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Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 1 – Yolande
Bonjour, c’est moi Chanette qui va vous narrer une autre de mes joyeuses aventures. Pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents récits, sachez que je suis dominatrice professionnelle, (ceux qui ont un problème avec ce genre d’activité ne sont pas obligés de continuer) la quarantaine, fausse blonde et avec tout ce qu’il faut où il le faut ! Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques incluant parfois un peu de domination.
C’est parti !
1 – Yolande
Samedi 2 mars
C’est samedi, je ne travaille pas, et ce matin-là, je reçois la visite d’Anna-Gaëlle qui se pointe comme ça comme une fleur sans s’annoncer avec une grosse mallette à la main.
Anna-Gaëlle est mon amie intime depuis des années, ancienne journaliste dans un torchon people nous sommes rapidement devenues amantes. Eh oui madame est bisexuelle, très portée sur les femmes, mais ne négligeant pas systématiquement les hommes. Suite à un mariage avantageux et au décès inopiné du conjoint, (voir l’épisode Mariage d’argent, tourment) elle a hérité d’un bon paquet de fric lui permettant d’ouvrir une galerie d’art, rue de Seine à Paris. Anna a les cheveux blond clair, coupés courts et plaqués sur la tête. Elle a la peau très blanche. Je l’adore !
– J’ai besoin de tes services ! Me dit-elle
– Mais bien sûr, ma chérie, si c’est dans mes cordes
– Alors il faut que je te raconte, parce que c’est un peu compliqué…
Le fait est qu’avec elle, rien n’est jamais simple !
Le récit d’Anna :
J’étais ce jour-là en plein dans ma paperasse quand le téléphone fixe sonna :
– Allô, bonjour, vous êtes bien Anna-Gaëlle ?
– Oui, c’est de la part ?
– Yolande !
– Yolande ?
– Ben oui, quoi ! Yolande de Lisbonne.
– Euh ! Je ne peux pas trop parler pour le moment, Je vous rappelle dans la journée, donnez-moi votre numéro…
Je me souviens maintenant ! Yolande est une nana que j’ai rencontré à Lisbonne, une nympho d’hôtel, on s’est un peu amusé avec elle et un mec qui m’avait dragué, mais bon c’est l’occasion qui nous a fait faire des choses, il n’entre pas dans mes intentions de me lancer dans une relation suivie avec cette nana.
Ah ! Il aurait sans doute mieux valu que je commence par le début, alors allons-y :
J’étais pour affaires quelques jours à Lisbonne, je m’étais laissé draguer par un mec, il s’appellait Peter, il était beau comme un dieu, sympathique, cultivé, plutôt généreux, et avec qui j’avais rapidement accepté de partager ma chambre.
Nous étions dans le salon de notre hôtel en train de boire un rafraîchissement, quand une femme nous aborda pour nous demander un renseignement, prétexte en fait pour engager la conversation. Ni Peter, ni moi-même n’apprécions d’ordinaire ce genre de comportement, mais il faut dire que la dame était fort gironde, et c’est sans doute pour cela que Peter la laissa parler.
Yolande a une trentaine d’année, peut-être un peu moins, c’est une belle femme, fausse blonde avec quelques légères rondeurs qui lui vont très bien. Le visage est agréable avec un nez droit et des lèvres parfaitement ourlées encadrant un énigmatique sourire. Elle est habillée assez simplement : un jean en bas, un caraco très décolleté en haut, laissant deviner une jolie poitrine
Elle parle beaucoup : pour résumer, cette femme nous dit avoir vécu près de dix ans de vie monotone avec un homme qu’elle a fini par quitter suite à une liaison qui n’a pas eu de suite. Elle nous explique que désormais, elle rattrape le « temps perdu ». Du coup la curiosité naturelle de Peter reprend le dessus et il la branche :
– Vous rattrapez quoi ? Les sorties, les voyages, la bagatelle ?
– Un peu tout ça, oui !
– Vous avez raison, il faut en profiter, la vie et si courte, autant profiter des bonnes choses, la bouffe, le sexe.
C’est ce qui s’appelle « insister lourdement ».
