Le blog de vassilia-x-stories
Mardi 20 avril
J’ai établi une petite liste de gens qui sont susceptibles de m’aider, je me réserve la grosse artillerie si je ne peux pas faire autrement, mais il me faut d’abord voir si je peux glaner des informations auprès des personnes ayant des contacts présents ou passés avec la nébuleuse Chauvière.
J’ai donc commencé par Tommy dont le rôle dans cette affaire me paraît peu clair. Dans son message Chauvière l’a présenté comme quelqu’un non prévu par le scénario initial. Je verrais bien, consciente malgré tout que je prenais un risque.
Il est content de m’avoir au téléphone, mais joue les débordés…
– Tommy il faut absolument que je vous voie, j’ai des choses graves à vous dire…
– Je suis en entretien, là, je ne peux pas trop parler…
– Est-ce qu’on peut se rencontrer, je n’abuserais pas de votre temps
– Ce soir je finis tard, ensuite je suis de sortie avec mon épouse… ça ne peut pas attendre la fin de la semaine.
– Je crains que non …
– Ecoutez je peux vous consacrer un quart d’heure pendant mon heure de déjeuner. Vous pourriez être à midi 30 au café « Le croissant chaud », c’est juste devant la Tour…
Et à l’heure indiquée, après avoir fait un chaste bisou au monsieur, je lui tendis mon téléphone.
– Ecoutez-ça, ça dure à peine 5 minutes…
– Vous m’intriguez…
Au fur et à mesure qu’il prend connaissance du message son visage reflète l’incrédulité.
– On dirait bien la voix de Chauvière, vous êtes sûre que c’est lui ?
– Oui, c’est lui, j’ai eu la faiblesse de tomber dans le panneau, et sans l’intervention de sa secrétaire, je serais aujourd’hui en train de faire des pipes dans un bordel de Tanger !
– Sa secrétaire ? Laquelle ?
– Amandine Cantal !
– Amandine Cantal vous a aidé à vous en sortir ?
– Ben oui ! Vous ne me croyez pas ? Et vous savez qui était le directeur de la croisière, je vous le donne en mille ?
– Dites-moi ?
– Votre ami Patrick Schultz !
– Mais ce n’est pas mon ami !
– J’aurais cru pourtant !
– Ben non, c’est comme on dit un collègue de machine à café, on se retrouve tous les jours à 10 heures, je le trouve plutôt marrant, mais je n’en sais pas plus. Tiens, c’est vrai que je ne l’ai
pas vu de la semaine…
– Il est tellement marrant qu’il m’a foutu une baffe parce j’ai refusé qu’un client m’attache.
– Pardon ?
– Ben oui, en un quart d’heure, je n’ai pas le temps de tout vous expliquer…
– Comment faire ? On pourrait peut-être se voir demain matin de bonne heure, à 7 heures…
– Si vous voulez !
– Mais qu’attendez-vous de moi exactement !
– Je cherche à me venger de Chauvière et de Schultz et je manque d’idées !
– Je ne demande pas mieux que de vous aider, mais là je sèche ! Il faut que j’y aille, j’ai un rendez-vous… D’accord pour demain matin ?
– O. K.
Sans doute un coup pour rien ! Carte suivante !
Le temps presse, je prends un taxi pour rentrer à la maison, je récupère les coordonnées de Grace Hernandez et lui téléphone.
– Ah Christine, qu’est-ce qui vous amène (Christine c’est moi, c’est mon vrai prénom !)
– Je dois vous faire part d’évènements assez graves me concernant…
– Vous avez besoin d’argent ?
– Mais pas du tout, en deux mots j’ai été piégé par Chauvière qui a cherché à se débarrasser de moi.
– Faudrait m’en dire davantage.
– Je ne demande pas mieux ! Mais j’aurais aimé que l’on se voie.
– Mais vous désirez quoi au juste ?
– Qu’on discute de tout ça, en fait je cherche à me venger !
– Ah ! Je ne peux pas me déplacer aujourd’hui, j’attends une livraison et c’est le jour de congé de ma bonne, mais venez donc chez moi, je vais vous appeler un taxi…
Et une demi-heure plus tard, j’étais à Montmartre au pied d’un immeuble cossu.
