Le blog de vassilia-x-stories
Trio bi improvisé par Lucas
Je suis depuis 8 mois conseiller en communication après du directeur de l’entreprise Carlson. Quand ce dernier fit valoir se droit à la retraite, Janice Massouilier sa fille le remplaça.
Je la connaissais un peu. Elle m’appela alors et me demanda si j’étais intéressé pour continuer à assumer cette tâche. J’acceptais parce que j’étais flatté et que je me disais que j’aurai souvent
l’occasion de la voir. En effet, cette femme de 56 ans possédait sur moi un ascendant que j’avais du mal à m’expliquer. De longs cheveux blonds décolorés, des yeux noisette, un joli nez
légèrement retroussé, elle s’habillait de manière bourgeoise avec souvent des fourrures, un maquillage soigné, des toilettes de marque des escarpins noirs et des fragrances opiacés. Notre
collaboration commença sous les meilleurs hospices, nous travaillons souvent ensemble, je lui écrivais ses discours…
Souvent en rentrant chez moi, je me masturbais en pensant à elle, me rappelant le moment où j’avais frôlé sa jambe gainée de soie au prétexte de ramasser un stylo. Janice sentait cette
attraction. Elle l’a titillé de manière discrète afin de jouir de ma tension permanente. Et, un jour sortant d’un restaurant alors que nous étions légèrement grisé par l’alcool, elle me coinça
dans l’ascenseur. M’embrassant à pleine bouche sa main glissa pour tâter mon paquet. Nous prîmes sa voiture et me conduisit chez elle affirmant :
– Ce soir, tu passes à la casserole !
On se déshabilla rapidement, s’installant dans une espèce de boudoir avec divans à velours. Je me régalais de la vision de sa jolie poitrine que je caressait frénétiquement et dont j’embrassais
les bouts tendus. A ce moment précis j’étais prêt à tout pour elle. Elle me regardait d’un air de dominatrice, vêtue uniquement de sa fourrure, de sa lingerie, de ses bijoux et de son
string..
– Tu as envie hein, ça fait longtemps…Lèche-moi; m’intima t’elle, en écartant le tissu de son string perle.
Son sexe était glabre et son clitoris légèrement proéminent. Je commençais à passer ma langue sur ce qui dégoulinait de désir. Elle m’encourageait !
– C’est ça mon cochon, boit, régales-toi !
Elle appuyait ma tête avec sa main, tout en me caressant. Je m’étourdissais de son parfum, ses odeurs musquées, le crissement de ses bas. Je lui dit
– Fais de moi ce que tu veux, humilies-moi. je m’abandonnes à toi totalement…
– Vraiment ! Me dit-elle avec une voix étrange. Mets-toi à genoux devant moi, tu vas boire ma pisse !
J’ouvrais la bouche, me régalant de cet insolite jet doré à la saveur exquise.
– Et maintenant surprise !
Elle appela alors. Armand…
– C’est mon mari, ça fait longtemps que je voulais me régaler d’un petit trio ! Tu es d’accord ?
Je m’entendis murmurer un vague » oui ».
Armand descendit son pantalon, arborant une bite en étendard. Une jolie bite !
– Suce, petite salope
Dans un état second, je portais ma langue sur son pénis avant de l’engouffrer dans mon palais et de la sucer comme on voit le pratiquer dans les vidéos pornos.
– Tu sucs bien, petite lopette, relève-toi à présent
Je senti une main derrière moi qui palpait mes couilles, passait un doigt sur ma raie, commençait à la lubrifier. Janice me dit !
– Respire c’est du poppers et détends-toi. Tu vas voir après tu en redemanderas !
Je pris une bouffée du flacon. Je sentit mon anus s’ouvrir. Armand pointait son sexe, le frottait. Puis il commença de n’emmancher, de me prendre, doucement, langoureusement. Douloureux au début,
une chaleur intérieure intense commencer de monter
– C’est bon hein, dis-le ! Soufflait Janice, tandis que j’entendais Armand, ahaner derrière moi. Au bout de vingt minutes Il se lâcha dans le préservatif. Je léchais encore la perverse Janice un
petit moment avant de l’enculer sous les yeux du mari.
Ce soir-là, j’étais devenu un suceur de bites et un enculé… Même pas honte !
Soirée à gages par Ludovic
Nous étions huit, trois filles et cinq garçons, José nous avait proposé de jouer a un jeu de question réponse avec gages, il avait à ce propos préparé des gages sur des petits papiers pliés en quatre dans plusieurs petites soucoupes. Je n’ai su qu’après qu’il avait truqué le jeu. Cela a commencé par des gages soft, ainsi Marlène dû nous montrer sa chatte… ensuite cela devint plus hard, et Carla du sucer la bite de Jean-Loup… Puis ce fut a mon tour d’être incapable de répondre à une question. Je choppe donc un gage, on tire le papier : « Tu dois te faire enculer devant tout le monde ! ». Je proteste, indiquant que ça allait trop loin et je me fais insulter « Mauvais joueur, dégonflé… » Je m’apprêtais à quitter cette bande de pervers et fit signe à ma copine de venir. Mais au lieu de me suivre elle me dit : »Fais-le ça va pas te tuer. » « Pas question ». « Alors fous le camp, moi je reste. » Du coup me voilà bien embarrassé, pas envie de me fâcher avec ma copine, mais pas envie de me faire enculer. C’est cornélien ! Quelques secondes d’hésitation, l’assistance me chambre : « Allez Gilou, allez Gilou… »Alors j’ai baissé mon pantalon, José s’est recouvert d’une capote, m’a enduit l’anus de gel et m’a pénétré sous les quolibets de mes amis. Après un moment de gêne ou mon cul semblait refuser cette présence inattendue, j’ai ressenti un certain plaisir, on me traitait de tantouse, de tafiolle, de pédé, » mais je m’en foutais, je venais de découvrir quelque chose et j’étais bien.. « T’aime ça la bite, hein ! Me narguait Norbert ! « Oui, oui, c’est trop bon » Et il vint devant moi m’invitant à lui sucer la bite ! Je n’ai même pas hésité… en fait je devais avoir des prédispositions cachées. Maintenant j’assume, avec ma copine on se tape des soirées bisexuelles, et je suce, je me fait pendre pendant qu’elle se fait brouter le minou par ses copines.