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Chanette 25 – Football – 1 – Le donjon des plaisirs par Chanette
1 – Le donjon des plaisirs
Coucou, c’est moi Chanette, dominatrice professionnelle un peu déjantée, qui va vous narrer une de mes aventures extraordinaires ! Comment ? S’exclame le chœur antique, toutes ces aventures ? Mais ce n’est pas possible ?
Ben si c’est possible, ça ne fait jamais qu’une aventure par an ! Et puis bon, vous vous doutez bien que tout cela est romancé, même si ça comporte souvent des éléments réels.
Et c’est parti !
J’ai déjeuné en vitesse à la brasserie du coin, j’ai un rendez-vous à 13 heures, un nouveau. Je ne fais plus souvent de nouveaux, mais ça m’arrive, on ne sait jamais sur qui on va tomber et je préfère les habitués, mais quelque part ça rompt un peu la monotonie.
13 h 05 ! Personne, et pas de message d’excuse, avant ça m’énervait maintenant je fais avec. Dans le métier il faut aussi compter avec les lapins !
À 13 h 10, on sonne. J’ouvre… et surprise c’est un couple !
– Bonjour, nous avions rendez-vous à 13 heures mais…
Bref le gars me sort une vague excuse, n’empêche que j’aurais aimé être prévenu !
Parce que, je n’ai rien contre les couples, il m’arrive d’en « faire », mais dans certains cas cela a été une source d’emmerdes. Déjà au niveau sécurité ce n’est pas terrible, si je pense pouvoir me défendre contre un agresseur, contre deux, je ne suis pas superwoman. De plus, ce genre de prestation est souvent une idée de monsieur sans que je puisse préjuger du degré de consentement de madame. Et dans certains cas ce consentement est très proche du zéro. J’ai dû une fois tout stopper, la femme me faisant une véritable crise de nerfs alors que le mec me priait de continuer. J’ai donc arrêté, le mec est devenu violent, et pour éviter un incident plus grave, je l’ai remboursé. Maintenant je prends mes précautions, les couples, je veux bien, mais après un court entretien préalable avec madame.
– Je suis Laurent, me dit l’homme, Ingrid ma compagne.
Laurent est bel homme et doit le savoir, brun, le sourire carnassier, sûr de son charme, un peu trop sûr, à mon avis. Ingrid est une vraie blonde à la peau pâle et au visage chafouin avec de très jolis yeux bleus et quelques taches de rousseur.
– Vous ne m’aviez pas précisé que vous seriez deux ?
– Je ne pensais pas que ça poserai problème.
– Je, je refuse de dominer un couple si je n’ai pas eu d’entretien préalable avec madame.
– C’est juste une prise de contact, on ne fera rien aujourd’hui, mais on vous paie la séance, on veut juste mettre au point le prochain rendez-vous.
Ah ?
– On ne fera que 50 minutes, j’ai un rendez-vous à 14 heures et je ne peux pas décaler !
– Pas de souci…
– Vous voulez des choses si compliquées que ça ? Demandé-je.
– Le soumis, c’est lui ! Moi je regarde ! Me précise Ingrid.
– Ce n’est pas un problème !
Et même que ça m’évite l’entretien préalable !
– Je souhaite donc qu’il se fasse dominer, mais surtout, je voudrais le voir sucer des bites et se faire sodomiser, c’est possible ?
Je comprends mieux.
– J’ai effectivement quelques clients qui apprécient ce genre de choses, il suffit alors qu’on se mette d’accord pour un rendez-vous, mais il vous faut savoir qu’en la matière, mes soumis sont surtout passifs, donc ce sera une séance collective et vous devrez admettre la réciprocité.
– C’est pas possible autrement ?
– Si, mais ce sera plus compliqué, plus cher, il vous faudra payer la personne qui fera ça ! Mais ça reste possible.
L’homme s’apprête à dire quelque chose.
– Toi tu te tais, on va prendre la première formule, on peut prendre date ?
– Faut que je passe quelques coups de fil, j’ai conservé votre numéro, je vous proposerai une date dans la journée.
– Une date proche ?
