Partager l'article ! Chanette 28 – Magazines littéraires – 7: Chanette 28 – Magazines littéraires – 7 – Stan Baker au sauna par Chanette bisex mascu ...
Lundi 5 février
Guillaume Beauregard a sollicité une demande de rendez-vous auprès de Stan Baker que celui-ci a refusé. Beauregard rage et trépigne. Il tente de le coincer à la sortie des bureaux, mais ne le trouve pas, réalisant un peu tard que l’immeuble est équipé d’un parking intérieur.
Qu’à cela ne tienne, il obtient son adresse personnelle et s’en va sonner à la porte de son domicile à 20 heures.
C’est Lorenza, la charmante épouse de Baker qui lui ouvre.
– C’est pourquoi ?
– Je voudrais voir Monsieur Baker.
– A cette heure-là ? Vous avez rendez-vous ?
– Non, mais c’est urgent.
– Stan, c’est un monsieur pour toi ! Euh, entrez…
Baker se lève, et découvre son visiteur qu’il connait de vue, le premier moment de stupeur passé, il parvient à retrouver son sang-froid :
– Monsieur Beauregard ! Mais qu’est-ce qui peut bien motiver une telle visite à cette heure tardive ? Et qui s’est autorisé à divulguer mon adresse ?
– Je souhaitais vous rencontrer dans vos bureaux, mais…
– Je sais bien, mais comme je ne vois pas bien ce que nous aurions à nous dire, et que je suis très occupé…
– Eh bien si justement, j’ai moi des choses à vous dire !
– Oui, mais comme elles ne m’intéressent probablement pas, je vais vous demander de sortir de chez moi.
– On peut peut-être s’expliquer entre gens raisonnables, non ?
– Je ne vous dois aucune explication. La sortie c’est derrière vous !
– Le rendez-vous chez la pute, c’était un traquenard et c’est vous qui l’avez organisé ! Vous n’allez tout de même pas prétendre le contraire ? Eructe alors Beauregard.
– Mais de quoi parlez-vous ? Quelle pute ? Quel traquenard ? Vous me prenez pour un autre ou alors on vous aura mal renseigné. Maintenant foutez-moi le camp.
Beauregard au lieu de se retourner vers la porte d’entrée, avance de deux mètres. Baker hésite à le virer manu militari, ce qui lui serait facile, le bonhomme ne faisant pas le poids.
Celui-ci lance un doigt accusateur vers Lorenza Baker.
– Vous savez ce qu’il fait votre mari ? Il organise des partouzes chez des putes pour se faire de la pub et essayer de me ridiculiser.
– Il a bien raison ! Répond Lorenza qui n’est au courant de rien mais que le comportement de Beauregard agace au plus haut point.
– Bande de dépravés ! S’exclame Beauregard.
Cette fois c’en est trop ! Baker empoigne Beauregard par le colbac, et le pousse vers la sortie. L’autre tente de se débattre, gesticule comme un forcené et trouve le moyen de casser un magnifique vase Ming servant de porte-parapluies.
Une fois sur le palier, Beauregard se met à tambouriner à la porte comme un malade à ce point que des voisins commencent à sortir de chez eux, afin de voir ce qui se passe.
– Arrêtez ce vacarme ou j’appelle la police ! Hurle une vieille dame
– Ta gueule, morue ! Répond Beauregard qui ne se contrôle plus du tout et qui reste sur place.
La police intervient dans les cinq minutes, et emmène Beauregard au poste après l’avoir menotté. L’humiliation suprême !
On ne demande pas grand-chose aux époux Baker, ils sont considérés dans l’immeuble comme des résidents paisibles et sans histoire. On leur fait néanmoins enregistrer une déposition qu’il leur faudra signer au commissariat le lendemain.
Une fois dans le panier à salade Beauregard se rend compte qu’il est allé trop loin. Au poste un lieutenant de police qui n’a pas que ça à faire l’interroge d’un air las.
– C’est juste une explication qui a mal tourné, j’ai pété les plombs mais je n’ai rien fait de mal.
– Vous avez failli démolir une porte. Et vous avez insulté publiquement une brave grand-mère.
On lui fait une prise de sang, on trouve de l’alcool mais pas dans des quantités alarmantes.
– Bon, je peux peut-être partir maintenant ?
– Vous partirez quand je l’aurais décidé…
– Mais enfin je suis quelqu’un de connu, je suis Guillaume Beauregard.
– Ah, je me disais aussi que votre visage me disait quelque chose, c’est vous le guignol qui se pavane à la télé ? Je vous croyais plus grand ! Et vous croyez que ça vous donne des droits de
faire du scandale chez les gens ? Mettez-moi ce lascar en cellule de dégrisement une heure ou deux.
– Vous n’avez pas le droit !
– Si !
