Le blog de vassilia-x-stories
par Liouba
Avant de connaître mon ami, j’étais comme beaucoup de femmes mal baisée par mon mari. J’avais un amant et il le savait. Je serais sans doute restée ainsi partiellement insatisfaite si je n’avais
pas rencontré mon ami français. Tout de suite il a compris qu’en moi sommeillait une vraie salope qui ne demandait qu’à être réveillée. Mais il n’est pas facile de balayer tout un tas de préjugés
et de faire fi de toute une éducation bourgeoise… Si j’ai pu progressivement jeter tout ça aux orties c’est grâce à l’extrême patience de cet ami.
Il avait une très belle bite qui me convenait parfaitement et me faisait jouir comme je n’avais jamais joui. Sa façon de me titiller les seins, de faire rouler délicatement les mamelons entre ses doigts ou de les mordiller était nouveau pour moi.
Ses façons de me baiser, devant une glace en me faisant admirer sa grosse bite qui entrait et sortait de moi, et de me baiser sur une table étaient nouvelles aussi pour moi. J’étais presque gênée au début quand il m’écartait les jambes les maintenait en l’air en me tenant les chevilles et admirait ma chatte qui commençait à baver d’impatience, avant de glisser sa bite en moi jusqu’aux couilles.
Il me répétait souvent, que j’étais douée et que si je lui faisais confiance il ferait de moi une vraie salope. Moi, une salope ? Je n’y croyais pas trop, mais j’étais prête à lui faire confiance.
Comme il disait que toutes les salopes aiment se faire « enculer », j’acceptais que régulièrement il glisse ses doigts enduits de vaseline et comme je trouvais la sensation plutôt agréable, j’acceptais un jour, non sans appréhension, qu’il y glisse sa bite. J’ai eu l’impression d’éclater et que sa bite, (24 cms) me remontait jusque dans la gorge. Mais il se montra très doux comme à son habitude et me fit progressivement apprécier la sodomie.
Le fait d’aimer prendre « une bite dans cul » était, d’après mon ami, le signe que j’étais sur la bonne voie pour devenir une « vraie salope ». Je comprenais peu à peu que pour lui, « être une salope » n’avait rien de péjoratif et qu’au contraire ce terme contenait une sorte d’admiration pour ces femmes qui avaient su se libérer de tous les tabous imposés par notre société.
Il me parlait des autres hommes, de leurs bites toutes différentes, de ses expériences, des femmes qu’il avait connues et dont certaines (de bonnes salopes) aimaient se faire sauter par plusieurs types. Peu à peu il me préparait à l’idée que peut-être un jour moi aussi…
Moi je m’estimais incapable à tous points de vues de me prêter à ce jeu. Pourtant ce jeu, il m’y fit habilement jouer avec des partenaires virtuels, imaginant des types en train de se branler pendant qu’il me baisait. Parfois il me disait de fermer les yeux et de l’imaginer lui en train de se branler pendant qu’un autre me baisait, que ce n’était pas sa bite qui était en moi mais la grosse queue d’un autre qui allait me faire jouir. Et je jouissais, je jouissais comme une folle à cette évocation.
Il en profitais pour me dire : « Tu vois ça t’excite, ma jolie salope, quand je te parles de mecs qui te baisent et t’enculent, tu fantasmes sur toutes ces bites que tu pourrais prendre dans la chatte ou dans le cul ». Et moi, choquée les premières fois, je me mettais à aimer qu’il me parles ainsi et me traite de salope.
De nombreuses fois il me proposa d’inviter quelqu’un « pour de vrai » l’idée m’excitait mais je disais toujours non… Puis un jour j’ai dis oui.
Je venais de dire ce « oui » que déjà je le regrettais .Ma bonne conscience se rebellait et j’avais du mal à la faire taire.
Le jour où le type devait venir, quelques heures avant, je me mis à paniquer. Je n’étais plus d’accord. Mon ami tenta d’abord de me raisonner puis, me dit qu’il s’excuserai auprès du type et lui expliquerai que nous avions changé d’avis si toutefois il ne me plaisait pas. Cela ne me rassura qu’à moitié. J’étais seulement vêtue seulement d’un chemisier et d’une jupe, sans rien d’autre et voulais m’habiller plus décemment quand le type arriva.
C’était plutôt un beau mec, grand brun, la trentaine souriant, et à peine plus à l’aise que moi. Pas du tout le genre macho sur de lui, de son charme, et de ses possibilités sexuelles comme il m’est souvent arrivé d’en rencontrer par la suite. Pas du tout le genre de type qui brandi sa bite comme un étendard, certain d’avoir la plus grosse, la plus belle, la plus longue et être le seul à pouvoir faire bien jouir une femme. Non ! Celui-ci semblait assez timide et peu sur de lui ce qui me le rendit tout de suite sympathique.
Mon ami compris qu’il ne m’était pas indifférent et avec beaucoup de patience, d’esprit, et de gentillesse, détendit l’atmosphère en parlant avec humour de banalités qui n’avaient rien à voir avec le sexe.
A la deuxième coupe de champagne mes inhibitions commencèrent à disparaître et je laissais le regard de notre invité se glisser entre mes cuisses que la jupe, un peu courte et étroite, découvrait généreusement.
