James

Samedi 29 octobre 2022 6 29 /10 /Oct /2022 15:13

Trio interdit par James01
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Je devais rentrer ce soir, mais non, il a fallu que ce con de directeur commercial me propose un nouveau rendez-vous le lendemain pour finaliser le contrat…

Oui, je vais me présenter, je suis Roland, voyageur de commerce et je suis bloqué dans cette ville de province dans laquelle il n’y a rien à foutre. Il est 20 heures, je n’ai pas faim, je sors de mon hôtel, j’ai déniché sur mon smartphone l’adresse d’une sex-shop, je vais y aller faire un tour.

Au rez-de-chaussée, des revues, des vidéos des gadgets, il faut prendre un jeton pour se rendre au sous-sol où il y a des projections coquines. Allons y.

Un couloir avec des cabines et au bout une petite salle, sur l’écran du porno standard avec une fille qui garde ses escarpins pour baiser. Des mecs se branlent dans leur fauteuils, je m’assois et c’est là que j’aperçois près du coin gauche de l’écran un trio très chaud. Du coup je me relève et je m’approche. Un blondinet complètement nu suce alternativement, deux mecs, l’un genre grand bourgeois avec porte-documents sous le bras, l’autre un grand dadais en blouson de cuir.

Je m’approche, fasciné par le spectacle, la bite du bourgeois est vraiment très belle, bien droite, d’une belle couleur, le gland qui brille… j’ai envie de la sucer. Mais pour l’instant je me contente de sortir ma queue de ma braguette et de me branler mollement. Une main entre dans mon pantalon par l’arrière ! Faut surtout pas se gêner ! Le mec cherche à me doigter le cul, Après tout pourquoi pas ? Du coup je laisse tomber mon pantalon et mon bénard sur les chevilles.

– T’aimes ça, mon doigt dans le cul ! Hein salope ?

Comment il me parle, celui-ci ?

– Tu veux que je t’encule ? Me demande-t-il

Je me retourne, il ne me dit rien du tout ce mec.

– Laisse tomber ! lui dis-je

Le blondinet continue de sucer le mec au blouson, du coup la bite du bourgeois est accessible, je tends la main, lui soupèse ses grosses couilles.

– Vas-y suce !

Je ne me le fais pas dire deux fois et j’embouche ce membre magnifique. Il y avait une éternité que je n’avais pas sucé une bite, mais j’aime ça !

Oh ! Qu’est-ce que c’est bon de sucer de la bite ! Je me régale et je bande comme un bout de bois. Une goutte de pré-jouissance perle sur son gland, quel bonheur !

Un type s’approche de nous, c’est un black, il sort de sa braguette un engin de compétition et me fait comprendre qu’il aimerait bien que je le suce.

Moi je veux bien, mais je n’ai qu’une seule bouche et je n’ai pas envie d’abandonner celle que je suce actuellement..

– Tu suces bien ! me dit le type !

Un compliment ça fait toujours plaisir.

– Me fait pas jouir ! Reprend-il.

J’abandonne donc ma pipe, autour de nous ça se suce, ça se branle… L’orgie, quoi !

J’allais pour me reculotter et m’assoir histoire de me reposer cinq minutes, mais mon « Bourgeois » m’interpelle.

– T’es gay ou bi ?
– Pourquoi cette question ? En fait je suis hétéro mais parfois un peu bi.
– Tu aimerais que je t’encule ?
– Pourquoi pas ? M’entendis-je répondre.
– Et toi tu m’enculerais aussi ?
– Ça peut se faire.
– On va pas faire ça ici ! Je n’habite pas très loin.

J’hésite un peu, craignant je ne sais quel embrouille.

– C’est à cinq minutes ! ajoute-il, on va se faire un trip d’enfer…

Et histoire de me motiver il me prend ma bite dans sa main et la branlotte.

– J’aime bien ta bite ! Me dit-il

Puis prenant à témoin l’un des types qui se trouvait là, il l’interpelle :

– N’est-ce pas qu’il a une belle bite !
– Oui c’et vrai, et un beau cul aussi !
– Un vrai cul d’enculé, ajoute mon bourge.! Allez viens j’ai eu une dure journée il faut que je déstresse.

Alors comme un zombie, la bite encore bandée, je me reculotte et suis le bonhomme. Je pensais bêtement qu’il m’emmenait à son hôtel, mais non, il s’arrête devant une voiture qu’il ouvre, une super bagnole.

– Euh… on va où ?
– Chez moi, c’est pas très loin. Je m’appelle Pedro

Je suis monté, on a roulé, on est sorti de la ville.

– Dis-donc je croyais que c’était à cinq minutes ?
Cinq minutes, c’est une expression pour dire que ça ne prend pas beaucoup de temps. On est presque arrivé.
– Et comment je vais rentrer à mon hôtel, moi ?
– Je te reconduirai

On finit par s’arrêter dans un patelin dont le nom ne me dit rien. On sort de la bagnole et on entre dans une jolie maison bourgeoise.
– Bonsoir, t’as diné ? Dit une dame à l’adresse de Pedro, puis m’apercevant… Oh ! Bonsoir Monsieur, je ne vous avait pas vu. Qui est donc ce charmant jeune homme ?
– C’est Roland, je l’ai rencontré dans la sex shop de Bitenville

Ça devient surréaliste cette affaire-là, je me pince, non je ne rêve pas.

Dolores2– C’est Dolorès, ma mère !

De mieux en mieux ! Mais il nous faut la décrire, entre 50 et 60 ans, fausse blonde, visage intéressant, sourire carnassier, poitrine prometteuse sous le haut décolleté.

Comment me sortir de ce guêpier ?

– Je vous offre à boire, qu’est-ce qui vous ferait plaisir
– Euh, un jus de fruit si vous avez.!

Elle revient avec du jus de pomme.

– Mon fils a toujours très bon gout, je suis sûr que vous allez m’offrir un joli spectacle !

Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?