Je sonne à l’interphone, la porte de l’immeuble s’ouvre, je prends l’ascenseur, je ne trouve pas de sonnettes et frappe à la porte ce qui provoque les aboiements peu aimables d’un clébard.
Grace Hernandez m’accueille chaleureusement en m’embrassant sur les joues. Elle me propose un thé, je n’aime pas trop ça mais j’accepte par politesse.
L’intérieur fait très nouveau riche, meubles Regency, reproductions assez lugubres de toiles de Bernard Buffet, armoire vitrée avec une incroyable collection de chats miniatures… Deux gros matous blancs (des vrais cette fois) roupillent sur le canapé. Le chien, un gros labrador noir vient me renifler du bout de son museau avant d’aller s’affaler sur ce qui doit être son tapis attitré.
– Je vous écoute !
Je m’efforce de tout lui raconter par ordre chronologique, elle a le tact (ou l’intelligence) de me laisser parler, ne m’interrompant que pour me faire préciser certains points…
– Ben, n’en voilà une histoire ! Mais vous aviez évoquez une clé d’ordinateur…
Bravo, elle a suivi !
– J’allais y venir, tenez écoutez donc, c’est édifiant !
Elle écoute avec attention, je guette sa réaction.
– Bien, bien, bien ! Eh bien il ne s’arrange pas Chauvière, il est en train de jouer avec le feu !
– Pour le moment il ne risque rien ! Quel genre de plainte je pourrais déposer ? il ne s’est rien passé.
– C’est un malin Chauvière, il s’est toujours sorti des plaintes déposées contre lui. Il a des alibis, des faux témoins et des livres de comptes parfaitement maquillés… quoique vous savez parfois
il suffit d’un grain de sable et tout s’écroule !
Un peu de mal à la suivre !
– Donc si j’ai bien compris vous désirez vous venger ? Reprend-elle
– Ben oui !
– Et vous avez pensé que je pourrais vous aider ?
– Ben oui, mais si vous ne pouvez pas, je ne serais pas fâchée !
– Bon dites-moi, vous voulez juste vous venger ou vous garder d’un danger ?
– Les deux options ne sont pas incompatibles, Quand Chauvière va apprendre que je me suis enfuie, il ne va pas rester les bras croisés.
– Alors voilà, on va mettre votre désir de vengeance de côté, la vengeance est toujours contre productrice…
– Je…
– Laissez-moi finir, chère amie ! En revanche, agir afin que Chauvière cesse de vous importunez, je peux peut-être savoir-faire.
– Ah !
– Il faut que je vous explique : avant ma liaison, j’étais l’une des putes attitrées de Chauvière, non seulement il y avait les prestations sexuelles, mais il nous proposait des petits boulots
qui n’avaient rien à voir avec la prostitution mais qui avaient à voir avec des trafics douteux. Chauvière n’a jamais touché à la drogue, ni aux armes, ce sont des milieux trop dangereux. Non son
truc à lui c’est les diamants. Alors il nous demandait de faire du repérage, de noter des emplacements de véhicules, des identités de convoyeurs, des horaires, et la plupart de ces renseignements
s’obtenaient de façon horizontales…
– Horizontales ?
– Oui, en couchant si vous préférez. Pourquoi je vous raconte tout ça ? Ben voilà, il commençait à y avoir de l’eau dans le gaz en ce qui concerne ma liaison avec Chauvière, je passe les détails,
ce sont des histoires de bonnes femmes ! On s’est engueulé et il m’a fait une vacherie, en fait il a cessé de me payer en me demandant de me calmer et en me disant que je ne serais payée qu’après
la prochaine opération. Donc j’ai effectué cette dernière opération, c’était à Rotterdam, chez Kuipper and son. J’ai tout noté dans un dossier, les immatriculations des véhicules, les noms de
convoyeurs, le dates et les heures, et bien sûr le contenu du camion. Et j’ai pris des tas de photos. C’est dans un dossier dans mon coffre, je ne m’en suis jamais servi, je me suis réconciliée
avec Chauvière avant qu’on se quitte à l’amiable, mais j’ai gardé le dossier… Encore un peu de thé ?
– Non merci !
