Le blog de vassilia-x-stories
Vendredi 23 avril
Je n’en reviens pas que les choses soient allées aussi vite.
A 19 heures regardant les informations sur mon téléphone je tombe là-dessus.
« Remy Chauvière appréhendé par la police pour attaque de fourgon blindé et falsification de documents comptables. Son avocat parle de machination dérisoire… »
En fait Chauvière était depuis longtemps dans le collimateur de la police, mais jusqu’ici, les alibis en béton et, les faux témoignages l’avaient protégé… il suffisait d’un simple grain de sable pour le faire tomber. Je fus donc ce grain de sable, non ce n’est pas tout à fait juste, sans la documentation qu’avait rassemblé Grace Hernandez, je n’aurais pu rien faire, il faudra que j’aille la remercier, celle-ci !
Reste Patrick Shultz, sans son patron, je ne le crois plus dangereux, n’empêche qu’il ne me déplairait pas de l’humilier de belle façon pour sa conduite inadmissible…
Et mon téléphone sonna, c’était Max
Pour mémoire Max, dit Max le dur, est l’homme de mains de Jean-Luc Gauthier-Normand, un brasseur d’affaires pas trop clair mais néanmoins correct et sympathique. Max m’a aidé plusieurs fois à me dépatouiller dans de sombres histoires (voir les chapitres 7 16, 22, 26)
– Ah Chanette, je passe à Paris demain, je suis invité par Carole et Valentin…
Depuis que Max a découvert sa bisexualité il est amoureux de Valentin, ce sont des choses qui ne se commandent pas.
– Et je suis persuadée que vous avez envie de venir me faire un petit coucou ! Le taquinais-je
– C’est la moindre des choses !
– Vous resterez longtemps à Paris ?
– Mon patron est en déplacement, alors j’ai une dizaine de jours, si vous avez besoin de mes services, c’est toujours avec plaisir…
– Justement, j’aimerais que vous flanquiez la frousse de sa vie à un connard… mais c’est très long à raconter… on peut se voir chez moi lundi soir ! ?
– Avec plaisir !
Lundi 26 avril
– Eh bien quelle histoire ! Vous ne faites pas dans la dentelle, vous ?
– Je n’ai pas fait grand-chose, j’ai surtout subi !
– J’entends bien !
– Bon, demain je récupère l’adresse du bonhomme, et je fonce, ça m’embête de faire ça tout seul je vais demander à Valentin de jouer l’adjoint ! Tu pourrais m’obtenir l’identité de cette escort
russe ?.
– Oui !
Mardi 27 avril
Il est 19 h 30. Max et Valentin monte au troisième étage de ce bel immeuble de la rue Daumesnil, près de la Gare de Lyon.
Patrick Shultz regarde par l’œilleton, se demande qui sont ces inconnus qui ne connait pas.
– C’est pourquoi ?
– L’assurance, pour le dégât des eaux au-dessus.
– Je n’ai pas eu de dégât…
– On prend juste une photo pour le dossier…
– A cette heure-ci ?
– On a été retardé à cause de la manif, si vous voulez on repasse demain, mais enfin puisque nous sommes là…
Patrick ouvre, il n’aurait pas dû…
– Ah ! Toute la famille est là, vous êtes à table ?
– Ben oui !
– Donc la voisine du dessus, attendez je sors mon papier… Svetlana Bourova, c’est bien ça ?
– Je ne crois pas, non ?
Mais à l’évocation de ce nom Patrick devient rouge comme une tomate, sa femme ne comprend pas pourquoi.
– Ah oui, vous avez raison, mademoiselle Bourova a été mutée à Tanger…
– Bon je ne sais pas ce que vous cherchez, mais je vais vous demander de sortir ! Réplique crânement Patrick qui ne veut pas perdre la face devant sa petite famille.