– Euh, il y a un petit problème ! Je pensais que nous ne serions tous les deux… tentais-je
– Allons , allons, vous n’allez pas me priver d’un petit spectacle, jeune homme ! Au fait comment me trouvez-vous ? Je veux dire physiquement.
– Vous êtes une belle femme !
– Vous aimeriez me voir à poil ?

C’est typiquement le genre de question à laquelle on ne peut décemment répondre par non !

– Pourquoi pas ?
– D’accord, je vais le faire, mais vous deux déshabillez-vous aussi.

Ça devient dingue cette affaire, mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Pedro se déshabille, il est rapidement tout nu alors que sa mère reste en sous-vêtements. Je me déshabille à mon tour.

Dolores retire son soutif ! Putain ses seins ! Ça tombe un tout petit peu mais ils ont belle allure, j’ai une envie folle de les sucer, mais je reste à ma place.

Venez la tous les deux je vais vous sucer la bite !

Elle a dit « tous les deux », je n’ai pas rêvé. Elle attrape nos bites, une dans chaque main, les branlotte un peu avant de nous sucer alternativement.

Donc Pedro se fait sucer par sa mère…

Et donc elle me suce aussi, et c’est qu’elle suce bien la bougresse. Sa petite langue de bonne salope venant m’électriser le bout du gland

Elle finit par se relever.

– Je peux vous embrasser les seins ? Demandais-je
– Mes bien sûr, je te les offre, caresse-les, lèche-les, pince-moi les tétons !

Vous pensez bien que je ne m’en suis pas privé !

– Allez tourne-toi et met toi en levrette, Pédro va t’enculer.

Pour être franc je ne suis pas un habitué de cette pratique, j’ai dû faire ça cinq ou six fois mais chaque fois j’en ai ressenti un plaisir extrême.

Je me place donc dans la position demandée, les deux dévergondés passent derrière moi et me lèche le cul alternativement. C’est fou ça de se faire lécher par une mère et son film. Putain ces deux langues sur mon cul, ça me fait un bien fou.

– Je me met une capote et j’y vais ! M’indique Pedro.
– Vas-y encule-moi !

Sa bite rentre. Toujours cette sensation de gêne au début, mais ça ne dure jamais, il s’enfonce à fond puis se met à coulisser sa bonne bite dans mon cul. Je me sens salope, mais qu’est-ce que c’est bon !

Et pendant ce temps, Mamie Dolorès se branle la chatoune avec frénésie des doigts de la main droite tandis que ceux de sa gauche pince le bout de ses seins.

Je perd la notion du temps, le plaisir m’envahit, mais Pedro décule sans crier gare, me laissant mon trou béant. C’est pô juste !

Je pensais que c’était la fatigue qui avait fait Pédro se retirer de mon cul ! Eh bien non ce n’était pas ça, Dolorès s’est mise en levrette et c’est elle qui à son tour reçoit la bite de son fils dans son cul !

– Ah, vas-y, encule bien ta mère, petit salaud ! Lui crie-t-elle

Et moi je fais quoi ?

Elle avait dû lire dans mes pensées.*

– Tiens-toi prêt quand Pedro aura joui, tu prendras le relais.

Voilà qui me convient très bien ! J’ai donc enculé la dame qui a joui plusieurs fois comme une truie, moi je n’ai joui qu’une seule fois, mais quelle intensité, mes enfants !

Je me redresse, demande où est le lavabo pour me rincer la bite.

– Venez donc me voir jeune homme, je vais vous nettoyer la bite, j’adore le sperme !
– Mais c’est qu’il faudrait que je fasse pipi !
– Voilà qui est encore meilleur, pisse-moi dessus mon grand, j’adore ça !

J’ai donc arrosé la dame, elle m’a demandé de lui viser la bouche, elle a eu l’air de se régaler, puis ensuite elle m’a nettoyé comme il se doit. Elle s’en léchait les babines, la cochonne !

Quand Dolorès s’en alla dans la salle de bain pour se rincer un peu, Pedro me prit à part.

– Ce serait sympa si tu lui donnais un petit billet ! Elle ne fait pas ça pour l’argent mais ça lui plait tellement de se sentir pute.

Et des soirées comme celle-ci je vous assure mes amis qu’on n’en vit pas tous les jours

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Mercredi 23 mars 2022 3 23 /03 /Mars /2022 14:47

Julie chez sa tante par James01
zoo

 

Julie, belle blonde de 21 ans, et venue passer une semaine de vacances chez sa tante Mado en Haute Savoie

L’idée lui était venue comme ça ! Envie de se ressourcer après un gros chagrin d’amour. Julie n’avait pas vu sa tante depuis quatre ans, cette dernière l’accueillit chaleureusement et le soir après un bon repas bien arrosé, vint le moment des confidences.

Mado est une femme de cinquante ans, bien conservée et toujours souriante, divorcée depuis quelques années, et fâchée avec la moitié de sa famille, sans doute en raison de sa réputation assez sulfureuse

– C’est toi qui a rompu ou c’est lui ? Demande Mado à sa nièce.
– C’est elle !
– Une femme ?
– Ben, oui ! J’espère ne pas te choquer !
– Pas du tout, j’ai moi-même eu quelques aventures féminines

Elle parlèrent ensuite d’autre chose, mais au moins les choses étaient claires.

Le lendemain matin, accompagnée de sa nièce, Mado en short et tee-shirt va promener Wolf, un superbe chien, au museau très pointu, toujours humide. Julie est vêtue d’une jupette de tennis, et d’un petit haut sans manche, fermé par deux boutons.

A l’entrée du sous-bois, Julie trébuche sur une racine, et s’affale, se retrouvant sur le dos, jupe relevée jusqu’à la taille. Elle reste un petit moment dans cette position.

– Dis donc, petite vicieuse, remarque Mado, tu n’as pas de culotte, et je vois un joli minou tout épilé.
– Il est joli, hein ?
– Je le caresserais bien !
– Vas-y tantine, tu as ma permission

Mado se penche sur sa nièce, et parcours son entre jambe d’une main experte forçant Julie à écarter ses cuisses.

