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Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 3 – Elodie, soubrette coquine par Chanette
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Rendons-nous à présent à Gouley-le-château, petite localité des Yvelines, là où habitent en leur château, le marquis et la marquise de la Villandière. Un château qui aurait sans doute besoin d’une petite restauration, mais qui a néanmoins fière allure. Le marquis de la Villandière est un excentrique, il a 50 ans, le cheveu rare et l’embonpoint visible, il n’a plus rien d’un play-boy. Il fut propulsé par ses parents dans les bras de Marie-Josèphe, une grenouille de bénitier assez grave qui aurait pu être jolie pourvu qu’elle s’arrangeât quelque peu. L’alliance des deux familles le mettant à l’abri des vicissitudes de la fortune, il accepta cette union peu sensuelle. Honoré, puisque tel est le prénom du marquis se faisait fort de faire évoluer la donzelle dans tous les domaines..
Mais rien n’y fit. Il n’était pas question de consommer avant le mariage, et le soir des noces Honoré qui était bourré comme un coing ne l’honora pas. Le lendemain, la Marie-Josèphe avait revêtue sa tenue de punaise de sacristie. Tailleur bleu marine infâme et chemisier à col Claudine. Il la déflora le soir, lumière éteinte en imaginant qu’il baisait Pénélope Cruz. Ainsi le mariage ne pouvait être annulé pour non-consommation et comme madame était une farouche opposante au divorce, il était tranquille de ce côté-là.
Il mit alors les choses au point :
– Nous ferons désormais chambre à part. Je reste à ta disposition le jour où tu te décideras à re montrer désirable.
– Mais enfin, mon mari !
– Enfin quoi ? Quand tu auras cinq minutes, tu téléphoneras à la vierge Marie pour lui demander pour quelle raison Dieu a doté les femmes d’un clitoris !
– Oh !
– Si tu ne sais pas ce que c’est, fait une recherche sur Internet, et maintenant laisse-moi, j’ai du travail !
Cette dernière affirmation était archi fausse, le marquis n’avait pas de travail pour la bonne raison que ses rentes viagères lui permettaient de vivre en ne faisant rien.
Le temps passa et les choses évoluèrent peu. Marie-Josèphe proposa ses services à ces messieurs dames de la paroisse, mais au bout d’un moment elle devint indésirable. On ne lui dit jamais, ces gens-là ne disent pas de telles choses, mais on le lui fit sentir à coup de petites allusions assassines.
Elle n’avait pourtant rien fait de mal, on lui reprochait simplement d’être la femme du marquis, lequel revenait parfois au château avec une, voire deux escorts de haut-vol. Que voulez-vous ? Les dames paroissiennes n’aiment pas ça.
Elle prit sur elle de vouloir discuter avec Honoré, qui la laissa parler longuement sans lui répondre, avant de lui dire que si elle n’était pas contente, elle n’avait qu’à demander le divorce.
Elle fondit en larmes, il ne chercha même pas à la consoler, alors Marie-Josèphe se réfugia dans la prière et les lectures pieuses.
Pour s’occuper elle s’acheta un violoncelle et s’acharna à jouer les sonates pour violoncelle seul de Jean-Sébastien Bach.
Voilà près de trente ans qu’elle joue ces sonates, Honoré les connaît maintenant par cœur !
Ne sachant que faire pour s’occuper, Honoré eut l’idée de faire de la politique, c’est ainsi que davantage par provocation que par conviction, il fonda avec quelques nobliaux décatis, « L’association des Chatelains de France » avec au programme : renaissance de la monarchie et des privilèges de la noblesse dont la restauration du droit de cuissage.
