Thémes abordés : bisex féminine, domination soft, spermophilie, uro, voyeurisme, exhibion, domination soft, uro
Bonjour ! Pour cette histoire je me prénommerais Rachel, et on va dire que
j’ai 25 ans ; que je mesure 1 m 75, que je fais du 95 D, que je suis rousse
avec plein de tâches de rousseurs ! Ça vous ira ? Oui bien sûr, et puis
évidemment je suis très coquine ! Ce récit commence une nuit de vendredi par
un chaud mois de juillet. Sylvain, mon compagnon, et moi avions réservé une
table dans un bateau-restaurant flottant au milieu d’un magnifique lac de la
région. Nous avions aussi prévu une baby-sitter pour garder notre fils
durant toute la soirée. L’agence nous avait envoyé Alexia, nous ne la
connaissions pas, une fille d’une vingtaine d’année, étudiante en histoire.
Nous n’étions plus sortis depuis longtemps et en vérité Sylvain ne m’avait
précisé que ce matin qu’il allait s’agir en fait d’une sorte de petite
croisière au cours de laquelle nous pourrions rencontrer des couples aussi
sympathiques que le nôtre car nous avions depuis fort longtemps le désir
secret de vivre l’expérience de l’échangisme avec des inconnus. Nous
pratiquions jusqu’ici cette pratique mais uniquement avec un nombre limité
de personnes. Cette petite croisière, organisée par un club privé était pour
nous l’occasion à ne pas rater.
Pour l’occasion, il m’avait aussi offert des dessous affriolants, aussi sexy
et osés que ceux vendus dans les sex-shops. Je pense que bon nombre de
lecteurs aimeraient me voir dans cette tenue. Ma jupe, tout en latex rouge,
recouvrait juste mon intimité. Je veux dire par là qu’elle était vraiment au
ras du sexe, épilé pour l’occasion. Pour une fois, Sylvain m’avait conseillé
de ne pas porter de culotte. Le fait de me sentir presque toute nue sous le
regard des hommes m’excitait à l’avance ! Un petit corsage blanc retenait
difficilement mes deux globes qui pointaient, supportés par un minuscule
soutien-gorge. Les regards, autour de moi, pensais-je, se feraient de moins
en moins discrets…. Tous, j’en étais certaine, n’auraient plus qu’une idée
en tête : me bourrer ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, je me
dandinais un peu devant lui, ce qui le faisais bander très dur.
Intérieurement, j’étais très satisfaite de l’avoir mis dans cet état. Il
commençait à me peloter. Je protestai que la baby-sitter allait arriver d’un
instant à l’autre et refusai qu’il me touche, mais il ne voulait rien
entendre : il voulait me baiser tout de suite ! Réellement, je voulais avoir
sa grosse bite dans ma bouche, mais plus tard, pendant la croisière. Je
persistai dans mon refus et il se calma un peu.
Alexia arriva à 19 h 15. Elle eut une expression un peu bizarre en
remarquant ma tenue mais m’avoua qu’elle me trouvait réellement très belle.
Ce compliment, venu d’une jeune fille de 20 ans, me rendit toute fière.
Elle rajouta que mon compagnon avait beaucoup de chance d’avoir une femme
aussi excitante. Je lui dis alors comment il avait eu envie de me sauter
dessus il y avait juste cinq minutes. Elle émit un petit gloussement tout en
rougissant. Alexia était une fille très douce, blonde avec la peau très
claire… Je lui donnais les instructions pour la nuit : la télévision pour
notre fils, l’heure à laquelle elle devait le coucher, etc… Et puis
Sylvain nous ayant rejoint, nous sommes sortis de la maison.