– Dis donc, qu’est-ce que tu mouilles !
– Hi ! Hi !

Mado fait rouler un doigt sur le clitoris de Julie, ce qui lui provoque un agréable frisson.

– Oh, Tata, qu’est-ce-que tu me fais ? C’est bon !
– Petite vicieuse ! J’adore ton minou !

Mado caresse la chatte, frottant les lèvres les unes contre les autres, les ouvrant pour glisser un doigt, puis revient sur le clitoris. Elle attend que sa nièce soit en surchauffe. Elle veut que Julie la supplie. Après, elle sera à elle.

– Tu veux qu’on fasse quelque chose de très cochon ? Lui demande Mado.
– Tout ce que tu veux, tantine !.
– Wolf, appelle Mado, viens voir ta maîtresse.

Le chien, obéissant, déboule en remuant la queue.

– Viens mon chien, cette petite pute a envie de se faire lécher la fente
– Non, tantine, pas ça, tu es folle !
– Calme toi, ma chérie, dit Mado. Il ne va pas te faire du mal, il et doux comme un agneau. Allez Wolf, avance.
– Non, non !
– Essaie, ça ne va pas te tuer ! Je le fais bien, moi !
– Bon d’accord, mais je ferme les yeux !

Le museau du chien entre légèrement dans le sexe de Julie, ce qui lui provoque des gémissements de plaisir. La truffe humide, frotte contre le petit bouton d’amour de la nièce. Elle cambre son bassin.

Mado se met à genoux derrière Julie, assise sur ses talons. Elle lui soulève le visage, et le pose sur ses cuisses. Calmement, elle défait les deux boutons, et écarte le gilet. Julie est maintenant entièrement offerte. A la tante, et au chien.

– Oh ma nièce ! S’exclame Mado, quels jolis seins !

Avec le pouce et l’index de chaque main, elle saisit les bouts, les fait rouler, les étire, arrachant de petits cris à Julie.

– Ma tante, tu vas me rendre folle !

La truffe de Wolf continue sa progression. Elle est largement entrée dans la chatte de Julie. Il fouille le vagin de sa langue râpeuse. De temps en temps, il la sort puis recommence, faisant sangloter de plaisir la jeune femme.

– Tata, tata, je vais jouir, ah !.ah ! ah ! Dis à ton chien de continuer ! Ma petite chatte est toute mouillée, oui… oui… oh, quel pied
– Tu vois, répond Mado, tu t’es régalée, hein ? Tu veux qu’on recommence ?

Julie se redresse et regarde le chien finir de lécher sa mouille. Elle entrevoit entre ses pattes, le sexe de Wolf, tout rouge, décalotté sur quatre ou cinq centimètres.

– Mais, tantine, il va me pénétrer ? S’affole Julie. Quel bite, il a, c’est impressionnant !
– Je suis sûre que t’as envie de la sucer !
– Sucer la bite d’un chien ? Je ne sais pas trop…
– Regarde, je vais le faire !

Mado s’allonge sous le chien et lui attrape la bite qu’elle embouche sans hésiter une seconde, du liquide poisseux s’écoule, la tante s’en régale.

– Tantine, t’es une cochonne !
– T’as envie de faire pareil ?
– Peut-être…
– Alors prend ma place.

Julie s’allonge à son tour, après une petit moment d’appréhension, elle met à son tour la bite de Wolf dans sa jolie petite bouche. Elle cesse après quelques minutes.

Julie Wolf
Les deux femmes s’embrassent profondément.

– On fait une belle paire de cochonnes ! Dit Mado.
– Tu te rends compte de ce que tu m’as fait faire ?
– Je ne t’ai pas obligé !
– Quand même, sucer la bite d’un chien ! Je suis vraiment salope !
– Si tu le dis… Tu recommenceras ?
– Bien sûr, tantine.
– Alors tout va bien ! Il faut que je fasse pipi ! Ça ne te gêne pas que je pisse devant toi !
– Oh, non, Tantine, au contraire !
– T’es vraiment vicieuse, mais je ne vais pas te décevoir.

Mado se débarrasse de son short laissant apparaitre un joli minou tout lisse.

– Oh, que tu as une belle chatte, Tantine !
– Tu va pouvoir la lécher, mais seulement quand j’aurais pissé !
– Humm

Mado s’accroupit et laisse échapper un joli filet jaune.

– Alors c’était joli ? Demande la tata.
– Hum, je vais te nettoyer tout ça !

Mado se couche sur le dos, et Julie vient de sa petite langue nettoyer les gouttelettes de pipi. Evidemment, elle ne s’arrête pas en si bon chemin et lape la chatte de sa tante pendant quelques minutes avant de cibler le clitoris et de l’emmener au plaisir.

– Lèche moi derrière, maintenant ! Dit Mado en présentant son cul à sa nièce.et en écartant ses grosses fesses.

Julie approche sa langue du petit œillet brun.

– Il est comment mon trou du cul ? Il sent bon !
– Une très légère odeur de merde, mais ça en me dérange pas, j’aime bien !
– Quelle vicieuse tu fais !
– Oui tantine !

Le soir, les deux femmes dinèrent en tête à tête, Wolf étant couché sous la table.

– Tu sais qu’il y a mon fils qui vient demain ?
– Kévin ? demande Julie. Voilà un bout de temps que je ne l’ai pas vu. Ça lui fait quel âge maintenant ?
– Il va avoir dix-neuf ans, répond Mado, Il est toujours aussi mignon et il a une belle bite !
– Ah bon ? Il se met à poil devant toi ?
– On peut dire ça comme ça…
– Qu’est-ce que tu me cache, tantine ?
– Rien, je ne voudrais pas que tu me prennes pour une dépravée…
– Mais non, tantine ! Je crois que j’ai compris, tu l’as un peu branlé, c’est ça !
– Un peu branlé, un peu sucé…
– T’es vraiment coquine, tata !
– Je suis contente que tu le prennes comme ça !

Elles arrivent au désert.