– Je vais faire au mieux !
– OK, on fait comme ça, on vous laisse.
Mais comme je sais être bonne commerçante…
– C’est dommage, vous avez payé et il reste une bonne demi-heure, vous ne voulez pas qu’on fasse juste un petit truc : par exemple que je sodomise Monsieur avec un gode-ceinture ?
Echange de regard entre les deux tourtereaux qui acceptent.
– Donc vous, vous regardez ? Fis-je préciser à Ingrid.
– Je regarde, oui !
– Parce qu’au cas où ça vous intéresserait, autant savoir que je suis bisexuelle, mais bon je dis juste ça comme ça ! Bon, toi l’esclave t’es pas encore à poil ?
Je m’aperçois que j’ai oublié demander quelles pratiques l’intéressaient.
– Tu aimes quoi ?
– Faites-lui ce dont vous avez envie, il n’a pas à la ramener, si quelque chose cloche, j’interviendrais ! M’indique Ingrid.
Ah bon ?
J’attends qu’il se déshabille et j’emmène tout le monde dans mon petit donjon à moi.
– Eh ben ! Me dit Ingrid, admirative !
– Ben oui !
Je me saisis d’un martinet, puisqu’après tout il s’agit là de l’instrument de base et m’approche de l’homme en jouant à la méchante :
– A quatre pattes, esclave, le cul bien relevé ! Je vais te rougir tout ça !
Il obtempère et moi je fouette ! Il encaisse bien et ne tarde pas à avoir rapidement le cul tout rouge.
– Insulte-le ! Me demande Ingrid qui doit avoir le tutoiement facile.
– Tiens pédale, tiens morue !
Parfois ces séances sont d’une poésie, je ne vous dis pas !
Je m’harnache avec mon gode ceinture et le nargue :
– Regarde un peu la belle bite qui t’attend ! Elle te plait j’espère ?
– Oui !
– Dis donc, tu ne serais pas en train de me manquer de respect en ce moment ?
La tronche du mec, qui ne comprend pas !
– Euh…
– On dit, « Oui Maîtresse »
– Ah, oui ! Oui Maîtresse ! Excusez-moi Maîtresse ! Je ne suis qu’un porc !
Et je lui balance deux gifles pour lui apprendre la politesse.
– Maintenant vient sucer cette queue ! Montre-moi comment tu suces des bites !
Il se met à genoux devant moi et entreprend de faire une fellation au sex-toy en latex, il fait ça plutôt bien avec dextérité et une certaine technique.
– Dis donc, grosse pédale, tu m’as l’air d’en avoir sucé pas mal, des bites !
– Bof deux ou trois…
J’aime bien les gens qui répondent deux ou trois ! C’est deux ou c’est trois ? En principe les gens savent compter jusqu’à trois, donc deux ou trois, ça veut dire « un certain nombre ».
– Et toi, tu aimes le voir sucer des queues ? Demandais-je à Ingrid
– Oh ! Oui ! Ça m’excite grave !
Bien, si vraiment ils reviennent pour une autre séance, je crois qu’on va bien s’amuser et la Ingrid, je vais me la faire… à ma façon !
– Bon arrête de sucer, mets-toi en levrette, je vais t’enculer.
Le Laurent n’hésite pas une seconde et se met en position, prêt à supporter l’assaut. Je lui tartine un petit peu l’endroit, ça entre comme dans du beurre des Charentes. Je m’enfonce jusqu’à la garde puis entame une série de va-et-vient assez énergiques. Mais ça finit par m’épuiser ce petit exercice.
– On lui permet de jouir ou on le laisse comme ça ? Demandais-je à Ingrid.
– Donne-lui un kleenex et envoie le se branler dans les chiottes !
Je vous dis : c’est un couple de grands romantiques !
Je n’ai pas vérifié s’il s’était branlé pour de vrai ou s’il avait fait semblant, je m’en fiche un peu ! Mais quand il revient pour s’habiller, il a l’air satisfait, c’est l’essentiel.
– On fait comme on a dit ? Me demande Ingrid !
– Oui, je contacte mon client et je vous rappelle.