Nous étions à la porte du garage quand une voiture s’arrêta à hauteur de
notre portail. La portière s’ouvrit côté chauffeur et quelqu’un vint vers
nous. C’était Bob un voisin qui habitait un peu plus bas. Quand il me vit,
il restât bouche bée. Il ne m’avait jamais vue, vêtue de cette façon. Je
ressentis une sorte de gêne. Personne ne m’avait encore vu habillée comme
ça. Je lui souris et lui demandai ce que je pouvais faire pour lui. Il me
répondit avec un grand sourire et tout en me regardant il préféra ne pas me
dire « comment je pourrais lui être utile ». Il me complimenta sur ma tenue
tout en regrettant que sa femme n’ait pas un » look » aussi sexy et sans
être du tout gêné par la présence de mon compagnon…. Je le remerciai du
compliment, mais lui expliquai que je devais partir tout de suite. Il resta
un moment silencieux en ne cessant de me dévorer des yeux, tandis que
j’entrais dans notre voiture. C’est alors que je sus ce qu’il venait faire
ici, il nous dit être à la recherche de son chien qui s’était échappé. Pour
cela il se pencha et je devins toute rouge quand je compris que Bob avait
ainsi obtenu une bonne vue de mon minou tout lisse. Je fermai ma portière et
descendis ma vitre alors que Bob s’approchait de plus en plus. Il était
debout devant moi, mon visage à hauteur de sa braguette. Je ne pouvais voir
son visage mais je savais ce qu’il regardait. Le haut de son pantalon,
devant moi, commençait à se gonfler. Mes seins, serrés dans le corsage
débordaient presque du soutien gorge. Mes mamelons étaient durs et visibles.
Je mis tout à coup ma tête au dehors. Il recula juste à temps. J’avais
presque collé ma joue droite contre son entrejambe. Je lui répondis que je
n’avais pas vu son chien et que nous devions réellement y aller. Il me
remercia et se dirigea précipitamment vers son véhicule. J’étais persuadée
qu’il allait se masturber….
Nous roulions depuis un bon moment, mais la circulation en plein week-end
était très difficile. A quelques kilomètres du lac, l’intensité de nos
phares baissa exagérément, si bien que nous avions dû pousser la voiture sur
le bas-côté de la route. Un dépanneur de l’autoroute qui passait au même
moment avertit sa station et voulut bien nous aider. Sylvain et lui
trifouillèrent quelques temps sous le capot et au bout de 10 minutes la
voiture redémarra. Mais, déjà nous savions que le bateau ne nous avait pas
attendu. Nous avons remercié le mécanicien après l’avoir payé. Avec Sylvain
nous nous sommes posé la question, essayer d’aller ailleurs ? Mais nous
étions tellement déçus d’avoir raté la croisière que finalement nous avons
opté pour un retour vers la maison…
Alexia ne nous avait manifestement pas entendu rentrer. Sylvain gagna la
cuisine et je me dirigeais vers les toilettes afin de calmer une envie de
pipi qui commençait à se faire pressante. Et c’est une fois dans le couloir,
que je commençais à entendre des bruits étranges venir de la chambre.
J’entendais les gémissements de plus d’une personne. Il était certain que
ces bruits provenaient de gens faisant l’amour. Plus curieuse qu’effrayée,
je me dirigeais à pas lent vers la porte. Je ne savais pas si je devais
continuer où retourner vers la cuisine. J’imaginais déjà Alexia se faisant
bourrer par un de ces copains, je m’apprêtais à faire un scandale, mais d’un
autre côté l’idée de la surprendre en de train de pomper une bonne bite
m’excitait. Je retournais vers la cuisine où je racontais tout à Sylvain. On
pensa qu’il serait amusant de se diriger doucement vers eux pour en savoir
plus.
- Mais faisons vite, je n’ai pas fais pipi, pour ne pas qu’ils puissent
entendre le bruit de la chasse !
- Et bien pisse ici ! Me répondit Sylvain, imperturbable !
Je reconnaissais bien là l’esprit délicieusement pervers de mon coquin de
compagnon.
- Je ne vais quand même pas faire par terre ? Rétorquais-je
Jamais à court d’idée il sortit du buffet de cuisine un joli compotier en
verre, en me précisant que cela devrait faire parfaitement l’affaire ! Je
plaçais donc l’objet entre mes cuisses et entreprit de le remplir de mon
urine tiède sous le regard émoustillé de Sylvain qui ne ratait pas un
instant de cet insolite spectacle. Lorsque je voulu m’emparer d’une feuille
d’essuie tout afin d’éponger les dernières gouttes, il me précisa que sa
langue ferait bien mieux l’affaire, et avant que j’ai eu le temps de
protester, il avait son visage entre mes cuisses. Je le laissais faire
quelques instants puis le repoussais, lui rappelant qu’il nous fallait aller
voir ce qui se passait à l’autre bout du couloir !
Une fois prés de la porte de la chambre il nous sembla entendre celui que
nous supposions être le partenaire d’Alexia lui dire plein de mots cochons.
