Le blog de vassilia-x-stories
Samedi
Il est très matinal, monsieur Max, à 9 heures du matin, il sonnait à ma porte.
Anne-Marie et Roquevert sont en faction en bas de chez moi, la première devant l’entrée piéton, le second à l’entrée véhicules. Anne-Marie ne prête aucune attention à Max qui est entré peinard en composant le digicode.
– Alors, Chanette, tu t’es encore foutue dans un truc impossible !
– En fait je crois surtout qu’on me prend pour une autre.
Je lui explique, je lui raconte.
– Bon, il y a donc deux choses à faire, la première c’est de savoir ce qu’il y a à cette adresse, ce sera facile, la seconde c’est de savoir ce que manigance ce Jacques Machin, il ne t’a laissé
aucune coordonnée ?
– Non.
– T’aurais dû lui demander.
– On ne peut pas penser à tout.
– Je sais.
Pour le premier problème, Max s’évite le déplacement et téléphone à son patron qui lui répond dans la demi-heure.
– C’est une assos. Ça s’appelle Afrique 3000 et ça soutient la rébellion de Tsumila au Fagonda Occidental.
– Et en clair ?
– En clair je ne sais pas trop..
A la DGSE on ne s’est pas déplacé non plus, l’adresse et ses responsables étant connus et fichés
Cependant le général Tauvron se demande s’il n’a pas zappé un épisode.
– Quelque chose ne cloche pas. Les voleurs d’armes refilent une adresse et d’autres coordonnées à leur contact. Or le contact ignore le contenu. Ce qui veut dire que la transaction est en stand bye. Mais pourquoi ? Soit la fille attend quelque-chose, mais quoi ? Soit elle fait double jeu ? Attendons !
Max a pris des notes quand je lui ai raconté ce que je savais, il n’arrête pas de les relire, il les apprend par cœur ou quoi ?
– T’as rien oublié ?
– Je ne crois pas, non.
– Et la patronne du gite, tu crois qu’elle est complice de cette bande ?
– Je ne pense pas, non, mais bon, elle est bien contente de trouver ces mecs… 30 paniers repas par jour, ce n’est pas rien.
– Et ses rapports avec les agents secrets ?
– Des rapports purement commerciaux, un peu tendus parfois.
– Et avec Jacques ?
– Ce doit être une vieille connaissance de la maison, des rapports cordiaux mais je n’ai décelé aucune complicité, ils gardaient leurs distances.
– Et avec toi ?
– Super sympa, aussi bien elle que sa fille
– Jacques a dû renseigner son numéro de téléphone sur sa fiche de réservation. Tu peux peut-être lui demander.
Mais c’est bien sûr !
– Allô, Marjorie.
– Christine, quelle joie d’entendre ta voix, tout va bien ?
– Super ! J’ai embarqué par erreur un bouquin qui appartient à Jacques, il avait l’air d’y tenir, je voudrais lui rendre, tu n’aurais pas son numéro ?
– Mais bien sûr ma chérie…
Et voilà le travail !
Max m’explique son plan. Il a le mérite d’être simple.
Je téléphone à Jacques, pas plus étonné que ça de savoir que je possède son numéro…
– J’ai réfléchi, je vais peut-être accepter ce que vous me proposez mais faut que l’on discute un peu.
– Ok, je peux passer chez vous vers quelle heure ?
– En milieu d’après-midi si vous voulez. Je vous donne l’adresse.
Il est venu à pied, évidemment Anne Marie le reconnait mais ce n’est pas réciproque, le visage de l’espionne étant camouflé dans son capuchon de jogging
– Allô, mon général, coup de théâtre, le suspect numéro deux vient de monter chez la pute. On fait quoi ?
– Je vous envoie du renfort, dans un premier temps on va le localiser…
– Et s’il redescend avant ?
– Improvisez !
Donc vers 16 heures Jacques sonnait à ma porte, je lui ouvre, tout sourire, referme la porte et la verrouille, puis tout alla très vite…
Max surgit, pistolet au poing.
– Les mains en l’air, monsieur.
– Mais qu’elle est cette plaisanterie ?
– Justement on est là pour en parler, alors tu les lèves tes mains ou il faut que j’aille chercher une grue ?
– Et si je refuse ?
– Si tu refuses, je vais devenir méchant.
Jacques fini par obtempérer.
– Chanette, fouille-le ! Vide-lui ses poches.
– Je vais porter plainte ! Proteste l’individu..
– T’as raison, ça nous fera l’occasion de rigoler.
Pas d’armes, un porte carte, un portemonnaie, des clés et un téléphone portable.
