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Martinov 24 – L’énigme du hangar – 3 – Baise à Louveciennes par Maud-Anne Amaro

StampBea

 

– C’est incroyable ce truc, commente Béatrice, 1000 balles pour un renseignement ! Mais pourquoi Brigitte m’a-t-elle parlé de Panama ?
– Parfois faut pas chercher à comprendre. Répond le professeur Martinov
– Ben si quand même ! Repris la jeune chimiste, le mec repère une pute en rentrant chez lui, jusque-là, je veux bien. D’habitude ce genre de truc ça se limite à une pipe et ça se passe dans la bagnole. Dans sa version, la fille lui propose un endroit plus cool où ils pourront prendre leurs aises… ça pourrait être un hôtel… mais là elle l’entraine en plein milieu d’une zone industrielle dans un hangar gardé par un maître-chien ! Tu te laisserais entrainer dans un truc comme ça toi ?
– Je ne crois pas, non !.
– Donc le mec nous raconte des conneries !
– Probablement, mais ce n’est pas nos oignons, On va faire semblant de le croire et lui filer son renseignement.
– Je ne te savais pas si vénal ! Se gausse-t-elle.
– On ne va tout de même pas avoir des scrupules avec un mec bourré de fric !
– T’es un gros coquin, mon petit professeur ! Dit alors Béatrice en portant sa main sur la braguette de l’homme.
– Et toi, tu n’es pas sage !
– Je ne suis jamais sage !
– Alors montre-moi tes nichons !
– Mes nichons ! Mes nichons ! Il n’y a pas que ça dans la vie !
– Non, mais tu te rends compte ! Que serait le monde sans les nichons ?
– Oui, on se le demande ! Répondit Bea.

Et la jeune chimiste ôte sa blouse de travail, en dessous elle n’a que son joli soutien-gorge en dentelles rose.

– Tu n’as mis de culotte, aujourd’hui ?
– Non, j’avais envie d’avoir la foufoune à l’air ! Les foufounes, ça a besoin d’être aérées !
– Tu sais que t’es belle ! Je te connais par cœur et pourtant tu me fais toujours bander !
– Merci du compliment ! Mais qu’est-ce que tu attends pour te mettre à poil ?

Le professeur entreprend de se déshabiller, mais c’est un méticuleux, pas du genre à semer ses fringues aux quatre vents, non monsieur enlève tout ça délicatement en évitant de faire des faux plis et en les déposant sur le dossier d’une chaise.

– Tu bandes un peu mou ! Lui dit son assistante.
– Normal à mon âge, mais tu vas m’arranger ça !
– Je vais te faire un truc spécial, assis-toi sur le bord de la table et soulève tes jambes.
– Oh ! C’est que je n’ai plus vingt ans, moi !
– Quand on aime on a toujours 20 ans.

Martinov se positionne comme demandé, Béatrice approche sa jolie bouche de l’anus du professeur et se met à le lécher avec gourmandise.

– Tu aimes ça que je te lèche le trou du cul, mon petit professeur ?
– Humm !
– Cochon ! Attention je vais mettre un doigt !
– Oh, oui, mets-moi un doigt.

Le professeur se laisse doigter quelques instants avant de suggérer :

– Avec le gode, ce serait pas mal non plus ?
– Il est où ton gode !
– Toujours dans ma chambre, je vais aller le chercher !
– Non, on va monter, autant prendre nos aises.

En chambre, sur le lit du professeur les deux amants s’embrassèrent. Chose qu’ils faisaient assez rarement et uniquement dans les moments de grande excitation. En effet nos deux sympathiques chercheurs ne se considéraient pas comme amant et maîtresse, non, mais ils adoraient baiser ensemble !Martino2403

– Hum, tu bandes bien maintenant !
– Je fais ce que je peux ! Tu me suces un peu ?
– Humm… Ah, tu aimes ça que je te prenne ta queue dans ma bouche !
– Tous les hommes aiment ça !
– Ne crois pas ça, il y en a qui sont aussi coincés de ce côté-là !

Et Béatrice se tût en embouchant la bite professorale et en lui imprimant des mouvements de va-et-vient délicats alternés avec des chatouillis linguaux sur le gland.

– Humm, c’est de la bonne bite, ça, mais maintenant on va passer à autre chose !

Béa s’empara du gode qui nichait dans le tiroir du chevet, elle nargua le professeur.

– Lèche-le ! Lèche-le comme une bite !

Martinov se preta de bonne grâce à cette fantaisie.

– Il y a longtemps que tu n’as pas sucé une vraie bite ?
– Un bon bout de temps… oui !
– Ça te manques ?
– Non, je ne cherche pas ! Mais quand j’ai l’occasion, je ne me défile pas !
– Je sais ! J’aime bien te voir sucer des bites ! T’es un bon suceur de bites !
– Si tu le dis !
– J’aime bien quand tu te fais enculer aussi !
– Hi ! Hi ! C’est vrai que j’aime bien aussi, mais toi aussi tu aimes te faire enculer !
– Ben oui, on fait une belle paire d’enculés ! Mets-toi en levrette, je vais te mettre le gode.