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ma chérie, pourquoi tu gigotes ? demande Mado.
– C’est Wolf, murmure Julie. Ce chien est trop vicieux… ah, ah, ah !

Mado se penche sous la table.

– Il t’a adopté ! Si tu veux je vais l’enfermer dans la buanderie.
– Non, tata, laisse-le faire, c’est trop bon!

Wolf lèche la chatte et le clitoris de Julie. Elle est totalement soumise au chien. Elle ouvre son petit haut, et se caresse les seins, insistant sur les bouts. Elle glisse sur la chaise, avançant son bassin pour mieux se faire pénétrer par la langue de Wolf.

– Hou, hou.., tantine, je vais venir ! Comme il me lèche ce salaud, quelle langue il a.!

Julie prend la tête du chien à pleine main, et la maintien contre sa mounette.

– Je viens encore, tata, oui, oui !

Une fois fini, le chien quitte le dessous la table en se léchant les babines et va se coucher.

– Je vais m’allonger cinq minutes, dit Julie, épuisée.
– Vicieuse va. Allez, moi aussi je vais me coucher. Tu viens Wolf ?

Une fois dans la chambre, Mado se déshabille.. Elle se regarde dans la glace, et se trouve encore très belle et désirable. Wolf glisse son museau entre les fesses de Mado.

– Wolf, tu me fais la chatouille, voyons !

Mado s’assied sur le lit, jambes écartées. Avec deux doigts, elle décalotte son clitoris, et écarte sa chatte.

– Viens faire du bien à ta maitresse ! Ordonne-t-elle.

Wolf a été dressé pour ce genre d’activité. Au dire de Mado, son instinct de mâle est supérieur à l’homme dans ce domaine. Un véritable expert

– Mon chien, fouille bien ta maitresse, lèche mon petit bouton, vas-y mon toutou, joue avec moi. Ha.. ha.. oui. Oui, je joui.

Wolf, avec sa langue pointue, explore la chatte de Mado, lui arrachant des cris de plaisir. Il lèche le bouton. Mado n’en peut plus. Elle se retourne, et offre sa croupe à son amant à quatre pattes. Wolf, son sexe entièrement sorti, monte sur le dos de Mado. Elle écarte sa chatte, et se fait prendre par son chien. Elle pousse un râle de plaisir.

– Vas-y mon gros toutou ! Gémit-elle, bourre bien ta maitresse.

Wolf, tire la langue de bonheur. Il accélère ses va-et-vient dans la chatte de Mado. Ce sont des cris de plaisir qui sortent de sa bouche.

– Oh putain, comme tu me baises, salaud, vas-y, régale-moi.

D’un coup, le chien couine, et se couche sur la moquette, entrainant Mado, toujours prise par la queue de Wolf. Le chien est en phase d’éjaculation. Mado est obligée d’attendre qu’il ait fini de se vider dans sa chatte. Au bout d’un moment, Wolf se retire. La sortie est douloureuse. Mais tant pis, le reste était tellement bon. Wolf se lèche la queue et les testicules, puis, il s’approche et prend la chatte de sa maitresse à coups de langue, comme s’il voulait la nettoyer. Mado s’abandonne, entièrement soumise. Elle le prend par le cou, et l’embrasse.

– Mon chien, mon amant, comme tu me rend heureuse ! Reposons-nous maintenant.

Le lendemain matin, elle est réveillée par la truffe humide de son chien contre son petit trou.

– Ah non, dit-elle, assez, il y a Kévin qui va arriver. Il faut que je fasse un peu de ménage…

Wolf jappe, comme s’il avait compris. A dix heures, Kévin sonne à la porte.

– Bonjour maman, salut Wolf. Oh, mais qui est là ? Julie, ma cousine préférée. Comme tu as changé !
– Je vais préparer un café, dit Mado, pendant ce temps, installez-vous sur le canapé.

– T’es toujours aussi mignon ! Lui dit Julie.
– Et toi tu es vachement sexy. Tu sais que tu m’excites ?
– Sans blague ? Tu ne vas pas me dire que je te fais bander.
– Ben si !
– Menteur !
– Tu n’as qu’à vérifier !
– Fais gaffe, je suis capable de le faire, mais ça risque de nous entrainer un peu loin.
– Je prends le risque.
– Tu l’auras voulu !

Et Julie lui pose la main sur la braguette, constatant la bosse qui s’y est formée !

– Eh ben, je ne pensais pas te faire un effet pareil !

Julie ouvre la braguette du jeune homme, fait se faufiler la main à la recherche de la bite qu’elle finit par extraire. Elle la masturbe un petit peu avant d’y porter ses lèvres.

Mado revient avec le café et est surprise par le spectacle.

– Ben faut pas vous gêner tous les deux ! Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir

Devant tant d’érotisme, Mado sent la chaleur envahie ses entrailles. Sa chatte devient humide. Wolf l’a senti. Il faufile son museau sous son déshabillé, et commence à lécher sa maitresse.

– Maman ! Viens donc jouer avec nous ! Lui propose Kévin
– Oui viens tata ! Ajoute Julie
– J’arrive, mais je vais ranger le chien ! Répond Mado.
– Mais non, laisse le tranquille répond la jeune femme

Wolf est le premier en action. Il fourre son museau contre la chatte de Julie, et la pénètre avec sa langue, frottant le clitoris du bout de sa truffe.

– Quel vicieux ! Gémit Julie, comme il me fouille. Tata, viens que je te caresse.

Mado se débarrasse de son déshabillé et fait admirer sa poitrine à sa nièce

– Oh, les beaux nénés ! Ne peut s’empêcher de s’exclamer Julie, admirative.

Celle-ci se jette dessus bouche en avant et fait rouler les gros tétons avec le bout de sa langue. Mado se laisse faire un moment puis s’arrange pour poser sa chatte sur la bouche de sa nièce.

– Vas-y, petite pute, ordonne Mado, lèche-moi bien le bouton.

Wolf de son côté lèche les couilles de Kévin, remontant jusqu’au gland, entièrement décalotté.

– Wah, comme il me lèche ! Soupire Kévin. Que c’est bon !

