Le blog de vassilia-x-stories
Je suis redescendue à 19 h 30. Tout le monde sont là (comme disait le regretté Fernand Raynaud). Jacques, l’artiste peintre, Adrien, le flic qui m’a pris la tête et sa copine, ainsi que le couple de la voiture dont la femme rigole comme une bossue avec son compagnon, celle-ci m’adresse un sourire de bienvenue que je lui renvoie volontiers .
Ce n’est pas un hôtel restaurant et le choix des plats est restreint, mais c’est bon et je commande du chou farci… (excellent)
Deux personnes descendent de l’étage, des nouvelles têtes. La femme doit avoir dépassé la quarantaine, cheveux châtain bouclés, visage agréable. L’homme, je devrais dire le jeune homme doit avoir 20 ans de moins qu’elle. Je note une certaine ressemblance… C’est peut-être son fils. Quelle drôle d’idée de venir en vacances avec sa maman quand on a vingt ans !
Et voilà que la rousse du couple arrivé en voiture s’extirpe de son siège et vient à ma rencontre.
C’est une coutume locale ou quoi ?
– Frédérique ! Se présente-t-elle. Pardonnez mon audace, je vois que vous mangez seule. Si vous désirez un peu de compagnie nous serions heureux de vous avoir à notre table.
Je m’apprêtais à lui débiter mon petit couplet sur mon besoin de solitude, mais devant une telle apparition je restais dubitative et finissais par accepter cette singulière invitation.
Je me présente et elle me présente son compagnon, William.
Evidemment la conversation tourne autour des balades à faire dans le coin.
Je leur parle de ma petite virée à l’étang et de la magnifique vue qu’il y a. Mais aussi de ma première virée au Bois de la Fouine avec la rencontre de l’ermite et la découverte de ce panneau très dissuasif indiquant la présence de vipères.
– Des vipères ? Pourquoi y en aurait-il plus qu’ailleurs ?
– Ma foi je n’en sais rien.
– Ce doit être un vieux panneau !
– Non au contraire, il est tout neuf…
Et je leur montre la photo que j’ai prise.
– Si ça se trouve, c’est ton ermite qui a posé ça pour qu’on lui foute la paix.
– Ah, oui je n’y avais pas pensé.
– Ça me dirait bien d’aller faire un tour par-là ! Tu viendrais avec moi ? Oh désolée, voilà que je vous tutoie ..
– Ça ne me dérange pas du tout .
– Super. Tu viendrais avec moi ?
– Pourquoi pas ? Monsieur vient aussi ?
– Hélas non, il s’est blessé au pied le pauvre chéri, alors pour lui les grandes balades, faut attendre un peu.
– Demain 10 heures, ça te va ?
On a ensuite parlé de choses et d’autres, elle est vraiment agréable cette Frédérique, elle rigole tout le temps, et puis son visage me fascine, il faut que je fasse attention, elle va finir par s’en apercevoir. Et puis c’est bien beau de fantasmer mais il ne faut pas rêver non plus, toutes les femmes ne sont pas attirées par les femmes ! Et en plus elle est accompagnée alors calme toi, Chanette !
La nouvelle venue a terminé son repas et passe devant moi en me gratifiant d’un très joli sourire.
– Bonjour je suis Rachel, et voici mon fils Bertrand.
– Enchantée, moi c’est Christine.
C’est donc bien le fiston, mais au moins ils ne sont pas collants et remontent à l’étage.
N’empêche que je remontais dans la chambre excitée comme une puce. Et j’en arrivais à souhaiter que Marjorie et sa fille viennent me prodiguer un massage à quatre mains. Mais personne n’est venu, je me suis donc soulagée toute seule comme une grande.
Lendemain matin, Mercredi
Adrien et Anne Marie les deux agents (à peine) secrets tiennent conciliabule.
– Aucun coup de fil suspect, normal, ils ne sont pas complètements fous, rien à signaler du côté du peintre, en revanche la pute a cherché à se barrer, elle a passé un temps fou à écumer les
agences de locations de vacances, elle a failli en trouver une à Antibes, j’ai fait ce qui fallait pour la bloquer. Je veux qu’on se la garde sous la main.
