Le blog de vassilia-x-stories
– Je comprends pas, m’étonnais-je. Albertine te sert de réserve de sang, mais elle n’entre pas dans les critères…
– Mais comme elle est un peu sorcière, elle y entre quand même ! Me répond Constance
– Et tu me conseilles quoi ? lui demandais-je.
– Rends toi à la ferme des Burnettes, c’est là que se réunit la Guilde, tu trouveras peut-être des indices te permettant de retrouver Rosalio.
Avant que je ne reparte j’ai partagé le repas de deux femmes, des truites cuites dans la cendre et des courgettes sauvages. C’était, ma foi, fort bon. Albertine s’est mise à parler.
– Moi aussi j’ai été une vraie sorcière, mais mes pouvoirs m’ont presque tous quitté, il fallait me voir sur mon balai en train de voler dans les airs, aujourd’hui je ne tiens plus dessus, j’ai le cul trop vieux. Maintenant grâce à Constance il parait que je ne vais plus vieillir, mais ça ne me rajeunira pas pour autant.
J’ai fait une petite sieste, et j’ai quitté ces gentes dames. Me voilà de nouveau en petit nuage.
Grace aux indications de Constance et après plusieurs heures de vol, j’ai enfin repéré la ferme des Burnettes.
Effectivement l’odeur de mutant est présente, une seule odeur à priori, je descends, fais le tour de la ferme sans rien trouver, c’est complètement désert là-dedans. Je renifle de nouveau, l’odeur vient d’à côté, le mutant est donc parti faire un tour dans les environs. Je renifle mieux, l’odeur vient de la propriété mitoyenne… J’y vais !
Bizarre ! Qu’est-ce que le mutant fout chez le voisin ?
Alors c’est quoi cette propriété ? Je vais voir, c’est vide. Vide mais fréquenté, probablement une résidence secondaire d’un type qui n’y vient que le week-end.
Le mutant est dans une dépendance à l’entrée, il doit occuper les fonctions de régisseur ou quelque chose dans le genre…
Bon, on y va ! J’entre ! Il est là mon mutant ! Non ce n’est pas un vieux sage barbu à lunettes, ni un bonze chauve en toge, non un monsieur tout le monde dans la quarantaine en train de réparer un fauteuil… brun, coiffure en arrière, moustaches, beau gosse..
Je me matérialise, il ne détourne pas la tête
– Coucou !
– Qu’est-ce que… Panique-t-il.
– Je suis Anabelle, une mutante, je ne vous veux aucun mal.
Il n’en croit ni ses oreilles ni ses yeux, mais je le sens qui instinctivement pénètre mon cerveau, je le laisse faire… juste un peu.
– Mais comment m’avez-vous trouvé ?
– Oh ! Un véritable jeu de piste.
– Et vous avez besoin de moi ?
– J’ai en effet besoin d’aide.
– Vous voulez vous couvrir ? Je n’ai pas grand-chose, que des fringues d’hommes, je suis célibataire.
– Je n’ai pas froid !
– Ce n’est pas une question de froid, c’est une question de pudeur ! Au fait je m’appelle Roland.
– Vous n’allez pas me sauter dessus je suppose ? Alors tout va bien !
– Qu’est-ce que vous en savez si je ne vais pas vous sauter dessus ?
– Essayez pour voir !
– Non, merci, vous prendrez bien quelque chose, je pique parfois dans les réserves de mon patron, il a des vins de folie, de cigares dingues…
– Un petit coup de rouge je veux bien s’il est à bonne température !
Putain c’est la première fois que je bois un pinard aussi gouleyant.
– C’est du « Cheval Blanc », 1 000 euros la bouteille !
– Eh bin !
– Et donc vous voulez quoi ?
– Je cherche à contacter Rosalio.
– Alors là je ne saurais vous aider…
– Si peut-être, vous avez un ordinateur.
Il en avait un, à partir de mon cloud, j’ai rapatriée les photos prises à la gendarmerie de Castelnichons
– Voilà, ce sont les trombines des mutants qui ont été décapités, vous les connaissez
– Ben oui ! Ce sont les mutants du château de Glandou. Oh, il y a Odette aussi !
Le mec semble réellement choqué.
– J’avais appris qu’un massacre avait eu lieu, mais j’ignorais qui étaient les victimes, la presse n’a pas diffusé les photos. Saloperie de Lothaire ! Putain, Odette, elle était si gentille !
– Donc Rosalio ne fait pas partie de victimes ?
– Ben non !
– Donc il est vivant !
– Ça ne prouve rien, il a très bien pu être tué et son cadavre dissimulé on ne sait où…
– Oui, bon, on va parti de l’hypothèse selon laquelle il est vivant, sinon, je ne vais jamais y arriver.
