Le blog de vassilia-x-stories
Vendredi
Dans le courant de la matinée, deux hommes chapeautés comme en voit dans les vieux films de gangsters en noir et blanc, demandèrent à être reçus au domicile du professeur Martinov. Béatrice méfiante leur barre le passage, mais les deux énergumènes entrent en force. Le professeur vient voir ce qui se passe.
– Penberton et Chapuis, sécurité du territoire. Vous avez pénétré dans un hangar situé dans la zone des 4 couronnes. On aimerait savoir pourquoi ?
– Ça ne vous regarde pas, et je n’ai pas bien vu vos cartes ! Objecta Martinov avec assurance.
Les deux individus ressortirent leur cartes en vitesse sans que Martinov ait eu le temps d’en vérifier l’authenticité (et d’ailleurs comment aurait-il fait ?), cependant il mémorisa les noms et prénoms des deux personnages
Maintenant quel jeu jouer ? Nier en bloc ? Nier partiellement ? Tout déballer ?
– Un de nos clients nous a demandé de découvrir l’identité du propriétaire d’un hangar dans lequel sont entreposées des éponges métalliques, nous lui avons expliqué que cela n’entrait pas dans
nos compétences…
– Quel client ?
– Il s’est présenté comme « Piérac », mais je n’ai pas vérifié.
– Tu lui as bien fait signer un contrat, non ?
– Vous n’êtes pas obligé de me tutoyer !
– C’est quoi la réponse ?
– Il n’y a pas eu de contrat, on a fait ça au noir ! Vous allez me dénoncer à la brigade financière ? Railla Martinov
Martinov ne vit pas venir le coup qui lui éclata le nez, instinctivement il baissa la tête et reçu un second coup sur le sommet du crâne qui se mit à pisser le sang.
– Mais ça ne va pas, non ?
– Ce n’était qu’un avant-goût, si tu continues à mentir et à te foutre de notre gueule, tu vas t’en rappeler, pépère !
– Mais vous êtes malade ! Intervient Béatrice.
– Toi, la pute, tu la fermes !
Martinov est groggy et choqué et devient incapable de sortir un seul mot !
– Bon on va faire autrement ! Déclare Penberton en envoyant une violent coup sur le crâne de Béatrice qui l’expédie dans les vapes. On emmène mademoiselle, si tu te tiens sage et si tu oublies
cette affaire tu la récupéreras d’ici une quinzaine de jours en état de marche, dans le cas contraire tu la récupéras aussi mais en pièces détachées.
– Ma tête…
– Si t’as quelque chose d’intelligent à nous dire, c’est le moment parce qu’après on de la route à faire.
– Ma tête…
Les deux nervis enferment Béatrice dans le coffre arrière de la voiture et démarrent en trombe.
Pour sa part Martinov met un certain temps à sortir de sa torpeur, il a le visage en sang, ne se souvient plus de tout, ne voit pas Béatrice, se dit qu’elle est sans doute partie à la pharmacie… Il se déplace jusqu’au lavabo de la salle de bain, et se passe un gant sur le visage. Sa blessure est plus spectaculaire qu’autre chose, voici au moins un point qui le rassure.
Et puis, voilà que ça lui revient et qu’il se souvient des paroles des deux voyous.
« Ils ont enlevé Béatrice ! Je fais quoi ? »
Prévenir la police, bien sûr, mais avant mettre au courant Petit-Couture.
– C’est bien plus grave que je ne le pensais, il est inutile que je vérifie les noms, si ces gars-là font partie de la DGSE ils peuvent avoir trente-six identités et trente-six cartes. Mais ils
peuvent être aussi bien membres d’une organisation étrangère ou mafieuse… Quoiqu’il en soit Béatrice est réellement en danger, surtout ne faites rien. Comme elle ne sait rien de plus, elle ne les
renseignera pas. Donc logiquement, ces gars-là vont revenir vers toi…
– Je fais quoi ? S’affola le professeur
– Pas de panique, ils ne vont pas revenir faire du grabuge puisque ça n’a rien donné, non, ils vont vous surveiller en permanence… Et j’espère bien que c’est ce qu’ils vont faire parce que sinon
on n’aura aucune piste ! Laisse-moi faire, je sais à peu près comment ils fonctionnent.
– Je préviens la police ?
– Attends mon feu vert, à ce stade les flics vont plutôt gêner qu’autre chose.