– Elle a eu la trouille ?
– Ça c’est sûr, et quand on a la trouille on fait des conneries. Donc à mon avis on tient le bon numéro. Il va falloir redoubler de vigilance.
– OK je descends. répond Anne Marie.
Je suis descendue de bonne heure, seule Anne Marie est dans la salle.
Clotilde, la fille de patronne me sert mon petit dej’. Un type se pointe, il a davantage le look d’un ouvrier agricole que celui d’un touriste. Il s’assoit et attend. Quelques minutes plus tard Clotilde réapparaît avec deux très grands sacs en papier, l’inconnu les prend, paye et disparaît.
Je ne sais quel démon m’a poussé alors à m’aventurer à l’extérieur, toujours est-il que j’ai pu voir le type charger une mule avec les sacs puis se diriger vers le Bois de la fouine.
Il se passe décidément d’étranges choses en cette contrée.
En revenant, Clotilde devança ma question.
– Ce sont des militaires en manœuvre, du moins c’est ce que j’ai compris .
Le type n’avait pourtant le look d’un militaire, mais parfois, il ne faut pas trop chercher à comprendre.
Et à 10 heures, Frédérique et moi partions à l’aventure.
– J’ai emporté du sérum anti venimeux, on ne sait jamais. m’informe-t-elle
Et ça n’a pas loupé, il a fallu que l’on rencontre l’ermite .
– T’es revenu, toi la salope et avec du renfort. Je ne peux pas vous empêcher de passer mais vous ne ressortirez pas vivantes de cette forêt.
– C’est ça, on lui dira..
On a continué à avancer, on a dépassé le fameux panneau. J’ai un peu la trouille quand-même.
50 mètres derrière nous, Anne Marie nous file le train en s’efforçant d’être la plus discrète possible.
– Ça n’a aucun sens, avait-elle confié à son collègue, hier elle voulait se barrer et aujourd’hui elle copine avec une parfaite inconnue et s’engage dans ce chemin pourri.
– Ben justement, on est là pour essayer de comprendre ce qui est incompréhensible.
– T’as trouvé ça tout seul.
Evidemment elle tombe à son tour sur l’inévitable ermite.
– Qu’est-ce que tu fous là, pétasse ? C’est pas le château de Versailles ici, retourne tapiner ailleurs !
Le sang de l’agent secret ne fait qu’un tour, l’ermite reçoit une baffe en pleine poire.
– Tu me parles autrement, abruti !
Elle continue sa filature, mais tombe en arrêt devant le panneau indiquant la présence de vipères.
Elle appelle Adrien.
– Je ne peux pas prendre un risque pareil…
– Bon, reviens.
A son retour, Adrien l’informe avoir déniché une dose de sérum dans la boîte à pharmacie de gîte.
– Voilà, change-toi, met toi un pantalon, des grosses chaussettes et couvre-toi les bras. Et essaie de les rattraper.
– Je n’ai pas de grosses chaussettes.
– Superpose deux paires.
Elle retourne donc au charbon.
– Si je les rattrape, c’est que j’aurais eu du bol…
‘
Un peu avant…
– Oh, la jolie clairière ! S’exclame Frédérique. On se pose un cul cinq minutes ?
OK, ça fait du bien de souffler un petit peu .
– Quel calme !
– Juste les petits oiseaux.
– Dis-moi t’as choisi ce gîte par hasard, ou tu connaissais déjà ?
– C’est ma copine qui a trouvé ça, elle a toujours des idées originales.
– Elle va te rejoindre ?
– Non, elle a eu un empêchement professionnel de dernière minute.
– Ah ! T’es célibataire ?
– Divorcée .
Je n’arrive pas à trouver le petit truc qui lui ferait dévoiler sa sexualité. Pourtant elle n’est pas aveugle, elle doit bien voir comment je la regarde.
– Mais si tu me parlais un peu de toi ? Repris-je.
