Le blog de vassilia-x-stories
…Aujourd’hui, je vous envoie une histoire de mon cru, déjà publiée sur
le site Revebebe sous le titre « Mme Besson » et mon pseudo Alexandre.
A le demande d’une amatrice du Nord de la France, Daisy, que j’ai connue par
votre intermédiaire, j’ai adapté cette histoire et illustré de ses propres
photos, avec son accord…. Alexandre
Depuis le début de juin, les nuages boudent notre beau pays, peut être au
profit d’un autre, un peu plus septentrional !
Un magnifique soleil darde donc ses chauds rayons sur l’ensemble de la
France et la canicule s’installe doucement, mais sûrement, avec quelques
semaines d’avance.
Je m’appelle Jean-Marc et je travaille dans l’aéronautique, dans le Nord de
la France. Mon travail est très intéressant, mais il m’oblige, un peu trop à
mon goût, à rester enfermé devant un ordinateur, de longues heures, dans un
bureau qui attend toujours son climatiseur !
Je suis justement en train de baigner dans une douce moiteur lorsque le
téléphone sonne :
– » Allo, oui, c’est moi (c’est ma femme), tu rentres à quelle heure ?
»
Un étranger mal informé pourrait penser que je lui manque (à ma femme,
pas à l’étranger) et qu’elle a hâte de me voir revenir à la maison après
cette rude journée de labeur. En fait, il n’en est rien, elle a certainement
un petit service à me demander…
– » Je ne sais pas…, pourquoi ? »
– » J’emmène Elodie (c’est notre fille) chez Daisy, est-ce que tu
pourras la prendre en rentrant, si ce n’est pas trop tard ? »
Daisy est la dentiste et l’amie de la famille. Elle a connu
les dents de lait des enfants et connaît presque tout de nos problèmes
buccaux. C’est une belle femme, pas très grande, dotée d’une belle poitrine,
un visage ouvert et sympathique éclairé par de beaux yeux bleus coquins.
– » Compte tenu de la température qui règne dans mon bureau et du boulot
qu’il me reste, je pense que je ne vais pas tarder à faire riper les
galoches (c’est une expression que j’aime bien, qui veut dire, pour ceux
qui par hasard n’auraient pas saisi, » je ne vais pas tarder à partir »)
«
– » Ça ne te dérange pas de la récupérer alors ? »
– » Bien sur que non, et en plus il faut que je prenne un rendez vous pour
moi. Il y a une longtemps que je ne suis pas allé voir cette chère Daisy »
» Cette chère Daisy » n’est pas une expression ironique. Il est loin le
temps où j’avais la terreur des dentistes. Avec l’age, (la cinquantaine bien
entamée, je ne suis donc pas un perdreau de l’année) cette peur panique
s’est quelque peu estompée. Je pense que c’est plus en raison de
l’amélioration des techniques qu’à une sagesse qui me serait tombée
soudainement dessus. Cependant, il me reste comme un certain respect
craintif vis-à-vis de cette corporation médicale qui passe sa vie au bord
des bouches grandes ouvertes. Il en faut du courage et de l’abnégation…
– » Très bien (c’est toujours ma femme qui parle). Je l’emmène vers
16h30, ce serait bien que tu passes vers 17h. »
– » Pas de problème, j’y serais »
– » Merci, cela m’arrange bien car j’ai encore un tas de choses à faire, à
tout à l’heure, bisous »
Clic
J’adore ma femme. Elle ne travaille pas officiellement mais en fait elle
est encore plus occupée que moi. Entre les associations et ses diverses
activités, je peux dire, sans mentir, qu’elle travaille plus que moi.
Pendant que je vous explique tout ça, le temps passe…
My god ! (Souvenir de mes études d’anglais) Il est déjà 16h50. Il ne
faut pas que je traîne. On est à la campagne mais il arrive parfois que cela
bouchonne un peu à l’entrée du village (un bouchon à faire éclater de
rire les parisiens)
De plus, en cette saison, les tracteurs chargés de foin qui roulent à 20
km/h sont fréquents.
Mes appréhensions n’étaient pas fondées et me voilà, presque à l’heure,
devant le cabinet dentaire.
Elodie m’attend sagement dans la salle d’attente :
– » Bonjour Papa, je suis prête, on peu y aller… »
– » Attends une minute, il faut que je prenne un rendez-vous pour moi, je
n’en ai pas pour longtemps »
– » OK, donne moi tes clés, je t’attends dans la voiture »
Au moment où j’allais m’adresser à la secrétaire, la porte du cabinet
s’ouvre et Daisy apparaît pour faire entrer le patient, plus exactement la
patiente suivante. Elle me voit et sourit.
– » Tiens… Jean Marc, il y a une éternité que je ne t’ai pas vu, étais-tu
fâché ? »
– » Pas du tout, d’ailleurs je profitais de la consultation d’Elodie pour
prendre un rendez vous pour moi »
– » Très bien, dans ce cas, à bientôt… »
Et elle disparaît, non sans avoir au préalable, fait entrer dans son
repaire, une grosse dame qui visiblement souffrait autant de la chaleur que
de ses dents !
J’obtiens un rendez vous pour le surlendemain à 18h.
En reprenant ma voiture, dans laquelle Elodie patiente en écoutant Fun Radio
plein pot, je pense à Daisy. Mais qu’a-t-elle donc de changé ? Je la trouve
différente. Peut être est-ce dû au fait que je ne l’ai pas vu depuis…depuis
combien de temps, je ne sais plus ! …
…
-« … Depuis deux ans ! (C’est Daisy qui parle). Tu n’es pas très
fidèle. Ce n’est pas raisonnable ! Il va peut être falloir venir me voir à
plusieurs reprises dans les jours qui viennent »
Je suis effectivement un mauvais exemple. Moi qui pousse mes enfants à
consulter au moins deux fois par an, je ne suis pas pardonnable.