– C’est qui ce mec ? Demande Lorenza à son mari lorsqu’ils se retrouvent de nouveau seuls, et c’est quoi cette histoire ?
– J’ai organisé une opération publicitaire pour l’un de nos auteurs, en fait un contrefeu, ça a très bien fonctionné mais ensuite le mec a mal encaissé les réactions négatives…
– C’est pas très clair ce que tu me racontes là, mon chéri !
– Non, je vais te raconter mieux, mais avant on va se boire un petit remontant.
– Whisky ? Vodka ?
– Whisky !
– Il a parlé d’une pute !
– Oui, il faut que je la prévienne, je vais l’appeler.
– Il faut que tu appelles une pute ?
– Je vais tout t’expliquer… mais il faut que je lui téléphone…
– Quand tu auras fini tes petites affaires, tu pourras peut-être me raconter .
– Mais bien sûr ma chérie, je peux avoir deux ou trois cacahuètes avec mon apéro ?
– T’en as pas marre de te faire servir ?
– Je ferais la vaisselle quand on aura bouffé !
– Alors ça va !
Mon portable sonne, c’est Stan Baker, très poli, très prévenant.
– Beauregard vient de se pointer chez moi, il était très énervé, il a ameuté tout l’immeuble et il s’est fait embarquer par la police.
– Eh bien…
– Et ce n’est pas tout !
– Ah ?
– Il m’a cassé un vase Ming.
C’est dingue comment en période de stress, les gens se polarisent sur des détails triviaux.
– Ça se recolle au moins ?
– Oui, je vais le faire restaurer, ce n’était qu’une imitation, mais une belle imitation. Bon voilà je tenais à vous prévenir, je ne pensais pas du tout que ça se passerait comme ça, mon plan
c’était de le faire lanterner plusieurs jours, après je l’aurais reçu dans mon bureau… le temps aurait sans doute arrangé les choses. Mais que voulez-vous parfois les évènements ne se déroulent
pas toujours comme prévu !
– Il devrait se calmer maintenant ? Demandais-je
– J’espère !
– Parce que je vais vous faire une confidence, j’ai eu un entretien avec la directrice de la revue « Plaisir délire »…
– Ah ! Delphine Lebœuf !
– Oui, vous la connaissez ?
– Bien sûr une personne très classe ! Un personnage, comme on dit !
– En effet, elle compte sortir un article un peu vachard sur Beauregard.
– Qui dira quoi ?
Je lui résume brièvement, ça le fait rigoler.
– Eh bien, ça va être la totale ! Conclue-t-il.
– En effet !
– Je vous laisse, n’hésitez pas à m’appeler en cas de besoin.
– Je vous remercie, bonne soirée Monsieur Baker.
– Vous également Madame Chanette.
Baker raccroche, il est tout sourire, la descente aux enfers de Beauregard n’étant pas pour lui déplaire.
– Dis donc toi, tu me paraissais bien aimable avec cette pute ! Lui fait remarquer Lorenza.
– Chanette, elle est charmante, je ne l’ai vu qu’une fois !
– Et vous avez fait quoi ?
– Ben rien, on a juste préparé l’opération publicitaire.
– Et si tu décidais à m’expliquer mieux.
– Alors voilà… Je savais que Beauregard…
– Qui c’est Beauregard ?
– Le mec qu’est venu nous emmerder.
– C’est le même que celui de la télé ?
– Ben oui ! Mais si tu m’interromps tout le temps, on ne va pas y arriver. Donc je savais que le truc de Beauregard c’était de sucer des bites.
– De quoi ? Et qu’est-ce que ça vient de faire là-dedans ?
– Attends…
– Et comment tu savais ça !
– Ben je l’ai vu !
– Tu l’as vu où ça ?
– Au sauna !
– Gros cochon, et toi tu faisais quoi au sauna ?
– Mais tu le sais bien ma chérie !.
– Oui mais j’aime bien te l’entendre dire !
– Ben j’allais sucer quelques bites !
Dialogue surréaliste, direz-vous ! En fait non, Stan et Lorenza étaient divorcés chacun de leur côté, et c’est dans un club échangiste qu’ils se sont rencontrés, pas dans n’importe quel club, mais dans un établissement largement ouvert aux pratiques bisexuelles. Ils ont donc tous les deux les idées plutôt larges sur cet aspect des choses.
Réminiscence
Stan ne connaissait « l’Atoll bleu » que de réputation. Ce sauna se disait ouvert à toutes les formes de sexualités et bisexuels des deux sexes, transgenres et travestis y étaient les bienvenues. Ça c’était pour la théorie, en pratique les femmes étaient nettement minoritaires et étaient parfois la proie de hordes de bonhommes un peu lourds se croyant tout permis.
Sa première visite fut très courte, il s’était retrouvé aux côtés d’un joli travesti exhibant une bite en pleine forme. Comme ça ne coutait pas grand-chose à Stan d’y poser la main, il le fit déclenchant un sourire ravi du travesti..