C’est le moment que choisit mon ami pour passer derrière le fauteuil et m’embrasser en déboutonnant mon corsage. Il savait que quand il mettait ses mains sur moi, sur mes seins, et plus particulièrement quand il en faisait, entre ses doigts, rouler les mamelons, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Troublée, mais ne me sentant pas encore prête pour me faire sauter par notre invité, je me levais sous le prétexte de resservir du champagne, mais sans refermer mon corsage. Je n’osais regarder le type mais je savais qu’il suivait le balancement de mes seins au dessus de la table et mon entrecuisse s’humidifiait délicieusement.
Quand j’eu reposé la bouteille, mon ami vint derrière moi me caressa un sein d’une main et de l’autre, ouvrit la fermeture éclair de ma jupe qui glissa à mes pieds. Me retrouver pratiquement nue devant l’invité me déclencha un mini orgasme et je n’avais plus qu’une envie : me faire baiser, sentir une bite bien dure, grosse et longue se glisser en moi.
Le type avait sorti le sienne et se branlait doucement en regardant mon ami me caresser. Un reste de pudeur incontrôlée me fit me retourner contre mon ami et enfouir ma tête au creux de son épaule. Et puis je sentis l’autre que caresser les fesses avec son gland. Il avait mis un préservatif. Sa bite se montrait insistante et suivait doucement la raie des fesses, espérant se glisser n’importe où. Mais je ne voulais pas qu’il me sodomise, pas maintenant, après peut-être, mais à cet instant, j’avais simplement envie qu’il me baise. Alors lentement je me suis écarté de mon ami, m’appuyant à lui en écartant les jambes et en tendant ma croupe à l’autre.
Je sentis le gland, se frotter à ma toison, écarter doucement les lèvres de ma chatte et me pénétrer lentement et profondément. Je crois que je me suis mise à jouir avant même qu’il soit au fond de moi, et plusieurs fois avant qu’il jouisse à son tour.
Après un petit passage à la salle de bain, tout me sembla
plus simple. Je pus faire plus ample connaissance avec le bel engin qui m’avait fait jouir, ainsi qu’avec son propriétaire. Je ne me reconnaissais pas, je le suçais lui caressais les couilles et
lui prodiguais toutes les caresses que je prodiguais habituellement à mon ami et sans aucune gêne. J’appréciais d’être caressée par quatre mains et d’avoir à ma disposition deux belles bites bien
raides prêtes de nouveau à m’investir.
Quand l’invité me pénétra de nouveau sur le lit, j’étais un peu dans un état second, j’avais envie de jouir, jouir encore et encore, d’être baisée enculer, ne plus penser à rien, qu’a cette bite qui me pénétrait. Qu’au regard de mon ami sur moi: une salope, sa salope, en train de se faire baiser.
A près une courte pause mon ami me donna sa queue à sucer pendant que je branlais celle l’autre qui après avoir joui en moi, reprenait de la vigueur. Mon ami bandait très fort et je m’empalais sur sa queue, pendant que l’autre me caressait les fesses avec son gland. J’avais une furieuse envie qu’il m’encule, mais il préféra avant d’y glisser son gland m’introduire plusieurs doigts. De nombreuses fois mon ami m’avait sodomisé avec un godemiché plus gros que sa bite, aussi dès que le type appuya son gland sur ma rosette il pénétra sans problème. C’était la première fois que j’avais deux bites en moi. J’étais baisée et enculée comme ces « vraies salopes » dont me parlait mon ami !!
Cette première expérience a été pour moi extraordinaire et j’y repense encore très souvent quand j’ai le bonheur d’avoir deux bites en moi.
Dire combien de fois j’ai joui ? C’est impossible, je n’arrêtais pas. J’avais orgasme sur orgasme. Quand mes deux baiseurs ne bandaient plus assez pour me pénétrer je les suçais. (On m’a souvent dit que j’étais très douée pour les pipes). Mais il est arrivé un moment ou mes mains, ma bouche, ma langue ne purent leur redonner suffisamment de vigueur. Ils avaient la bite molle et les couilles vides, alors que moi j’aurais bien pris encore plusieurs coups de queue.
Mon ami voulu m’enfiler le gros gode, mais je lui dis que c’était de bites bien chaudes bien vivantes dont j’avais encore envie.
Comme je restais sur le lit jambes écartées chatte béante sans aucun complexe (ce qui m’étonne encore), mon ami en se tripotant la bite me dit : « Tu es une merveilleuse salope et puisque tu aimes la bite, je te promet que tu en auras » (Et il a tenu parole).
Quand le type nous quitta, je revenais lentement à moi et était presque gênée quand lui habillé, moi nue, il m’embrassa.
Pendant que mon ami le raccompagnait jusqu’à sa voiture, je me regardais dans la grande glace de la chambre. Ma conscience se réveillât et ce n’est pas moi que je vis dans la glace mais le reflet d’une salope qui venait de se faire baiser et enculer par un inconnu dont j’ignorais jusqu’au prénom. Portant je décidais de réagir de faire taire ma conscience de l’étouffer et le meilleur moyen était de devenir vraiment une salope, de me faire baiser et enculer tous les jours s’il le fallait. Mais surtout la faire taire, empêcher toute mon éducation, avec ses interdits et ses principes de refaire surface.
Au retour de mon ami, je lui fis part de ma décision, que je m’en remettais à lui et qu’à l’avenir il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait y compris me faire baiser par tout un tas de types.
Aujourd’hui, je lui suis infiniment reconnaissante de m’avoir fait aimer le sexe, mais surtout de m’avoir débarrasser de mes complexes, de m’avoir aider à m’assumer comme « salope », une salope à qui il a aussi apprit à se prostituer intelligemment et occasionnellement.
LIOUBA