Une de ses relations fit en sorte que la presse parle un peu de cette association. Ce fut le tollé, l’humour et le second degré en politique n’ont rarement fonctionné, les rares personnes de sa caste qui le recevaient encore lui fermèrent leurs portes avec mépris, mais le pire fut la réaction de quelques groupuscules d’extrême-gauche qui prenant l’affaire au premier degré allèrent défiler sous les, fenêtres du château aux cris de « Villandière, facho, le peuple aura ta peau ! »
Ce jour-là le marquis se dit qu’il n’avait plus rien à attendre du genre humain. Avant il était misanthrope, il devint carrément asocial.
Ne sachant que faire de son temps, il se mit à collectionner des tas de trucs avant de se spécialiser dans les livres anciens et les manuscrits, il écume pour ce faire les librairies spécialisées et hante les salles de vente. Il est désormais à la tête d’une des plus belles collections de France.
Il nous faut bien évidemment parler sexe : Honoré pris très tôt une maîtresse, il s’aperçut à temps que la demoiselle lui coûtait une fortune en cadeaux divers et variés, et que c’était essentiellement cela qui l’intéressait dans cette relation. Il la largua et se mit à fréquenter les professionnelles. Au moins, avec elles les choses étaient simples.
L’entretien et les services du château furent longtemps assurés par les deux vieilles domestiques du lieu. Au départ en retraite de la cuisinière, il eut du mal à trouver quelqu’un, on lui suggéra alors de passer par l’intermédiaire d’une boite d’intérim. Très pratique, pas de personnel à gérer ! D’autant que la retraite de la femme de ménage approchait, elle aussi à grands pas.
Il y en eut de tous les âges, de toutes les corpulences et de toutes les couleurs, et un jour ce fut Elodie.
La trentaine, brune aux yeux bleus, joli minois, lèvres purpurines, et gros roploplos en devanture dans un décolleté avantageux. Ses sourires enjôleurs constituaient une véritable invitation à la débauche.
Bref il l’embaucha, c’était il y a deux ans de cela, et n’eut jamais à se plaindre de ses services, Une semaine après son arrivée il l’entreprit :
– Elodie, je voudrais vous dire deux choses :
– Je vous écoute, monsieur.
– Voyez-vous, vous êtes très attirante, vous me plaisez beaucoup, et je dois faire des efforts surhumains pour ne pas vous mettre la main aux fesses !
– Oh, Monsieur ! Répondit-elle avec un petit sourire narquois
– Mais maintenant, avec toutes ces histoires de harcèlements qui dégoulinent des médias, je m’en voudrais de passer pour un pervers, donc je n’en ferais rien… à moins bien sûr, que vous m’en accordiez la permission.
– Monsieur est amusant !
– N’est-ce pas ?
– Disons que je pourrais éventuellement me laisser faire contre un petit pourboire. Précisa-t-elle d’une voix mutine
– Et en admettant, vous seriez prête à aller jusqu’où ?
– Tout dépend du pourboire. Mais attention, je n’aime que la douceur.
– Et si je vous prenais au mot ?
– Je ne me défilerais pas !
– Alors ne bougez pas je vais chercher le pourboire !
Elodie vérifia si le pourboire était « correct », puis glissa mit les billets dans la poche de son tablier et illumina son visage d’un large sourire.
– Je suis à la disposition de Monsieur le marquis !
– Elodie, j’aimerais que vous mettiez votre main dans ma braguette afin de vérifier l’état de ma chose !
– Mais certainement, Monsieur !
Et voici Elodie qui descend la tirette de la braguette, qui introduit la main et rencontre ce qu’elle devait rencontrer, elle se demande si Honoré aimerait qu’elle cause, alors elle essaie :
– Je sens quelque chose de dur, Monsieur !
– Allez la chercher, Elodie !
Et hop, voici une bite, déjà bandée qui apparaît sous les yeux coquins de la soubrette.
Elle la touche, la masturbe très légèrement.
– Monsieur désire-t-il que je le suce ?
– Assurément ! Suce-moi juste un petit peu pour me montrer ce que tu sais faire avec ta langue, parce que maintenant je voudrais te voir toute nue. Ça ne te dérange pas que je tutoie ?
