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Chanette 28 – Magazines littéraires – 10 – L’apprentie pute (suite) par Chanette bisex masculinedomination harddonjonengodage masculinlesbospartouzeprostitutionsodomie masculinespittingtravestis
Domina

 

J’ai prêté une tenue de dominatrice toute simple à Estelle et à 13 heures, mon client du moment sonnait à ma porte, celui-ci est correct mais c’est un taiseux, peu intéressé par les humiliations, son truc c’est de se faire fouetter et marquer. Ce n’est pas trop compliqué, mais ce n’est pas non plus très passionnant. Mais ça m’a permis d’apprendre à Estelle de ne pas frapper n’importe comment. Quand il eut sa dose de cravache et de paddle, Monsieur s’en est allé se finir tout seul comme un grand dans les toilettes. Heureusement qu’ils ne sont pas tous comme ça, se serait un coup à devenir neurasthénique.

J’expliquais à Estelle qu’à 15 heures, ça risquait d’être bien plus passionnant.

A l’heure dite, Dominique est là. Je ne l’ai fait qu’une fois. Un séance d’essai comme on dit. Quand il s’est déshabillé, j’ai découvert ses dessous féminins. Il m’a confié qu’il aimait être humilié et se travestir et que son trip ce serait de faire une séance avec d’autres hommes.

Je lui ai alors expliqué que ça devrait pouvoir se faire.

Après qu’il m’ai remis ma petite enveloppe, Je l’ai laissé un quart d’heure dans la salle de bain, le temps qu’il se change et qu’il se maquille.

– Le paiement c’est toujours avant la séance, jamais après, seuls les habitués ont le privilège de régler après ! Expliquais-je à Estelle

Le quart d’heure est maintenant dépassé. Entre temps, Nœud-pap mon client bisexuel préféré que mes lecteurs connaissent bien est arrivé, je l’ai attaché en attendant sur la croix de Saint-André non sans lui avoir accroché des pinces aux tétons et lui avoir ligaturé les couilles. Tradition oblige !

Et Dominique sort enfin. Le résultat est impressionnant, faut dire qu’à l’origine le visage est un peu féminin, mais la transformation est bluffante, fond de teint, mascara, rouge aux lèvres.

– Tu ne crois pas que tu as mis un peu trop de temps ?
– Pardon, maîtresse !
– On ne fera pas de rabe, à 16 heures on se dira aurevoir !
– Même avec un petit billet pour un quart d’heure de plus ? demande-t-il tout penaud.
– Ah évidemment, si tu me prends par les sentiments.

Et il s’en va chercher dans son portefeuille le petit supplément.

– Alors tu te crois sexy, comme ça ? Espèce de pédale ! L’interpellais-je en lui passant un collier de chien muni d’une laisse.
– J’aimerais bien être sexy, mais j’ai encore des progrès à faire.
– Ça c’est sûr ! Montre-moi ton cul !
– Oui maîtresse, répond-il en se retournant et en soulevant sa jupette.
– Tu ne crois pas que le string c’est en trop ?
– Je vais l’enlever !
– Et tu vas me le donner, ça me fera un souvenir.
– Avec plaisir maitresse !
– Alors ce cul, montre le mieux !
– Comme ça ?
– Tu le trouves comment ton cul ?
– Je le trouve coquet !
– C’est un cul d’enculé ! Précisais-je. Dis-le-moi que tu as un cul d’enculé !
– J’ai un cul d’enculé, maîtresse !
– Et même que je t’ai réservé une bonne bite qui va bien te défoncer le cul !
– Oh, merci, maîtresse !
– Et avant tu vas bien la sucer ! Tu aimes ça sucer des bites ?
– Oui, maitresse, je suce des bites !
– Seulement il y a un droit de passage. C’est 50 coups de badine.
– Oh ! C’est trop cruel !

Je lui retourne une paire de gifles à laquelle il ne s’ attendait pas du tout

– Et ça c’est cruel.
– Oui mais je le méritais.
– Laisse ta bouche bien ouverte
– Aaaah !
– Et maintenant, Estelle tu va lui cracher dans la bouche !
– Oh làlà.
– Ben quoi ? C’est une séance de domination ! On n’est pas en train de jouer « Le Petit Prince »
– Ce que tu me fais faire, quand même !
– Bon t’attends quoi ?

Estelle reprend sa respiration et crache deux fois dans la bouche du soumis.

– Maintenant, l’esclave tu te tournes, on va jour à panpan cucul

Je m’empare de la badine et montre à Estelle comment je pratique.

– Les coups ne doivent pas être réguliers de façon à ce que le soumis ne puisse pas les anticiper. Par exemple tu lui assènes trois coups à la volée, puis tu attends une minute avant de recommencer.
– Ben, j’en apprends des choses.
– Ben oui, c’est un métier !