– » Deux ans ! Tu es sûre ? »
– » Absolument. Je ne suis pas douée en informatique mais mes archives sont
formelles, ta dernière visite remonte à octobre 2001. Il faisait moins chaud
qu’aujourd’hui !
– » C’est vrai, je m’en souviens c’était pour un détartrage et un bilan »
– » Eh bien nous allons recommencer, en espérant que ce ne sera pas plus
important, installe toi »
Pendant que je prends place sur son fauteuil horizontal, je la regarde à la
dérobée, et je repense à la réflexion que je me suis faite deux jours plus
tôt, en me demandant ce qui avait bien pût changer en elle. Peut être la
coiffure ? Non, elle a toujours les cheveux courts, châtains, avec quelques
mèches plus claires.
Il émane de sa personne une fraîcheur, une sensualité qui m’a toujours plu.
Ses yeux sont brillants et le sourire enjôleur comme d’habitude. Peut être
est-elle amoureuse et y a-t-il du nouveau dans sa vie affective ?
J’ai toujours entretenu avec elle des rapports distants, sans toutefois
m’interdire à l’occasion une petite plaisanterie, tout en restant, bien sûr,
très correct.
Le fait de la voir ainsi, souriante, m’incite à lui faire un petit
compliment.
– » En tout cas, tu es toujours aussi attirante ! »
– » Tu es gentil ! »
Elle rosit un peu, ajuste son masque et se concentre sur son travail…
– » Ouvre la bouche… »
Le masque blanc souligne son regard et met en valeur ses beaux yeux bleus
Je ne sais pas si c’est l’intensité de mon regard mais le sien quitte un
instant ma bouche pour me fixer l’espace de quelques secondes.
Son regard est interrogateur. Je sent comme une complicité, mais je me
trompe peut être…
Ma bouche grande ouverte ne me facilite pas la tâche pour ajouter quoi que
ce soit. Je me décontracte un peu, elle le sent et je vois ses yeux
esquisser un beau sourire qui n’a rien de professionnel.
Comme souvent la conversation s’oriente vers le temps qu’il fait.
– » Toi qui est bien renseigné, est ce que cela va durer longtemps cette
chaleur ? »
– » Ontontpon…. »
C’est dur de parler avec les doigts de quelqu’un d’autre dans la bouche.
Elle suspend son travail le temps de la réponse :
– » J’en ai peur ! Pourquoi tu ne supportes pas ? »
– » Difficilement, mon climatiseur commence à se faire vieux et je suis tout
de même bien obligée de rester correctement habillée pour recevoir mes
patients. »
– » Dommage…ce serait pour moi une bonne raison pour venir te voir plus
souvent ! »
Celle-là est sortie sans réfléchir et soudain j’ai un peu peur de sa
réaction. Elle sourit.
– » Cela ne te plairait peut-être pas… »
– » C’est à moi de juger… »
– » Bon, hum, restons sérieux, je voudrais commencer. Ouvre la bouche ! »
J’aime bien la façon qu’elle a de dire » Ouvre la bouche ! » comme elle
dirait » Déshabille toi ! »
– » Tu as besoin d’un petit détartrage, mais à part cela tout va bien, je
vois que tu suis mes conseils de brossage »
Tout à ma réflexion je lâche :
– » Daisy, tes conseils sont pour moi des ordres »
Elle ne relève pas cette nouvelle tirade si ce n’est par un demi-sourire que
je devine sous le masque.
– » Nous allons donc commencer ce petit détartrage… »
Pour se saisir d’un instrument, elle se penche vers moi et l’espace d’un
instant, trop court à mon goût, je sent contre mon bras le poids de son
volumineux sein gauche qui malgré tout, s’attarde un peu plus qu’il n’est
nécessaire. Serait-ce volontaire ?
Ce contact est on ne peut plus ferme !
Elle commence l’opération et je ne peux plus rien dire pendant plusieurs
minutes.
Elle est très habile et je ne sens rien malgré la petite appréhension qui me
revient. Elle se rend compte de ma crispation et fait une petite pose que je
mets à profit pour me rincer la bouche.
– » Il faut te détendre Jean-Marc, je ne vais pas te faire de mal »
– » Je le sais bien mais je suis un peu stressé. »
– » Comment ça, c’est moi qui te stresse ? Depuis le temps que l’on se
connaît … »
– » Justement, c’est ce que je suis en train de découvrir, je pensais te
connaître mais en fait je ne t’avais jamais très bien regardée ! »
– » Ah bon, cela n’est pas vraiment un compliment ! »
– » En réalité, c’est ta tenue de travail qui m’intimide et cache l’essentiel
! »
– » Tu exagères, il n’y a dessous qu’une femme comme les autres… »
– » Que tu dis… Moi je te trouve bien différente et ne demande qu’à partir à
la découverte… »
– » On recommence à s’égarer…! Moi aussi je pensais te connaître et je te
découvre sous un jour que j’ignorais. Tu me sembles être un petit coquin… »
– » Je t’ai choquée ? »
– » Pas le moins du monde, étonnée, pas plus »
Elle termine cette première séance et nous prenons rendez-vous pour le
vendredi suivant.
Ce jour là, je suis le dernier patient et la secrétaire a terminé son
service, c’est donc Daisy elle-même, qui m’accueille.