– Tu pourras me montrer tes nénés quand on reviendra ?
– Mais bien sûr ma biche, tu pourras même les embrasser… toi mais pas lui !
Kevin Golfen
Kevin Golfen est un footballeur de haut niveau, un buteur génial que tous les clubs s’arrachent. Etant donné ses talents il a été sélectionné en Equipe de France, mais ça ne s’est pas trop bien passé, le type se révélant d’un individualisme exacerbé aussi bien sur le terrain que dans les vestiaires.
Et puis il y eu « l’affaire Veronika », cette dernière, épouse de Rémy M’bomo autre joueur de haut niveau déclara un beau matin à qui voulait, l’entendre que Kévin Golfen l’avait violé. A partir de là, la situation devint compliquée. Golfen se fit mettre un pain dans la figure par Rémy M’bomo, puis quelques temps après donna une version différente, selon laquelle Veronika était consentante mais avait inventé le viol pour masquer son infidélité.
L’affaire s’ébruita, comme toujours dans ce genre d’affaires, tout le monde accusa Golfen sans aucune preuve, lequel s’énerva en continuant à accuser Veronika de duplicité. M’bomo jaloux comme un tigre, voulant être sûr, fit l’erreur de demander à son épouse de confirmer sa version, celle-ci le prit fort mal, ne supporta pas qu’on puisse mettre sa bonne foi en doute, le ton monta et après que le couple eut cassé quelques assiettes, elle quitta le domicile conjugal.
L’ambiance au sein de l’Equipe de France était devenue détestable, plus personne n’adressait la parole à Golfen. Et le sélectionneur, la mort dans l’âme commençait sous la pression à envisager de se passer des services de ce buteur exceptionnel.
La fuite de la fille changeait la donne et redonnait crédit à la version de Golfen. Un individu mandaté par la fédération retrouva la trace de Veronika et lui proposa un paquet de fric en échange de l’abandon de la version « viol ». On lui fit signer un communiqué par lequel elle regrettait d’avoir accusé Golfen etc… etc… On organisa une conférence de presse au cours de laquelle Golfen chargea Veronika, prétendit que ce jour-là, il avait un peu bu, que la femme l’avait allumée. Le sélectionneur pour sa part déclara l’incident clos et affirma sans rire que la bonne ambiance était revenue dans l’équipe. On fit même poser ensemble Golfen et M’bomo se serrant la main, mais on ne la publia pas, elle faisait décidément trop « cinéma ».
Après cette petite mise en scène un équipier de M’bomo interpella ce dernier :
– Tu ne comptes pas en rester là ?
– Oh, que non ! Il ne sait pas ce qui l’attend, Golfen !
Mais revenons pour un petit moment en ma compagnie :
Comme je l’avais promis à Ingrid et Laurent, je trouvais le moyen d’organiser une petite partouze avec la participation de Nœud-pap, l’un de mes fidèles clients que mes lecteurs connaissent bien.
J’avais une petite idée sur la façon dont ça allait se passer, mais Ingrid me prit à part et me soumit un petit scénario original.
– Tu veux diriger le truc, du moins au début ? Lui demandais-je.
– Juste au début, et après je te passe la main !
Sur ces entrefaites, Nœud-pap arrive, je l’embrasse chastement, procède à des présentations sommaires… Nœud-pap sera donc Marcel puisque c’est son vrai prénom
– Les mecs, vous restez habillés pour le moment, Ingrid va vous prendre en main.
– On y va ! Dit cette dernière ! Bon vous deux, on va dire que vous êtres dans un cinéma porno ou un truc dans le genre et que vous avez envie de tâter de la bite. Donc Marcel, tu vas porter ta main à la braguette de Laurent et tu vas la masser jusqu’à ce que tu sentes qu’elle bande. Et toi Laurent, tu attends une minute, pas plus, et tu lui rends la politesse. Allez exécution !
Manifestement le scénario leur plait, c’est amusant de les voir comme ça l’un en face de l’autre, attendant qu’on leur dicte la suite.
– Maintenant vous ouvrez les braguettes, vous rentrez la main à l’intérieur et vous tripotez !