Le plan de Gérard Petit-Couture est simple, si les responsables de l’enlèvement de Béatrice sont effectivement en planque afin d’épier les faits et gestes du professeur Martinov, il semble donc logique qu’il y ait un véhicule banalisé près de son domicile. Mais les choses ne sont pas si simples, le téléphone, ça existe et dans l’esprit de ses agresseurs, Martinov peut demander de l’aide, par exemple envoyer quelqu’un roder autour de ce fameux entrepôt d’éponges métalliques.
Alors Gérard décide de partager le travail avec Florentine, sa compagne. elle restera en reconnaissance à Louveciennes, là où il y a le moins de risques, Gérard se réservant la tâche plus compliquée d’aller espionner les alentours du hangar.
La nuit avait porté conseil. Brigitte Silverberg qui s’estimait bloquée la veille, s’était réveillée avec plusieurs idées. La première était de se dire que parmi tous ces peintres sortis du néant, il devait statistiquement y avoir parmi eux un râleur, un mécontent, un grognon… Mais comment trouver la liste de ces gens-là ?
Ce fut simple.
Première étape, Brigitte se rend à la bibliothèque nationale et consulte la collection entière de la revue « Art présent ». Elle trouve assez facilement un numéro de l’an passé dans lequel trois pages illustrées sont consacrées au peintre Serge Myard. L’article dithyrambique est signé d’un dénommé Luiggi Lorazzi.
Deuxième étape, relever les noms de tous les pseudos artistes « découverts » par Lorazzi.
« Je suppose que ce type touche une belle enveloppe à chaque fois ! Et si je me faisais passer pour une inspectrice du fisc ? J’irais demain, il faut que je prépare bien mon coup ! »
Samedi
Il est deux heures du matin, Florentine a repéré depuis un certain temps, une Volkswagen gris métallisé. Le type assis à la place du chauffeur à l’air de s’emmerder à 100 à l’heure en jouant avec son téléphone portable.
Pas évident de se planquer dans de telles conditions mais le chauffeur de la voiture n’a vraiment pas l’air motivé par la mission qu’on lui a confiée.
A deux heures et quart, une voiture difficilement identifiable fait le tour du pâté de maison en effectuant quelques appels de phares. Le gars à la Volkswagen comprend qu’on vient le relayer et démarre, Florentine n’a plus qu’à le suivre en prenant soin de ne pas de faire repérer.
A peine une demi-heure plus tard, la Volkswagen s’arrête à Sèvres, en banlieue ouest, devant un pavillon du quartier des Bruyères. Le type fait ensuite entrer sa voiture au garage.
– Allo, Gérard, je suis à Sèvres, j’ai localisé l’un des types qui surveillait Martinov, il vient de rentrer chez lui, je fais quoi ?
– Donne-moi l’adresse, j’arrive.
– A cette heure-là ?
– Ben oui, je ne vais pas me coucher maintenant.
A quatre heure du matin le couple fait sa jonction devant le pavillon du suspect.
– On fait quoi, on attend 6 heures ?
– Pas la peine, on va le bluffer ! Répond Gérard.
Il tambourine à la porte. Au bout de cinq minutes, il entend des pas. Une femme mal réveillée crie à travers la porte.
– C’est quoi ?
– Police ! Ouvrez !
– Vous bluffez, ce n’est pas l’heure légale ! Intervient le bonhomme arrivé à la rescousse.
– Brigade anti-terroriste, vous êtes accusé de collusion avec une organisation terroriste.
– N’importe quoi ?
– Alors il faudra m’expliquez ce que vous foutiez en planque à Louveciennes jusqu’à deux heures et quart ? Alors maintenant vous ouvrez ou je fais sauter la serrure.
– Bon, je vais ouvrir ! Finit par concéder le type.
Gérard et Florentine entrent armes au poing comme de vrais professionnels,
– Z’étes combien là-dedans ? Demande Gérard.
– Moi et ma copine.
– Pas de gosse, pas de chien.
– Non et pas de perroquet non plus ! Raille l’homme.
– Assis tous les deux ! Noms, prénoms et professions ?
– Arnold Brachet, chômeur, ma compagne c’est Caroline Sari, chômeuse.
– Qui t’as confié ce boulot de surveillance à Louveciennes ?
– Du calme ! Je veux bien vous expliquer tout ça gentiment. Je n’avais pas l’impression de fourrer le nez dans une sale affaire.
Brachet comprend qu’il est dans le pétrin. Il n’est pas préparé à ce genre de situation et de plus sa compagne n’est au courant de rien, il est mal, très mal.
– J’ai pas entendu la réponse ? S’énerve Petit-Couture.
– C’est un gars au bistrot qui m’a proposé un job, ça n’avait pas l’air de porter à conséquences…
– Et le job, c’était quoi ?