Nous pouvions l’entendre gémir à travers le mur. Mais tout à coup, une autre
voix se fit entendre, celle d’une autre fille. Mais combien étaient-ils là
dedans ? Sylvain m’adressa un petit sourire et poussa doucement la porte :
Surprise ! Notre petite baby-sitter était absolument seule, mais regardait
tout simplement une de nos cassettes vidéos érotiques ! On pouvait de
l’endroit où nous étions placés, distinguer l’écran, et là la situation
devenait un peu embarrassante, car Alexia ne regardait pas une cassette du
commerce, mais une vidéo personnelle prise au cours de nos soirées coquines,
elle était assise sur le parquet, son pantalon, son t-shirt, son soutien
gorge et sa culotte à côté d’elle. Elle regardait attentivement la
télévision, une main glissée dans son entrejambe, frottant furieusement son
sexe.
Sur l’écran, on pouvait voir ma grande sœur, Gina, se faire défoncer comme
une vraie chienne par Sylvain. Tandis que Désirée, le petit ami de celle-ci,
un grand noir, me clouait sur le plancher avec sa grosse bite dans ma
chatte.
Avec Sylvain, stupéfait, debout prés de la porte, on ne savait que faire.
Alexia n’allait-elle pas raconter à tout le quartier nos aventures filmées ?
- On fait quoi ? chuchotais-je
- On va lui donner un petit spectacle, excitée comme elle est, elle devrait
se joindre à nous. Et comme ça elle ne pourra rien répéter…
Ce plan me paraissait bien hasardeux, mais comme je n’avais rien d’autre à
proposer, je pris la décision de pénétrer dans la chambre, précédant mon
compagnon… Alexia avait deux doigts dans son minou qu’elle portait souvent
à sa bouche. Elle ne remarqua pas notre présence, emportée par la
jouissance. Sylvain, à l’entrée de la chambre, commença à me malaxer les
seins, émoustillé par le spectacle. Il avait atteint le devant de mon
corsage et tirait mes seins dehors, massant un des mamelons en érection. Je
sentais sa bite toute raide à travers son pantalon.
Au moment où Sylvain sortit sa bite et releva ma jupe, Alexia se retourna et
s’écria paniquée :
- Oh, mon Dieu !
Faisant comme s’il n’avait rien entendu, Sylvain continua à relever ma jupe,
me fit écarter les jambes et m’encula aussi sec, sous les yeux effarés de la
baby-sitter. Cette dernière restait pétrifiée, n’osant dire un seul mot, les
yeux fixés sur notre couple lubrique. Au moment où Sylvain déchargea dans
mon cul et se retira exténué, Alexia se mit à parler.
- Excusez-moi « , dit-elle, » Je suis désolée… Mais le petit est couché, il
dort, je voulais regarder une cassette, et je suis tombé sur celle-ci…
Elle était réellement troublée. Elle s’efforçait de cacher son corps avec
son tee-shirt ramassé à la hâte
- Rhabille-toi ! Ordonnais-je bien hypocritement car je n’avais pas du tout
l’intention qu’elle le fasse.
Comme je l’avais plus ou moins prévu, elle se retourna pour commencer à
s’habiller, nous offrant alors le spectacle d’une jolie paire de fesses !
- Quel joli cul ! On devrait de punir, te donner une fessée pour avoir osé
fouiller dans nos cassettes personnelles.
Je lui dis ça avec un ton, laissant présumer que ce genre de jeu
m’intéresserait beaucoup ! Malgré tout Alexia n’entra pas dans notre jeu, et
avait déjà remis son tee-shirt mais en oubliant le soutien gorge. Sylvain en
rajouta alors une « couche » :
- D’accord Alexia, on te donne une fessée, et on ne parle plus de cette
affaire, rassure-toi ce sera juste une fessée symbolique, on ne va pas te
brutaliser, nous avons horreur de la violence gratuite l’un comme l’autre.
- Alors je suis d’accord ! répondit-elle
Je m’assis alors sur le bord du lit, demandais à la baby-sitter de se
remettre nue et de venir s’étaler en travers de mes genoux, puis je
commençais à la fesser du plat de la main. Son cul devint rapidement très
rouge, elle gueulait, mais elle mouillait autant qu’elle gueulait, si bien
qu’après une vingtaine de coup, je décidais d’arrêter de taper, et
humidifiai mon index avec sa mouille, puis lui en pénétrais le trou du cul.