– » Bonjour, Jean-Marc, comment vas-tu depuis notre dernière rencontre ? »
– » Très bien malgré la canicule, et toi ? »
– » Cela ne s’arrange pas. Le climatiseur a rendu l’âme et le réparateur ne
peut pas venir avant la semaine prochaine. »
Effectivement, il fait une douce chaleur dans son cabinet et je constate
qu’elle a le visage constellé de très fines gouttes de sueur, ce qui n’ôte
rien à son charme qui m’apparaît de plus en plus évident.
Je constate également que son chemisier blanc,
d’ordinaire
boutonné très haut, ne l’est plus sur les trois derniers, au niveau de sa
plantureuse poitrine.
Comme elle suit mon regard elle ajoute :
– » Excuse-moi, j’ai été obligée de me mettre à l’aise. Mais comme tu me l’as
avoué la dernière fois, il semble que cela ne te gêne pas… »
– » Non, au contraire ! »
Le petit jeu des sous-entendus et regards semble lui convenir mais je décide
de ne pas trop en rajouter et me contente de cette seule remarque.
– » Installe-toi, nous allons reprendre là où nous en étions la dernière
fois. Cette fois je voudrais que tu sois complètement détendu. »
Je ne peux pas résister à ce genre d’allusion aussi, dis-je sans trop y
réfléchir :
– » Je connais une bonne méthode pour détendre un homme… »
– » Moi aussi, mais ce n’est pas remboursé par la Sécurité Sociale ! »
Elle vient de marquer un point et semble satisfaite de sa répartie.
Pendant que je m’allonge elle cherche quelque chose dans le tiroir d’un
meuble bas.
Ce qui fait bailler largement le chemisier qui n’en demandait pas tant.
Pour le coup, c’est moi qui suit bouche bée !
Effectivement, Daisy s’est mise à l’aise ! Elle ne porte strictement rien
sous son chemisier immaculé.
Du coup j’adore la canicule.
La recherche dure un peu et, pétrifié, je ne peux détacher mon regard de
deux seins magnifiques qui sont lourds et de bonne tenue. Mes pensées
partent à l’aventure et je sens une partie de moi-même devenir un peu à
l’étroit dans son emballage.
Tout en restant penchée, Daisy me demande :
– » Est-ce que cela te détend ? »
– » Pardon ? »
Perdu dans mes pensées et tout à mon observation j’ai cru avoir mal compris.
– » Est-ce que cela te détend ? Je parle de ce que tu es en train de regarder
avec insistance »
Surpris comme un petit garçon fautif je ne réussis qu’à bredouiller :
– » Euh…je ne sais pas, enfin…pas vraiment »
– » Moi j’ai l’impression que cela te fait l’effet inverse »
Placé comme je le suis, je ne peux effectivement pas cacher que ce spectacle
a beaucoup d’effet sur moi.
Après avoir trouvé ce qu’elle cherchait, elle se redresse, me regarde en
souriant et dit :
– » Allons-y, ouvre la bouche. »
Elle y colle l’aspirateur à salive qui empêche dorénavant toute
conversation.
J’ai l’impression que c’est elle, désormais, qui mène les opérations et
après tout ce n’est pas pour me déplaire.
Pendant qu’elle s’active dans ma cavité buccale son regard fait
l’aller-retour entre mes dents et mes yeux et je sens bien qu’elle jubile.
Elle repasse à l’offensive :
– » Je ne sais pas si je te détends mais ce qui est sûr, c’est que je te fais
saliver ! »
Nouveau point, d’autant plus que je ne peux pas répliquer. Elle enlève
l’aspirateur de mes lèvres et demande soudain :
– » Il fait de plus en plus chaud…Est-ce que je peux te demander une faveur ?
»
– » Euh…oui »
– » Compte tenu que je n’ai plus rien à cacher à ce niveau est ce que cela te
gêne si j’ôte mon chemisier ? »
– » Euh….euh…je ne…. »
– » Faut-il prendre cette réponse pour une approbation ? »
– » Euh… »
Je me filerais des claques si j’osais !
Avant d’obtenir une réponse claire, elle déboutonne son chemisier, l’enlève
et le pose délicatement sur le dossier de son siège.
– » Après tout, c’est bientôt les vacances, tu en verra tout autant sur les
plages. »
– » Je ne fais pas de naturisme, mais je suis très souvent seins nus sur la
plage. Je suis d’accord, nous ne sommes pas vraiment sur la plage, mais nous
sommes entre adultes raisonnables, et je sais que je peux avoir confiance en
toi et ta discrétion »
– » Tu as peut-être tort… »
– » A quelle niveau ? La confiance ou la discrétion ? »
– » La confiance. Peut-être vais-je te sauter dessus ! »
– » Je suis de taille à me défendre s’il le fallait ! Ouvre la bouche ! »
De nouveau l’aspirateur empêche tout échange.
– » Tourne la tête vers moi »
Là elle pousse le bouchon un peu loin ! J’ai sous les yeux, à quelques
centimètres, ses seins qui sont effectivement très beaux, avec de très
larges aréoles brunes qui contrastent avec leur blancheur laiteuse. Les
pointes de ses tétons sont dressées, longues, exactement comme je les aime.
A mon avis, c’est intentionnel, elle veut tester ma résistance.
Pour l’instant je me gave de la vue de ces deux globes, mais mon dieu que
j’aimerai les toucher !
Je suis de plus en plus à l’étroit !
– » Comment les trouves tu ? »
– » Hein ? »
– » Je te demande ce que tu penses de mes seins ? »
– » Et bien je les trouve à mon goût »
– » Comment peux tu dire ça alors que tu n’y a pas encore pas goûté ? »
Très subtile, décidément, elle teste et provoque.
– » Je ne me permettrait pas de tels égarements… »
– » Tu as tort ! »
Dernière aspiration buccale, rinçage, crachage.