– Nous, on essaie d’en profiter un maximum, continue-t-il, nous sommes un couple très libre mais aussi très complice.
Un peu gonflé le Peter de laisser croire que nous sommes un couple !
– C’est bien, vous avez beaucoup de chance ! Répond-elle avec une drôle de lueur dans les yeux, avant de changer de conversation.
Elle se croit obligée de nous offrir une coupe de champagne, et nous raconte ses derniers souvenirs de voyage, ce n’est pas très passionnant et Peter ne la relance plus.
– On va peut-être monter se coucher ? Finis-je par dire.
On prend l’ascenseur tous les trois, Peter a carrément le nez dans le décolleté de Yolande qui après nous avoir souhaité une bonne nuit gagne sa chambre assez proche de la nôtre.
– Quelle casse-couille ! Rouspète Peter, demain on va essayer de l’éviter.
– Elle nous a payé le champagne, normalement on devrait lui rendre la politesse
– Pff, on ne va pas se laisser emmerder.
On se déshabille, Peter m’étonnera toujours avec la vitesse à laquelle il se livre à cette opération. Monsieur a emporté un pyjama qu’il revêt. Il s’agit d’un modèle assez ancien avec la veste munie de petites poches et de boutons, tandis que le pantalon se resserre avec un cordon qu’il faut nouer. Il n’y a pas de braguette à proprement parler, mais une ouverture facilitant l’accès à la bite en cas d’urgence. Quel est le nom du malade qui a inventé ce machin ?
En ce qui me concerne, j’étais encore en sous-vêtements quand j’entendis qu’on toquait à la porte. J’enfile un peignoir et vais ouvrir :
– Excusez-moi, vous n’auriez pas une aspirine ou un truc dans le genre, j’ai un de ces mal de tête. Me dit Yolande.
– Maux de tête ! Corrigeais-je
– Pardon ?
– Non, je suis désolée, demandez-donc à la réception. Quoi que je peux vous calmer quand même, je connais un truc, entrez cinq minutes.
– C’est quoi ? Grogne Peter qui est en train de se brosser les dents
– Rien de grave je vais jouer les guérisseuses.
Je fais asseoir Yolande, et lui masse le front pendant deux ou trois minutes comme une copine me l’a appris.
– Ça fait du bien ?
– Vous êtes magicienne, je n’ai plus mal.
– Ça ne marche pas à tous les coups, mais ça marche souvent !
– Et, bien je vous remercie, je vais vous laisser, mais dites-moi, vous en avez d’autres, des dons cachés comme celui-ci ?
– Oui, je sais faire des massages très relaxants, aussi !
– Oh !
– Comme vous dites !
– Dommage qu’il se fait tard, sinon, je vous aurais peut-être sollicité.
Peter s’est assis dans un coin et rigole intérieurement.
– Sollicitez-moi, je n’ai pas sommeil ! Répondis-je.
– Je ne voudrais pas abuser !
– Mais non, puisque je vous le propose. Mais il vous faut savoir que pour je vous masse à ma façon, il faut que vous vous mettiez entièrement nue.
Je ne suis pas mécontente de ma provoc !
– Ah ! Ça m’embête un peu à cause de Monsieur. Répond-elle
– Ben tant pis !
Elle semble hésiter tout de même.
– De toute façon, je vais rester sur le ventre, je suppose ? Demande-t-elle.
– Oui !
– Et vous pourrez me mettre une serviette pour cacher mes fesses ?
– Ben non, ça va gêner.
– Bon, ce n’est pas grave, on y va, je pose mes affaires ici ?
Et là voilà à poil, pas mal du tout, les seins sont très lourds, bronzés sans doute aux U.V., la taille bien marquée. Ses poils pubiens sont taillés en ticket de métro. J’installe une grande serviette sur le plumard, elle s’affale dessus. Je fais un clin d’œil complice à Peter qui me le rend. Si tout se passe bien dans une demi-heure maximum, elle nous sucera tous les deux…
Peter fait semblant de lire le journal, moi je la masse de façon classique, les épaules, le dos, puis insiste lourdement sur les fesses, je les malaxe, les écarte. Puis je change de registre en lui parcourant le corps du bout de mes doigts.