– Le souci c’est qu’avec ça, on ne peut pas faire grand-chose ! Par contre… Par contre sa comptabilité est truquée, il faudrait retrouver le faux bon de livraison ou la fausse facture d’achat
correspondant à la date du casse du camion. A ce moment-là prouver qu’elle est fausse serait un jeu d’enfant, le fournisseur indiqué sur la facture pourra prouver qu’il n’a rien fourni du tout…
Maintenant pour trouver la facture en question, il faudrait quelqu’un dans la place ! En plus j’ignore si la facture est conservée en papier ou si elle a été numérisée, mais enfin bref, elle est
quelque part.
– J’ai peut-être une idée, je vois quelqu’un demain matin, vous avez la date de la facture.
– Mais je vais vous la donner ! Et je vais vous faire une copie de l’ensemble du dossier que j’ai constitué. Bien sûr vous m’obligeriez en m’accordant la même faveur que lors de notre dernière
rencontre.
– Ce sera avec grand plaisir.
Et trois minutes après nous étions à poil toutes les deux. On commence à se caresser debout l’une devant l’autre. Je lui lèche ses jolis seins dont les bouts sont déjà érigés, tandis que ses doigts viennent explorer ma chatte.
Le chien vient alors tourner autour de nous.
– Couché, Kellog ! Lui ordonne sa maîtresse.
Il s’affale sur le plancher, au moins il est obéissant. Nous on s’assoit côte à côte sur le canapé, elle ne m’a pas encore dit ce qu’elle souhaitait que nous fassions.
Et voilà le chien qui revient, c’est obéissant ces bestiaux-là mais ça n’a pas beaucoup de mémoire, il tente d’immiscer son museau entre mes cuisses, du coup je serre mes jambes instinctivement
– Kellog, t’es pas sage ! Lui dit Grace Hernandez.
Mais comme la phrase prononcée n’est pas un ordre, le chien ne réagit pas, il me regarde avec de grands yeux étonnés et la langue pendante.
– T’as déjà fait des trucs avec un chien ? Me demande mon hôtesse.
– Non, mais j’ai déjà vu le faire. (voir Chanette 27- L’affaire Manet Carrier)
Pourquoi cette réponse qui ouvre une véritable brèche, le subconscient sans doute)
– Et ça te tente pas d’essayer ?
– Ben non !
– C’est vrai que c’est très tabou, mais tout dépend ce qu’on fait, par exemple si tu écartes les cuisses, le chien va te lécher la chatte et je t’assure que ça n’a rien de désagréable… bien au
contraire.
– Je n’en doute pas un seul instant…
Bon on parle d’autre chose ou quoi ?
– Tu veux me regarder ?
– Oui, juste regarder, je veux bien, ça ne me détrange pas.
Grace ouvre alors ses cuisses, et le chien s’y précipite lui lapant la chatte comme à l’abreuvoir.
– Putain, quelle langue ! Commente-t-elle.
Sa respiration devient haletante, ma parole, elle est capable de jouir comme ça, sous la langue du clébard…
Et puis, allez savoir si c’est un acte manqué ou autre chose, mais j’ai fini par desserrer mes jambes. En même temps Grace commençait à piailler, faisant se reculer le chien. Celui-ci apercevant mon entrecuisse disponible est venu le gouter. Tétanisé je n’ai pas réagi, me laissant lécher en fermant les yeux.
Après tout, elle a raison, il n’y a pas de quoi fouetter un chat (ou un chien) c’est même assez troublant, mais pas question que cette bonne femme m’entraine plus loin ! Ah, mais !
– Je te propose un petit jeu… commence-t-elle
Je m’attends au pire…
– Je vais continuer à jouer un peu avec le chien, toi tu vas me regarder, puis quand j’aurais terminé tu vas me punir sévèrement pour t’avoir infligé un tel spectacle ! Ça te convient ?
– Ça me convient très bien ! Répondis-je.
Grace récupère le chien et après lui avoir caressé le dos passe sa main sous son ventre afin d’atteindre son fourreau. C’est spectaculaire, en quelques secondes la bite rougeâtre sort de sa cachette et finit par présenter un bel aspect. Elle fait ensuite passer la bite baveuse derrière son arrière-train et se met à la sucer goulument.