La caresse ne tarda pas à devenir branlette.
– Hum tu branles bien, mon chéri, continue, dis-moi que je suis une petite salope !
– T’es une petite salope !
– Doucement, je ne veux pas jouir de suite… Tu veux que je te suces un peu ?
– Oui, bien sûr !
Et c’est parti, le travelo prend la bite de Stan dans la bouche et la gobe comme une vraie pro, alternant de longs allers et retours en pleine bouche avec des mouvements de langues le long de la hampe et des titillements au niveau du gland. Un vrai bonheur !
– Tourne-toi, mon chou, je vais te sucer la rondelle !
Stan n’a rien contre la pratique mais se sera néanmoins la première fois qu’elle lui sera prodiguée par un travesti. Et il faut dire qu’il est doué, sa langue virevolte comme un goujon frétillant.
– T’aimes ça, ma salope, hein ?
– Tu fais ça trop bien !
– T’as le trou du cul serré, tu ne te fais pas enculer ?
– Disons que ça fait un bout de temps que je n’en ai pas eu l’occasion.
– Et t’aimerais le refaire ?
– Oui, oui, j’aimerais bien !
– C’est trop génial une bite qui va et vient dans le cul !
– Hé !
– C’est dommage que je ne bande plus assez, sinon je t’aurais fait une bonne pine au cul. Remarque, je connais un gars qui aime bien enculer les mec dans ton genre, tu veux qu’on essaie de le
trouver ? Je l’ai croisé tout à l’heure.
– Un travesti ?
– Non ! T’aurais préféré ?
– Peu importe, du moment qu’il est doux et sympa.
– Il n’est pas tout jeune, mais il a une belle queue !
Ils trouvèrent tout de suite l’homme dans la salle de projection. Raymond doit avoir la soixantaine, le cheveu argenté, très souriant, il a une jolie bite qui bande bien et se fait pour l’instant peloter mollement par son voisin de banquette.
– J’ai rencontré ce charmant jeune homme ! Lui dit le travesti, il aimerait beaucoup se faire enculer et étant donné que j’ai quelques faiblesses en ce moment…
– On prend une cabine ou on fait ça devant tout le monde. ? Demande Raymond
Stan regarde autour de lui, c’est un peu l’orgie romaine là-dedans, ça se suce, ça s’encule, ça s’agglutine. Que des hommes et quelques rares travestis, les femmes doivent être ailleurs.
– Ça ne me dérange pas de rester ici !
Stan n’avait pas prévu le fait que Raymond était un adapte des préliminaires, Alors il se demande dans quelle position se placer, mais voilà que le sénior quémande sa bouche, c’est la première fois de sa vie qu’il j’embrasse un homme, il y a toujours une première fois, même si ce n’est pas vraiment son truc. Ils ont joué ensuite à touche-tétons, Stan adore ça, puis il se sont un peu sucé.
Stan cherche le travesti, il semble avoir disparu de la circulation.
« Il aurait pu me dire au revoir quand même ! »
Et puis il s’est retrouvé en levrette, Raymond lui tartine le cul avec du gel.
– Dis-donc, t’es serré toi !
« Je vais finir par le savoir »
Raymond s’encapote et quémande l’entrée du petit trou intime. Evidemment ça ripe !
– Ouvre-toi, dis-toi que tu vas de te faire bien enculer par une bonne bite qui va bien bouger dans ton cul. Allez on refait une tentative. De toute façon, je ne te lâcherai pas tant que je ne t’aurais pas enculé !
Stan s’ouvre au maximum, mais il n’a pas le cul extensible, non plus.
Il est patient, Raymond, il se mouille le doigt et l’introduit dans le cul de Stan en le faisant gigoter énergiquement. Voici une caresse à laquelle l’homme n’est pas insensible, d’autant qu’un second rejoint bientôt le premier… et même que voilà un troisième.
Les doigts ressortent avec un bruit qui n’a pas grand-chose d’érotique. Raymond profite de l’ouverture pour entrer son gland, une petite pause suivie d’une poussée, et cette fois c’est tout le membre qui s’enfonce dans le conduit anal.
Le sénior est un modèle de tact de délicatesse, il procède en longs va-et-vient sans aucune brusquerie, manifestement il adore ce qu’il fait.
Stan est saisi de spasmes de plaisir, il bande comme un cerf et se masturbe en même temps. Raymond accélère brusquement, prévient qu’il va jouir.
– Continue à te branler, je viens !
Raymond jouit dans un râle et décule, Stan se termine à grands coups de veuve poignet. Petit sourire de complicité entre les deux hommes, puis direction le vestiaire. En passant il voit deux femmes accoudées au bar.