– » Voilà, j’en ai terminé pour aujourd’hui »
Avant que je n’ai pus dire un mot elle réajuste son chemisier et s’assoit à
son bureau pour chercher dans son agenda une date pour les prochains soins.
– » On se revoit jeudi soir en dernière heure ? »
Je bredouille un petit :
– » D’accord, même endroit, même heure… »
– » Sans oublier : même tenue » Elle a un large sourire et me serre la main.
Avant de me laisser franchir la porte, elle se penche à mon oreille et me
glisse :
– » Pas trop dur, tu vas pouvoir marcher jusqu’à ta voiture ? »
J’ai un sourire crispé.
Je me traite de tous les noms en regagnant ma voiture, j’ai été en dessous
de tout. Elle a mené le jeu, je n’ai pris aucune initiative et je l’ai sans
doute déçue. Elle va penser qu’elle ne me plait pas alors que je ne vais pas
arrêter de penser à elle et à sa magnifique poitrine jusqu’à notre prochaine
rencontre.
Les jours sont longs jusqu’au jeudi et ce jeudi encore plus !
– » Bonjour Jean-Marc. Entre. »
Elle est resplendissante et arbore un magnifique sourire carnassier, une
vraie publicité pour dentifrice.
Il fait presque aussi chaud que la dernière fois dans le cabinet, mais
est-ce pour me déplaire ?
– » Les réparateurs de la clime sont venus mais ce n’est encore pas
extraordinaire ! Il va falloir encore travailler en petite tenue »
– » Faites comme chez toi »
– » J’avais hâte que ce rendez vous arrive ! C’est la canicule, c’est
entendu, mais il est totalement hors de question que je me mette à l’aise
avec madame Michu ou monsieur Martin, que je voudrai bien garder comme
clients. En vérité il faut, que je te fasse une petite confidence, installe
toi. »
Je m’allonge sur le fauteuil et avant que j’ai pu placer un mot, elle
reprend :
– » J’avais depuis très longtemps une envie, en réalité c’est ce que l’on peu
appeler un fantasme. Je suis une exhibitionniste née. Tu connais notre
ville, il est hors de question que je me ballade en tenue légère dans les
rues, d’autant plus que tout le monde me connaît. Avec toi, j’ai senti comme
une ouverture.
Détend toi ! »
Sur ce en deux temps, trois mouvements, elle se débarrasse du chemisier, de
sa courte jupe et apparaît vêtue uniquement d’un tout mignon slip en
dentelle, genre string qui ne cache pas grand-chose ni devant ni derrière.
– » Alors, qu’en penses tu ? »
Un peu plus sur de moi que lors du dernier show, je lance :
– » Je te promet de venir te voir plus souvent pour les soins… »
Elle sourit et pour me remercier de cette promesse elle enlève ce petit bout
de tissu qui ne cache en vérité pas grand-chose.
Daisy ne succombe pas à cette mode idiote qui consiste à épiler et raser ce
que la nature nous donne. J’aime bien la pilosité et visiblement elle non
plus n’a rien contre.
– » Bien, reprenons, ouvre la bouche ! »
De sentir cette belle femme près de moi dans le plus simple appareil me fait
bander comme jamais et je suis en train de tremper copieusement mon slip !
Il va falloir remédier à cela !
Profitant d’une pose je lui avoue que je suis dans tous mes états et que
j’aimerai me mettre un peu à l’aise.
– » Je n’osais pas te le proposer »
Je me lève, enlève ma chemise, mon pantalon, mon slip et me rallonge sur le
fauteuil affublé de mes seules chaussettes blanches.
– » Effectivement tu devais être à l’étroit dit elle en jetant un œil vers
mon sexe tendu. Et en plus il pleure ! Je vais le consoler… »
Délaissant ses soins buccaux habituels, elle entreprend un nettoyage buccal
complet de mon petit service.
Daisy n’est pas plus débutante en fellation qu’en détartrage !
Le fauteuil de dentiste, c’est super à ce point de
vue. Il
permet de mettre le patient à la bonne hauteur et facilite le travail du
praticien.
Comme je ne suis pas égoïste, j’entreprends une aspiration systématique et
alternée des tétons turgescents de Daisy qui manifeste sa satisfaction par
de petits cris, en partie étouffés par mon sexe qu’elle tète à présent sans
aucune retenue.
La position allongée m’étant fort confortable et je me rend soudain compte
que ma main droite est disponible. La gauche s’occupant des mamelles de ma
belle soignante.
Aussi, glisse-je ma main droite, doucement derrière la jambe gauche de ma
belle suceuse et remonte lentement vers l’intérieur. Sentant cette
investigation, elle facilite ma tâche en écartant légèrement les cuisses.
Parvenu à destination, je constate qu’elle est trempée et bouillonnante à
souhait. Mes doigts investigateurs provoquent un clapotis obscène et
arrachent à ma tortionnaire un soupir à fendre l’âme.
Daisy est consentante !
Evidemment le traitement qu’elle me fait subir porte ses fruits et je me
surprends à expédier plusieurs violentes giclées dans sa bouche.
Voilà un dentifrice qui n’est pas prescrit par la Faculté !
– » Jean-Marc, tu es un petit égoïste ! »
Elle s’est redressé et me regarde amusée, tout en passant sa langue sur ses
lèvres.
– » Nous allons vérifier si le fauteuil qui m’a coûté si cher est réellement
solide ! »
Sur ce, elle met le système à l’horizontale et me voilà au premières loges
pour regarder ce qui tout à l’heure provoquais un tel clapotis !