Wolf fait courir sa langue de la base des couilles jusqu’au bord du gland. Kevin sent qu’il va jouir. Des petits jets de sperme gicle du méat, et retombe sur le ventre du jeune homme. Wolf avance son museau, et lèche la semence.

Mado ne peut retenir l’orgasme que lui provoque sa nièce. Elle inonde la bouche et le visage de Julie. Kévin se met sur le côté, à genoux, prenant appui sur ses mains. Mado en profite pour lui saisir ses testicules.

– Mon fils, dit-elle, j’adore te tripoter les couilles !
– C’est bon maman, dit Kévin. Mais laisse-moi te baiser…

Julie, à quatre pattes sur la moquette, se fait prendre par Wolf. Le chien a posé ses pattes avant sur les flancs de Julie. En gémissant, il commence ses va-et-vient.

– Tu veux que je lui dise d’arrêter ? Demande Mado.
– Sûrement pas, c’est trop bon ! Ce chien, comme il me nique, ce salaud ! Quel mâle ! J’ai envie de le sucer après. J’ai envie d’être salope !

Le chien finit par se retirer mais bande toujours, Mado et Julie se jettent spontanément sur sa bite et se mettent à lui lécher alternativement.

– Vous êtes vraiment des belles salopes ! Commente Kévin !
– Jaloux ! se moque Mado

La tata se relève, mais c’est pour se mettre à quatre pattes.

– Viens mon fils, viens enculer ta mère !
– J’arrive Maman !

Le jeune homme approche sa bite du petit œillet fripé de sa mère et la sodomise en cadence. Le chien tourne autour du couple, Il approche son museau du fessier de Kévin, puis pris d’une impulsion subite, il l’encule !

– Et moi je fais quoi ? Demande Julie.
– Va refaire du café, on en aura besoin !
– Ah bon ? Je vais aller pisser d’abord !
– Pisse-moi dessus, ma chérie ! Pisse-moi dans la bouche !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Samedi 29 janvier 2022 6 29 /01 /Jan /2022 07:42

Partouze chez nos voisins par James01
zoo

Pierre et Sylvie sont nos nouveaux voisins depuis quelques mois. Pierre est un petit gros binoclard mais très sympathique, Sylvie une belle brune très souriante, dotée d'une poitrine généreuse. Ils ont un chien, un imposant labrador beige prénommé Pitch.

Et un jour ces voisins nous ont invité pour l'apéro ! Comme ça sans raisons particulières, disons qu'ils nous ont trouvés sympas.

L'apéro s'est déroulé normalement, à ceci près que Pitch venait régulièrement poser son museau entres les cuisses de Dorothée, ma tendre épouse, une fausse blonde bien conservée malgré ses presque soixante ans.

- Il est gentil, mais parfois il est un peu collant ! Nous confie Sylvie.
- Ça ne me dérange pas, j'adore les chiens, ! Répond mon épouse.
- Vous n'en n'avez pas ?
- On en prendra un quand nous serons en retraite. Pitch veux-tu laisser Dorothée tranquille. Répondis-je
- Ne le laissez pas faire n'importe quoi, il est un peu vicieux ! Reprend Sylvie
- Mais non, que voulez-vous qu'il me fasse ? Répond naïvement ma chère et tendre.
- Certes, vous êtes en pantalon ! Moi parfois quand je sors de la douche et que suis toute nue, il vient me renifler… Nous confie Sylvie.
- Et vous faites quoi ? Demandais-je
- Si je vous disais que je le laisse faire, je vais passer pour quelqu'un de pervers.
- Pensez-vous, nous avons les idées larges !

Moment de flottement parce que on se rend tous compte que la conversation prend un tour bien particulier.

Donc deux scénarios possibles, soit on parle d'autre chose, soit ça dégénère.

Et justement Sylvie en remet une couche en interpellant mon épouse.

- Vous feriez quoi, vous dans une telle situation ?
- On ne peut jamais savoir, mais disons qu'éventuellement je pourrais me laisser faire.
- Ben voilà ! Vous savez ce n'est pas désagréable une langue de chien !
- Je ne demande qu'à vous croire !
- Vous ne voulez pas essayer ?
- Un jour, si les circonstances s'y prêtent...
- Vous le feriez, maintenant, tout de suite !
- Non quand même pas !

Cette conversation commence à m'exciter et je me surprends à bander comme un âne

- Mais si, ne te dégonfle pas ! Lançais-je à mon épouse.
- Oh doucement ! Espèce de vicelard
- Tu en meures d'envie !
- Sylvie, si vous le faites devant moi, je veux bien le faire aussi, consentit mon épouse.

La situation est surréaliste, prenant la balle au bond, Sylvie retire son pantalon et fait venir le chien qui se met à la lécher à grand coups de langue.

- Oh ! Qu'est-ce que c'est bon ce qu'il me fait ! S'écrie t'elle

Devant ce spectacle, je me touche la braguette.

- Si vous voulez vous masturber, ne vous gênez pas me dit Pierre. Je crois d'ailleurs que je vais faire la même chose.

Et nous voici tous les deux la bite à l'air.

Sylvie a joui comme un dingue, et c'est au tour de mon épouse d'accueillir la langue du toutou dans ses replis intimes.

Je mate aussi la bite de Pierre, une bien belle chose bien raide, avec un très joli gland ! Evidemment il a vu mon regard.

- Elle te plait ? Me demande-t-il
- Elle est belle !
- Si ça t'intéresse, je suis un peu bi, à mes heures

Ça tombe bien, moi aussi, et je n'ai pas si souvent l'occasion de sucer une bonne bite. Je l'ai donc pris en bouche et lui a prodigué une fellation avec éjac pendant de son côté ma femme hurlait sa jouissance.

J'aurais bien joui à mon tour, mais cette partie improvisée semblait terminée, Sylvie remet son pantalon, mon épouse aussi tandis que Pierre s'en va se laver la bite dans la salle de bain.

On se ressert l'apéro.