– Bof, on a trouvé ça par hasard, je pensais qu’il y aurait davantage d’animation. J’espère que je. ne vais pas m’emmerder. Nous on aime bien les rencontres
– Ouai, c’est vrai qu’il n’y a pas grand monde….
Je ne sais plus trop quoi dire…
– J’aime bien la façon dont tu me regardes.
Enfin !
– Tu es très belle !
– N’exagérons rien, tu aimes les belles femmes ?
– J’avoue.
– Tu aimerais m’embrasser ?
– Oui .
Un cataclysme, j’ai déclenché un cataclysme !
Elle ne m’embrasse pas, elle m’aspire et en même temps elle me débraille, elle passe ma main sous mon tee-shirt, puis sous le soutif, me caresse le sein…
– Doucement, doucement !
Je proteste mollement mais me laisse faire, ça l’encourage, du coup elle me dégage mes seins et se jette dessus bouche en avant. Elle me fait des guiliguilis avec sa langue sur mes tétons, mais au bout de quelques instants j’ai l’impression qu’elle s’agite bizarrement…
– Faut que je fasse pipi ! M’informe-t-elle.
Elle s’éloigne de deux ou trois mètres, baisse son pantalon et sa culotte et pisse devant moi avec un sourire désarmant.
– J’avais une de ses envies ! Me confie-t-elle en guise de commentaire.
– Je vois ça.
– Passe-moi un kleenex que j’essuie ma foufoune.
– Laisse-moi ce plaisir !
– Si tu veux, c’est dans mon sac !
– Tu ne veux pas que je fasse ça avec ma langue ?Minaudais-je
– Oh ! Tu ne serais pas un peu vicieuse, toi ? S’amuse-t-elle.
– Disons que j’aime bien les jeux de pipi., Mais je proposais ça comme ça…
– Alors viens ma biche, viens me rincer la foufoune.
Il est des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois. Frédérique s’étale sur le sol en écartant ses cuisses et je viens la butiner.
Vous vous doutez bien que dans cette situation, je ne vais pas lui lécher les quelques gouttes d’urine résiduelles puis repartir dans mon coin. Non, j’ai bien l’intention de lui brouter la chatte…
Mais c’est elle qui me surprend…
– Attends, ne bouge plus, laisse ta bouche ouverte, je crois que je peux encore faire quelques gouttes. Tu veux ?
– Mmmm
Effectivement quelques petites gouttes me dégringolent dans le gosier. Je m’en délecte
– Et toi, t’as envie ? Me demande-t-elle !
– Je veux bien essayer.
A mon tour de dégager pantalon et culotte. Frédérique s’allonge sous moi; je m’accroupis, me concentre et parvient à libérer un petit jet
L’autre à l’air d’apprécier, mais je ne la vois pas avaler. Qu’est-ce qu’elle fout ?
Alors par gestes, elle me fait signe de rapprocher mon visage du sien J’ai compris, mes lèvres rejoignent les siennes. Et cette salope me rend toute mon urine qu’elle avait conservé en bouche ! Un peu timbrée la fille, mais ça m’a amusé !
On se redresse et de nouveau elle m’attaque mes nénés, Je m’abandonne aux douces caresses de sa langue agile tout en m’efforçant de lui débrailler le haut.
Mais soudain…
– Merde v’la du monde !
On essaie de se recouvrir… Les deux importuns avancent vers nous, il s’agit de Rachel et de son grand fiston. Ils arrivent à notre hauteur. On ne leur a jamais appris à ces gens-là qu’il y a des circonstances où il faut savoir se montrer discret ?
– Ne vous gênez pas pour nous, on va se poser un peu plus loin ! Nous annonce Rachel.
On reste bouche bée ! Que répondre ?
Ils filent cinquante mètres plus loin et s’allongent, mais avant ils retirent leurs vêtements. Ils vont donc faire une petite partie de bronzette à poil. Complétement à poil !
– On fait quoi, on se barre ? Proposais-je à Frédérique.
– Dommage on était bien parties !
– Ben oui !
– Et puis on les emmerde, si on les choque, ils n’ont qu’à aller se faire bronzer le cul ailleurs.