C’est la seconde fois que je vois ce genre de scène en réel (voir Chanette 27- L’affaire Manet Carrier). J’avais été la dernière fois tellement fascinée par le spectacle que j’avais été à deux doigts de participer.
Et là je suis en plein atermoiement, il suffirait d’un petit déclic… Mais il faut croire que le moment n’était pas encore venu. Ivre d’excitation Grace lâche sa proie et s’agenouille sur le canapé offrant ses fesses au chien qui ne tarde pas à comprendre ce qu’on attend de lui. Grace écarte les fesses, le chien monte sur sa maîtresse, trouve l’orifice et se met à baiser en cadence.
En plein trip Grace pousse des cris de plaisir.
– Arrange-toi pour qu’il m’encule ! Me dit Grace au bout de quelques minutes.
Allons-bon ! Voilà qui va m’obliger à toucher à la bite du chien ce sera une première, il y a toujours une première fois, Plus facile à dire qu’à faire, ce qu’elle me demande, Le chien ne comprend pas pourquoi je l’empêche de continuer son labeur, mais quand son sexe se retrouve à proximité de l’anus de la mature, il reprend ses va-et-vient avec une telle frénésie que Grace finit par jouir du cul (et peu silencieusement)
Elle s’est déboitée et elle a repris sa fellation ça ne dure pas longtemps, la bite du chien éjectant en continue un liquide visqueux.
Le chien rejoint son coin et s’assoupit dans l’instant.
– Voilà, maintenant, je suis à ta disposition, Me dit Grace Hernandez. Dans le premier grand tiroir là-bas il y a tout ce qu’il faut, cravaches, toys, menottes…
Je suis encore tellement troublée par le spectacle qu’il m’a été donné de voir que je n’ai aucune idée de la façon dont j’envisage la suite. Bah, j’improviserai ! Elle aime les mots crus et les humiliations, je vais li en servir.
Je prends la cravache dans le tiroir.
– Mets toit en levrette, grosse salope, je vais te rougir le cul
J’arme la cravache, je vise, le coup tombe laissant une trainée rougeâtre sur son gros cul.
– Whaf !
Hé ? Qu’est-ce que c’est ? C’est le clébard qui a décidément le sommeil léger et qui n’a pas l’air d’apprécier du tout que je flagelle sa maîtresse.
– Couché, Kellog, Chanette ne me fait pas de mal, on joue !
Comment voulez-vous qu’il comprenne…
– Continue Chanette !
Pas très rassurée, j’arme mon coup, le chien me grogne après ! Ce n’est plus possible de continuer.
– Bon on va laisser tomber, me dit Grace, je pourrais l’enfermer, mais ça va le traumatiser. On aura l’occasion de se revoir ailleurs.
– Comme tu veux, ma biche !
– Allez on s’embrasse !
On s’est embrassées, pelotées, on s’est léché réciproquement le gazon et l’anus comme deux vieilles goudous, on s’est fourré les doigts dans le cul d’une de l’autre.
Je suis excitée comme je l’ai rarement été. Et c’est dans un souffle que je prononce l’incroyable à ma partenaire
– Je vais le faire, j’ai envie de le faire !
– Tu as envie de faire quoi ?
– De sucer la bite du chien.
– Tu ne le regretteras pas, c’est trop génial.
J’ai peut-être parlé un peu vite, l’excitation parfois fait dire de ces choses… Mais comment me dégonfler à présent.
Grace a rappelé le chien, l’a fait bander et s’est mise à le sucer de nouveau.
– Viens, Chanette, viens.
Je suis tétanisée, elle s’en rend compte.
– Viens tu en as envie, ne réfléchis pas, laisse toi-aller, hum, elle trop bonne cette bite !
J’ai respiré un bon coup et me suis approchée, ça y est j’ai la bite du chien dans la bouche, c’est visqueux, c’est pervers, je suis une vraie salope et je mouille comme une éponge.
– Alors ? Demande Grace.
– C’est fou , je n’en reviens pas de faire ça !
– Ça te plait !
– Oh, oui !
On s’est embrassé, avec le gout de la bite du chien dans la bouche, puis on s’est remis en soixante-neuf et cette fois j’ai joui pour de vrai.
– La prochaine fois tu aimerais qu’il te prenne ?
– Pourquoi pas ?
A suivre