J’ai sous les yeux le magnifique sexe touffu de Daisy que je n’aurai jamais
pu imaginer aussi beau, même dans mes rêves les plus débridés.
Ses petites lèvres sont d’un rouge vif, échauffées par l’excitation.
Sa vulve brûlante est une puissante invitation et je ne résiste pas
longtemps à y plonger la langue avec délice. C’est doux, chaud, humide,
odorant, dégoulinant et délicieux à souhait.
A ce moment là, la terre pourrait s’arrêter de tourner je ne m’en rendrait
pas compte tellement le plaisir est complet.
Comment décrire fidèlement ce qui m’est si généreusement offert ? Comme je
l’ai précisé plus haut, elle ne pratique pas l’épilation intime et c’est une
vraie brune ! Moi qui aime les chattes poilues je suis aux anges, c’est un
vrai bonheur. Sa toison recouvre largement son sexe, déborde sur le haut des
cuisses et donne à sa raie culière un aspect soyeux des plus craquants ! On
ne sait comment aborder ce paradis des cinq sens. Il y en a pour la vue, le
toucher, l’odeur bien évidemment, le goût, l’ouie (ah, le délicieux clapotis
lorsque mes doigts investissent son intimité !).
Son magnifique minou me fait penser à ce splendide tableau qui fit scandale
en son temps et qui s’appelle » L’origine du monde »
Pendant mon observation, mes mains ne restent pas inactives, mais devant
tant de trésors offerts, ne savent plus où donner de la phalange !
Je caresse, je palpe, je pince (avec différentes intensités), je soupèse,
j’introduis, je tâte.
En vérité, je teste ses réactions pour faire plus ample connaissance et voir
ce qui lui plait. Je suis aux aguets de la moindre contraction, le moindre
soupir, la plus petite crispation, le plus imperceptible relâchement ou
mouvement dans ma direction, destiné à me faire comprendre que ce que je
suis en train de faire, lui convient.
Un proverbe dit : » Méfie toi de l’eau qui dort, c’est la plus profonde ! »
Je ne suis plus à l’age des premières expériences et j’ai beaucoup donné et
reçu dans ce domaine et plus le temps passe, plus j’aime me consacrer
entièrement au plaisir de ma partenaire, encore plus que celui qu’elle me
procure.
Daisy, de son côté, n’est semble-t-il plus une novice !
Le traitement qu’elle est en train de faire subir à ma verge en est la
preuve. Quand je dis » verge « , le terme est quelque peu restrictif car pour
l’heure ma dentiste est affairée à gober mes testicules, l’un après l’autre
en les faisant rouler délicieusement de sa langue, à un point tel que je me
demande par instant si elle n’a pas deux langues !
Je ne vais pas pouvoir tenir la distance si elle persiste !
Pour ne pas prendre trop d’avance sur elle, je délaisse le spectacle de son
cul pour prendre d’assaut son petit clitoris. Que dis-je ? En réalité le »
petit clitoris » ressemble plus à un petit gland masculin. Pour l’heure le
magnifique bouton de Daisy est cramoisi, gorgé de sang à l’instar de ses
petites lèvres rouge foncé qui disent bien l’état d’excitation de leur
propriétaire, c’est superbe !
Je pose donc le bout de ma langue à la commissure de ses petites lèvres et
se sens une onde de chaleur qui émane de ce bout de chair. Je le pince entre
mes lèvres et je constate qu’un grand frisson lui parcours l’échine, je ne
suis pas surpris mais elle a l’air d’aimer le traitement que je lui fais
subir. Encouragé par cette réaction je me mets à téter de plus belle,
j’aspire de mes lèvres et masse la petite excroissance qui roule
délicieusement sur ma langue affolée par le goût de son jus.
Daisy se liquéfie !
Devant cet assaut elle n’offre plus de résistance et cesse de son côté toute
activité pour se concentrer sur son propre plaisir qui se manifeste par une
abondante sécrétion de cyprine qui me dégouline sur le menton. Je perçois
ses gémissements étouffés, sa bouche est contre ma peau, entre scrotum et
anus.
Encouragé par ces manifestations, je redouble d’activité. Le tout va
crescendo, plus je me démène, plus elle dégouline, plus cela m’excite et
m’incite à me démener.
Daisy ne bouge plus, elle est tendue comme un arc, attentive à la vague de
plaisir qui grossit et grossit encore et qui ne va pas tarder à déferler. Je
pousse ma langue au plus loin à l’intérieur de son vagin et m’en sert comme
d’une petite verge. J’en ai mal aux mâchoires mais c’est trop délicieux,
c’est un peu salé mais c’est un divin nectar dont je prendrai volontiers,
une bonne rasade chaque matin en guise de petit déjeuner !
Pendant encore de longues minutes, je m’active encore à la source de ma
victime consentante. Elle ne se manifeste plus que par de longs soupirs et
de tous petits cris d’approbation. Soudain, tout son corps tout entier se
met à vibrer. Une longue giclée de jus me coule sur la langue, et soudain,
totalement détendue, Daisy, libère ses entrailles d’un long pet sonore,
suivi de quelques autres plus discrets qui se suivent en mitraille. Nous ne
bougeons plus et dans le silence du cabinet, j’entends un petit rire nerveux
et son corps, toujours au dessus de moi est secoué d’un petit accès de
gaîté.
Sa tête est toujours entre mes cuisses,
– » Excuses moi »
– » Je t’en prie, c’est tout naturel »
– » J’espère que je ne t’ai pas choqué ? »
– » Du tout, je prendrai même cela pour un compliment… »
– » Jamais je n’aurai imaginé un jour péter au nez d’un de mes patients ! »
– » Le contexte est particulier et pour l’heure, suis réellement dans la
position d’un patient classique ? »
– » Effectivement, en principe, les caries ne se situent pas à ce niveau ! »
et elle est reprise par son petit rire nerveux.