– Ta gueule, connard ! Répond Max en sortant son révolver. Je vous préviens au moindre cri je vais faire un massacre. Silence ! Et maintenant vous sortez vos téléphones portables et vous les
donnez à mon collègue, Ah je ne vous l’ai pas présenté mon collègue, Boris Valentinov des services secrets russes.
– Dépêchez-vous de faire ce qu’il demande ! Renchérit Valentin en prenant un impossible accent russe.
– Et le téléphone fixe, il est où ?
Madame Shultz lui indique en tremblant.
– Bon écoutez, restons calme ! Vous êtes en train de vous tromper de personne… Tente Patrick.
– On fait comment pour récupérer Svetlana Bourova ?
– Je ne connais pas cette personne !
– Cette personne a pris place comme hôtesse à bord de l’Espadon d’or, en octobre dernier. Vous étiez directeur de croisière sur ce bateau. Après la courte escale de Tanger, elle n’est pas
remontée à bord. Explications ?
– Elle ne souhaitait pas continuer ce voyage, c’est aussi simple que ça !
– Elle n’en a averti personne et elle a laissé des objets personnels dans sa cabine, nous avons des témoignages. ! Bluffe Max.
– Bon, voulez quoi ?
– Que vous alliez la rechercher.
– Mais c’est quoi cette histoire ? Intervient Madame Shultz.
– Vous, on ne vous a pas sonné
– Les enfants peuvent quitter la table ?
– Non !
– Alors Monsieur Shultz, on vous a posé une question !
– Mais c’est impossible, voyons !
– Nous allons donc être obligé de supprimer monsieur ! Indique Max à l’attention de Valentin et le plus sérieusement du monde..
– Mais ça ne va pas, non ?
– Mais rassurez-vous, on ne va pas faire ici, ça va faire des saletés. Ah, déshabillez-vous Monsieur Shultz on va vérifier quelque chose.
– Me déshabiller ?
– Oui et magne toi on n’a pas que ça à faire.
– Mais vous n’avez pas le droit…
– Valentinov, fous lui une baffe !
– Bon ça va !
Shultz se déshabille mais garde son caleçon et ses chaussettes.
– Le caleçon aussi !
– Mais les gosses ?,
– Ils n’en perdront pas la vue, du moins j’espère !
Shultz tente de cacher sa nudité.
– C’est bien ce que je craignais, on va être obligé de te tuer, on va t’emmener dans la forêt, on fera ça en douceur, tu ne souffriras pas.
– Je ne pourrais pas m’amuser un peu ? Suggère Valentin.
– Juste un peu alors ! Tu vois Shultz, on a un dossier en béton, il n’y a pas que la russe, il y en a d’autres…
– Non ! C’est faux…
– Donc pour la russe, c’est vrai ?
– Je n’ai pas dit ça.
– Si tu viens de le dire. Donc on avait une alternative, celle de nous signer un papier que nous avions préparé et par lequel tu reconnais avoir participé à des trafics d’êtres humains notamment
celui de Svetlana Bourova. C’est très puni en France ces trucs là, ce sera des années de prison, et tu ne tiendras pas le coup, je voulais voir comment tu étais bâti, tu ne feras jamais le poids,
Alors à force de te faire enculer à la chaine tu auras vite le trou du cul comme le gouffre de Padirac. Donc autant qu’on te supprime, ce sera plus simple.
– C’est pas possible, c’est un cauchemar ! Bougonne Schultz
Les gosses pleurnichent, la femme retient ses larmes. Ambiance !
– Bon alors tu choisis ?
– Je vais signer leur papelard, c’est n’importe quoi, mais il faut bien qu’on s’en sorte ! Se justifie Schultz envers sa femme.
La rage au cœur Shultz signe le papier en double exemplaire.
– Eh bien voilà, vous allez pouvoir finir votre cassoulet, il risque d’être froid.
Valentin et Max quittent les lieux et s’installent dans la voiture de ce dernier mais sans démarrer.
– C’est moche pour la femme et les gosses… Commente Valentin
– Oui c’est pas terrible, mais je ne sais pas si on pouvait faire autrement.
