l’exception d’un soupirail aérant une cave. On entre.
On s’humanise quelques minutes afin de se concerter.
– On commence par visiter toutes les pièces éteintes et on refait le point, on avisera ensuite.
Seules deux personnes ont été trouvées dans leur chambre, une grand-mère dans un énorme lit et une autre femme dans une chambre modeste. Voilà qui peut être intéressant.
Il reste les deux pièces allumées, on commence par la cuisine que l’on découvre vide, on s’humanise dans le couloir, on n’a pas de plan précis, tout dépend de qui on va trouver.
– Je te laisse improviser ! Dis-je à Sidonie.
– Mais je fais quoi ?
– Ben justement t’improvises.
On entre, un type est en train de regarder des images animés dans une espèce de boite. Une télévision, m’expliquera-t-on plus tard.
– Hum !
Ça c’est Sidonie qui se racle la gorge. Le bonhomme se retourne et n’en croit pas ses yeux. Mettez-vous à sa place, il a devant lui deux jeunes femmes complètement nues et un homme dans le même appareil.
– Oh ! Qui êtes-vous ? Comment êtes-vous entrés ? Vous voulez quoi ? Balbutie-t-il.
– On est des nudistes, on a perdu notre chemin ! Répond Sidonie sans se démonter.
– Des nudistes ?
– Ben oui, on vient du camp de nudistes et on s’est égaré, on voudrait retrouver notre chemin.
– Mais qu’est-ce que vous racontez, il n’y pas de camps de nudistes dans le coin…
– C’est un camp privé !
– Il est où ? Vous avez l’adresse ?
– On a interdiction de la divulguer !
– Alors comment voulez-vous que je vous aide ? Et d’abord vous êtes entré comment ?
– Par la porte, c’était ouvert !
– A bon, j’aurais oublié de la fermer ! Bon je suis désolé, mais je peux rien pour vous. Et maintenant je vais vous demander de sortir.
– Demain on y verra plus clair, si on pouvait dormir là ?
– Mais attendez, ce n’est pas moi qui commande ici, je ne suis que le régisseur.
Le type a un souci, il bande come un taureau, il souhaiterais se débarrasser de ces importuns, mais d’un autre côté cette vision de rêve l’interpelle ! Comment faire ?
– Si vous aviez un verre d’eau ? Demandais-je, prétexte à installer notre présence dans la durée.
Il part en cuisine.
– Fallait pas faire ça, s’il prévient les gendarmes, on sera obligés de déguerpir. Me souffle Thomas.
C’est vrai, ces fameux « téléphones » ! Quelle invention débile !
On tend l’oreille, il ne prévient personne.
– Alors, vous nous hébergez ? Insiste Sidonie.
– Je peux essayer de me débrouiller, mais c’est un peu délicat, il y a des chambres vides… en étant discret peut-être…
Je n’arrive pas à comprendre comment les improvisations de Sidonie vont rejoindre notre plan, mais j’ai confiance, cette nana est pleine de ressources.
– Si vous nous hébergez nous pouvons vous offrir une belle contrepartie.
– Ah ? Et quoi donc ?
– Un gros câlin par exemple ?
– Ben…
– Ben quoi ?
Sidonie s’approche de lui et me fait signe de venir aussi.
– Tu nous a pas dit ton petit nom ,
– Quentin.
– Quentin, si tu veux on peut être très coquines. Nous sommes de nudistes libertins.
Je n’en reviens pas, c’est maintenant Sidonie qui prend ce genre d’initiatives, sous ses abords réservées, cette fille devait avoir des prédispositions !
– Je vais peut-être me laisser faire ! Dit-il alors.
Mais ce qui me surprend, c’est que tandis qu’on s’apprête à s’occuper de lui, il lorgne avec insistance sur la bite de Thomas.
– Monsieur va regarder, je suppose ? Demande Quentin.
– Tu veux qu’on lui demande d’aller à côté ?
– Non, non, moi, ça ne me dérange pas du tout.
– Vous voulez que je participe ? Demande Thomas.
– Pourquoi pas ? Plus on est de fou…
Thomas s’approche en se masturbant, l’autre n’en peut plus.
– Vous avez un très belle bite, Monsieur !
– Tu veux la caresser ?
– Ah, oui, je veux bien, ça ne vous choque pas, mesdemoiselles ?
– Mais pas du tout ! Mais on fait quoi, nous, on vous regarde, ou on fait un grand mélange ?
– Une partouze en quelque sorte ?
– On va appeler ça comme ça !
– Alors partouzons !
Quentin a pris la bite de Quentin dans la main et la branle en bavant d’excitation.
– Je peux sucer ?
– Mais bien sûr, mais après tu me laisseras sucer la tienne
– Oui, bien sûr !