– Arriver à quoi ?
J’ai ouvert mon esprit.
– Eh bien ! Vous avez raison, il faut avoir de l’ambition dans la vie ! C’est cette folle de Malvina qui vous a mis ça dans la tête ? Comme elle n’a pas assez de pouvoir pour aller jusqu’au bout
de ses ambitions, elle vous a choisi pour vous manipuler…
– Je ne me sens pas manipulée.
– Normal, on ne s’aperçoit jamais qu’on est manipulé ! Cela dit vous me semblez avoir des pouvoirs assez conséquents et votre mission me parait intéressante, encore faut-il la réussir.
– On va essayer !
– Vous aller faire comment ?
– Je comptais sur votre aide !
Il semble embarrassé mais finit par répondre :
– Ben non, je voudrais bien, mais je ne peux point.
– On dit ça, on dit ça… Mais au fait vous ne vous cachez pas.
– Ben non la Guilde a besoin de moi en raison de mes fonctions
– Vos fonctions ? C’est quoi vos fonctions ici, je veux dire vos fonctions en tant que mutant ?
– Je prépare les réunions de la Guilde, sécurité, logistique, tout…
– Vous n’avez pas peur de Lothaire ?
– Non, il s’est fâché avec la Guilde, mais il reviendra ici soit pour en prendre la mainmise soit pour recréer une autre Guilde à sa solde.
– Vous assistiez aux réunions !
– Non, mais les portes restaient ouvertes, ils ne se cachaient pas.
– Vous parliez avec Rosalio ?
– Comme ça, oui, surtout des aspects pratiques.
– Ils couchaient là, les gens de la Guilde ?
– Oui la plupart arrivaient la veille au soir.
– Vous pourriez me montrer la chambre où Rosalio dormait ?
– Si ça peut vous faire plaisir…
C’est dans les mauvais polars que l’on trouve des indices de cette façon, mais enfin, faut bien tout essayer…
La chambre aurait bien besoin d’un coup d’aspirateur, il n’y a rien de laissé à part un exemplaire du « National Geographic » que je prends pour le feuilleter en bas.
– Vous n’avez rien trouvé ? Me demande Roland.
– Rien du tout sauf ce bouquin ! Mais dites-moi comment ça se passait pour l’hébergement, le petit déjeuner, les repas, tout ça…
– On loue les services d’un traiteur qui fournit la bouffe et le service. Pour eux il s’agit d’un séminaire comme il y en en a tant. Nous n’avons jamais eu de problème.
– Hummm…
Je feuillette distraitement le magazine et tombe vers les pages de fin sur une inscription au stylo bille : « Tatiana »… suivi d’un numéro de téléphone portable… L’écriture est bizarre comme celle de quelqu’un qui aurait appris à écrire tard.
– Dites voir Roland, vous savez reconnaître l’écriture de Rosalio ?
– Ah oui, elle est bizarre son écriture !
– C’est la sienne, ça ?
– On dirait bien, oui !
– Et à votre avis ça veut dire quoi ce nom ?
– Rosalio est un chaud lapin, il a peut-être eu des relations privilégiées avec la fille qui faisait le service de chambre, en principe ces filles ne sont pas farouches… Elles sont sélectionnées
pour ça.
Oh, lala ! Ça se complique, Cette fille est peut-être une piste, mais ça ne suffira pas, je demande à Roland de me faire une description la plus minutieuse possible de Rosalio
– Je dessine un peu, je peux vous faire un crobar !
– Ça sera parfait.
– Je disais, reprend-il, que ces filles ne sont pas farouches !
– Oui j’avais entendu…
– Et vous ?
– Quoi, moi ?
– Vous vous classez dans les farouches ou dans les « pas farouches ».
– Je ne me classe pas !
– Je demandais ça comme ça !
– Oui, ben, j’ai compris, vous ne seriez pas contre le fait de me sauter …
– Mais..
– Laissez-moi finir Je n’ai rien contre, ce ne sera pas une corvée, mais autant vous prévenir tout de suite, il a aura une contrepartie.
– Laquelle ?
– Faudra m’aider mieux !
– Je ferais mon possible !
Le type se déshabille il a une jolie bite, demi-molle pour le moment et me regarde avec concupiscence.
– Ça vous plait on dirait, le narguais-je il n’y a rien à jeter, n’est-ce pas ? Quand je pense que vous me parliez de pudeur tout à l’heure…
– Certains sortilèges sont associés à la nudité, j’avais peur de me faire manipuler un homme n’agit pas toujours rationnellement en face d’une femme qui appelle le désir.