– Non, non vous pouvez me dire « tu » ! Je veux bien me déshabiller, j’espère que Monsieur ne sera pas déçu.
La voilà qui commence à enlever son tablier.
– Non, suce un peu d’abord !
– Ah, oui, c’est vrai, pardon Monsieur. Humm, Monsieur bande joliment, je vais me régaler !
Elle embouche la bite du marquis, lequel peut alors constater que la coquine possède un bon savoir-faire :
– Tu suces bien ! Montre-moi tes trésors à présent !
La fille se déshabille devant les yeux du marquis. Ce dernier en a vu des filles à poil dont pas mal de canons, mais il n’est pas blasé pour autant, et puis en ce moment ce n’est pas une professionnelle, c’est la bonne et cela constitue pour lui un petit plus fantasmatique.
– Quelle belle poitrine !
– Vous trouvez, moi je trouve qu’ils sont un peu trop gros !
– Mais non ! Je peux te les embrasser ?
– Oui ! C’est très délicat de me demander ! J’apprécie !
Et le marquis se jette sur les jolis globes comme la vérole sur le bas clergé breton. Il n’embrasse pas, il tète, il aspire, il gobe !
– Oh, qu’est-ce que vous faites à mes seins ? C’est trop bon !
D’un coup il s’arrête et se débarrasse de ces vêtements, puis l’entraîne vers le canapé.
– Mets-toi à quatre pattes que j’admire ton cul !
– J’ai les fesses un peu plates, il paraît !
– Mais non ! Ecarte un peu tes cuisses ! Wha ! Le mignon petit trou !
– Si Monsieur désire m’enculer, je veux bien, mais il faudra que Monsieur se mette une capote et y aille délicatement.
– Ah, oui bien sûr ! J’en ai dans le tiroir de mon chevet dans ma chambre, je vais aller en chercher… Ou plutôt, faisons plus simple, viens avec moi dans la chambre.
Après cette interruption technique, Honoré entreprit de lécher le troufignon de la belle. Monsieur le Marquis ne détestais pas que l’endroit sente autre chose que la savonnette. Quand l’anus fut bien lubrifié, il approcha sa bite encapuchonnée et sodomisa la belle en cadence en transpirant comme un bœuf.
Hé ! c’est que notre Marquis n’a plus vingt ans, qu’il ne se surveille pas trop et ne pratique aucun sport. Dans ces circonstances ça n’aide pas, et si l’excitation reste un excellent stimulant, la jouissance tarde à venir.
Et tandis qu’il continuait à s’escrimer à la bourrer, il fut surpris de l’entendre crier sa jouissance, une vraie jouissance, voilà qui le changeait des professionnelles qui croyaient malin de faire semblant.
Il en profita pour déculer et demander à Elodie de le terminer de la bouche et des mains.
La petite bonne trouvant que son patron devenait dur à la détente eut l’idée d’introduire un doigt préalablement humecté dans son trou du cul.
Le marquis ne protesta pas et poussa même un râle de satisfaction. Encouragée, la belle fit bouger son doigt, et miracle, le marquis se mis à juter son sperme en un joyeux petit geyser qui retomba sur son ventre.
Sans qu’on ne lui demande quoique ce soit, Elodie entreprit de nettoyer de sa langue les perles de sperme éparpillées, puis après s’être passé vicieusement la langue sur les lèvres, elle se redressa et s’éloigna du canapé.
– Tu fais quoi ?
– Je vais me rhabiller, à moins que Monsieur ait encore besoin de mes services, mais avant il faut que je fasse pipi.
– Je peux regarder !
– Me regarder faire pipi ? Ma foi, ça ne me gêne pas.
Le spectacle de cette splendide jeune femme nue sur la cuvette des chiottes en train de soulager sa vessie remplit notre marquis d’aise, il se tripota un peu la bite mais sans parvenir à rebander complètement.