– Si tu te déshabillais, ce serait plus cool, intervient Sidonie, décidemment en pleine forme ce soir.
Le Quentin ne fait ni une ni deux et envoie valser, pantalon, culotte, maillot et même ses chaussettes. Puis après cet intermède il prend en bouche la bite de Thomas et commence à lui prodiguer une fellation en règle.
– J’avais jamais vu ça ! Me confie Sidonie.
– Ça te choque ?
– Non, c’est même un peu excitant.
– Et attends, t’as rien vu, ils vont peut-être s’enculer !
– Oh ! Ça doit être super de voir ça !
Ça pour être excitée, elle est excitée, la Sidonie ! Je lui fourre mes doigts dans sa chatte, elle se laisse faire en gémissant d’aise.
Reste à savoir ce qu’on fait, on les laisse faire ou on entre dans la danse. Quentin semblait préférer le deuxième choix.
Je retire ma main toute poisseuse de la chatte de Sidonie et passe derrière Quentin, je lui attrape les tétons de mes doigts et les pince fortement. Apparemment il apprécie tout en continuant sa turlutte.
Sidonie ne sait trop comment s’intégrer dans notre trio, elle me fait rire. Je lui fais signe de prendre ma place, j’ignore si elle a déjà prodigué cette caresse, mais elle n’a rien de compliquée.
Je vais voir du côté de Thomas, ou plutôt derrière Thomas, je lui écarte ses globes fessiers et lui prodigue une feuille de rose sur son trou du cul. Puis quand l’endroit devient suffisamment mouillé, j’y introduit un doigt en le faisant aller et venir en cadence. Il est gâté le garçon : sucé par devant, doigté par derrière !
Petit changement de tableau puisque Thomas fait savoir à son partenaire qu’il aimerait bien à son tour profiter des joies de la sucette.
Donc Thomas se penche pour faire turlutte à son camarde de jeu. Du coup Sidonie se prend elle aussi d’une envie fellatrice. Elle a le choix, ou la bite de Thomas pour elle seule, ou celle de Quentin qui lui faudra partager.
Mais comme je suis très joueuse, je contourne Thomas, abandonnant mon doigtage pour venir mettre sa bite en bouche. Du coup quelle que soit la cible choisie, Sidonie sera obligée de partager !
Mais elle est décidemment aussi joueuse que moi, et décidant de refuser de partager une turlutte, sa langue trouve le chemin de ma chatte. Je n’allais tout de même pas lui refuser ce doux plaisir !
On s’enchevêtre tant et si bien qu’on a du mal à savoir qui suce qui, qui lèche qui caresse qui.
Un moment, Quentin se dégage.
– Je vais chercher des capotes ! Nous informe-t-il.
C’est ça le 21ème siècle, des téléphones, des automobiles, des vêtements moches, des poils rasés… et des capotes :
Quentin et Thomas s’échangent des politesses, je crois comprendre qu’ils se demandent lequel des deux va enculer l’autre. Ils ont rigolos ! Finalement c’est Quentin qui se met en position, offrant son anus Thomas. Ils vont pour s’emboiter, et nous laisser en plan.
Alors je me positionne devant Quentin, me tourne et me met à dodeliner du croupion.
Message reçu, l’emboitement se fera à la chaine, Quentin m’encule tout en se faisant enculer par Thomas.
Sidonie s’assoit dans un fauteuil et regarde le spectacle avec fascination tout en s’astiquant le bouton.
On a mis un petit moment avant de se synchroniser correctement mais maintenant tout roule.. De bonnes vibrations irradient mon anus, je commence à piailler.
– Ne faites pas trop de bruit ! S’inquiète Quentin, il ne faudrait pas réveiller Helga.
D’accord, je vais me contrôler et quand ma jouissance arrive, j’en étouffe le cri. Quentin décharge à son tour quelques instants plus tard.
Je vais pour lui nettoyer la bite, mais y renonce, je n’aime pas le goût des capotes.
Thomas qui n’a pas joui, sort du cul du régisseur et retire sa « protection ». Voyant alors que la bite est disponible, Sidonie se précipite dessus et l’engloutit de sa bouche. L’homme est surpris mais ravi.
Quelques secondes plus tard, Sidonie se retrouvait avec la bouche rempli de sperme. Elle me regarde, ne sachant que faire. Alors partant du principe que s’il y en a pour une, il y en a pour deux, je l’embrasse à pleine bouche afin de partager cette douce crème. Je craignais que Sidonie soit réticente, mais non.
On souffle cinq minutes, Quentin distribue de l’eau et des cigarettes…
– Bon maintenant je vais changer de chanson ! Me prévient Sidonie, espérons que ça fonctionne.
– Bon venez avec moi, je vais vous trouver des chambres…Commence Quentin
– Attends cinq minutes, on va te raconter un truc !