– Surveiller et reporter les faits et gestes d’un dénommé Martinov à Louveciennes.
– Tu ne te fouterais pas un peu de notre gueule, tu te pointes dans un bistro, un mec t’aborde, te propose un job et toi tu marches ?
– C’était pas compliqué, juste un peu chiant, mais c’est bien payé !
– Ben voyons !
Et sans laisser à Brachet le temps de réagir, Gérard Petit-Couture lui flanque deux baffes qui le font vaciller. Sa copine hurle et trépigne de rage.
– Maintenant tu recommences ton histoire mais dans une version qui nous fera gagner du temps.
– Hé ! Oh ! Doucement ! Si vous me laissiez le temps de m’expliquer ! Je n’ai rien fait de mal à ce que je sache !
– Alors tu racontes ou pas ?
– Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise de plus ? Je fréquente le « café des muriers », je joue un peu aux courses. Je connais un peu quelques personnes, parfois on me propose des
petits jobs, des colis à acheminer, des messages… des trucs dans le genre, mais attention, je ne touche jamais à la drogue !
– C’est bien connu, personne n’y touche jamais !
– Puisque je vous le dit !
– Donc ce serait l’un des clients du rade qui t’aurait demandé ce petit service.
– Exactement !
– C’est la première fois qu’il te demande un service ?
– Non, mais les autres fois c’était juste de l’acheminement.
– De l’acheminement de quoi ?
– Ça je ne sais pas trop.
– Tu sais bien si c’est lourd ou pas, non ?
– Vous savez une valise fermée, ça peut contenir n’importe quoi !
– Et vous madame, vous en dites quoi ?
– Arnold ne me parle jamais de ses affaires.
– Bon, eh bien mon vieux Arnold, je vais t’expliquer un truc. Nous sommes la sécurité du Territoire, quoiqu’on fasse on sera couvert même en cas de bavure, même de très grosse bavure, tu
comprends ça ?
– Humm…
– Donc pour t’en sortir tu n’as qu’une solution, c’est de collaborer avec nous….
– Et vous allez faire comment pour que ça ne me retombe pas sur la gueule ?
– On saura faire, c’est notre métier ! Répondit Gérard qui n’en était pas si sûr que ça .
– Je vais chercher une compresse, intervient Caroline, il a du sang partout.
– Toi, tu restes là !
Gérard demande à Florentine de faire le tour du pavillon et de ramasser tout ce qui ressemble à un téléphone, à un ordinateur, à un carnet, à un post-it, à une feuille de note…
– Ton bonhomme, tu dois le contacter comment ? Demande Gérard.
– Avec un téléphone à usage unique.
– Tu ne dois pas le revoir au bistrot ?
– Non, pas tant que la mission n’est pas terminée.
– Et elle est censé durer combien de temps ?
– Il m’a dit environ 15 jours.
– Et elle a commencé quand ?
– Hier soir, j’étais le premier !
« Donc après l’enlèvement de Béatrice » en conclut Gérard.
Gérard sort son téléphone portable et lui montre une photo de Béatrice.
– Cette fille, ça te dis quelque chose ?
– Ça ressemble à l’un des deux personnes qu’on devait surveiller.
– Et ton bonhomme, il y est souvent au café ?
– Oui !
– Et il fait quoi ?
– Il a ses copains, il joue aux cartes, il parie sur les chevaux…
– C’est tout ?
– Non dès fois il déjeune. C’est pas mauvais la bouffe là-bas…
– Tu ne pouvais pas commencer par ça, non ?
– Je ne comprends pas…
– Il mange toujours à la même place ?
– Oui, devant le vieille pub pour la Suze.
– Il mange seul ?
– Presque toujours !
– Comment il s’appelle ?
– J’en sais rien, mais tout le monde l’appelle Monsieur Ferdinand.
– Et il arrive vers quelle heure ?
– Vers 9 heures
– Alors ça va être facile, écoute bien ce que je vais te demander…
– Et moi, je fais quoi ? demande Florentine
– Tu resteras avec Madame, tu t’assureras qu’elle ne fasse pas de bêtises. Attention : toutes les communications téléphoniques je les veux avec haut-parleur ! On va attendre 9 heures pour se
mettre en route, en attendant Madame Caroline, si vous pouviez nous faire du café…
Et à 9 heures Florentine resta seule avec Caroline.
Cette dernière est angoissée, elle savait que son copain fricotait parfois dans des affaires louches, mais elle ne pensait pas que ça irait si loin. Pour avoir entendu quelques récits de règlements de compte, elle n’envisage qu’une seule solution, se sortir de là et laisser tomber Arnold.