– On fait quoi alors ?
– On va s’allonger cinq minutes.
OK on s’allonge côte à côte, j’ai complétement dégagé la poitrine de Frédérique qui déjà me pelote la mienne, ce doit être une manie.
Par curiosité je jette un coup d’œil dans la direction de Rachel.
– Mais attends, regarde ce qui se passe !
– Il se passe quoi ?
– Ben regarde !
En effet la scène ne manque pas de sel, Rachel s’est emparée de la bite de son fils et la branle en cadence.
– Ils se font pas chier, ils pourraient être plus discrets !
– Ils doivent croire qu’on ne les voit pas.
Après la branlette, c’est la sucette ! Rachel est maintenant en train de sucer la bite du fiston.
– Putain, ça m’excite ! Me dit Frédérique.
Je lui fous mon doigt dans sa chatte, toute mouillée.
– Regarde, il va la baiser !
Effectivement, Rachel se met en levrette (quel beau cul !) Bertrand passe derrière et c’est parti mon kiki ! Le grand dadais parait tout content de sodomiser sa maman.
Ces excentricités n’ont pas duré longtemps, cinq, dix minutes, allez savoir. La mère et le fils se sont de nouveau allongés et offrent leur corps au soleil.
Encore plus excitées que tout à l’heure, on se pelote à qui mieux mieux, nos doigts vont partout et évidement le mien ne tarde pas à pénétrer le trou du cul de Frédérique.
– Hum, j’aime ça, mais tu risques d’avoir des surprises…
Je crois comprendre mais je fais l’âne.
– Ben oui, je ne vais peut-être pas tarder à faire caca ! Se croit-elle obligée de préciser.
Je ressorts mon doigt qui effectivement n’est pas trop propre. Ça fait rire ma partenaire qui n’attrape le doigt et se met à le lécher en toute décontraction.
– T’as déjà fait de la scato ? Me demande Frédérique.
– Un peu comme voyeuse et comme donneuse !
– Ben c’est déjà beaucoup ! Tu veux me regarder chier ?
– Pourquoi pas ?
Elle s’est retournée afin de m’offrir la vue de son joli fessier et elle s’est mise à pousser. Un long boudin marron finit par sortir et s’enrouler dans l’herbe.
– Ça t’a plu ?
– Oui ! Balbutias-je.
En fait j’étais considérablement troublée.
– Tu m’essuie ?
– Je ne sais pas…
– Essaie, je vois bien que tu es tout excitée.
Alors dans un état pour ainsi dire second, j’ai approché ma langue de son anus, j’ai inspiré profondément et j’ai léché les deux ou trois traces douteuses.
– Viens me lécher, je n’en peux plus ! Lui indiquais-je
Et c’est en soixante-neuf que nous sommes toutes deux envoyées en l’air.
On s’est reposé quelques minutes avant d’être réveillées par un raclement de gorge. Rachel et son fiston sont là, ils sont à poil, leurs vêtements sous le bras.
– Euh, je voulais vous demander… je compte sur votre discrétion ! Commence Rachel.
– Ne vous faites pas de soucis ! Répondis-je
– Ce doit être le climat qui nous pousse à faire des choses interdites…
Ben voyons.
–
– Mais c’était magique ! C’est formidable de se faire enculer par son fils, n’est-ce pas mon chéri ?
– Oui maman !
On ne sait trop quoi dire ! Mais c’est Frédérique qui mets les pieds dans le plat.
– Vous avez une jolie chatte, chère madame.
– Si elle vous intéresse, je suis à votre disposition.
– Pourquoi pas ?
– Un petit truc à quatre, ça vous dirait ?
Frédérique a vu ma tronche, en effet le Bertrand ne me branche guère.
– On vient de faire les folles, on est un peu crevées. On se repose une demi-heure et après on verra.
On s’attendait à ce qu’il aillent patienter un peu plus loin, ben non, ils s’allongent à 5 mètres de nous et Rachel tripote négligemment la bite de son fils qui se met à bander de fort belle façon.
A suivre