– Qu’est-ce qu’il va faire ?
– Prendre le maquis, qu’est-ce que tu veux qu’il fasse d’autre ? Et il va faire ça rapidement, sinon comment il peut prétendre s’expliquer avec sa famille. Tiens, regarde, le voilà qui sort !
– Déjà ? Il est à pied .il va où ?
– Vers la gare de Lyon, on dirait !
– Il va faire quoi ?
– Pour le moment il ne doit avoir aucun plan, sa priorité c’est de disparaitre, après il a du fric, il pourra essayer de se démerder
– Et la plainte, on la dépose ou pas ?
– C’est Chanette qui décidera !
Vendredi 30 avril
J’ai souhaité prévenir Gollier par politesse, ces derniers événements l’on fait rire. Il m’a informé que Madame Schulz avait attendu 48 heures (c’est le délai légal) pour signaler la disparition de son mari et que grâce aux téléphones et à ses cartes bancaires il avait été repéré à Nice.
Lundi 3 mai
Je n’arrivais pas à me décider si je devais donner suite aux aveux écrits de Patrick Shultz, Amandine, elle me conseillait de le faire. Mais dans la matinée je recevais un message sibyllin de Gollier m’indiquant que Shultz s’était constitué prisonnier.
A midi : coup de fil :
– Je repars demain matin, qu’est-ce que tu dirais d’une petite boum ce soir ? Me propose Max par téléphone.
Nul besoin d’être sortie de polytechnique pour comprendre ce que Max entendait pas « petite boum ». Je ne pouvais lui refuser ça après le service qu’il m’avait rendu… et puis c’est un homme charmant.
– Avec plaisir, tu verrais ça comment ? Tu veux que je fasse livrer des pizzas…
– O.K pour les pizzas, je pensais venir avec Valentin. Si tu pouvais inviter la copine dont tu m’as parlé ?
– Amandine ?
– C’est ça !
– D’accord.
– On passera vers 19 h 30.
Allons-y pour la boum ! Max, Valentin, Amandine et moi, ça sera une petite boum.
Amandine ne répond pas au téléphone, je lui envoie un message, et elle accepte l’invitation, mais je me suis gardé de lui confier que cette petite sauterie se terminerait très probablement en partouze.
C’est ce qui s’appelle faire une connerie, Amandine m’a confié aller rarement avec les hommes (la petite sauterie cher Maître Doubise n’était que du business) et je ne pense pas que ceux-là soient dans ses goûts Elle ne sera pas à l’aise ni avec Valentin et ses manies de playboy ambiguë, ni avec Max et son physique de déménageur.
Comment m’en sortir ? Inviter une autre nana ? Je ne me vois quand même pas faire venir Grace Hernandez, reste Estelle, allons-y pour Estelle. Elle est d’accord…
Il me faut décommander Amandine, pas moyen de la joindre au téléphone. Il y a des gens comme ça, on se demande pourquoi ils sont un téléphone portable. Après plusieurs essais je lui envoie un message sibyllin :
« Boum annulée, téléphone-moi, bisous ! »
Il est 19 heures, on sonne.
Déjà, je regarde par l’œilleton, c’est Amandine ! C’est quoi ce cirque, elle n’aurait pas reçu mon message ?
Je lui ouvre, elle a un petit paquet provenant de la pâtisserie du coin, il n’est pas bien grand son paquet, il ne doit y avoir que deux gâteaux, Je comprends de moins en moins.
– Bisous ma grande ! j’en ai profité pour faire un saut puisque ta boum est annulée…
– Attends…
– Non je ne voulais pas partir sans te dire au revoir. Figure-toi que je me suis fait draguer par un vieux chanteur. Il est plein de fric et il m’emmène quinze jours en Italie tous frais payés
!