Mais comment faire ?
– Je vais vous expliquer un truc ! Finit-elle par dire : je ne suis pas au courant des activités d’Arnold. J’ignorais que je vivais avec un voyou, je ne vais pas rester avec lui, alors
laissez-moi partir, je vais aller chez ma mère.
– Bon tu te calmes, je n’ai aucune intention de te laisser filer.
« Raté ! Le contraire eut été étonnant ! » Se dit Caroline. Comment faire ? Lui foncer dans le lard ? Cette fille doit avoir une formation de combat ! Si j’avais quelque chose, des ciseaux, un couteau, j’aurais dû en rapporter un quand j’ai été faire le café… Mais putain comment elle me regarde ? Si ça se trouve, elle est à moitié gouine, ça ne coute rien d’essayer… »
– J’aime bien la façon dont vous me regardez ! Commence-t-elle
– Pardon ?
– Si, si, vous aimez les femmes, vous, ça se voit !
Une réflexion qui fait rire Florentine.
– Vous n’allez pas me dire le contraire ? insiste Caroline
– Qu’est-ce que ça peut vous faire ?
– C’était juste une idée comme ça, on est là toutes les deux pour un moment, il va bien falloir qu’on s’occupe, alors j’ai bien un scrabble, mais si vous préférez me caressez les nichons, moi ça
ne me gêne pas du tout, j’aime bien les femmes aussi.
– N’importe quoi !
Mais n’empêche qu’un léger trouble gagne Florentine.
« Pas difficile de comprendre son plan, elle veut m’avoir au charme afin que je la libère. Elle se fout le doigt dans l’œil ! N’empêche qu’elle est trop mignonne, je me demande jusqu’où elle est prête à aller, mais autant que les choses soient claires.
– Si tu te figures que je vais te laisser partir parce que tu m’auras montré tes nichons…
– Je sais bien que tu ne me laisseras pas partir, ça n’empêche pas de se donner un peu de bon temps, non ? Tu veux les voir, mes nichons ?
– Ben, allez, montre, puisque tu as envie de me les montrer
Caroline ouvre sa robe de chambre. C’est un joli brin de fille, les seins sont lourds, laiteux et attirants, terminés par de larges aréoles très brunes.
Florentine hésite, craignant que la fille ne l’attire que pour la maîtriser. Contrairement à son compagnon Flo n’a jamais été agent secret, on lui a bien appris quelques trucs pour se défendre quand elle était callgirl mais ça n’en fait pas une ninja !
– Vous pouvez toucher ! Lui dit Caroline, j’adore les caresses !
– Ne tentez rien d’inconsidéré, j’ai subi une formation de close-combat, vous n’auriez pas le dessus et je risquerais de vous faire très mal ! Bluffa Florentine.
– Je sais bien que je suis coincée, mais venez me caresser quand même.
Plus rien ne retient Flo qui s’avance vers la fille et lui caresse les seins.
– Ils sont très beaux ! Lui dit-elle.
– Embrasse les !
Florentine en avait justement l’intention, elle gobe le petit téton, l’enroule de sa langue, le fait durcir, passe à l’autre. Elle embrasserait volontiers la fille sur la bouche, mais hésite vu les circonstances. Par contre rien n’empêche sa main de descendre jusqu’à sa chatte et d’y glisser un doigt fureteur.
– Ben dis donc ! T’es drôlement coquine, toi ? Lui dit Caroline.
– Fallait pas me provoquer ! Ecarte bien tes cuisses que je te lèche un peu.
Florentine immisce sa langue dans la foufounette de Caroline.
« C’est tout sec, elle ne mouille pas du tout… »
Mais l’habileté de l’ancienne call-girl a vite fait de changer la donne, la fille finit par haleter, puis à gémir, le clitoris s’érige, Florentine est prête pour l’estocade, mais avant…
« On va voir si c’est une vraie coquine ! »
Flo mouille son doigt et sans prévenir, le lui enfonce dans le trou du cul !
– Aaaah !
– T’aimes ça ?
– Salope !
Un vrai cri du cœur !
Et sans cesser son doigtage, Florentine donne des petits coups de langue sur le clitoris. Caroline n’en peut plus et jouit sans retenue.
Mais c’est que cette petite fantaisie a considérablement excitée la compagne de Gérard. Alors deux solutions ou bien attendre que ça se calme ou alors mettre cette Caroline au pied du mur !
Pas bien difficile de découvrir quelle est l’option qu’elle choisit. Elle se débarrasse de son pantalon et de son string qu’elle met sous le nez de Caroline.
