Le blog de vassilia-x-stories
Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 2 – Marcia et sa fille par Nicolas Solovionni
Le lendemain ne sachant trop quoi faire pour m’occuper, (ben oui, quand on est désœuvré on est désœuvré) je décide d’aller faire un tour au Carrie’s bar (voie les épisodes précédents)
Ce modeste établissement, qui n’a rien de select fait un peu bistrot, un peu restaurant, un peu bordel, est tenu par la ravissante Carrie et sa mère Marcia, elles ne sont farouches ni l’une ni l’autre et ne rechignent pas de monter avec le client (voir les épisodes précédents)
C’est Marcia qui m’accueille.
– Alors mon grand, on vient s’encanailler ?
– Je ne sais pas trop, je m’emmerde un petit peu en ce moment.
– Tu ne repars pas dans l’espace ?
– Pour quoi faire ?
– Ah, c’est vrai que maintenant tu es plein aux as…
– Faudrait vraiment qu’on m’aiguille sur un truc qui éveille ma curiosité.
– Je te proposerais bien un truc… Mais tu vas me prendre pour une folle.
– Dis toujours…
– Il y a quatre ou cinq ans, un mec est tombé amoureux de moi, il m’a offert un collier, un joli truc assez cher, oh ça n’a pas d’une valeur inestimable non plus, mais j’y tenais.
– Et on te l’a piqué ?
– Oui, ce collier était monté avec des pierres magnétiques, quand je le portais, ça me faisait un bien fou.
Marcia laisse passer un silence, elle ne va tout de même pas me demander d’aller récupérer sa breloque ?
Ben si !
– Je connais le voleur et aussi son port d’attache. Il s’appelle Romani, et il campe sur Kateylia.
– C’est complètement aléatoire ton truc, en quatre ou cinq ans il dû se passer un tas de choses. .
– Justement, ça pourrait t’amuser !
– Tu parles !
– Je te proposais ça comme ça
– Je ne dis pas non, je vais voir avec mon staff.
Et voilà Carrie qui déboule. Elle est contente de me voir, elle m’embrasse.
– Le capitaine va essayer de récupérer mon collier magnétique.
– Hé ! Je n’ai pas encore dit oui.
– Tu ne vas pas refuser de faire plaisir à ma mère ?
– Ça risque d’être un peu compliqué, je trouve.
– Allons, allons, pas de fausse modestie. Sinon, un petit trio, ça te tente ?
– Bien sûr !
– On va attendre que Candice redescende, elle va garder la maison le temps qu’on papillonne, c’est un nouvelle, elle est super mignonne.
Et me voilà dans la grande chambre de Carrie. Depuis l’affaire d’Orza (voir cet épisode) Ces deux coquines m’ont à la bonne, je ne saurais m’en plaindre.
Pas de cérémonie, les deux femmes retirent leurs vêtement à l’arrache, m’invitant à faire de même et me voici avec deux magnifiques paires de seins devant mes yeux concupiscents.
Alors que faire en pareil cas ? Le téton droit de Marcia et le plus près de ma bouche, je le tète donc, tandis que ma main s’en va peloter les nénés de Carrie
Les deux femmes se laissent faire quelques instants puis après un geste de connivence qui m’échappe, les voilà qui m’immobilisent. Etant très joueur je me laisse faire.
Marcia a sorti un gode très réaliste et me l’introduit dans le cul tandis que sa fille me mordille les tétons.
Tout cela me plait fort bien, les doigts de Carrie me font mal mais je sublime cette douleur et j’en redemande. Elle s’en prend ensuite à mes testicules j’aime moins mais je supporte.
Marcia me demande de tenir l’extrémité du gode afin qu’il ne s’échappe pas de mon cul et vient s’assoir sur mon visage. J’ai son trou du cul très près de ma bouche. Par instinct je commence à lécher rencontrant une odeur assez particulière mais qui n’est pas pour me déplaire.
– Tu aimes l’odeur de mon cul ?
– J’adore !
– Pervers, enculé !
– Si tu le dis…
– Si je le dis c’est que c’est vrai !
– Lèche moi bien, je veux ta langue dans mon trou du cul
J’obtempère et lui barbouille le trou de balle de ma salive tandis que Carrie, pratiquement couchée sur mon dos continue de jouer avec mes tétons.