- On part 10 jours en province, vous pourriez nous garder le chien ? Demande Sylvie
- Avec grand plaisir ! Répond Dorothée.

Je ne vous décris pas les moments de folie que mon épouse a vécu avec le chien. Pendant ces dix jours, elle ne s'est pas contentée de se faire lécher, elle lui a sucé la bite et s'est fait sauter comme une chienne, c'est le cas de le dire !

Nos voisins Pierre et Sylvie sont revenus, et pour nous remercier, ils nous ont invités à déjeuner. Ils nous ont présenté leur fille, Cécile, un petit canon de 25 ans assez grande et bien mamelue, vêtue d'une mini-jupe très sexy !

Comme on pouvait le prévoir, en arrivant, le chien fait la fête à mon épouse en tournant autour d'elle, et en poussant de petits cris, il se rappelle qu'à plusieurs reprises, elle a été sa femelle. Son maître lui dit d'aller se coucher d'un ton autoritaire, ce qu'il fait en baissant la tête.

Le repas a été sage, sans doute, cela était-il dû à la présence de leur fille qui n'avait pourtant pas du tout l'air d'une sainte nitouche ?

Du coup nous ne nous attendions pas à ce qu'après le café, le repas glisse en orgie complètement débridée.

C'est Cécile, qui a fait démarrer la partouze. Elle se lève de table et va s'asseoir sur le canapé tout proche. Aussitôt, Pitch se lève, et va mettre son museau entre les jambes de sa jeune maîtresse, qui au lieu de le repousser, ouvre un peu plus ses cuisses, le labrador lèche la culotte de la fille, qui écarte ce dernier rempart pour donner libre accès à sa langue, ses doigts écartent ses lèvres pour permettre au mâle d'aller plus en elle.

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Tout le monde a les yeux fixés sur le spectacle, la petite cochonne pousse des petits cris, en encourageant son compagnon à quatre pattes, à aller plus loin dans son intimité. Sylvie, sa mère, la rejoint sur le canapé, elle écarte ses belles cuisses, retrousse sa robe, enlève son string, dévoilant son sexe intégralement épilé, elle se masturbe en appelant Pitch à venir la rejoindre. Le mâle, va d'une femme à l'autre, je suggère alors à mon épouse de les rejoindre, elle parait un peu gênée (pourquoi ?), mais l'envie est trop forte, et elle va s'asseoir sur le canapé, en retroussant sa jupe, sa culotte est ôtée, la langue râpeuse lui donne à elle aussi bien du plaisir. Les trois cochonnes s'excitent avec leurs doigts quand le quadrupède les délaisse pour une autre, elles couinent, transpirent, elles ont la bouche grande ouverte, et encouragent Pitch qui a bien de la peine à suivre les désirs de ce trio de femelles en chaleur.

C'est alors que Pierre se lève, baisse son pantalon et son slip, et m'exhibe sa bite à quelques centimètres de mon visage. J'ouvre la bouche et me régale de ce joli membre.

Après quelques moments de douce fellation Pierre me propose d'aller rejoindre Cécile.

Pitch, lui est en train de s'occuper de mon épouse qui est tout excitée, elle semble prendre énormément de plaisir de retrouver son amant à pattes.

Cécile me fait signe de m'approcher avec un grand sourire, mon sexe est à hauteur de sa bouche. Je suis un peu gêné, mais Pierre me fait signe qu'il n'y a pas de problème.

Elle prend ma bite dans sa main, me branle vigoureusement quelques instants, puis me lèche, elle fait pénétrer ma bite dans sa bouche pendant que je lui ôte ses vêtements, elle n'a pas de soutien-gorge, et je découvre ses gros nichons laiteux. Je triture ses tétons en les pinçant légèrement, je les mordille doucement, arrachant quelques plaintes. Elle a des jambes assez longues, et fines qui se terminent par un petit cul qui parait assez nerveux et qui me donne bien envie de me la faire. Je la positionne en levrette, passe un doigt sur sa chatte toute gluante, je le fais coulisser à l'intérieur de sa moulette que je trouve assez étroite. Elle transpire, gesticule sous mes caresses et me demande de la baiser, elle veut sentir ma queue bien au fond de son minou. Je positionne alors mon pénis à l'entrée de sa grotte, je le passe sur ses lèvres pour l'enduire de mouille, j'avance lentement dans ce conduit très humide, Cécile est impatiente et très excitée, elle vient au-devant de ma pine qui va aller se planter au plus profond de son intimité. Elle me regarde en souriant et me demande de bien la faire jouir.

Pendant ce temps, mon épouse s'est déshabillée, et positionnée à quatre pattes, les fesses bien cambrées, les cuisses bien ouvertes, son amant canin est en train de la monter vigoureusement, sous les cris d'encouragement de Sylvie. Pierre s'approche de moi et me propose de m'enculer. J'accepte avec grand plaisir et adopte la positon adéquate. Il y avait longtemps que mon cul n'avait pas accueilli une bonne bite. C'est si bon une sodo quand c'est bien fait !.

Sylvie s'est rapprochée de sa fille pour l'embrasser à pleine bouche avant que les deux femmes de mettent en soixante-neuf en entamant un broute-minou à deux dos. Cécile transpire, souffle et couine, tant son plaisir est intense.

Après m'avoir sodomisé pendant une dizaine de minutes, Pierre s'apercevant que le chien s'est éloigné de mon épouse s'en va enculer cette dernière à son tour.

Sylvie s'est positionnée de façon à caresser la poitrine de Dorothée tout en lui prenant la bouche par de profonds baisers, leurs langues s'enlacent, de la bave coule de leurs visages.

De la façon dont est positionnée Sylvie, j'ai bien envie de me sauter cette belle femme à la poitrine bien généreuse et aux cuisses bien pleines, je lui enfile un puis deux doigts dans la minette, je passe ma bite sur son entrecuisse, je la prends par les hanches et fais pénétrer ma queue au plus profond de son intimité. Je la lime pendant un bon moment sous ses encouragements, ne pouvant plus me retenir, je me bloque, et me vide par plusieurs jets, dans ses profondeurs vaginales, tout en regardant ma femme dans les yeux, elle a aussi bien du plaisir sous les coups de boutoir qu'elle prend au plus profond de son anus. Nous nous désaltérons et reprenons des forces.