– C’est bizarre votre massage !
– Ça vous plaît ?
– Ce n’est pas désagréable.
– Ecartez un peu vos jambes, s’il vous plaît !
– Pourquoi donc ?
– Vous allez voir !
Je lui caresse les fesses, et de façon inopinée, je tente de glisser ma main en dessous, mais ça ne passe pas.
– Soulevez-vous un tout petit peu !
– Comme ça ?
– Ben oui, oh, mais c’est mouillé tout ça !
– Ça m’arrive parfois !
Je n’insiste pas, je décide de m’amuser et de continuer dans la provocation. J’écarte ses globes fessiers, me lèche un doigt, l’approche de son anus, attend sa réaction. Pas de protestation, pas de commentaires, je presse mon doigt, il s’enfonce très légèrement.
– Oh ! Vous faites quoi ? Minaude-t-elle.
– Je vous tripote le trou du cul, chère amie ! Tu aimes ça, hein ma petite salope ?
– Oh ! Oui, enfonce-moi bien ton doigt, je suis ta salope !
Je ne m’en prive pas, mais je finis par le ressortir. Il n’est pas très net, par réflexe je lui fous une tape sur les fesses.
– T’aime les petites fessées ?
– Oui, j’adore ça ! Je suis un petit peu maso.
Du coup je me lâche et je lui en flanque une vingtaine, elle a bientôt le cul tout rouge. Je fais signe à Peter de venir, il s’approche, laisse tomber son pantalon de pyjama et exhibe sa queue bien dressée.
– Regarde la belle bite de mon copain !
– Humm, elle est belle !
– Et bien suce-là !
– C’est bien, vous n’êtes pas jalouse, vous !
– Non, pas du tout !
Elle s’empare alors du sexe de Peter et le gobe avec avidité.
– Et ben dis donc, quand tu suces, tu ne fais pas semblant toi ! Commentais-je devant tant d’ardeur à la tâche !
– Hum, c’est vrai qu’elle a une bonne langue ! Dommage qu’on n’ait pas de capotes…
– J’en ai, moi ! Dit Yolande, interrompant sa pipe !
– Tu avais tout prévu, hein ?
– Non, c’était juste au cas où, je n’étais sûre de rien…
– Je te ferais bien une petite levrette, propose Peter.
Yolande se lève, va chercher ce qu’il faut dans la poche de son jeans, se met en position, et tandis que Peter la pénètre, je me positionne devant elle afin qu’elle puisse me lécher le sexe !
L’affaire dure une dizaine de minutes, elle a un peu de mal à me faire jouir, mais elle y parvient. Peter qui avait commencé en vaginal, termine dans son cul en grognant comme un hussard. Yolande crie aussi, épuisée, elle se couche sur le lit, porte la main à sa chatte ! Ce n’est pas vrai qu’elle en veut encore ! J’approche mon visage, elle enlève sa main, me laisse la lécher, elle possède un clito qui m’a l’air en pleine forme. Il ne résiste pas longtemps à mes assauts. La Yolande est complètement lessivée, en sueur, les cuisses trempées.
– Ça va mieux, le mal de tête ? Ironisais-je.
– Disparu, pour le mal de tête, le sexe c’est le meilleur de remèdes !
– Bon, nous on va se coucher !
– Dommage, j’aurais bien continué !
– Les meilleures choses ont une fin, ma chère.
– Vous savez, je peux être très soumise, si vous voulez que je sois votre esclave, ce n’est pas un problème. Les petites misères, les humiliations, tout ça, ça ne me fait pas peur.
J’allais lui dire qu’on avait fini de jouer pour aujourd’hui, mais Peter venait d’avoir une idée :
– Ah, t’aime qu’on te domine, viens dans la salle de bain, je vais te pisser dessus !
Elle ne discute même pas, suit Peter qui la fait mettre à genoux. Sans préambule, il lui arrose les seins, et sans qu’on le lui demande, elle ouvre la bouche pour recueillir ce qu’elle peut de la pluie d’or qui jaillit du sexe de mon complice. Sa miction terminée, j’essaie à mon tour, je reste debout et me débrouille tant bien que mal, pour diriger mon jet vers cette décidément très étrange personne.