– Si un jour, je te demande de me pisser dessus, tu le feras ?
– Voilà une chose que je n’ai jamais faite, mais je sais que ça se fait, je ne suis pas contre.
– Tu es une brave fille, tu m’apporteras un jus d’orange quand tu seras rhabillée, rien ne presse.
– A votre service, Monsieur le marquis !
Honoré était fort satisfait malgré le fait qu’il avait eu un peu de mal à jouir, cette Elodie avait tout pour le combler, peu farouche, belle et bien faîte et ouverte aux fantaisies. Plus besoin d’aller chez les professionnelles, il avait désormais ce qu’il lui fallait sous la main… enfin presque, mais une petite virée à Paris lui donna l’occasion d’acheter un joli gode très réaliste et un martinet.
Une semaine après cette petite séance de baise avec Elodie, l’envie de recommencer le prît. Il la sonna et lui demanda de la rejoindre dans la salle de bain du rez-de-chaussée.
– Monsieur m’a appelé ?
– Elodie, j’ai très envie que nous refassions quelques bêtises comme la semaine dernière. Ça te dit ?
– S’il y a un gentil petit pourboire, ça me dit !
– C’était prévu ! Répondit-il en lui payant le prix de ses charmes.
– Monsieur pense vraiment que la salle de bain soit le meilleur endroit pour faire ces choses ?
– Pour ce que je vais te demander d’abord, oui ! Rappelle-toi, tu m’avais dit que cela ne te dérangerait pas de me pisser dessus.
– Ah ! C’est vrai ! Je veux bien essayer, mais je ne suis pas sûr de pouvoir !
– Je ne t’en voudrais pas, si ça ne marche pas et nous recommencerons une autre fois. Déshabillons-nous.
Honoré, une fois nu pénétra dans la baignoire, s’y assit et demanda à Elodie de se mettre à califourchon au-dessus de lui.
– Je crains de bloquer ! Dit la belle après quelques minutes de concentration.
– Pense aux chutes du Niagara !
– Non décidemment, ça ne vient pas, la prochaine fois, que Monsieur le marquis me prévienne avant, je boirais beaucoup d’eau.
– Tu as raison, mais peut-être qu’en ouvrant le robinet…
C’est donc ce qu’il fit !
– Ça vient, ça vient, Monsieur le marquis, j’envoie mon pipi où ça ? Sur votre zizi ?
– Si tu veux, mais sur le visage, ça me plairait bien aussi !
– Sur le visage ?
– Ça te choque ?
– Je suis surprise, mais pas choquée, je vais le faire, mais je crains qu’il n’y ait que quelques gouttes.
Honoré ouvrit une large bouche et se régala du bon pipi de sa domestique, il avait juste un petit gout de trop peu.
Après s’être essuyés sommairement, ils gagnèrent la chambre et s’étendirent sur le lit. Monsieur le marquis eut alors envie d’explorer le minou d’Elodie, une jolie chatte épilée en maillot aux lèvres gonflées mais sèches.
« J’aurais dû lui dire ne pas s’essuyer ! » regretta-t-il
Il lui introduit deux doigts et les fit bouger, tandis que son autre main lancée vers l’avant triturait son joli téton.
– Oh ! C’est bon ce que vous me faites, Monsieur !
Quand les doigts ressortirent, il les porta à sa bouche, se régalant du jus du cul de sa soubrette.
Et comme la chatte d’Elodie commençait à mouiller, Honoré su qu’elle ne simulait pas, sa fierté de mâle et son ego en furent réconfortés… Et quand elle se mit à crier sa jouissance… je ne vous en parle même pas !
Une mini pause et Honoré sort du tiroir de sa table de chevet le gode qu’il a acheté à Paris.
– Regarde mon nouveau joujou !
– Oh, c’est joli ! Et Monsieur voudrait que je l’introduise !
– Ça fait effectivement partie des possibilités, mais j’aimerais bien que tu me l’enfiles !