– Ah ?
– C’est quoi tes fonctions ici ?
– Je suis régisseur !
– Ça consiste en quoi ?
– M’occuper du manoir, faire les réparations, l’entretien, avant je faisais ça avec ma femme, j’avais une baraque à l’extérieur, mais ma femme est partie avec un garçon coiffeur. Et puis la vieille a réduit son budget, alors j’assure le minimum, y’aurait tant à faire. Tout se dégrade.
– Vous êtes combien ici, ?
– A part la vieille, il y a juste Helga qui fait la cuisine et le ménage.
– Ça paye bien ton job ?
– Non, mais je suis nourri et logé, c’est toujours mieux que d’être au chômage.
– Et si on t’offrait bien plus ?
– M’offrir quoi ?
– Une autre vie ?
– En quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, mais on va dire que ça nous arrange !
– Pardon ?
– On va t’expliquer !
Il est amusant, Quentin, le revoilà, qui l’air de rien se met à caresser Sidonie. Qu’il continue, ça va le mettre dans de bonne dispositions.
– Attends toi à un choc ! Mais dis-toi bien que tu vas y trouver ton compte.
– J’espère qu’il n’y a rien de louche.
– C’est pas louche, c’est un secret militaire !
– Pardon ?
– On va te dire la vérité, on n’est pas des nudistes, on s’est échappé d’un laboratoire militaire et tu sais ce qu’ils font dans ce laboratoire militaire ? Commence Sidonie
– Ben non !
– Des recherches sur l’immortalité !
– Ah ?
– Et ça marche, nous trois on est immortel, enfin pas complètement, mais on ne vieillira jamais on est insensible aux maladies et en cas d’accident on peut se régénérer.
– Pourquoi vous me faites marcher ?
– Et on peut même se transformer en chauve-souris.
– Ben voyons !
– Je vais le faire devant toi, pour te prouver que je ne raconte pas de conneries. Mais tu vas être effrayé, faudrait pas que tu cries et que tu réveilles tout le monde !
– Mais non !
– Oui, ben il faut mieux prendre ses précautions, on va te bâillonner.
– Certainement pas !
– Ou est le problème ? On ne t’attache pas, on te bâillonne, c’est juste pour t’empêcher de crier.
Il s’est finalement rendu à la raison et sur mon signal se Sidonie se transforme en chauve-souris.
Quentin est tout blanc, il finit par retirer son bâillon.
– Je n’y crois pas, c’est de la prestidigitation !
– Ah, bon ?
Sidonie se pose sur son épaule, puis sur sa cuisse et se rematérialise en femme vampire.
– Vous êtes très forte ! C’est quoi votre truc ? Je sais, vous n’allez pas me le dire, les magiciens ne dévoilent jamais leurs secrets..
C’est fou ça, il y a deux siècles, les gens étaient bien plus crédules ! S’il n’accepte pas de lui-même la situation, il va falloir que je rentre dans son esprit pour le forcer, mais cette méthode a deux inconvenants, d’abord, elle me fatigue, et puis, le type peut toujours garder quelque part l’impression d’être manipulé. Mais puisqu’on ne peut pas faire autrement…
C’est parti ! Je le regarde bien dans les yeux.
– Il n’y a pas de trucs de magiciens, en vérité nous sommes des vampires, les vampires ça existe, et si toi aussi tu deviens vampire tu auras la vie éternelle.
– C’est tentant, mais pourquoi me proposez-vous ça à moi ?
– Parce que ça nous arrange, parce qu’on a un plan et disons que tu as de la chance de faire partie du plan.
– Un plan ?
– Qui habite ici ? Nous avons vu deux chambres occupées, seulement deux chambres !
– Madame Lonsec, elle est vieille, mais solide et elle a toute sa tête.
– Elle reçoit beaucoup ?
– Non, il ne vient jamais personne, elle s’est fâchée avec ses enfants… des histoires de fric…
– Parfait, et l’autre personne ?
– Helga. elle est femme de ménage et cuisinière, une brave femme, très courageuse.
– Quel âge ?
– 40 et des brouettes.
– Vous couchez avec elle ?
– Mais qu’est-ce que ça peut vous faire ?
Oh ! Faudrait pas qu’il se rebelle le Quentin !
– C’est juste pour connaître votre degré d’intimité avec elle, c’est pour le plan…
Et en lui parlant, je le regarde de nouveau droit dans les yeux. Ça commence à me fatiguer tout ça !
– Ça m’arrive de la baiser, pas souvent, environ deux fois par moi, on n’a jamais développé des relations… comment dire…
– J’ai compris… Alors maintenant tu vas être très gentil, tu vas te laisser mordre gentiment, tu vas tomber dans les pommes et quand tu te réveilleras tu seras un vampire.