Pierre pisse sur ma femme qui ouvre une bouche gourmande. Encouragé, je fais de même dans la bouche de Sylvie et n'oublie pas Cécile qui vient quémander les dernières gouttes.

Pierre se couche sur le dos, sa bite bien verticale, il fait signe à sa fille de venir s'y empaler, Cécile enjambe son père, descend lentement, ses doigts écartent son abricot qui vient s'enfiler sur ce pieu violacé, il la couche sur lui, faisant se cambrer son derrière, il me fait signe de lui prendre l'anus.

Je présente ma bite à l'entrée, je pousse légèrement, mon sexe est comme aspiré dans ce conduit bien serré où il fait bon être. La fille jouit de cette double pénétration en poussant des jappements de plaisir.

Pendant ce temps Sylvie et Dorothée se mettent en soixante-neuf afin de se gouiner la chatte, pendant que Pitch se débrouille pour saillir par l'anus, une nouvelle fois mon épouse.

On a continué à forniquer comme des bêtes pendant pas mal de temps avant que la fatigue nous gagne et que l'alcool nous achève…

Ben oui, nous avons fait quelques pauses, il faut bien récupérer de temps en temps, et ces pauses furent arrosées au Champagne (et du bon !)

 

Tout va bien, merci de m'avoir lu ! Un petit mot pour me dire si ce récit vous a excité me ferait plaisir !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Samedi 18 décembre 2021 6 18 /12 /Déc /2021 18:52

Sophie, ma mère par James01

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Sophie, ma mère est une jolie femme de 48 ans, brune, les yeux marrons, elle mesure 1,65 et pèse environs 65 kg, elle possède quelques tenues sexy mais ne les porte que très rarement, je trouvais dommage qu'elle ne mette pas un peu plus en avant sa poitrine généreuse. (95 C). En ce qui concerne mon père, son métier l'oblige à être souvent en déplacement. Moi j'ai 25 ans je suis brun mesure 1,75 m et pèse 80 kg, étudiant et célibataire.

 

Je ne pensais que ma mère était une folle de sexe, mais il y a quelques jours alors que j'étais seul à la maison, en fouillant au hasard dans plusieurs dossiers de l'ordinateur, je suis tombé, après plusieurs sous dossiers sur le dossier "Cuisine". Que j'ai ouvert machinalement. Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant ce dossier de découvrir une série de photos qui n'avaient rien à voir avec la cuisine.  La première montrait ma mère fortement maquillée, chose dont elle n'a pas l'habitude, en sous-vêtements une main dans la culotte. De photos en photos je découvrais ma mère dans diverses positions, elle se doigtait, jouait avec des godes, je vis également qu'elle avait la chatte rasée, puis une autre photo la montrait en train de sucer un mec qui n'était pas mon père, puis elle se faisait baiser par encore un autre mec. La vue de ces photos me faisait bander, ma mère dans toutes les positions du kamasoutra, d'autres photos la montrait en pleins ébats avec une femme, sur une autre elle se faisait rougir les fesses à coup de cravache, et la plus surprenante était celle ou harnaché d'un gode-ceinture, elle enculait un jeune homme d'environ mon âge. La dernière photo l'exposait avec du sperme sur tout le corps et dans la bouche. Je ne pus me retenir et suis allé chercher dans la corbeille de linge sa petite culotte de la veille, je suis retourné devant l'écran, sorti mon sexe et l'enroulai du petit bout de tissu intime de ma mère, il me restait un sous-dossier à ouvrir, c'était un dossier vidéo, il montrait ma mère nue, les jambes écartées, elle récitait le texte suivant : 

 

"Je suis bien avec vous mes amis, vous me baisez et vous me traitez comme une chienne, j'aime tellement avoir un sexe bien raide dans la chatte et dans le cul, j'aime aussi me faire lécher par une femme, je suis vraiment prête à tout pour vous, maintenant je vais boire ce verre de sperme pour vous remercier de tout le plaisir que vous me donnez. Pissez-moi dessus pendant que je bois"

 

Pendant que je voyais ma mère boire le verre de sperme, je jouis dans sa culotte avec une force rare.

 

Grâce à ces photos je découvris une facette bien cachée de ma mère, et sachant que mon père était en déplacement, j'avais la ferme intention de la baiser comme elle aime. 

 

J'élaborais un plan tout simple, j'imprimais une dizaine de ces photos et les étalais sur la table de la salle à manger. Quand elle rentra elle poussa un cri de surprise.

 

- Qu'est-ce que ça signifie ? M'apostropha-t-elle.

- Rien, j'ai trouvé, ça, ça ne m'a pas choqué, ça m'a même excité.

- Eh bien tant mieux pour toi ! 

- Tu ne serais pas ma mère… Ajoutais-je en omettant de finir ma phrase.

- Si vraiment ça te dis, ça peut se faire ! Répondit-elle à ma grande surprise.

- Dans ce cas…je vais peut-être me laisser tenter

- Pourquoi pas, ça ne fera du mal à personne. Attends-moi, je reviens.