– Je comprends mieux, voyons cette bite…
Je m’en empare, lui imprime quelques mouvements masturbatoires afin de la faire bander bien comme il faut..
Elle est très jolie comme ça bien droite, ornée d’une impertinente veine bleue, le gland décalotté luisant et violacé… un amour de bite !
Une flexion des genoux et hop ! Dans ma bouche la bite du monsieur.
Et c’est partie pour l’art de la fellation léchage de la verge, titillement du gland et évidemment pompage en va-et-vient.
– Oh, c’est bon ! Si vous pouviez me foutre un doigt dans le cul, j’aime bien…
Ce n’est pas un problème, d’autant que je peux faire les deux à la fois, je me mouille un doigt et l’introduit dans l’anus de Roland.
– Oh, c’est bon, je le sens bien ton doigt qui m’encule.
Comme quoi, rien de tel qu’un bon doigt dans le cul pour passer au tutoiement !
– T’as des jolis pieds ! Me dit-il soudain.
Ah bon, c’est bien la première fois qu’on me félicite pour la beauté de mes pieds ! En fait ils n’ont rien de spécial, les ongles sont vernis en rouge, un beau rouge…
– J’aimerais bien les lécher un peu !
– Pas possible, je suis chatouilleuse.
– Et si je te suce juste les orteils ?
– On peut toujours essayer.
Je m’assois sur une chaise, Roland s’accroupit devant moi, je lève mon pied gauche, il le prend et le caresse tout doucement puis il ouvre la bouche et me gobe le gros orteil. Il le prend dans sa bouche et l’humecte de sa salive. Drôle d’impression de voir ça mais l’homme est ravi et quand il en a assez de me sucer l’orteil gauche il passe à l’orteil droit, il a raison, il ne faudrait pas que l’un de mes orteils pique une crise de jalousie !
Idée !
– T’as un gode !
– Oui mais les piles sont à plat !
– On peut s’en servir sans piles ! Tu aimerais que je te foute dans le cul ?
– Oui, il est dans ma chambre, juste à côté, viens on y va !
J’ai fait coucher Roland sur le lit.
– Lève une jambe que je t’introduise le machin !
J’ai un léché le gode afin de le lubrifier, je l’approche de sa rosette, je pousse, ça entre juste un peu je pousse encore, ça entre mieux je pousse encore et cette fois tout est entré. Je me livre à quelques aller et retours qui font pâmer l’homme.
Mais soudain je sens que ses mains veulent remplacer les miennes…
– Je vais continuer, occupe-toi de mes tétons ! Me demande-t-il.
Pourquoi pas, j’ai déjà rencontré des mecs qui adorait ça, alors pendant qu’il continue à s’enculer tout seul avec le gode, je lui pince ses bouts de seins.
– Plus fort !
Monsieur est maso des seins, je serre de toutes mes forces, je les tire, les tortille, il n’en peut plus !
– Tu me montes dessus ? Propose-t-il
La position a ses avantages, puisque c’est la femme qui contrôle tout, l’inconvénient c’est que c’est un peu fatigant.
Je m’apprête à m’empaler et me dispose pour le faire, je monte et je descends sur sa bite et ma chatte étant trempée, mes actions sont ponctuées d’un bruit de floc-floc qui n’a rien de très érotique.
– Ça vient ? lui demandais-je au bout d’un petit moment.
– Tu m’offres ton cul ? Répondit-il
Ce n’est pas un problème, je change de trou et m’empale de nouveau. Je tente de contrôler la pénétration, mais Roland, excité comme un pou, donne des grands coups de bassin, je suis en train de jouir du cul et pendant que je crie mon plaisir il m’éjacule dans le fondement.
Sa bite ressort gluante de foutre et de merde, je me régale en nettoyant tout ça.
– T’es vraiment une salope ?
– Tu en a bien profité de la salope, alors tes commentaires…
Temps calme, il m’offre une cigarette, voilà une éternité que je n’ai pas clopé.
– Tu as la date exacte de la dernière réunion de la Guilde ? Lui demandais-je
– Je vais te la retrouver.
– Il me faudrait aussi le nom du traiteur. Et donne-moi ton numéro de téléphone, je vais l’apprendre par cœur. Et ton e-mail aussi par la même occasion. Au fait pour l’élixir tu fais comment, je
ne vois personne…
– C’est un fils de fermier un peu plus loin, il n’a pas besoin de rester à mes côtés, il passe tous les quatre jours… Il est très mignon, il a une jolie bite, parfois on s’encule.
– Et s’il oublie de venir ?
– Je le force à le faire, moi aussi j’ai des pouvoirs !
A suivre