– Super, je suis contente pour toi !Le soucis c’est que la boum n’est pas vraiment annulée
Alors je lui ai expliqué…. Bien obligée…
– .Nous voilà en plein vaudeville, ce n’est pas grave, mets les gâteaux au frigo, tu les mangeras demain en pensant à moi. On se reverra quand je reviendrais d’Italie. Quoi que j’aurais bien aimé entendre tes amis raconter comment ils ont piégé Shultz… Je partirais après si ça tourne en partouze…
Et voilà qu’arrivent Max et Valentin, ils ont apporté du Champagne et des fleurs.
Petites présentations. Fallait voir les yeux concupiscent des deux bonhommes en découvrant Amandine, Le loup de Tex Avery battu à son propre jeu.
– Estelle devrait arriver d’un moment à l’autre, commencez à choisir vos pizzas.
– Estelle ? Demande Max
– Oui c’est la secrétaire de Maitre Doubise, l’avocat dont je t’ai parlé.
Et justement, la voilà qui arrive avec un gâteau glacé, (c’est la spécialiste du gâteau glacé)
Nouvelles présentations, Amandine semble ravie de cette arrivée que je n’avais pas eu le temps de lui annoncer, puis elle prend les devants.
– Monsieur Max, Chanette m’a conté vos exploits, je veux parler de votre visite chez Patrick Shultz, mais j’aimerais tellement l’entendre raconter de votre bouche.
– Rassurez-vous, la soirée ne fait que commencer, et je vous promets de vous raconter tout ça…
– C’est que je ne pensais pas m’attarder, je dois sacrifier à quelques obligations…
– Oh, comme c’est dommage ! Ne peux s’empêcher de s’écrier Estelle.
– Et vous ne pouvez pas vous arranger… ou gagner un peu de temps ? Demande Max.
– Non, cher monsieur et croyez bien que je m’en trouve désolée.
– C’est d’autant plus dommage que je ne sais si nous aurons un jour l’occasion de nous rencontrer à nouveau ! Se désole Max. Enfin bref, je vais donc vous raconter mes « exploits ».
Il a une façon de raconter, Max, c’en est un vrai plaisir de l’écouter, évidemment il en ajoute, il enjolive, se donne le bon rôle, mais c’est délicieux.
– Bravo, messieurs, bravo pour ce que vous avez fait et bravo, monsieur Max pour ce récit passionnant. Allez, je vous fais la bise à tous et je me sauve.
Les bisous sont chastes, Max, Valentin, moi-même, mais il faut croire qu’Estelle ne l’entendait pas de cette façon, cherchant les lèvres d’Amandine le baiser devient vite un roulement de galoche laissant Max et Valentin sans voix.
Et elle disparut… Un ange passe, Estelle choisit sa pizza, on verse le champagne et on trinque en attendant le livreur.
Estelle a un ticket avec Valentin, je me demande comment elle va réagir si les deux hommes se mettent à faire des trucs ensemble, encore un détail auquel je n’avais pas pensé.
On a mangé nos pizzas en parlant de choses et d’autres, puis Max a donné le signal des opérations.
– Valentin, je crois qu’Estelle te regarde d’une drôle de façon !
– C’est un bel homme ! Intervient cette dernière.
– il ne vous décevra pas, mais il est un peu à voile et à vapeur, autant le savoir ! Ajoute Max.
– Comment ça ?
– Ben il est un peu comme moi, on adore les jolies femmes, mais de temps en temps quelques contacts entre hommes ça ne nous fait pas peur !
– Ben vous alors, vous êtes drôlement cochon, dites-donc !
– Des gentils cochons !
– Oui, mais des cochons quand même !
– Je ne vous ai pas choqué, j’espère ?
– Disons que je ne m’attendais pas à ça. Mais sinon, vous savez, il n’y a pas grand-chose qui me choque. Vous faites quoi ensemble, vous vous sucez la bite ?
– Oui !
– J’aimerais bien voir ça !
– Ce n’est pas un problème !
– Viens, Valentin, je vais te sucer la bite…
– Vous allez faire ça maintenant ?