Je lui refile la badine, elle ne se débouille pas trop mal même si elle a tendance à frapper un peu fort.

– Non, il faut que tu testes la résistance du soumis, tu augmentes progressivement les coups à chaque frappe, et quand tu vois que ça commence à lui devenir insupportable, tu baisses légèrement l’intensité quitte à raugmenter ensuite…

N’empêche que le « pauvre » Dominique a maintenant le cul comme un coquelicot.

Je l’entraîne dans le donjon ! Il bande comme un sapeur en découvrant la bite de Nœud-pap en érection.

– Attention, il va y avoir une petite contrainte, mon soumis aime aussi sucer des bites et se faire sodomiser, alors sera donnant donnant ! Pas d’objection ?
– Non, si j’arrive à bien bander ça devrait le faire. Répond Dominique
– Ben en ce moment, ça se passe plutôt bien, non ?
– Je peux sucer, alors !
– Vas-y, fous là entièrement dans ta bouche.

Il n’y va pas, il y court, il se régale, il est aux anges. Je décide de détacher Nœud-pap et de placer les deux soumis en soixante-neuf, ce sera plus cool.

– Mais quels cochons ces deux-là ! Commente Estelle.
– T’avais jamais vu ça ?
– Ben non !
– Ça t’excite, au moins ?
– Ben oui quand même !
– Et attend la suite…

J’ai un peu peur que l’érection de Dominique ne soit qu’éphémère et je demande à ce dernier de sodomiser Nœud-pap, lequel est absolument ravi par cette perspective, mais comme je le pressentais, le travesti ne tient pas la distance et sort du cul de son partenaire avec un air désolé et la bite molle.

Qu’importe on s’arrangera plus tard, pour l’instant inversion des rôles. Et c’est au tour de Nœud-pap d’enculer le travesti qui s’en tortille le croupion de plaisir.

Nœud-pap décule sans avoir joui, je le connais depuis si longtemps que je sais comment le pratiquer.

Chanette2810Je fais replacer mes deux zigotos en soixante-neuf et pendant qu’ils se sucent mutuellement le zigouigoui, j’enfonce un bon gode dans le fondement de Nœud-pap, qui n’attendait que ça !.

Joli séance, tout le monde a joui, tout le monde est content et Estelle n’en revient pas !

Je regarde ma pendule, on devait dépasser d’un quart d’heure, en fait on a dépassé d’une demi-heure. Dominique s’en va trifouiller dans son portefeuille…

– Mais non, laisse tomber !

C’est juste un geste commercial mais parfois ça aide à fidéliser le client.

Nœud-pap me quitte avec un gros bisou, quant à Dominique il va falloir que j’attende qu’il se remette en civil. Et pendant ce temps-là, Estelle trépigne d’impatience.

Dominique a pris congé. Estelle viens vers moi :

– Je ne peux pas rester comme ça, je suis trop excitée, tu peux me lécher comme ce matin ?

La nana était trempée comme une soupe, la lécher n’a pas été une corvée, j’ai dû la faire jouir en trois minutes chrono.

– Il faut que je t’avoue un truc ! Me dit Estelle en se rhabillant.

Oh, que je n’aime pas ça ! Mais sans doute va-t-elle enfin se dévoiler ?

– Le gars qui m’a donné tes coordonnées, c’est un avocat.
– Le type chez qui tu travailles ?
– Oui !

C’est ça son scoop ? Je ne lui demande pas le nom du « gars », mes clients ne me déclinent que fort rarement leurs identités et quand ils me communiquent un prénom ce n’est pas forcément le bon.

– En fait il m’a envoyé en mission !

Qu’est-ce qu’il va encore me tomber sur la trogne ?

– En mission de quoi ?
– Je voudrais d’abord te rassurer, tu ne risques rien, au contraire ça pourrait même te rapporter un peu de fric !
– Quand tu auras fini de tourner autour du pot, je pourrais peut-être savoir ?
– Guillaume Beauregard, ça te dis quelque chose.
– Oh non ! M’écrias-je instinctivement.

Mais quand cet abruti va-t-il cesser de me pourrir l’existence ?

– On se calme, tout va bien se passer, tu vas voir ! Temporise Estelle
– Non mais c’est quoi ce cirque ? M’énervais-je.
– Je vais t’expliquer, mais je t’en prie garde ton calme, tu vas voir, tu n’as rien à craindre.
– Si dans cinq minutes tu ne m’as pas convaincu je suis capable de te foutre une torgnole !
– Tu ne ferais pas ça à ta petite Estelle avec laquelle tu t’es bien éclaté tout à l’heure !
– Tu ne me connais pas !
– Beauregard a choisi mon patron comme avocat dans cette affaire…
– Mais quelle affaire ? On ne lui a pas porté préjudice à ce que je sache, s’il estime qu’il y a préjudice il n’a qu’à s’en prendre à lui-même.
– Chanette soit gentille, laisse-moi parler. Evidemment qu’il n’y a pas d’affaire, mais Beauregard veut aller au procès. Seulement on n’a rien pour faire un procès, alors le truc c’est de le faire lanterner en lui faisant croire qu’on peut porter plainte, et comme Beauregard est bourré de tunes on va encaisser la monnaie.