Elle descend du fauteuil et constatant une demi berne à mon entrejambe,
s’exclame :
– » Il va falloir que je m’en occupe car il a été abandonné en chemin »
Elle installe son siège à la bonne hauteur et avant que je ne réponde quoi
que ce soit, la voilà qui englouti mon sexe. Sous ce traitement, il reprend
une forme plus conquérante. La satisfaction se lit dans son regard et elle
me suce de plus belle.
Quel travail ! Elle pourra donner des cours le jour où son métier ne lui
conviendra plus ! Je veux bien être son assistant.
Je me laisse aller à son doux traitement qui arrive très rapidement à ses
fins.
Sentant venir les spasmes, elle creuse les joues de plus belle pour hâter
mon éjaculation. Mon sexe prisonnier de sa bouche gourmande se libère
violemment de son foutre en longues saccades. Je n’en verrai pas une seule
goutte ! Daisy a horreur du gâchis et ne veux pas que je souille sa belle
moquette.
– » Voilà qui est mieux ! Je vais pouvoir reprendre ton détartrage en toute
décontraction. »
Sur ces mots nous nous réinstallons pour terminer cette consultation mais
dans le plus simple appareil.
– » Au fait, quand m’emmènes tu faire un petit tour d’avion ? »
– » Ton jour sera le mien, mais en ce moment il fait très chaud, même en
altitude »
– » Si tu le permets, je me mettrai à l’aise ! D’autant plus que personne
d’autre que toi, ne pourra me voir ! »
– » Dans ce cas pourquoi pas samedi matin, ton cabinet est fermé ce jour là ?
»
– » D’accord »
Elle termine son travail, nous nous rhabillons et elle me raccompagne
jusqu’à la sortie, me serre fort civilement la main et me souhaite une bonne
soirée.
– » A samedi »
– » A samedi »
Le samedi matin, nous avons rendez-vous, Daisy et moi à l’aéro-club où j’ai
mes habitudes.
J’arrive un peu en avance pour préparer l’avion, effectuer la visite avant
vol et vérifier que tout va bien.
Malgré la matinée peu avancée il fait déjà très chaud et j’ai opté pour une
tenue on ne peut plus décontractée, short, tee-shirt et chaussures de sport.
Le short est loin d’être un bermuda et il me couvre juste les fesses, mais
je ne pense pas que Daisy soit choquée.
Elle n’est toujours pas arrivée et je commence à m’inquiéter lorsque je vois
arriver une Twingo bleue qui se gare devant le parking de l’aéro-club. C’est
bien elle.
J’avais tort de m’inquiéter sur ma tenue car de son côté elle s’est
également mise en tenue légère et c’est un euphémisme !
Elle a passé une jolie jupette qui ne couvre pas grand-chose de ses jambes
qui sont fort agréables à regarder.
Pour couvrir son abondante poitrine, elle a choisi un léger boléro assorti
qui à beaucoup de mal à cacher qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.
Est-ce la perspective de s’envoyer en l’air, euh, je veux dire, faire une
promenade en avion, toujours est il que ses tétons sont bien visibles sous
le tissu très fin.
Elle descend de voiture et l’espace d’un instant il me semble entrevoir un
slip noir mais ai-je bien vu ? Je ne pourrais l’affirmer.
– » Bonjour Jean-Marc, j’espère que je ne suis pas trop en retard ! »
– » Pas du tout, j’ai eu le temps de tout préparer on va donc pouvoir y
aller, d’accord ? »
– » Maintenant que je suis au pied du mur, je dois avouer que j’ai un petit
peu peur en avion, j’espère que tu seras prudent… »
– » Ne t’inquiète pas, je prendrai soin de toi. Tout d’abord nous allons
jeter un œil sur la carte pour que je t’explique notre itinéraire et
ensuite, je t’aiderai à t’installer à bord, car comme tu peux le constater,
mon avion n’est pas un Airbus ! »
– » Oh effectivement il est tout petit ! On va bien se tenir chaud là dedans,
heureusement que je me suis mise à l’aise… »
Je lui explique les détails de notre promenade et lui montre comment monter
sur l’aile de l’avion pour pouvoir s’installer sur le siège avant.
Elle s’exécute, alors que je reste derrière elle au pied de l’avion pour
parer à toute éventualité.
Pour faciliter l’opération, elle remonte un peu sa jupe, si bien que je
constate, à mon grand émoi, que ce que tout à l’heure j’avais cru prendre
pour un slip noir n’est en fait que son abondante toison.
Fort heureusement, compte tenu de l’heure il n’y a pas un chat (si chose
dire) aux alentours.
L’installation à bord est à l’avenant.
Ce petit avion possède pour le piloter, ce que l’on appelle communément un »
manche à balai « , que ce soit côté pilote ou côté passager, précisément là
où elle tente de s’installer avec force contorsions. Elle fait si bien
qu’elle se retrouve les fesses sur le siège, la jambe gauche à sa place de
l’autre coté du » manche » mais la jambe droite elle, n’est pas encore à
bord !
Comme entre temps je suis monté sur l’aile pour l’aider, je saisis sa
cheville et lui facilite le mouvement.
Inutile de dire qu’à ce moment là je suis aux premières loges pour lorgner
l’intimité de ma dentiste préférée.
Celle-ci, un peu amusée, les joues rosies par l’effort me regarde et dit, en
toute innocence :
– » J’aurai peut-être du mettre une petite culotte, mais il fait si chaud ! »
– » Ne t’inquiète pas, nous allons prendre un peu d’altitude à la recherche
d’un peu de fraîcheur »
En réalité, au fil des minutes la température à l’intérieur du petit avion
allait rapidement atteindre des valeurs record !