– Vous préférez qu’on finisse nos pizzas !
– Non, non allez-y !
Bravo à Max qui a très bien désamorcé la situation.
– D’accord, on va le faire ! Intervient Valentin qu’on avait guère entendu jusqu’ici, mais j’ai une requête à formuler.
– Allons bon ! Soupire Max.
– Ce serait plus fun si ces dames nous montraient leurs nénés
Voilà qui n’est pas un problème Estelle retire tee-shirt et soutien-gorge à la vitesse grand V.
– Ils ont encore pas mal, non ? Dit-elle en les exposant fièrement.
Evidemment j’en fais autant !
– Ah ! Chanette la vision de votre poitrine est un moment de grâce ! Me complimente Max
Faut peut-être pas charrier, non plus !
Valentin entreprend de se déshabiller complètement (à l’exception de ses chaussettes)
– Max va me sucer la bite, mais vous pourrez en profiter tout à l’heure ! Dit-il à Estelle qui en frétille d’avance.
Après s’être mis à l’aise à son tour Max effectua une flexion des genoux devant Valentin et lui goba la bite, léchant, pourléchant, se régalant.
– Me fait pas jouir le prévint son partenaire.
– Ne t’inquiète pas, tiens, on va inverser les rôles
Et cette fois c’est Valentin qui suce la bite de Max. Estelle complètement scotchée ne rate pas une miette du spectacle, une main dans la culotte, tandis que de l’autre elle se tripote les seins.
Bonne fille, je viens lui prêter mains fortes et lui asticote ses tétons érigés.
– Ça te plait de voir ça ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.
– Dame ! on ne voit pas ça tous les jours.
– Il me suce bien, j’ai bien envie de l’enculer !
– Oh !
– Un problème ?
– Vous allez vraiment faire ça ?
– Je crois oui !
– Eh bin !
Sans attendre davantage de discours, Valentin s’est mis en levrette sur mon tapis, attendant l’assaut. J’avais prévu les capotes et le gel. C’est rentré comme dans du beurre, mais c’est vrai aussi que ce n’est pas la première fois que ces deux-là s’enculent.
A la limite, il s’agissait juste d’une sorte de démonstration les deux compères s’étaient en effet chuchoté un petit plan qu’ils allaient maintenant mettre en œuvre.
– Si la petite dame veut de nos bites, c’est maintenant ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.
Estelle s’approche des deux gaillards, pensant le sucer alternativement, mais seul Valentin reste devant elle, elle s’empare du membre viril, le caresse un peu avant de le porter en bouche. Pendant ce temps Max passe derrière, elle lui flatte le joufflu, se protège d’une nouvelle capote et la pénètre sans aucun préliminaire.
Joli tableau qui voit bientôt Estelle jouir comme une damnée. Max se retire sans avoir joui, il me fait un petit signe complice, je sais ce qui va se passer, Max ne peux pas s’en empêcher, alors je me mets sen levrette et offre mon anus aux assauts de Max le dur ! Tandis que Valentin gratifie Estelle d’un :
– Ne bouge pas, j’arrive !
Avant de venir la sodomiser à son tour.
Il est 23 heures, le temps passe vite quand on baise, on finit le champagne, on a mangé le gâteau glacé qu’avait apporté Estelle. Celle-ci épuisé a commandé un taxi qui vient d’arriver. On se dit aurevoir et Max et Valentin s’apprêtent à prendre congé à leurs tours.
Le téléphone sonne ! Qui cela peut être à cette heure-là ? Je regarde : Amandine ! Que me veut-elle en pareil moment ?
Je m’éloigne !
– Allo ? Ils sont partis ?
– Ils sont en train de partir, pourquoi ?
– Je peux passer te faire un bisou !
– Bien sûr, attends 10 minutes et c’est bon ! Mais tes obligations ?
– Du pipeau !
Et c’est ainsi qu’avec Amandine nous nous sommes aimées toute la nuit.
FIN