Le blog de vassilia-x-stories
– Bon je vais vous laisser. Indique Florentine.
– Me permettez-vous d’être indiscrète ? Demande Marie.
– Essayez toujours.
– Je me demandais si vous étiez attirée par les femmes ?
– Pardon ? Pourquoi cette question ?
– Vous avez une façon de me regarder, mais je me fais peut-être des idées…
– Disons que vous avez un physique qui ne me laisse pas indifférente.
– Je vous excite tant que ça ?
– Excitée est peut-être un grand mot… pour le reste, ça ne se commande pas.
– Vous aimeriez me caresser ?
– Comme vous y allez! Mais ma foi, pourquoi pas ?
– Faites-le !
– Vous jouez un jeu dangereux.
– Où serait le danger, on va se tutoyer. Caresse-moi.
– T’es toujours aussi directe ?
– En fait non, mais parfois ça m’arrive, quand je sens qu’il y a une ouverture, je tente ma chance.
Le souci c’est qu’il n’y a pas grand-chose à caresser sinon les bras. Florentine en éprouve la douceur
– Attend je vais me dégager un peu… Lui indique Marie en enlevant son haut
– Hum, joli soutien-gorge !
– Je vais l’enlever, tu vas pourvoir me tripoter les nichons.
Pas très volumineux, mais ponctués par de gros tétons arrogants
– Pas mal, hein ! La nargue Marie.
– J’aime bien.
– Quand tu baises, tu te limite aux relations vanille ou tu vas plus loin ?
– Hein ?
– Je veux dire est-ce que tu aimes les petites fantaisies que tout le monde ne fait pas .
– Disons que j’aime bien expérimenter des trucs ! Répond Flo. Je n’ai rien d’une oie blanche.
« Si elle savait tout ce que j’ai déjà fait ! » se dit-elle in petto.
– Les trucs masos t’aime bien ?
– Oui, si ça reste un jeu, si ça ne va pas trop loin.
– On y joue, ce sera moi la méchante maîtresse ?
– Oui, mais tu ne m’attaches pas et tu ne me bâillonnes pas !
– O.K, suis-moi !
Marie la conduit jusqu’aux combles dans lesquels a été aménagée une toute petite pièce, sans doute moins de 12 m² . Il y a là-dedans une croix de Saint-André, Des cravaches, martinets et autres instruments fouetteurs sont accrochés au mur et sur une planchette sont disposés, menottes, pinces, des godes de différentes dimensions et tout un tas d’autres choses du genre.
– Impressionnant, c’est à tes parents ?
– Non, c’est à moi, j’ai tout installé moi-même.
– Et tes parents ?
– Ils ne viennent jamais ici ! C’est mon coin secret et je suis la seule à avoir la clé. Maintenant si tu veux bien te déshabiller, je te rappelle qu’on est monté pour faire une séance de
domination, pas pour faire du tourisme !
Florentine se débarrasse de ses vêtements sous le regard concupiscent de Marie.
– Hum, t’es trop bien foutue toi, t’as quel âge?
– Ça ne te regarde pas !
– Oh, l’impertinente poufiasse ! Lui répond Marie en lui assenant une bonne gifle en travers de la figure. Et maintenant à genoux, bouche ouverte.
Florentine obtempère.
– Tu sais ce que je vais te faire ? Demande Marie.
– Je m’en doute !
– Alors demande-moi de le faire !
– Crache-moi dessus, Marie ! répond Florentine, qui vous le voyez, est très joueuse..
La Marie ne s’en prive évidemment pas.
– Tu avales tout et tu dis « merci »
– Merci Maîtresse !
– Relève-toi, maintenant tu vas souffrir un peu… approche-toi de la croix, je vais t’attacher.
– Non !
– Ah, oui c’est vrai ! Ce que tu es pétocharde ! Alors place-toi contre la croix comme si tu étais attachée.
Marie se saisit de deux pinces à seins et les accroche sur les tétons de Florentine qui nous fait une vilaine grimace.
– Ça fait mal, hein grosse pute, mais attend ce n’est pas fini, on va mettre quelques pinces en bas…
– Non !
– Tu ne veux plus jouer ?
– Si mais en bas ça fait mal !