 

Elle se dirigea vers sa chambre et après quelques minutes revint dans le salon. Elle portait de longs bas noirs, un string blanc assorti à son soutif qui lui compressait les seins. Elle est superbe je résistais pour ne pas lui sauter dessus, je m'approcha doucement d'elle, et commença à la caresser, mes mains parcouraient son corps, je m'attardais un instant sur ses fesses bien fermes, je la fis asseoir sur le canapé et lui ôtai délicatement ce string qui cachait son intimité, je lui écartai les jambes au maximum et plongeai ma tête entre ses cuisses, je la léchais avec plaisir et à en croire ses soupirs elle aussi commençait à prendre du plaisir, sa chatte était tout ouverte et ma langue visitait ce trou tout humide, en effet elle mouillait vraiment beaucoup, je me relevais pour m'occuper de ses seins un moment, je dégrafa son soutien-gorge, je soupesais ses deux énormes nichons et tétais ses pointes toutes dures, je redescendis ensuite vers son sexe et lui enfila deux doigts et commença à la masturber tout en lui léchant son clito prêt à exploser, sa position me permettait d'apercevoir son petit trou du cul, je sortis mes doigts de sa chatte et lui enfila un doigt trempé de mouille dans son anus, elle se mordillait les lèvres pour ne pas crier son plaisir, j'approcha ma bouche de son visage et nous nous sommes embrassés comme un couple d'amant. Nos langues se mélangeaient ainsi que notre salive, puis je me mis debout devant elle en lui indiquant du doigt mon sexe, elle s'agenouilla, dégrafa mon pantalon et libéra ma bite de mon caleçon puis l'engloutis au fond de sa bouche. Elle me pompait tout en me caressant les couilles, elle léchait mon gland comme une reine, elle savait vraiment y faire, je dus l'arrêter pour ne pas jouir trop vite tellement elle me tétait avec entrain. Elle se lâcha complètement en m'adressant un :

 

- Viens me baiser !"

 Sophie James

Je l'allongeai sur le dos, fouillai encore sa chatte avec ma langue et enfin positionnai ma bite à l'entrée de son vagin, j'introduisis mon sexe raide comme un bâton dans sa chatte tellement humide et commençais mes va-et-vient, ses deux énormes miches se balançaient, elle atteint un orgasme violent à en croire ses cris, je la pilonnais de plus en plus vite, j'avais l'impression que mon sexe grossissait encore. Je l'invitais à venir se positionner sur moi de manière que l'on puisse s'embrasser, c'était merveilleux je la baisais par la chatte et ma langue se mêlait une nouvelle fois à la sienne, et en plus je commençais à écarter ses fesses pour la préparer à la sodomie. Son cul me faisait tellement envie, je la soulevai et la fis mettre à quatre pattes, le cul bien en avant, je plongea ma langue dans son anus, puis un doigt, puis deux doigts et la masturbai par le cul, une fois son orifice bien dilaté je crachai un coup dedans et rentrai ma bite à l'intérieur, quelle sensation superbe d'être dans un cul et qui plus est celui de ma mère ? Pendant ce temps elle se masturbait, en effet elle avait trois doigts dans la chatte deux dans la bouche et ma bite qui lui défonçait le cul, nos cris de plaisir résonnaient dans la pièce, elle aimait vraiment çà. J'alternais maintenant entre sa chatte et son cul, je lui demandais ensuite de se mettre sur le dos afin de voir son visage de salope qui aime se faire enculer, je rentrai donc une nouvelle fois ma bite dans ce conduit étroit, son visage était vraiment celui d'une chienne que l'on voit dans les films X, dans cette position ma bite était vraiment serré et je sentais ma jouissance monter, je sortis mon sexe et alla lui présenter au visage, elle le saisit et commença à me masturber avec la bouche grande ouverte moi aussi je la branlais pour récupérer sa mouille encore abondante, mais ne pouvant plus me retenir et dans un dernière effort je lui éjacula dans la bouche avec une force inouïe. Jamais je n'avais autant joui, ma mère me lécha pour récupérer les dernières goûtes de sperme qui perlaient sur mon sexe. Elle m'a ensuite demandé de lui pisser dessus, d'abord sur sa belle poitrine puis sans sa bouche gourmande.  Nous nous sommes enlacés épuisés par notre séance de baise.

 

Elle me remercia de l'avoir fait jouir avec autant de force, je la remerciai également. Elle me fit comprendre qu'elle avait de gros besoins sexuels que mon père ne pouvait la satisfaire n'étant jamais là et c'est pour cela qu'elle allait voir ailleurs. Elle me dit également que quand mon père sera en déplacement nous pourrions recommencer, nous sommes allés nous doucher en nous lavant mutuellement, et nous nous sommes dirigés vers la chambre nous avons dormis ensemble complètement nus et le lendemain matin j'eus la chance d'être réveillé par ma mère qui me pompait le dard. Elle cessa sa fellation pour ouvrir son tiroir de chevet d'où elle sortit un joli godemichet 

 

- Tourne-toi, je vais te l'enfoncer dans le cul !

- Mais non ! Protestais-je

- Tu as voulu baiser ta mère, j'ai accepté, alors tu ne vas pas me refuser ce petit caprice, tous les hommes aiment ça quand c'est bien fait, fait moi confiance.

 

Et c'est ainsi que pour la première fois de ma vie je me suis retrouvé avec un gode dans le cul, j'ai beaucoup aimé la sensation qu'il m'a procuré

 

- Evidemment, ça ne vaut pas une vrai bite, mais on pourra arranger ça quand je te présenterais mes amis

- Mes enfin, maman…

- Enfin quoi ? 

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Dimanche 5 septembre 2021 7 05 /09 /Sep /2021 08:15

 

Valentina et son fils par James01

0Valentina

Valentina et son fils

 

Valentina01

Bonjour, je suis Valentina ! Je vous plais, il paraît que j'ai encore de beaux restes !

J'aime le sexe, je suis très coquine, et je n'ai pas de tabou.

 

Valentina02

 

Lui c'est Tomas, c'est mon fils, le voilà qui fouille dans mon décolleté, je crois qu'il a des intentions salaces, ce petit vicieux.

 

Valentina03

 

Oh, mais c'est que ça bande bien là-dedans !

Valentina04

 

 

Tiens tu veux les voir mes gros nichons de salope ! Régale-toi.

Valentina05

 

Oh, oui suce-les moi c'est si bon !

Valentina06

A mon tour de te sucer, tu sais que j'adore te sucer ta bonne bite !

 

Valentina07

 

Je suis vraiment une salope, mais j'aime trop sucer mon fils !

 

Valentina08

 

Et maintenant il me baise ! Et alors ? On ne fait de mal à personne !

 

Oh, oui bourre-moi bien, c'est trop bon !

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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