Manifestement Ingrid fait durer le plaisir.
– C’est bon tout le monde bande bien ? Demande-t-elle.
Ils lui répondent par des hochements de tête affirmatifs.
– Alors maintenant, vous allez chercher la bite, vous la sortez et vous la branlez un peu !
C’est ce qu’ils font ! Puis Ingrid donne l’ordre à son compagnon de se mettre à genoux et d’emboucher la bite de Marcel alias Nœud-Pap. Et c’est qu’il se régale, le garçon, il ne fait pas semblant.
Ingrid me fait alors signe de reprendre la main.
– Et surtout insulte-le ! Me précise-t-elle.
– Bon toi la pédale, tu arrêtes de sucer et tu vas te foutre à poil ! Toi aussi bien sûr ! Et quand vous serez prêt on va inverser les rôles, c’est Nœud-Pap qui va sucer la tantouse.
Ingrid s’approche très près de moi et se fait chatte :
– Et c’est quand que tu t’occupes un peu de moi ? Tu m’avais fait une promesse !
– Tu vas avoir tout ce que tu veux, ne t’inquiètes pas ma belle, mais je ne peux pas tout gérer à la fois !
Mais ceci dit, elle a raison, il faut que je vérifie le timing et que je me réserve un quart d’heure d’intimité avec elle, elle veut me sauter, ça tombe bien, moi aussi !
Et pendant ce temps-là, le père Marcel se régale de la bite de son partenaire, j’ai beau être habitué, un homme qui suce une bite, ça me rend toujours toute chose !
Avant de passer à des choses plus profondes (si j’ose dire !), je propose à Ingrid que nous fouettions le cul de nos esclaves afin qu’ils rougissent comme il se doit. Après avoir fait adopter aux deux soumis une position ad hoc, je prête un martinet à la charmante Ingrid et la fait opérer sur Marcel, tandis que je me réserve les fesses de Laurent.
Et on y va, et on fouette, et on marque, et on ne s’occupe pas des gémissements de nos esclaves qui de toute façon ont payé pour souffrir et se pâmer dans la douleur.
Et bien sûr au bout d’un moment les culs de ces messieurs ont changé de couleur et arborent désormais une jolie couleur bien cramoisie.
Un coup d’œil sur la pendule… tout va bien !
– Vous les esclaves vous restez comme vous êtes sans bouger, nous reprendrons les réjouissances dans quelques instants, mais en attendant il faut que je saute Ingrid.
– C’est vrai, tu veux me sauter ? Me dit cette dernière avec un sourire malicieux !
– Oui, pourquoi, t’as quelque chose contre ?
– Non, non pas du tout, bien au contraire !
– Alors à poil !
– Et toi ?
– Ne t’inquiètes donc pas sans arrêt, c’est mauvais pour ton petit cœur !
Je commence par dégager mes seins ! Elle doit être complètement mamophile, la Ingrid, parce que cette vision la rend folle ! Incapable se de retenir, elle se jette sur ma poitrine, bouche en avant, et vas-y que je te bise, que je te lèche, que je te pelote.. Une fraie furie !
Je n’aurai pas accepté un tel déchainement de la part de n’importe qui, mais là, je me laisse faire volontiers.
Elle veut me rouler une galoche ! En principe on embrase pas les clients fussent-il des clientes, mais toute règle ayant ces exceptions j’accepte son baiser fougueux.
Comme me disait un client pompier : « la meilleure façon de maîtriser un incendie et d’allumer un contre feu » et c’est donc ce que je fais, me lançant à mon tour sur ses seins en l’empêchant de bouger de trop. Mais ce n’est pas si facile ! Elle bouge, elle gigote, elle est montée sur piles ! Elle me saoule un peu malgré la douceur de sa peau.
– Tu veux ma chatte ? Lui proposais-je ?