– Qu’allez-vous me faire maintenant ?
– Ben, rien ! On se couche !
– Je ne peux pas rejoindre ma chambre comme ça, je suis pleine de pisse !
– Tu te rinces vite fait sous la douche, tu prends mon peignoir de bain, et tu me le reporteras demain.
Elle a fait comme on avait dit ! Heureux de s’en être débarrassé, même si on s’est bien amusé.
Le lendemain, on faisait nos valises, je n’avais pas encore pris ma douche, on sonne. C’est Yolande qui ramène mon peignoir !
– Ah ! Vous partez comme c’est dommage !
Et histoire de ne pas se laisser déborder, je lui donnais le numéro de téléphone de la maison, en principe les numéros de téléphone échangés pendant les vacances et les déplacements ne servent jamais.
Tout cela s’était déroulé, il a trois ou quatre mois !
Fin du récit d’Anna-Gaëlle
– Et alors, tu l’as rappelé ? demandais-je
– Oui par politesse, mais je lui ai fait comprendre que je n’avais pas le temps de la recevoir. Elle m’a alors fait tout un baratin, genre « je suis de passage à Paris, je serais bien passée en vitesse juste te dire bonjour… » Bref j’ai fini par accepter.
Le récit d’Anna (reprise)
Et la voilà qui se pointe !
– Ah ! Tu es toute seule, Peter n’est pas là ? Demande-t-elle.
– Peter n’était qu’un ami de rencontre, je suis veuve et célibataire !
– Ah, mais c’est très bien ça ?
– Et pourquoi, c’est très bien !
– Parce que je préfère les femmes aux hommes.
– En fait tu venais pour t’envoyer en l’air, c’est ça ?
– Non, je passais te faire un bisou, mais si tu veux qu’on s’amuse ensemble, j’en serais ravie.
Alors je l’ai laissé m’embrasser, sans trop de conviction malgré le fait qu’elle soit une très belle femme. Et puis ses mains se sont faites baladeuses, un vrai poulpe, elle me pelote les fesses, les seins, tout ce qu’elle peut.
J’ai essayé de résister, mais à quoi bon, je me suis dit qu’une heure de baise avec elle, ça ne pouvait pas me faire de mal et puis après elle me ficherait la paix.
On s’est donc rapidement retrouvée à poil toutes les deux. Je l’ai laissé mener la barque, comme ça par jeu.
Elle m’attrape les nichons, me les caresse, me les lèche, m’en mordille les tétons. J’ai du mal à lui rendre la pareille tellement elle m’accapare, je parviens quand même à lui peloter le cul.
Et je ne sais plus trop comment, nous avons atterri sur le canapé. On a continué à se peloter et se caresser et fatalement on a fini par se retrouver en soixante-neuf, elle m’a tout de suite attaquée la chatte, mais moi c’est son anus que j’avais devant la bouche, je le lui ai donc léché, il avait un petit goût très subtil. J’adore ! Et quand il s’est mis à bailler, j’ai enfoncé mon doigt et l’ai fait aller et venir.
Elle réagissait plutôt bien et commençait à haleter, je sentis soudain sa langue sur mon clitoris, je sus de suite que je ne tiendrais pas longtemps. Effectivement quelques secondes après je jouissais en mouillant mes cuisses.
L’affaire n’avait duré que cinq minutes environ.
Moment de tendresse, on s’embrasse, on se caresse, mais on ne pelote plus. Elle me demande une cigarette, on boit un verre de flotte.
– J’ai bien aimé ton doigt dans mon cul ! Me confie-t-elle.
– Coquine !
– T’as rien de plus gros ?
– Il suffit de demander, j’ai un gode mais je ne sais pas où je l’ai foutu, je ne m’en sers pas si souvent.
Pourquoi ce mensonge ? Peur de passer pour une perverse ? Qu’est-ce que j’en ai à foutre ?