– Pique lui sa montre aussi.
On fait assoir Jacques et on le menotte. Il est blanc comme un linge, le garçon.
– Et maintenant tu vas nous raconter ce que tu es en train de fabriquer…
– Je ne fabrique rien, je fais de l’investigation indépendante.
– Investigation, mon cul ! Pourquoi tiens-tu à ce que Chanette se rende à cette adresse ?
– C’est qui, Chanette ?
– C’est moi. Crus-je devoir préciser .
– Alors la réponse ? Insiste Max.
– Je veux bien vous expliquer mais ça risque d’être un peu long et pas facile à comprendre…
– Pourquoi, on est trop con ?
– J’ai pas dit ça.
– Alors tu racontes ?
– Je suis journaliste d’investigation…
– Oui bon, on commence à le savoir, ce qu’on veut c’est la suite ! s’énerve Max
– La grande clairière est occupée par des voleurs d’armes. Il est tout de même étrange que l’armée n’intervienne pas pour récupérer ce qui lui appartient. J’en déduis donc qu’il y a une activité
mafieuse là-dessous. Je soupçonne même un scandale d’état. Cela dit je ne suis pas un kamikaze, Si ça remue trop la merde, je laisse tomber.
– Sauf que tu n’as pas répondu à la question. Que viens foutre Chanette dans cette salade ?
– Ben elle est censé être l’agent de liaison, non ?
– Je ne suis l’agent de rien du tout !
– Soit la personne qui vous a refilé le papelard s’est trompé de personne ce qui me semble ahurissant, soit vous êtes en train de vous dégonfler pour des raisons qui m’échappent…
– Bon, on t’a posé une question, on attend toujours la réponse… et je ne suis pas du genre à attendre trois semaines. S’énerve Max.
– Je ne peux pas tout vous dire.
Max, hors de lui envoie deux baffes dans la tronche de Jacques.
– Fasciste ! Hurle ce dernier.
– Chanette, tu n’aurais pas un sécateur, on va lui couper les doigts…
Je comprends qu’il bluffe, et entre dans son jeu.
– Non mais j’ai de très beaux couteaux de cuisine ils coupent très bien.
– Vous êtes leurs complices, c’est ça ? Bafouille Jacques.
– Hein ?
– Vous ne voulez pas que la vérité éclate… mais même si vous me tuez la vérité finira un jour par éclater…
Mais qu’est-ce qu’il nous raconte ?
– Je vais compter jusqu’à 10, si à 10 tu n’as pas répondu à ma question, je te coupe un premier doigt. 1, 2…
Jacques est livide, mais ne bronche pas, il est persuadé que Max bluffe.
– 8, 9 , 10.
Max appuie la lame du couteau sur l’index de Jacques au niveau de la phalangine. Une légère pression… du sang coule.
– Arrêtez, assassins, fascistes !
– On t’écoute connard !
– J’ai complétement par hasard mis à jour une opération mafieuse au sommet de l’état….
– Mais ce n’est pas ça qu’on te demande ! Que viens foutre Chanette là-dedans ?
– Si elle ne remplit pas sa mission, je ne peux pas écrire mon article !
– Hein ? Demande Max.
– Mais quelle mission, je n’ai pas de mission !
– Vous n’auriez pas un sparadrap, je suis en train de foutre du sang partout.
– On s’en fout ! Et on comprend rien à ton histoire.
Oui mais moi je ne m’en fous pas et m’en vais chercher un sparadrap et une serpillère..
– Laissez-moi m’expliquer cinq minutes sans m’interrompre et vous allez tout comprendre !
– T’as intérêt à être convainquant
– La France soutient la rébellion de Tsumila au Fagonda Occidental.
– Hein ?
– Actuellement le Fagonda Occidental est gouverné par des fantoches servant les intérêts de Oil Miller Company, un trust américain. Les rapports avec la France sont calamiteux et ne se sont pas
arrangés depuis que la France soutient la rébellion intérieure.
– Hum…
– Seulement la rébellion pour pouvoir prétendre renverser le gouvernement en place à besoin d’armes. Alors comme officiellement on ne peut pas leur en livrer en raison de complications
diplomatiques, on va leur en livrer de façon détournée.