Ben oui, elle la veut, mais sans doute n’osait-elle pas me le demander, mais là elle saute sur l’occasion (si je puis dire). Alors là je fais quoi, je me laisser aller, ou je simule ? A priori je suppose que ma jouissance lui importe peu, ce qui l’intéresse c’est le goût de ma chatte. Mais pour l’instant je ne mouille pas beaucoup. Je me laisse aller, je me laisse lécher et soudain il se passe quelque chose :
Elle s’arrête un instant. Fatigue de la langue ? Me regarde dans les yeux avec un sourire ravageur.
– Qu’est-ce qu’elle est bonne ta chatte !
Vrai compliment ou phrase de circonstance. On s’en fout, c’est la façon dont elle me débite ça qui me trouble, ce regard, ses lèvres imbibés de salive, ses seins qui ballotent. Elle va me faire craquer la nana !
Et ce qui devait arriver arriva, mon entrecuisse s’humidifie… la salope elle me fait mouiller.
Ingrid reprend ses léchouilles, je m’abandonne, j’ai envie de lui dire de s’occuper ce mon petit bouton de plaisir… Pas la peine, elle sait y aller toute seule, elle me le fouette de la langue. Je pars, je hurle.
De l’autre côté, les deux drôles se retournent. Je suis lessivée pour quelques instants, et n’ai pas la force de leur dire que ce qui vient de se passer ne les regarde pas.
– Tu veux que je te lèche ! Finis-je par lui proposer.
Elle me fait signe qu’elle veut bien mais après que ces messieurs se soient enfilés.
Petit aparté pour savoir qui baisera l’autre le premier, j’aurais bien fait ça à pile ou face, mais Ingrid préfère que son mec passe en dernier.
Donc, allons-y on encapote Laurent, avec instruction d’éviter de jouir, on installe Marcel alias Nœud-Pap sur un cheval d’arçon, jambes bien écartées, et c’est parti mon kiki !
On voit bien que Laurent est surtout passif, il encule sans passion, à la limite je fais ça mieux que lui avec mon gode-ceinture, mais ça ne déplait pas à Marcel, même si je lui ai procuré de bien meilleurs partenaires.
Au bout de cinq minutes, on permute nos deux lascars. Excité comme il est, ce bon Marcel devrait s’acquitter de sa tâche sans soucis même si lui aussi préfère être devant que derrière.
Effectivement, après une petite période de pilonnage modéré, Nœud-Pap sent monter son plaisir et passe à la vitesse supérieure et finit par jouir dans le cul de son partenaire. Laurent se branle et demande un kleenex à la cantonade, je lui indique la direction des toilettes où il trouvera du papier…
On a dépassé le timing, mais je n’ai pas de rendez-vous dans la foulée, je peux donc m’occuper d’Ingrid si toutefois madame est toujours disposée à me confier son intimité.
Elle me fait comprendre que oui ! Et pendant que ces messieurs se rhabillent en silence, je plonge ma bouche dans l’humidité de la chatte de la jolie blonde et me régale de ses sucs, mais voilà qu’elle veut me dire quelque chose :
– On pourrait se mettre en soixante-neuf !
– La prochaine fois ! Répondis-je.
Hé ! C’est que si je veux qu’elle revienne, on ne va pas tout faire le même jour !
Et pendant que je la lèche, je projette mes mains en avant pour lui caresser les seins et lui attraper les tétons. Je finis par abandonner le sein droit et ramène ma main sur son sexe, afin de la doigter en même temps que je la lèche. Elle est tellement mouillée que tout ça produit un bruit de floc-floc assez peu érotique, au bout d’un moment madame se cambre et halète, elle me murmure quelque chose que je ne comprends pas, au lieu de la faire répéter, je pose mes lèvres sur son clitounet ne tardant pas à provoquer chez ma partenaire un orgasme fulgurant.
Elle veut m’embrasser.
– Tu sais bien que les putes n’embrassent pas !
– Tant pis !
Elle est bête, elle aurait insisté, je l’aurais volontiers embrassé bien goulument d’autant que je l’avais déjà fait tout à l’heure dans le feu de l’action !
Nous refîmes une séance pratiquement identique la semaine suivante et je n’étais pas mécontente d’avoir rapidement fidélisé ce couple dont la femme était bien sympathique et l’homme peu compliqué.
A suivre
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