– Elle sent bon, ma culotte ?
– Hi ! Hi !
– Ça te fait rire ?
– Ce n’est pas triste !
Florentine s’approche plus près.
– Et ma chatte, elle sent bon ?
– Ce n’est pas désagréable !
– Tu fais souvent des trucs avec des femmes ?
– Non ! Avant j’aimais bien, si je ne le fais plus c’est parce que je n’ai plus l’occasion.
– Eh bien l’occasion tu l’as devant toi, ne te gêne pas !
– Tu ne me montres pas tes nénés ?
– Si tu veux, mais ensuite, tu me lèches !
Florentine se dépoitraille !
– Hum, pas mal pour ton âge ! Lui dit Caroline.
– Tu me trouves si vieille que ça ?
– Non, tu es très belle, mais tu pourrais être ma mère !
– Et alors ?
– Alors rien, je disais ça comme ça ! Je peux les lécher un peu ?
– Fais comme chez toi !
Caroline s’attaque aux tétons turgescents de la belle mature. De chauds souvenirs de ses quelques expériences saphiques lui reviennent en mémoire, et la voilà qui mouille de nouveau.
– Si on se mettait en soixante-neuf ? Propose Caroline, tu m’excites de trop !
Proposition acceptée. Pour Caroline tout se passe bien d’autant qu’elle a maintenant un plan et elle sait qu’il va fonctionner.
Les deux femmes se mettent dans la position requise, Florentine au-dessus car on n’est jamais trop prudente.
– Refous-moi un doigt dans la cul ! Implore Caroline.
– O.K. Mais tu as le droit de m’en faire autant.
Et c’est parti ! Les deux femmes s’agitent tant et si bien qu’elles jouissent quasi-simultanément.
Florentine se relève, Caroline l’imite se jette à son cou et lui offre ses lèvres, les deux femmes s’embrassent profondément. Qui aurait cru ça il y seulement une demi-heure ?
– Je vais pisser ! Dit alors Caroline.
– Je suis obligée de t’accompagner !
– Tu n’as pas confiance ?
– Je suis en mission, vois-tu ?
– Je n’aime pas qu’on me regarde pisser.
– C’est dommage car moi j’aime bien voir les femmes pisser.
– Un jour un client a voulu me regarder en train de faire pipi, j’ai essayé, ça n’a pas marché !
– Un client ?
– Oui bon, on ne va pas en faire tout un plat, il m’est arrivé quelques rares fois d’aller tapiner sur les boulevard extérieurs… Faut bien prendre l’argent où il y en a.
– Faut pas culpabiliser…
Et Florentine allait continuer en lui disant quelque chose dans le genre : « moi aussi j’ai été pute… » Et du coup son image de fausse membre des services secrets s’écroulait, tout comme sa prétendue formation de close-combat… Et Caroline était plus jeune, plus musclée, elle n’aurait pas le dessus.
« Ouf je ne suis pas tombé dans le piège ! »
– Je disais il ne faut pas culpabiliser ! Reprit Florentine, dans mon métier il m’est arrivé de me faire passer pour une prostituée, ça ne m’a jamais traumatisé. on apprend aussi connaitre quelques fantaisies sexuelles, parfois ça aide, le pipi, c’est rigolo, d’autres pratiques sont plus compliquées.
« J’ai joué une carte, apparemment ça n’a pas marché ! Se désole Caroline. « Pourtant je me demande… Elle me paraît autant agent secret que moi bonne sœur… Mais dans le doute…
– Bon faut vraiment que j’y aille sinon je vais faire dans ma culotte !
– T’en a pas !
– Tiens, c’est vrai ! Bon, accompagne-moi puisqu’on ne peut pas faire autrement.
Florentine dû cacher son trouble quand Caroline libéra son petit jet dans la cuvette des toilettes, puis quand elle s’essuya. Elle remit à plus tard sa propre miction.
– Maintenant je vais te dire mon plan…
– Parce que tu as un plan ? Se gausse Florentine.
– Mon plan est simple ! Je veux me barrer d’ici !
– Désolée ma biche, mais je ne peux pas te laisser sortir !
– J’entends bien, mais voilà ce qu’on peut peut-être faire : Je ne veux pas rester ici, je veux quitter Arnold. En fait j’ai la trouille… alors quand ton collègue va revenir je veux que vous
m’aidiez à m’en aller, je sais où aller, ce qui serait bien c’est que vous m’accompagniez, sinon j’ai peur qu’il me retienne de force.
– Ça me parait pas impossible !
– Tu peux m’aider à faire ma valise ?
A suivre