– Mais…
– Laissez-moi terminer, c’est déjà assez compliqué comme ça… Donc premier acte : un convoi. militaire est attaqué par des barbouzes, la presse parle d’explosion accidentelle. En réalité les armes
sont transbordées vers des camions banalisés puis acheminés on ne sait trop comment dans une clairière près du village de Mombillac accessible par le lieu-dit, le chemin de la fouine.. Sur place
une communauté mal défini mais encadré par les barbouzes s’attelle à gommer sur ces armes tout ce qui pourrait identifier leur provenance. Acte deux, les armes étant prêtes, un agent de liaison
est chargé de se rendre à une adresse parisienne et de leur communiquer les conditions de livraison (date et emplacement). Je n’ai pas tout déchiffré mais LH ça veut dire Le Havre et on a un
numéro de dock, je suppose que J245 signifie « 1er septembre ». C’est dans trois semaines, mais je suppose que pour faire sortir tout ça de la clairière il va falloir du temps… Donc je
comptais dénoncer toute cette magouille sur Internet. Or si l’agent de liaison ne se rend pas à l’adresse indiquée, l’opération ne pourra pas se faire, puisque le destinataire ignorera la date et
le lieu de livraison… Et en plus je ne pourrais pas écrire mon article !
– Autrement dit, tu envoies Chanette au casse-pipe, juste pour que tu puisses écrire ton article à la con !
– Ce n’est pas un article à la con, je dénonce des pratiques scandaleuses.
– Bon on va te relâcher, récupère tes affaires, mais attention, si je te revois de nouveau tourner autour de Chanette, je te casse les deux jambes.
– Fasciste !
– Tu te répètes un peu là.
On le détache.
– Je peux avoir un verre d’eau ?
– Non ! Fous le camp !
Et Jacques s’en va s’en demander son reste.
Anne-Marie le voit sortir.
– Merde, je fais quoi.
Elle décide de le suivre et en avise Roquevert.
– Remplace moi à l’entrée piéton… un collègue va venir en renfort …
Anne Marie suit Jacques en métro, puis à pied jusqu’à l’hôtel des Grives, rue de Charenton.
– Suspect numéro deux localisé, quelles sont les instructions ?
– Interrogatoire puis neutralisation si nécessaire.
C’est un hôtel bas de gamme.
– Je voudrais voir le monsieur qui vient de rentrer, on s’est raté de près.
– Chambre 12.
Anne Marie frappe pistolet en main, Jacques ouvre, stupéfait.
– Tu me laisses entrer et tu fermes ta gueule, je ne suis pas ici pour rigoler.
– Je me disais aussi… Tente d’ironiser l’homme.
– Bon alors maintenant tu me racontes tout.
– Mais je n’ai rien à raconter.
– Qu’est-ce que tu es allé foutre chez la pute ?
– J’ai le droit d’avoir une vie privée, non ?
– Je ne pense pas qu’il s’agissait d’affaires privées.
– Puisque vous savez tout, pourquoi vous me demandez ?
– Parce que je veux l’entendre de ta bouche.
– Bon on va jouer carte sur table, j’ai appris par hasard ce qui se passait avec les gens de la clairière… Commence Jacques.
– C’est qui « par hasard » ?
– Un mec dans un bistrot du village, il avait déserté le campement et comme il était complètement torché, il m’a tout raconté. J’ai ensuite recoupé avec que nous ont dit Christine et Frédérique,
je le suis dit alors que je pourrais écrire là-dessus… mais si ça pose des problèmes je laisse tomber, je veux pas d’emmerdes.
– Et ta visite à la pute ?
– Quelque chose clochait, je voulais savoir pourquoi elle ne portait pas le message à ses destinataires.
– Et elle t’a dit quoi ?
– Des conneries… à mon avis elle s’est dégonflée.
– Bon
Anne Marie réfléchit, le stade suivant c’est l’élimination. Elle peut le faire, elle a déjà tué, mais dans le cas présent elle hésite, allez savoir pourquoi ?
Alors elle temporise.
– Quand les gens en savent de trop, il y a deux façons de les faire taire, la première c’est le fric, mais ce n’est jamais fiable à cent pour cent, la seconde est plus efficace, on élimine la
personne…
– Bon, bon, je ne dirais rien, et je n‘ai pas besoin de fric… rétorque Jacques, blême comme un cachet d’aspirine.
– Comment être sûr ?
– J’en sais rien, ma mère va mourir de chagrin si vous me tuez.
– Arrête ton baratin, on sait tout de toi, ta mère est décédée il y a dix ans. Ecoute conard, je vais te faire une fleur, je dirais que tu as réussi à me semer, mais disparais, t’as compris ça,
tu disparais de la circulation. Et attention, il n’y aura pas de deuxième chance, si je te recroise, je te flingue.
– Mais pourquoi ?
– Pose pas de questions, adieu pauvre connard.
Jacques flaire le piège mais ne parvient pas à comprendre ce qu’il pourrait être.