En fait le gode est dans le tiroir de mon chevet, mais il m’est venu une autre idée, j’ouvre un placard, en ressort un carton et dans le carton, devinez quoi qu’il y a ? Un joli chapelet de boules de geisha ! Trois jolies boules mauves en chapelet !
– Tu connais, ça ? Annonçais-je fièrement.
– J’ai dû essayer une fois, c’est pas mal en effet !
– Alors donne ton cul, ma grande, je vais te rentrer tout ça !
– Humm ! Je sens que ça va me plaire.
Elle se met en levrette dans une position aussi provocante qu’obscène. J’avoue être fasciné par son trou du cul qui me nargue, tout à l’heure il était trop près pour que je distingue, mais à présent je l’ai plein la vue !
Du coup je ne peux me retenir de le lui lécher, les boules attendront bien quelques secondes.
Ça y est j’introduis la première boule ! C’est curieux comme impression, on dirait vraiment que le trou du cul avale la boule
La deuxième, la troisième.
– Ça fait drôle, ça fait comme si j’avais envie de faire caca ! Me dit-elle dans un grand élan de poésie.
Je tire sur la petite ficelle d’un coup sec ! Yolande hurle comme une damnée.
– Wha ! tu peux recommencer ?
Ben voyons, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir. Mais, bon, j’ai recommencé… Deux fois et à chaque fois elle a hurlé de plaisir. Maintenant elle me semble épuisée, mais parvient à quémander :
– Tu peux me pisser dessus ?
Ah, bon, comme ça ? Est-ce qu’au moins j’ai envie ? Pas trop, mais ça devrait pouvoir se faire.
J’emmène la miss dans la salle de bain, la fait se coucher sur le carrelage, elle rouspète que c’est froid. Bon O.K., ça me fera une serviette à laver, j’en prends une pour le confort de mademoiselle.
Flexion des genoux, ma chatte rencontre sa bouche.
– Attention, ça vient !
Et hop , ça coule ! L’autre se régale et s’en lèche les babines, je me recule ayant terminé ma miction et vient lui rouler un patin, je retrouve mon urine dans sa bouche, c’est vrai qu’elle a plutôt bon goût !
– Domme moi-ton cul ! Me demande-t-elle.
Je ne lui donne pas, je lui prête ! Elle me le lèche avec gourmandise.
– Hum ! j’aime le goût de ton cul ! me précise-t-elle.
– Si tu aimes régale-toi, je ne me suis pas essuyée à fond tout à l’heure.
Gros mensonge, mais j’avais envie de la provoquer.
– Hum ! C’est pour ça qu’il est si bon !
Tant mieux pour elle ! Chacun son truc.
Elle m’introduit un doigt mouillé dans mon trou marron, sans m’en demander la permission, faut surtout pas se gêner, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Mais je mentirais en disant que c’est désagréable, non c’est très bon et même que ça me provoque de ces frissons…
Elle retire son doigt, et se le fout dans la bouche, je vous dis, je suis tombée sur la reine des cochonnes.
– T’as pas honte de faire des cochonneries ? Plaisantais-je.
– Oh, si j’ai honte, j’ai beaucoup honte, me répond-t-elle sur le même ton. Tu vas me punir, dis ?
– Parfaitement, donne-moi ton cul que te le l’arranges.
J’adore son cul bien rebondi, je tape dessus avec la paume de mes mains, elle rougit vite et semble apprécier. Mais j’arrête assez vite, j’ai mal aux mains.
– Prend un objet !
O.K. je vais chercher une grande cuillère en bois dans la cuisine et je tape avec lui faisant pousser des « ho » et des « ha »
Je suis de nouveau excitée avec toutes ces bêtises, on a fini par se remettre en soixante-neuf, on se lèche la minouche, on s’enfonce les doigts dans le trou du cul. Nos langues et nos doigts se déchaînent, après cinq minutes à peine de ce petit manège, nous avons jouis presque ensemble.
Quand elle m’a confié qu’elle n’avait pas pris de chambre d’hôtel, mais qu’elle repartait je ne sais plus où dans la matinée, je lui ai évidemment proposé de dormir à la maison. C’est la moindre des politesses !
a suivre
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