Poèmes divers

Jeudi 6 août 2020 4 06 /08 /Août /2020 17:27

La recette de l’omelette

par Claudette

 

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La recette de l’omelette

 

Bonjour, ici c’est Claudette,

Et je vais vous donner la recette de l’omelette.

Pour ce faire, il faut des œufs.

Il faut qu’ils ne soient pas trop vieux.

Comptez deux œufs par personne

Et faites-les casser par la bonne

Au dessus d’un saladier.

Car les casser dans un panier en osier

Ça va passer au travers,

Et vous ne pourrez rien en faire !

 

Le cadre est planté.

Vous avez bien tout noté ?

 

La bonne peut rentrer en scène,

Elle est gironde, elle s’appelle Mylène !

 

Mais nous écrivons un poème érotique !

Et je ne vois rien là qui puisse donner la trique ?

 

Qu’à cela ne tienne !

Ce n’est point un problème !

 

Otons donc la culotte de notre soubrette !

Ah ! Voilà elle est prête !

 

Mais quelle jolie paire de fesses,

Qu’elle nous exhibe la bougresse !

Une idée coquine jaillit dans mon esprit pervers

Alors, je retire mon pull-over !

 

Et tandis que Mylène commence à fouetter les œufs

Je vais chercher un instrument qui comblera mes vœux :

 

Fouetter la fouetteuse :

Voilà qui me rend bien joyeuse !

 

Le cul de Mylène se couvre de zébrures,

Mais c’est fou tout ce qu’elle endure !

 

Je suis excitée de la fouetter en rîmes !

Et ma culotte se mouille de liquide intime !

 

D’une main, je me branle la minette…

Elle doit être bientôt prête, l’omelette !

 

Je retape sur ces fesses durement,

Mais imprudente je casse l’instrument :

 

Je vais en chercher un autre dans mon placard,

Celui là est fait d’un bois très rare.

 

Mais il faut croire qu’il n’était point solide,

Car il se casse aussi ! C’est le bide !

 

Moralité :

On ne fait point d’omelettes au fouet sans en casser deux !

sabrina07

Claudette

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Lundi 19 janvier 2009 1 19 /01 /Jan /2009 18:46

Le petit endroit par Emmanuel Arago
scat
Vous qui venez ici dans une humble posture,
Débarrasser vos flancs d’un importun fardeau,
Veuillez, quand vous aurez soulagé la nature
Et déposé dans l’urne un modeste cadeau,
Épancher dans l’amphore un courant d’onde pure,
Puis, sur l’autel fumant, placer pour chapiteau
Le couvercle arrondi dont l’auguste jointure
Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.

Emmanuel Arago (1912-1896)

scat arago
Emmanuel Arago écrivit ce poème pour son ami Maurice Sand, le fils de George Sand, qui l’adressa ensuite à sa mère

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Lundi 19 janvier 2009 1 19 /01 /Jan /2009 18:43

Au Viol ! Au Viol ! par Linda_nuit_blanche

Stamp secretaire

Au Viol ! Au Viol !

A la police, une jolie blonde se plaignit

Qu’un jeune homme à l’écart l’attrapât

Adossée à la clôture, l’a retenue captive

Pour neuf mois elle en aurait Belle Naïve.

Au Viol ! Au Viol ! Je le traîne en cour

Et je ne change pas d’avis !

Le jeune homme penaud pense à ses recours

Se gratte la tête et cherche une sortie.

La police souligne un fait et demande :

« Comment s’est fait, lui petit, elle si grande ?

La blonde dit que pour y arriver il fallait

Qu’à sa hauteur elle se baissa.

Linda_nuit_blanche

viol

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Samedi 11 octobre 2003 6 11 /10 /Oct /2003 19:16

Plaisirs sylvestres
par Marc02

POUR PUBLIC AVERTI – PAGE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

 

scat

Plaisirs sylvestres

Nous étions sur un banc du chemin forestier,
Quand Julie m’avoua son envie de chier.
 » Tu veux voir ? « , me dit-elle, prenant un air coquin.
 » Et comment que je veux, espèce de catin !
Mais fais-le, je t’en prie, dans une pose obscène :
Libre à toi de choisir la bonne mise en scène.  »
Elle enlève aussitôt son tout petit slip blanc,
Trousse bien haut sa jupe et monte sur le banc,
Avant de s’accroupir, le cul tourné vers moi.
Je ne puis m’empêcher d’y enfoncer un doigt
Afin de m’assurer que l’œuf est bien au nid.
O promesse tenue ! Il est là, bien tapi
Dans sa chaude tanière, prêt à pousser la porte.
Julie, n’y tenant plus, juste avant qu’il ne sorte,
Fait bien saillir sa croupe en creusant bien les reins.
Elle écarte à présent les fesses à deux mains :
O vision délicieuse, lorsque son trou du cul
S’ouvre comme une bouche d’ombre ! Je n’y tiens plus,
J’ai la chair tout en feu et ma raison vacille !
Je sors alors ma queue qui bande et qui frétille,
Et quand l’étron enfin pointe le bout du nez,
Puis descend tout entier, énorme et bien moulé,
Je lui gicle dessus, juste avant qu’il ne tombe,
Emportant avec lui mon foutre qui l’inonde.

nature455

Par Maco02 - Publié dans : Poèmes divers
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