– On peut faire ça à l’essai ?
Mais il est con ou quoi ?
– La procédure existe, mais je ne la connais pas.
– Oui mais c’est trouvable ?
– Quand on cherche on trouve !
– Vous n’allez pas me tuer, au moins ,
– On aurait voulu te tuer, il y a longtemps que ce serait fait.
– Alors allez-y !
– Autant te prévenir tout de suite, quand tu vas te réveiller, tu vas avoir envie de mordre, il te faudra attendre qu’on conditionne Helga, après ça ira tout seul
Je demandais à Thomas d’opérer, normal , c’est lui qui avait le plus soif !
– Bon maintenant, Sidonie, viens avec moi, on va s’occuper de cette Helga.
– C’est quoi ton plan ?
– Je vais vous expliquer.
– Vous savez ce que c’est que les fiancées des vampires ?
Thomas et Sidonie me font signe que non.
– Alors j’explique ! On ne va pas passer notre temps à sucer le sang de tous les péquins qui nous tombent sous la main. On finira un jour par se faire repérer. Il existe une autre solution, c’est la morsure lente. C’est un peu long, mais c’est très pratique, la personne que l’on mord n’est pas un vampire complet, elle ne peut pas se transformer en chauve-souris et elle conserve son sang, le renouvelle très vite et peut se nourrir normalement et même se balader en pleine lumière. L’avantage c’est que la personne mordue de cette façon va constituer une réserve de sang renouvelable.
– Inépuisable ?
– Non, au bout d’un moment elle se transforme toute seule en vrai vampire, mais on sera tranquille plusieurs semaines, voire plusieurs mois.
– Et pourquoi on n’a pas fait ça avant ? S’étonne Sidonie.
– D’abord parce que c’est long, et puis parce que la victime peut refuser de collaborer et s’enfuir dans la nature, il faut une préparation mentale, Il faut donc qu’on soit un peu peinard et qu’on ait du temps devant nous. Ici on est tranquille.
Je monte avec Sidonie dans la chambre d’Helga, elle ronfle comme une bienheureuse, elle a dégagé ses draps, sans doute à cause de la chaleur de la pièce, c’est une blonde d’environ quarante ans un peu enveloppée, le visage est très doux. Ma foi je lui ferais bien un câlin, mais nous ne sommes pas venues pour ça !
– On la réveille ? Me demande Sidonie.
– Bien sûr que non ! On va faire ça maintenant, quand elle se réveillera, elle pensera avoir rêvé et ce qu’on lui expliquera passera tout seul. On y va, regarde bien comment je fais.
En fait il s’agit de procéder à une vampirisation lente et incomplète. Et comme c’est lent ça prend du temps.
Une fois le sang pompé, il faut agir lentement sur la cicatrice avec la langue et les lèvres imprégnées de salive afin de stopper l’hémorragie.
Une fois Helga préparée, nous redescendons après avoir pris soin de fermer les volets afin de ne pas être dérangé au petit matin, par la lumière de l’aube quand je reviendrais la voir.
– Pour Madame Lonsec, vous avez prévu, quoi ? Nous demande Quentin en se réveillant de sa torpeur.
– Justement je voulais en parler. On pourrait faire pareil que pour Helga. Elle est comment du point de vue santé ? Demandais-je
– D’apparence solide mais d’une santé chancelante, on va dire. Elle a du mal à marcher et elle ne peut plus se servir des escaliers, elle est à moitié sourdingue et ne voit plus bien clair. Elle passe son temps entre sa chambre et le salon du premier, elle bouquine, elle regarde la télé, Helga lui monte ses repas et s’occupe de ses médocs. Finalement elle n’est pas chiante.
– Mais c’est parfait ça ! Elle a des héritiers ?
– Son petits fils, un connard qui ne vient jamais la voir, il possède un garage à Orléans.
– Le seul héritier ?
– Oui, sa fille est morte dans un accident de ski, il y a dix ans…
C’est embêtant, ça, je serais bien restée ici, cette baraque pouvant nous servir de base, mais si elle claque, ça ne va pas le faire. Alors ? La vampiriser totalement ou partiellement, mais son état de santé lui fera-t-elle supporter ce genre de choses ? On ne va pas prendre de risques. Je vais réfléchir, il y a surement une solution.
– J’ai comme une envie de mordre ! Nous dit Quentin.
– C’est normal, attends un peu.
– Non, non ! J’ai trop envie.
– On va régler ça, mais il e faut un peu de patience. En attendant, essaie de t’endormir.
En fait je l’ai un peu aidé à s’endormir après que je lui ait expliqué ce qu’il devrait dire à Helga demain matin, et qu’ils nous ai trouvé des fringues.. Puis nous avons tous somnolés dans le salon,
A suivre
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