« Ah, je savais bien qu’il y avait des nanas ! »
Stan n’est pas mécontent de cette petite fantaisie qui dans son esprit ne devait pas connaître de suite….
Sauf que la semaine suivante, ayant une heure de libre, il se dit que… pourquoi pas ?
Stan se balade un petit moment sans faire de rencontres intéressantes. Aujourd’hui il n’y a ni Raymond ni le travesti anonyme. Il décide d’aller faire un tour dans le hammam..
Il y a là dans un coin un groupe, en fait une jolie femme entourées de cinq ou six bonhommes. Le ton monte.
– Je vous ai dit de me foutre la paix, faut que je vous le dise comment pour que vous le compreniez ? S’énerve la dame.
Elle essaie de se lever, mais un connard lui bloque le passage.
Et soudain le délire :
La femme aperçoit Stan et l’interpelle.
– Francis ! Coucou je suis là !
Stan se demande d’abord si la femme ne se trompe pas de mannequin avant de comprendre son stratagème.
– J’arrive !
– Bon alors je suis avec mon mari, alors je vais vous demander de me foutre la paix, si j’ai besoin de vous je vous ferais signe.
Miracle, la meute se disperse comme une envolée de moineaux..
Stan s’approche de la dame.
– Putain, c’est la dernière fois que je fous les pieds ici, il suffit de trois ou quatre cornichons pour foutre l’ambiance en l’air, ces mecs-là se figurent que toutes les nanas sont des trous à
leur disposition. J’ose espérer que je vous n’êtes pas comme eux ? Vous avez l’air d’un gentleman.
– Vous savez, je ne suis pas parfait, mais j’essaie de me tenir.
– Avant je venais régulièrement ici, j’y retrouvais une copine, on faisait des trucs ensemble et quand des mecs voulaient nous toucher, on se faisait respecter, à deux c’est bien plus facile,
allez savoir pourquoi ?
– Je vous paie un café !
– Tout à l’heure si vous voulez, pour l’instant j’ai plutôt envie de caresses, j’adore qu’on me caresse. On va aller ailleurs, je commence à étouffer dans ce truc !
On cherche une cabine, elles sont toutes occupées, on se rabat sur la petite salle de projection, celle où il n’y a que peu de place.
– Je m’appelle Lorenza ! Enfin disons que c’est mon pseudo ici !
Elle s’installe sur le gradin supérieur.
– Caressez-moi, je me laisse faire.
Et quand une belle femme complètement nue demande à un homme de la caresser, devinez ce qu’il va faire en premier ? Il se jette sur ses seins ! Et c’est exactement le geste que Stan s’apprête à effectuer.
– Non attendez, caressez-moi les cuisses !
Qu’à cela ne tienne, l’homme fait ce qu’on lui dit, il y a cependant un problème, un corps humide n’est pas forcément ce qu’il y a de plus doux à caresser. Après un moment les corps se rapprochent, s’enlacent, s’embrassent.
Un type installé sur un gradin intérieur approche sa bouche de la bite de Stan qui se laisse faire. Alors il se met à la sucer.
– Vous êtes bi ? lui demande Lorenza.
– Parfois !
– Tant mieux, j’adore voir des mecs se sucer. Continue de le sucer, toi, régale-toi et après tu me passeras sa bite
L’homme continue de sucer Stan quelques instants, puis brusquement décide d’aller voir ailleurs
– Y’a certains comportements que je ne comprendrais jamais ! Commente la femme avant de jeter son dévolu sur la bite de l’homme magnifiquement bandée.
Lorenza ne se contente pas de sucer, son index est passé derrière et lui est entré dans l’anus.
– T’aimes qu’on te foute un doigt dans le cul ?
– J’adore !
– Tu te fais enculer aussi ?
– Ça m’arrive !
– Viens, on va essayer un truc.
Lorenza avise un moustachu qui se contentait de mater dans son coin en se branlant mollement.
– Ça te dirais de m’enculer ?
– Bien sûr ! Répond le moustachu.
– Mais il faut d’abord enculer mon copain !
– Ça peut se faire !
Spectacle étonnant, Lorenza et Stan se mettent en levrette, l’un à côté de l’autre, le moustachu s’encapote et pénètre Stan, pas trop longtemps, on comprend bien qu’il préfère le cul de madame à celui de monsieur. Un attroupement se crée, l’homme décule, change de capote et s’en va fièrement sodomiser Lorenza.
Quelques instants plus tard, Lorenza entrainait Stan dans une cabine qu’ils verrouillèrent, après quelques tripotages, le couple se mit en soixante-neuf et ils purent ainsi se faire jouir simultanément.
Par politesse Stan proposa à Lorenza d’aller boire un coup à l’extérieur, il ne s’attendait pas à ce qu’elle accepte. Il se trouvèrent beaucoup d’affinités et après quelques semaines de flirt, ils se mirent en ménage.
A suivre
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