Le professeur se met à quatre pattes sur le lit, Béatrice vient derrière lui, lui introduit le dildo dans le trou du cul et le fait bouger.

– Ah, c’est trop bon ! Oui ! Encore ! Tu m’encules bien !

Après dix minutes de gode anal, la jeune chimiste, excitée comme une puce et mouillée comme un poisson rouge s’étala de tout son long sur le lit en écartant ses belles gambettes.

– Viens mon petit professeur, viens me faire du bien !

L’homme cru qu’elle l’invitait à venir la couvrir et s’approcha pour le faire.

– Non, non, pas tout de suite ! J’ai envie que tu me lèches l’abricot !

Voilà qui n’est pas un souci pour notre vert professeur qui plonge sa langue dans le fouillis du sexe humide de sa jeune partenaire.

– Pince-moi les seins en même temps ! Lui demande-t-elle avant de s’abandonner à son plaisir.

Un plaisir qui monte inexorablement et qui finit par la faire hurler de joie.

– Tu ne m’as pas léché le cul ! Lui dit-elle d’un air coquin
– Hé, c’est que je n’ai qu’une seule langue !
– Tu ne l’aimes plus mon petit trou du cul ?
– Mais si je l’adore voyons !
– Vas-y lèche un peu.

Pour Martinov, lécher l’anus de son assistante est toujours une partie de plaisir.

– Hum, quelle langue ! J’ai le cul qui frétille ! Je suis sûre que tu m’enculerais bien, non ?
– Tu voudrais ?
– Oui, mais c’est moi qui vais diriger les opérations… assis-toi sur le bord du lit.

Béatrice vient alors s’assoir sur les genoux du professeur en position de vis-à-vis. Elle lui pince fortement les tétons afin de lui assurer un belle érection.

Martinov, comme beaucoup d’hommes, est très sensible à cette caresse et se pâme. Béa après s’être assurée de la rigidité de la bite s’y empale par l’anus et se met à coulisser en cadence.

On s’agite, on transpire, on halète, et les deux amants finissent par jouir, la femme d’abord, l’homme ensuite.

– Bouh ! Tu m’a tué ! Commente Martinov !
– Tu dis ça à chaque fois, mon petit professeur.
– Parce que tu me tues à chaque fois !
– L’important c’est que tu ressuscites. Pourquoi tu te lèves, t’es pressé ?
– Non j’ai envie de pisser ! Répond le professeur.
– Je t’accompagne ?
– Ben, oui, ça te fait tellement plaisir !

Dans la salle de bain, Béatrice s’accroupit, le professeur vise sa bouche avec son pipi.

– Hum, il est bon ton pipi, aujourd’hui, il sent le café.
– Ne bouges pas, je vais encore t’en faire quelques gouttes !
– T’es un amour !

Après ces joyeuses fantaisies il fallut bien reprendre le travail. Ils demandèrent donc les dits-renseignements à leur ami Gérard Petit-Couture, ancien agent des services secrets qui les avaient déjà dépannés dans quelques affaires ténébreuses.(vois les chapitres précédents)

La réponse ne se fit pas attendre. Quelques heures seulement !

– C’est un vrai sac de nœuds ! Expliqua Petit-Couture. Suite à je ne sais quelles circonstances, une erreur à la commande, je suppose, la société Balivoil s’est retrouvée avec un gros surplus d’éponges métalliques. Ils ont fait une offre publique et ont revendu le stock à un dénommé Chavinou qui a entreposé tout ça dans un hangar des 4 couronnes. Ce Chavinou a ensuite reçu assez rapidement une offre d’achat d’un courtier agissant pour une boite appelée « Sylvester and son », en fait une société off-shore située au Panama. L’offre concernait le hangar et son contenu. Ensuite impossible de suivre la piste, on est incapable de savoir qui est aujourd’hui le véritable propriétaire de ce machin !
– Oui, mais il paraît qu’il y a un maître-chien, un vigile quelque chose dans le genre, il y a bien quelqu’un qui l’embauche ?
– J’y ai pensé, mais pas moyen d’avoir des renseignements, les téléphones sonnent dans le vide. En fait, il faudrait que je me déplace.
– Bof ! Laisse tomber !
– Je vais quand même vérifier quelque chose. Je te rappelle.

Béatrice et Martinov sont dubitatifs.

– On fait quoi ? Demande ce dernier.
– On attend que Gérard nous rappelle et on transmettra les renseignements à Piérac et s’il n’est pas content, on l’enverra se faire cuire un œuf !

Un quart d’heure plus tard le téléphone sonna. C’était Petit-Couture :

– C’est encore moi, comme je soupçonnais un coup fourré, je me suis renseigné auprès de Kallgren-France, il n’y a aucun Piérac dans leur staff. Donc soit le mec agit sous pseudonyme, soit c’est un mytho intégral. Vous aviez vérifié son identité.
– S’il a des faux papiers, ça sert pas à grand-chose.
– Certes !

A suivre

Sam 25 jun 2022 Aucun commentaire