– Evidemment que ça fait mal, c’est fait pour ça ! Allez, on essaie !
Et oui, ça fait mal, Florentine se mord les lèvres mais tente de supporter.
Marie sort ensuite de sa boite à malice, des poids qu’elle accroche aux pinces à tétons.
Ouille, ouille, ouille, elle a bobo, Florentine, des larmes viennent destroyer son Rimmel, mais elle supporte toujours.
Sadique, Marie s’amuse à faire bouger toute cette quincaillerie, et cette fois Florentine crie mais ne demande pas que l’on arrête.
– Hum ça me fait mouiller de te voir souffrir, regarde ma petite chatte comme elle est contente, elle en ruisselle de bonheur ! Si t’es sage tout à l’heure tu pourras la bouffer. Allez tourne-toi, mais reste contre la croix, je vais t’arranger le cul.
Marie se sait d’une cravache et se met à fouetter le joufflu de Florentine en cadence.
– Fouetter un si beau cul, je devrais avoir honte, mais que veux-tu ce sont mes instincts !
– Aïe !
– On ne crie pas, on supporte, espèce de trainée !
Personne n’a compté, mais le postérieur de Florentine a bien été marqué une vingtaine de fois.
– Hum, ça m’excite tout ça, retourne-toi et mets-toi à genoux, bouche ouverte.
Florentine cru tout d’abord qu’elle allait de nouveau lui cracher dessus, mais ce n’était pas tout à fait ça. Marie s’approche de façon à ce que sa vulve soit proche de la bouche de sa soumise, elle écarte ses grandes lèvres et se met à pisser dru.
Voilà une pratique qui n’a rien d’humiliante pour Florentine. Mieux, elle adore ça et ‘en régale.
– Mais on dirait qu’elle aime ça cette grosse salope ! Commente Marie.
– Ben oui j’aime ça !
– Mais maintenant tu vas me faire jouir.
Marie sort d’on ne sait où une couverture qu’elle étale sur le sol, elle se couche dessus, jambes écartées et invite sa partenaire à lui faire minette.
Vous pensez bien que Florentine n’allait pas se dégonfler, sa langue vient lécher cette jeune et jolie chatte au gout de mouille et de pisse.
La Marie, excitée comme une puce, est vite atteinte de spasmes accompagnés de gémissements, Florentine lui touche à peine le clito du bout de sa langue qu’elle jouit en hurlant comme une damnée.
Petit moment calme (il faut bien récupérer) avant que Florentine demande :
– Et moi, tu ne me fait pas jouir ?
– Mais si ma grande, mais pour l’instant j’ai soif, j’ai du jus d’ananas dans le frigo en bas, ça te dit ?
Elle ne se presse pas pour revenir mais finit par réapparaitre avec le carton de jus de fruit et un paquet de clopes.
– J’ai oublié les verres en cartons ! Se désole Marie.
– On peut boire à la bouteille, non ?
C’est ce qu’elles firent…
– On clopera après, installe-toi sur la couverture…non pas comme ça.. en levrette, j’ai envie de gouter à ton trou du cul.
Florentine se met en position, Marie vient derrière et lui butine l’anus de sa petite langue agile et vicieuse.
– C’est bon, ça, mets-moi un doigt.
– Justement j’allais le faire ! Répond Marie joignant le geste à la parole…
– Aaahh
– Attends, ne bouge pas, je vais chercher un joujou.
Marie revient avec un joli gode et une dose de gel, elle tartine l’anus de sa camarade de jeu puis introduit le dildo qui entre avec une facilité déconcertante.
– Dis donc, toi tu dois avoir l’habitude de te faire enculer ?
– Hi, hi !
Marie agite le sex-toy en mode va-et-vient plusieurs fois de suite pendant quelques brèves minutes, puis fait se retourner sa camarade de jeu afin de l’envoyer au ciel en lui léchant l’abricot comme une pro.
Comment piéger ce Carolin Machin Chose ? c’est la question sur laquelle flanche maintenant la petite équipe.
– Lui envoyer un message, lui donner rendez-vous, mais il va se méfier… Commence Florentine…
– Non, il faut lui foutre la trouille. Rétorque Gérard.