Alexia poussa de petits gémissements.
- T’aime ça qu’on te foute un doigt dans le cul, hein petite salope ?
- Ah ! oui, j’aime ça , encore, encore !
- Dis le que tu es une petite salope !
- Je suis une petite salope !
Du coup et vu ses bonnes disposition je la pénétrais d’un doigt
supplémentaire, et pendant ce temps là, Sylvain se masturbait en jouissant
du spectacle. Puis il s’approcha de la fille, prit sa bite à pleine main et
la dirigea vers la bouche de la baby-sitter. Il est poli mon compagnon, il
demande toujours, d’autant que sa bite sortant fraîchement de mon petit cul
de salope n’était pas vraiment nettoyée, encore pleine de sperme et de jus de caca…
- Tu veux me sucer ?
Pour toute réponse, elle ouvrit une large bouche invitant la bite à venir
lui remplir le palais.Il me sembla qu’elle l’avalait presque entièrement.
Elle commença tout de suite à sucer comme l’aurait fait une vraie
professionnelle. Cette fille avait dû bien regarder nos cassettes.
- Si vous voulez me prendre, je me laisse faire ! Précisa-t-elle !
Mon compagnon, ne se le fit pas dire deux fois, il se retira, s’empara d’un
des préservatifs qu’il avait emportés précautionneusement dans ses poches
avant notre tentative d’escapade, s’en revêtit la bite et l’approcha de sa
chatte. Puis il la pénétra. Elle en redemandait déjà, et réclamait de
Sylvain qu’il la bourre plus profondément, ce qu’il fit sans se faire prier.
Au bout de deux petites minutes, il commença à la ramoner sérieusement, si
bien qu’elle finit par se tordre dans tous les sens. Sylvain, excité comme
jamais, criait qu’il allait arriver.
Alexia lui supplia alors de venir s’éclater dans sa bouche. Elle venait de
voir ma sœur Gina sur l’écran, pomper et avaler le foutre de Sylvain et elle
voulait en faire autant
- Je veux bien, mais il faudra que tu suces ma femme après, elle a aussi le
droit de jouir, non ?
- D’accord, d’accord !
Aussitôt une douche de sperme coula au fond de sa gorge. La
petite coquine avala la totalité et se passa la langue sur les lèvres en
prenant soin de nous regarder, comme pour nous demander de porter une
appréciation sur sa performance. Sur l’écran de la télévision restée
allumée, on me voyait en gros plan me faire prendre des deux côtés par mon
beau frère accompagné de Sylvain pendant que Gina tenait la caméra.
Je me couchais sur la moquette !
- Allez viens !
Alexia vient placer sa langue entre mes cuisses, et commença à me lécher
autour de mon sexe, puis s’attarda sur mes grandes lèvres qu’elle pompait de
sa bouche, elle fit ensuite de longs mouvements de langue sur ma vulve. Elle
mit ses mains en avant pour m’attraper les bouts de mes seins qu’elle pressa
alors, tandis qu’elle attaquait mon clitoris, à ce régime là je ne résiste
pas bien longtemps et je finis par hurler mon plaisir. Puis sans trop savoir
comment on s’est retrouvée toutes les deux, bouche contre bouche à se rouler
un patin long, sensuel, reposant, relaxant.
Puis ce fut le calme, on s’est désaltéré, on s’est douché, on s’est
rhabillé, on a causé de choses et d’autres puis. Alexia a pris congé de nous
! Sur le pas de la porte, Sylvain lui a tout de même demandé :
- La prochaine fois qu’on refera une partie avec Gina et Désirée, ça te
dirait de venir avec nous ?
- Bien sûr, obsédé ! Répondit-elle en lui mettant la main sur la braguette.
Texte adapté par Marie-France V.
intitulé « Mon mari, la baby-sitter et moi », on en trouve la première trace
sur l’Internet en 1997 sur un site de confidences érotiques (sans signature)
puis sur SophieXXX, toujours sans signature, et enfin sur Revebebe (signé
Rachel, avec des modifications mineures) et qui a été retiré. Ce texte
qui a connu un certain succès était pourtant bourré d’invraisemblances. Je
l’ai donc repris et rendu plus proche de l’esprit de Vassilia. Que le
véritable auteur (qui ne s’est pas manifesté depuis plus de 20 ans) ne nous en porte
pas rigueur !
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