Daisy à bord, je m’installe à mon tour. Comme il fait de plus en plus chaud
une fois la verrière fermée, je me dépêche à faire les actions avant la mise
en route et nous commençons à rouler vers la piste.
Elle est ravie et pause tout un tas de questions. Je m’efforce de répondre à
son attente et petit à petit, ma » tension » retombe un peu. Pour une courte
durée.
Parmi les vérifications obligatoires avant le décollage figure les essais de
débattement du fameux » manche à balai « . Il faut vérifier que l’on peut
utiliser cette commande dans son plein débattement, de gauche à droite et de
l’avant vers l’arrière. La sécurité du vol en dépend. Comme nous avons tous
les deux les jambes de part et d’autre de ce manche, je demande à ma
passagère d’écarter les cuisses. Elle ne se fait pas prier et les écarte,
largement plus que nécessaire, ce qui a pour effet de dévoiler une fois de
plus son entrecuisse pileux. Elle me regarde en coin et dit :
– » Avoues que cela aurait été dommage pour notre sécurité que je mette une
jupe longue, qui n’aurait fait que m’entraver dans mes mouvements ! »
Je lui souris pour toute réponse.
Je termine mes vérifications et nous sommes rapidement autorisés à décoller
par la tour de contrôle.
En quelques centaines de mètres notre petit coucou est en l’air et
subitement Daisy ne dit plus rien, je la sens quelque peu tendue.
Je lui montre que tout va bien et que notre vol, compte tenu des conditions
météorologiques idéales a de fortes chances de se dérouler au mieux.
Elle finit par se décontracter et admire enfin le paysage qui défile sous
les ailes.
– » Tu m’avais dis qu’il ferait moins chaud en altitude, ce n’est pas tout à
fait vrai »
– » Tu sais, il faudrait monter très haut pour trouver des températures plus
fraîches ! Mais comme personne ne vous vois, met toi à l’aise… »
Elle ne me fait pas répéter ma proposition et se retrouve torse nu. Ses deux
gros seins sont vraiment magnifiques et j’en suis à me demander s’ils sont
naturels.
Je n’ose pas poser la question et tente de me concentrer sur mon pilotage.
– » Est-ce que cela te tenterai de piloter ? »
– » Ici, maintenant ? J’ai un peu peur… »
– » Je te montre, c’est très simple »
Après deux ou trois explications techniques elle se saisit délicatement du
manche et, très concentrée essaie, de maintenir une ligne droite et de
conserver l’altitude.
La vue de sa jolie main, aux beaux ongles rouges vifs, entourant
délicatement le manche de l’avion provoque chez moi une petite bouffée
chaleur et un peu de jalousie. Pourquoi l’avion et pas moi ?
Mais je suis un petit coquin car me voilà les mains libres.
Tout en surveillant la trajectoire de l’avion je porte ma main gauche vers
sa poitrine nue. Elle sursaute sous cet assaut.
– » Ce n’est pas bien, tu vas me faire faire une bêtise et je ne peux pas me
défendre ! »
– » Tu as envie de te défendre ? »
– » Euh…pas vraiment, mais n’en profites pas ou je lâche tout ! »
– » J’ai bien l’intention de profiter de cette situation »
Lâchant le téton que je faisais depuis peu rouler entre mes doigts, je porte
ma main vers son sexe. Je constate que le tissu du siège est un peu humide,
pour tout dire, franchement poisseux. Il faut dire que la petite jupe, lors
de l’installation à bord, a franchement reculé vers l’arrière.
Daisy est loin de souffrir de sécheresse vaginale.
– » Je suis confuse, je vais tacher tes jolis sièges »
Je ne relève pas, concentré sur ma caresse. La position assise ne facilite
pas l’opération mais ma passagère-pilote fait le maximum pour me faciliter
le travail. Je sens son corps se détendre et se crisper alternativement. Mon
traitement a l’air de lui convenir.
La trajectoire de l’avion elle, en souffre beaucoup ! Mon pilote occasionnel
ne se concentre plus que sur son plaisir, qui monte lentement mais sûrement
! Il va falloir que je l’abandonne à contre-cœur mais notre survie en
dépend.
– » Si tu veux, je vais reprendre les commandes et nous reprendrons cette
petite leçon un peu plus tard »
– » Je veux bien car j’ai un petit peu peur de faire une bêtise »
– » Tu t’en tires très bien mais je n’aurais pas du te caresser ainsi »
– » J’ai bien aimé mais effectivement cela n’est pas compatible avec une
première leçon de pilotage. Moi-même, dans ma partie, j’aurai beaucoup de
mal à soigner une carie et me faire sodomiser en même temps ! »
Nous poursuivons notre ballade et ma passagère admire le paysage pendant que
de mon côté je regarde ses seins. Elle remarque mon œil en coin et avec un
large sourire :
– » Tu devrais regarder devant toi, tu vas attraper un torticolis. »
– » Depuis que je les regarde je me pose une question… »
– » Tu veux savoir si j’ai été opérée ? Eh bien non, ils sont naturels. Par
contre, j’ai bien failli faire l’opération inverse. Les hommes aiment bien
les gros seins, mais ils ne se rendent pas compte le handicap que cela
représente »
– » Cela aurait été dommage »
Elle ne poursuit pas dans ce sens et admire de nouveau le paysage sous
l’avion. Je n’ose plus en rajouter et le vol se poursuit en silence quelques
minutes, puis :
Je mets l’avion en virage. Daisy, qui ne s’attendait pas à une manœuvre
aussi soudaine se penche à l’opposé du virage, en l’occurrence vers moi et
se cramponne à ma cuisse.