De mieux en mieux !

– Hum ! Et qu’est-ce que je viens de faire là-dedans, moi ?
– Apparemment, Beauregard te déteste viscéralement…
– C’est réciproque.
– Je m’en doute ! On ne possède que sa version, je voudrais bien la tienne.
– Et ça va servir à quoi ?
– Je ne peux pas dire d’avance, mais mon patron est un malin, il connait toutes les ficelles et a l’habitude de tirer partie d’un tas de situations.

Pas trop convaincu, mais persuadée qu’il me fallait jouer le jeu pour pouvoir le contrôler, j’expliquais sa visite inamicale en mon studio puis son autre visite cette fois agressive et sournoise à mon appartement.

– Super ! Commente Estelle
– Je ne vois vraiment pas ce qu’il y a de super ?
– Mais si ! T’as des témoins ?
– Non je n’ai pas de témoins !
– Si on pouvait trouver le moyen de récupérer ses flyers.
– Mais j’en ai gardé un !
– Bingo !
– Je ne comprends toujours pas .
– Mais si voyons ! On fait lanterner Beauregard. On lui redemandera sa version des faits et en même temps on lui expliquera qu’on a essayé de te joindre mais qu’on y arrive pas. On fais durer disons un mois et là on sort de notre chapeau ta version preuve à l’appui, sa plainte devient donc irrecevable, mais entretemps on aura touché un paquet d’honoraires…

Je n’avais pris aucun risque en lui racontant somme toute que la vérité des faits, des faits dont je ne voyais pas bien ce qu’il pouvaient avoir de repréhensibles juridiquement parlant.

– T’attends autre chose de moi ? Lui demandais-je.
– Oui et non ! En fait je voulais gagner ta confiance afin que tu m’exposes ta version des faits, je ne pensais pas que ça irais aussi vite…
– Mais bordel ! Je n’ai rien à me reprocher… Et puis ne t’avance pas si vite, on ne se connaît pas, alors, non, tu n’as pas gagné ma confiance, ce que je t’ai confié n’avait rien de confidentiel.
– Je ne pouvais pas le savoir d’avance, ma biche ! Mais essayons de marcher comme ça, je t’ai promis une prime, tu l’auras…
– C’est gentil ! Mais je n’en veux pas !
– Ne dis pas ça ! Parce que en fait tu peux peut-être nous aider encore plus.

Qu’est-ce qu’elle va encore me sortir ?

– J’aimerais aussi avoir les versions des autres personnes qui ont été impliquées dans l’histoire.
– N’importe quoi ! Et la discrétion tu en fais quoi ?
– Justement si c’est toi qui t’en occupe, on zappe l’inconvénient de la discrétion. Y’avait qui ?
– Mais enfin pourquoi avoir besoin des versions de tout le monde ?
– Parce que tout simplement, plusieurs témoignages qui se recoupent, valent mieux qu’un seul, Avec ton propre témoignage on est parole contre parole, avec le témoignage des autres il ne peut plus tenir sa version ! Alors tu peux me dire qui ?
– L’organisateur, c’est Baker, l’éditeur de Colombani, Beauregard est au courant, puisque j’ai été obligée de lui dire.
– Tu pourrais approcher Baker ?
– Il n’est pas facile à joindre, mais bon c’est un mec correct. Cela dit je ne le vois pas aller déclarer publiquement qu’il a organisé un truc pour piéger Beauregard.
– Essaie, tâte le terrain…
– Tu crois que j’ai le temps de faire ça ?
– Ce sera rémunéré.
– Je gagne déjà bien ma vie, je ne cherche pas de revenus supplémentaires.
– Oui mais ça te changera les idées, parfois faut faire des breaks. Et à part Baker ?
– Colombani, mais il a juste regardé…de loin.
– Justement c’est intéressant, il pourra dire dans quelles dispositions était Beauregard, est-ce qu’il avait l’air d’être drogué, sous influence, ou est-ce qu’il y est allé de bon cœur ?
– Ça je peux te dire qu’il y est allé de bon cœur !
– Et les personnes qui étaient dans le donjon.
– Elles pourront dire la même chose que Colombani.
– Super ! Personne d’autre ?
– Ben non, on n’était pas quarante !
– Alors c’est d’accord ?
– Je réfléchis un peu et je te rappelle demain dans la journée.

A suivre

Sam 24 sep 2022 Aucun commentaire