– Elle préfère peut-être me tuer dehors que dans cette chambre ? Mais pourquoi ?
Il rassemble ses affaires, descend règle sa note et sort dans la rue, la peur au ventre. Peur qui ne le quittera pas jusqu’à la gare de Lyon où il prend un aller simple pour Rodez.
– Cible perdue, mon général.
– Ce sont des choses qui arrivent y compris aux meilleurs, ne vous mettez pas la rate au court-bouillon, il réapparaîtra.
Max a le regard libidineux je sens que je ne vais pas tarder à passer à la casserole, mais avec lui ce n’est jamais une corvée.
– Chanette, je vais être direct, j’ai envie de t’enculer !
– Ça pour être direct, c’est direct ! On va dans ma chambre ?
– Attends, il faut que j’aère ma bite, elle étouffe !
Et le voilà qu’il ouvre sa braguette et m’exhibe son chibre quasiment bandé.
Je l’aime bien la bite de Max, je la trouve attendrissante.
– A toi de jouer ! Croit-il devoir préciser.
Il a raison, c’est un jeu et je suis très joueuse, je m’accroupis, prend en main ce charmant organe, le caresse, le branlotte, avant d’en embrasser le gland, puis d’un seul coup d’un seul je mets tout ça dans ma bouche et commence une fellation en règle.
– Attends, me dit-il !
– Un problème ?
– Non, mais il faut que je pisse, je ne peux plus tenir.
– D’accord !
– Tu la veux ma pisse ?
– Bien sûr, mais je me déshabille avant, j’ai pas envie de mouiller mes fringues.
J’enlève mes vêtements à l’arrache…
– Qu’est-ce qu’ils sont beau tes nichons ! Me complimente-t-il.
Et il se met à les peloter, je le laisse faire ça m’amuse à défaut de m’exciter.
– Je croyais que tu avais envie de pisser ?
– Oui, ouvre la bouche !
Elle est délicieuse sa pisse, mais son débit va trop vite, je ne peux pas suivre, ça me coule sur les nichons.
On fait quoi maintenant ? Allez chercher une serviette ? Gagner la chambre ? Reprendre ma pipe ? Ce ne sont pas les possibilités qui manquent !
Je crois comprendre néanmoins qu’il souhaite encore de la turlutte. Alors allons-y turluttons ! Et j’y vais de la langue et des lèvres tandis que mes mains lui flattent ses couilles, avant de passer derrière et de lui peloter les fesses.
– Oui, oui !
Je sais ce qu’il souhaite maintenant, depuis le temps que je le connais, le Max !
Mon doigt préalablement humecté lui est entré dans le rectum.
– C’est bon tout ça…
Je ne réponds pas, il est inconvenant d’interrompre une fellation avec des paroles futiles.
– On va dans la chambre ? Me propose-t-il enfin.
C’était inéluctable… je m’essuie les seins encore mouillés de pisse et on y va…
Je m’affale sur le lit et fait ma passive, me laissant tripoter par les grosses paluches de Max. Ça dure quelques minutes avant qu’il me propose de me placer dans une position plus adaptée à la sodomie.
Il me lèche le fion peu avare de sa salive, et quand je crois que je vais être bonne pour l’enculade, le voilà qui change d’avis.
– Et si tu t’occupais un peu de mon cul à moi ?
C’est dans mes cordes, il se met à son tour en levrette et je viens lui faire une belle feuille de rose, mais je sais ce qu’il souhaite, J’ouvre le tiroir de ma table de chevet. Il y a là-dedans un joli gode très réaliste avec vibreur incorporé.
J’encapote le machin et le lui enfonce dans le trou du cul.
– T’aimes ça, hein mon cochon !
– J’adore !
– Je sais que tu préférerais une vraie bite, mais je n’ai pas ça dans mes tiroirs.
– Dommage.
Max à découvert (on devrait dire à pris conscience) de sa bisexualité assez tard suite à sa rencontre avec Valentin (voir Chanette 16 – La Partouze de Mr le Ministre) et depuis il essaie de rattraper le temps perdu.
J’ai joué avec son trou de balle pendant plusieurs minutes, puis il m’a fait cesser, l’excitation devant être trop forte..
Je me replace en levrette, je cambre mon petit cul, Max s’encapote… et hop le voilà qu’il me sodomise. Un peu bourrin aujourd’hui mais il m’a fait tout de même jouir du cul. J’adore me faire enculer par mes amis !
Il est 18 heures, j’offre un apéritif à Max, il l’a bien mérité, j’ose espérer que maintenant je vais avoir la paix…
Ben non…
à suivre