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Le chien du vacher par Belle-cour

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Nous finissions nos premières vacances avec une Myriam, une jolie brunette très délurée et fort bien roulée que je connaissais depuis quelques mois et qui depuis est devenue ma femme.

Nous avions fait un petit périple en Espagne où cela avait été bien chaud, et nous remontions vers Paris en faisant une escale dans un gite rural isolé en pleine montagne dans le sud de la France.

Nous étions seuls, la première maison habitée devait être à environ un kilomètre, et comme il faisait très chaud j’étais juste en short. Ma femme, elle se promenait quasiment à poil avec juste un string qui lui mettait son beau cul rebondi bien en valeur.

De la voir se promener, comme ça sans pudeur, le cul à l’air me donnais constamment envie de la sauter où que l’on soit. J’avais, dans mon short, la queue comprimée tellement elle était raide, ce qui obligeait régulièrement Myriam à me soulager en la déballant et en se la fourrant goulûment dans la bouche.

Elle adorait ça, au détour d’un chemin, n’importe où..

Une fois, dans un ruisseau elle me suçait la pine sous l’eau et son cul flottait a la surface, moi je n’en pouvais plus et je lui lâchais toute ma purée dans la bouche.

Elle me provoquait en pissant devant moi avant de me donner ses doigts à lécher

Un jour alors où je l’avais bien tripoter elle était à point, chaude comme une salope prête à tout, sa chatte dégoulinait tellement elle était excitée. J’étais assis, complètement à poil dans une chaise longue devant la maison, ma bite gonflée se dressait, elle, me tournant le dos est venue s’empaler le cul à califourchon dessus.

Elle allait de plus en plus vite, pendant que je lui poignais le cul et lui massais les seins, quand soudain on entendit des bruits de cloches qui venaient dans le chemin.

Ma femme paniquée me poussa, quitta la position et s’étala sur le ventre à même la pelouse, dissimulant ainsi ses seins . C’est alors que le chien gardien du troupeau, un golden, s’approcha d’elle.

– Veux-tu te barrer, sale bestiole !
– N’ayez pas peur, il n’est pas méchant, il est même très affectueux, il veut juste vous dire bonjour ! Intervint le vacher
– Ah, bon ? Bonjour le chien, t’est un beau toutou, maintenant fous moi la paix !

Le chien, loin de partir, se mit alors à lécher les fesses de Myriam.

– Mais t’es un gros vicieux, le chien !
– Il est content, vous le rendez heureux !
– Vous croyez ?
– Je pense qu’il aimerait bien vous lécher devant !
– Non mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ?
– Ben quoi, c’est la nature, c’est la campagne !
– Tu parles !
– Laisse-toi faire ! Intervins-je. Tu l’as déjà fais !
– Je l’ai fais une fois et je connaissais le chien !
– Ben justement ça te permettra de faire connaissance.
– Bon, bon !

Myriam424

Et là je vois Myriam qui se retourne et qui écarte son string permettant au chien de venir lui faire léchouille à grands coups de langues dans la chatte.

– Elle est belle votre copine quand elle se fait lécher ! Commente le vacher. Ça ne vous dérange pas si je me branle en regardant !
– Faites comme chez vous, mon vieux !

Le gars sort alors une bite bien bandée et commence à se l’astiquer frénétiquement.

– Vous avez une bien belle bite ! Le complimentais-je.
– Si vous voulez me la toucher, ou même me la sucer, ce ne sera pas de refus.

Je n’aurais pas fait, j’aurais regretté de ne pas l’avoir fait, alors j’ai sucé la queue du vacher, et m’en régalait et pendant que j’opérais, j’eu la surprise de voir ma femme faire de même avec la bite du chien.

Je fis jouir le bonhomme.. Et apparemment le chien s’était bien défoulé. Mais moi, alors ?

– Mets-toi en levrette, que je t’encule, ! Dis-je à Myriam..

– Je vous laisse, il faut que j’y aille ! nous précisa le vacher !
– Ça vous dirais de venir chez nous boire un coup en fin d’après-midi, on pourrait faire une petite partie. Lui proposais-je
– C’est pas de refus, je viendrais avec le chien ?
– Bien sûr !

Le vacher parti, ma femme me demanda :

– Tu n’as pas l’intention de me faire enculer par ce type ?
– On verra bien comment ça se passe ! On improvisera.
– Je me méfie de tes improvisations !
– Mais tu les adores !
– Bien sûr mon chéri ! Me répondit-elle en écartant bien ses fesses afin que je l’encule bien comme il faut.

Fin du délire

Sam 20 avr 2024 Aucun commentaire