– Ah ! Monsieur voudrait que je lui mette derrière.
– En quelque sorte !
– Vous n’avez pas peur d’avoir mal ?
– Mais non, l’autre jour tu m’as bien mis un doigt !
– Oui, mais là c’est plus gros !
– On va mettre une capote, un peu de gel, et ça devrait rentrer tout seul.
– Et bien allons-y, Monsieur le Marquis !
Honoré prépara le gode, puis se mit en levrette, offrant son cul à la jolie soubrette.
– Attention, j’y vais !
– Vas-y !
Et le gode entra facilement, le marquis demanda à Elodie d’actionner le petit vibreur incorporé, puis de faire aller et venir l’engin dans son cul.
– Oh ! Que c’est bon ! Vas-y bouge le bien ! Oh, que c’est bon de se faire enculer, n’est-ce pas Elodie ?
– Mais parfaitement, Monsieur !
Après quelques minutes de ce traitement, Honoré éprouva le besoin de conclure et suggéra à sa partenaire de se mettre en levrette « comme l’autre fois » afin qu’il l’encule.
– Mais avec plaisir, Monsieur le marquis ! Enculez-moi !
– On y va, mais avant, je vais lécher un peu ce petit trou si mignon.
– Comme il vous plaira, Monsieur.
Sa langue se régalait de ce goût un peu acre et si particulier.
– Votre anus est délicieux; Elodie.
– Je suis content que mon anus plaise à Monsieur.
– J’aime les culs naturels, les culs qui sentent le cul.
– Hi ! hi !
– Cela vous fait rire, Elodie !
– Je ne voulais pas me moquer, Monsieur le marquis.
– Je ne l’ai pas mal pris, mais je me demandais si tu t’étais convenablement essuyé le cul.
Elodie ne comprend pas bien, ou plutôt se refuse à réagir tant qu’elle n’est pas certaine d’avoir bien compris.
– Mais bon, lécher un cul qui n’est pas propre à cent pour cent n’a rien de désagréable ! Insiste lourdement le marquis.
– Si Monsieur le dit…
– Oublie ce que je viens de dire, c’est juste un fantasme idiot.
– Cela ne me paraît pas méchant, si Monsieur préfère que la prochaine fois, mon cul soit mal essuyé, je peux essayer de vous faire plaisir, mais il faudrait mieux m’avertir à l’avance .
– Brave fille ! Et si un jour je te demande de chier devant moi ?
– Avec tout le respect que je vous dois, je dirais que Monsieur est un cochon, mais ça ne me tuera pas.
Elodie compris alors qu’en se rendant disponible afin de satisfaire tous les fantasmes de son employeur, elle pouvait facilement garnir son bas de laine, elle décida donc de l’aguicher :
– Puis-je suggérer à Monsieur que je le prévienne quand j’aurais envie de caca.
– Bonne idée !
– Je me réjouis à l’avance de faire un gros boudin devant monsieur.
– Petite cochonne !
– Dans ce cas, monsieur me donnera-t-il un pourboire supplémentaire ?
– Bien sûr, mais tu ne serais pas un peu vénale, toi ?
– Que voulez-vous toute peine mérite salaire !
Complètement excité par cet échange de propos, Honoré s’encapota et pénétra analement la soubrette avec une telle fougue et une telle énergie qu’il ne tarda pas à éjaculer. La fille, pour sa part avait commencé à miauler mais l’orgasme n’était pas venu, alors le marquis, voulant montrer qu’il avait du tact, continua à la limer jusqu’à ce quelle jouisse à son tour.
Elodie après avoir gratifié son patron d’un joli sourire complice, se leva du lit et s’approcha de la chaise où elle avait déposé ses vêtements.
– Mais où vas-tu ?
– Mais, reprendre mon service; monsieur
– Tu as bien cinq minutes, reste avec moi pendant que je fume une cigarette, tu en veux une ?
A suivre
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