On cherche, on cherche, finalement Gérard rédige un projet de mail :
« Votre activité est découverte, je vous propose d’en parler. Je vous propose un rendez-vous au café le Panier Fleury demain à 10 heures, j’aurais le journal Marie-Claire à la main, si ces conditions ne vous conviennent pas, proposez-moi un autre rendez-vous. Cordialement.
– En espérant que son mail soit toujours actif. Se demande Béa.
– En principe les types louches qui créent des boîtes secondaires font des renvois automatiques sur leur boîte principale…
– Alors envoyons, nous verrons bien.
Gérard crée une boîte mail bidon à partir de laquelle il envoie le message.
L’homme qui se fait appeler Carolin est fort étonné de ce mail.
– C’est louche, qui ça peut être ? La police ? Elle connait mon adresse, je ne vois vraiment pas pourquoi ils perdraient leur temps à me tendre une souricière. Alors ? Un détective privé ? Un maître chanteur ? Je ne suis pas obligé de répondre.
Il décida donc d’ignorer le message, mais l’esprit d’escalier eu tôt fait d’effectuer son travail… Carolin s’angoisse.
– Merde, il faut que je sache…
Et il répond qu’il est d’accord et qu’il aura France Football à la main.
– Quel con ! Comme ça on le reconnaîtra tout de suite, s’amuse Gérard. Bon qui c’est qui s’y colle, une femme ce serait mieux, on se méfie toujours moins des femmes…
– Tu parles ! Persifle Florentine.
– Béatrice, ça te dit ?
– Je ne voudrais pas faire d’impair …
– Je vais te briefer.
Le lendemain matin Gérard a accompagné Béa à Reims.
– Voilà, je ne serais pas loin, dès que tu l’as identifié, tu m’appelles, s’il est en voiture je le file, et s’il est à pied ce sera à toi de jouer.
– Bien chef !
– Allez bonne chance
Il est 9 h 50, Béatrice après avoir acheté Marie-Claire et la Tribune entre au Panier Fleury et choisit une table permettant d’avoir un regard général sur la salle et de contrôler les entrées.
Personne ne fait attention à elle, il y a deux bonhommes solitaires attablés devant leur café.
– Sûrement pas eux, mais on ne sait jamais.
Elle exhibe « Marie-Claire » en se raclant le gosier. Pas de réaction, elle range la magazine et fait semblant de s’intéresser à la lecture de La Tribune.
Elle surveille d’un œil les clients entrants, un type entre sans journal à la main et sans regarder les alentours.
Cinq minutes passent.
– Qu’est-ce qu’il fout ?
10 h 15
– Il a dû se dégonfler au dernier moment. Et sans s’excuser sinon Gérard m’aurait prévenu, bon j’attends encore cinq minutes …
Et c’est alors qu’entre un individu, France Football à la main et cet individu c’est… je vous le donne en mille ? L’abbé Michel en civil !
Il regarde autour de lui, semble circonspect et s’assoit près de la porte d’entrée
Béatrice affolée se planque derrière son journal économique et contacte Gérard.
– Allô, Carolin, c’est en fait l’abbé Michel, je fais quoi ?
– Quoi ? Casse-toi sans te montrer, je vais lui envoyer un mail pour lui annoncer que le rendez-vous est remis à plus tard. Rejoins-moi à la bagnole, je suis devant le fleuriste…
La situation n’est pas évidente, pour sortir, Béa est obligée de passer devant le faux curé.
– Je fais comment ? Je ne vais tout de même pas sortir avec le journal sur la tête !
L’abbé Michel ne comprend plus rien, il se lève, jette un coup d’œil circulaire sur la salle quand soudain son téléphone émet un signal. Il prend donc connaissance du message de Gérard.
– Ouf il va partir.
Eh bien, non, il ne part pas, monsieur s’est commandé un café, le sirote à la vitesse d’un escargot mort d’amour et se met à feuilleter son journal de footeux.
– Qu’est-ce que tu fous ? Demande Gérard qui commence à s’inquiéter.
– Je suis bloquée, j’arrive dès que je peux. Lui répond Béa.
Elle a alors l’idée descendre aux toilettes et de s’y enfermer vingt minutes. Quand elle remonte, l’abbé Michel a disparu du bistrot
Ouf !
A suivre