– Non, me dit Marcia, maintenant tu vas m’enculer, avec toute la salive que t’as bavé ça devrait passer comme une fleur.
Voilà qu’elle compare ma bite à une fleur à présent ! Ça tombe bien, J’adore offrir des fleurs.
Madame se met en levrette, et j’y vais. Effectivement ça rentre tout seul. Et c’est parti pour une série de va-et-vient bien cadencés.
Mais voilà que Carrie me fout une grande claque sur mes fesses.
– On se calme ! Protestais-je mollement
– Tu n’as pas honte d’enculer ma mère devant me yeux, gros salopard ?
Ah, c’est donc un jeu ! Eh bien si c’est un jeu jouons-y, j’ai toujours été très joueur !
– Ta mère est une pute et j’adore enculer les putes. Répliquais-je, histoire de faire un peu de provoc.
– Non mais Maman, tu entends un peu ce qu’il dit ?
– Il a raison, je suis une pute et j’aime qu’on m’encule !
– Si je comprends bien, tout le monde est contre moi continuez vos cochonneries, moi je vais m’assoir un peu plus loin. Répond Carrie, jouant la boudeuse
– Ajas, sors de mon cul et va enculer ma fille, sinon elle va nous chier une pendule
C’est vraiment elles qui commandent ! C’est pourtant moi le client, et j’ai payé ! (n fait, non pas encore). C’est un monde de voir ça ! Mais je vous l’ai dit je suis docile et joueur…
Carrie est déjà en position, le popotin relevé dévoilant tous ses trésors. Qu’est qu’il est beau son cul ! Une véritable merveille de la nature. J’ai presque peur de l’abimer !
Je m’approche, je caresse, éprouvant sa douceur, j’écarte tout ça, afin que ma langue puisse accéder à son anus étoilé.
– Oh, mais tu me chatouilles, grand coquin !
– Tu es chatouilleuse du trou du cul !
– Ben quoi, j’ai le droit, non ?
Bien sûr qu’elle a le droit, j’abandonne ma feuille de rose, approche ma bite et la sodomise d’un coup sec.
Marcia contourne sa fille et vient se placer devant elle, leurs visages se rapprochent et elle se roulent un patin.
C’est quand même super excitant de voir la mère et la fille s’embrasser sans vergogne.
Tellement excitant que je sens que je vais bientôt jouir, j’essaie de me freiner mais ça n’a rien d’évident. Et bien sûr Carrie s’en aperçoit.
– Ne me jouit pas dans son cul, je veux que tu décharges sur le visage de ma pute de mère elle adore ça !
Ce n’est pas un problème ! Je décule ma bite n’est vraiment pas très nette. Marcia se met à genoux devant moi, je me finis à la main et envoie toute ma sauce sur le doux visage de Maman Marçia qui s’en lèche les babines.
Elle s’approche ensuite pour me gratifier d’un bon nettoyage de bite. En moins d’une minute il ne restait plus aucune trace de sperme ou de merde.
– Pisse lui dessus maintenant ! M’indique Carrie excitée comme une grenouille au palais des nénuphars.
Voilà qui n’est pas une mauvaise idée, Marçia ouvre une large bouche, je n’ai plus qu’à viser… Et c’est qu’elle se régale la filoute !… Il va y avoir du nettoyage à faire après toutes ces agitations.
Je vais me rincer la zigounette au lavabo, pendant que les deux femmes s’échangent de douces caresses. Elle n’ont pas jouit, mais ce sont bien amusées. Ne dit-on pas que les prostituées ne jouissent jamais (enfin presque jamais) avec leurs client ?
Le temps de m’essuyer et de me retourner, les deux gazelles étaient montées sur le lit, et les voici en soixante-neuf en train de se lécher respectivement la minette.
C’est beau, c’est pervers, c’est excitant… et voilà que je rebande !
Je suis restée jusqu’à ce que leur désirs soient rassasiés, la bite à la main.
– Non mais dis donc gros cochon, on joue les voyeur ? T’as pas eu ton compte ?
– Si mais on ne se lasse jamais des bonnes choses !
. Ou, mais faut bien ça finisse, si tu veux revenir ! Allez on se rhabille, on redescend et on va boire un coup, ça donne soif tout ça ! Et n’oublie pas de nous donner un peu de sous.
Hé oui, dans la prostitution le client paye d’avance mais payer après reste le privilège des clients fidèles.
A suivre