– » Jean-Marc, j’ai peur ! »
– » Excuses moi, j’aurais du t’avertir avant la mise en virage »
Je remets les ailes à l’horizontale, mais elle est toujours penchée vers moi
et ne semble pas rassurée. Au bout d’un moment, elle se détend mais garde sa
main posée sur le haut de ma cuisse. Est-ce volontaire, je ne peux le dire.
– » Tu m’as fait une de ces peurs ! »
– » Tout va bien »
Je sens la main de la coquine Daisy remonter doucement et se poser sur la
bosse qui tend mon short.
– » Il n’y a pas que moi qui suis tendue ! »
– » Tu fais tout pour me mettre dans cet état et tu es étonnée ? »
– » Effectivement ce n’est pas bien de ma part. Et si je te détendais ? »
– » Nous allons prendre des risques ! »
– » Je pense que tu as suffisamment de self-control ! »
Joignant le geste à la parole, elle glisse la main dans mon short et sort
mon membre qui n’est plus tout à fait flasque.
– » Tu mouilles beaucoup, une vraie petite fontaine. Cela tombe bien, j’ai un
peu soif »
Elle se penche vers mon entrejambe et je sens sa bouche prendre possession
de mon gland qu’elle tête comme si sa survie en dépendait. Je vais avoir
beaucoup de mal à garder une trajectoire rectiligne et encore plus à me
retenir.
Manifestement elle aime bien cette pratique et l’on sent bien que sa
maîtrise de l’opération est totale.
Pendant quelques instants, le ronron du moteur est souligné de façon
discrète par des petits bruits de succion.
C’est extraordinairement bon, d’autant plus que sa main droite est partie à
l’intérieur de mon short pour sortir mes testicules et tenter de leur faire
subir le même sort !
Elle est aussi adroite des mains que de sa roulette.
Elle me masse les bourses quelques instants et soudain, sa bouche les gobe
entièrement. La surprise me fait faire un écart de trajectoire et elle se
cramponne à ma verge sans pour autant recracher ce qui pour l’heure est
l’objet de toute son attention.
D’une langue ferme mais douce elle me masse consciencieusement chaque
testicule, tout en me masturbant avec application.
Je sens son sein gauche reposer sur ma cuisse et c’est très agréable. Je me
laisse aller au bien être.
Quelques spasmes indiquent à ma tourmenteuse que son traitement est efficace
; je pense qu’elle va stopper sa fellation mais il n’en est rien, elle
embouche cette fois la totalité de ma pine, avec la ferme intention de ne
plus la lâcher avant le terme.
Ce terme ne tarde plus, soudain, je lui sers plusieurs giclées de sperme
qu’elle avale avec bonheur. Elle se redresse, le visage un peu rosi par
l’effort mais heureuse de sa prestation.
– » C’était bon ? »
– » J’aurai du mal à nier l’évidence, tu es très douée … »
– » J’aime tellement ça, que si j’osais, j’aimerai pouvoir le proposer à
chaque consultation à mes clients ou à des inconnus dans la rue, mais je
n’ose pas, c’est dommage. »
– » Ceci dit le secret aurait du mal à être préservé et il est fort possible
que les épouses de tes clients en prenne ombrage ! »
– » Tu sais, elle ne sont pas toutes coincées, j’ai dans ma clientèle des
femmes très » comme il faut » qui me font des propositions à peine voilées.
Il faut voir aussi comme certaines s’habillent, c’est parfois un appel très
clair ! »
– » Tu ne t’es jamais laissée aller avec une de ces patientes ? »
– » Une seule fois, mais je te raconterai plus tard car cela risque d’être un
peu long.
Soudain :
– » J’ai envie de faire pipi, très envie ! »
Eternel problème féminin… Elles ne boivent pas mais on toujours une envie
pressante !
– » Nous ne sommes pas très loin d’un aérodrome, nous allons faire une petite
pose soulagement. »
– » Ce n’est pas de refus, sinon je vais tremper tes beaux sièges… »
En quelques minutes nous sommes à proximité du petit terrain, très calme à
cette heure là, ce qui me permet de raccourcir un peu notre trajectoire pour
gagner encore un peu de temps.
A peine arrivés au parking, Daisy jaillit de l’avion et sans s’éloigner,
s’accroupi sous l’aile, après avoir relevée sa jupe.
Je sors à mon tour et m’approche de ma passagère.
– » Ce n’est pas très correct, ce que tu fais là, me dit-elle avec un demi
sourire »
Elle continue d’uriner pendant que je m’approche
doucement par
derrière. J’ai une vue magnifique sur ses fesses, son petit trou et sur ce
jet jaune clair et fumant qui n’en finit pas de couler.
Je n’ai jamais été très attiré par ces pratiques, mais cette fois c’est plus
fort que moi et je pose ma main sur la sa raie, elle frissonne légèrement.
Elle continue cependant sa mixion, imperturbable…
Je descends doucement, franchi son anus et dirige doucement ma main vers ce
liquide chaud qui me tente.
Je suis soudain éclaboussé par son urine qui fini de s’écouler en petits
jets désordonnés. Je mets ma main en coupe et récolte les dernières gouttes.
Je la porte à mes narines, ç’est fort mais pas désagréable, poursuivant le
geste, et avant d’avoir tout perdu, je bois la pisse de cette chère Daisy
avec délectation.
A suivre
et voici le mail de Daisy : daisyfreebe@yahoo.fr
Ce texte a eu l’honneur d’être désigné comme premier prix du meilleur
récit uro pour l’année 2004